34 • Mouvements de Pensée, mouvement de Corps, mouvement d’Âme…

34 • Mouvements de Pensée, mouvement de Corps, mouvement d’Âme…

Lundi 14 Octobre 2024

Le but de l’Être humain, comme celui de tous les autres Êtres n’est pas, en priorité, d’être intelligent, mais bien d’être simplement heureux… C’est à dire d’ouvrir sa conscience.

Mais pourtant, plus nous sommes heureux, plus nous sommes, vraiment, intelligent !

Mais, qu’est-ce qu’être heureux ?

Une des innombrables façons de répondre à cette question, si personnelle à chacun de nous, c’est de dire qu’être heureux, c’est vivre l’harmonie dans l’ouverture de la conscience de tout notre Être, c’est à dire de l’Âme, du Corps et de la Pensée que nous sommes.

Vivre toujours plus cette harmonie est, en fait, quel que soient leurs niveaux de conscience, le cas de tous les Êtres qui existent sur la terre, qu’ils soient humains, mais également animaux, végétaux ou même minéraux…

Là, je choisis d’utiliser le classement des Êtres le plus simple et le plus habituel qui a été fait par les humains, pour l’instant… Humains, animaux, végétaux, minéraux

Mais c’est, évidemment, le cas également de tous les Êtres de notre Univers, Êtres connus et inconnus.

Je suis en effet heureux de penser que Dieu, et la Loi qu’Il Est, est Unique, Absolue et Universelle…

Je suis, bien sûr, heureux que certains pensent différemment… Mais j’ai moi-même moins de plaisir à penser que la Terre serait un lieu sacré particulier, préféré par Dieu à tous les autres.

Non ! Tous les Êtres de l’Univers que nous sommes bénéficient de la même Loi Divine et vivent le même Amour de la Vie Infinie.

C’est vraiment cela que je suis, pour l’instant, le plus heureux de penser… Et, bien sûr, comme chacun, je choisis toujours, de mon mieux, de penser ce que je suis le plus heureux de penser à cet instant.. Tout simplement pour être toujours plus heureux…

Mais, bien sûr, je ne veux pas dire là que l’intelligence ne soit pas importante… C’est évidemment très important d’être intelligent, mais, à partir de l’apparition de l’Être humain sur la terre, cela a pu se révéler très destructeur si nous ne sommes pas d’abord, et en priorité, heureux.

C’est ce que l’on a pu observer dans l’histoire : l’intelligence devenue humaine, lorsqu’elle a été malheureuse, n’a été source que de problèmes… Et même, nous pouvons voir que l’humanité a entassé, trop souvent, depuis son presque début, des problèmes sur des problèmes !

Et ceci durera jusqu’à ce que cette intelligence malheureuse, et donc maladroite, guérisse dans un avenir qui ne dépend que de chacun de nous !

Une intelligence malheureuse, c’est une Pensée qui n’est plus en harmonie avec l’Âme et le Corps de l’Être qu’ils sont ensemble.

Oui ! La souffrance chronique chez l’humain est une pathologie…

Et c’est vrai que jusqu’à aujourd’hui, c’est une pathologie que les Êtres humains considèrent en général, comme naturelle et inévitable…

Mais qui a jamais été heureux de penser cela dans toute l’humanité ?

Je n’ai, personnellement, jamais trouvé personne qui soit heureux de le penser, alors que j’ai trouvé, jusqu’à aujourd’hui, presque tout le monde qui le pensait.

Bien sûr, le but de notre vie, c’est bien d’être heureux, comme c’est le but de tous les Êtres qui existent…

Évidemment, notre bonheur a bien changé de forme depuis que nous étions minéraux.

Peut-être, par exemple, que le bonheur d’un minéral, c’est d’exister, simplement d’exister… Ce qui, d’ailleurs, fait encore bien partie du bonheur humain !

En effet, je suis moi-même, un Être humains heureux d’exister, bien sûr… Mais, cependant, mon existence semble bien plus variée que celle d’une montagne de granit…

Cette montagne, peut-être qu’elle pense une pensée par milliard d’années ? Je ne le sais pas… Cela un jour, la science nous le dira. Mais jusqu’à là, la science a-t-elle eu seulement l’idée qu’une montagne puisse penser ?

Et l’Être humains, il pense peut-être une pensée par seconde ! Ce n’est là qu’une hypothèse de réflexions que la science va vérifier, ou modifier, dans un avenir de plus en plus proche…

Mais, maintenant, j’ai envie de parler un peu, de mouvement !

Tout bouge ! Mais il y a des mouvements des Êtres qui, souvent, ne nous sont pas facilement perceptibles…

Par exemple, j’ai appris de la science actuelle, qu’une montagne de granit peut se déplacer par rapport à notre Terre…

Et, en effet, d’abord une montagne se déplace, tout doucement, dans différentes directions pendant des milliards d’années à la vitesse des plaques tectoniques qui la porte, soit entre 1 et 10 cm par an… C’est lent, mais quand même !

 Mais, également, leurs sommets, le sommet des montagne, peuvent se balancer, un peu comme les arbres dans le vent, de façon imperceptible à nos yeux, mais que des instruments scientifiques sophistiqués permettent à l’homme de mesurer…

J’ai appris également que les chaines de montagnes, ces Êtres minéraux pourtant énormes, se déplaçaient aussi poussés par le vent et les nuages… Un peu comme des vagues sur l’eau, mais comme elles sont évidemment beaucoup plus rigides, elles se déplacent beaucoup, beaucoup, plus lentement.

Mais, à côté de ces déplacements qui sont très lent, il y a des mouvements des nombreux Êtres qui forment toute la terre, y compris les montagnes dont nous venons de parler, qui sont beaucoup plus rapides…

Je ne parle pas là des déplacement très variés que peuvent faire, de façon autonome, tous les Êtres par rapport à notre Terre… Non ! Je parle des mouvements que nous vivons tous « avec » la Terre parce que nous lui appartenons et que donc, tous les Êtres, autant que nous sommes sur elle, nous la suivons dans son mouvement à elle…

Et là, si nous additionnons tous les mouvements que notre Terre vit dans notre univers, nous découvrons que nous nous déplaçons à des vitesses difficiles à imaginer…

Mais essayons tout de même de les imaginer !

Déjà, tous les Êtres qui sont à la surface de la Terre, cette Terre que nous formons tous ensemble, se déplacent du fait de sa rotations sur elle-même. Par exemple, si nous sommes à son équateur, nous nous déplaçons tous à 1600 km/h…

Évidemment, si un Être bouge sur la Terre ou au-dessus d’elle, il augmente ou diminue la vitesse de son mouvement dans l’espace infini…

Mais, ensuite, puisque nous suivons notre Terre dans son mouvement autour de notre Soleil, là, la science nous dit que nous avançons avec elle et avec lui dans l’espace à la vitesse de 107.000 km/h… C’est déjà énorme…

Mais en réalité, tous les Êtres de la terre que nous sommes se déplacent beaucoup plus vite encore…

En effet, notre Soleil lui-même se déplace autour de notre galaxie, la Voie Lactée, à une vitesse de 900.000 km/h… Et bien sûr, nous le suivons tous, c’est à dire tous les Êtres de la Terre que nous sommes et qui forment l’Être Terre que certains d’entre nous ont nommé « Gaïa ».

Maintenant, la Voie Lactée que tous les Êtres qui forment notre Terre suivent également, bien sûr, parce qu’ils en font partie, elle, elle avance à 400 000 km/h… Tous, ensemble, nous voyageons donc bien plus vite que nous le croyons !

Et il semble que nous devrions trouver sur notre trajectoire commune, la galaxie d’Êtres solides et gazeux la plus voisine que l’on nomme Andromède. Et ceci dans quatre ou cinq milliards d’années. Nous formerons ainsi une nouvelle communauté d’Êtres encore plus grande…

Il y aura certainement un grand remue-ménage, lors de la rencontre de tous ces innombrables Êtres que nous sommes tous les uns avec les autres !

En plus, l’ensemble de tous ces Êtres que forment donc notre amas de galaxies avance, lui aussi, à environ 2 000 000 km/h vers l’amas des Êtres qui composent la galaxies de la Vierge…

Et allez ! Tous ces Êtres que nous sommes bougent beaucoup, vraiment beaucoup, n’est-ce pas ? La fusion de ces deux immenses Êtres que sont ces galaxies donnera ce que les scientifiques nomment « Androlactée »… Un Être immensément plus grand encore.

Pour l’instant, ces deux Êtres que sont ces immenses amas existent et avancent dans un ensemble d’Êtres encore plus grand que l’on appelle un « continent galactique”. C’est notre continent galactique que l’Être humain a nommé « Laniakea » et il semble, pour la science actuelle, être un ensemble de 3 « superamas »…

À noter que ce continent galactique, Laniakea  est seulement l’un des 6 millions de superamas qui semblent exister dans l’univers et que nous pouvons pour l’instant observer…

Il est vraiment difficile, mais pas impossible, d’imaginer le nombre et la taille de tous les Êtres qui existent… Il y en a de plus petits que la longueur de Planck… Et le plus grand, lui, nous l’appelons « notre Univers » !

 Et à l’intérieur de notre Univers, Laniakea, cet Être immense possède en son centre un grand attracteur avec lequel nous, tous les Êtres qui le composons, filons vers un grand attracteur encore plus grand nommé « Superamas de Shapley » à une vitesse de 2.268.000 km/h…

Alors ? Si nous additionnons, à l’arrache, toutes ces vitesses, on peut découvrir que tous les Êtres de la Terre se déplacent avec elle, en réalité, dans le vide à une vitesse d’environ 6 millions km/h… C’est pas mal, n’est-ce pas ?

« Le mouvement, c’est la vie » ! Disons-nous, nous les Êtres humains… Alors, nous, tous les Êtres de la terre, nous sommes vraiment très, très vivants !

Tout cela fait un peu réfléchir… Et c’est donc bien avec la participation de notre intelligence que nous pouvons réfléchir, et réfléchir encore, au mouvement et donc à la vie de tous ces Êtres que nous sommes et qui formons notre Terre… Et nous nous en émerveillons à chaque fois plus…

C’est notre Pensée qui nous permet d’être intellectuellement intelligent… Mais nous sommes aussi une intelligence du Corps et une intelligence de l’Âme…

Et ces 3 intelligences que nous sommes ne peuvent pas être séparées, ni fonctionner l’une sans l’autre…

Alors, si notre Corps vit des mouvements physiques aussi importants que ceux que nous venons d’évoquer plus haut, si nous, tous les Êtres de la Terre, nous bougeons physiquement à 6 millions km/h à chaque instant, alors il y a, nécessairement un mouvement ou plutôt une évolution concomitante et immense de la Pensée et de l’Âme de tous les Êtres de la Terre… et, bien sûr, de tout notre Être Universel.

Tous les Êtres de la terre, et de partout dans l’espace, sans une seule exception, voient leur conscience s’ouvrir :

La conscience de leur Corps s’ouvrent… La conscience de leur Pensée s’ouvrent… Et la conscience de leur Âme s’ouvrent aussi…

Et toutes ces ouvertures de consciences si infiniment variées ne peuvent se faire qu’ensemble !

Tout le plus beau reste donc possible… Nous pouvons être optimiste, à long terme…

Et, au fur et à mesure où notre conscience s’ouvre, nous, les Êtres humains, nous pourrons de moins en moins ignorer cette ouverture de tous nos Êtres… et de tous nos frères, les Êtres qui existent dans tout notre univers !

Toujours plus, nous prenons conscience de la Lumière qui Est ce « Tout » dont nous venons, un tout petit peu, de parler…

Nous avons parlé avec notre intelligence qui est la vie de notre Corps, de notre Âme et de notre Pensée.

Ce que nous sommes, nous le sommes depuis toujours, mais la conscience que nous en avons ne peux qu’augmenter tous les jours…

Car ces mouvements du Corps, petits ou immenses, dont nous prenons mieux conscience tous les jours, grâce à la science, ne peuvent qu’être, également et au même instant, des mouvements de la Pensée et des mouvements de l’Âme.

En effet, l’Âme, la Pensée et le Corps sont toujours, à la fois, un seul Être et la multitude des Êtres…

L’Unité Divine de tous ces Êtres Infinies ne renie jamais leur multitude Parfaite…

C’est bien, là, ce que nous ressentons et savons lorsque nous sommes « heureux ».

Et, pour « Être » heureux, nous pensons simplement ce que nous sommes les plus heureux de penser à cet instant.

Prenons également conscience qu’être heureux, c’est être toujours plus heureux… Exactement comme être ici, là où nous sommes, c’est, en même temps, se déplacer à 6 millions de kilomètres à l’heure !

