Aujourd’hui, je joue au BeHappy, comme d’habitude… Et, bien sûr, je ne pense que Ta Joie…
Mais, pour la partie que j’ai joué là, j’ai été heureux de rajouter une règle supplémentaire toute simple que je vais m’amuser à respecter :
Chaque paragraphe que je vais écrire sera court, souvent une seule phrase, et contiendra nécessairement le mot « instant ».
Le mot « instant » sera le seul lien entre toutes ses phrases…
Et je vais ainsi découvrir un peu plus… comment je le vis… cet instant !
Instant, Tu es ma Vie.
C’est à cet instant que je vis.
C’est à cet Instant que je « Te » vis.
Cet Instant est Ton Instant… Il est toujours Sacré.
C’est à travers cet Instant que je vis tout ce que je vis, tout ce que j’ai vécu et tout ce que je vivrai.
Oui! C’est à cet Instant que je vis le présent, le passé et le futur.
Cet Instant, c’est l’Instant du Libre Arbitre que Tu me donnes…
Tout le passé et tout le futur se trouvent « dans » cet Instant.
Il n’y a que cet Instant qui soit… et ce n’est qu’à travers Lui que je vois le Tout que Tu Es.
Je ne Te vois donc qu’à cet Instant.
À cet Instant, je peux T’imaginer dans le passé et le future… Mais c’est à cet Instant que je Te vis.
Cet Instant est le lieu de Toute Ta Réalité, en instantané.
Cet Instant est infiniment court… Et pourtant il existe éternellement.
Cet instant est l’instant du choix.
Je ne peux choisir ma vie qu’à cet instant… et que pour cet instant.
Cet Instant décide de mon passé et de mon avenir.
Cet instant que je vis décide du passé et de l’avenir de tous les Êtres.
L’un des synonymes du mot « Instant », c’est le mot « Libre Arbitre »… Un autre synonyme du mot instant, c’est Toi, c’est Dieu… Et puis il y a tous les autres mots que je peux penser et qui Le nomme !
Je Te cherche à cet instant, je Te trouve à cet instant, je T’adore à cet instant.
Cet Instant est Ton cadeau Sacré.
À cet instant unique, toute ma vie est vécue.
Je vis instant par instant.
Je Te vis à cet instant.
Cet instant me suffit pour Te vivre.
Tu ne sais donner que Tout, tu me donnes Tout à cet instant.
Cet instant, c’est toute ma vie… J’en suis de plus en plus conscient.
Je joue toute ma vie à cet Instant.
À cet Instant, je nais, je vis et je meurs.
J’ai autant de vies que d’instants… Et je n’ai qu’une vie, c’est cet instant.
Cet Instant est sacré… Je veux T’y adorer.
Cet instant est mon adoration…
Je T’adore toujours à cet instant.
Si quelque chose change, c’est toujours à cet Instant.
L’Instant, c’est le changement.
Je veux changer quelque chose ? Alors cet Instant est le meilleur moment : c’est le « seul » moment.
J’aime cet instant que je vis.
Je pense mon passé à cet instant.
Je vis mon passé à cet instant.
Je choisis mon passé à cet instant.
Cet Instant remet, une fois de plus, tout mon passé entre mes mains.
Mon passé ne peut guérir qu’à cet instant.
Je T’adore en cet instant…
Je ne peux T’adorer qu’à cet instant que Tu Es.
Que cet Instant soit mon adoration de Toi.
Je cherche à reconnaître Ta Proximité Absolue dans cet instant.
Tu m’offres cet instant.
Chaque instant est Ton Don… Et cela depuis toujours et pour toujours.
Chaque instant sera donc Ton Don.
À cet Instant se réunissent le passé et l’avenir.
Ce que je vois à cet instant, je ne l’ai jamais vu et je ne le verrai jamais plus.
À cet Instant, je suis mort… Et l’instant d’après je suis encore mort…
Je vis ma mort à chaque instant.
Il n’y a pas un Instant où je ne meurs !
Le nombre de mes morts est infini… Et à cet Instant, je meurs encore !
Je suis heureux de mourir à cet Instant.
Je ne mourrai jamais plus qu’à cet Instant.
Mais, à chaque Instant, je m’entraîne à mourir mieux.
Cet Instant est Unique et Éternel.
Cet Instant renaît, à chaque instant.
Vivre vraiment, c’est être de plus en plus heureux de mourir à cet instant.
Cet Instant est le seul que je vis… Les instants du passé sont des mémoires que je vis à cet Instant… Les instants du futur sont des possibles que je vis à cet Instant.
Là, à cet instant, je n’ai pas d’autres instants à vivre que cet Instant…
Cet instant contient tous les instants.
D’instant en instant, je vis l’Éternité.
Une rencontre ne dure que cet Instant.
Cet Instant est le moment de la rencontre « et » de la séparation.
Chaque instant est une séparation.
Nous nous sommes séparés autant de fois que nous avons vécu d’instants.
La rencontre que je vis à cet instant est sacrée…
La séparation que je vis à ce même instant est, elle aussi, sacrée !
Cet instant a fait partie de tous les possibles du passé, maintenant il est inscrit dans tous les possibles à venir.
Tu Es tous les instants que je vis : il ne peut donc pas y avoir d’instants meilleurs que d’autres.
Chaque instant exprime Ta Perfection;
Tous les mots sont des noms de Dieu : Instant en est un…
Quand je pense « Instant », je chante Ton Nom.
Chaque instant Te chante ! J’en suis toujours plus conscient…
Un mot ne peut pas Te nommer plus qu’un autre mot : « Instant » Te nomme comme tous les autres mots.
Si Tu Es Tout, et Tu Es Tout, un mot peut-il Te nommer plus qu’un autre ? Le mot « Instant » ne peut que Te nommer, comme tous les autres mots…
Chaque instant m’appelle, je le vis… puis je le quitte.
Ma vie n’est faite que d’instant.
Ma vie n’est faite que de « cet » Instant.
Instant, je T’adore.
Je jouis de cet Instant comme jamais !
Je ne revivrai jamais cet Instant… Mais tous le instants que je vis, c’est Toi que je vis pour toujours…
Un instant ne peut pas se regretter, il ne peut que se vivre à cet instant même…
Peut être qu’à un autre instant, je choisirai de vivre le regret de cet instant passé ? Mais alors, je le vivrai à ce nouvel instant.
Tout instant est Ton Présent Parfait… J’en suis de plus en plus conscient.
Tu es le cadeau de cet Instant, toujours !
L’Instant m’échappe toujours.
L’Instant se renouvelle sans cesse…
L’instant que je vis là, n’a jamais été vécu, ni par moi, ni par aucun autre Être.
L’Instant, c’est l’intimité absolue.
Et pourtant, nous vivons tous cet instant.
Je vis « mon » Instant pendant que l’autre vit « son » instant…
Nous ne pouvons jamais partager le même instant… et pourtant, nous le partageons toujours.
Je peux choisir d’être heureux de vivre « mon » instant…
Et l’autre peut choisir d’être heureux de vivre « son » instant…
Nous pouvons donc choisir d’être heureux au même Instant !
Nous nous sentons unis par la joie que nous choisissons de vivre nos instants ensemble.
Être heureux de vivre cet instant unique, c’est T’adorer.
Je suis en adoration chaque fois que je suis heureux de vivre l’instant.
Si, à cet instant, je suis heureux de boire du lait… alors je T’adore.
Si, à cet instant, je suis heureux de voir le ciel… Alors, là aussi, bien sûr, je T’adore.
L’adoration est naturelle, à chaque instant : je la vis à chaque fois que je suis heureux.
Être heureux à cet instant, c’est le meilleur choix que je puisse faire.
Je vis « pour » être heureux à cet Instant.
Chacun veut être heureux tout de suite, à cet instant même.
Nous choisissons notre vie à cet instant…
À cet instant, je choisis d’être heureux… Tout simplement en pensant, à cet instant, ce que je suis le plus heureux de penser !
Il n’y a pas un instant à perdre : soyons heureux de suite !
Chaque instant est l’occasion d’être heureux.
L’instant m’invite à la Joie… Je choisis, de plus en plus souvent, d’accepter son invitation.
D’instant en instant, j’aime jouer à être heureux;
Être heureux, c’est simple : il suffit qu’à cet instant j’ose penser ce que je suis le plus heureux de penser.
Être heureux, c’est notre but, à cet instant.
L’instant approche, je le vis… Il part ! L’instant suivant est déjà là !
D’instant en instant, je suis heureux.
Être heureux, c’est être de plus en plus heureux d’instant en instant.
Etc… Etc…
Voilà, cela suffit pour aujourd’hui. Je me suis offert de nombreux petits instants agréables… en écrivant avec ces règles…
Maintenant, je vais continuer en pensant.
