C’était là mon journal du Mardi 13 Février 2024 que j’ai décidé de relire et mettre à jour aujourd’hui, ce Dimanche 21 Juillet 2024…
Mon petit journal, je l’ai écrit assez régulièrement… Et cela depuis plus de 45 ans.
La fonction principale qu’il a remplie, c’est qu’il a été et qu’il reste mon entraînement à penser…
C’est en effet, encore aujourd’hui, mon entraînement commando pour arriver, toujours mieux, à penser ce que je suis le plus heureux de penser.
Ce qui est nouveau, depuis quelques temps, c’est que, alors qu’il a été tout à fait intime pendant de nombreuses années, il est devenu depuis un peu moins personnel, et progressivement plus publique.
Je le partage, maintenant, un peu plus souvent… Et cela peut, aujourd’hui, prendre la forme de ce site BeHappy8.
Dans ces pensées quotidiennes, nous ne trouverons pas beaucoup de pensées que je n’ai pas été heureux de penser au moment où je les ai écrites… Peut-être une par an ! Peut-être même qu’il y a eu des années où cela n’est pas arrivé…
Également, il est utile de se rappeler que comme notre Corps et notre Âme, notre Pensée est vivante… Nous sommes donc des Êtres totalement vivants…
Et ce que j’ai pu être le plus heureux de penser il y a quelques temps peut ne plus être ce que je suis le plus heureux de penser à cet instant.
Je n’ai jamais essayé de comptabiliser tout cela très précisément… Comme souvent, je calcule à la louche !
En fait, c’est simple : je calcule toujours comme je suis le plus heureux de calculer…
Lorsque je suis heureux de calculer avec une grande précision, je le fais… Mais lorsque je suis heureux de calculer à la louche, alors, je le fais aussi bien…
« Être heureux », c’est mon leitmotiv ! Si vous avez lu quelques uns des articles que j’ai écrit dans ce site BeHappy8, vous vous en êtes certainement rendu compte !
« Je suis heureux », c’est l’une des phrases, simple, robuste, que j’ai pensée, dite et écrite le plus souvent dans ma vie…
De ces phrases, que je suis totalement heureux de penser, il y en a une ribambelle, qui s’allonge toujours plus… Mais la phrase « Je suis heureux » en est une que je pense de nombreuses fois, jour et nuit.
Je pense que « Je suis heureux » à longueur de temps… Et cela avec une intensité toujours plus grande, une foi toujours plus grande…
Attention, je ne dis pas là que je n’ai jamais pensé ce que je n’ai pas été heureux de penser… Non ! Je l’ai fait ! Et je l’ai fait beaucoup…
Beaucoup trop ? Je ne le sais pas… Mais en tous les cas, c’est bien le chemin qui m’a amené à aujourd’hui… Et je ne suis vraiment pas déçu du voyage !
Je suis tellement heureux d’avoir marché sur chacune des pierres de mon chemin qui m’a amené à tant de joie aujourd’hui.
Mais, c’est vrai, j’ai à des moments pensé ce que je n’étais pas heureux de penser… Et je l’ai d’ailleurs fait avec une grande efficacité !
Et, bien sûr, j’ai été, comme tous ceux qui ont fait le même choix, instantanément malheureux, chaque fois que je l’ai fait !
Mais, pourtant, lorsque je me souviens de mon passé, au total, je ne l’ai pas, finalement, fait tant que ça…
Si je m’amuse à parler en pourcentage, et à l’arrache, comme on dit maintenant, actuellement, c’est du genre de moins de 1% du temps… Et c’est un pourcentage qui diminue sans cesse avec le temps qui passe !
Tout le reste, c’est à dire les peut-être 99% de cette dernière année, j’ai pensé ce que j’étais le plus heureux de penser…
Et de ce fait, « je suis » donc heureux, toujours plus heureux, comme tous les Êtres qui, tous, cherchent à l’être… Et comme tous les Êtres humains qui ,eux, peuvent « choisir » de l’être !