À cette vitesse à laquelle nous avançons, nous avons toujours une toute petite mi-temps de retard : Nous ne pouvons observer que notre passé.

Mais, nous pouvons vivre l’instant dans la Joie en aimant tout ce passé que nous pouvons observer.

Et lorsque nous sommes toujours plus heureux de vivre cet instant d’adoration, notre avenir révèle la Perfection de ce qu’il sera.

Eh oui ! C’est Toi, le merveilleux Toi, qui Est Tout : Tu Es le passé de tous les Êtres, le présent de tous les Êtres et le futur de tous les Êtres.

Et nous ? Osons être les prophètes du bonheur que Tu nous offres !

33 • Un Matin parmi d’autres…

Mon Journal du Mercredi 21 Février 2024, mis à jour le Mardi 24 Septembre 2024

Voici donc ce que j’ai écrit dans mon journal, ce jour-là… Et je l’ai mis au propre et à jour, aujourd’hui… Car tout évolue…

La Vie est bien sûr vivante… Je suis moi-même, un Être vivant : Âme, source de vie, Corps plein de vie, Pensée qui évolue.

Ainsi, tous les jours, de mon mieux, je m’entraîne à penser ce que je suis le plus heureux de penser : c’est mon journal !

Et lorsque je relis aujourd’hui ce que j’ai écrit il y a quelque temps, je suis agréablement étonné de ce que mon Âme m’a proposé ce jour-là… En tous les cas ce qu’il me semble que j’ai entendu dans ma pensée… et ce que j’ai transcrit matériellement…

Je suis, également, surpris de tout ce que mon Âme me propose encore aujourd’hui lorsque je relis mon texte.

Alors, je l’avais certainement écrit le matin, dès mon lever, dans le silence, comme je le fais encore aujourd’hui… C’est, en général, ce que je fais en premier… Cela m’est toujours agréable et je commence ainsi ma journée le sourire dans mon coeur.

Ces textes peuvent sembler parfois bien décousus… Mais cependant il y a bien un fil conducteur solide qui coud toutes ces pensées ensemble : c’est la joie que j’ai eu à les écrire lorsque je les ai écrites…

Voyons…

Je suis heureux.

Je suis de plus en plus heureux.

Oui ! Je suis heureux de tout ce que je vis… C’est ce que je pense !

Et penser, c’est choisir.

Alors je choisis ce que je suis le plus heureux de penser… et je le pense beaucoup… Et encore plus !

J’aime l’humanité… J’aime toute l’humanité… Je veux l’aimer de plus en plus, de mieux en mieux.

Mais, si je veux aimer l’humanité, il faut, bien sûr, que je l’aime sans condition… Donc avec les guerres terribles qu’elle vit en son sein.

Je veux donc aimer tout ce que j’ai prétendu être mon ennemi.

Chacun a sa propre définition de l’amour… Et cela est merveilleux !

Pour moi, aimer, c’est être heureux.

J’aime un Être lorsque je suis heureux que cet Être soit…

J’aime un Être lorsque je suis heureux que cet Être existe telle qu’il est.

Pour moi, l’Amour est un presque-synonyme de la Joie.

Je choisis de respecter tous les autres Êtres humains… J’apprend, toujours plus, à les aimer tels qu’ils sont.

Je ne veux plus violenter les autres… Je ne veux plus leur imposer des paroles qu’ils ne sont pas prêts à être heureux d’entendre.

Je respecte la conscience que chaque Être humain choisit d’avoir…

Toute conscience de Ta Lumière est en effet parfaite.

Si Tu Es Tout, Tout Est Toi…

Si un Être existe, qu’il soit minéral, végétal, animal ou humain, sa conscience ne peut qu’être une conscience de Ta Lumière…

En effet, une conscience de Toi ne peut être constituée que de Toi… Comment peut-il en être autrement, si Tu Es Tout ?

Eh oui ! Si Tu Es vraiment Tout, Tu Es à la fois, tous les Êtres qui existent et toutes les consciences qu’ils ont de Toi…

Donc, par exemple, il y a Toi et il y a la conscience que j’ai de Toi à chaque instant… Mais les deux, c’est Toi !

Ma conscience et Toi sont « Un »… Puisque Tu Es Tout.

Et là, attention ! Il n’y a pas une conscience de Toi qui soit plus parfaite qu’une autre conscience de Toi.

En effet, n’est-ce pas, comme je viens de le penser et de l’écrire, toute conscience ne peut être que Toi !

Donc, ma conscience n’a pas plus de valeur que toute autre conscience…

Oui ! Toutes les consciences qu’ont tous les Êtres sont aussi Parfaites les unes que les autres.

Ainsi, la conscience d’un bébé est Parfaite, comme celle d’un adulte.

La conscience d’un Être-chien est Parfaite, comme celle d’un Être-humain… etc.

Mais, là, remarquons qu’un bébé a été homme-adulte un grand nombre fois et sera encore adulte un innombrable nombre de fois, en des corps humains différents…

Et au cours de toutes ses incarnations, sa conscience a toujours augmenté, sa conscience augmente encore dans cette vie qu’il vit actuellement, et sa conscience augmentera toujours au cours de chaque vie qu’il vivra…

Vraiment, cela, je suis très heureux de le penser ! Je choisis toujours d’avoir plus conscience de ce que je suis le plus heureux de penser !

Chaque instant n’est que Toi… Toi le Merveilleux, Toi le Parfait !

Et il n’y a pas de meilleurs moments que celui que nous vivons à cet instant pour être plus conscient de Toi.

Nous sommes tous en Toi… que nous en soyons plus conscients ou moins conscients.

La conscience de chacun des Êtres que Tu Es ne change en rien leur proximité avec Toi : cette proximité, elle est Totale, elle est Absolue… Nous pouvons l’appeler « Unité ».

Que mon Âme me dicte tous mes raisonnements… Et qu’ainsi ma joie augmente sans cesse en Toi.

Je n’ai pas d’autres ambitions que d’être heureux, c’est à dire de plus en plus heureux ! … Et « je suis » de plus en plus heureux…

Qui peut choisir à la place d’un autre Être la conscience qu’il a du Bonheur qu’il est ? Personne !

L’appréciation de notre bonheur est ce qui est le plus intime à chacun de nous.

Je me fais la promesse d’écrire, toujours mieux, ce que je suis le plus heureux d’écrire, à l’instant-même où je l’écris…

Ma vie est complètement consacrée à une conscience toujours plus grande de Toi… C’est à dire à un bonheur toujours plus grand ! Comme la vie de chaque Être !

Je propose à celui qui me lit qu’il se respecte lui-même au mieux : je propose que, de ce que j’écris, il ne croit et ne choisisse lui même de penser que ce que « lui » est heureux de croire…

Avoir cru ce que nous n’étions pas heureux de croire à un instant donné, c’était nous trahir nous-même et ne pas suivre « notre plan à nous », qui ne pouvait être, de toutes les façons que Ton Plan à Toi, Ton Plan Parfait !

Si Tu Es Tout… et Tu l’Es ! Alors, notre chemin ne peut être qu’en Toi… Nous sommes en Ta Parfaite Sécurité.

De Ton Amour Infini, Tu nous Aimes tels que nous sommes, c’est à dire tels que nous croyons être.

Il faut respecter la juste distance avec tout ce qui existe… que ce soit au point de vue physique, au point de vue mental, ou au point de vue spirituel !

En effet le feu nous réchauffe agréablement lorsque nous sommes à la bonne distance de lui. Si nous sommes trop loin, nous ne sommes pas réchauffés, si nous sommes trop prêts, nous nous brulons ! 

Et c’est nous qui sommes les seuls responsables de la distance que nous choisissons entre le feu et nous… Alors, faisons le bon choix, à chaque instant.

J’ai foi que tout est parfait, ou, pour le dire autrement, que Ta Perfection est Absolue… C’est à dire que rien ne Lui échappe… Rien également ne souhaite lui échapper !

En effet, tout le monde souhaite être heureux ! Personne ne souhaite souffrir… C’est là, vraiment, ce que je suis le plus heureux de penser… et de vivre…. C’est aussi ce que j’observe.

Je choisis de rester heureux lorsque j’observe que des gens n’osent pas encore être heureux comme ils le souhaiteraient… Ou même, parfois, qu’ils soient sûrs que le bonheur n’existe pas pour eux !

Je choisis d’être heureux de toute la conscience et de toute l’inconscience de Ta Lumière qu’ils choisissent d’avoir à cet instant-là.

Je dis qu’ils « choisissent » parce que c’est ce que je suis le plus heureux de penser… Vraiment le plus heureux de penser, là, à cet instant.

En effet, je ne sais plus, à cet instant, être heureux de penser qu’une personne puisse ne pas avoir le choix de son ouverture de conscience… Et je suis sûr, à cet instant, que je ne le serai jamais !

C’est une des caractéristiques merveilleuses des Êtres humains d’avoir enfin obtenu le Don du Libre Arbitre… Et rien ni personne ne peut leur enlever ce Don, même pas eux-mêmes !

La seule réelle et immense puissance que j’ai dans ce monde, c’est d’être toujours plus heureux, c’est à dire toujours plus conscient de Toi en tout…

Que je sois, donc, un témoin toujours plus fidèle de Ton Amour !

Aujourd’hui, être Ton apôtre, pour moi, c’est simplement être heureux… Toujours plus heureux !

Alors, je construis cet instant agréable sur toutes les mémoires que je choisis, librement, d’aimer…

En effet, dès que j’aime plus une mémoire, je suis plus heureux.

Et dès que nous aimerons tous, totalement, chacune des mémoires de l’humanité, nous serons, alors, totalement heureux.

Cela peut sembler être un bien long chemin… Oui ! C’est vrai qu’il est long ! Mais comment s’en plaindre puisque chaque pas n’en est qu’agréable ?

Je décide donc à chaque instant d’augmenter ma foi en Toi, c’est à dire ma foi dans la Vie !

Qu’Es-Tu, sinon la Vie Elle-même ?

Vivre, c’est Te vivre.

Alors, si apparaît en moi une ombre, c’est à dire une baisse de conscience de Ta Lumière Parfaite et Absolue, je choisis, tout de suite, d’aimer cette ombre, sans aucune condition.

C’est mon choix… Et je le respecte, à chaque instant, toujours mieux.

Je veux aimer tous les ennemis que j’avais choisis d’imaginer.

C’est la Belle Vie !

Je cultive ma naïveté… En effet, je crois que la vie est simple, « trop simple » ! Et je le crois de plus en plus, naïvement !

La solution de tous mes problèmes a toujours été d’en être, d’abord, heureux… de les aimer… et d’observer leur transmutation dans Ta Réalité, c’est à dire dans Ta Lumière.

Décrire Ta Lumière ne nécessite que peu de mots, voir aucun…

Mais la description de l’ombre, c’est à dire de la baisse de la conscience de Ta Lumière a constitué, jusqu’à ce jour encore, la grande majorité des discours et des écrits de l’humanité… Mais cela évolue, et en bien, de plus en plus vite !

J’écoute mon Âme qui me parle en toutes choses.

La vie a trois composantes totalement unifiées que je peux nommer ainsi : l’Âme, le Corps et la Pensée.

La Vie est Omniprésente… Tous les Êtres en sont l’expression qu’ils soient minéraux, végétaux, animaux ou, depuis peu, humains.

Tu Es la Vie que nous vivons tous, tous les Êtres que nous sommes : Tu Es Omniprésent.

Oui ! J’essaye vraiment de parler comme je pense et, encore plus, d’agir comme je pense… Et j’y arrive de mieux en mieux… Quel plaisir !

En effet, je pense de plus en plus à partir de mon Âme et de moins en moins à partir de mes mémoires.

Je ne cherche pas à me « faire » des amis : j’ai, en effet, autant d’amis qu’il y a d’Êtres dans Ton Univers.

Toi, Tu Es mon Amis, à la fois Unique et Infiniment Multiple.

Si un Être existe, il est mon ami… Si je rencontre un Être, il est mon ami.

Je suis donc en paix.

Je choisis d’être en paix, même avec la guerre…

Le Corps que je suis « vit » mon Âme et ma Pensée… 

La Pensée que je suis « pense » mon Âme et mon Corps… 

L’Âme que je suis est « la source » de ma Pensée et de mon Corps…

Je crois que c’est, là, un des aspect du Mystère de la Trinité : Trois en Un et Un en Trois.

Il y a, en effet, une infinité de manières de vivre Ton Unité…

Et, chaque instant que je vis est une manière unique de Te vivre.

Je choisis d’être heureux de ce qui est… et de ce qui n’est pas.

Je suis heureux de Toi… Et Toi Tu Es Tout, Toi Tu Es « ce qui est » et Tu Es « ce qui n’est pas ».

Je choisis que Toi, Âme que je suis, Tu sois la source de la Pensée que je suis et du Corps que je suis.