J’écris un moment, et je m’en régale… Je pense toujours et je m’en régale également !
Deux petits artisans de la Lumière parmi tant d’autres, petit (■) et petit (●), communiquent sur bien des sujets qui n’ont peut-être pas tant d’importances…
……….
Nous « sommes » Amour
■
Non !
L’Amour, ce n’est pas quelque chose que nous avons ou que nous n’avons pas !
L’Amour, c’est quelque chose que nous sommes, depuis toujours et pour toujours…
Nous sommes « Amour » par nature ! Nous sommes Amour, par décret Divin…
Cela ne dépend absolument pas de nous !
Ce que nous pouvons appeler Dieu, nous créé comme ça à chaque instant ! Nous ne pouvons rien y changer…
Nous ne pouvons pas changer la Création Parfaite… Nous ne pouvons qu’en avoir de plus en plus conscience… comme tout le reste de la création !
●
Pourquoi je le dis comme ça ? Pourquoi je dis « j’ai » ou « je n’ai pas l’Amour » ?
■
Mais, simplement parce que tu en as pris l’habitude ! C’est normal… même si ce n’est pas vrai !
Parce que, si tu veux, nous avons été formés à séparer l’Amour et nous,! Nous avons été habitués à penser et à dire que l’Amour, c’était un but à atteindre.
Toi, tu étais ici… et là-bas, loin de toi, il y avait l’Amour…
Et toi tu espérais, de toute tes forces, atteindre cet Amour.
Mais, la Réalité c’est que l’Amour et toi… c’est « Un » !
●
Alors, c’est comme les vertus ? C’est comme quand on nous dit que nous avons toutes les vertus en nous ?
■
Évidemment ! Exactement !
●
Et comment pouvons-nous exprimer ça alors ?
■
« C’est la conscience qui fait toute la différence »…
« C’est la conscience qui fait toute la différence » …
●
Oui, c’est vrai, c’est tout !
■
C’est « ta » conscience qui fait toute la différence…
C’est ta conscience qui fait toute « ta » différence…
Dedans et dehors, deux facettes de l’Unité
●
Alors, là… effectivement, à un moment donné, ça m’est rentré dedans ! J’ai pris conscience… que j’étais Amour…
■
Eh bien oui !
Mais, nous avons encore un petit travers… Ce qui est tout à fait normal !
Tu as dit : « Ça m’est rentré dedans », comme si, jusqu’à la, c’était dehors !
●
Eh bien oui…
■
Eh bien non ! Ça n’était pas dehors… C’était dedans depuis toujours… C’était dedans et dehors ! C’était partout !
●
Oui, mais attention, je ne parlais pas de l’Amour quand je disais « Ça m’est rentré dedans » : j’ai cette impression que c’est « la conscience » qui me rentre dedans !
■
Ah pardon ! Mais, la conscience ne te rentre pas dedans non plus, tu la choisis !
Tu choisis d’avoir conscience ou pas, mais cela ne change rien à la Réalité… Ça change tout au niveau de ta conscience.
Tu n’as pas augmenté l’Amour sur la planète parce que tu en as pris conscience !
… Nous aurions parfois cette prétention… un petit peu !
●
Oui ! C’est vrai…
Est-ce que l’Amour grandit ?
■
Trompé par l’ombre que nous avons imaginé en perdant conscience de la Lumière, nous aurions parfois cette prétention : « Grâce à moi, l’amour sur la terre va grandir ! »
Mais non ! L’Amour, c’est Dieu Lui-même ! Il ne va pas grandir : Il est Infini, Il est Absolu… Il n’a pas besoin de « grandir » !
Mais, c’est nous, c’est vrai, qui allons simplement prendre conscience, toujours plus, de cet Amour Infini qui est partout… Nous allons prendre conscience, toujours plus, qu’il n’y a « que » Lui !
Je viens effectivement d’en prendre un peu plus conscience et, de ce fait, je sens la joie de cette ouverture de conscience… Tout ça oui ! C’est vrai !
●
C’est vrai que c’était une expression que j’avais souvent : « Ça me rentre dedans ! ».
■
C’est un détail ! Ce n’est pas essentiel… Je te l’ai fait remarquer juste pour te montrer que, dans notre système de pensée, il y avait, très souvent encore, un dehors et un dedans qui s’opposaient… Alors qu’il n’y a pas de « dedans » et de « dehors » séparés, dans la Réalité…
Mais nous sommes là, à communiquer ensemble, pour affiner, sans arrêt…
●
D’accord ! Donc nous n’augmentons pas l’Amour, mais nous en augmentons la conscience, à ce moment-là.
Et là, c’est vrai ! J’ai eu une augmentation de conscience de cet Amour… ou une prise de conscience, simplement, que l’Amour était en moi !
■
Voilà : que tu es Amour… comme Dieu l’a prévu depuis toujours !
●
Donc… Donc, ça, ça veut dire que je suis… tout à fait capable de faire le travail d’ouverture de conscience vis à vis de quoi que ce soit… Que je suis tout à fait capable… d’aimer… d’aimer l’ombre… normalement ! C’est faisable… !
■
Oui, tout à fait ! Sous tel aspect… ou tel autre ! Oui ! Bien sûr !
●
Parce que, aimer l’ombre, c’est prendre conscience de la Lumière « dans » l’ombre…
■
C’est tout ! Oui ! Tu as raison ! En d’autres termes cela ne nous a-t-il pas été dit, il y a 2000 ans par le Christ, lorsqu’Il a dit : « Aimez votre ennemi » …
Est-ce que cela ne signifie pas : « Aimez ce (ou ceux) que vous n’avez pas aimé » ? Ou bien également, cela ne peut-il pas signifier tout simplement : « Aimez l’ombre » ? Ou bien encore : « Aimez vos pertes de conscience de la Lumière » ? Est-ce que tout cela n’est pas la même chose ? Est-ce que ce n’est pas ça « Aimez notre ennemi » ?
●
Oui ! Donc simplement le fait, déjà, de voir par exemple que « je me sens coupable en ce moment » et de me dire « Ah, mais au fait oui ! Cette culpabilité que je ressens, c’est simplement un merveilleux message d’erreur qui me prévient que je viens de ne pas augmenter ma conscience de la Lumière comme je l’aurai pu ! »
Ça, c’est déjà reconnaître l’Amour « dans » ma culpabilité…
■
Ah ben déjà, là tu vois, tu commences à adoucir ta relation avec la culpabilité ombreuse et tu es en train de commencer à en reconnaître la Lumière! Oui ! C’est nettement un moment d’éclaircissement… de notre conscience !
●
Oui ! Ça met en route quelque chose… Alors, je me dis « Tiens, un message d’erreur ! Mais, l’erreur elle est où ? »
Je préfère être heureux que comprendre…
■
Alors, après bien sûr, si tu veux, nous aimons comprendre !
Le mental est très important… Il est très utile et très beau… Le mental humain est magnifique !
C’est l’usage que nous en avons fait depuis des dizaines de milliers d’années qui, trop souvent, a donné l’impression qu’il était compliqué… et même dangereux !
Originellement, notre mental est fait pour « Penser la Lumière », pour exprimer la Lumière !
C’est à dire, d’une part, pour jouir de toutes les mémoires, que ce soit nos mémoires naturelles Lumineuses… ou bien nos mémoires ombreuses que, depuis le presque début de l’humanité, nous avons mises en place en perdant conscience de la Lumière…
Et, d’autre part imaginer, à cet instant, l’avenir le plus lumineux que nous soyons capables d’imaginer…
Donc, nous n’avons pas à nous méfier de notre mental…. Nous avons juste à y reconnaître la Lumière dont il est réellement la véritable expression, à chaque instant !
●
Finalement, tu es en train de me dire que « Mon mental n’est que Lumière » … Là, je sens déjà les nouvelles connexions qui se mettent en place dans mon cerveau pour que je puisse penser ça…
Parce que je ne l’avais jamais pensé jusqu’à ce jour !
Je préfère être heureux que comprendre…
… mais plus je suis heureux, mieux je comprends
■
Oui ! Étudions les raisonnements ombreux de notre Pensée pour pouvoir y reconnaître la Lumière !
Ces raisonnements ombreux, nous les avions depuis des milliers d’années peut-être… et, là, à cet instant, nous choisissons d’y reconnaître la Lumière, du mieux que nous pouvons…
Et, tout d’un coup, cela entraîne, nécessairement, une suite !
Chaque fois que nous sommes heureux de quelque chose, nous nous préparons à être heureux d’autres choses !
Donc, nous nous entraînons à être heureux d’une chose… Et dès que nous le réussissons, il y a une autre chose qui va se présenter à nous dont, dorénavant, nous sommes plus capables d’être heureux…
Maintenant, si nous arrivons à être également capable d’être heureux de cette deuxième chose, alors notre capacité à être heureux augmente encore… Et alors, il y a un circuit un peu plus solide, inscrit dans notre cerveau, qui nous permet de le faire !