Il y a, dans tous les domaines de ma vie, de moins en moins de nuages sombres ! Et lorsqu’il y en a, je choisis de les aimer tellement rapidement qu’ils éclatent et me rafraichissent d’une pluie douce et bienfaisante.
Combien de fois, lorsque je regarde ma vie dans ce monde, je me dis :
« Mais, tu vis au Paradis ! »
Pourtant dans le passé, cela n’a pas été toujours aussi clair ! Mais, j’ai sans cesse amélioré mon score… Et cela va de plus en plus vite !
Je vis une sorte « d’exponentielle du bonheur » !
Et c’est bien normal, puisque chacun devient un virtuose de ce qu’il pratique le plus dans sa vie.
Et oui ! En ce qui me concerne, je suis finalement devenu un virtuose du bonheur…
Il y a des virtuoses dans tous les domaines… Moi, c’est dans le bonheur ! Je suis de plus en plus heureux… tous les jours plus ! C’est une virtuosité bien agréable, pour moi… Et pour les autres…
Et pourtant, souvent, les gens disent que le monde va de moins en moins bien…
Je ne le pense pas !
Je pense que le monde va de mieux en mieux.
Je le pense parce que c’est tout simplement ce que je suis le plus heureux de penser.
Je ne me permet de croire que ce que je suis le plus heureux de croire… C’est mon choix.
J’essaye en cela, de mon mieux, de suivre la proposition de Gandhi que je trouve si belle :
« Sois ce que tu veux que le monde devienne ! »
Alors, je me questionne, sans cesse, dans les situation les plus variées : « Toi, veux-tu que le monde devienne heureux ?
Et ma réponse est toujours : « Oui ! je veux que le monde devienne heureux. »
Alors, sois ce que tu veux que le monde devienne : « Sois heureux ».
Je suis donc plus heureux pour que le monde devienne plus heureux.
Et cela fait bien maintenant bien longtemps que j’ai pris conscience, de plus en plus, que je ne pouvais être heureux qu’en pensant, moi-même, ce que j’étais le plus heureux de penser.
Et, sans aucune exception, j’ai observé que c’était la même chose pour tout les Êtres humains, absolument tous !
De plus, la qualité d’une réponse dépend toujours de la qualité de la question.
Alors, j’ai observé les pensées que je pensais sous cet angle unique, toujours le même… C’est à dire en me posant cette question toute simple et pas une autre :
« Est-ce que tu viens de penser là ce que tu as été le plus heureux de penser, oui ou non ? »
Et j’ai, rapidement, eu la certitude que c’était là la question la plus importante que je pouvais me poser… Et donc que la réponse était la meilleure possible.
Alors, j’ai été de plus en plus exigeant sur la clarté de la réponse… Et j’en suis, rapidement, arrivé à cette conclusion : « Si notre réponse à cette question, la question la plus importante que nous puissions nous poser, n’est pas un « Oui » spontané, il faut que nous reconnaissions que c’est un « Non »… »
Qu’est-ce que c’est qu’un « Oui spontané » ?
En pratique, un « Oui spontané », c’est un « Oui qui vient en moins d’une seconde ».
Dès qu’un « Oui » vient en plus d’une seconde, c’est à dire dès que j’hésite aussi peu que ce soit à répondre « Oui », il faut que j’ai le courage et l’honnêteté de reconnaître que c’est un « Non » !
Et là, si c’est un « Non », je choisis arbitrairement, « totalement arbitrairement », de penser ce que je suis, à cet instant, le plus heureux de penser à la place.
Et c’est ainsi que, procédant comme cela tout les jours pendant des années, j’en suis arrivé à penser, par exemple :
« J’aime ce monde dans lequel je vis »…
« J’aime la manière dont je le vis. »
« J’ai confiance dans tous les Êtres… «
« Et donc dans tous les Êtres humains. »
« Ma vie est merveilleuse, comme celle de tous les Êtres. »
Bref, il y a, ainsi, une myriade de pensées que je suis heureux de penser et que je pense, les unes après les autres… Une myriade de pensées qui, chacune à un moment donné, exprime la Lumière en moi !
