Mardi 28 Mai 2024
Voici ce que j’ai écrit dans mon journal du Lundi 29 Janvier 2024, comme je le fais si souvent :
J’ai regardé l’heure à mon téléphone… 5 heures du matin… et c’est cette question qui m’a réveillé :
“Que suis-je ?”
Et la réponse que j’ai déjà pensé si souvent, est revenue en moi, au-delà de ma volonté :
“Je suis une conscience de Toi qui s’ouvre à Ton Infini.”
Je m’ouvre… Je me suis toujours ouvert… Je m’ouvrirai toujours…
Comme tout ce qui est ! »
Et puis, il y a eu une petite cascade d’autres pensées… Elles s’imposaient à moi comme le ruisseau qui creuse son chemin dans les rochers… Tranquillement, patiemment… Alors là, j’ai pensé, en toute conscience :
« « L’Être »ruisseau » s’unit à l’Être « rocher »…
Tous les Êtres prennent conscience de Toi, toujours plus… Toujours plus…
L’eau enseigne le mouvement au rocher…
L’eau attire le rocher au mouvement.
Le rocher, petit à petit, se laisse tenter par l’aventure. Il s’érode et il suit il l’eau pour continuer son grand voyage de la conscience…
Il abandonne son immobilité rocheuse pour la mobilité du limon…
Et, comme le limon, nous, tous les Êtres, nous continuons tous notre voyage de conscience de Toi… En Toi… Vers Toi.
La Source qui n’a pas de source, coule sur nous et nous invite à couler… toujours plus couler…
Et nous mourons pour renaître à chaque instant…
Dans la Joie… Dans Ta Joie…
… Si nous le choisissons… »
Et là, je me suis levé, je suis allé dans mon bureau, j’ai ouvert mon ordinateur et j’ai d’abord commencé à écrire les pensées que j’avais pu “attraper” dans ma mémoire…
Et puis, ensuite, voici ce que j’ai encore écrit :
« Au fur et à mesure que la conscience que je suis s’épanouit, la Pensée, le Corps, et l’Âme évoluent, comme Un… Tout évolue avec ma conscience… »
Et là, je me suis souvenu, une fois de plus de ce qui m’a été dit un jour :
« C’est la conscience qui fait toute la différence. »
Et puis j’ai bu…
Toujours un petit peu « excessif », j’ai bu un litre et demi de mon eau de Volvic, riche en acide silicique, en quelques minutes… C’est une cure que je faisais depuis bientôt deux mois, et que je continue actuellement à faire, pour permettre à mon corps de mieux éliminer l’aluminium que j’absorbe, comme chacun, le plus souvent obligatoirement, tous les jours dans ce monde moderne… que j’aime…
Je suis très curieux de tout… Et depuis que j’ai rencontré le Professeur Christopher Exley, en virtuel d’abord grâce à des vidéos en anglais, puis en lisant et relisant avec passion et beaucoup d’attention son livre « Vivre et Survivre à l’Ère de l’Aluminium », qui est préfacé par le Professeur Joyeux, en France, j’ai commencé cette cure d’eau riche en acide silicique, l’eau de Volvic.
Par exemple, un fait : le Docteur Alzheimer a découvert le premier cas de la maladie qui porte maintenant son nom environ 20 ans après le début de l’Ère de l’Aluminium, c’est à dire 20 ans après que les Êtres humains aient commencé à absorber de l’aluminium dans leur corps.
En effet, jusqu’à là, l’aluminium n’avait jamais participé à la biologie des Êtres que l’on dit vivants…
Et depuis la maladie d’Alzheimer est tout simplement de plus en plus fréquente...
Et puis là, j’ai recommencé à écrire sur mon merveilleux petit ordinateur, mon petit bijoux… Et voilà ce qui est venu :
« Chaque fois que j’utilise le Libre Arbitre, que Tu m’a donné, pour que ma conscience de Toi accepte de s’ouvrir librement à son rythme naturel, à son rythme originel, je vis toujours la Joie… C’est ce que nous appelons « Être heureux ».
Mais, chaque fois que j’ai utilisé le même Libre Arbitre que Tu me donnes, depuis toujours et pour toujours, pour prétendre freiner l’ouverture naturelle de ma conscience de Toi, là, j’ai vécu également Ta Joie, mais inconsciemment… C’est ce que nous appelons “souffrir”. »
Ensuite, calmement, j’ai attendu… Et puis, les pensées suivantes sont venues à mon esprit que j’étais vraiment heureux de penser et d’écrire :
« Par cette « belle souffrance », Tu m’as toujours signalé, respectueusement, que j’avais fait “ma” volonté et non “la Tienne”.
Ce que j’appelle ma “merveilleuse souffrance” m’a toujours, finalement, révélé Ta Joie qu’elle était en Réalité.
