Compléments d’informations sur les 8 Lois ou Règles sur lesquels se base le Jeu de BeHappy…

Bien sûr, chacun peut jouer au BeHappy avec bénéfice pour améliorer son bien-être en ayant seulement connaissance des 8 lois ou règles telles qu’elles sont, simplement et rapidement, édictées dans l’article précédent :

« Qu’est-ce que le BeHappy ? »

Mais certains auront peut-être plaisir à ce que ces lois ou ces règles soient un peu plus développées et commentées…

Pour ces personnes, voici certains éclairages supplémentaire sur ces 8 lois/règles sur lesquels s’appuie le jeu de BeHappy qui les intéresseront sûrement.

Ensuite, au fur et à mesure, si cela est nécessaire, nous préciserons encore ces éclairages, en fonction des éventuels réactions de certains joueurs de BeHappy exprimeront dans les commentaires qu’ils déposeront sur ce site…

Que les joueurs reconnaissent cette 1ère loi comme la leur est la condition prioritaire pour jouer à ce jeu de pensée.

En effet, après me l’être posé à moi-même, j’ai posé à des milliers de gens, dans le cadre de mon métier et dans ma vie privée, et ceci pendant des années, la question suivante :

« Qu’est-ce qui est le plus important pour vous dans la vie ? »

Et là, soit de suite, soit après une courte mise au point de vocabulaire et de signification, tout le monde, sans une seule exception, m’a répondu :

« Que je sois heureux ! »

100% de personnes, sur des milliers de personnes qui donnent, précisément, cette réponse, nous pouvons considérer que l’on est là en face d’une loi, une loi robuste, une loi scientifique  !

Cette loi, qui est devenue une règle du jeu du BeHappy, nous pouvons l’exprimer de la façon suivante :

« Ce qui est le plus important pour tout les Êtres, sans exception, c’est qu’ils soient heureux »

Et ceci n’a rien à voir avec une opinion. Non ! C’est une loi dont chacun peut prendre connaissance tous les jours un peu plus.

Et donc, le 1er préalable au jeu de BeHappy, c’est que les joueurs reconnaissent cette 1ère loi, comme la leur, eux qui sont des Êtres humains… Mais également que cette loi est celle de tous les autres Êtres.

Et, c’est ce qu’ils font tous, facilement, à 100% !

Donc, cette loi de la Vie, si évidente et si simple, est devenue la 1ère règle du jeu de BeHappy.

Comme je viens de le dire plus haut, parfois, il a pu être nécessaire de préciser un point ou un autre…

À la question : « Qu’est-ce qui est le plus important pour vous dans la vie ? », certains ont pu, par exemple, dans un premier temps, répondre :

« Ce qui est le plus important pour moi, c’est que mon enfant (… ou ma mère, ou mon père, ou mon compagnon, ou ma compagne… ou mon chien, ou l’humanité) soit heureux. »

Alors, on a pu, s’ils citaient leur enfant, leur poser, par exemple, la question :

« Est-ce que votre enfant a plus de chance d’être heureux, si vous vous êtes heureux(se) ou si vous vous êtes malheureux(se) ? »

Et là, sans exception, toutes ces personnes ont toujours répondu :

« Si je suis heureux(se), bien sûr !

Alors, nous avons pu leur dire : « 

« Que vous soyez heureux, c’est donc bien le plus important pour vous, mais aussi pour votre enfant ? »

Et là, tous, sans exception également, ont répondu :

« Oui, c’est vrai. »

Et là, une fois cette 1ère loi reconnue, nous avons pu commencer à présenter la 2ème lois du BeHappy en toute sécurité…

En effet, nous ne pouvons pas jouer au BeHappy de façon agréable et bénéfique avec quelqu’un qui ne reconnaîtrait pas comme sienne cette 1ère loi, qui est la règle fondamentale de ce jeu… Elle est en effet le fondement de toutes les autres lois qui sont en fait les règles de ce jeu simple et bienfaisant.

En effet, en entendant l’énoncé de cette 1ère loi ou règle du jeu de BeHappy, d’autres ont pu réagir en posant la question suivante :

« Qu’est-ce que le bonheur ? »

Et là, nous sommes bien obligés de leur répondre :

« Personne ne peut définir votre bonheur à votre place…

Le bonheur est une Intimité Absolue…

Et en plus, sa forme change à chaque instant !