Et alors, là, une troisième chose se présente à notre conscience pour que nous en soyons heureux, c’est à dire pour que nous l’aimions… Et c’est encore un peu plus facile… Et ainsi de suite…
Et donc, petit à petit, si nous sommes fidèles à toujours aimer les mémoires qui se présentent à notre conscience, et si nous sommes toujours, de plus en plus, capables de les aimer, au fur et à mesure, la somme des mémoires que nous n’aimons pas va diminuer sans cesse et la somme des mémoires que nous aimons va augmenter sans cesse.
Et nous allons donc avoir des mémoires de plus en plus légères, de plus en plus « aimables » par nous.
Ainsi, nous allons avoir une quantité de mémoire dont nous sommes heureux de plus en plus élevée par rapport à la quantité des mémoires dont nous n’avons pas su encore être heureux…
Et de ce fait, cela va être de moins en moins dangereux que nous fassions l’erreur de nous fier à nos mémoires, puisque de plus en plus, elles seront Lumineuses… et ainsi de suite…
Tu vois ? C’est un cercle vertueux ! Ou plutôt une spirale ascendante vertueuse !
Un silence…
●
Il y a une chose un peu…
C’est que à chaque fois que l’on revient sur ce principe d’aimer… Aimer la culpabilité… Aimer… Bon d’accord, c’est prendre conscience de la Lumière qu’elle est… Mais…….
J’ai l’impression que c’est ça, en fait, de donner un sens… C’est à dire que… nous parlons d’une mémoire à aimer, de chose à aimer… Bon ! Mais, aimer, par exemple, le fait que j’ai massacré… Ça paraît difficile ! Si ce n’est de donner un sens !
Nul ne sait ce que peut l’Amour
■
Aimer, a été interdit par l’ombre !
Cela a été interdit, sinon celle-ci se serait immédiatement révélée à elle-même être la Lumière qu’elle est en Réalité… et elle aurait disparu en tant qu’ombre, c’est à dire en tant que perte de conscience de la Lumière…
L’ombre, la couleur de l’ombre, l’ambiance de l’ombre : c’était que nous prétendions ne pas aimer… Nous ignorions que nous étions totalement Amour !
Nous calculions, nous réfléchissions, mais nous avons cru que nous n’aimions pas… C’était le problème de l’ombre… La personne qui a imaginé l’ombre a beaucoup perdu conscience de la Lumière Éternelle…
Mais pas complètement !
Elle a perdu une « certaine conscience » de l’Amour Inconditionnel…
Mais pas complètement !
Car, c’est impossible !
Elle n’a pu perdre que « partiellement » conscience de la Lumière Éternelle…
Bien sûr, l’Être qui a perdu une certaine conscience de la Lumière a tissé un voile d’ombre plus ou moins épais, plus ou moins large, plus ou moins sophistiqué, pour cacher la Lumière qui Existe Éternellement derrière ce voile illusoire… et même dans ce voile lui-même…
Tout ceci n’est pas facile à exprimer, puisque l’ombre, que nous avons imaginé, a tenté d’envahir tous les aspects de la vie humaine et même terrestre !
Tous les mots, dans toutes les langues, ont été mésusés pendant des millénaires, sous la pression de notre ombre…
Silence ………
Mais l’ombre n’est « jamais » absolue, jamais… Seule la Lumière est Absolue !
L’ombre a toujours eu un début et elle aura une fin.
L’ombre ne peut voiler qu’une infiniment petite partie de la Lumière Infinie…
Nous ne pouvons perdre conscience que d’une infiniment petite partie de la Lumière Absolue…
Silence ……….
L’ombre veut voir plein de choses, sauf voir plus la Lumière. C’est le problème de l’ombre ! C’est le problème de la perte de conscience, toujours partielle, de la Lumière.
Mais chacun de nous, grâce à notre libre arbitre, nous pouvons penser ce que nous voulons… Et, courageusement, nous allons émettre des mots, des phrases, des raisonnements, qui expriment toujours mieux notre Âme… et donc notre conscience de la Lumière Éternelle.
Mais, il est vrai que ces pensées, exprimées à partir de notre Âme, Parcelle de la Lumière que nous sommes, ces pensées lumineuses vont être en général bien différentes de celles que la société… ombreuse, que nous avons créée, nous a enseignées depuis longtemps.
Au fur et à mesure où nous pensons à partir de la Lumière en nous, nous allons, bien sûr, commencer à penser des concepts marginaux par rapport à ce qui, pour l’instant, se pensent habituellement dans notre société actuelle.
La Lumière ouvrent un chemin dans les hautes herbes qu’Elle est
Mais, en même temps nous enrichissons la mémoire humanitaire de ces pensées nouvelles que nous sommes heureux de penser. Nous y amenons une conscience plus grande de la Lumière.
●
Oui, c’est vrai ! Je le comprends de mieux en mieux…
■
Cela revient au symbole du chemin dont nous avons déjà parlé et que l’on trace dans les herbes hautes et vierges : nous l’ouvrons une première fois, puis nous le reprenons une deuxième fois, puis une troisième fois… Et à un moment donné, il y a, là, un véritable chemin de plus en plus nettement tracé…
Et, ce qui est maintenant devenu un sentier va être de plus en plus facile à emprunter par d’autres personnes… Et sans aucun doute, finalement, elles vont l’emprunter !
Eh bien ! Là, c’est la même chose pour les pensées les plus belles que nous pensons à partir de l’Âme, une première fois, puis une deuxième fois, puis une troisième fois etc…
Ces pensées vont être de plus en plus faciles à penser, aussi bien par nous-même que par tous les autres êtres humains, où qu’ils se trouvent sur notre planète !
C’est comme ça que les êtres ayant les plus belles pensées vont aider le plus ceux qui ont de moins belles pensées…
Si eux ne font pas ça… Si les êtres les plus capables de penser les plus belles pensées ne les pensent pas de façon courageuse, toutes les actions, pourtant logiques, que ces belles Âmes mèneront au niveau matériel rencontreront un problème.
Si, lorsque nous agissons, nous n’avons pas appris à aimer les mémoires de l’humanité, ça va toujours mettre en place un nouveau problème d’ombre ! Et cela dans tous les domaines aussi variés que l’écologie, la politiques, la spiritualité, l’enseignement, les relations personnelles… etc.
Tous nos mots L’expriment
●
Il y a une autre attitude qui est de dire : « Ce n’est pas moi qui Aime, c’est Lui… »
■
Oui, c’est vrai aussi… et c’est beau !
●
Ce n’est peut-être pas aussi beau… mais cela me paraît plus facile !
■
Non ! C’est aussi beau ! C’est une façon totalement intéressante !
C’est une façon intéressante d’exprimer la Lumière…
●
Ah oui ?
■
Mais oui, c’est très bien ! Nous sommes le vecteur du Divin… C’est le même genre de pensée que :
« Mon Père que Ta Volonté soit faite et non la mienne » par exemple… Oui, c’est parfait ! Pas de problème…
Quand on dit ça « Mon Père que Ta Volonté soit faite et non la mienne », on dit : « Lumière, je Te reconnais comme étant mon guide, plutôt que mes mémoires » …
●
Oui !
■
Parce que le problème des mémoires, si tu veux, c’est que bien sûr, dans nos mémoires, nous n’avons pas que de l’ombre…
C’est vrai que nous avons accumulé pas mal d’ombre dans nos mémoires, pendant des siècles et des siècles… des mémoires personnelles, des mémoires des autres etc…
Et donc, quand nous pensons à partir des mémoires, nous prenons un grand risque : le risque de penser « gris », voir « noir » …
Et parfois, trop rarement encore, nous allons pourtant penser « blanc » !
(Rire…)
Et voilà ! Pour l’instant, c’est un trop grand risque de penser à partir des mémoires !
Tandis qu’en pensant directement à partir de l’Âme, c’est « blanc pur » garanti, c’est « Lumière Pure » …
On ne peut pas laver plus blanc que Dieu !
Il n’y a pas d’autres options pour être sûr de penser « blanc » que de penser à partir de l’Âme… C’est ce que nous appelons souvent « Penser ce que nous sommes le plus heureux de penser » !
Quand nous pensons à partir de l’Âme, c’est à dire à partir de la Lumière Pure que nous sommes, alors, la Lumière nous guide, Elle choisit nos mots, Elle choisit nos actions…
●
C’est simple !
■
Mais, oui ! Bien sûr que c’est simple !
●
Nous ne pouvons nous libérer de l’ombre que si nous partons de la pensée qui prends sa source dans l’Âme… dans la Lumière.
