Les 8 Entretiens (3ème partie du 1er Entretien)

Deux petits artisans de la Lumière parmi tant d’autres, petit (■) et petit (●), communiquent sur bien des sujets qui n’ont peut-être pas tant d’importances…

Nous sommes toujours au début de l’Infini

C’est là un concept que je n’avais jamais envisagé ! C’est comme si, d’un coup, je devais tout recommencer à zéro ! Enfin…

Quelque part oui… mais en même temps, non !

… Je veux dire, dans la compréhension des choses, si tu veux… C’est comme si tout devait être repris depuis le début… Enfin, c’est comme si c’était une remise à zéro !

Oui ! Mais, dans un fonctionnement sain, chaque instant doit être une remise à zéro ! 

En réalité, à chaque instant, nous devons repartir à zéro, c’est-à-dire repartir de l’Âme, sans mémoire autre que celle de la Lumière qu’Elle est en nous !

C’est fou ça ! Parce que déjà, l’injustice, est quelque chose que je n’ai jamais aimé…

Mais se sentir « liée » à quelque chose que je n’aime pas « par l’Amour » … ?!   Alors là !…

Oui ! Par l’Amour Absolu, par l’Amour Vrai… Par l’Amour de la Lumière Éternelle !

● 

Et du coup, c’est comme si… Eh bien ! Du coup, déjà tu « mets » la Lumière dans ce que tu n’as pas aimé !

  

« C’est la conscience qui fait toute la différence »

Tu ne « mets » pas la Lumière… mais simplement tu la « reconnais » … Tu en reprends conscience là où tu l’avais niée… là où tu en avais perdu la conscience… C’est tout !

Nous avons le choix entre seulement deux attitudes : « Aimer » ou « ne pas aimer », c’est à dire soit « Aimer en toute conscience », soit « prétendre que l’on n’aime pas » !

Il faut que nous nous entraidions à prendre conscience de cela… Parce que nous avons tellement été programmés à l’envers ! Nous avons tellement été programmés à prétendre ne pas aimer tellement de choses ! 

Nous avons tellement été « propagandés », par l’ombre, à ne pas aimer l’ombre, que jusqu’à là nous avions pensé depuis bien longtemps : « Mais, non ! Nous n’allons pas aimer l’injustice, nous n’allons pas aimer le mal ! Nous allons les combattre ! »

Mais comment solutionnerons-nous un tel problème ? 

S’il y a de l’ombre, en nous ou chez l’autre, et que, face à cet ombre, nous, nous rajoutons encore une perte de conscience supplémentaire de la Lumière (donc de l’ombre en plus) cela ne va jamais nous donner plus de conscience de la Lumière !

Non, non ! Ça, ça parait logique ! Ça, je l’avais compris… Mais alors, comment trouver le mécanisme pour augmenter cette conscience de la Lumière… pour changer « ça » ?

Justement ! Ce qu’il faut abandonner, c’est l’idée-même de « changer quelque chose » ! Il n’y a pas de changement nécessaire !

Nous n’avons rien à changer ! Nous avons juste à ouvrir, toujours plus, notre conscience à la Lumière ! 

Tout ce que nous avons pu prétendre changer, c’était la Lumière Infinie et Éternelle qui Seule Existe…

Mais, peut-on changer Dieu ? … Non !

Et nous, encouragés par la propagande de l’ombre, l’idée que nous avions, c’était qu’il fallait « changer » la chose ! Il fallait travailler, il fallait prendre le fait et le tordre pour le détordre ! Mais, nous n’avons jamais pu le faire et nous ne le pourrons jamais !

 Parce que tant que nous n’avons pas aimé « ce fait particulier », il est réapparu dans notre conscience, dans notre vision, dans notre expérience… Justement pour que nous l’aimions sans aucune condition ! 

Nous avons toujours été, malgré nous, en train de travailler pour reconnaître la Lumière dans ce fait particulier ! Et, donc, nous avons répété cette même situation… nous l’avons répété encore… et nous l’avons répété encore… dans le seul but d’arriver à en être heureux sans condition aucune !