Toi, la Lumière, Tu Es la Seule Source de Toi-même.

Voilà ! Dans cet article du Blog « BeHappy8.org » j’ai essayé de mon mieux de respecter de mon mieux les règles du jeu du BeHappy… C’est Tout !

J’ai donc écrit, au fur et à mesure, ce qui me passait par la tête que j’ai été heureux de penser à ce moment-là.

26 • Présent, Passé, Avenir… etc… 

Voici la copie du commentaire qu’un ami, dont le pseudonymes est « ÊtreSoi », a fait sur ce site… Et ma réaction, amicale, à ce commentaire qui m’a beaucoup intéressé.

Voici ce commentaire :

 » Accepter la pensée que l’on n’est pas heureux de penser, c’est à dire ne pas lutter contre elle, est essentiel. C’est déjà être heureux… »

Comme je me suis pris au jeu de la pensée en y réfléchissant, mon commentaire s’est fait assez long, beaucoup plus long que ce que je pensais au départ…

Et finalement, je me suis décidé à ce qu’il sorte d’un simple commentaire et qu’il soit publié comme un article de ce « Blog ».

Voici donc ce qu’est devenue ma réponse qui a consisté, finalement, simplement à jouer au BeHappy, ce jeu de la pensée auquel j’ai joué plus longtemps que ce que j’avais prévu au départ…

Mais, ceci n’est-il pas le propos de ce site BeHappy8 ?


 » Coucou, mon ami ! Et merci beaucoup pour ton commentaire… Celui-ci, semble-t-il, m’a beaucoup stimulé… J’y réagis avec plaisir ici, et bien plus longuement que ce que je le pensais au départ :

Mais, revoyons, d’abord quelques bases du jeu auquel nous avons décidé de jouer ensemble sur ce site BeHappy8 :

Rappelons-nous, d’abord, « qu’être heureux nous-mêmes, Êtres humains que nous sommes, c’est le plus important pour nous et pour tous les autres Êtres. »

Rappelons-nous également que « nous ne pouvons avoir conscience de la Joie que nous sommes, et donc « Être heureux », qu’en pensant ce que nous sommes les plus heureux de penser.

Rappelons aussi que la Joie (ou la Lumière, ou le Divin… etc.) dont nous sommes l’Expression Éternelle, ne varie pas en fonction de ce que nous pensons.

Par exemple, son Omniprésence ne diminue pas lorsque nous pensons des pensées que nous ne sommes pas heureux de penser… Ni d’ailleurs si nous pensons les pensées que nous sommes les plus heureux de penser !

Ce qui varie, avec nos différentes pensées, c’est notre conscience.

Ou, plus précisément, ce qui varie, c’est la vitesse d’ouverture de notre conscience à la Joie, à la Lumière, c’est à dire à Dieu…

C’est finalement la qualité de la pensée, que nous choisissons à chaque instant, grâce au Libre Arbitre dont nous les Êtres humains sommes dotés, qui décide de la vitesse d’ouverture de notre conscience :

Ainsi, ce que j’aime penser, pour l’instant, c’est que notre ouverture de conscience à la Lumière s’accélère chaque fois que nous pensons la pensée que nous sommes les plus heureux de penser à cet instant.

Mais, ce que je suis, également, heureux de penser, c’est que notre ouverture de conscience à la Lumière se ralentie chaque fois que nous pensons une pensée qui n’est pas celle que nous sommes les plus heureux de penser à cet instant.

Par contre, et c’est pour moi très important, à aucun moment l’ouverture de la conscience de tous les Êtres, qu’ils soient humains, animaux, végétaux ou minéraux, ne peut cesser totalement… Et encore moins régresser.

Nous, les Êtres humains, ne pouvons donc qu’accélérer ou ralentir l’ouverture Naturelle, Originelle et obligatoire de notre conscience.

C’est là, vraiment, ce que je suis le plus heureux de penser à cet instant et cela depuis un bon moment !

Cette ouverture de la conscience de « tous » les Êtres, quels qu’ils soient, ne peut qu’être active en chacun de nous, depuis toujours et pour toujours…

Seules les vitesses d’ouverture de leurs consciences peuvent varier et donc être différentes selon les moments d’une vie et donc, en conséquence, selon les différentes vies vécues par chacun des Êtres que nous sommes tous.

Et, de ceci, il résulte que chaque Être existe, à cet instant, exactement comme il est.

Pour faire un raccourci, je peux dire que : « l’ombre » ou « le mal » n’est que la perte de conscience de la Lumière.

Mais, si je veux m’amuser à être plus précis, je peux alors dire que l’ombre, n’est que « la diminution de la vitesse d’ouverture de la conscience de la Lumière » par rapport à sa vitesse d’ouverture Originelle.

Et ceci a, au même instant, des conséquences sur l’Âme, la Pensée et le Corps qui sont inséparables, qui sont consubstantiels


Maintenant, voici quelques autres pensées que j’ai été heureux de penser  :

J’ai, en effet, plaisir à remarquer que cela simplifie grandement notre réflexion, et nos communications, lorsque nous utilisons les temps de la conjugaison des verbes qui tentent de décrire le mieux possible la Réalité :

C’est à dire, que nous utilisons, le temps de conjugaison du passé pour parler, librement, du passé, dont nous nous rappelons au présent.

Ensuite, nous utilisons le temps de conjugaison du futur pour parler, librement là aussi, de l’avenir que nous choisissons d’envisager, à cet instant présent également…

Et, bien sûr, ce qui est encore plus évident, utilisons le temps de conjugaison du présent pour exprimer notre Libre Arbitre qui, lui, ne peut s’exercer qu’à cet instant.

Sur ce sujet, ce que j’aime à penser actuellement, c’est que ce sont probablement les Êtres humains, les plus beaux parmi tous, qui dans certaines de leurs incarnations passées, probablement assez anciennes, ont inventé les « conjugaisons »des verbes pour mieux exprimer leurs réflexions et mieux les communiquer aux autres Êtres humains qui y étaient sensibles.

En tous les cas, dans ma vie actuelle, j’ai remarqué que cela était bien pratique d’utiliser ces conjugaisons à bon escient pour réfléchir moi-même plus agréablement et pour transmettre plus efficacement le résultat de mes réflexions à ceux qui y étaient intéressés.

Alors, c’est pourquoi j’apprends, toujours mieux, à respecter les temps de conjugaison pour exprimer, toujours plus précisément, ma pensée… et aussi la relier avec plus d’efficacité à d’autres pensées.

Et cela demande de l’attention ! En effet, il y a eu de nombreuses torsions mise en place dans l’usages des temps de conjugaison des verbes… Nous avons pris l’habitude de les mettre en place sous la pression de l’ombre, en nous et chez les autres.

Ainsi, ceci étant dit, si l’on reprend ton commentaire que je relis :

 » Accepter la pensée que l’on n’est pas heureux de penser, c’est à dire ne pas lutter contre elle, est essentiel. C’est déjà être heureux… »

Eh bien, prenons conscience que nous ne pensons qu’une pensée à la fois, même si la succession des pensées, parfois très rapide, peut nous donner la fausse impression que l’on pense plusieurs pensées à la fois.

Si, par exemple, j’hésite entre répondre « oui » ou « non » à une question très importante pour moi, cela ne veut pas dire que je pense « oui » et « non » en même temps, mais simplement que je pense alternativement « oui », puis « non », puis « oui », puis « non », puis « oui », puis « non » etc…

D’ailleurs, si ce type d’hésitation est trop intense, s’il dure trop longtemps et que la personne le vit trop douloureusement, cela se manifeste finalement dans l’aspect Corps de cette Être humain comme un « tremblement », un tremblement physique : c’est ce que l’on a appelé la maladie de Parkinson.

Mais revenons, là, à ton commentaire… Dans la réalité, nous ne pouvons vivre donc que le présent… Et donc, au présent, nous ne pouvons « qu’observer » le passé, mais pas le vivre.

Donc, je crois que ce que tu voulais vraiment exprimer, c’est ceci:

« Accepter la pensée que l’on n’a pas été heureux de penser, c’est à dire ne plus lutter contre elle est essentiel. C’est être heureux. »

Ou, pour donner plus de détails :

« Accepter (à cet instant présent) la pensée que l’on n’a pas été heureux de penser (dans le passé), c’est à dire ne plus lutter (à l’instant présent suivant) contre cette pensée du passée, est essentiel. C’est être heureux (à ce nouveau présent-ci)… »

Finalement, pour le dire très, très simplement :

Être heureux d’avoir été malheureux, c’est « être heureux » !

Mais aussi : Être heureux de mon passé, c’est le guérir.

Pour le redire un peu différemment : À cet instant présent, je ne peux donc penser qu’une seule pensée… qui exprime mon Libre Arbitre.

Et c’est ainsi que c’est à cet instant présent seulement que je peux observer une pensée que je n’ai pu penser que dans mon passé. Et ceci même si ce passé, c’est juste l’instant qui précède, d’un centième de seconde, l’instant présent où je l’observe.

Au présent, nous ne pouvons donc « qu’observer » le passé.

Chaque instant meurt à l’instant-même où il naît.

Et les poètes ont exprimé cela souvent, comme Lamartine avec ces magnifiques vers :

« Le livre de la vie est le livre suprême

On voudrait revenir à la page où on aime 

Et la page où l’on meurt est déjà sous nos doigts… »


Heureusement que, lorsque j’essaie de parler de tels concepts, ce qui est le plus important pour moi, c’est simplement d’être heureux d’exprimer ce que je suis le plus heureux de penser… Et ceci avec les mots que je suis le plus heureux d’utiliser à cet instant.

En effet, je ne m’impose aucun autre impératif qui serait plus important que celui-ci : « Penser ce que je suis le plus heureux de penser ».

Par exemple, je préfère, et de loin, être heureux qu’avoir raison… Mais, je sais que plus je suis heureux, plus je m’approche de la Vérité… Sans, cependant, jamais l’atteindre !

Pour paraphraser, grossièrement, Picasso : J’ai mis toute une vie pour arriver à penser à nouveau comme un enfant !

La Vérité n’est pas immobile, mais Elle est Infiniment Vivante… Et nous en prenons toujours plus connaissance depuis toujours, en sachant cependant qu’elle est toujours plus Vraie que ce que nous avons cru jusqu’à là.

Et chaque fois que l’Être humain a tenté d’immobiliser la Vérité, de la fossiliser, l’intolérance et les guerres sont arrivées au galop

La Vérité est Une et Vivante, mais aucun Être ne peut en avoir la même conscience…

Et « toutes » les consciences de la Lumière sont aussi parfaites les unes que les autres.


C’est toujours extraordinaire d’expérimenter le fait qu’une pensée n’est jamais isolée, suspendue, toute seule dans l’univers des pensées, mais qu’elle est toujours reliée à l’Infini des autres pensées par des fils que nous ne pouvons que découvrir de mieux en mieux au fur et à mesure que nous sommes plus heureux.

Chacun, s’il est heureux de le décider, peut ressentir que tous les Corps des Êtres que nous sommes tous sont « Un » avec l’infini de tous les Corps des autres Êtres.

Ainsi, le Corps des Êtres humains que nous sommes sont non seulement reliés, mais »Un » avec les Corps de tous les autres Êtres qu’ils soient humains, bien sûr, mais aussi animaux, végétaux et minéraux.

Nous ressentons bien que dès que nous, les Êtres humains, avons perdu conscience de cette Unité que nous sommes tous, les problèmes écologiques ont commencé.

Et ces problèmes écologiques ont toujours augmenté, au fur et à mesure où nous l’avons oublié un peu plus… ou beaucoup plus… Comme en témoigne la souffrance actuelle de tous les Êtres de la terre !

Eh bien, en ce qui concerne l’aspect Pensée des Êtres, c’est la même unité entre toutes les pensées individuelles de tous les Êtres.

À cet instant, notre pensée, à nous les Êtres humains, est toujours reliée et unie à toutes les pensées de tous les autres Êtres de l’Univers.

Cette pensée présente, que nous choisissons, grâce à notre Libre Arbitre depuis que nous sommes humains, est reliée à toutes les pensées que tous les Êtres ont pensées depuis toujours… Et à toutes les pensées que nous penserons, librement, dans le futur.

« Soit ce que tu veux que le monde devienne. » nous dit Gandhi.

Pensons dès maintenant ce que nous voulons que le monde pense dans l’avenir.

Soyons heureux maintenant, puisque nous voulons que le monde le devienne.

23 • Jeu ce Matin-là… Union, Séparation, Souffrance…

Mercredi 5 Juin 2024

Je présente là, en l’état, comme je les ai écrites ce jour-là, les phrases que j’ai pensées au cours de cette partie de BeHappy que j’ai joué, tout seul, le matin du Samedi 3 Février 2024…

Il est 9 heures 07… C’est un bon moment pour commencer à écrire pendant une demi-heure, non stop, ce que je suis le plus heureux de penser… et d’écrire.