Mais, à chaque instant, vous-même, l’Être conscient que vous êtes, vous savez exactement ce que vous, vous êtes le plus heureux de penser, de dire ou de faire !

Et pour jouer au jeu de BeHappy, c’est tout ce qui vous est nécessaire. »

Et les personnes sont toujours satisfaites de cette réponse qui respecte totalement leur personnalité et elles acceptnt alors d’adhérer à cette 1ère loi qui est donc une règle du BeHappy qu’il faut absolument respecter pour pouvoir jouer à ce jeu de façon agréable et productive.

En effet, il faut remarquer que « jamais » une seule personne sur les milliers à qui nous avons pu poser la question « Qu’est-ce qui est le plus important pour vous dans la vie ? » n’a répondu :

« Moi, ce qui est le plus important dans ma vie, c’est que je souffre un maximum ! »

Ou quelque chose d’approchant… Vraiment personne !

Aucun Être, qu’il soit minéral, végétal, animal ou bien sûr humain, n’a pour but essentiel dans son existence de souffrir !

Ce qui ne veut pas dire qu’aucun Être ne souffre… Bien au contraire, les Êtres peuvent souffrir et parmi eux ce sont les Êtres humains qui semblent souffrrir le plus, et cela vraiment beaucoup plus souvent que nécessaire pour pouvoir vivre une vie épanouie.

Vous avez dû remarquer que cette Loi disait :

Prenons conscience que, sur cette terre, il y a au moins 4 types d’Êtres assez bien caractérisés par la science actuelle : il y a les Êtres minéraux, les Êtres végétaux, les Êtres animaux et les Êtres humains…

Bien sûr que le fait que je sois heureux est le plus important pour les autres Êtres humains… Mais c’est aussi le plus important pour tous les autres Êtres qui constituent également notre terre.

Plus je suis heureux, plus je participe à l’harmonie de la vie sur terre.

Il n’y a de véritable écologie qu’heureuse !

L’adhésion à cette 2ème loi, ou règle, du Jeu de BeHappy, comme l’adhésion à la 1ère, est un préalable absolu pour pouvoir aborder les 6 autres lois, qui sont en fait les règles de ce jeu, avant de jouer une bonne partie bienfaisante, seul ou avec un ou plusieurs partenaires.

En effet, comment être heureux au moment où nous pensons ce que nous ne sommes pas heureux de penser ?

Je n’y suis jamais arrivé moi-même… Et je n’ai jamais pu observer quelqu’un qui y soit arrivé.

En effet, qui a été heureux alors qu’il pensait « Ma vie n’est qu’un échec » ?

Qui a été heureux en pensant « Il n’y a que de l’injustice dans le monde » ?

Qui a été heureux alors qu’il pensait que « Les Êtres humains sont fondamentalement mauvais » ?

Qui a été heureux en répétant « Je ne serai jamais heureux » ?

Qui a été heureux en pensant « Mon voisin n’est qu’un imbécile » ?

Etc… Etc…

Bref ! Qui a été heureux en pensant ce qu’il n’était pas heureux de penser ?

Personne… Vraiment personne !

Sans une seule exception, chaque fois que nous avons pensé ce que nous n’étions pas heureux de penser, nous n’avons pas été heureux de vivre ce que nous étions en train de vivre.

Et ce n’est pas que ce que nous avons vécu était « mauvais »… C’est simplement que nous, nous n’avons pas été heureux de le vivre, et ceci, toujours, en pensant ce que nous n’étions pas heureux de penser.

Nous n’avons donc pas « choisi » d’être heureux de le vivre.

Pour être plus précis, nous n’avons pas osé choisir de penser ce que nous étions le plus heureux de penser pour pouvoir enfin vivre ce que nous étions le plus heureux de vivre.

Nous vivons la souffrance que nous pensons…

Mais, nous pouvons vivre le bonheur que nous pensons…

Et c’est bien le but de ce jeu du BeHappy que d’être de plus en plus heureux de vivre en apprenant à penser ce que nous sommes de plus en plus heureux de penser.

