15 • Vie Idéale

Lundi 29 Avril 2024

  

Vie Idéale

  

Ma Vie Idéale, c’est celle que je suis heureux de vivre.

C’est tout simple… Si je suis heureux de vivre quelque chose, je suis en train de vivre mon Idéal.

Pour donner un petit exemple :

Je suis un homme. Si je suis heureux d’être un homme, ma Vie Idéale, c’est bien que je sois un homme. Si je n’étais pas heureux d’être un homme, je serais toujours un homme, mais je ne vivrais pas ma vie idéale.

Ma Vie Idéale, c’est donc bien d' »être heureux de ce que je vis »… Quoique je vive, si je n’étais pas heureux de le vivre, je ne vivrais plus ma vie idéale.

Je suis donc bien le seul auteur de ma Vie Idéale. Ça, c’est sûr !

C’est bien moi qui choisit, à chaque instant de vivre ,ou pas, ma Vie Idéale en étant heureux, ou pas, de vivre ce que je vis.

C’est rassurant ! C’est rassurant parce qu’il suffit que « moi » je choisisse d’être heureux de vivre ce que je vis pour vivre ma Vie Idéale.

Que « je » le choisisse ? Mais, il y a tellement de conditions qui ne dépendent pas de « moi »…

Oui, c’est vrai, l’ombre nous a beaucoup, beaucoup, « conditionnés »… Et il est nécessaire maintenant de nous « déconditionner », jusqu’au bout, pour pouvoir vivre de plus en plus notre Vie Idéale… et puis finalement que nous ne vivions « que » notre vie idéale.

Ce que je suis vraiment heureux de penser, et depuis longtemps, c’est que la Lumière, est « la seule condition » de ma vie… Elle seule doit la rester.

La Lumière ?

Oui, la Lumière, c’est le nom que je choisis à cet instant, parmi tous ses noms, pour nommer ce qui est Tout : L’Infini, l’Éternel, l’Absolu, l’Amour, la Beauté etc. Bref, ce que le plus souvent les Êtres humains ont appelé Dieu.

Mais j’hésite un peu à utiliser, là, le mot « Dieu », parce que ce mot est trop souvent chargé de tant de mémoires douloureuses qu’il en est insupportable pour l’instant pour beaucoup d’entre nous.

Mais, ce n’est pas grave ! Ce n’est par grave du tout pour moi, puisque tous les mots qui existent ne nomment que ce Tout, cette Lumière Infinie…

Par exemple, là, à cette instant, je ne sais pas pourquoi, mais le mot « cuillère » me vient à l’esprit… Mais, si tout est Tout, est-ce que le mot « cuillère » n’est pas un des noms de ce Tout ? Est-ce que la cuillère elle-même n’est pas « que » ce Tout ?

Notre Vie Idéale, c’est celle que nous sommes heureux de vivre… Si, à cet instant, nous sommes heureux de Tout, nous vivons, à cet instant, notre Vie Idéale.

Notre Vie Idéale, c’est notre Vraie Vie… C’est tout ce que nous sommes heureux de vivre.

Et qui choisit d’être heureux de ce que nous vivons… ou pas ? Quelle condition extérieure décide, à notre place, que nous soyons heureux ou pas ?

Il n’y a rien, bien sûr, en dehors de nous-même, qui pense à notre place. Et si nous observons calmement les choses, nous voyons bien que nous vivons ce que nous pensons.

Nous vivons ce que nous pensons.

Nous sommes obligés de reconnaître que nous sommes toujours heureux lorsque nous pensons ce que nous sommes les plus heureux de penser…

Et que nous sommes toujours malheureux, lorsque nous pensons une pensée que nous ne sommes pas heureux de penser.

Si nous voulons vivre, un instant, notre Vie Idéale, alors, il va bien falloir, à cet instant, oser penser ce que nous sommes les plus heureux de penser.

Et qui pense en nous ? C’est bien sûr nous-même, n’est-ce pas ?

Et là, à cet instant que nous venons de vivre, avons-nous pensé ce que nous étions les plus heureux de penser ? Ou bien, par habitude, nous sommes-nous contentés de ne penser que ce que nous n’étions pas heureux de penser…

C’est là la question la plus importante que nous invite à nous poser le jeu du BeHappy qui est la raison d’être de ce site web BeHappy8 et qui a pour but de nous entrainer à être toujours plus heureux en osant penser ce que nous sommes les plus heureux de penser.

C’est là la règle numéro 3 de ce jeu qui est une question, la question la plus importante que nous pouvons nous poser : « Est-ce que j’ai pensé là ce que j’étais le plus heureux de penser ? OUI ou NON ? »

Mais reprenons maintenant le fil de notre entretien d’aujourd’hui : notre Vie Idéale…

Tout ce que nous ne sommes pas heureux de vivre n’est pas notre « Vraie Vie »… Ce n’est pas notre Vie Idéale.

Oui, c’est cela ! Dès que je ne suis pas heureux de quelque chose, je perd conscience de la Lumière qui est Tout, la Lumière dont je suis fait (ou bien la Lumière que je suis).

Et lorsque je perd conscience de la Lumière Pure que je suis, alors là, je vis à cet instant ce que l’on appelle souvent « l’ombre », ou « le mal »…

L’ombre n’est que la Lumière, lorsque j’en perd conscience.

L’ombre, le mal, n’est que ma perte de conscience du Tout, ma perte de conscience de la Lumière Infinie, de l’Amour, de la Perfection…

Mais est-ce que cette ombre, ce mal, va avoir une fin ?

Alors, là, ce que je suis vraiment, mais vraiment, le plus heureux de répondre, c’est : « Oui ! Le mal aura une fin. Oui ! le mal aura une fin… L’ombre a eu un début et elle aura une fin ».

Seule la Lumière est Éternelle.

Qui a jamais été heureux de penser que le mal ne finirait jamais, que l’ombre serait éternelle ? Qui a été heureux de penser cela ? Personne… sur toute la terre !

Je ne dis pas que personne ne l’a pensé, bien sûr. Je dis simplement que personne n’a été « heureux » de le penser. Et là, quand je dis personne, je dis « personne ». C’est vraiment, là, ce que je suis le plus heureux de penser.

Mais alors, comment ce mal va-t-il finir ?

Pour que ce mal finisse, il suffit que nous reprenions conscience de la Lumière en Tout… Alors là, nous vivons notre Vie Idéale, notre Vie Lumière…

En Tout ! En Tout ? Mais comment ? Comment voir la Lumière dans l’ombre ? L’ombre est partout !

Non, l’ombre n’est pas partout. La Lumière, Elle, est partout. Elle est discrètement partout, Infinie, Éternelle… Et donc Omniprésente.

L’ombre, elle, elle fait beaucoup de bruit, ce qui nous fait croire qu’elle est partout, alors que, dans la Vraie Réalité, c’est à dire dans la Lumière qui est Tout, elle n’est nul part…

Mais, là, le problème pour la plupart d’entre nous, c’est que ce qui est le plus simple, c’est en même temps ce que nous avons rendu le plus compliqué pour nous !

Notre Vie Idéale, c’est ce qui est le plus simple à vivre, puisqu’il suffit pour la vivre de reconnaître la Lumière là où Elle est, c’est à dire en Tout. Cela ne peut pas être plus simple !

Mais, en même temps, nous l’avons rendu si compliqué ! Parce que l’ombre, c’est à dire le mal, depuis que nous avons cru la faire exister, c’est à dire depuis le presque début de l’humanité, l’ombre donc, nous a interdit la conscience de la Lumière… Et cela, en particulier, « dans l’ombre ».

Depuis que nous avons choisi, il y a bien longtemps, de perdre conscience de la Lumière, l’ombre, que nous avons imaginée alors, n’a jamais aimé rien du Tout, ni la Lumière, ni l’ombre… Nous avons donc une très, très forte tradition multi-millénaire qui est de combattre la Lumière… et surtout de combattre l’ombre !

Vivant dans l’illusion de la séparation, l’ombre a toujours combattu l’ombre ! Qu’elle soit en nous ou autour de nous, elle a toujours prétendu qu’il fallait combattre l’ombre en nous et autour de nous.

Finalement, les Êtres humains ont fait de l’ombre un véritable labyrinthe qui, en plus, s’est auto-labyrinthiser, sans cesse, depuis quelques centaines de millénaires…

Et alors, là, comment faire pour sortir de ce labyrinthe de l’ombre ?

Eh bien, là, il faut enfin se décider à suivre un conseil qui nous a été donné, à nouveau, il y a environ 2000 ans. Ce conseil, c’est, tout simplement : « Aimez votre ennemi ».

Notre « ennemi », c’est tout ce que nous n’avons pas aimé, tout ce dont nous n’avons pas été heureux.

Notre « ennemi », c’est tout simplement l’ombre elle-même… C’est notre perte de conscience de la Lumière Infini, notre perte de conscience du Tout Infini.

Notre « Vie Idéale », c’est d’être heureux de Tout, « y compris de l’ombre« … C’est de Tout aimer, « y compris le mal ».

Alors, ça, pour l’instant, cela a été difficile à admettre, vu notre « déformation ombreuse »…

Pour l’instant… Et pour un bon moment encore, il faut que nous apprenions, de mieux en mieux, à reconnaître la Lumière « dans » l’ombre…

Dans l’ombre ?