Une demi-heure à penser, le mieux que j’en suis capable, à partir de mon Âme… et d’écrire.

Allez, on y va ! … Non stop ! Tranquillement…

Y-a-t-il un meilleur moment que tout de suite pour être heureux ?

Non !

Chaque instant et le meilleur pour être heureux… Et cet instant-ci est Parfait pour être heureux de penser à Toi… Pour être conscient que je ne pense que Toi.

La pensée que je suis le plus heureux de penser ces temps-ci, c’est :

« Tu Es Tout »

Par exemple, « Tu Es » mon petit doigt de ma main gauche qui courre sur le clavier pour écrire le « A », le « Q » et plus rarement le « W » … 

Mais, « Tu Es » aussi l’émotion que je suis en train de vivre : émotion de satisfaction de voir le ciel bleu et les rayons du soleil, par la fenêtre ouverte…

Rien de ce qui est n’est pas Toi ! En dehors de Toi, rien n’existe… Tu Es l’Existence-même !

Si quelque chose existe, c’est Toi… Ce ne peut être que Toi !

Et ceci, que j’en ai conscience à cet instant ou pas.

Mais, là, par exemple, cette trace de postillon que je vois sur mon écran d’ordinateur, c’est également Toi… Autant Toi que mon amour le plus élevé que je vis pour ma compagne.

Si Tu Es Tout, rien n’est moins Toi que tout autre chose !

Cela me plaît toujours plus de penser cela : « Tu Es Tout » !

Et puis toutes les conséquences de cette pensée si simple m’émeut toujours agréablement… Et, je m’en régale !

Par exemple, une des conséquences, c’est que toutes les pensées que nous n’avons pas été heureux de penser disparaîtront en tant que souffrance…

Je veux dire qu’elle révèleront leur Réalité, c’est à dire Ta Réalité… Elles révèleront qu’elles ne sont que Toi, comme tout ce qui est…

Alors, nous sommes heureux de les avoir pensées… Et nous sommes heureux de ne pas avoir été heureux de les avoir pensées !

Cela est si simple ! Tout n’est que Ta Lumière… et je veux le reconnaître toujours plus…

Chacune de nos mémoires, n’est faite que de Toi… Et je le reconnais, aujourd’hui, de mieux en mieux.

Je n’ai fait que « Te » vivre… Tout ce qui existe n’a fait que « Te » vivre…

À aucun moment quelque chose a existé qui n’était pas Toi, La Lumière…

Mais alors, ce que nous avons appelé le « mal » n’est-il que Toi ? 

Oui ! À mon point de vue, actuel, le mal n’est que Toi dont nous avons perdu conscience.

« C’est notre conscience qui fait toute la différence »

Le mal n’a donc résulté que du choix de notre conscience…

Le mal n’a été que notre perte de conscience de la Réalité Absolue que « Tu Es Tout » …

Et là, à partir de cette perte de conscience, tous nos raisonnements ont été de l’ombre raisonnée, du mal raisonné, souvent d’une façon très intelligente…

En effet, l’ombre sait se faire belle.

Et là, aussitôt la douleur est venue nous signaler notre perte de conscience de Toi !

En effet, la douleur, c est Ton Don pour nous permettre de ne pas perdre plus conscience de Toi ! C’est Tout !

La douleur est Ta Bénédiction qui nous accompagne dès que nous imaginons une distance et un labyrinthe pour pouvoir arriver à Toi…

Et chaque mur de ce labyrinthe est une pensée que nous ne sommes pas heureux de penser… C’est à dire une pensée qui, grâce au Libre Arbitre que Tu nous donnes, imagine que Tu n’es pas Tout !

Et chaque mur disparaît dès que nous osons être heureux de l’avoir pensée… 

Chaque mur du labyrinthe est imaginaire… Il résulte de l’usage maladroit de notre Libre Arbitre pour penser ce que nous ne sommes pas heureux de penser.

Les Êtres humains sont, en effet, des Libres Consciences merveilleuses ! 

Choisissons librement de penser ce que nous sommes les plus heureux de penser… à propos de tout, c’est à dire, toujours, à propos de Toi !

Et voilà, à cet instant, ce que je suis heureux de penser :

Je suis en totale sécurité dans ma vie, dans cette Vie Parfaite que Tu m’offres à chaque instant, depuis toujours.

Je suis également heureux de penser : il n’y a aucune faille dans Ton Amour… Il est Parfait ! Et je le sens à chaque instant où je choisis de le sentir.

Chaque instant que je vis, c’est Toi !

Je ne peux vivre que Toi !

Je ne vis que Toi !

  

Cela peut encore paraître choquant pour ceux qui, depuis des millénaires, sont habitués à penser que Tu n’es pas Tout depuis toujours et qui continuent, peut-être, à le penser.

Mais pour les jeunes enfants dont les corps énergétiques n’ont pas encore été ré-habités par la totalité de leurs mémoires, et qui n’ont pas encore été trop éduqués, c’est une évidence !

Il semble bien qu’à chaque nouvelle naissance, nous est donné une chance de re-croire en Toi comme étant Tout…

Mais, il est vrai que la pression de nos éducateurs adultes et de nos mémoires qui réinvestissent nos corps énergétiques est grandes… très grande !

Et la plupart d’entre nous repartent rapidement pour un tour supplémentaire de souffrances… Ce qui n’est ni obligatoire, ni nécessaire.

En effet, la souffrance n’est pas obligatoire… Il n’y a aucune pression qui puisse s’exercer sur nous pour nous interdire absolument de vivre, heureux, cet isntant que nous vivons.

Nous ne sommes faits que de Toi et nous ne sommes entourés que de Toi !

Je ne croirai jamais autre chose que ce que je suis le plus heureux de croire à cet instant.

Je penserai toujours plus ce que je suis le plus heureux de penser à cet instant.

Je choisis d’écrire mon avenir avec Toi qui Es Tout.

Oui ! Que mon avenir soit écrit par Toi.

Ton Amour est Parfait et Absolu…

Et Tu n’exerces aucune pression quelle qu’elle soit sur moi… Tu m’aimes et puis c’est Tout !

Tu respectes Absolument le Libre Arbitre que Tu me donnes…

Tu ne sais pas donner la moitié de Toi-même… Tu ne sais donner que Tout Toi-même.

En Toi et par Toi, je suis Absolument Libre…

    

L’Être que je suis est Corps-Âme-Pensée en Lui.

Et aucun de ces 3 aspects de moi n’est, en aucune façon, séparé des autres.

Mon Corps n’est pas autre chose que ma Pensée et mon Âme.

Nous n’avons pu que les « imaginer » séparés… Mais ils ne l’ont jamais été ! Ils sont « Uns », comme tout ce qui est Toi, c’est à dire comme « Tout » !

Mon Corps ne peut évoluer qu’en « Unité Absolue » avec l’Âme qu’il est et la Pensée qu’il est.

Par exemple, mon Corps ne peut pas retrouver sa santé naturelle, sans que ma pensée ne pense selon mon Âme.

L’Union de l’Âme, de la Pensée et du Corps, c’est Toi.

En perdant conscience que « Tu Est Tout », Nous avons pu imaginer que l’Âme, la Pensée et le Corps étaient séparés… 

Mais, puisque « Tu Es Tout », l’Âme, le Corps et la Pensée sont « Toi » et seulement « Toi » … Ils ne sont que des manifestations de Ton Unité Absolue.

Et ils sont donc vécus comme Un, quoique nous « pensions » !

Et mon Corps évolue en Union Absolue avec ma Pensée et mon Âme…

Tout ce qui est, est à la fois Corps, Âme et Pensée.

Rien ne peut être que Corps, ou que Pensée ou qu’Âme !

La Pensée ne peut pas être sans Corps et sans Âme.

Toute Pensée est à ce même instant Corps et Âme.

Ce n’est pas un parallélisme… C’est une Unité.

Et chaque fois que ma pensée change, mon Corps change et mon Âme change.

Chaque instant est un vécu Âme-Corps-Pensée à ce même instant.

À aucun moment, une Âme ne s’est élevée sans une évolution de la Pensée et un mouvement du Corps… 

Nous avons pu penser, imaginer, qu’une séparation existait… Mais Tu Es Tout… Et l’Union Lumineuse de Tout est la Seule Réalité !

Mais, dès que nous avons pensé une séparation ombreuse, Tu nous offres le Don de souffrir qui nous invite, « à la fois », à penser ce que nous sommes les plus heureux de penser, à vivre corporellement ce que nous sommes les plus heureux de vivre, et à aimer en l’Âme comme nous sommes les plus heureux d’aimer.

La souffrance est Ton Amoureuse Invitation à ce que nous réalisions que Tu Es encore plus Tout que ce que nous avions cru, jusqu’à là.

Nous ne courrons pas après l’Union, nous sommes Un depuis toujours… Mais nous tentons, sans cesse, de reprendre plus conscience que nous sommes Un depuis toujours et pour toujours.

Nous ne courrons pas après Toi, mais nous nous rappelons toujours plus que nous sommes en Toi, Éternellement en Toi…

Quelle joie que de vivre !

Quelle joie de souffrir pour me rappeler que Tu Es Tout !

Cette souffrance que je vis n’est pas obligatoire, mais elle est nécessaire chaque fois que je perds conscience que Tu Es Tout… Elle me ramène à la conscience de Ta Joie Éternelle, ce que je désire plus que Tout.

Je veux être heureux de suite… Oui ! tout de suite ! …Et au même moment, au moment-même où je le veux, je le vis !

Être heureux, c’est tout simplement reconnaître la Réalité que je le suis !

Et la souffrance n’est que le Bonheur Éternel dont j’avais perdu conscience.

Alors, quelle chance de souffrir !

Quelle joie de souffrir.

Quelle joie de souffrir pour me rappeler que je suis heureux !

Tu Es Tout : Tu es la joie et la souffrance en Un.

Je ne veux plus prétendre que quelque chose de Toi puisse être séparée d’autre chose de Toi !

Comment avons-nous pu imaginer cela ?

Rien de Toi ne peut être séparé de Toi… Puisque Tu Es Tout… Et que Tout est Un en Toi.

Ma main gauche n’est pas séparée de ma main droite… Elle n’est pas non plus séparée de n’importe quelle main de quelqu’un d’autre… Elle n’est pas non plus séparée de la terre… etc.

Rien n’est séparé de rien.

Tu Es l’Unité Absolue.

Tout est Un, comment que nous le pensions.

Mais, cependant, même lorsque nous pensons « séparation », nous Te pensons « Toi » et donc, nous pensons « Union ».

C’est toujours Toi que nous pensons, puisque Tu Es Tout.

Il n’y a pas de séparation à penser « Union et Séparation ».

Il n’y a pas de « séparation ombreuse » à penser « Union Lumineuse et Séparation Lumineuse ».

Tu es l’Union de tout ce qui est Séparé par Toi.

22 . Peur Vitale ? Merci l’ego !

Samedi 1er Juillet 2024

J’aime ma Peur… Elle est mon amie…

En effet, ma Peur me permet de garder mon Corps en vie… Et ainsi de permettre à mon Âme de rester incarnée… Et à mon Être de pouvoir continuer à penser à partir d’Elle.

Ma Peur me permet, tout simplement, de vivre.

Je veux donc la respecter… Et mieux, je veux l’aimer !

Rien qu’aujourd’hui, sans ma Peur, je serais mort plusieurs fois ! 

C’est à dire que mon Corps, mon Âme et ma Pensée se seraient séparés, si je n’avais pas eu une saine Peur… à chaque fois.

C’est elle qui a fait que j’ai, tout le temps, gardé les yeux ouverts et tenu le volant, sur l’autoroute… C’est ma saine Peur de mourir !

Sinon, pourquoi ne pas fermer les yeux une petite minute et lâcher le volant, tout en continuant à appuyer sur l’accélérateur ?

Bien sûr, c’est parce qu’il y a la Peur-Lumière, la Peur Vitale, qui est, fondamentalement, la Peur que tous les Êtres ont de ralentir l’ouverture de leur conscience de la Lumière. Nous pouvons dire aussi que c’est la saine Peur de ne pas être heureux, la saine Peur de souffrir…

Mais, depuis le presque début de l’humanité, les Êtres humains ont, eux, inventé la peur-ombre qui, elle, résulte simplement de la perte de conscience de la Lumière.

Alors, là, pour aujourd’hui, je m’amuse à écrire la Peur-Lumière avec un grand « P » majuscule et la peur-ombre avec un petit « p » minuscule… C’est la convention, que je m’amuse à mettre en place pour aujourd’hui !