Par contre, bien sûr, nous avons toujours été heureux de vivre un instant alors que nous pensions ce que nous étions le plus heureux de penser à ce même instant.

Ainsi, celui qui est un homme et qui pense : « Je suis heureux d’être un homme »… Eh bien, à cet instant, il vit la vie d’un homme heureux.

Celui qui pense « J’aime conduire », au même instant, il vit la joie de conduire sa voiture.

Celui qui pense « Je suis heureux de vivre » connaît tout de suite le bonheur de vivre sa vie.

Celui qui pense « J’aime l’humanité » fait, pendant cet instant merveilleux, l’expérience de vivre au sein d’une humanité qu’il aime.

Etc…

C’est ce à quoi nous invite ce site BeHappy8 : penser ce que nous sommes les plus heureux de penser pour vivre ce que nous sommes les plus heureux de vivre…

Apprendre à jouer à vivre.

Apprendre à jouer à vivre heureux.

Actuellement, beaucoup de personnes qui entendent cette lois la reconnaissent comme vraie pour eux.

Mais, cependant, certains vont réagir, momentanément, différemment… Et ils vont peut-être exprimer une des pensées suivantes :

« On ne peut pas penser ce que l’on veut.

« Il ne suffit pas que je pense ce que je suis heureux de penser pour être heureux ! »

« Mais, je ne peux pas penser ce qui n’est pas vrai ! »

« Je n’ai pas le droit de penser ce qui n’est pas réel ! »

« Mais je ne peux pas penser ce que je ne « sens » pas ! »

« Je ne suis pas libre de penser n’importe quoi ! »

« Je ne choisis pas ce que je vis ! »

« Je n’ai pas de chance ! »

« C’est génétique, je n’y peux rien ! »

Etc… etc…

Bien sûr, ces personnes ne sont jamais heureuses de penser ce type de pensées… Jamais !

Mais elles n’en sont pas conscientes…

En effet, ces personnes n’ont pas encore conscience que les arguments qu’ils ont l’habitude d’utiliser pour exprimer leur désaccord avec cette 2ème loi du jeu de BeHappy ne sont que des pensées qu’ils ne sont pas heureux de penser !

Ils n’en sont pas conscients parce qu’il ne se sont « jamais » posé la question la plus importante qu’il peuvent se poser et qui constitue la 3ème loi qui est en fait la 3ème règle du jeu de BeHappy que nous allons aborder tout à l’heure.

Bien sûr, elles se sont posé beaucoup d’autres questions, mais pas « cette » question !

Et ceci, tout simplement, parce que toutes les autorités, sans aucune exception, auxquelles elles ont accepté d’obéir depuis des vies et des vies le leurs ont « toujours » interdit.

En effet, aucune autorité, quelle qu’elle soit, ne permet aux autres Êtres humains de se poser « cette » question !

Une autorité ne se permet même pas à elle-même de se la poser…

En effet se poser cette question, c’est le début de la disparition de toute autorité malfaisante sur soi-même ou sur les autres.

Pourquoi ? Parce que cette question permet à la personne qui se la pose de retrouver l’usage naturel de son libre arbitre originel.

Ce « libre arbitre« , c’est cette capacité que nous avons, nous les Êtres humains, de choisir ce que nous vivons, en choisissant ce que nous pensons à partir de notre Âme plutôt qu’à partir de nos mémoires.

Pour le traduire autrement peut-être, on peut dire que le « libre arbitre est la libre conscience que nous avons de choisir de penser ce que nous pensons…

En effet, librement, nous pouvons soit penser ce que nous sommes le plus heureux de penser, soit penser ce que nous ne sommes pas heureux de penser.

Et personne ne peut le faire à notre place.

Mais voyons donc maintenant, plus en détail, cette question qui est la 3ème loi ou règle du jeu de BaHappy.

Nous pouvons nous poser des milliards de questions…

Par exemple, nous avons pu nous poser des questions, comme :

« Est-ce que ce que j’ai pensé est juste ? »

« Est-ce que ce que j’ai pensé est scientifique ? »

« Est-ce que ce que j’ai pensé peut être accepté par les autres ? »

« Est-ce que ce que j’ai pensé est raisonnable ? »

« Est-ce que ce que j’ai pensé respecte ma religion ? »

« Est-ce que ce que j’ai pensé est mieux que ce que les autres pensent ?