■
Dès que nous partons de l’Âme, nous sommes heureux, nous sommes détendus à l’instant… et nous mettons en place des mémoires de qualité pour l’avenir de l’humanité…
●
C’est ce que j’ai senti tout à l’heure et la dernière fois ! C’est qu’en fait, c’est beaucoup plus puissant ! … Parce que, jusqu’à maintenant j’essayais de « changer » …
■
« Rien n’est à changer, tout est à Aimer ! »
●
C’est fou, cette habitude de vouloir « changer » …
■
Rien n’est à changer ! … Le fait de vouloir changer quelque chose, complique notre vie et la vie des autres…
Non… Rien n’est à changer, tout est à aimer ! C’est tout.
Ne nourrissons plus cette idée, inefficace, de vouloir changer le monde, au lieu de l’aimer tel qu’il est…
Nous ne pouvons pas changer les faits… Mais nous pouvons les aimer… et c’est tout à fait différent !
Mais, il faut que nous arrêtions de vouloir les changer !
Dieu est Amour… Donc, il nous Aime… Est-ce qu’il nous Aime comme nous sommes ou comme nous pourrions être ?
●
Ça dépend : Si tu l’imagines comme un homme, Il n’est pas content de toi !
Rire…
■
Tu comprends bien ! Mais, toi, à ton niveau, tu sais très bien qu’Il t’Aime comme tu es… point à la ligne !
Il nous Aime comme nous sommes… Il ne nous demande pas de changer pour qu’Il puisse nous Aimer !
●
Oui, bien sûr ! …
■
Tu prends ton plus véritable ami, si tu es claire, tu es obligé de voir qu’il t’aime sans condition, même si tu parts à droite ou à gauche… Et tu peux toujours le ressentir : Il est là ! C’est tout ! Et ça, ça te rassure… C’est bien ce que tu vis ?
●
Oui, bien sûr !
■
… Alors, nous retournerons vers la conscience de cet ami, c’est sûr… Parce que ça, nous voulons le sentir… Nous voulons le vivre ! Nous voulons vivre ce type de relation…
Nous voulons vivre un Amour Inconditionnel de la part de notre meilleur ami et un amour quasi-inconditionnel de la part de nos autres amis… qui, eux, grandissent comme nous !
…
Ce n’est jamais la première fois, ni la dernière fois, que nous nous rencontrons
Je pense que fondamentalement, l’ouverture de la conscience à la Lumière, c’est la seule chose qui intéresse tout le monde. Mais, chacun en a une conscience personnelle et unique…
●
Du coup, le fait de pouvoir le voir et de pouvoir l’appliquer… que cette nécessité, ce besoin vital puisse s’incarner dans tous nos mots, dans toutes nos attitudes, dans tous nos gestes, ça donne corps à notre vie…
Sinon, pour moi, c’était mort !
En fait, c’est ça, ça faisait des moments de mort… et que… non pas que je perdais la foi, mais que je n’étais pas vraiment consciente d’être vivante… Tout ce que je faisais était « comme » mort…
Et là… Maintenant…
■
Pourtant : « c’était vivant » ! Parce que la vie ne peut pas disparaître…
La Vraie Vie est Éternelle.
C’est la conscience qui fait toute la différence
●
La conscience de la vie… Je n’avais aucune conscience de la vie ! C’était, pour moi, le problème de la conscience de la vie !
■
Pourtant, tu n’es pas plus vivante maintenant que tu l’étais il y a 10 ans, ou il y a 1 ans, ou il y a 6 mois… Ça, ce n’est pas possible !
●
Non ! Pas du tout ! Mais, c’est cette conscience, là !
■
Oui, nous sommes vivants, nous sommes « absolument » vivants ! Mais, c’est la conscience qui, elle, peut changer…
« C’est la conscience qui fait toute la différence ».
●
Oui ! Et, du coup, c’est vraiment devenu différent…
■
Nous sommes, en effet, des consciences en évolution.
●
C’est comme si, jusqu’à maintenant, je n’avais pas cette conscience… Et ceci, bien malgré moi…
Parce, d’un autre côté, il y avait une énergie qui faisait que j’avais conscience de tout ça… Tout était devenu intense…
Mais là, il fallait que ça devienne une réalité, je ne dirais pas une réalité individuelle, mais… une réalité « autonome » ! Voilà… c’est exactement ça.
■
Bien sûr, tu voulais vivre cette ouverture de ta conscience ! Nous voulons tous vivre cette expérience. Il y a un appétit qui augmente, qui augmente… Et, à un moment donné, nous ne pouvons plus refuser « l’obstacle » …
Nous ne pouvons plus refuser la conscience de l’ombre… L’ombre s’impose à notre conscience.
Et puis, nous ne pouvons plus prendre l’excuse de l’ombre pour ne pas voir la Lumière… Nous ne le pouvons plus !
L’ombre a été là. Elle « existait », de son existence limitée… Une fois que nous l’avions imaginée, cette perte de conscience de la Lumière, qui est l’ombre, s’est immiscée dans tous les aspects de notre vie…
Et alors, là, nous avons pu dire : « Je ne serais heureux que s’il n’y avait plus d’ombre » …
Et badaboum ! Nous étions piégés !
Parce que, il y avait de l’ombre partout, ou pratiquement partout, mais nous avions décidé maintenant que nous ne serions heureux que lorsque cette ombre disparaîtrait… Mais alors, comment pouvions-nous faire « disparaître » l’ombre ? Puisque…
●
Non ! Là, cela n’aurait jamais été possible !
■
La disparition de l’ombre ne pouvait pas être une condition du Bonheur qui, lui, est inconditionnel.
Alors, ça se mordait la queue, là ! Nous n’en pouvions plus…
Donc, il fallait bien, à un moment donné, que nous prenions le taureau par les cornes, comme on dit… et que nous osions faire la seule chose qui soit possible… Et ce qui est possible, tout de suite : c’est d’aimer ! D’aimer « sans » condition.
Et là, en particulier, d’aimer l’ombre, notre ennemi… Et donc d’éclairer l’ombre !
Et ainsi, de faire que, par cet éclairement, c’est à dire à dire par cette prise de conscience de la Lumière « dans » cette ombre, ce soit, enfin, la fin de cette ombre !
Et là, c’est fini ! La fin de toute ombre, c’est la Lumière !
C’est tout !
Il n’y a pas d’autre fin pour l’ombre.
Merci l’ombre
Et, aujourd’hui, et ceci pour probablement encore assez longtemps, pour nous, l’intérêt de l’ombre, c’est justement qu’elle soit l’occasion de pouvoir retrouver notre capacité naturelle d’ouverture de notre conscience à la Lumière…
C’est ça qui est merveilleux dans l’ombre : c’est qu’elle nous a invité, en permanence, depuis le début de son existence éphémère, à augmenter notre conscience de la Lumière, dans des situations très tarabiscotées…
C’était le labyrinthe de l’ombre !
Et seule la Lumière peut nous libérer de notre labyrinthe.
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C’est ça qui est étonnant, parce que c’est comme si tu disais « Ce n’est pas moi » quand tu dis : « C’est moi ! »
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Oui, bien sûr ! Quand nous parlons à partir de l’Âme, ce n’est plus « notre » parole, mais c’est « La » Parole… C’est alors le Divin qui parle en nous, point à la ligne ! C’est tout ! Ça appartient à tout le monde, il n’y a pas de soucis !
Tu as raison !
C’est cela, la communication unitaire, c’est à dire la communication d’Âme à Âme… Il ne peut pas y avoir de conflit entre une Âme et une autre Âme…
Ton Âme, c’est Dieu en toi et mon Âme, c’est Dieu en moi… Alors comment peut-il y avoir des chocs, des difficultés, des illusions de séparations, entre l’Âme et l’Âme ? Ce n’est pas possible !
Alors, si toi, ta Pensée écoute ton Âme et traduit ton Âme… et si moi, ma Pensée écoute mon Âme et traduit mon Âme… Alors, là, nous ne pouvons plus avoir de problèmes de pensées ensemble !
Et si nous vivons cela, automatiquement, à ce même instant, au niveau de la matière, il n’y a plus de problèmes… En effet, si les différents corps sont l’expression pure de l’Âme qui anime chacun de ces corps… il n’y a plus de problèmes de relations matérielles entre ces corps, non plus !
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Je sens que c’est comme si ça donnait un sens… Ça donne un sens : c’est ce que je cherche !
Et c’est par le sens que tu peux le trouver aussi.
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Parce que, je pense que… Comment dire ça ? …
L’humanité n’a pu exister qu’avec un minimum de 2 personnes, n’est-ce pas ?