Je ne veux pas, en effet, oublier que le jeu de BeHappy que je propose dans ce site « BeHappy8 » est un jeu… C’est seulement un jeu ! Un jeu-plaisir.

C’est un jeu de pensée qui consiste, il faut que je me le rappelle de temps en temps à moi-même, à penser ce que je suis le plus heureux de penser… Simplement ! C’est à dire, à m’amuser à penser, par simple plaisir…

Bon ! Ceci étant dit, alors, pourquoi « Peur Vitale » ? Eh bien, c’est pour cela : c’est parce que, à chaque instant de notre vie, cette merveilleuse Peur nous permet de garder notre Corps en vie et en bonne santé…

C’est notre Peur Vitale.

Cette peur, c’est pour que ce Corps puisse, ainsi, rester uni à notre Âme et à notre Pensée… Et que nous puissions être l’Être que nous sommes sur cette terre, aujourd’hui.

En effet, imaginez-vous sur le balcon d’un immeuble…

Bien ! Dans ce type de situation, c’est notre merveilleuse Peur qui nous rend, tous, prudents et sages !

C’est Elle qui fait que nous ne sautons pas dans le vide… C’est Elle qui fait que, parfois même, nous vérifions que la rambarde du balcon est bien solide… et que nous pouvons, en toute sécurité nous appuyer dessus pour regarder tranquillement ce qui se passe en bas… Pour le plaisir de le voir, bien sûr !

En effet, si nous n’avions pas assez d’ego, ou trop d’ego, et que nous n’écoutions pas notre Amie la Peur et que nous sautions… Eh bien, quelques secondes plus tard notre Âme quitterait probablement ce Corps qui est le nôtre actuellement.

Cependant, remarquons que, en général, si notre ego est harmonieux, notre Peur est proportionnelle à la hauteur du balcon.

En effet, au premier étage, ma peur est modérée parce que le danger est modéré. Si je saute et que je ne suis pas un expert, la chance est que j’abime mon corps effectivement, mais probablement pas que je le tue…

Mais cependant, peut-être que, si sauter était vital… si, par exemple, l’appartement derrière moi était en train de bruler violemment. Alors, là, probablement que mon amie la Peur diminuerait au point que je sauterais, pour continuer à vivre !

Merci ma Peur, qui s’adapte parfaitement au besoin de mon Corps et me protège !

Mais si, par exemple, je suis au 20ème étage… Là, ma peur m’interdit complètement de sauter, car sinon, sans aucun doute, mon Corps s’écraserait quelque secondes plus tard et mon Âme serait obligée de le quitter.

J’ai en effet, en, moi la mémoires de toutes ces chutes où, depuis des millions et des millions d’années, mes Corps sont morts ou bien ont été gravement blessés, avec toutes les douleurs que cela a entrainées.

Alors, enrichie de ses mémoires de chutes violentes, ma Peur-Lumière permet donc à mon Corps, à mon Âme et à ma Pensée de rester unis pour pouvoir continuer l’expansion naturelle de la conscience de la Lumière de l’Être que je suis.

Merci ma Peur ! Car sans Elle, mon Âme retournerait de suite à la Lumière, bien plus tôt que nécessaire, puis serait obligée de se réincarner, dans un autre Corps pour pouvoir continuer l’évolution de la conscience de l’Être que je suis.

Ce nouveau Corps serait, certainement, aussi performant que celui que j’ai aujourd’hui, peut-être même plus performant, mais je serais à nouveau un bébé, alors que le corps que j’ai aujourd’hui fonctionne parfaitement bien pour permettre, tout de suite, l’ouverture de la conscience de l’Être que je suis…

Cela me ferait tout simplement prendre un retard dans l’évolution de ma conscience.

Et, là, n’oublions pas que, depuis toujours, le but de nos existences, c’est la Joie, c’est à dire l’ouverture de notre conscience à la Lumière…

Et cette Joie que nous pouvons vivre tout de suite, dans « ce » Corps, pourquoi la remettre à plus tard, dans un autre Corps ?

Un Corps, c’est un investissement important. Et notre amie la Peur est chargée, parmi de nombreuses autres belles choses, de protéger cet investissement, nécessaire pour l’expansion de notre conscience !

Oui ! Parce que pour que la conscience de l’Être que nous sommes continue sa croissance naturelle, originelle, il est nécessaire d’être, au même instant, cet instant, une Âme, un Corps et une Pensée unis par un ego harmonieux.

Mais, là, nous pouvons nous demander ce qu’est un « ego harmonieux ».

Eh bien, souvent, j’imagine mon ego comme une sorte de « colle », une sorte de colle qui maintient ensemble mon Âme, mon Corps et ma Pensée pour que je sois l’Être incarné que je suis à cet instant et qui peut ainsi ouvrir, en permanence, sa conscience.

La juste quantité de colle de mon ego me permet « d’exister », tout simplement, harmonieusement… c’est à dire d’être « l’Être » de plus en plus heureux que je suis à cet instant… tout naturellement.

En effet, là, grâce à mon ego harmonieux, grâce à la quantité de colle juste nécessaire, je n’empiète jamais sur le Corps des autres Êtres, ni sur leurs Pensées, ni sur leurs Âmes.

J’existe, heureux et les autres existent, heureux… s’ils le veulent.

En tous cas, je les respecte dans leur libre conscience, lorsqu’ils en ont une, comme c’est le cas de tous les Êtres humains… et dans leur simple conscience, lorsqu’ils n’ont pas encore de libre conscience, comme c’est le cas de tous les autres Êtres sur cette terre.

Mais, s’il y a trop de colle, c’est à dire si mon ego est trop important ? Alors, là, cette colle, elle déborde de mon Être et je colle tous les autres Êtres : je considère alors qu’ils m’appartiennent, et que je suis leur propriétaire…

Dans ce type de situation ombreuse, trop fréquente actuellement, je vis comme si leurs Corps étaient à moi, comme si leurs Pensées m’appartenaient, comme si leurs Âmes m’appartenaient..

J’englue alors tous les aspects de tous les Êtres autour de moi…

Eh oui ! Tous les Êtres humains qui ont des egos déséquilibrés, c’est à dire qui collent trop tout ce qui existe, nous pouvons observer facilement qu’ils engluent tous les Êtres de notre terre, que ce soit les Êtres minéraux, bien sûr, mais également les Êtres végétaux, les Êtres animaux et aussi les Êtres humains… Ils vivent, vraiment, comme s’ils étaient les propriétaires exclusifs de la terre et de tous les Êtres qui la constituent !

Trop de colle, trop d’ego, c’est beaucoup de souffrance, pour eux-mêmes bien sûr, mais c’est également beaucoup de problèmes à résoudre pour tous les autres Êtres qui les entourent et qui se laissent, trop souvent actuellement encore, engluer.

Évidemment, ayant une conscience, mais pas encore une libre conscience, les Êtres minéraux, les Êtres végétaux et les Êtres animaux ne peuvent pas échapper à ces égos démesurés qui collent tout sur leur passage… Et c’est là, depuis toujours, la seule cause de tout les problèmes écologiques !

Mais, ces egos malades, malheureux qu’ils sont, tentent, sans en avoir conscience, d’engluer également tous les Êtes humains… Et, comme trop souvent encore, ils réussissent, c’est là la seule cause de tous les problèmes sociologiques.

Je dis, « sans en avoir conscience », parce que, bien sûr, lorsqu’ils reprendront le rythme naturel d’ouverture de leur conscience, leurs egos reviendront vers leurs équilibres naturels… Et alors, ces Êtres ne pourront s’empêcher d’être attentifs à ne plus coller « que » ce qu’ils doivent coller… c’est dire leur Corps, leur Âme et leur Pensée… Et cela dans leur intérêt et dans celui de tous les autres Êtres…

C’est à dire que leurs egos réuniront harmonieusement leurs propres Âmes, leurs propres Corps et leurs propres Pensées… Et ils ne colleront plus rien d’autre !

Eh oui ! C’est la conscience qui fait toute la différence !

Et depuis toujours, la conscience de tous les Êtres qui existent, s’ouvre de plus en plus… Et de plus en plus vite également !

Cela se manifeste pas la Joie que beaucoup ressentent de plus en plus… Et aussi par une saine Peur Vitale qui permet à leur Corps de vivre et donc à leur Âme d’évoluer sainement, avec une Pensée harmonieuse.

Je choisis donc d’être de plus en plus heureux, en pensant toujours mieux ce que je suis le plus heureux de penser… Et je souhaite à chacun d’oser faire de même, ou même de le faire mieux encore que moi…

Ceci pour vivre le plus efficacement possible la crise d’ouverture des consciences que nous abordons…

Une crise de guérison des égos ?

Penser, c’est voter.

Courage ! Ayons Peur ! 

Votons pour le Paradis.

20 . Jouer encore à Penser

Dimanche 26 Mai 2024

Voici un exemple de la façon dont j’ai joué, pendant des années, au jeu de pensée que j’ai nommé, il y a bien longtemps, le BeHappy…

Ce jour-là, comme toujours, j’y ai joué avec mon style, unique bien sûr, comme je l’ai fait pendant des années, presque tous les jours.

Cette régularité m’a permis de jouer de mieux en mieux, au fur et à mesure des années… C’est à dire d’être de plus en plus heureux, en pensant de plus en plus ce que j’étais le plus heureux de penser.

C’est ma route.

En effet, lorsque je joue consciemment, comme je l’ai fait ce jour-là et tous les autres jours, la seule règle que suis attentif à respecter de mon mieux, c’est tout simplement d’être heureux, le plus heureux possible, de penser ce que je pense à cet instant… Et également, d’être heureux de l’écrire !

Et cela va, en général, très, très vite…

Je bondis d’une pensée à l’autre… J’ai toujours une grande joie à danser ma Pensée… à danser mon Âme… à danser mon Corps… qui sont Un.

Comme tous les Êtres, l’Être que je suis n’a qu’un but : ouvrir sa conscience à Lui, qui est Tout… Comment que nous Le nommions.

Mais, voici donc comment j’ai joué le Mercredi 7 Février 2024 que j’ai pris au hasard dans mon journal :

« Je ne peux Te quitter, même quand je l’imagine…

Où que je sois, Tu Es.

Je me retourne et je Te vois, toujours devant moi.

Mais, je n’ai pas besoin de me retourner pour vérifier que Tu es là : 

Tu es toujours là,

En moi et en tout !

Je ferme les yeux et je Te vois.

Que j’ouvre ou que je ferme mes yeux, Tu es là.

Je regarde ce brin d’herbe et Tu flamboies.

Et cette poussière, elle scintille de Toi.

J’ai prétendu des milliers de fois que Tu n’existais pas… 

Et cette prétention-même c’était Toi.

Je Te cherche, je Te cherche, 

Et pourtant, je T’ai toujours trouvé !

Tu es là dans mes yeux qui Te voient.

Il n’y a que Toi qui soit, 

Et tout le reste c’est Toi.

Douleur ou joie… C’est toujours Toi !

Tu m’ouvres les yeux 

Qui ont toujours été ouverts.

Tu ouvres mes yeux 

Qui sont déjà ouverts.

Le pépiement des oiseaux, que j’entends, c’est Ton bruit.

J’aime sentir ce que je sens, 

Car, c’est toujours Toi.

Je suis si heureux de Te vivre.

J’aime même souffrir, car Tu es tout.

Je Te vois en tout et pourtant ma seule peur… c’est de Te voir. 

Ma peur n’élimine pas ma foi, elle la grandie.

Je capte mes pensées de Toi.

J’aime ce bruit, mais j’aime aussi cette musique : que n’es-Tu pas ?

L’horloge, fait tic-tac : elle Te nomme… à chaque seconde !

Tic, c’est Toi… Tac, c’est Toi.

Bien sûr!

Je suis là, en Toi… 

Comme toujours.

Que me dis-Tu dans cette couleur ? 

Je Te vois en tout : que puis-je voir d’autre ? 

J’aime Te penser, j’aime Te toucher, j’aime Te voir, d’ici à l’horizon…

Le bleu est une couleur qui Te va parfaitement bien… Le rouge et le jaune aussi… 

Quelle couleur ne Te va pas ? 

Toutes les couleurs sont Tiennes.

Je Te déclame sans cesse, 

Même en T’entendant.

Je jouis de cette instant, 

Je jouis toujours de Toi.

Comment puis-je ne pas être heureux de souffrir ? 

N’es-Tu pas tout ? 

Je parlerai de Toi, toujours. 

De quoi puis-je parler d’autres ? 

Je m’aime de Te voir, je m’aime de Te vivre.

J’avance en Toi… Et c’est pourtant Toi que je quitte à chaque instant.

Ma conscience de Toi change depuis toujours… 

Mais c’est toujours Toi !