Oui ! « Dans » l’ombre.

Et, pour cela, il faut, sans cesse, nous aider les uns les autres à nous rappeler que Tout est Parfait… Et cela, au-delà de toutes les illusions ombreuses que nous avons accumulées au cours du temps.

« Ce Tout qui est Parfait » inclut, bien sûr, tout notre passé…

En effet, à force d’avoir « pensé », pendant si longtemps, que nous n’aimions pas l’ombre, comme elle-même nous l’a appris pendant des dizaines de millénaires, alors, nous n’avons pas aimé l’ombre en pratique.

Mais, maintenant, à force de penser, de plus en plus, que nous aimons l’ombre, nous allons finir par aimer l’ombre dans les faits et par n’y reconnaître que la Lumière Éternelle.

C’est exactement le même merveilleux mécanisme de la « Pensée », dont nous avons depuis trop longtemps mésusée pour imaginer l’ombre, que nous allons utiliser maintenant pour reconnaître simplement la Lumière en Toute Chose, y compris dans l’ombre.

Et lorsque nous aimerons totalement l’ombre et que nous n’y reconnaîtrons que la Lumière, la Lumière Seule restera dans notre conscience comme Elle a toujours existé en Tout.

Et là, nous aimerons tout notre Passé Merveilleux !

Et nous créerons à chaque instant, à partir de la Lumière en nous, notre Vie Idéale Éternelle.

  

Qu’en pensez-vous ?

  

(À suivre)

14 • Humanité, je T’Aime

Dimanche 28 Avril 2024

  

  

J’aime l’humanité… Chaque fois que je la regarde bien, droit dans les yeux de quelqu’un, des larmes de joies viennent dans mes yeux… Et ça me pique si agréablement.

J’aime l’humanité… Chaque fois que je vois ce que font les gens de complètement extraordinaire, dans tous les domaines, soit devant moi, soit grâce à l’internet… et qu’ils restent si simples, si humbles… Cela me réchauffe le coeur.

J’aime l’humanité… Telle qu’elle est ! Et elle est encore bien jeune ! À peine 150.000 à 400.000 ans, c’est bien peu pour une espèce… J’ai confiance en elle : nous arriverons à retrouver le Paradis… sur cette terre !

J’admire les gens. Ils m’étonnent toujours par la joie qu’ils me permettent de ressentir… Ils arrivent tous, finalement, à être pour moi l’occasion de ressentir plus l’Amour…

Parfois, j’ai pu hésiter à être heureux de ce qu’ils faisaient… Mais, heureusement pour moi et pour tous les Êtres, j’y arrive toujours, à la fin.

J’aime tout le monde : les gens heureux et les gens qui choisissent de ne pas vivre la joie qu’ils sont, pour l’instant… Ces derniers, les plus rares, je les aime encore plus, car ils ont plus besoin de mon aide… Et, sans une seule exception, l’aide la plus efficace que je peux toujours leur apporter, c’est d’être d’abord heureux moi-même.

Tout les Êtres méritent que je les aime… Et puis, cela me fait tant de bien… Plus j’aime, plus je suis heureux et plus je profite du merveilleux Corps que mon Âme animera encore pendant quelques années…

Mais, plus tard, je reviendrai. Je reviendrai dans un autre corps que mon Âme choisira ! Peut-être pas tout de suite… Mais je reviendrai.

Car, pour moi, vivre est si agréable… Alors, je reviendrai quand ce sera le plus utile pour tous les Êtres de cette terre. Ni plus tôt, ni plus tard.

Plus je suis heureux dans ce Corps, dans cette vie, meilleurs seront toutes mes autres vies… et aussi, celles de tous les Êtres qui existent… Car, je sais que nous sommes tous « Un ».

Le Bonheur est contagieux… Il est la manifestation de l’Amour. L’Amour est à la fois instantané et infiniment patient. L’Amour est récompensé tout de suite… et pour toujours.

Aimer, c’est le Paradis tout de suite ! Le Paradis est là, il nous attend en nous-même et dans tous les autres Êtres. Le Paradis est accessible à chacun, tout le temps… À nous, les Êtres humains de choisir, librement, d’y entrer à nouveau.

Tous les autres Êtres n’en sont jamais sortis !

Je suis si heureux de vieillir… Je n’ai jamais été aussi heureux dans cette vie que maintenant…

Actuellement, je suis encore bien loin d’être prêt à me souvenir de mes autres vies, mais je suis sûr que cette vie-ci est la meilleure de toutes mes vies passées…

J’en ai une certaine preuve dans le fait que chaque année de cette vie-ci a été meilleure que la précédente et ainsi, je suis sûr que l’avenir, proche et lointain, sera encore plus beau…

De fait, je suis en sécurité, en parfaite sécurité, dans cet instant que je vis. En effet, c’est moi seul qui décide d’être heureux, là, tout de suite… Je suis le seul à pouvoir librement le décider et là, je le décide une fois de plus : et hop ! Voilà : je suis heureux.

Un instant de Paradis tout de suite, c’est toujours ça de gagné !

Et cet instant de Paradis que je viens de vivre, je choisis de le revivre de suite. Depuis toujours, je pense toujours mieux ce que je suis le plus heureux de penser… Dans cette vie-ci, c’est mon entrainement quotidien depuis des années qui fait que j’y arrive de mieux en mieux…

Et là, à cet instant, je pense, à nouveau, pour la milliardième fois, ce que je suis le plus heureux de penser.

Je me dis souvent, et je le dis parfois à d’autres Êtres humains, que si j’avais, dans cette vie, joué du piano autant d’heures par jour que je n’en ai passé à m’entrainer à penser ce que j’étais le plus heureux de penser, je serais, certainement, un grand virtuose en piano…

Mais, je me contente, dans cette vie-ci, d’être de plus en plus heureux chaque jour… Et quand j’admire un rocher, une rose ou un chien, je me dis que j’ai du chemin à faire pour arriver à leur niveau de joie qui est sans aucune ombre.

Mais quand je regarde les Êtres humain, je suis assez fier du point où j’en suis.

En effet, je n’ai aucune raison d’être jaloux de qui que ce soit, puisque, comme chacun des Êtres humains, j’ai la possibilité d’être à chaque instant encore plus heureux… et ceci jusqu’à l’Infini.

Et je sais que c’est bien là le plus important pour moi, l’Être humain que je suis, bien sûr, mais surtout pour tous les autres Êtres… que j’aime.

13 • Folle Salade

  Vendredi 26 Avril 2024

  

Aujourd’hui, j’ai encore envie de manger une petite salade de pensées toutes folles. Des pensées que je vais être heureux de penser, pardon, heureux de consommer toute ma journée !

Bref ! Un repas bien agréable dont on a envie à tous les instants de notre journée…

Mais il faut, bien sûr, que tous les ingrédients soient bien sains… Alors je ne me procure que des aliments qui soient « joielogique »… C’est à dire des pensées qui expriment ma joie… et encore plus ma joie.

D’ailleurs, dans mon jardin, qui est autant intérieur qu’extérieur, je cultive toujours, sur une planche réservée qui finalement d’année en année occupe de plus en plus de place, des pensées qui mettent de la joie dans ma vie…

Par exemple, j’ai toujours là, qui pousse très bien, un peu de « La Vie est Belle » et aussi du « Je suis heureux »… On a toujours besoin d’un peu de ce genre de condiments dans tous les plats…

Cela donne un goût délicieux, un peu de piquant toujours nouveau, mais sans trop ! J’en utilise abondamment… Je n’ai jamais l’impression d’en utiliser trop. Je ne sais pas pour vous, mais moi, j’aime les plats riches en « beauté » et en « bonheur ».

Je peux même dire que j’aime cela de plus en plus. Alors j’en cultive toujours plus… En fait, j’en plante partout parmi les salades et les artichauts… Et même dans les bois que j’arpente régulièrement.

Et en plus cela pousse partout très facilement et à toutes les saisons. Cela enrichi aussi tous les sols par des racines très solides qui, comme celles des légumineuses, travaillent en coopération avec d’autres organismes, comme « l’union », « la coopération », « l’amour » et permettent ainsi à d’autres bons goûts de la vie de pousser un peu partout.

Un plat que je mange tous les jours, c’est « la Danse des Pensées »… Alors, c’est un mélimélo de toutes sortes de pensées que je trouve, bien sûr, dans mon jardin, mais, là aussi, dans la nature…

Il y a du « sourire », de la « joie », du « plaisir »… J’y met aussi beaucoup de « créativité ».

Rien que de préparer cette « Danse des Pensées » est déjà très nourrissant… Probablement que c’est l’odeur que ce plat dégage lorsque je coupe en menu de « l’amitié » et de « la générosité », au cours de sa préparation.

Cela semble nourrir le coeur, avant même qu’on l’ait absorbé… Je ne sais pas ! Mais en tous les cas il y a un plaisir magique à sa préparation…

Mais, je ne vous dis pas, quand vous le dégustez, vous n’avez qu’un désir, c’est que le repas dure toute la journée !

Alors finalement, coquin que je suis, je ne peux pas m’empêcher d’en consommer toute la journée… Pourquoi se priver de ce qui est le meilleur ?