C’est là « mon » choix ! Et rien ne peut me priver de mon « libre arbitre » merveilleux qui me permet ainsi de « choisir », à chaque instant, mes pensées.
Des autorités ont pu, à l’extrême, tuer certains de mes corps, mais elles n’ont jamais pu tuer ma Pensée et encore moins mon Âme.
Je suis bien toujours libre, comme chacun, de penser ce que je choisis de penser, n’est-ce pas ?
Eh bien ! Là, maintenant, je choisis, à chaque instant, de penser ce que je suis de plus en plus heureux de penser.
C’est mon critère, le plus simple, le plus pur, pour choisir de penser ce que je pense.
Et c’est ainsi que je peux, par exemple, choisir de penser, des pensées telles que celles-ci :
« La vie est parfaite ».
« Toute vie est parfaite ».
« J’aime tous les gens que je rencontre, exactement comme ils sont ».
« Chaque instant de ma vie a été parfait, sans une seule exception. »
« L’autre a toujours raison d’être ce qu’il est. »
Etc… Etc…
Bien sûr, le plus souvent, je suis heureux de ne pas le crier sur la place du marché ! Mais je le pense de nombreuses fois chaque jour dans mon intimité… Parfois, lorsque c’est approprié, je le dis ou je l’écris, comme à cet instant… Mais surtout, « je le vis » :
« Je vis heureux » !
Mais qu’est-ce que c’est que « être heureux » ?
Alors, là, chacun a sa propre définition ! Une définition qui varie d’ailleurs, en plus, chez chacun avec le temps qui passe…
Mais, pour moi, aujourd’hui, « être heureux », c’est tout simplement vivre ce que je vis…
Être heureux, c’est vivre !
Être heureux, c’est exister !
Je suis heureux tel que je suis et tel que le monde est.
Bien sûr, cela peut sembler fou à ceux qui choisissent, librement, de penser que c’est une folie ! Mais, pour moi, c’est comme ça ! C’est ce que je choisis de penser et donc de vivre, de plus en plus fort, dans ma vie…
Et c’est très agréable !
Ainsi, je suis « heureux avec de moins en moins de conditions », car cela fait bien longtemps que j’ai compris que les conditions du bonheur le mettait instantanément en danger !
J’ai compris que des « conditions » au bonheur voilaient celui-ci à ma conscience.
Par exemple, je ne veux pas être heureux à condition que le monde soit différent. Non ! Non, je veux être heureux là, de suite, dans ce monde, tel qu’il est à cet instant…
Et je le suis !
Je ne veux pas, non plus, être heureux à condition que je sois moi-même différent. Non ! Non, je veux être heureux de moi, là, de suite, tel que je suis à cet instant…
Et je le suis !
J’applique là ce qu’une très belle Âme m’a dit :
« Cesser de vouloir devenir pour accepter être »
Pourtant, c’est vrai, je me dis parfois que le monde est bizarre ! Je parle là du monde des Êtres humains, parce que les autres Êtres de la Nature, eux, je ne les trouve jamais bizarres… Jamais ! Mais le monde humain, oui, parfois je ne le comprends pas du tout : il me semble bizarre…
Mais, depuis maintenant longtemps, j’ai choisis d’être de plus en plus heureux de ce que j’appelle « la bizarrerie »… ou bien souvent je l’appelle « la maladresse » des Êtres humains, et donc, parfois de l’Être, bien humain, que je suis moi-même !
Je préfère, de loin, être heureux que comprendre…
Mais, j’ai observé, sans aucune exception, que plus j’étais heureux, mieux je comprenais.
Et le résultat de tout ces choix que je fais tous les jours, c’est que, tel qu’il est tout les jour, tel qu’il est chaque jour, ce monde ne me gêne plus du tout dans mon bonheur…
Au contraire, le monde, tel qu’il est, est sans cesse l’occasion pour moi de me décider à être encore plus heureux !
Et j’abandonne donc, tous les jours mieux, toutes les conditions, les soi-disant conditions, du bonheur.
Je les abandonne toutes, au fur et à mesure où je prends conscience que je me les suis imposées…
Alors, s’il fait beau, je suis heureux qu’il fasse beau. S’il pleut, je suis heureux qu’il pleuve.