Etc… Etc…

Et, bien sûr, certaines de ces question peuvent avoir eu, à un moment donné une certaine importance dans notre vie… Et en auront encore, peut-être, dans notre vie.

Mais cependant, si notre but le plus important dans cette vie, c’est bien d’être heureux, alors il n’y a aucun doute : aucune question, n’est plus importante que celle-ci :

« Est-ce que j’ai pensé là ce que j’étais le plus heureux ou la plus heureuse de penser, OUI ou NON ? »

Comme vous avez pu le remarquer, cette question est posée au passé.

La raison en est simple : nous vivons au présent, mais nous observons toujours notre passé !

Donc, en pratique, lorsque nous nous posons cette question, nous nous questionnons à cet instant sur notre passé.

Ce passé que nous apprécions à cet instant peut être immédiat ou lointain, mais ce ne peut être que notre passé… Et, simplement, nous le reconnaissons en utilisant un temps de conjugaison du passé.

Un des avantages de ceci est que nous libérons le présent du passé. À cet instant présent, en nous posons cette question au passé, nous nous reconnaissons libre du passé que nous évoquons.

Dans notre vie, lorsque nous nous posons une question importante, nous avons toujours besoin que cette question soit claire.

Mais lorsque, comme ici, nous nous posons la question la plus importante que nous puissions nous poser, alors là nous avons besoin de l’exprimer « parfaitement clairement« .

Posée comme elle l’est ici la question la plus importante que nous puissions nous poser est parfaitement claire.

La question ne peut pas être plus claire…

Et nous allons encore préciser cette clarté avec la 4ème loi ou règle du jeu de BeHappy qui suit…

Il nous faut une réponse absolument claire.

En effet, la réponse à cette question la plus importante que nous puissions nous poser doit, bien sûr, être également parfaitement claire.

Et là, c’est la réponse la plus simple et la plus claire que l’on puisse donner : c’est soit « OUI« , soit « NON » !

C’et tout ! Aucune autre réponse n’est acceptable.

Dans le jeu du BeHappy, le simple fait d’hésiter une seconde avant de répondre un « OUI SINCÈRE » à cette question, la question la plus importante que nous puissions nous poser, doit être obligatoirement reconnue comme un « NON ».

Ceci est obligatoire, si notre but est d’être heureux… Et c’est notre but le plus important !

Donc, tous les « OUI MAIS… » sont des « NON »… Les « Je ne sais pas » sont des « NON »… Un silence, c’est « NON », etc…

Bref, si ce n’est pas un « OUI », simple, en moins d’une seconde, c’est un « NON ».

C’est là une des clefs fondamentales de l’efficacité du jeu de pensée qu’est le BeHappy !

Si nous ne respectons pas cette 4ème loi, nous ne sommes pas en train de jouer au BeHappy dont le but premier est de retrouver, toujours mieux, notre Joie Originelle… Nous faisons autre chose, ce qui est notre liberté bien sûr !

Mais, comme l’exprime la 2ème règle de ce jeu, nous ne pouvons être des Êtres humains heureux que lorsque nous pensons ce que nous sommes les plus heureux de penser.

Il n’y a pas d’autres possibilités… Il n’y en a vraiment pas ! D’où la rigueur de cette exigence d’un « OUI » simple et vrai… en moins d’une seconde !

En fait, là, nous ne faisons que verbaliser et préciser quelque chose que nous vivons naturellement depuis toujours dans nos vies…

Chaque fois que nous posons une question très importante à quelqu’un, nous attendons une réponse totalement claire.

Par exemple, imaginons qu’un homme pose à sa femme la question, très importante pour lui et pour elle : « Est-ce que tu m’aimes ? » …

Si celle-ci ne répond pas, immédiatement, par un « OUI » franc, ils savent tous les deux que c’est « NON »… Ils ont un problème de relation !

Si elle répondait : « Écoute, je vais réfléchir »… Ils sauraient tous les deux que c’est « NON »… Et pour l’instant en tous les cas, ils ont un problème !

Évidemment, cette exigence d’un « OUI » spontané comme réponse n’est valable que pour une question très importante pour nous.