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Oui ! Eh bien, oui. Moi j’ai besoin…
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Avant, avec 1 personnes, il n’y a pas encore d’humanité… Donc, il a fallu que le Premier Humain, s’incarne, d’accord ? Et ensuite, il a fallu que la Première Humaine s’incarne également… et là, ça y est, l’humanité apparaît, elle est là !
Et c’est en eux qu’apparaît le Libre Arbitre, la Libre Conscience etc… Là, l’humanité commence… Enfants de la Lumière.
Et donc, l’humanité s’est bâtie sur les 2, donc sur la relation… et après, ça s’est multiplié…
Originellement, cela devait se multiplier dans une Communication Unitaire permanente, qui était la fille légitime de la Lumière !
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Ben oui !
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Voilà ! Des Êtres humains élevés qui s’enrichissent les uns les autres, qui font des « inventions » à partir de la Lumière qu’ils sont, qui font une prise de conscience toujours plus grande de l’Énergie qu’est la Lumière…
Et nous arrivons ainsi à des systèmes de vécus de l’Énergie Lumineuse qui n’ont rien à voir avec ceux dont nous avons eu conscience jusqu’à là…
Enfin… Nous commençons de plus en plus… Il y a des scientifiques qui s’y intéressent et qui sont très intéressants… Je t’ai, peut-être, déjà parlé de Nassim Haramein ?
La Science Unifiée
Avec ma compagne, on s’est bien enrichis avec Nassim, grâce à internet. C’est un scientifique, marginal, intéressant… Très intéressant.
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Oui, il a fait quoi ? J’ai peut-être vu une vidéo de lui.
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Oui, surement, il y en a pleins sur internet. Si tu veux avoir une vision assez complète de son travail en 3h30, c’est à dire là où il en était en 2016, donc il y a 8 seulement 8 ans, tu peux écouter la conférence qu’il a fait en français, à Paris, en 2016. Parce que, autrement il parle plutôt en anglais…
Tu mets « Nassim Haramein-Conférence-2016 Paris » et tu tomberas sur cette conférence qui te permettra déjà de prendre connaissance d’une certaine vision scientifique bien différente.
Nous avons été très enrichis par l’étude, à notre niveau, de ce scientifique, parce qu’il a une vision unifiante qu’il appelle d’ailleurs « la Science Unifiée ».
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Je l’ai vu il y a très longtemps et je pense que cela serait bien, maintenant, de le revoir…
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Oui ! C’est un scientifique théorique et pratique intéressant.
Ceci pour dire qu’il y a des gens, car il n’est pas le seul, qui, un peu partout, touchent ça du doigt, quelque part… Ils imaginent une autre science, ils ont une façon différente de travailler… et donc, ils parlent de l’Énergie d’une façon différente, ce que l’on appelle l’énergie du champ de Planck… C’est passionnant…
Mais, Spinoza nous a bien dit que « Nul ne sait ce que peut le corps ».
Et nous pouvons également dire que « Nul ne sait quoi que ce soit ! » … C’est à dire que l’énergie, on ne la connaît pas… Nous en sommes encore tout à fait ignorants !
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Non ! Nous sommes en train de découvrir l’énergie, mais, il y a peu, nous étions encore à l’ère de Newton, alors… Nous n’avions même pas encore appréhendé la pensée d’Einstein ! Donc, tout était à faire…
Au turbin au bon moment
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Oui, tout est à faire ! Et c’est chacun de nous qui allons le faire un jour, si nous nous y préparons bien aujourd’hui…
Parce que nous allons nous réincarner ! Bien sûr pas trop tôt, semble-t-il… Mais nous naîtrons au bon moment, si nous suivons notre joie, donc si nous suivons la Lumière… et puis voilà, dans l’avenir, on repartira au turbin !
Les hommes de bonnes volontés vont donc travailler tout ça, dans des domaines très variés, surement ! Tu imagines ? En Politique, en sciences, en économie, dans les arts etc…
Dès que nous en serons capable, les Êtres humains, plus libres, devront prendre, tour à tour, tous ces rôles pour initier des mouvements d’ouverture de conscience à la Lumière vraiment nouveaux dans tous les domaines…
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Oui ! Pour changer enfin la société… Pour lui redonner son véritable mouvement…
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Mais, pour cela, il faut que nous nous entrainions tous ! C’est pour ça que nous devons être très actifs, dés aujourd’hui… Il faut, très courageusement, que nous pensions à partir de l’Âme, sans arrêt, sans arrêt, sans arrêt ! Et cela dès aujourd’hui, le plus possible !
Il faut que la Lumière devienne, à nouveau, la seule source de notre Pensée et de nos actions… Et donc, il nous faut agir.
Il nous faut apprendre.
C’est bien, hein ?
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Ah, Ouais ! C’est bien.
Et apprendre, c’est répéter !
Ce sont des petites choses très basiques, très simples, mais qui, pour moi, sont essentielles… Parce que cela m’aide beaucoup à sortir de la conception qui était « d’arriver à un état » !
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Tu veux de tenir tout dans tes mains ?
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Oui ! Donc, c’est bien.
Répéter, c’est essentiel : ça me met dans l’instant, et comme ça… je vis !
Allez, encore, répétons !
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Oui ! N’ayons pas honte de répéter… Nous devons valider la répétition… Il ne faut plus, comme nous l’a appris l’ombre, culpabiliser parce que nous répétons !
En effet, dans le système ombreux, l’école officielle a été jusqu’à aujourd’hui un exemple typique… Cette école a été un lieu important où l’on nous a beaucoup formé à la pensée ombreuse… Mais pas seulement, heureusement ! Elle a en effet également enseigné la Pensée Lumineuse…
Dans l’aspect ombreux des enseignements que les enfants recevaient, il était pensé que moins nous répétions, mieux c’était !
C’est à dire, que l’ombre nous a fait croire que celui qui avait le moins besoin de répéter pour acquérir une notion était le meilleur… Or, cela était faux !
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Oui, la preuve ! Les enfants n’apprennent même plus les tables de multiplications…
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Eh oui ! Nous n’avons pas d’autre système réel d’apprentissage… La répétition doit être validée, encouragée… et reconnue comme belle…
Nous devons encourager les gens à être heureux de répéter ! Et non pas à être honteux de répéter, honteux d’avoir besoin de répéter… honteux de ne pas avoir compris et appris à la troisième répétition seulement !
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Oui, oui ! C’est vrai !
Moi, cela me change la perception du temps même ! Du temps, et de la confiance en moi…
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Là, en ce moment, je suis en train de traduire un texte de l’anglais qui lui-même a été traduit du russe. C’est un livre sur « Le Jeûne Sec » …
Cela m’intéresse en tant que thérapeute et j’ai donc expérimenté 3 jeûnes secs de 2 jours à 3 jours, pour l’instant, dans les derniers mois.
« Jeûne sec », ça veut dire : rien !
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Surtout, cela veut dire : pas d’eau ?
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Oui ! Pas de nourriture solide et pas d’eau.
J’ai donc fais cette petite expérience et cela m’a beaucoup intéressé … et je traduis ce livre de l’anglais, puisqu’il n’existe pas en français… C’est un médecin russe qui l’a écrit…
Et donc, là, ce que je voulais dire, c’est que cela me prend du temps. Là, dans l’immédiat, je veux finir ce travail qui va me prendre encore 15 jours, peut être un mois… je ne sais pas exactement.
J’ai bien avancé, mais il faudra que je le relise…
Et ensuite, nous allons pouvoir commencer à écrire nos entretiens, à les transcrire.
Toi, si tu le désires, tu peux commencer quand tu veux, d’ailleurs ! On se partagera le travail, bien sûr.
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Pas de soucis ! J’ai du temps, en tout cas pour l’instant !
Mais je reviens sur le jeûne sec… Il a un effet particulier ? Pourquoi le fait de ne pas donner d’eau ?
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Le jeûne sec est à peu près 3 fois plus performant que le jeûne hydrique au niveau détoxination du corps… C’est à dire que en 3 fois moins de temps, tu obtiens les mêmes résultats.
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Ah, écoutes, c’est intéressant !
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Il y a plein d’autres trucs que tu verras un jour, si tu en as le désir.
Moi, ça m’intéresse ! Et pourtant, ce n’est pas ce qui est le plus intéressant…
Mais, dans ce domaine particulier de l’alimentation, ce qui m’intéresse fondamentalement, c’est de pouvoir vivre un jour en me nourrissant de la Lumière, directement par la conscience de la Lumière comme source de la vie ! Mais, pour l’instant, je constate que j’en suis bien incapable ! Il faut bien que je le reconnaisse…
Et je doute que j’y arrive dans cette vie… Mais peut-être y arriverons-nous dans une autre de nos nombreuses vies à venir !