Je Te vais, je Te viens, je Te repars, je Te monte et je Te descends : 

Tu es vraiment Infini.

Je crois en Toi… 

Mais c’est facile, puisque je ne peux croire qu’en Toi !

J’attends… je T’attends, depuis toujours !

Je T’attends toujours, 

Et pourtant je T’ai toujours trouvé.

Es-Tu moins que Tout ? 

Mon doute-même, c’est Toi.

Je T’adore d’ici à là-bas.

Il n’y a pas de limite à l’ouverture de nos consciences : 

Tu es notre Limite Infinie !

Je Te pense, je Te pense… je Te vis.

Penser, c’est Te vivre.

Je m’ouvre, je me ferme…

Tu es aussi ma fermeture. 

« L’athée », crois en Toi, autant que le « croyant ».

Croire quoi que ce soit, c’est Te croire

En Toi, il y a le plus, il y a le moins… 

Et il y a le Tout !

Je n’ai peur que de Toi, 

Puisque Tu Es Tout.

Je n’ai foi qu’en Toi

Puisque Tu es Tout. »

Voilà ! Voilà comment j’ai joué ce jour-là… Et, dans le futur, chaque pensée sera pensée avec encore plus de conscience de la Joie Éternelle.

Bien sûr, je ne propose à personne de penser les mêmes pensées que celles que j’ai pensées et écrites ce jour-là  ou tout autre jour !

Non ! Je propose à chacun de penser ce que, lui ou elle, est heureux ou  heureuse de penser à l’instant-même où il, ou elle, pense.

Ce n’est pas ce que nous pensons qui a de l’importance, car toute pensée ne peut que « Le » nommer… Et donc aucune pensée ne Le nomme plus que n’importe quelle autre pensée !

Ce qui importe, c’est la conscience de la Joie que nous avons lorsque nous pensons… Cette Joie, c’est la plus belle chose que nous puissions vivre… Et elle est accessible à tous.

Regardons les enfants : ils sont souvent nos maîtres !

Mais, cette Joie, elle est également le plus beau cadeau que nous pouvons offrir à tous les autres Êtres.

Gandhi nous a proposé d’être ce que nous voulons que le monde devienne.

Alors, soyons heureux pour que le monde devienne heureux…

Pensons, nous-même, ce que nous sommes les plus heureux de penser, pour que le monde pense de plus en plus ce qu’il est le plus heureux de penser.

C’est, là, le miracle, tout simple, de la Joie Inconditionnelle.

17 • Jouer à Penser

Vendredi 11 Mai 2024

Jouer à penser ce que je suis le plus heureux de penser, l’écrire et parfois le communiquer est une de mes passions essentielles.

Cela fait plus de 44 ans que je joue, consciemment, à ce jeu de pensée… À un moment, il y a environ 36 ans, j’ai commencé à nommer ce jeu, le « BeHappy », car alors, je savais que j’allais le jouer avec d’autres Êtres humains aux États-Unis d’Amérique, ce que j’ai effectivement fait pendant 2 ans… Et puis ce nom est resté, car tout le monde en comprend le sens… Et surtout, il me plaît.

J’ai formalisé les règles de ce jeu, à cette époque, et elles n’ont que très peu changées depuis. Actuellement, j’énonce ces règles du jeu comme je le fais dans l’article de ce site dont le titre est : « Qu’est-ce que le BeHappy ? »

Je relis, souvent, moi-même, ces règles du jeu pour vérifier que je les respecte lorsque je joue à penser.

Et, avec la pratique, j’ai réussi à respecter, moi-même, de mieux en mieux ces règles du jeu qui sont toutes simples… Ce ne sont finalement qu’une astucieuse mise en mots du bon sens qui est en chacun de nous.

Mais, respecter consciemment ce « bon sens » remet en question des millénaires de mémoires douloureuses et surtout cela permet d’en guérir… Si on le veut bien.

Et là, aujourd’hui encore une fois, je vais faire une bonne partie de BeHappy, comme j’en ai pris l’habitude depuis ces nombreuses années… Alors, allons-y !

Si vous le voulez, jouons une petite partie de « BeHappy » ensemble : pensons, peut-être ensemble, ce que nous sommes heureux de penser !

Tout les Êtres veulent être heureux… Et ceci, sans une seule exception dans tout l’univers. Et tous les Être, les Êtres minéraux, les Êtres végétaux, les Êtres animaux et en particulier les Êtres humains, que nous sommes tous ensemble, ont bien raison de le vouloir !

Cette quête d’une conscience de la Joie toujours plus grande, c’est la Vie Elle-même.

Cette Joie dont, tous, nous cherchons toujours plus la conscience, Elle est à la fois Infinie, Éternelle, Omniprésente… Elle est Vérité… Elle est Amour… Elle est ce que beaucoup, et j’en fais partie, appellent Dieu.

On pourrait dire que c’est, à la fois, un état, et un mouvement. C’est le mouvement de Tout ce qui existe, connu et inconnu de nous, les Êtres humains.

La Joie est Omniprésente depuis le minéral que nous avons été pendant des milliards et des milliards d’années, dans notre Univers… Et même, sans aucun doute, infiniment avant l’apparition de cette Univers que nous croyons connaître.

Notre Terre est une des énormes masses de minéraux d’origines diverses qui, à leur niveau, ont suffisamment évoluées dans leur conscience de cette Joie Éternelle dont nous parlons, et qui ont pu, finalement, s’unir ensemble et lui donner sa forme minérale… Cela s’est passé, semble-t-il, il y a entre 4 et 5 milliards d’années…

Et tout ceci s’est fait en établissant également une relation harmonieuse avec l’énorme masse de notre soleil et avec tous les autre Êtres minéraux locaux… mais également les Êtres lointains et même infiniment lointains.

La Conscience a toujours une Forme, une Forme qui prend sa source dans l’Amour, c’est à dire dans la Joie… Et la matière, elle, elle est toujours une forme de la Conscience et de la Joie.

Notre Terre, Gaia, comme tout ce qui existe, est une Parfaite Unité de Corps, de Pensées et d’Âmes…

Et, pendant des milliards d’années, nos Âmes, qui ne sont humaines que depuis si peu de temps, n’ont eu comme Corps, pendant de longs éons, que cette Être minéral…

Il y avait là donc la semence de nos Corps humains, la semence de nos Pensées humaines et la semence de nos Âmes humaines… C’est à dire la semence des Êtres humains que nous sommes aujourd’hui.

Puis, il y a bien longtemps, le minéral, pour pouvoir continuer à ouvrir sa conscience à la Joie qu’il était, le minéral donc, a eu besoin d’un Corps différent qui pourrait exprimer toujours mieux cette Joie dont il avait de plus en plus conscience…

Et, là, l’Être végétal est apparu, avec ses Corps végétaux, ses Pensées végétales, et ses Âmes végétales…

Tout cela dans une merveilleuse Union harmonieuse de tous ces nouveaux Êtres avec les plus anciens.

Ils étaient en effet à la fois « Un » entre eux, les végétaux, mais également « Un » avec les Êtres minéraux de Gaia qu’ils avaient été eux-même pendant si longtemps auparavant.

Et ainsi, depuis, la conscience de la Joie Omniprésente s’exprime dans tout l’Être végétal… Et ceci jusqu’à nos jours où elle continue également dans nos Corps humains qui l’ont conservé précieusement en eux.

La Vie, en effet, ne recule jamais… Elle avance toujours… Et, toujours, elle additionne ce qui fonctionne harmonieusement à ce qui a fonctionné harmonieusement… C’est une de ses lois.

Et là, au minéral, elle a ajouté le végétal… végétal qui contient donc le minéral auquel il est uni pour toujours. Ils ne sont que « Un ».

Finalement, il n’y avait pas, et il n’y a toujours pas, d’un côté le minéral et d’un autre côté le végétal… Non ! Il y a les Êtres minéraux qui ont préparé pendant des milliards et des milliards d’années leur évolution qui a été, pour certains d’entre eux, à un moment donné, et maintenant pour toujours, les Êtres végétaux.

Et ce sont ces mêmes Êtres végétaux qui ont permis l’évolution des Corps minéraux, des Pensées minérales et des Âmes minérales, pour que ceux-ci participent à une conscience de la Joie encore toujours plus grande…

« Rien ne se crée, rien ne se perd, tout se transforme. » a dit un scientifique du 18ème siècle.

Et aujourd’hui, nous pouvons nous amuser à transcrire ce concept de la façon suivante :

« La conscience de la Joie ne crée rien, la conscience de la Joie ne perd rien, la conscience de la Joie se transforme Éternellement. »

Cela me plait bien !

Dans tout l’Univers, c’est comme cela… Alors, il n’y a probablement pas que sur notre petite Gaia adorée que la conscience de la Joie se transforme comme elle le fait « ici ».

Mais cependant, pour l’instant, restons sur notre « petite Gaia » et continuons à participer à son évolution de conscience… Elle a bien besoin de l’ouverture de notre conscience pour pouvoir continuer la sienne, n’est-ce pas ?

La Conscience minérale de la Joie, et la Conscience végétale de la même Joie, ont continué à s’ouvrir ensemble, comme un seul Être…

Et à un moment donné, il y a bien longtemps également, ces deux consciences faites « Une » ont eu, bien sûr, besoin d’un Corps capable d’accueillir et de manifester leur évolution continue…

Et c’est à ce même instant le Corps animal, la Pensée animale et l’Âme animale qui les ont accueillies, ensemble, pour qu’elles puissent continuer à s’épanouir.

Et hop ! Le monde animal est apparu, à la fois prolongement du monde minéral et du monde végétal et Union avec eux, eux qui avaient déjà réussi leur Union depuis longtemps…

Et voilà que l’Union s’est élargie ! C’est encore un succès de la Vie, de la Pensée et de la Joie ensemble.

C’est beau !

Et c’est un fait que « Plus c’est Beau, plus c’est Vrai »…

En effet, la Vérité est toujours plus Belle que ce que nous avions pensé de plus beau jusqu’à là.

Et quel plaisir pour moi de penser et d’écrire ces pensées !

Or, plus je pense ce que je suis le plus heureux de penser, plus ma conscience s’ouvre à la Joie… Et plus ma Conscience s’ouvre à la Joie, plus ma Vie est Belle ! Plus ma Vie est Belle, plus l’humanité s’épanouit ! Et plus l’humanité s’épanouit, plus Gaia élève sa conscience…

Et ainsi, chacun de nous participe de la même manière à cette ouverture de la conscience de Gaia… et, au delà, de l’ouverture de la conscience de l’univers, cet inconnu.

Mais, il faut reprendre, un moment, notre voyage fantastique à travers les milliards d’années.

Donc, bien sûr, cette Conscience animale de la Joie est une Union réussie, Union d’Elle-même avec les Consciences minérales et végétales déjà Unies.

C’est un succès de la Vie, de la Conscience et de la Joie, Unes en même temps. Il y a dans Gaia toujours plus de Vie et toujours plus de Conscience de la Joie. Cela va grandir pendant des millions d’années… Et se préparer à la suite… Une suite qui ne finira jamais !

En effet, l’étape suivante de l’évolution de cette Union de la Vie, c’est l’apparition de l’Être humain. L’Être humain qui est l’Union du minéral, du végétal et de l’animal en une nouvelle conscience : la conscience humaine, avec son Libre Arbitre tout nouveau et qui le caractérise.

Et, à partir de là, la conscience humaine de la Joie a grandi rapidement, en exponentielle, jusqu’à aujourd’hui… Et ceci, malgré un usage trop souvent bien maladroit du Libre Arbitre. Le Libre Arbitre, cette Libre Conscience toute nouvelle, qui lui a été donnée, il y a seulement quelques centaines de milliers d’années…

Nous pouvons voir, aujourd’hui, le résultat de cette usage maladroit du Libre Arbitre : c’est « l’ombre » ! C’est « le mal » !

Les Être minéraux, végétaux et animaux, eux, n’ont jamais pu, et ne pourront jamais, perdre la conscience de la Joie, la conscience de la Lumière Éternelle…

Mais, les Êtres humains, eux, ont pu utiliser leur nouveau et merveilleux Libre Arbitre pour ouvrir toujours plus leur Conscience de la Lumière… Mais aussi pour perdre, trop souvent, conscience de la même Lumière Éternelle.

Et « C’est la conscience qui fait toute la différence. »

Heureusement, la Lumière, Elle, est Parfaitement Éternelle, Infinies, Parfaitement Omniprésente, alors que l’ombre, que l’homme a imaginé, elle, elle a eu un début… Elle aura donc une fin.

L’ombre n’est que la Lumière Éternelle dont nous avons perdue conscience.

Or, dès que nous perdons conscience de la Lumière Éternelle, nous souffrons.