Si une personne est heureuse et gentille, je suis heureux qu’elle soit heureuse et gentille.
Mais si, à un autre moment, cette même personne souffre et devient triste et agressive, je suis heureux, de plus en plus heureux, qu’elle souffre et devienne triste et agressive…
Et je vois bien que du fait que je « choisis » de rester heureux face à sa souffrance, je suis beaucoup plus disponible pour pouvoir lui rendre service et l’aider dans sa difficulté, dans sa souffrance…
Donc, je vois, clairement, le monde tel qu’il est… Je « veux » le voir tel qu’il est !
Et c’est bien « ce » monde, ce monde-là que je vois, que je choisis d’aimer… C’est bien « ce » monde dont je choisis d’être heureux à chaque instant.
Et je fais cela en pensant ce que je suis le plus heureux de penser de lui, de ce monde !
Je suis libre de le faire… Et chacun est libre de le faire… ou de ne pas le faire.
Je suis heureux que la vie soit telle qu’elle est.
C’est tout !
Je l’ai décidé de mieux en mieux, au cours de cette vie… Et, probablement, que je me suis entrainé à le faire depuis de nombreuses vies.
C’est, probablement, une des raison pour lesquelles j’y arrive, dans cette vie-ci, avec une aisance qui semble encore assez rare…
Dans tous les cas, c’est sûr : j’y arrive mieux chaque jours !
Et je vois bien que chacun y arrive mieux chaque jour, également.
Ma vision, c’est ma responsabilité… Je ne choisis pas encore toujours de voir ce que je vois, mais je choisis de le voir comme je le vois…
C’est moi seul qui choisis, ou pas, d’être heureux de le voir !
Et en effet, vivre au Paradis, aujourd’hui, c’est un luxe que tout le monde peut s’offrir, dès aujourd’hui… Instant après instant.
Le Paradis, pour moi, c’est tout de suite ! … ou pas !
Chacun peut s’offrir des instants de Paradis, de plus en plus souvent, en apprenant à penser de mieux en mieux ce qu’il ou elle est heureux ou heureuse de penser…
Eh oui ! C’est en effet « tout de suite » que je suis heureux, lorsque j’ose penser ce que je suis le plus heureux de penser à cet instant !
Et alors là, je suis au Paradis, c’est à dire dans ce que je pense, moi, être la Vraie Vie… Le Paradis.
Je sais ce que beaucoup pensent encore souvent : « Le Paradis, c’est pour les simples d’esprit. »
Pour moi, « un simple d’esprit », c’est quelqu’un qui, lorsqu’il vit ce qu’il vit, pense simplement ce qu’il est heureux de penser.
Le simple d’esprit ne pense qu’une chose : « Je suis heureux », « Je suis heureux de ce qui est »…
Et en effet qu’est-ce que l’on peut penser de plus simple ?
Et le simple d’esprit, il le pense du matin au soir… Et aussi la nuit, s’il se réveille pour aller aux toilettes. C’est simple, non ?
Dès que l’un d’entre nous se plaint… alors, là, ce n’est plus un simple d’esprit… Pour lui, cet instant est compliqué et douloureux !
En effet, penser ce que « je ne suis pas heureux de penser », c’est toujours douloureux…
Mais, cette douleur, je l’appelle « ma merveilleuse douleur ». Elle me rappelle que je viens de compliquer ma vie !
Ma douleur me rappelle que je viens de perdre conscience que je suis heureux par Nature… Elle me rappelle que je viens de sortir du Paradis…
Or, pour sortir du Paradis, c’est aussi simple que pour y rentrer.
Pour sortir du Paradis, toujours nous avons commencé à prétendre qu’il y avait des conditions à notre bonheur… « Je serais heureux si… Je serais heureux parce que »… Et là, instantanément, tout nous semblait compliqué et douloureux…
Là, nous ne sommes plus un simple d’esprit ! Nous sommes un esprit torturé, labyrinthique… C’est l’enfer… Tout de suite !