  

Nous répétons ce que nous n’avons pas aimé… pour l’Aimer

Oui, ça c’est sûr, les situations que nous n’aimons pas continuent à exister : que ce soit la guerre, le viol, les injustices de toutes sortes…

Tu vois donc que l’expérience passée nous montre bien ceci :

Nous n’allons jamais accepter de cesser de vouloir réussir ! Nous n’allons jamais pouvoir arrêter de répéter ces situations que nous n’aimons pas, si nous ne changeons pas fondamentalement d’attitude, c’est à dire de conscience !

Aucun raisonnement ombreux ne va arriver à nous obliger à cesser de vouloir Aimer totalement, infiniment, un fait… 

Et ceci, bien que nous ayons dit pendant des années, ou souvent même pendant des vies : « Je ne veux pas aimer ça et je ne l’aimerai jamais… Je ne l’aimerai jamais ! » 

Mais… jamais nous n’allons accepter une telle perte de conscience de la Lumière ! Personne n’y est jamais arrivé… Personne n’y arrivera jamais… Et donc, depuis le presque début de l’humanité, tout le monde répète l’expérience et donc la conscience de ce qu’il n’a pas aimé, dans le but d’arriver, un jour, à l’Aimer… C’est Absolu !

  

Lâcher-prise

OK ! 

Alors, pour en revenir à mon histoire, pour en revenir à ce sentiment que j’ai de ne pas assez travailler, ce sentiment de culpabilité et tout ça ?

J’ai eu, tout d’un coup, après ce que tu viens de dire, une sensation de lâcher-prise. Ras le bol ! Enfin, pas ras le bol, mais…

« Lâcher-prise » et « ras le bol », ce n’est pas pareil !

Non ! Tu as raison… C’est « ne pas faire » …

Oui, il s’agit d’arrêter de faire un effort ! Il s’agit d’arrêter de faire un effort douloureux !

D’accord ! Je n’ai rien à faire ! …

En revanche… Je ne sais pas… J’ai senti monter une forme de confiance… une grande confiance en fait ! En me disant : « J’ai confiance ! Là je n’ai pas envie de travailler ! Ce n’est pas que je ne l’aime pas… » 

C’est comme si cette envie devait venir d’ailleurs ! …

  

La juste distance par rapport au feu

■ 

Mais d’où ? 

Non ! Cette envie de « travailler », elle est naturelle… Elle est inscrite en nous depuis toujours… 

Et là, c’est un peu la même histoire que l’histoire de « la juste distance » par rapport à un feu… 

Comme avec tout, avec « le travail » dont tu parles, il y a une juste distance. Et, à chaque instant, cette distance juste avec ce travail particulier, elle évolue !

À un moment donné, nous avançons vers le feu… et nous nous chauffons un peu plus, encore un peu plus ! Mais, un peu plus tard, nous nous éloignons un peu du même feu, parce que l’on a trop chaud… et tout cela, selon les moments, selon les travaux, selon les priorités, selon les possibilités, etc…

Mais, nous, nous voulions, poussés par l’ombre, une espèce de règle définitive, une bonne distance pour toujours par rapport au feu ! 

C’est comme si nous étions devant une cheminée et nous disions « Voilà ! Je dois toujours rester à 1 mètre du feu et puis c’est tout ! Que ça me brûle ou que, au contraire, j’ai froid : je dois rester à 1 mètre ! » 

Mais non ! Ce n’est pas 1 mètre ! C’est une distance qui va « évoluer » en fonction de millions de facteurs dont la plupart nous échappent… nos mémoires, nos ressources, notre force actuelle, les autres etc… etc…

Mais, c’est quoi le critère, pour savoir ce que tu fais ?

  

Être heureux

 Tu es heureuse ! C’est tout ! C’est de faire ce que tu es la plus heureuse de faire à cet instant…

Je ne suis pas heureuse dans les deux cas !

Oui ! Mais, c’est parce que, là, avant toute chose, tu es en train de travailler « la culpabilité ».