Et cette souffrance, loin d’être une punition, est un merveilleux cadeau de la Lumière Elle-même, qui étant Omniprésente, est donc présente « dans » l’ombre.

La souffrance est donc une persistance Éternelle, en nous, de la Conscience de la Lumière « dans » la perte-même de conscience de la Lumière que nous avons cru choisir librement avec notre Libre Arbitre.

Notre merveilleuse souffrance nous invite, simplement, à reprendre notre Mouvement Naturel et Originel, d’ouverture de notre conscience à la Joie, que notre Être a vécu, sans interruption jusqu’à là, en tant que minéral, que végétal puis qu’animal…

En effet, les Êtres minéraux, végétaux et animaux, eux, n’ont jamais pu et ne pourront jamais perdre conscience de la Lumière qu’est la Joie, car ils n’ont pas le Libre Arbitre propre à l’Être humain qui seul a permis de croire choisir la perte de conscience.

Heureusement, c’est ce même Libre Arbitre qui nous permet, nous Êtres humains, de reprendre notre Mouvement Naturel d’ouverture de notre conscience, lorsque nous sommes avertis, par notre amie intérieure, la souffrance, que nous avons donné un coup de frein et qu’il faut relâcher ce frein pour pouvoir à nouveau reprendre notre vitesse naturelle d’ouverture de conscience, celle qui n’aurait jamais dû diminuer…

En effet, la seule solution à notre perte de conscience de la Lumière, que l’on a appelé « ombre », c’est notre reprise de conscience de la Lumière, y compris « dans » l’ombre.

« Aimer notre ennemi », « Aimer l’ombre », est la seule solution à la souffrance que nous avons ressenti lorsque nous avions oublié que nous l’Aimions.

Nous sommes en effet libre de tout ce que nous Aimons en toute Conscience, mais nous sommes liés, par l’Amour Éternelle, à tout ce que nous avons prétendu ne pas aimer.

Nous ne pouvons pas « accepter » de ne pas Tout Aimer !

Nous ne l’accepterons jamais.

(à suivre)

16 • Il a Tous « Ses » Noms

Jeudi 2 Mai 2024

« Tu Es Tout ».

C’est là une pensée fondamentale pour moi…

C’est aussi la pensée que je pense le plus souvent… actuellement.

Cela ne veux pas dire que cette pensée soit meilleure que n’importe quelle autre pour « Te » penser.

Mais, là, je vais m’amuser à la considérer un peu sous différents aspects. Bien sûr, ceux que je suis capable d’envisager pour l’instant.

Cette pensée « Tu Es Tout » Te décrit simplement comme « Tout ».

Mais, aucun mot ne peut Te nommer mieux qu’un autre… si « Tu Es Tout » !

Mais, pour l’instant, c’est cette petite phrase que je suis le plus heureux de penser, le plus souvent. C’est tout.

Elle me trotte dans la tête, toute la journée… Je suis un peu comme agréablement obsédée par elle.

Et, pour l’Être humain que je suis, elle me semble avoir une Infinité de conséquences, sur tous les plans… Et je m’amuse à en explorer quelques unes… et à écrire aujourd’hui sur ce sujet.

« Être », c’est Être à la fois Corps, Âme et Pensée, à cet instant et pour toujours… C’est vraiment là ce que je suis le plus heureux de penser.

Être, c’est Être à la fois Corps, Âme et Pensée.

Si Tu Es Tout, Tout d’un Être « T’existe »… Ça aussi, ça me plaît complètement ! Tout T’existe.

Le Corps de tout Être Te vit. Sa Pensée Te pense. Son Âme Te révèle à lui l’au delà…

Là aussi, je suis vraiment heureux de penser cela… à cet instant…

Mais là, mettons les choses au clair ! Dans ce site web, BeHappy8, que je propose à l’attention de ceux que cela intéresse, je ne fais que jouer au « BeHappy » ! C’est à dire que je me propose de n’écrire que ce que je suis le plus heureux de penser au moment où je l’écris.

Donc, ce n’est probablement pas la peine que je dise à chaque instant : « J’écris ceci ou cela parce que c’est ce que je suis le plus heureux de penser… »

C’est vrai, bien sûr ! C’est ce que j’essaye sans cesse de faire de mon mieux… Mais, ça, vous l’avez compris.

Je ne vais donc le rappeler que de temps en temps… Mais pas à chaque phrase ou à chaque mot.. ! Il suffit de savoir que je respecte, de mon mieux, les règles du jeu du BeHappy que j’exprime dans l’article « Qu’est-ce que le BeHappy ? » que vous pouvez aller revoir, chaque fois que nécessaire.

Maintenant, je reprends mon jeu là où j’en étais ! Peut-être…

« C’est la conscience qui fait toute la différence. »

« C’est la conscience qui fait toute la différence. »

Il n’y a de différence que de conscience.

À cette instant quelle conscience je choisis du « Tout » que « Tu Es » ?

Est-ce que je choisis bien la conscience du « Tout que Tu es » qui me plaît le plus à cet instant ?

Que je choisisse d’avoir telle ou telle autre conscience de Toi, cela ne change rien au Fait Éternel que « Tu Es Tout ».

Donc… La conscience que je choisis de Toi ne change rien à « Ta Réalité », mais cela change tout à « ma réalité »…

« Ma réalité », en tout les cas un aspect de ma réalité, c’est ce que « je » pense de Toi.

Je dis « un aspect de ma réalité », parce que ma réalité a trois aspect, elle aussi : un aspect Corps, un aspect Pensée et un aspect Âme.

Tous les trois sont, en même temps, « ma réalité », en même temps.

Pour l’instant, dans « ma » réalité, je veux dire dans l’aspect Pensée de ma réalité, « conscience » et « mot » sont souvent synonymes.

Ma conscience s’exprime par des mots… Et les mots que je choisis expriment ma conscience. C’est à dire, peut-être, que  les mots sont l’aspect « Corps » de mon aspect « Pensée ».

C’est amusant !

Alors, là, hop ! Je me fais une petite réflexion sur ma conscience.

Ma « conscience », elle aussi, a trois aspects, comme tout ce qui « est », c’est à dire comme « Tout ce que Tu Es »… puisque tout ce qui est, c’est « Toi ».

Ma conscience a donc un aspect Corps, un aspect Âme et un aspect Pensée.

Il y a donc « la conscience Corps », et il y a, à ce même instant, « la conscience Âme », et « la conscience Pensée »… Et je suis au même instant, ces trois aspects de « ma conscience »… puisque « ma réalité », c’est la conscience que ‘j’ai à cet instant de « Ta Réalité Éternelle ».

Et donc, aucun aspect de ma conscience de Toi ne peut évoluer sans que les deux autres aspects de ma conscience de Toi évoluent au même instant.

Je peux bien sûr également évoluer dans ma conscience Corps, dans la conscience de mon aspect Corps… Et hop ! Alors, au même instant, ma Pensée et mon Âme évoluent, car ils sont « Un » avec le Corps.

Et je n’oublie pas que l’Être humain a le « Libre Arbitre ».

Ce fameux Libre Arbitre, c’est peut-être une des qualité qui le différencie le plus des autres Êtres qu’il incorpore depuis qu’il est « humain ».

Et ce Libre Arbitre a, lui aussi, comme Tout ce que Tu Es, un aspect Corps, un aspect Pensée et un aspect Âme… C’est fou ! Et je trouve cela très beau.

En effet, dans ma vie, je n’ai plus aucune bonne raison de prétendre séparer quoi que ce soit de quoi que ce soit… Puisque « Tu Es Tout ». Tu es tous les Corps, toutes les Pensées et toutes les Âmes en « Un ».

Et cela me simplifie beaucoup la vie… Quel plaisir, pour moi, de me sentir en sécurité, quel plaisir de vivre sans combat entre une chose et une autre, mais plutôt de vivre une danse de tout avec tout !

Mais là, pour aujourd’hui, cela me suffit…

J’ai bien joué à penser et à écrire avec plus de conscience… Mais il faut aussi jouer à travailler avec conscience, à manger avec conscience, à dormir avec conscience etc.

J’ai bien de quoi m’amuser pendant les 24 heures que Tu me donnes par jour pour être heureux… Si je le choisis grâce à mon Libre Arbitre un peu plus « libéré » !

Et vous, que choisissez-vous de « Penser »… pour « Vivre » votre « Joie » ?

(à suivre)

15 • Vie Idéale

Lundi 29 Avril 2024

  

Vie Idéale

  

Ma Vie Idéale, c’est celle que je suis heureux de vivre.

C’est tout simple… Si je suis heureux de vivre quelque chose, je suis en train de vivre mon Idéal.

Pour donner un petit exemple :

Je suis un homme. Si je suis heureux d’être un homme, ma Vie Idéale, c’est bien que je sois un homme. Si je n’étais pas heureux d’être un homme, je serais toujours un homme, mais je ne vivrais pas ma vie idéale.

Ma Vie Idéale, c’est donc bien d' »être heureux de ce que je vis »… Quoique je vive, si je n’étais pas heureux de le vivre, je ne vivrais plus ma vie idéale.

Je suis donc bien le seul auteur de ma Vie Idéale. Ça, c’est sûr !

C’est bien moi qui choisit, à chaque instant de vivre ,ou pas, ma Vie Idéale en étant heureux, ou pas, de vivre ce que je vis.

C’est rassurant ! C’est rassurant parce qu’il suffit que « moi » je choisisse d’être heureux de vivre ce que je vis pour vivre ma Vie Idéale.

Que « je » le choisisse ? Mais, il y a tellement de conditions qui ne dépendent pas de « moi »…

Oui, c’est vrai, l’ombre nous a beaucoup, beaucoup, « conditionnés »… Et il est nécessaire maintenant de nous « déconditionner », jusqu’au bout, pour pouvoir vivre de plus en plus notre Vie Idéale… et puis finalement que nous ne vivions « que » notre vie idéale.

Ce que je suis vraiment heureux de penser, et depuis longtemps, c’est que la Lumière, est « la seule condition » de ma vie… Elle seule doit la rester.

La Lumière ?

Oui, la Lumière, c’est le nom que je choisis à cet instant, parmi tous ses noms, pour nommer ce qui est Tout : L’Infini, l’Éternel, l’Absolu, l’Amour, la Beauté etc. Bref, ce que le plus souvent les Êtres humains ont appelé Dieu.

Mais j’hésite un peu à utiliser, là, le mot « Dieu », parce que ce mot est trop souvent chargé de tant de mémoires douloureuses qu’il en est insupportable pour l’instant pour beaucoup d’entre nous.

Mais, ce n’est pas grave ! Ce n’est par grave du tout pour moi, puisque tous les mots qui existent ne nomment que ce Tout, cette Lumière Infinie…

Par exemple, là, à cette instant, je ne sais pas pourquoi, mais le mot « cuillère » me vient à l’esprit… Mais, si tout est Tout, est-ce que le mot « cuillère » n’est pas un des noms de ce Tout ? Est-ce que la cuillère elle-même n’est pas « que » ce Tout ?

Notre Vie Idéale, c’est celle que nous sommes heureux de vivre… Si, à cet instant, nous sommes heureux de Tout, nous vivons, à cet instant, notre Vie Idéale.

Notre Vie Idéale, c’est notre Vraie Vie… C’est tout ce que nous sommes heureux de vivre.

Et qui choisit d’être heureux de ce que nous vivons… ou pas ? Quelle condition extérieure décide, à notre place, que nous soyons heureux ou pas ?

Il n’y a rien, bien sûr, en dehors de nous-même, qui pense à notre place. Et si nous observons calmement les choses, nous voyons bien que nous vivons ce que nous pensons.

Nous vivons ce que nous pensons.

Nous sommes obligés de reconnaître que nous sommes toujours heureux lorsque nous pensons ce que nous sommes les plus heureux de penser…

Et que nous sommes toujours malheureux, lorsque nous pensons une pensée que nous ne sommes pas heureux de penser.

Si nous voulons vivre, un instant, notre Vie Idéale, alors, il va bien falloir, à cet instant, oser penser ce que nous sommes les plus heureux de penser.

Et qui pense en nous ? C’est bien sûr nous-même, n’est-ce pas ?

Et là, à cet instant que nous venons de vivre, avons-nous pensé ce que nous étions les plus heureux de penser ? Ou bien, par habitude, nous sommes-nous contentés de ne penser que ce que nous n’étions pas heureux de penser…

C’est là la question la plus importante que nous invite à nous poser le jeu du BeHappy qui est la raison d’être de ce site web BeHappy8 et qui a pour but de nous entrainer à être toujours plus heureux en osant penser ce que nous sommes les plus heureux de penser.