Mais, pour tous, et bien sûr pour moi, ce qui est vraiment, vraiment, le plus important, c’est d’être heureux de suite… Ça, c’est vraiment le plus important à mes yeux…
Ce que je mange, ou ne mange pas, est secondaire, pour l’instant, très secondaire… Mais, en parallèle, je m’amuse tout de même à faire mes petites expériences ! Cela me plaît.
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Ah, carrément !
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Oui !
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C’est tout à fait possible.
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Oui, ça l’est, mais, pour ça, il y a pour moi tout un gros, un très gros, travail d’ouverture de ma conscience à la Lumière à accomplir…
Il y a des gens qui ont spontanément cessé de manger… C’est donc possible ! Cela à été déjà réalisé par certains, sans même qu’ils le veuillent !
Il y a des gens qui vivent sans manger matériellement pendant plus ou moins longtemps… Et il y en a même qui vivent toute leur vie sans manger ni boire… c’est plus rare, mais il y en a…
Je trouve très intéressant que cela existe… Déjà parce que cela résoudrait la quasi-totalité des problèmes matériels : tout le monde serait nourri sainement et serait en bonne santé, puisque, à ce moment-là, il n’y aurai rien qui manquerait !
Et la planète pourrait tranquillement continuer à nous héberger.
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Et ça rejoint le travail sur la matière que l’on ne connaît pas : le « Nul ne sait ce que peut le Corps » de Spinoza…
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Voilà ! Ça m’intéresse, marginalement, et j’avance dans cette direction-là, à mon rythme… Et là, pour l’instant, j’en suis à étudier, pour un temps, ce jeûne sec qui est, une expérience qui me semble raisonnable pour moi… Un apprentissage parmi d’autres…
Mais, je trouve stimulant que des gens puissent tomber spontanément dans la situation de pouvoir nourrir leur corps sans passer par la nourriture matériel habituelle… et même de ne plus boire…
On va voir ! On en reparlera peut-être, un jour…
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Ah oui ! Ça, ça m’intéresse !
OK !
■
Mais en tous les cas, pour l’instant, et pour toujours : Lumière ! Lumière ! Lumière !
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Lumière ! Lumière ! Oui ! C’est très, très, bien…
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Super !
Eh bien, je me régale, de toi… et de tout ça…
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Pour moi, écoute, c’est vraiment intéressant ! Là, je suis tout heureuse, j’ai l’impression de jouer…
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Oui, jouons à vivre !
Je te remercie beaucoup d’exister, d’être ouverte à ce dont nous discutons, à ce que nous échangeons et que nous allons pratiquer de notre mieux à tout propos… et qui est aussi un élément essentiel de notre bonne santé !
Être heureux, simplement, de Tout !
…
Alors, là, il faut que j’arrête l’enregistrement !
Couic !
… Et c’est la fin de l’enregistrement de cet entretien N°2 !
De Deux Petits Artisans de la Lumière parmi d’autres : ■ et ●
…
Vaccins et bonheur
●
J’ai une question sur les vaccins… En fait, c’est un conseil que je demande, car je pense qu’à plus ou moins long terme nous allons être obligés de nous faire vacciner… ou pas… je n’en sais rien !
Est-ce qu’il y a des précautions à prendre, avant, pendant, après… ou pas ?
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Eh bien, la première chose, et c’est la plus importante à mon point de vue, et je n’arrête pas de la répéter, c’est que, si jamais une personne est obligée de se faire vacciner, parce que, dans notre société, telle qu’elle est pour l’instant, elle ne peut pas légalement y échapper vu sa position sociale, il faut alors, absolument, qu’elle choisisse d’être heureuse d’être obligée se faire vacciner !
Être heureux, c’est un choix… C’est un choix essentiel !
Et plus nous pratiquons ce choix, plus il est facile de le faire…
… Rires…
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Oui ! Ça, j’y ai pensé…
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Sinon, si nous ne savons pas être heureux d’être contraints de nous faire vacciner, nous allons vers des problèmes, comme trop de gens le font !
Et là, ils ont un effet « nocebo » maximum.
Être heureux, dans ce cas là comme dans beaucoup d’autres, c’est là la priorité des priorités ! Parce que si nous ne faisons pas cela, nous nous mettons en danger nous-même ! C’est comme si nous choisissions alors de nous mettre en danger…
Il faut donc, dans ce genre de situation, comme dans toutes les autres d’ailleurs, être heureux en remettant notre vie entre les mains de la Lumière !
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Comme Elle l’est !
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Oui, comme Elle l’est en Réalité, que nous en soyons conscient ou pas ! Tu as tout à fait raison…
Mais, là, c’est vraiment le moment d’en avoir encore plus conscience… ou d’en prendre à nouveau conscience !
Il est totalement utile que nous ayons conscience de ce Fait Absolu : nous sommes entre les mains de Dieu… et nous sommes en sécurité…
Notre foi doit augmenter chaque jour… Et chaque événement est l’occasion, pour chacun de nous, de l’augmenter.
Placebo
Ensuite, il faut soutenir, au niveau pratique, cette priorité sans laquelle nous ne pourrons pas « passer » sainement et agréablement à l’instant suivant…
Pour cela, il est donc utile que nous mettions en place le meilleur effet « placebo » possible, pour nous soutenir moralement…
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Pour soutenir notre corps également !
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Oui, bien sûr également, car le Corps et la Pensée ne sont aucunement séparés !
Donc, si tu te fais vacciner, ce que je conseille aux gens de faire après la vaccination… (et c’est ce que je ferais moi-aussi, si j’y étais obligé) : c’est de mettre un emplâtre d’argile verte pendant plusieurs jours à l’endroit de l’injection…
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Oui, ça c’est un truc déjà connu !
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Oui ! C’est tout simple et sans danger… Tu le mets le plus souvent possible, peut-être pendant la moitié des 1ères journées après la vaccination…
C’est pour cela qu’il faut essayer d’obtenir que l’injection ne soit pas faite trop haut dans l’épaule, mais plus bas sur le bras, car sinon, ce n’est vraiment pas pratique pour placer un emplâtre !
Cela étant, s’il y a tout de même des symptômes qui surviennent et que la personne n’a pas pu rester indemne face à cette intervention artificielle qu’est ce type de vaccination, alors là, il faudra étudier les symptômes… car, c’est en fonction des symptômes que l’on pourra proposer, par exemple, un traitement homéopathique pour stimuler le système homéostasique et l’aider à résoudre le problème qui est posé au « Corps-Pensée-Âme » et qu’il n’arrive visiblement pas à bien solutionner par lui-même.
En effet, s’il y a des symptômes, c’est qu’il y a un système de survie qui a été mis en place et que le corps cherche sa guérison sans y être, pour l’instant, arrivé : il cherche la solution… et alors il y a des symptômes !
Et c’est selon ces symptômes, qui sont personnels à chacun, que le thérapeute va choisir son attitude pour soutenir les effort de ce corps dans la recherche de son équilibre…
Symptômes nos amis
Si les symptômes persistent, c’est que le corps n’y est pas encore arrivé et un traitement raisonnable aura pour but de le soutenir dans son effort de rééquilibrage… jusqu’au succès… et non pas de les supprimer, ces symptômes !
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C’est ce que l’on dit pour la fièvre, qu’il faut soutenir, car cela fait partie des symptômes qui expriment l’effort que fait le corps pour retrouver son homéostasie ?
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Exactement ! Il ne faut pas combattre l’effort que fait le corps pour retrouver son équilibre, mais au contraire, bien sûr, le soutenir ! La fièvre est l’un des moyens les plus importants que les corps ont mis en place depuis l’existence des corps à sang chaud et peut être même avant…
En effet, par exemple, en homéopathie, le remède a pour but de soutenir le système « soi-disant de défense » (je ne trouve pas ce terme judicieux, car il n’y a pas nécessairement d’attaque), donc plutôt « le système immunitaire » peut-être…
Mais pas que ! … car tout le corps est un système de maintien de sa propre vie… y compris le système immunitaire, bien sûr !
Tout traitement efficace, quel qu’il soit, aura comme effet d’accompagner le corps dans la direction, que « lui » choisit, pour l’aider à résoudre « son » déséquilibre !
En homéopathie, donc, on donnera au corps des informations à l’aide d’une substance « dynamisée » qui sera la même que celle qui a donné les mêmes symptômes lorsqu’on l’a administrée à une personne saine au cours des expérimentations;
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Oui ! Oui, j’ai été soigné pendant longtemps par l’homéopathie…
L’avantage de l’effet placebo
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Voilà, mon point de vue : c’est celui-ci… Mais, il y a des gens qui prennent des remèdes avant un événement particulier, comme pour « préparer » leur corps à cet évènement …
Je pense que l’homéopathie n’est pas prédictive… Cela se place dans le présent : le corps a une réaction pour pouvoir se rééquilibrer et on va donner une substance pour aider l’action que le corps a lui-même, déjà, engagée.