C’est parce que là, apparemment, dans cet instant que tu m’as décrit, la priorité pour toi était de travailler à « aimer ta culpabilité » … et pas un autre travail !

Ah oui ! je comprends !

Et donc, pour faire face à cette priorité, à cette urgence… ce qui vient au-devant de la scène de ta conscience, c’est ta culpabilité… Et, là, du coup, tu répètes l’expérience : culpabilité… culpabilité… et encore culpabilité… pour l’aimer !

Je suis d’accord !

  

Répéter n’est jamais une erreur

Tu l’as répétée pour l’aimer ! … Mais, toi, tu as cru que répéter comme tu le faisais, c’était une erreur ! Tu as cru qu’il fallait détruire cette culpabilité… Quand nous perdons conscience de la Lumière c’est ce que nous croyons, tous !

Mais en réalité, cette répétition, c’est une merveille ! Nous sommes en train de répéter, avec fidélité et courage, exactement ce que nous voulons réussir à Aimer…

Et nous n’avons pas d’autres solutions que de répéter ce que nous voulons réussir à Aimer pour y arriver… et ceci jusqu’à y arriver !

OK !

Pour apprendre nous devons répéter ! 

Pour apprendre à marcher, nous avons répété… Pour apprendre tout ce que nous avons appris, nous avons répété… que ce soit pour apprendre la table de multiplication, pour apprendre une langue… 

Apprendre, c’est répéter !

Eh bien ! Pour « apprendre à aimer la culpabilité » nous répétons la culpabilité pour l’aimer… jusqu’à ce que nous réussissions à l’aimer !

D’accord !

Le jour où nous arrivons à l’Aimer, nous établissons avec la culpabilité une relation enfin saine ! Maintenant, enfin, nous vivons la Vraie Réalité… 

Nous vivons alors ce que nous avons appelé tout à l’heure : « la Culpabilité Lumineuse » … Il ne nous reste plus que de la Culpabilité Lumineuse… Il n’y a plus de culpabilité ombreuse : elle a été transmutée par notre Amour ! 

Ce qui nous avait posé un problème c’était la culpabilité ombreuse, c’est-à-dire la culpabilité dans laquelle nous perdions conscience de la Lumière… 

Oui, je comprends, c’est vrai !

  

La Culpabilité Lumineuse

Et, là, nous étions obligés de recommencer… de continuer ! Là c’est sûr ! Nous reprenions rendez-vous pour recommencer et essayer à nouveau de l’aimer…

Parce que nous n’acceptons jamais la culpabilité ombreuse comme maître… Jamais ! 

Non ! C’est la Culpabilité Lumineuse que nous voulons : 100 % d’Amour ! Aucune condition ! Voilà ! C’est celle-là que nous voulons vivre et seulement celle-là ! 

Et ceci, que nous en soyons conscients ou inconscients !

Et, donc, nous répétons fidèlement l’expérience de la culpabilité ombreuse !

Et pour cela, nous prenons rendez-vous, une minute plus tard, ou une heure plus tard, ou bien le lendemain ou bien dans une autre vie et nous revenons travailler, et donc vivre, encore et encore, la culpabilité ombreuse jusqu’à l’Aimer… sans une seule condition ! 

Ce n’est pas une erreur : il n’y a pas d’autres façons à faire… C’est parfait ! 

Oui ! Je comprends mieux maintenant…

  

Pour l’instant : ombre obligatoire !

Comment veux-tu faire autrement ? 

Est-ce que nous pouvons, honnêtement, prétendre n’avoir aucune ombre en nous ? 

Non ! On ne le peut pas… C’est très clair : il y a un certain niveau minimum d’ombre en ce moment sur la planète et nous baignons dedans, extérieurement et intérieurement… 

Pour l’instant, sur cette terre, il est totalement injuste d’exiger de qui que ce soit, y compris de nous-même, que nous n’exprimions jamais d’ombre !

Et donc, cette ombre, elle s’exprime ! Pourquoi s’exprime-t-elle ? Pourquoi voyons-nous toute cette ombre autour de nous et en nous ? 