Pour cela, je met en bandoulière mon sac que j’ai tissé en « merveille », je le remplie de « Danse de Pensées » et comme cela j’en ai toujours avec moi où que j’aille… Et ma main y retourne souvent, presqu’à chaque instant !

Et puis, j’en donne beaucoup ! Car les gens sont toujours attirés par son odeur qui se répand autour de moi et me demandent « Mais qu’est-ce qui sent si bon quand tu es là ? »

Alors, je leur ouvre mon petit sac de « merveilles » et là, je ne peux plus les empêcher d’y mettre la main… Et eux aussi, ils se régalent sans fin.

Heureusement que ce petit sac en merveille n’a pas de fond et que tout ce qu’il contient se multiplie sans cesse au fur et à mesure qu’on le consomme ! C’est étonnant.

Et finalement, toute la journée, je n’arrête pas de manger de ma salade de pensées… Heureusement que cela ne fait pas grossir, sinon, je serai énorme !

Mais non ! Il semble bien que plus j’en mange, plus mon corps est en bonne santé…

Et puis également, j’ai remarqué que plus j’en mange, plus je suis heureux de ce que sont les autres… C’est étonnant, là aussi, mais je suis de plus en plus heureux de ce qu’ils sont !

Finalement, je suis bien obligé de constater que plus je consomme de pensées que je suis heureux de penser, plus je suis heureux.

Je vois bien que je vis ce que je mange !

12 • Miroir et Image ?

Jeudi 25 Avril 2024

  

Le miroir reflète une certaine image de mon corps…

Je suis heureux de réfléchir un peu avec vous, aujourd’hui, de ce phénomène qui est si quotidien dans notre vie.

Il me semble qu’il est utile que nous soyons conscient que cette image que nous reflète le miroir, n’est vraiment pas « moi »… Mais vraiment pas du tout !

Or, j’ai eu l’impression fréquente que beaucoup de personnes ont oublié ce détail. Un détail qui me semble être pourtant si important… Et, trop souvent, cela a eu des conséquences douloureuses pour eux.

Il faut vraiment remettre les choses à l’endroit, c’est le cas de le dire !

D’abord, ce que je vois, lorsque je m’observe dans un miroir, ce n’est qu’un reflet de mon Corps.

Mais, je suis loin de n’être que mon Corps ! Je suis un Être… Un Être complet.

Et l’Être que je suis, c’est à dire « Moi », c’est l’unité de mon Corps, de mon Âme et de ma Pensée… Dans la réalité, je suis, à la fois, Un en Trois et Trois en Un !

Mon Être n’existe que par l’unité, l’identité, la consubstantialité de mes trois aspects : Corps, Âme, Pensée.

Et là, dans mon miroir, je ne regarde que l’aspect « Corps ». Je ne vois ni ma Pensée, ni mon Âme. Donc, je suis bien loin de voir ce que je suis en réalité… Je ne vois pas du tout la Vérité !

Mais, en plus, je ne vois que l’extérieur de mon Corps. Or, un Corps, c’est bien plus que ce que je peux en voir avec mes yeux, y compris dans un miroir. C’est évident : mon Corps est bien plus que ma peau, mes cheveux, mes poils, mes yeux que je vois dans le reflet que je regarde.

Si je suis habillé, c’est encore pire… Là, la plus grande surface de mon Corps m’est encore plus cachée… Et c’est la même chose si je me maquille. Là aussi, je cache mon Corps, un peu, plus à ma conscience.

Alors ce que je vois dans mon miroir, c’est le reflet d’un Corps le plus souvent très, très, caché !

Nous nous éloignons déjà beaucoup de la Vérité ! Au point où nous en sommes de notre réflexion, nous sommes obligés de reconnaître que le miroir ne me dit pas du tout la « Vérité » sur moi, lorsque je regarde mon reflet en lui… Mais vraiment pas du tout !

Mais, c’est loin d’être fini.

Dans un miroir, je ne vois qu’une toute petite partie de « moi », une toute petite partie de mon Corps. Ça, nous venons de le réaliser.

Mais, en plus, le peu que je vois de mon Corps, je le vois « en miroir », c’est à dire à l’envers… Dans l’image de mon Corps que j’observe, par exemple, ma main gauche est à droite et ma main droite est à gauche.

Ce n’est pas moi que j’observe, mais un « envers » de moi… Nous y sommes tellement habitués que nous n’en sommes, en général, plus conscients…

Nous croyons nous voir fidèlement et pourtant ce que l’on voit nous ment complètement : ce n’est pas « nous » que nous regardons dans le miroir !

Mais vraiment pas nous !

Nous ne voyons qu’un pâle et faux reflet de notre Être, c’est à dire de notre réalité… Et souvent, nous allons ensuite raisonner, à notre propos, sur la base de cette erreur !

Et si je fais tout un raisonnement en l’appuyant sur une erreur, il est évident que, d’une part tout mon raisonnement est faux… Mais aussi les que les conclusions que je vais finalement en tirer seront toutes fausses, évidemment.

C’est exactement, comme si j’essayais de calculer la surface de ma table carrée, alors que je me suis trompé en mesurant ses côtés : mon calcul sera faux, tout simplement.

Et pourtant, c’est ce que nous faisons, en général, en nous regardant dans un miroir : nous ne « nous » voyons pas ! Nous croyons nous y voir. Le reflet que nous y regardons n’est pas « nous ». C’est toujours un faux moi !

Et tous les raisonnements que je vais faire à partir de ce « faux moi » seront faux et je ne pourrais arriver qu’à de fausses conclusions…

Ce que je vois dans un miroir n’est jamais, mais vraiment jamais, « la » Vérité. C’est une approximation très, très, très lointaine de la vérité… C’est complètement faux.

Il ne faut surtout pas que je m’y fie pour me connaître : je suis « infiniment plus » que ce que je crois voir de moi dans un miroir.

Et, là, nous pouvons aller plus loin dans l’étude de cette erreur du miroir et de l’image.

Par exemple, quand nous regardons quelque chose, nous pensons, en général, le voir au présent. Mais ce n’est jamais le cas. Jamais !

Nous ne pouvons pas voir le présent… Jamais ! Nous ne voyons toujours que le passé.

Alors, cela est plus facile à concevoir si ce que nous regardons est loin… Prenons l’exemple du soleil que nous voyons dans le ciel. Il nous semble, en général, que nous le voyons « comme il est »… Et bien non !

 Nous ne voyons le soleil que « comme il était »… Et plus précisément, comme il était il y a environ 8 minutes.

Eh oui! La vitesse de la lumière physique est d’environ 300.000 km par seconde et la distance soleil-terre d’environ 150 millions de kilomètres… Et on peut calculer qu’il faut 8 minutes à la lumière physique pour parcourir cette distance du soleil à nos yeux.

Donc, nous ne voyons jamais le soleil au présent… Nous croyons le voir au présent, mais nous voyons toujours « le passé du soleil ».

Et plus nous regardons loin, plus nous voyons le passé…

Mais la réalité, c’est que, avec nos yeux, nous ne pouvons jamais voir que le passé.

Oui ! Nous n’avons jamais vu le présent… Jamais !

Et lorsque nous regardons notre image dans un miroir, nous ne nous voyons pas tels que nous sommes, nous nous voyons tels que nous « étions ».

Et nous pouvons décliner cette vérité absolue avec les quelques exemples de pensées qui suivent :

          Dès que nous tentons d’observer le présent, il est déjà passé !

          Nous vivons le présent, mais nous observons toujours le passé.

         Le présent, nous ne pouvons que le vivre… Nous ne pouvons pas l’observer.

         Nous observons au présent, mais ce que nous observons est déjà passé.

         Nous ne vivons qu’au présent, tout le reste, c’est du passé !

… etc… etc…

Je pense qu’un humoriste pourrait fair un beau sketch avec une telle vérité. Peut-être que j’en contacterai un pour le lui proposer.

La Vraie Vérité est toujours pleine d’humour !

(à suivre, un jour)

11 • Choisir sa Foi ?

Mercredi 24 Avril 2024

J’ai remarqué que, le plus souvent, les Êtres humains croient que « la Foi » est un don que l’on a ou que l’on a pas.

Et ils vont alors, par exemple, pouvoir dire : « Je n’ai pas la foi » ou bien « Je n’ai pas la chance d’avoir sa foi » etc.

Mais, aujourd’hui, ce que je suis le plus heureux de penser à propos de la Foi, c’est que tous les Êtres ont la Foi.

Tout ce qui existe a Foi.

La Foi, c’est la Vie.

Un exemple tout simple : les Êtres humains ont, en général, la Foi que s’ils ont la clef de la porte de leur maison, qu’ils l’introduisent dans la serrure de cette porte et la tourne, la porte va s’ouvrir.

La porte était fermée à clef ! Et ils ont eu Foi qu’elle allait s’ouvrir… Ils ont agi selon leur Foi et elle s’est ouverte. C’est un Acte de Foi…

C’est vrai que c’est une Foi très simple, très rustique qui s’exprime là, communément, chez l’Être humains… Mais, pour moi, c’est de la Foi !

Oui ! Il me plaît de penser que la Foi est un aspect essentiel, et obligatoire, de tout ce qui existe.

Évidemment, la Foi de chaque Être s’exprime différemment selon leur niveau d’évolution et leur niveau de conscience de la Lumière qu’ils sont.