Mais cet enfer, il ne dure que le temps pendant lequel nous persistons à penser ce que nous ne sommes pas le plus heureux de penser.
Et en effet, dès que nous pensons à nouveau ce que nous sommes le plus heureux de penser : Hop ! Retour au Paradis !
C’est un peu comme si, entre l’enfer et le Paradis, il y avait une porte battante ! Je la passe dans un sens, je suis au Paradis, je la passe dans l’autre sens, je suis en enfer… Et c’est moi qui décide dans quel sens je la passe…
Je le décide par ma pensée !
Oui ! Dès que je pense ce que je suis le plus heureux de penser, je la passe vers le Paradis… et je vis cet Instant, tel qu’il est, Heureux !
Mais, dès que je pense ce que je ne suis pas le plus heureux de penser, alors là, je la passe vers l’enfer… Et, instantanément, je souffre de ma merveilleuse souffrance qui, elle, m’invite à repasser le plus vite possible la même porte, mais dans l’autre sens !
Mais, en réalité, il n’y a même pas de porte entre l’enfer et le Paradis : « L’enfer, c’est tout simplement le Paradis dont j’avais perdu conscience », c’est tout !
Je veux dire que mon état Naturel, mon état Originel, c’est d’être heureux, c’est de vivre le Paradis Originel… et cela depuis toujours et pour toujours !
Je ne peux rien y changer ! Je suis heureux par Nature…
Et, ça, comme tout ce que je viens d’écrire, je suis vraiment heureux de le penser ! Et depuis longtemps…
Mais, la Sagesse Infinie me dit :
« C’est la conscience qui fait toute la différence. »
Je peux, soit, en effet être heureux par Nature et, librement, en avoir conscience… Et là, je me vis heureux, je suis Heureux « avec » la conscience de l’être… Cela, c’est ce que j’appelle vivre le Paradis.
Mais, je peux également, être heureux par Nature et, aussi librement, en perdre la conscience… et là, je me vis malheureux, c’est à dire que je suis Heureux, mais « sans » en avoir conscience, sans avoir conscience de l’Être heureux que je suis depuis toujours et pour toujours… Et là, je ne jouis plus de la Joie que je suis.
Or, qui choisit ma conscience ?
Moi-même !
Personne d’autre que moi-même ne peut choisir ma conscience à ma place.
Depuis que nous sommes des Êtres humains, nous sommes dotés du Libre Arbitre pour toujours.
Alors, seul, face à nous même, nous choisissons, plus ou moins facilement, de vivre notre Joie, probablement en partie selon l’entrainement que nous nous sommes donné jusqu’à cet instant… Et puis, aussi, selon notre courage.
C’est vrai que je pense souvent qu’être heureux dans ce monde tel qu’il est aujourd’hui, c’est le plus grand courage qui soit.
Alors, soit, comme trop souvent, pendant des millénaires, nous nous sommes entraînés régulièrement à penser ce que nous n’étions pas heureux de penser… Et, là, très souvent, nous nous sommes tellement bien entraînés que c’est devenu comme une seconde nature !
Dans ce cas-là, la première pensée qui nous vient à la conscience, à un moment donné, c’est, trop souvent, une pensée que nous ne sommes pas heureux de penser… Et ainsi, notre entrainement, à penser ce que nous ne sommes pas heureux de penser, se renforce encore un peu plus !
Mais, nous pouvons aussi, volontairement, consciemment, courageusement, choisir de penser à cet instant ce que nous sommes les plus heureux de penser… Et cela sur n’importe quel sujet ! Comme cela, pour le simple plaisir de le penser… Complètement « arbitrairement ».
Chacun de nous, bien sûr, en a le droit et la liberté.
Mais, nous sommes le seul à pouvoir le décider : personne ne peut le faire à notre place !
C’est fou comme c’est simple et accessible à tous les Êtres humains !
Mais, c’est vrai : il faut vraiment être « simple d’esprit » pour faire cela !
Mais, Lui, ne nous a-t-Il pas dit, il y a 2000 ans :
« Heureux les simples d’esprits, car le Royaume des Cieux leur appartient » ?