Eh bien ! Aussi fou que cela paraisse, c’est pour l’aimer ! Pour la solutionner ! C’est-à-dire pour l’amener à son destin. 

Le destin de l’ombre, c’est la Lumière ! 

Ce que cherche l’ombre c’est son destin : la Lumière ! … C’est tout ! 

Elle le fait le plus souvent très maladroitement, mais c’est ce qu’elle cherche : la Lumière ! 

Donc il ne nous reste plus qu’à devenir adroit pour aider l’ombre, en nous et autour de nous, à arriver à sa fin, c’est tout ! 

Il n’y a pas à changer la Réalité de la culpabilité : elle est Juste !

« Cessons de vouloir devenir, pour accepter être. »

Cessons de vouloir devenir sans culpabilité, pour accepter d’être « avec » de la culpabilité.

« C’est la conscience qui fait toute la différence. »

C’est la conscience que nous avons du processus de la culpabilité qui fait toute la différence.

Réveillons-nous et reconnaissons : « Mais oui ! Nous n’avons pas d’autres solutions : « la Lumière est la Seule Solution Logique, Réelle, à l’ombre… »

Donc nous ne pouvons pas nous en vouloir de répéter !

Et dans ce cas particulier de la culpabilité, nous ne pouvons pas nous en vouloir de répéter notre expérience de la culpabilité… Ni nous ne pouvons en vouloir à qui que ce soit de répéter son expérience de la culpabilité !

Nous ne pouvons que nous en réjouir…

C’est comme cela que nous sommes en train d’apprendre à aimer la culpabilité et à pouvoir ainsi la libérer de notre inconscience de la Lumière en elle…

Et, ainsi, nous ne gardons, autant que nous le pouvons, que la conscience de la Lumière « dans » la culpabilité… et ainsi, nous pouvons vivre la culpabilité, enfin de mieux en mieux, comme la bénédiction qu’elle est… 

Et là, nous pouvons tous les jours bénéficier mieux de ce merveilleux signal d’erreur qu’est la culpabilité !

C’est un des beaux aspects du baromètre en nous. Il nous permet d’abord de reprendre conscience que nous venons de perdre conscience de la Lumière Éternelle, et ensuite de reprendre « gentiment » conscience d’Elle… « dans » l’ombre.

N’est-ce pas là un raisonnement qui a sa source dans notre Âme, dans la Lumière en nous ?

Un long silence s’installe…

  

Rendons grâce de cet Instant Parfait

Alors, en fait, nous en revenons à ce que tu as dit au début. C’est-à-dire « Répéter c’est apprendre » et aussi que « L’instant est sacré » et que du coup chaque fois que je me re-retrouve à nouveau là-dedans, je devrais même rendre grâce…

Oui ! Oui ! Rendre grâce… C’est cela ! Chaque fois, à chaque instant, nous devons Lui rendre grâce… Parce que, si Dieu est Tout, c’est bien Dieu Lui-même qui se présente à nous sous la forme d’une émotion, d’une rencontre, d’une couleur que nous voyons… peu importe ! Et c’est Parfait, n’est-ce pas ? 

Si nous osons nous rappeler que nous vivons « dans et de » la Lumière Pure à cet instant-même… Alors, cet instant révèle sa Réalité et prend une dimension Artistique, Lumineuse… Merveilleuse !

Et là, l’ombre va frétiller ! Elle va frétiller, parce qu’elle sent qu’elle va peut-être guérir… Tu vois ? … Elle sent que « C’est par là ! » … Et elle va revenir… 

Car, pour l’instant, et probablement pour un bon moment, plus nous allons Aimer l’ombre et plus nous allons avoir de l’ombre à Aimer !

Oh non !!

Ça, c’est normal ! Ce n’est pas une erreur. Ce n’est pas un problème ! Puisque nous sommes de plus en plus « capables » de l’aimer !

C’est comme les mendiants : plus tu sais aider les mendiants et plus tu as de mendiants qui viennent à toi pour être aidées. Où est le mal ?

Ah oui !