Par exemple, un Être uniquement minéral, sur la terre, a une « Foi minérale », pas une « Foi humaine » !

Mais, il ne peut pas ne pas avoir sa Foi… Comme tous les Êtres, il a une Foi obligatoire qu’il va vivre et qui va lui permettre d’évoluer… 

Bien sûr, il ne peut pas prétendre la nier comme les Êtres humains le peuvent.

Cette Foi minérale, obligatoire, inaltérable, lui permettra des mouvements minéraux qui dureront des milliards d’années…

Et nous, les Êtres humains dont les corps ne vivent que bien moins de temps, nous n’avons pas pu en prendre bien connaissance, pour l’instant.

L’échelle des temps des Êtres minéraux est si longue par rapport à celle des Êtres humains, que nous n’avons pas pris conscience que par leur Foi, ils ont évolué pendant des milliard et des milliard d’années… 

Jusqu’à ce que certains minéraux, en participant au monde végétal, puis animal et finalement humain, puissent donc se mouvoir finalement aussi rapidement que les Êtres humains, puisque les Êtres humains sont constitués , essentiellement, de ces minéraux…

Quelle Foi a-t-il fallu à certains de ces minéraux pour finalement constituer un Corps humain et parvenir jusqu’aux degrés les plus élevés de la conscience humaine ?

Et un Être végétal, lui aussi, il a sa Foi, une « Foi végétale »…

C’est un Être, donc il a la Foi, comme tous les Êtres qui existent.

Lui aussi, sa Foi est obligatoire, originelle. Il ne peut pas la remettre en cause, il ne peut pas la nier, ni même la diminuer…

D’ailleurs, c’est après des milliards d’années d’évolution que la Foi minérale s’est muée en une Foi végétale qui, elle aussi, va permettre à l’Être végétal, par exemple de « croire » qu’en orientant ses feuilles dans telle ou telle direction, il pourra mieux capter la lumière du soleil et ainsi continuer son évolution.

Le Corps végétal d’un Être végétal est une évolution du Corps minéral d’un Être minéral… Et sa Foi végétale est une évolution de la Foi minérale… en lui.

Et cette Foi se perpétue chez les Êtres animaux qui ont, eux aussi, hérité finalement de la Foi de certains minéraux et de certains végétaux… Leur Foi est la continuation, l’évolution, de la Foi minérale et végétale… qu’ils contiennent en eux.

La Foi est un mouvement unique de tout l’univers, un moteur de l’évolution des consciences.

La Foi traverse les âges… participant à l’ouverture de la conscience des Êtres qu’elle habite.

Elle n’aura pas de fin, comme elle n’a pas eu de début.

Un Être animal ne peut pas nier sa foi… Il ne peut que la vivre… Elle alimente sa vie et permet son évolution.

C’est une aspiration, encore inconsciente peut-être, mais toujours plus grande, du sentiment d’Union avec Toi, la Lumière Éternelle.

La Foi permet une élévation de la conscience toujours plus grande… et cela depuis toujours et pour toujours.

Elle traverse la Vie en la tirant avec elle… Elle l’aspire, toujours plus complète, toujours plus nuancée… Mais elle ne varie pas dans sa force, depuis l’atome, depuis l’unité de Planck et certainement depuis bien avant…

La Foi de l’Être humain est finalement un empilement de Foi, un peu à la façon des poupées russes… Elle est constituée de tous les autres aspects de la Foi, dans le minéral, puis le végétal, puis l’animal et puis dans l’humain… 

L’humain, lui contient toutes ces Fois en lui.

L’Être humain a hérité de la Foi de la Vie… Et là, malgré l’invention de l’ombre, c’est à dire l’invention de freins à l’ouverture de sa conscience de la Lumière Éternelle, la Foi chez l’Être humain n’a jamais cessé de s’exprimer et de s’approfondir.

Mais alors que, jusqu’à là, elle s’affirmait de plus en plus, dans un mouvement originel, régulier et ininterrompu, là, chez l’Être humain, depuis son presque début, elle varie en fonction de l’usage qu’il fait de son Libre Arbitre.

Et chez l’Être humain, la Foi peut donc augmenter ou diminuer…

Chez lui la Foi est quasiment un autre nom de la Pensée.

L’homme pense sa Foi… Il ne la subit plus, il la choisit… en pensant.

Sa Foi est toujours plus belle lorsqu’il pense ce qu’il est le plus heureux de penser… Alors, elle augmente, elle est plus pure, plus utile à tout l’univers…

Chez les hommes les plus conscients de la Lumière, elle a pu évoluer à une vitesse devenue exponentielle… Et révéler à tous la Perfection, l’Éternité, la Vérité, la Beauté, l’Unité, de Tout…

Mais, la Foi a pu aussi être quasiment éteinte chez certains, par des pensées terribles qu’ils n’ont jamais été heureux de penser… Jamais… Et même très, très, malheureux de penser !

Mais, là, aujourd’hui, ce que ma Foi m’oblige à être le plus heureux de penser, c’est que la Foi ne peut jamais s’éteindre.

Chez ces Êtres humains si malheureux, elle est une braise sous les cendres, une braise peut être à peine rougeoyante, mais qui s’enflammera à nouveau si nous y soufflons notre Amour.

Alors, je choisis ma Foi.

  

La Foi

10 • La Solution de l’ombre

Dimanche 21 Avril 2024

  

Et hop ! Je commence ma petite séance d’entrainement de BeHappy ! Je m’entraine à écrire ce que je suis le plus heureux de penser pendant tout le temps que je suis heureux de le faire… C’est à dire jusqu’à ce que je sois, ensuite, heureux d’arrêter… Et de faire autre chose que je serai, alors, heureux de faire.

Le but de la vie de tous les Êtres, c’est d’être heureux. J’en ai bien conscience depuis de nombreuses années. En fait, j’en ai conscience depuis toujours ! Mais je le faisais moins bien, lorsque j’étais plus jeune. 

Je me suis amélioré dans mon jeu de Pensée grâce à mon entrainement régulier pendant toutes ces années… Maintenant, je suis devenu, en quelque sorte, un virtuose en bonheur ! Je suis de plus en plus heureux.

Et c’est ce qui fait que je suis si heureux de vieillir… Je n’ai jamais été si heureux. Et ceci dans tous les aspects de ma vie. Et pourtant, je vieillis, c’est sûr ! Mon Corps vieilli.

Oui, je vieilli ! Mais vieillir est une bénédiction pour moi. Pour ma compagne également que je vois toujours plus belle. 

« Nous nous amusons à vivre ! »

C’est ce que nous nous disons, l’un à l’autre, souvent… Nous vivons comme des enfants, sauf que maintenant, ces instants  sont de plus en plus merveilleux !

Quelles sont les conditions pour être heureux ?

Il n’y en a pas !

Le véritable bonheur, en tous les cas celui que nous recherchons profondément tous, est inconditionnel.

S’il y a une condition à mon bonheur, je suis en train de souffrir.

Souffrir ? Oui, ma souffrance est mon signal d’alarme qui me prévient que je dois lâcher prise et laisser la joie m’envahir encore un peu plus, c’est à dire avec encore moins de conditions… Voir, plus de condition du tout !

La joie de vivre, c’est en fait une augmentation permanente de la joie de vivre. Ce n’est pas stationnaire. Quels que soient les Êtres concernés, la joie de la vie est une ouverture permanente de la conscience à la Lumière. 

La Lumière ?

La Lumière, C’est ce que l’on a souvent appelé Dieu. 

La Lumière est Infinie, Éternelle, Absolue, Omniprésente… La Lumière est la Vérité, la Liberté, l’Amour, la Beauté… etc.

Je n’ai pas, personnellement, de problème avec le mot « Dieu », ni avec tout le nuage des mots qui l’entourent habituellement dans toutes les religions organisées…

Mais, je comprends que beaucoup de gens en aient ! Ces mots ont été trop souvent utilisés pour servir l’ombre et répandre tant de mal ! Alors pour beaucoup, ce sont devenus pratiquement des gros mots, des injures, des malédictions !

Pendant des millénaires, les mots que les Êtres les plus beaux ont inventés, puis utilisés, pour tenter de définir la Lumière, et pour La décrire, ont été ensuite si souvent utilisés « à l’envers »… Ils ont été si souvent utilisés par l’ombre, c’est à dire par le mal, pour créer et maintenir le labyrinthe de l’ombre dans lequel, trop souvent, les Êtres humains se sont, pour l’instant, perdus…

 » L’ombre, c’est simplement la perte de conscience de la Lumière… « 

 » L’ombre, c’est simplement la perte de conscience de la Lumière… « 

Simplement ?

Oui, la Lumière, c’est simple… 

L’ombre, c’est compliquée ! Et même très, très, très compliquée ! C’est pour cela que nous la décrivons souvent comme un labyrinthe dont nous ne pouvons pas sortir. 

Mais cependant, l’humanité, dans toutes ses diverses traditions, parle également toujours d’une sorte de fil d’Ariane qui, si le héros le suit, sans jamais le rompre, lui permet de sortir de ce labyrinthe de l’ombre !

Il y a toujours, dans toutes les traditions, cette mémoire que la Lumière, ce fil d’Ariane, est toujours présente « dans » l’ombre et donc dans son labyrinthe… Et c’est vrai ! C’est éternellement vrai !