C’est là la règle numéro 3 de ce jeu qui est une question, la question la plus importante que nous pouvons nous poser : « Est-ce que j’ai pensé là ce que j’étais le plus heureux de penser ? OUI ou NON ? »

Mais reprenons maintenant le fil de notre entretien d’aujourd’hui : notre Vie Idéale…

Tout ce que nous ne sommes pas heureux de vivre n’est pas notre « Vraie Vie »… Ce n’est pas notre Vie Idéale.

Oui, c’est cela ! Dès que je ne suis pas heureux de quelque chose, je perd conscience de la Lumière qui est Tout, la Lumière dont je suis fait (ou bien la Lumière que je suis).

Et lorsque je perd conscience de la Lumière Pure que je suis, alors là, je vis à cet instant ce que l’on appelle souvent « l’ombre », ou « le mal »…

L’ombre n’est que la Lumière, lorsque j’en perd conscience.

L’ombre, le mal, n’est que ma perte de conscience du Tout, ma perte de conscience de la Lumière Infinie, de l’Amour, de la Perfection…

Mais est-ce que cette ombre, ce mal, va avoir une fin ?

Alors, là, ce que je suis vraiment, mais vraiment, le plus heureux de répondre, c’est : « Oui ! Le mal aura une fin. Oui ! le mal aura une fin… L’ombre a eu un début et elle aura une fin ».

Seule la Lumière est Éternelle.

Qui a jamais été heureux de penser que le mal ne finirait jamais, que l’ombre serait éternelle ? Qui a été heureux de penser cela ? Personne… sur toute la terre !

Je ne dis pas que personne ne l’a pensé, bien sûr. Je dis simplement que personne n’a été « heureux » de le penser. Et là, quand je dis personne, je dis « personne ». C’est vraiment, là, ce que je suis le plus heureux de penser.

Mais alors, comment ce mal va-t-il finir ?

Pour que ce mal finisse, il suffit que nous reprenions conscience de la Lumière en Tout… Alors là, nous vivons notre Vie Idéale, notre Vie Lumière…

En Tout ! En Tout ? Mais comment ? Comment voir la Lumière dans l’ombre ? L’ombre est partout !

Non, l’ombre n’est pas partout. La Lumière, Elle, est partout. Elle est discrètement partout, Infinie, Éternelle… Et donc Omniprésente.

L’ombre, elle, elle fait beaucoup de bruit, ce qui nous fait croire qu’elle est partout, alors que, dans la Vraie Réalité, c’est à dire dans la Lumière qui est Tout, elle n’est nul part…

Mais, là, le problème pour la plupart d’entre nous, c’est que ce qui est le plus simple, c’est en même temps ce que nous avons rendu le plus compliqué pour nous !

Notre Vie Idéale, c’est ce qui est le plus simple à vivre, puisqu’il suffit pour la vivre de reconnaître la Lumière là où Elle est, c’est à dire en Tout. Cela ne peut pas être plus simple !

Mais, en même temps, nous l’avons rendu si compliqué ! Parce que l’ombre, c’est à dire le mal, depuis que nous avons cru la faire exister, c’est à dire depuis le presque début de l’humanité, l’ombre donc, nous a interdit la conscience de la Lumière… Et cela, en particulier, « dans l’ombre ».

Depuis que nous avons choisi, il y a bien longtemps, de perdre conscience de la Lumière, l’ombre, que nous avons imaginée alors, n’a jamais aimé rien du Tout, ni la Lumière, ni l’ombre… Nous avons donc une très, très forte tradition multi-millénaire qui est de combattre la Lumière… et surtout de combattre l’ombre !

Vivant dans l’illusion de la séparation, l’ombre a toujours combattu l’ombre ! Qu’elle soit en nous ou autour de nous, elle a toujours prétendu qu’il fallait combattre l’ombre en nous et autour de nous.

Finalement, les Êtres humains ont fait de l’ombre un véritable labyrinthe qui, en plus, s’est auto-labyrinthiser, sans cesse, depuis quelques centaines de millénaires…

Et alors, là, comment faire pour sortir de ce labyrinthe de l’ombre ?

Eh bien, là, il faut enfin se décider à suivre un conseil qui nous a été donné, à nouveau, il y a environ 2000 ans. Ce conseil, c’est, tout simplement : « Aimez votre ennemi ».

Notre « ennemi », c’est tout ce que nous n’avons pas aimé, tout ce dont nous n’avons pas été heureux.

Notre « ennemi », c’est tout simplement l’ombre elle-même… C’est notre perte de conscience de la Lumière Infini, notre perte de conscience du Tout Infini.

Notre « Vie Idéale », c’est d’être heureux de Tout, « y compris de l’ombre« … C’est de Tout aimer, « y compris le mal ».

Alors, ça, pour l’instant, cela a été difficile à admettre, vu notre « déformation ombreuse »…

Pour l’instant… Et pour un bon moment encore, il faut que nous apprenions, de mieux en mieux, à reconnaître la Lumière « dans » l’ombre…

Dans l’ombre ?

Oui ! « Dans » l’ombre.

Et, pour cela, il faut, sans cesse, nous aider les uns les autres à nous rappeler que Tout est Parfait… Et cela, au-delà de toutes les illusions ombreuses que nous avons accumulées au cours du temps.

« Ce Tout qui est Parfait » inclut, bien sûr, tout notre passé…

En effet, à force d’avoir « pensé », pendant si longtemps, que nous n’aimions pas l’ombre, comme elle-même nous l’a appris pendant des dizaines de millénaires, alors, nous n’avons pas aimé l’ombre en pratique.

Mais, maintenant, à force de penser, de plus en plus, que nous aimons l’ombre, nous allons finir par aimer l’ombre dans les faits et par n’y reconnaître que la Lumière Éternelle.

C’est exactement le même merveilleux mécanisme de la « Pensée », dont nous avons depuis trop longtemps mésusée pour imaginer l’ombre, que nous allons utiliser maintenant pour reconnaître simplement la Lumière en Toute Chose, y compris dans l’ombre.

Et lorsque nous aimerons totalement l’ombre et que nous n’y reconnaîtrons que la Lumière, la Lumière Seule restera dans notre conscience comme Elle a toujours existé en Tout.

Et là, nous aimerons tout notre Passé Merveilleux !

Et nous créerons à chaque instant, à partir de la Lumière en nous, notre Vie Idéale Éternelle.

  

Qu’en pensez-vous ?

  

(À suivre)

12 • Miroir et Image ?

Jeudi 25 Avril 2024

  

Le miroir reflète une certaine image de mon corps…

Je suis heureux de réfléchir un peu avec vous, aujourd’hui, de ce phénomène qui est si quotidien dans notre vie.

Il me semble qu’il est utile que nous soyons conscient que cette image que nous reflète le miroir, n’est vraiment pas « moi »… Mais vraiment pas du tout !

Or, j’ai eu l’impression fréquente que beaucoup de personnes ont oublié ce détail. Un détail qui me semble être pourtant si important… Et, trop souvent, cela a eu des conséquences douloureuses pour eux.

Il faut vraiment remettre les choses à l’endroit, c’est le cas de le dire !

D’abord, ce que je vois, lorsque je m’observe dans un miroir, ce n’est qu’un reflet de mon Corps.

Mais, je suis loin de n’être que mon Corps ! Je suis un Être… Un Être complet.

Et l’Être que je suis, c’est à dire « Moi », c’est l’unité de mon Corps, de mon Âme et de ma Pensée… Dans la réalité, je suis, à la fois, Un en Trois et Trois en Un !

Mon Être n’existe que par l’unité, l’identité, la consubstantialité de mes trois aspects : Corps, Âme, Pensée.

Et là, dans mon miroir, je ne regarde que l’aspect « Corps ». Je ne vois ni ma Pensée, ni mon Âme. Donc, je suis bien loin de voir ce que je suis en réalité… Je ne vois pas du tout la Vérité !

Mais, en plus, je ne vois que l’extérieur de mon Corps. Or, un Corps, c’est bien plus que ce que je peux en voir avec mes yeux, y compris dans un miroir. C’est évident : mon Corps est bien plus que ma peau, mes cheveux, mes poils, mes yeux que je vois dans le reflet que je regarde.

Si je suis habillé, c’est encore pire… Là, la plus grande surface de mon Corps m’est encore plus cachée… Et c’est la même chose si je me maquille. Là aussi, je cache mon Corps, un peu, plus à ma conscience.

Alors ce que je vois dans mon miroir, c’est le reflet d’un Corps le plus souvent très, très, caché !

Nous nous éloignons déjà beaucoup de la Vérité ! Au point où nous en sommes de notre réflexion, nous sommes obligés de reconnaître que le miroir ne me dit pas du tout la « Vérité » sur moi, lorsque je regarde mon reflet en lui… Mais vraiment pas du tout !

Mais, c’est loin d’être fini.

Dans un miroir, je ne vois qu’une toute petite partie de « moi », une toute petite partie de mon Corps. Ça, nous venons de le réaliser.

Mais, en plus, le peu que je vois de mon Corps, je le vois « en miroir », c’est à dire à l’envers… Dans l’image de mon Corps que j’observe, par exemple, ma main gauche est à droite et ma main droite est à gauche.

Ce n’est pas moi que j’observe, mais un « envers » de moi… Nous y sommes tellement habitués que nous n’en sommes, en général, plus conscients…

Nous croyons nous voir fidèlement et pourtant ce que l’on voit nous ment complètement : ce n’est pas « nous » que nous regardons dans le miroir !

Mais vraiment pas nous !

Nous ne voyons qu’un pâle et faux reflet de notre Être, c’est à dire de notre réalité… Et souvent, nous allons ensuite raisonner, à notre propos, sur la base de cette erreur !

Et si je fais tout un raisonnement en l’appuyant sur une erreur, il est évident que, d’une part tout mon raisonnement est faux… Mais aussi les que les conclusions que je vais finalement en tirer seront toutes fausses, évidemment.

C’est exactement, comme si j’essayais de calculer la surface de ma table carrée, alors que je me suis trompé en mesurant ses côtés : mon calcul sera faux, tout simplement.

Et pourtant, c’est ce que nous faisons, en général, en nous regardant dans un miroir : nous ne « nous » voyons pas ! Nous croyons nous y voir. Le reflet que nous y regardons n’est pas « nous ». C’est toujours un faux moi !

Et tous les raisonnements que je vais faire à partir de ce « faux moi » seront faux et je ne pourrais arriver qu’à de fausses conclusions…

Ce que je vois dans un miroir n’est jamais, mais vraiment jamais, « la » Vérité. C’est une approximation très, très, très lointaine de la vérité… C’est complètement faux.

Il ne faut surtout pas que je m’y fie pour me connaître : je suis « infiniment plus » que ce que je crois voir de moi dans un miroir.

Et, là, nous pouvons aller plus loin dans l’étude de cette erreur du miroir et de l’image.

Par exemple, quand nous regardons quelque chose, nous pensons, en général, le voir au présent. Mais ce n’est jamais le cas. Jamais !

Nous ne pouvons pas voir le présent… Jamais ! Nous ne voyons toujours que le passé.

Alors, cela est plus facile à concevoir si ce que nous regardons est loin… Prenons l’exemple du soleil que nous voyons dans le ciel. Il nous semble, en général, que nous le voyons « comme il est »… Et bien non !

 Nous ne voyons le soleil que « comme il était »… Et plus précisément, comme il était il y a environ 8 minutes.

Eh oui! La vitesse de la lumière physique est d’environ 300.000 km par seconde et la distance soleil-terre d’environ 150 millions de kilomètres… Et on peut calculer qu’il faut 8 minutes à la lumière physique pour parcourir cette distance du soleil à nos yeux.

Donc, nous ne voyons jamais le soleil au présent… Nous croyons le voir au présent, mais nous voyons toujours « le passé du soleil ».

Et plus nous regardons loin, plus nous voyons le passé…

Mais la réalité, c’est que, avec nos yeux, nous ne pouvons jamais voir que le passé.

Oui ! Nous n’avons jamais vu le présent… Jamais !

Et lorsque nous regardons notre image dans un miroir, nous ne nous voyons pas tels que nous sommes, nous nous voyons tels que nous « étions ».

Et nous pouvons décliner cette vérité absolue avec les quelques exemples de pensées qui suivent :

          Dès que nous tentons d’observer le présent, il est déjà passé !

          Nous vivons le présent, mais nous observons toujours le passé.

         Le présent, nous ne pouvons que le vivre… Nous ne pouvons pas l’observer.

         Nous observons au présent, mais ce que nous observons est déjà passé.

         Nous ne vivons qu’au présent, tout le reste, c’est du passé !

… etc… etc…

Je pense qu’un humoriste pourrait fair un beau sketch avec une telle vérité. Peut-être que j’en contacterai un pour le lui proposer.

La Vraie Vérité est toujours pleine d’humour !

(à suivre, un jour)