Si ce même homme demande à sa femme une question comme « Est-ce que tu veux que je te fasse un café » et qu’elle ne réponde ni « OUI », ni « NON », mais qu’elle réponde « Je verrai tout à l’heure, là je suis occupée »… Leur couple ne vit pas là un problème.

En effet cette question n’est pas importante, alors la réponse est sans importance… Elle n’a pas besoin d’être précise.

Mais dans le jeu du BeHappy, la question est fondamentale et la réponse doit être totalement claire : soit c’est un « OUI » absolu, soit c’est un « NON ».

Et d’ailleurs, si c’est un « NON », ce n’est pas la fin du monde…

Mais c’est probablement la fin d’un monde… Et c’est l’invitation à vivre un autre monde… Un monde meilleur ! Un monde dans lequel nous sommes plus heureux…

Et c’est ce à quoi va nous inviter la 5ème Loi que voici :

Le but, ici, n’est pas de penser telle ou telle pensée, mais bien plus simplement de penser la pensée que, nous, nous sommes, vraiment, le plus heureux de penser à cet instant.

Ce peut être sur le même sujet ou sur un tout autre sujet…

En effet, la fuite est permise. Si, pour l’instant, cela est plus confortable pour nous, nous pouvons éviter le sujet à propos duquel nous avons posé la question la plus importante que nous puissions nous poser sans pouvoir répondre « OUI »…

Notre but, en BeHappy, n’est pas de penser obligatoirement une autre pensée sur le même sujet que nous avons questionné et dont nous avons pris conscience que nous n’étions pas heureux de la penser.

Non ! Notre but le plus important est d’être heureux… Et pour cela il nous faut penser ce que nous sommes le plus heureux de penser, nous, à cet instant… « librement » !

En effet, peut-être que pour l’instant, nous ne sommes simplement pas capable de penser une pensée que nous sommes heureux de penser sur le même sujet que nous avons questionné ?

C’est parfait ! Nous allons, alors, choisir aussi simplement de penser une pensée que, nous, nous sommes capable, à cet instant d’être heureux de penser… C’est tout !

N’oublions pas : « Que nous soyons heureux, nous, c’est le plus important pour nous et pour tous les autres Êtres ».

Dans le jeu du BeHappy, il n’y a, absolument, aucune règle disant que nous devons, obligatoirement, penser telle ou telle type de pensées.

Non ! La 5ème règle du jeu que nous étudions maintenant est très précise : « Qu’est-ce que je suis, moi, le plus heureux de penser maintenant ? »

Il y a une infinité de pensées que nous pouvons être heureux de penser… Une infinité !

Mais, à cet instant, il y en a une qui est celle que nous choisissons librement : c’est celle que nous sommes le plus heureux de penser… à cet instant.

Là, il suffit de la choisir à cet instant, et d’oser la penser, la dire, peut-être l’écrire…

Cette pensée qui est celle que nous sommes, à cet instant, le plus heureux ou la plus heureuse de penser, est complètement « arbitraire!

Et ceci n’est pas exceptionnel, puisque toutes les pensées que nous pensons sont toutes arbitraires, que nous en soyons conscients ou pas.

En effet, une pensée humaine est nécessairement « arbitraire ». Que nous le reconnaissions ou pas n’y change rien. Cela est aussi inévitable que le fait de respirer pour vivre…

Que cette pensée soit exprimée par les mêmes mots que la précédente, mais disposés différemment, qu’elle soit sur le même sujet, ou qu’elle soit sur un tout autre sujet, cela n’a aucune importance…

Que cette pensée soit sérieuse ou pas, qu’elle soit très intelligente ou naïve, qu’elle soit simple ou compliquée, qu’elle soit considéré comme « positive » ou « négative »… Tout cela et bien d’autres choses n’ont absolument aucune importance pour jouer au BeHappy…

Que ce soit nous qui la découvrions ou que ce soit quelqu’un qui nous la souffle, ou que nous citions un auteur : cela n’a aucune importance également…

Mais par contre la seule chose qui importe totalement lorsque nous jouons au BeHappy : c’est que cette pensée soit celle que, nous, nous sommes, complètement arbitrairement, le plus heureux de penser à cet instant… C’est tout !