Comment je sais que c’est « vrai » ? 

Tout simplement parce que c’est ce que je suis le plus heureux de croire…

Et je choisis, librement, de ne croire que ce que je suis le plus heureux de croire !

Et j’invite chacun à ne croire que ce qu’il est, « lui », le plus heureux de croire.

Et j’invite chacun à ne croire que ce que, lui, est le plus heureux de croire.

Mon but premier, c’est d’être heureux. Mais, je n’ai jamais vécu le bonheur en pensant ce que je n’étais pas heureux de penser, ou, pour le dire autrement, en croyant ce que je n’étais pas heureux de croire.

Chaque fois que j’ai cru ce que je n’étais pas heureux de croire, j’ai souffert.

Et j’ai bien vu qu’il en était exactement de même pour tous les Êtres humains que j’ai pu rencontrer. Tous, sans une seule exception !

Alors, cela fait longtemps que j’ai décidé de croire toujours plus ce que je suis le plus heureux de croire… Et je m’en porte très bien !

Je pense donc que l’ombre n’est que la perte de conscience de la Lumière…

Et que la seule solution de cette ombre c’est la reprise de conscience de la Lumière « en elle »… 

La seule solution est d’aimer notre ennemi.

J’ai foi en la Lumière Éternelle, Absolue, Omniprésente.

Qu’est-ce que le BeHappy ? Le minimum à savoir…

Lundi 23 Avril 2024

  

  Le BeHappy est un jeu de la Pensée pour tous ceux qui désirent y jouer dans  leur vie en lisant, en parlant et peut-être en écrivant.

Son but est simple : ÊTRE PLUS HEUREUX !

Ce jeu se joue soit seul, soit à deux, soit à plus.

Ici, dans ce site « BeHappy8 », vous pouvez jouer à ce jeu en lisant les articles qui s’y trouvent dans l’ordre qui vous convient et, si vous le voulez, en écoutant des enregistrement ou bien en écrivant vous même votre Joie…

Mais, dans tous les cas, lorsque ils veulent jouer au BeHappy, chaque joueur est d’accord pour respecter les 8 lois suivantes qui règlent ce jeu : 

1ère Loi :  Que je sois Heureux, c’est le plus important pour moi et pour tous les autres Êtres.

2ème Loi :  Je ne suis un Être humain Heureux que lorsque je pense ce que je suis le plus heureux de penser.

3ème Règle : Alors, la première question la plus importante que je puisse me poser est celle-ci :

« Est-ce que j’ai pensé là ce que j’étais le plus heureux de penser, OUI ou NON ? » 

4ème Règle :  Je reconnais que toute réponse, à cette question fondamentale, qui n’a pas pu être un OUI spontané est un NON. (c’est à dire : soit c’est un OUI en moins d’une seconde, sinon, je reconnais que c’est un NON)

5ème Règle :  Si c’est un NON, la deuxième question la plus importante que je puisse alors me poser est la suivante :

« Qu’est-ce que je suis le plus heureux de penser maintenant ? »

Et là, il faut que j’ose « découvrier » cette pensée…

Je vérifie la qualité de cette nouvelle pensée en me posant à nouveau la première question la plus importante (qui est la règle numéro 3).

6ème Règle : Et là, si la réponse est maintenant un OUI spontané, je pense dorénavant cette pensée que je viens de choisir aussi souvent que je suis heureux de la penser…

7ème Loi : Plus je répète cette pensée que je suis heureux de penser, plus il m’est facile de la penser.

8ème Loi : Je suis donc maintenant un Être un peu plus heureux… Ce qui est le plus important pour l’Être humain que je suis, bien sûr, mais aussi pour tous les autres Êtres.

Eh bien, notre souhait, c’est que ce site « BeHappy8 » nous aidera tous à être plus heureux en apprenant finalement à jouer de mieux en mieux au BeHappy et appliquer les découvertes que ce jeux nous permettra de faire dans tous les aspects de notre vie.

Pour cela, nous vous souhaitons de suivre, de votre mieux, ces Lois, si simples, si logiques et agréables.

Comme des questions peuvent se poser à la lecture de ces lois sur lesquels est basé le jeu de BeHappy, nous y répondons dans un autre article dont le titre, pour l’instant est :

# »Compléments d’informations sur les 8 lois ou règles sur lesquels se base le Jeu de BeHappy… »

Merci à nous tous les Êtres de notre joie, toujours plus grande…

Compléments d’informations sur les 8 Lois ou Règles sur lesquels se base le Jeu de BeHappy…

Bien sûr, chacun peut jouer au BeHappy avec bénéfice pour améliorer son bien-être en ayant seulement connaissance des 8 lois ou règles telles qu’elles sont, simplement et rapidement, édictées dans l’article précédent :

« Qu’est-ce que le BeHappy ? »

Mais certains auront peut-être plaisir à ce que ces lois ou ces règles soient un peu plus développées et commentées…

Pour ces personnes, voici certains éclairages supplémentaire sur ces 8 lois/règles sur lesquels s’appuie le jeu de BeHappy qui les intéresseront sûrement.

Ensuite, au fur et à mesure, si cela est nécessaire, nous préciserons encore ces éclairages, en fonction des éventuels réactions de certains joueurs de BeHappy exprimeront dans les commentaires qu’ils déposeront sur ce site…

Que les joueurs reconnaissent cette 1ère loi comme la leur est la condition prioritaire pour jouer à ce jeu de pensée.

En effet, après me l’être posé à moi-même, j’ai posé à des milliers de gens, dans le cadre de mon métier et dans ma vie privée, et ceci pendant des années, la question suivante :

« Qu’est-ce qui est le plus important pour vous dans la vie ? »

Et là, soit de suite, soit après une courte mise au point de vocabulaire et de signification, tout le monde, sans une seule exception, m’a répondu :

« Que je sois heureux ! »

100% de personnes, sur des milliers de personnes qui donnent, précisément, cette réponse, nous pouvons considérer que l’on est là en face d’une loi, une loi robuste, une loi scientifique  !

Cette loi, qui est devenue une règle du jeu du BeHappy, nous pouvons l’exprimer de la façon suivante :

« Ce qui est le plus important pour tout les Êtres, sans exception, c’est qu’ils soient heureux »

Et ceci n’a rien à voir avec une opinion. Non ! C’est une loi dont chacun peut prendre connaissance tous les jours un peu plus.

Et donc, le 1er préalable au jeu de BeHappy, c’est que les joueurs reconnaissent cette 1ère loi, comme la leur, eux qui sont des Êtres humains… Mais également que cette loi est celle de tous les autres Êtres.

Et, c’est ce qu’ils font tous, facilement, à 100% !

Donc, cette loi de la Vie, si évidente et si simple, est devenue la 1ère règle du jeu de BeHappy.

Comme je viens de le dire plus haut, parfois, il a pu être nécessaire de préciser un point ou un autre…

À la question : « Qu’est-ce qui est le plus important pour vous dans la vie ? », certains ont pu, par exemple, dans un premier temps, répondre :

« Ce qui est le plus important pour moi, c’est que mon enfant (… ou ma mère, ou mon père, ou mon compagnon, ou ma compagne… ou mon chien, ou l’humanité) soit heureux. »

Alors, on a pu, s’ils citaient leur enfant, leur poser, par exemple, la question :

« Est-ce que votre enfant a plus de chance d’être heureux, si vous vous êtes heureux(se) ou si vous vous êtes malheureux(se) ? »

Et là, sans exception, toutes ces personnes ont toujours répondu :

« Si je suis heureux(se), bien sûr !

Alors, nous avons pu leur dire : « 

« Que vous soyez heureux, c’est donc bien le plus important pour vous, mais aussi pour votre enfant ? »

Et là, tous, sans exception également, ont répondu :

« Oui, c’est vrai. »

Et là, une fois cette 1ère loi reconnue, nous avons pu commencer à présenter la 2ème lois du BeHappy en toute sécurité…

En effet, nous ne pouvons pas jouer au BeHappy de façon agréable et bénéfique avec quelqu’un qui ne reconnaîtrait pas comme sienne cette 1ère loi, qui est la règle fondamentale de ce jeu… Elle est en effet le fondement de toutes les autres lois qui sont en fait les règles de ce jeu simple et bienfaisant.

En effet, en entendant l’énoncé de cette 1ère loi ou règle du jeu de BeHappy, d’autres ont pu réagir en posant la question suivante :

« Qu’est-ce que le bonheur ? »

Et là, nous sommes bien obligés de leur répondre :

« Personne ne peut définir votre bonheur à votre place…

Le bonheur est une Intimité Absolue…

Et en plus, sa forme change à chaque instant !

Mais, à chaque instant, vous-même, l’Être conscient que vous êtes, vous savez exactement ce que vous, vous êtes le plus heureux de penser, de dire ou de faire !

Et pour jouer au jeu de BeHappy, c’est tout ce qui vous est nécessaire. »

Et les personnes sont toujours satisfaites de cette réponse qui respecte totalement leur personnalité et elles acceptnt alors d’adhérer à cette 1ère loi qui est donc une règle du BeHappy qu’il faut absolument respecter pour pouvoir jouer à ce jeu de façon agréable et productive.