Il n’y a rien de mal. C’est logique : ce sont les plus riches qui doivent payer le plus ! 

Ceux qui sont capables de faire des choses doivent les faire. Et si on est capable de plus… Eh bien ! … Nous allons en faire plus !

Nous sommes tout à fait rigoureux, là-dessus, tout à fait honnête… même si nous n’en sommes pas conscients !

Oui ! Mais, nous ne prendrons que ce qu’il nous est possible de prendre… 

Oui ! Si nous restons fidèles à notre Âme, c’est-à-dire si nous croyons et écoutons la Lumière en nous, nous aurons exactement la bonne « distance » par rapport au feu, c’est à dire « la bonne dose » exacte pour aujourd’hui, pour cet instant. 

Nous aurons donc, par exemple, la culpabilité à la dose exacte que nous pouvons apprendre à aimer aujourd’hui !

Alors, la culpabilité que je ressens, c’est la culpabilité exacte que je suis capable d’Aimer aujourd’hui… et si nous le faisons… paf ! C’est fait ! 

Et là… Cela fait un précédent ! Ça fait « jurisprudence » ! Nous venons de créer de nouvelles connexions de neurones, nous venons de mettre en place un cerveau nouveau… 

Oui ! Ça fait des synapses en plus !

La fois d’après ça va revenir pour être confirmé… et nous, nous avons déjà cette petite mémoire qui est encore légère, qui est encore fragile, mais qui, maintenant, est bien là !

Elle n’était pas là avant… Mais maintenant elle est là ! 

C’est un circuit neurologique qui n’existait pas… et maintenant il existe ! Il est léger, ce circuit, il n’est pas encore solide, mais il existe !

L’autre jour, nous sommes allés chercher de vieilles planches de bois dans un endroit où personne n’avait marché depuis le début du printemps… Eh bien, ce sont nos allées et venues qui, petit à petit, on fait un chemin dans les herbes hautes. 

Et quelqu’un d’autre qui viendrait et qui voudrait aller à cet endroit-là, inévitablement, il passera par « ce » chemin où les herbes sont bien pliées et qui est maintenant le chemin le plus facile !

  

La joie de répéter… toujours !

J’ai remarqué que j’ai ressenti le plaisir, le bonheur de répéter !

Ah oui ! Répéter doit être agréable. Plus nous répétons, plus c’est facile… et agréable !

Cela devient un jeu ?

Oui ! C’est de l’humour, tu vois ! Tu souris ! Ah, c’est bien ! Je travaille, je reviens et je répète pour ouvrir, toujours plus, ma conscience à la Lumière ! 

Et quand va-t-on s’arrêter de répéter ? 

Jamais ! 

Bravo ! Oui ! Jamais !

Pourquoi jamais ? Parce que Dieu est Infini ! 

Donc cette ouverture de notre conscience à Sa Lumière, cette augmentation de notre conscience du Divin, ne va jamais s’arrêter parce que nous, nous ne sommes pas Dieu !

Nous sommes une conscience de Dieu ! Donc on va inévitablement continuer… pour toujours !

Car, par exemple, si j’ai réussi à avoir « 103 grammes » de conscience de la Lumière, au lieu de 8 grammes auparavant, c’est déjà très beau… Ma conscience est plus ouverte…

J’ai une plus grande virtuosité… mais après, il y a 110 grammes, 120 grammes etc… et ceci jusqu’à l’Infini !

Et pour atteindre l’Infini… il nous faut vivre l’Éternité !

Du coup, il y a intérêt à trouver le bonheur tout de suite… y compris dans la répétition elle-même !

Oui, c’est cela ! Tout de suite ! Soyons heureux dans le processus même ! Dans l’instant ! Mais, ça il faudra le répéter, le répéter ! 

Parce que, inévitablement, plus nous allons reconnaître la Lumière dans plus de choses, alors, plus des choses fines, des petites choses qui étaient oubliées dans un coin, vont venir à notre conscience pour être reconnues comme n’étant elles aussi « que » Lumière ! 

  

Et moi ? Et moi !?

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