Donc, pour moi, prendre un traitement à l’avance, n’est pas logique, au point de vue purement « homéopathique » …
Mais, par contre, cela a un avantage qui n’est pas à négliger : c’est « l’effet placebo », que l’on a toujours, et qui est plus ou moins puissant selon notre croyance, lorsque l’on choisit d’utiliser un traitement, quel qu’il soit !
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Ah oui ! Il est là… Il est bien, cet effet placebo…
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Il y a, en effet, toujours l’effet placebo ! Et c’est pour ça qu’il ne faut jamais décourager quelqu’un (et c’est pour cela que je ne le fais pas), il ne faut donc jamais décourager quelqu’un qui croit que, parce qu’il prend, par exemple, Arnica avant une intervention chirurgicale, ça va mieux se passer ! C’est parfait : qu’il en prenne !
Au niveau purement homéopathique, c’est, peut-être, pensé inefficace… En revanche, il y aura toujours l’avantage de l’effet placebo !
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Oui, oui ! C’est logique…
L’effet placebo est toujours à encourager
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Il faut donc soutenir toute personne dans l’effet placebo qu’elle a choisi ! Peu importe quelle forme cela prend : il faut le soutenir ! Plus l’effet placebo sera important, plus le corps sera soutenu dans son effort de rééquilibrage !
Et ce n’est jamais, bien sûr, un bon choix de diminuer l’effet placebo que la personne a choisi, en le critiquant ou pire en s’en moquant… Il faut, au contraire, le soutenir et l’encourager !
Chez l’Être humain, dès qu’il pense, il y a toujours un effet placebo… Ou nocebo !
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Oui, il ne faut vraiment pas oublier ça !
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L’effet placebo c’est, tout simplement, l’effet de la pensée ! Souvent, on n’ose pas le dire ouvertement, mais l’effet placebo, c’est, tout simplement, « le pouvoir de la pensée » !
Si tu veux, « c’est la conscience qui fait toute la différence ». Quelle conscience, de ce qu’elle vit, la personne va-t-elle choisir ?
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Mais, c’est un peu plus que ça quand même… Parce que quand on fait des tests classiques scientifiques, les gens ne savent pas s’ils prennent le placebo ou le médicament.
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Oui c’est vrai tu as raison ! Normalement, ils ne devraient même pas savoir qu’ils font partie d’une étude qui compare 2 groupes différents…
Oui ! Mais, en revanche, ils ont confiance dans leurs médecins et c’est pour cela qu’ils choisissent de subir ce traitement, quel qu’il soit… en ne sachant pas ce dont il retourne.
Et leur confiance en leur thérapeute, c’est leur placebo ! Plus leur confiance est grande dans les thérapeutes qui s’occupent d’eux, plus leur effet placebo sera puissant ! Et mieux leur corps retrouvera son équilibre…
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Oui, c’est vrai, bien sûr !
Conscience et inconscience entremêlées
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Mais, la conscience, c’est à la fois simple… et compliquée !
Ce n’est pas aussi carré que nous le pensons en général… Il n’y a pas « conscience » et « inconscience » séparées l’une de l’autre, avec une sorte de barrière fixe entre les deux, une ligne qui serait très fine entre les deux qui ne varirait pas…
Non ! La frontière entre la conscience et l’inconscience est très, très mobile et donc très flou ! Par exemple, nous savons plein de choses que nous ne croyons pas savoir et à l’inverse nous ne savons pas plein de choses que nous croyons savoir…
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Ah oui, ? Il y a des niveaux de conscience entremêlés… Je n’avais pas pensé à ça ! Mais, c’est vrai… Il y a l’intuition… Et puis, le corps peut te parler d’une certaine façon !
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Donc, tu vois, c’est très flou ! En fait, c’est un halo total… C’est un mixe infini…
Parce que, si nous sommes dans un moment merveilleux de croyance totale en Dieu Infini, Éternel, Omniprésent… là, nous savons que Dieu est Tout !
Alors, cette conscience, c’est donc Dieu ! Mais, puisque Dieu « est » Tout, l’inconscience, c’est aussi Dieu…
Donc, la totalité de notre conscience + la totalité de notre inconscience, c’est le Divin… Et il n’y a pas de séparation entre ces différents aspects de Dieu, mais bien une Unité Absolue !
Rires…
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Oui ! C’est toujours pareil ! Donc, ce n’est pas aussi simple que ça…
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Non, ce n’est pas une ligne droite avec une frontière immobile et stable entre l’inconscient et le conscient.
Une preuve, parmi d’autres, c’est que parfois on peut être conscient pour l’autre, on peut savoir une vérité sur l’autre que lui ne sait pas à cet instant…
Il ne le sait pas lui-même, mais quelque part, il en est conscient puisqu’il y a des réactions dans sa vie, des manifestations dans son corps, qui lui ont fait se poser des questions ! Et c’est pour cela qu’il communique avec toi…
Et puis, lorsque tu lui exprimes la conscience que tu as à son propos, il peut, s’il le veut, prendre conscience de son inconscience… et hop ! sa vie peut changer…
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Oui, oui, oui ! C’est bien comme cela que ça se passe, souvent…
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Donc, c’est très, très, flou… Mais, en général, on fait comme ça : nous séparons nettement la conscience de l’inconscient, ce qui est souvent pratique pour réfléchir jusqu’à un certain point…
Mais, en réalité, cette séparation, elle n’existe pas… Elle n’existe pas dans l’Unité de Dieu qui est Tout !
Petit schéma
Pour illustrer ce que nous venons de dire, nous pouvons faire un schéma très simple : Prenons une feuille blanche, en A4 par exemple, qui est rectangulaire… Mais là, nous, pour notre discussion, nous allons imaginer que cette feuille blanche, elle est sans limite à l’infini… Et ainsi elle va symboliser, pour nous, l’Infinité de Dieu…
Et puis là, sur cette surface imaginée Infinie, je dessine une surface limitée par un trait rouge très floue qui symbolise ma conscience finie qui se trouve à l’intérieur de cette surface infinie (je la nomme conscience de 1 dans le schéma ci-dessous)…
Et donc tout le reste de cette surface infinie qui est à l’extérieur de ma conscience, c’est mon inconscience infinie (nommée inconscience de 1)…
Donc, en fait, je suis conscient de Dieu ici à l’intérieur, puisque je ne peux être conscient que de Lui… Et je suis inconscient de Dieu à l’extérieur, puisque je ne peux être inconscient que de Lui… Puisqu’Il Est Tout !
Mais, cette ligne qui représente la limite entre les deux, elle n’est pas fixe, mais elle est infiniment mobile… Sans arrêt ça bouge ça fluctue, un peu comme les limites d’une amibe sous le microscope !
Ici, j’ai essayé de représenter ce mouvement incessant par une zone de floue… Mais, ce serait pratique, plutôt, de parler de cela avec une vidéo qui donnerait un mouvement incessant de cette soi-disant limite…
En effet, parfois, je suis fortement conscient de quelque chose, c’est à dire d’un aspect particulier de Dieu et j’oublie le reste dont je suis alors inconscient…
Et puis l’instant d’après, je vais me concentrer sur autre chose, c’est à dire sur un autre aspect de Dieu et perdre conscience du reste… etc… etc… Et ceci évolue sans cesse, d’instant en instant !
Maintenant, si je dessine la conscience et l’inconscience d’une autre personne, en violet (conscience de l’autre nommée : 2) … On voit bien que sa conscience et la mienne (1 = conscience de moi) se chevauchent en une conscience commune nommée 3...
La zone 3, c’est notre conscience commune du Divin… à un moment donné seulement, puisque tout cela est complètement mobile … Et donc cette conscience commune 3, elle va évoluer sans cesse !
Ensuite, il y a également une zone où je suis conscient et où l’autre personne est inconsciente (1 – 3 : 1 moins 3)… Et réciproquement, il y a une zone ou l’autre, lui, est conscient et moi, je suis inconscient (2 –3)…
Et tout cela change également sans cesse.
Et, enfin, il y a tout le reste, qui, quelle que soit les évolutions incessantes de nos deux consciences qui augmentent sans cesse, ce reste qui est cet Infini où nous sommes tous les deux inconscients de Dieu, évidemment.
Mais, tout ça, est mobile, rien n’est fixé…
Nos conscience augmentent sans cesse dans un Infini qui reste « Infini ».
Joie et souffrance
Maintenant, en utilisant toujours ce simple genre de petit schéma, nous pouvons parler de « la joie » et de la « souffrance » et de leur relation avec la conscience et l’inconscience :
La Joie c’est, en effet, ce que nous ressentons chaque fois que nous expérimentons une « augmentation de notre conscience du Divin » : à ce moment-là, il y a une ouverture de notre conscience… Et nous vivons la Joie !