En effet si, pour l’instant, nous évitons systématiquement un sujet que nous n’aimons pas, ce n’est pas grave du tout : ce n’est que partie remise !

En effet, il n’y a pas de soucis, tant que nous ne serons pas heureux de penser quelque chose, cette pensée, et sa manifestation, reviendra à notre conscience pour que nous puissions essayer à nouveau d’en être heureux et cela jusqu’à ce que nous y arrivions.

C’est ce que tente d’exprimer la pensée suivante : « Nous sommes libres de tout ce que nous aimons, mais nous sommes liés, par l’Amour inconditionnel, à tout ce que nous avons prétendu ne pas aimer. »

La Réalité est que nous avons l’Éternité pour ouvrir, toujours plus, notre conscience à la Joie Éternelle.

Nous ne sommes en rien obligés de réussir à aimer quoi que ce soit tout de suite, à être heureux de quelque chose tout de suite…

Si nous n’y arrivons pas là, à cet instant, ce n’est pas du tout grave !

En effet, cela n’est en rien un problème : ce que nous n’aimons pas reviendra patiemment à notre conscience jusqu’à ce que nous l’aimions, c’est à dire jusqu’à ce que nous en soyons heureux.

La route la plus courte pour arriver à être heureux, c’est celle que nous sommes les plus heureux de prendre « tout de suite ».

Donc, le seul critère pour choisir ma pensée suivante, c’est que nous puissions répondre un « OUI » en moins d’une seconde à la question :

« Est-ce que j’ai pensé là la pensée que j’étais le plus heureux ou la plus heureuse de penser, OUI ou NON ? »

Un point, c’est tout !

En effet, la répétition est la clef de l’évolution, et ceci depuis toujours…

Mais ceci est encore plus évident pour nous les Êtres humains… Il est bien évident que chaque Être humains que nous sommes a tout appris en répétant…

Nous avons appris à marcher en répétant environ 2000 fois nos tentatives de marcher jusqu’à y arriver.

Nous avons appris les tables de multiplication en les répétant jusqu’à les savoir.

Cherchez ce que vous avez appris sans le répéter ! Vous ne trouverez tout simplement « rien »…

Et, bien sûr, nous apprendrons tout ce que nous voulons apprendre en répétant !

Tous, autant que nous sommes, avons appris à penser comme nous pensons en répétant ces pensées…

Soit nous l’avons répété volontairement nous-même pour l’apprendre, soit, très souvent, d’autres personnes nous l’ont répété pour que nous l’apprenions.

Car entendre et écouter, c’est penser !

Et écouter beaucoup, c’est penser beaucoup…

Donc, d’un côté, nous avons trop souvent appris à penser ce que nous n’étions pas heureux de penser en le répétant beaucoup nous-même ou en nous le faisant beaucoup répéter par d’autres.

D’un autre côté, nous apprendrons toujours à penser ce que nous sommes les plus heureux de penser en le répétant également beaucoup

C’est que plus nous sommes heureux de répéter, plus nous apprenons vite !

Et c’est, également, que nous n’avons, en général, aucun plaisir à apprendre par la répétition ce que nous ne sommes pas heureux de penser…

Et en effet, nous avons tous fait l’expérience que nous apprenions beaucoup plus facilement et rapidement ce qui nous plaisait d’apprendre que ce qui ne nous plaisait pas d’apprendre.

Et nos éducateurs ont toujours eu beaucoup de difficultés à nous faire répéter ce que nous n’étions pas, nous-même, heureux d’apprendre…

Cela a été une grande source de souffrances, autant pour les éducateurs qui ont essayé de forcer les élèves à apprendre ce qu’ils n’étaient pas heureux d’apprendre que pour les élèves qui résistaient, tout à fait naturellement, de toutes leurs forces à apprendre ce qu’ils n’étaient pas heureux d’apprendre.

« Chassez le naturel, il revient au gallop »

Il y a la propagande d’origine extérieure par les mémoires personnelles ou sociales et il y a l’autopropagande heureuse ou malheureuse.

La propagande malheureuse qui arrive à devenir un autopropagande malheureuse demandera toujours beaucoup de répétition pour rester active.

À poursuivre… dès que je le peux !

Âme ou mémoire ?

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