En effet, il faut remarquer que « jamais » une seule personne sur les milliers à qui nous avons pu poser la question « Qu’est-ce qui est le plus important pour vous dans la vie ? » n’a répondu :

« Moi, ce qui est le plus important dans ma vie, c’est que je souffre un maximum ! »

Ou quelque chose d’approchant… Vraiment personne !

Aucun Être, qu’il soit minéral, végétal, animal ou bien sûr humain, n’a pour but essentiel dans son existence de souffrir !

Ce qui ne veut pas dire qu’aucun Être ne souffre… Bien au contraire, les Êtres peuvent souffrir et parmi eux ce sont les Êtres humains qui semblent souffrrir le plus, et cela vraiment beaucoup plus souvent que nécessaire pour pouvoir vivre une vie épanouie.

Vous avez dû remarquer que cette Loi disait :

Prenons conscience que, sur cette terre, il y a au moins 4 types d’Êtres assez bien caractérisés par la science actuelle : il y a les Êtres minéraux, les Êtres végétaux, les Êtres animaux et les Êtres humains…

Bien sûr que le fait que je sois heureux est le plus important pour les autres Êtres humains… Mais c’est aussi le plus important pour tous les autres Êtres qui constituent également notre terre.

Plus je suis heureux, plus je participe à l’harmonie de la vie sur terre.

Il n’y a de véritable écologie qu’heureuse !

L’adhésion à cette 2ème loi, ou règle, du Jeu de BeHappy, comme l’adhésion à la 1ère, est un préalable absolu pour pouvoir aborder les 6 autres lois, qui sont en fait les règles de ce jeu, avant de jouer une bonne partie bienfaisante, seul ou avec un ou plusieurs partenaires.

En effet, comment être heureux au moment où nous pensons ce que nous ne sommes pas heureux de penser ?

Je n’y suis jamais arrivé moi-même… Et je n’ai jamais pu observer quelqu’un qui y soit arrivé.

En effet, qui a été heureux alors qu’il pensait « Ma vie n’est qu’un échec » ?

Qui a été heureux en pensant « Il n’y a que de l’injustice dans le monde » ?

Qui a été heureux alors qu’il pensait que « Les Êtres humains sont fondamentalement mauvais » ?

Qui a été heureux en répétant « Je ne serai jamais heureux » ?

Qui a été heureux en pensant « Mon voisin n’est qu’un imbécile » ?

Etc… Etc…

Bref ! Qui a été heureux en pensant ce qu’il n’était pas heureux de penser ?

Personne… Vraiment personne !

Sans une seule exception, chaque fois que nous avons pensé ce que nous n’étions pas heureux de penser, nous n’avons pas été heureux de vivre ce que nous étions en train de vivre.

Et ce n’est pas que ce que nous avons vécu était « mauvais »… C’est simplement que nous, nous n’avons pas été heureux de le vivre, et ceci, toujours, en pensant ce que nous n’étions pas heureux de penser.

Nous n’avons donc pas « choisi » d’être heureux de le vivre.

Pour être plus précis, nous n’avons pas osé choisir de penser ce que nous étions le plus heureux de penser pour pouvoir enfin vivre ce que nous étions le plus heureux de vivre.

Nous vivons la souffrance que nous pensons…

Mais, nous pouvons vivre le bonheur que nous pensons…

Et c’est bien le but de ce jeu du BeHappy que d’être de plus en plus heureux de vivre en apprenant à penser ce que nous sommes de plus en plus heureux de penser.

Par contre, bien sûr, nous avons toujours été heureux de vivre un instant alors que nous pensions ce que nous étions le plus heureux de penser à ce même instant.

Ainsi, celui qui est un homme et qui pense : « Je suis heureux d’être un homme »… Eh bien, à cet instant, il vit la vie d’un homme heureux.

Celui qui pense « J’aime conduire », au même instant, il vit la joie de conduire sa voiture.

Celui qui pense « Je suis heureux de vivre » connaît tout de suite le bonheur de vivre sa vie.

Celui qui pense « J’aime l’humanité » fait, pendant cet instant merveilleux, l’expérience de vivre au sein d’une humanité qu’il aime.

Etc…

C’est ce à quoi nous invite ce site BeHappy8 : penser ce que nous sommes les plus heureux de penser pour vivre ce que nous sommes les plus heureux de vivre…

Apprendre à jouer à vivre.

Apprendre à jouer à vivre heureux.

Actuellement, beaucoup de personnes qui entendent cette lois la reconnaissent comme vraie pour eux.

Mais, cependant, certains vont réagir, momentanément, différemment… Et ils vont peut-être exprimer une des pensées suivantes :

« On ne peut pas penser ce que l’on veut.

« Il ne suffit pas que je pense ce que je suis heureux de penser pour être heureux ! »

« Mais, je ne peux pas penser ce qui n’est pas vrai ! »

« Je n’ai pas le droit de penser ce qui n’est pas réel ! »

« Mais je ne peux pas penser ce que je ne « sens » pas ! »

« Je ne suis pas libre de penser n’importe quoi ! »

« Je ne choisis pas ce que je vis ! »

« Je n’ai pas de chance ! »

« C’est génétique, je n’y peux rien ! »

Etc… etc…

Bien sûr, ces personnes ne sont jamais heureuses de penser ce type de pensées… Jamais !

Mais elles n’en sont pas conscientes…

En effet, ces personnes n’ont pas encore conscience que les arguments qu’ils ont l’habitude d’utiliser pour exprimer leur désaccord avec cette 2ème loi du jeu de BeHappy ne sont que des pensées qu’ils ne sont pas heureux de penser !

Ils n’en sont pas conscients parce qu’il ne se sont « jamais » posé la question la plus importante qu’il peuvent se poser et qui constitue la 3ème loi qui est en fait la 3ème règle du jeu de BeHappy que nous allons aborder tout à l’heure.

Bien sûr, elles se sont posé beaucoup d’autres questions, mais pas « cette » question !

Et ceci, tout simplement, parce que toutes les autorités, sans aucune exception, auxquelles elles ont accepté d’obéir depuis des vies et des vies le leurs ont « toujours » interdit.

En effet, aucune autorité, quelle qu’elle soit, ne permet aux autres Êtres humains de se poser « cette » question !

Une autorité ne se permet même pas à elle-même de se la poser…

En effet se poser cette question, c’est le début de la disparition de toute autorité malfaisante sur soi-même ou sur les autres.

Pourquoi ? Parce que cette question permet à la personne qui se la pose de retrouver l’usage naturel de son libre arbitre originel.

Ce « libre arbitre« , c’est cette capacité que nous avons, nous les Êtres humains, de choisir ce que nous vivons, en choisissant ce que nous pensons à partir de notre Âme plutôt qu’à partir de nos mémoires.

Pour le traduire autrement peut-être, on peut dire que le « libre arbitre est la libre conscience que nous avons de choisir de penser ce que nous pensons…

En effet, librement, nous pouvons soit penser ce que nous sommes le plus heureux de penser, soit penser ce que nous ne sommes pas heureux de penser.

Et personne ne peut le faire à notre place.

Mais voyons donc maintenant, plus en détail, cette question qui est la 3ème loi ou règle du jeu de BaHappy.

Nous pouvons nous poser des milliards de questions…

Par exemple, nous avons pu nous poser des questions, comme :

« Est-ce que ce que j’ai pensé est juste ? »

« Est-ce que ce que j’ai pensé est scientifique ? »

« Est-ce que ce que j’ai pensé peut être accepté par les autres ? »

« Est-ce que ce que j’ai pensé est raisonnable ? »

« Est-ce que ce que j’ai pensé respecte ma religion ? »

« Est-ce que ce que j’ai pensé est mieux que ce que les autres pensent ?

Etc… Etc…

Et, bien sûr, certaines de ces question peuvent avoir eu, à un moment donné une certaine importance dans notre vie… Et en auront encore, peut-être, dans notre vie.

Mais cependant, si notre but le plus important dans cette vie, c’est bien d’être heureux, alors il n’y a aucun doute : aucune question, n’est plus importante que celle-ci :

« Est-ce que j’ai pensé là ce que j’étais le plus heureux ou la plus heureuse de penser, OUI ou NON ? »

Comme vous avez pu le remarquer, cette question est posée au passé.

La raison en est simple : nous vivons au présent, mais nous observons toujours notre passé !

Donc, en pratique, lorsque nous nous posons cette question, nous nous questionnons à cet instant sur notre passé.

Ce passé que nous apprécions à cet instant peut être immédiat ou lointain, mais ce ne peut être que notre passé… Et, simplement, nous le reconnaissons en utilisant un temps de conjugaison du passé.

Un des avantages de ceci est que nous libérons le présent du passé. À cet instant présent, en nous posons cette question au passé, nous nous reconnaissons libre du passé que nous évoquons.

Dans notre vie, lorsque nous nous posons une question importante, nous avons toujours besoin que cette question soit claire.

Mais lorsque, comme ici, nous nous posons la question la plus importante que nous puissions nous poser, alors là nous avons besoin de l’exprimer « parfaitement clairement« .

Posée comme elle l’est ici la question la plus importante que nous puissions nous poser est parfaitement claire.

La question ne peut pas être plus claire…

Et nous allons encore préciser cette clarté avec la 4ème loi ou règle du jeu de BeHappy qui suit…

Il nous faut une réponse absolument claire.