Sur notre schéma cela se dessine comme une sorte de hernie qui se fait à partir de la limite de ma conscience, et qui schématise une augmentation de notre conscience qui se fait dans une direction ou dans une autre !
En revanche, chaque fois que nous souffrons, notre « Souffrance » est un merveilleux signal d’alarme qui nous permet, si nous l’écoutons, de savoir, avec une mi-temps de retard, que nous venons de « freiner l’expansion naturelle de notre conscience de la Lumière » … Soit un peu, soit beaucoup !
Également, la zone « 3 » où les 2 consciences se recouvrent est très importante dans nos échanges entre Être humains… C’est en effet la zone de notre conscience commune… Nous communiquons essentiellement à partir de cette zone de conscience commune qui, pourtant, est si mobile…
Cette zone 3, c’est en effet une zone à partir de laquelle on peut s’entraider beaucoup à favoriser l’ouverture de nos consciences, et l’un et l’autre…
En effet, au bord de cette zone, l’un des deux est conscient et l’autre ne l’est pas, à ce même instant. Et là, si nous pouvons avoir une communication unitaire efficace, on va avoir comme résultat que chacun va gagner de la conscience sur sa propre inconscience grâce à la conscience de l’autre … et de même également, symétriquement l’autre peut le faire aussi s’il le veut, bien sûr…
Et cela permet à chacun d’ouvrir un peu plus sa conscience à la Lumière… et donc de vivre un instant de Joie !
Voilà, ceci est un petit schéma tout simple, tout bête, mais qui dit bien des choses ! Il serait pratique de faire une vidéo pour imager cette notion, ces notions, plus justement. Mais, pour l’instant, j’ai fait ce schéma-là… et il m’aide beaucoup depuis de nombreuses années…
Donc, la joie, c’est ce que nous ressentons chaque fois que nous favorisons « l’ouverture naturelle de notre conscience » (et chacun peut sentir cette ouverture qui a, également bien sûr, une manifestation physique).
Et la souffrance, c’est l’alarme bienveillante qui sonne pour me prévenir d’un frein que je mets à l’ouverture naturelle de ma conscience de la Lumière… (et là chacun, également, a pu sentir la rétraction, le resserrement, y compris bien sûr, au niveau de son corps)
La souffrance, une invitation à la joie
Et donc, finalement, la souffrance est une invitation à favoriser un lâcher-prise pour permettre une ouverture de conscience supplémentaire plus grande !
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Et voilà, nous revenons à notre sujet !
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En réalité donc, je ne crois pas que l’on puisse « perdre » conscience… Je ne le crois vraiment pas.
Mais, nous ne pouvons que mettre « un frein » à notre ouverture de conscience naturelle… Nous pouvons probablement le faire en sclérosant, en fixant, en rigidifiant notre conscience, en tous les cas, ses limites… Mais reperdre conscience, je ne peux pas croire que ce soit possible.
Je ne serais vraiment pas heureux de le penser… Alors, je ne le pense pas !
Et puis, sinon, pourquoi ne pourrions-nous pas perdre la libre conscience humaine pour retrouver une simple conscience animale ou végétale ?
Mais on ne le peut pas ! On ne peut donc que ralentir, que retarder, une augmentation naturelle de notre conscience de la Lumière… qui est « inéluctable »…
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À ce moment-là, ce n’est pas tout à fait pareil… Nous pouvons la nier…
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« L’ouverture de conscience » est un Don de Dieu que personne ne peut nous enlever… pas même nous-même…
Nous ne pouvons que la retarder ! Et encore la retarder par rapport à quel programme ? Y-a-t-il un programme pour un Être doté du libre arbitre ?
Alors pouvons-nous réellement parler de « retard » ? Comment comparer deux êtres qui, tous les deux, ont le libre arbitre ?
Il n’y a qu’un seul repère fixe ! C’est Dieu Lui-même.
Et si deux Êtres humains prennent Dieu comme seul point de repère fixe… Alors là, c’est hypersimple :
Si nous avons le courage de nous comparer à l’Infini, nous faisons la seule comparaison qui soit raisonnable…
Alors, là, nous ne pouvons que prendre conscience, en effet, que tous les Êtres qui existent ont encore à parcourir exactement le même Infini… Et cela, quel que soit le kilométrage déjà parcouru !
Nous sommes tous, « tous » les Êtres de l’Univers, face au même Infini.
Et le Libre Arbitre qui nous est donné depuis le début de l’humanité, ne permet aucun programme pour parcourir cet Infini !
Il y a un Plan Divin, mais pas de programmes pour les hommes…
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Mais, c’est un peu le même problème de partout… La conscience, nous l’avons au départ !
Le Don de l’ouverture de conscience
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Nous sommes, en effet, créés parfait par le Divin… Alors, je vais dire plutôt que dès le départ, ce que nous avons, c’est « le Don de l’ouverture de conscience » … Nous l’avons depuis le début de la création et pour toujours ! C’est à dire depuis toujours et pour toujours…
Nous sommes créés en tant que « mouvement d’ouverture de conscience »…
Toute Création de Dieu est un « mouvement », pas un état immobile !
Nous « sommes », tous les Êtres, un mouvement de conscience…
Nous faisons partie d’une ouverture de conscience illimitée.
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Donc… C’est un mouvement d’expansion ?
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Oui ! Un mouvement d’expansion naturelle, obligatoire et illimitée… rapide ou lent selon notre conception du temps.
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Donc, en fait, cette soi-disant perte de conscience est une illusion ?
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Oui, de mon point de vue, une illusion qui est un aspect de l’illusion de l’ombre.
Nous sommes créés Parfaits par le Divin ! Mais le réaliser de plus en plus, en prendre de plus en plus conscience, va nous prendre un temps infini !
Il est en effet facile de réaliser que pour prendre conscience de l’Infini, il nous faut l’Éternité…
Je vais le dire autrement : nous sommes créés « en mouvement d’ouverture de conscience ».
Nous « sommes » un mouvement d’ouverture conscience…
Chacun de nous est une conscience qui s’ouvre depuis toujours et pour toujours !
Tout ce qui existe est une ouverture de conscience
Mais, ceci n’est pas propre à l’homme !
C’est tout ce qui existe qui grandit en conscience :
Le minéral, lui, a une conscience « minérale » qui s’ouvre…
Puis le végétal, lui aussi, a une certaine conscience « végétale » qui est plus grande que la conscience minérale et qui s’ouvre…
Puis l’animal a encore une conscience « animale » qui s’est encore élargie et qui continue à s’ouvrir…
Et enfin, pour l’instant, il y a eu depuis peu une « libre conscience humaine » qui s’élargit à un rythme qui dépend du Libre Arbitre qui a été donné à chacune de ces consciences humaines …
Donc, la conscience du Tout s’ouvre depuis toujours !
Et cette conscience s’ouvrira toujours !
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Donc… C’est un mouvement d’expansion…
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Oui ! Oui, c’est un mouvement d’expansion naturelle et obligatoire… plus ou moins rapide ou lent !
Mais, je pense pour l’instant que ce mouvement n’est pas le même lorsque nous freinons l’ouverture naturelle de la conscience que lorsque l’expansion de la conscience suit son évolution naturelle, parce que :
Effectivement, dans la soi-disant perte de conscience nous ne perdons pas ce que nous avons gagné… mais nous pouvons le nier !
Alors que dans l’ouverture de conscience, nous gagnons pour toujours la conscience que nous avons gagné !
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Nous pouvons donc nier la conscience de la Lumière que nous avons eu… mais elle est toujours là pour toujours ! Sinon, nous n’aurions même pas la possibilité de la nier ?
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Oui, c’est cela, à mon avis… Je ne pense pas que nous puissions réellement « perdre » conscience de ce dont nous avons eu conscience…
Par exemple, on ne peut pas revenir en arrière, à une conscience strictement animale, ou strictement végétale, ou strictement minérale. Nous avons, pour toujours, ces différentes consciences en nous… Mais depuis peu, nous avons aussi la conscience humaine, avec ce fameux Libre Arbitre…
D’ailleurs, si nous pouvions « perdre » vraiment notre conscience… et bien, par exemple, si nous allions à l’extrême, nous pourrions revenir à une conscience uniquement minérale…
Mais ce n’est pas possible ! Une conscience de la Lumière est acquise pour toujours !
Dieu ne reprend jamais ce qu’Il a donné !
Dans son Amour Parfait, Dieu ne sait donner que pour toujours…
Donc, pour toujours, l’homme a la conscience minérale, la conscience végétale, la conscience animale en lui et, bien sûr, depuis très peu de temps, la libre conscience humaine qui lui ont été donné pour toujours…
Nous sommes de, très, très jeune « libre conscience humaine » !