Et cela à l’instant même où j’ai osé me rappeler que “Tu es Tout”… et que ce que j’avais vécu n’était que Toi dont j’avais seulement perdu conscience ! »
Et là, ce jour-là, j’ai été heureux de reconnaître ce qui suit :
« Mais, en réalité, j’ai toujours appris, sans jamais arrêter, soit dans Ta Joie dont j’avais conscience, soit dans Ta Joie dont j’avais, comme on dit par erreur d’ailleurs, “perdu” conscience ! »
C’est vrai que depuis quelque temps, j’ai beaucoup pensé ceci… et j’ai vraiment, à chaque fois, eu beaucoup, beaucoup de plaisir à le penser :
« Depuis le presque début de l’humanité, toutes les consciences, que nous sommes depuis toujours, ont continué à évoluer, comme c’est Ta Volonté qu’elles le fassent, depuis toujours.
Elles ont évolué, soit dans cette ouverture naturelle de conscience de la Joie que Tu offres à chaque instant à tous les Êtres, soit, trop souvent depuis le presque début de l’humanité, dans ce que nous avons appelé la “souffrance” qui n’a fait que nous signaler une ou des pensées qui freinaient cette ouverture naturelle de notre conscience à Ta Joie Originelle. »
J’ai choisi, à chaque moment et depuis maintenant bien longtemps, de ne croire que ce que je suis le plus heureux de croire. Et je m’en porte très bien et même, vraiment, de mieux en mieux… Alors, là, j’ai choisi avec joie de penser ceci :
« Ce n’est que pour des temps limités que j’ai pu “prétendre freiner” l’ouverture de ma conscience de Toi… J’ai pu la freiner, mais je n’ai jamais pu l’arrêter !
Et je suis heureux de croire que c’est la même chose pour tous les Êtres qui existent !
Donc, je ne peux pas refuser Tes Dons… Je ne peux qu’en perdre, pour un temps qui est fini, nécessairement, la conscience.
Que nous le “voulions ou pas”, nous, tous les Êtres humains que nous sommes, ne pouvons, comme tous les Êtres depuis toujours, que recevoir la Totalité de Tes Dons.
Nous n’avons pu, si nous l’avons choisi grâce à notre libre arbitre, et ceci seulement depuis le presque début de l’humanité, nous n’avons donc pu que “retarder” ou “perdre de vue momentanément” l’ouverture de notre conscience de Ton Don que nous avons reçu depuis toujours et pour toujours.
En effet, le Libre Arbitre que Tu nous donnes depuis le début de l’humanité nous permet de choisir notre conscience de Toi… Et donc de Tout… Mais il ne nous permet pas de choisir que Tu sois ou que Tu ne sois pas !
Tu “Es”, Tu Es de toutes les façons ! Tu Es l’Éternité… Ton existence ne dépend en rien de la conscience que les Êtres humains que nous sommes choisissent.
Et tous Tes Dons, Tous Tes Dons, seront finalement nécessairement reçus en toute conscience… dans cette Éternité.
Notre Libre Arbitre nous permet de choisir “quand” nous serons conscients de les avoir reçus, mais pas “si nous les recevrons ou pas”…
En effet, Tes Dons nous attendent depuis toujours et pour toujours… Ils attendent notre décision… Décision que nous prenons avec le Libre Arbitre Absolu que Tu nous donnes Éternellement. »
Et puis là, ma pensée, comme d’habitude, a pris comme un virage, tout d’un coup… Et j’ai écrit :
« Tu es l’innommable qui a tous les noms.
Nous découvrons, tous les jours, des nouveaux noms de Toi.
Nous avons dit que nous “inventions” des choses, mais nous ne faisons que découvrir un peu plus ce que Tu Es Éternellement.
« Apprendre, c’est se souvenir », nous a dit Platon.
“Inventer”, c’est Te découvrir un peu plus !
Une “invention”, c’est, simplement, une nouvelle découverte de Toi.
Et, en effet, je Te découvre à chaque instant. C’est toujours de Toi dont je prends conscience, à chaque instant ! Tu es la seule chose que je puisse « dé-couvrir », que je puisse « apprendre », puisque Tu es Tout !
Quelle joie de Te découvrir à cet instant, en sachant que je Te découvrirai pour l’Éternité… »
Après un petit calme observateur, j’ai vécu une succession de petits virages de pensées bien agréables :
« J’aime penser…
J’aime vivre mon Corps…
J’ai foi en mon Âme…
J’aime Tout…
J’aime ce Tout que Tu m’offres !
Je ne Te cherche pas ailleurs… Tu es là, à cet instant, Total !
Quelle Joie de pouvoir, toujours, Te déguster à nouveau, à cet instant !
Je suis une simple conscience heureuse !
Je suis une conscience heureuse de s’ouvrir à l’Éternel.
Je suis une conscience heureuse de se laisser ouvrir… par Toi
Quelle Joie de Te Vivre ! »
Et là, ce jour-là, je me suis arrêté, près à remplir ma journée de belles prises de conscience… de Lui.