En effet, la réponse à cette question la plus importante que nous puissions nous poser doit, bien sûr, être également parfaitement claire.

Et là, c’est la réponse la plus simple et la plus claire que l’on puisse donner : c’est soit « OUI« , soit « NON » !

C’et tout ! Aucune autre réponse n’est acceptable.

Dans le jeu du BeHappy, le simple fait d’hésiter une seconde avant de répondre un « OUI SINCÈRE » à cette question, la question la plus importante que nous puissions nous poser, doit être obligatoirement reconnue comme un « NON ».

Ceci est obligatoire, si notre but est d’être heureux… Et c’est notre but le plus important !

Donc, tous les « OUI MAIS… » sont des « NON »… Les « Je ne sais pas » sont des « NON »… Un silence, c’est « NON », etc…

Bref, si ce n’est pas un « OUI », simple, en moins d’une seconde, c’est un « NON ».

C’est là une des clefs fondamentales de l’efficacité du jeu de pensée qu’est le BeHappy !

Si nous ne respectons pas cette 4ème loi, nous ne sommes pas en train de jouer au BeHappy dont le but premier est de retrouver, toujours mieux, notre Joie Originelle… Nous faisons autre chose, ce qui est notre liberté bien sûr !

Mais, comme l’exprime la 2ème règle de ce jeu, nous ne pouvons être des Êtres humains heureux que lorsque nous pensons ce que nous sommes les plus heureux de penser.

Il n’y a pas d’autres possibilités… Il n’y en a vraiment pas ! D’où la rigueur de cette exigence d’un « OUI » simple et vrai… en moins d’une seconde !

En fait, là, nous ne faisons que verbaliser et préciser quelque chose que nous vivons naturellement depuis toujours dans nos vies…

Chaque fois que nous posons une question très importante à quelqu’un, nous attendons une réponse totalement claire.

Par exemple, imaginons qu’un homme pose à sa femme la question, très importante pour lui et pour elle : « Est-ce que tu m’aimes ? » …

Si celle-ci ne répond pas, immédiatement, par un « OUI » franc, ils savent tous les deux que c’est « NON »… Ils ont un problème de relation !

Si elle répondait : « Écoute, je vais réfléchir »… Ils sauraient tous les deux que c’est « NON »… Et pour l’instant en tous les cas, ils ont un problème !

Évidemment, cette exigence d’un « OUI » spontané comme réponse n’est valable que pour une question très importante pour nous.

Si ce même homme demande à sa femme une question comme « Est-ce que tu veux que je te fasse un café » et qu’elle ne réponde ni « OUI », ni « NON », mais qu’elle réponde « Je verrai tout à l’heure, là je suis occupée »… Leur couple ne vit pas là un problème.

En effet cette question n’est pas importante, alors la réponse est sans importance… Elle n’a pas besoin d’être précise.

Mais dans le jeu du BeHappy, la question est fondamentale et la réponse doit être totalement claire : soit c’est un « OUI » absolu, soit c’est un « NON ».

Et d’ailleurs, si c’est un « NON », ce n’est pas la fin du monde…

Mais c’est probablement la fin d’un monde… Et c’est l’invitation à vivre un autre monde… Un monde meilleur ! Un monde dans lequel nous sommes plus heureux…

Et c’est ce à quoi va nous inviter la 5ème Loi que voici :

Le but, ici, n’est pas de penser telle ou telle pensée, mais bien plus simplement de penser la pensée que, nous, nous sommes, vraiment, le plus heureux de penser à cet instant.

Ce peut être sur le même sujet ou sur un tout autre sujet…

En effet, la fuite est permise. Si, pour l’instant, cela est plus confortable pour nous, nous pouvons éviter le sujet à propos duquel nous avons posé la question la plus importante que nous puissions nous poser sans pouvoir répondre « OUI »…

Notre but, en BeHappy, n’est pas de penser obligatoirement une autre pensée sur le même sujet que nous avons questionné et dont nous avons pris conscience que nous n’étions pas heureux de la penser.

Non ! Notre but le plus important est d’être heureux… Et pour cela il nous faut penser ce que nous sommes le plus heureux de penser, nous, à cet instant… « librement » !

En effet, peut-être que pour l’instant, nous ne sommes simplement pas capable de penser une pensée que nous sommes heureux de penser sur le même sujet que nous avons questionné ?

C’est parfait ! Nous allons, alors, choisir aussi simplement de penser une pensée que, nous, nous sommes capable, à cet instant d’être heureux de penser… C’est tout !

N’oublions pas : « Que nous soyons heureux, nous, c’est le plus important pour nous et pour tous les autres Êtres ».

Dans le jeu du BeHappy, il n’y a, absolument, aucune règle disant que nous devons, obligatoirement, penser telle ou telle type de pensées.

Non ! La 5ème règle du jeu que nous étudions maintenant est très précise : « Qu’est-ce que je suis, moi, le plus heureux de penser maintenant ? »

Il y a une infinité de pensées que nous pouvons être heureux de penser… Une infinité !

Mais, à cet instant, il y en a une qui est celle que nous choisissons librement : c’est celle que nous sommes le plus heureux de penser… à cet instant.

Là, il suffit de la choisir à cet instant, et d’oser la penser, la dire, peut-être l’écrire…

Cette pensée qui est celle que nous sommes, à cet instant, le plus heureux ou la plus heureuse de penser, est complètement « arbitraire!

Et ceci n’est pas exceptionnel, puisque toutes les pensées que nous pensons sont toutes arbitraires, que nous en soyons conscients ou pas.

En effet, une pensée humaine est nécessairement « arbitraire ». Que nous le reconnaissions ou pas n’y change rien. Cela est aussi inévitable que le fait de respirer pour vivre…

Que cette pensée soit exprimée par les mêmes mots que la précédente, mais disposés différemment, qu’elle soit sur le même sujet, ou qu’elle soit sur un tout autre sujet, cela n’a aucune importance…

Que cette pensée soit sérieuse ou pas, qu’elle soit très intelligente ou naïve, qu’elle soit simple ou compliquée, qu’elle soit considéré comme « positive » ou « négative »… Tout cela et bien d’autres choses n’ont absolument aucune importance pour jouer au BeHappy…

Que ce soit nous qui la découvrions ou que ce soit quelqu’un qui nous la souffle, ou que nous citions un auteur : cela n’a aucune importance également…

Mais par contre la seule chose qui importe totalement lorsque nous jouons au BeHappy : c’est que cette pensée soit celle que, nous, nous sommes, complètement arbitrairement, le plus heureux de penser à cet instant… C’est tout !

En effet si, pour l’instant, nous évitons systématiquement un sujet que nous n’aimons pas, ce n’est pas grave du tout : ce n’est que partie remise !

En effet, il n’y a pas de soucis, tant que nous ne serons pas heureux de penser quelque chose, cette pensée, et sa manifestation, reviendra à notre conscience pour que nous puissions essayer à nouveau d’en être heureux et cela jusqu’à ce que nous y arrivions.

C’est ce que tente d’exprimer la pensée suivante : « Nous sommes libres de tout ce que nous aimons, mais nous sommes liés, par l’Amour inconditionnel, à tout ce que nous avons prétendu ne pas aimer. »

La Réalité est que nous avons l’Éternité pour ouvrir, toujours plus, notre conscience à la Joie Éternelle.

Nous ne sommes en rien obligés de réussir à aimer quoi que ce soit tout de suite, à être heureux de quelque chose tout de suite…

Si nous n’y arrivons pas là, à cet instant, ce n’est pas du tout grave !

En effet, cela n’est en rien un problème : ce que nous n’aimons pas reviendra patiemment à notre conscience jusqu’à ce que nous l’aimions, c’est à dire jusqu’à ce que nous en soyons heureux.

La route la plus courte pour arriver à être heureux, c’est celle que nous sommes les plus heureux de prendre « tout de suite ».

Donc, le seul critère pour choisir ma pensée suivante, c’est que nous puissions répondre un « OUI » en moins d’une seconde à la question :

« Est-ce que j’ai pensé là la pensée que j’étais le plus heureux ou la plus heureuse de penser, OUI ou NON ? »

Un point, c’est tout !

En effet, la répétition est la clef de l’évolution, et ceci depuis toujours…

Mais ceci est encore plus évident pour nous les Êtres humains… Il est bien évident que chaque Être humains que nous sommes a tout appris en répétant…

Nous avons appris à marcher en répétant environ 2000 fois nos tentatives de marcher jusqu’à y arriver.

Nous avons appris les tables de multiplication en les répétant jusqu’à les savoir.

Cherchez ce que vous avez appris sans le répéter ! Vous ne trouverez tout simplement « rien »…

Et, bien sûr, nous apprendrons tout ce que nous voulons apprendre en répétant !

Tous, autant que nous sommes, avons appris à penser comme nous pensons en répétant ces pensées…

Soit nous l’avons répété volontairement nous-même pour l’apprendre, soit, très souvent, d’autres personnes nous l’ont répété pour que nous l’apprenions.

Car entendre et écouter, c’est penser !

Et écouter beaucoup, c’est penser beaucoup…

Donc, d’un côté, nous avons trop souvent appris à penser ce que nous n’étions pas heureux de penser en le répétant beaucoup nous-même ou en nous le faisant beaucoup répéter par d’autres.

D’un autre côté, nous apprendrons toujours à penser ce que nous sommes les plus heureux de penser en le répétant également beaucoup

C’est que plus nous sommes heureux de répéter, plus nous apprenons vite !

Et c’est, également, que nous n’avons, en général, aucun plaisir à apprendre par la répétition ce que nous ne sommes pas heureux de penser…

Et en effet, nous avons tous fait l’expérience que nous apprenions beaucoup plus facilement et rapidement ce qui nous plaisait d’apprendre que ce qui ne nous plaisait pas d’apprendre.

Et nos éducateurs ont toujours eu beaucoup de difficultés à nous faire répéter ce que nous n’étions pas, nous-même, heureux d’apprendre…

Cela a été une grande source de souffrances, autant pour les éducateurs qui ont essayé de forcer les élèves à apprendre ce qu’ils n’étaient pas heureux d’apprendre que pour les élèves qui résistaient, tout à fait naturellement, de toutes leurs forces à apprendre ce qu’ils n’étaient pas heureux d’apprendre.

« Chassez le naturel, il revient au gallop »

Il y a la propagande d’origine extérieure par les mémoires personnelles ou sociales et il y a l’autopropagande heureuse ou malheureuse.

La propagande malheureuse qui arrive à devenir un autopropagande malheureuse demandera toujours beaucoup de répétition pour rester active.

À poursuivre… dès que je le peux !

Âme ou mémoire ?

9 • La Joie de l’Échec

Vendredi 19 Avril 2024

La Joie de l’Échec

« Le plus court chemin pour aller vers Dieu, c’est de partir de Dieu. »

Nous avons eu beaucoup de joie à découvrir ensemble cette pensée qui nous est venue à l’esprit il y a 2 jours, alors que nous jouions au BeHappy, au téléphone, avec un ami.

Quel enrichissement de pouvoir échanger quelques pensées avec quelqu’un dans le cadre d’une partie de BeHappy… C’est ainsi que nous avons pu enrichir mutuellement notre conscience de belles pensées.

Voici quelques extraits de notre échange dans lequel, d’abord, nous avons choisi de tutoyer la Lumière Infinie dans ces quelques pensées :

Tu es Tout.

Si Tu es Tout, Tu ne peux donner que Tout.

Tout ce qui peut être donné, c’est Toi… C’est Toi-même.

Si Tu es Tout, qui peut donner autre chose que Toi ?

Et donc, qui peut donner plus ou moins qu’il ne reçoit ?

Tu es le seul Don que nous offrons et recevons à chaque instant.

La relation entre deux Êtres, quels qu’ils soient, ne peut être qu’un échange de Toi contre Toi.

Le seul fait d’exister est le Don que tous les Êtres s’offrent à eux-même et offrent à tous les autres Êtres dans tout l’ univers.

Il n’y a « Absolument » aucune hiérarchie de valeur entre la vie de deux Êtres.

Un Être, qu’il soit minéral, végétal, animal ou humain, n’est fait que de Toi… Il ne peut offrir que Toi aux autres Êtres… Et il ne peut en recevoir que Toi !

Comment cela peut-il être autrement, si Tu Es Tout ?

Quel régal de s’amuser à penser ce que nous sommes les plus heureux de penser ! 

Lorsque nous le faisons, l’égalité de la valeur de chaque Être apparaît alors rapidement évidente à notre conscience.

Et si nous persistons à penser à partir de l’Âme que nous sommes, cette égalité se concrétisera dans les faits… dans les Corps.

Mais, il faudra un certain temps de cette pratique pour que l’égalité de chacun des Êtres avec chacun des autres Êtres se manifeste dans les faits.

Mais, le penser, c’est le début de cette réalisation merveilleuse… qui est inévitable !

Par exemple, cela nous est, pour l’instant, un peu difficile de « pratiquer » la justice… Mais nous pouvons la « penser » avec joie… Et tout ce que l’homme a osé être heureux de penser, suffisamment, s’est toujours manifesté un jour.

Ce que l’on appelle un progrès s’est toujours « manifesté » après avoir été pensé dans la joie par quelqu’un d’abord, puis par plusieurs… et finalement par tous… Et cela s’est, le plus souvent, étalé sur des siècles !

Cela s’est toujours passé comme ça… Et cela se passera toujours comme cela ! C’est là un des aspects de la Loi du Libre Arbitre.

Malgré nos hésitations millénaires, et nos retour en arrières si fréquents, un jour nous retrouverons la conscience et le vécu du Paradis…

Ce Paradis terrestre, c’est cet état réel où tous les Êtres humains, sans une seule exception, retrouveront leur « bon sens »… Ton Sens.

Des études ont montré qu’un enfant humain, en moyenne, arrivait à se tenir, pour la première fois, debout après environ 2000 échecs. Imaginons qu’arrivé à la 1999ème tentative, il se mette à croire qu’il n’y arrivera jamais et que, dorénavant, il cesse d’essayer sans réussir… C’est à dire qu’il ne sera, dorénavant, plus heureux d’échouer une fois de plus.

Cette enfant n’aimerait plus l’échec autant que la réussite. Il se dirait : « Je n’essaierai à nouveau de marcher qu’après avoir réussi sans échouer »… Eh bien, s’il pensait cela, il ne marcherait jamais !

Comment réussir quelque chose, si nous cessons d’être heureux d’échouer à le réaliser ?

La joie de vivre est la condition, sine qua non, du progrès. Le moteur du progrès a toujours été la joie, « Ta Joie ».

La Joie, c’est l’ouverture de la conscience… Et « C’est la conscience qui fait toute la différence » !

Par exemple : « Liberté, Égalité, Fraternité » … Magnifique devise ! 

Il nous faut beaucoup, beaucoup, la penser pour la réaliser… Il faut que nous soyons de plus en plus heureux de la penser… Et plus nous échouons à la réaliser, plus il faut la penser encore plus fort, encore plus profondément, avec encore plus de joie… Encore plus de conscience de Ta Joie.

Si un enfant échoue environ 2000 fois avant de réussir à marcher, pourquoi l’humanité n’échouerait-elle pas 2000 siècles avant de réussir à vivre, à nouveau, Ta Liberté, Ton Égalité, Ta Fraternité ? 

La joie de l’échec, c’est la clef de la réussite… C’est Ta Loi.

Si Tu Es Tout, Tu Es l’Échec autant que la Réussite.

Soyons donc de plus en plus heureux d’échouer… Continuons à apprendre à penser ce que nous sommes les plus heureux de penser… Jusqu’à réussir à voir les faits le manifester.

 

Souvenons-nous des 8 règles du jeu de ce site BeHappy8 que nous venons simplement de respecter ci-dessus. Revoyons ensemble les règles du BeHappy…

Si nous les respectons, nous serons tout simplement plus heureux :

1 • Que je sois Heureux, c’est le plus important pour moi et pour tous les autres Êtres.

2 • Je ne suis un Être humain Heureux que lorsque je pense ce que je suis le plus heureux de penser.

3 • Alors, la première question la plus importante que je puisse me poser est celle-ci : « Est-ce que j’ai pensé là ce que j’étais le plus heureux de penser, OUI ou NON ? » 

4 • Toute réponse, à cette question fondamentale, qui n’a pas pu être un OUI spontané est un NON. (c’est à dire, soit c’est un OUI en moins d’une seconde, sinon, c’est un NON)

5 • Si c’est un NON, la deuxième question la plus importante que je puisse me poser est la suivante : « Qu’est-ce que je suis le plus heureux de penser maintenant ? » Et là, j’ose inventer cette pensée… Je vérifie la qualité de cette nouvelle pensée en me posant à nouveau la première question la plus importante (règle 3).

6 • Et là, si la réponse est maintenant un OUI spontané, je pense dorénavant cette pensée que je viens de choisir aussi souvent que je suis heureux de la répéter…

7 • Plus je répète cette pensée que je suis heureux de penser, plus il m’est facile de la penser.

8 • Eh bien, je suis donc maintenant un Être un peu plus heureux… Ce qui est le plus important pour l’Être humain que je suis, bien sûr, mais aussi pour tous les autres Êtres.

8 • Dormir…

Mercredi 17 Avril 2014

Quelles sont les pensées que j’ai observées en moi, pour l’instant, lorsque je dors peu, en tous les cas moins qu’à mon habitude…

Mon habitude et même toutes mes habitudes, résultent de pensées que j’ai l’habitude de penser… Et souvent la société m’a encouragé et m’encourage encore, tous les jours à les penser :

Par exemple : « On ne peut pas vivre sans dormir »… « Et on ne peut pas vivre bien sans dormir tant d’heures » … « On ne peut pas vivre sans manger »… Et « on ne peut pas vivre bien sans manger comme ceci ou comme cela et en telle ou telle quantité » …

J’ai moi-même reçu de telles informations… Et je les ai moi-même enseignées à mes patients… Mais pourtant, notre ami Spinoza, pour lequel j’ai tant de respect, nous dit : « Nul ne sait ce que peut le corps. »

Et c’est vrai que, sans cesse, nous découvrons que le corps peut faire des choses que nous pensions impossible auparavant.

Sans cesse, se manifestent des personnes qui font des choses, avec leur corps ou avec leur mental, qui n’ont jamais été faites, soit par peu de monde, soit même par personne…

Alors ?