23 • Jeu ce Matin-là… Union, Séparation, Souffrance…

Mercredi 5 Juin 2024

Je présente là, en l’état, comme je les ai écrites ce jour-là, les phrases que j’ai pensées au cours de cette partie de BeHappy que j’ai joué, tout seul, le matin du Samedi 3 Février 2024…

Il est 9 heures 07… C’est un bon moment pour commencer à écrire pendant une demi-heure, non stop, ce que je suis le plus heureux de penser… et d’écrire.

Une demi-heure à penser, le mieux que j’en suis capable, à partir de mon Âme… et d’écrire.

Allez, on y va ! … Non stop ! Tranquillement…

Y-a-t-il un meilleur moment que tout de suite pour être heureux ?

Non !

Chaque instant et le meilleur pour être heureux… Et cet instant-ci est Parfait pour être heureux de penser à Toi… Pour être conscient que je ne pense que Toi.

La pensée que je suis le plus heureux de penser ces temps-ci, c’est :

« Tu Es Tout »

Par exemple, « Tu Es » mon petit doigt de ma main gauche qui courre sur le clavier pour écrire le « A », le « Q » et plus rarement le « W » … 

Mais, « Tu Es » aussi l’émotion que je suis en train de vivre : émotion de satisfaction de voir le ciel bleu et les rayons du soleil, par la fenêtre ouverte…

Rien de ce qui est n’est pas Toi ! En dehors de Toi, rien n’existe… Tu Es l’Existence-même !

Si quelque chose existe, c’est Toi… Ce ne peut être que Toi !

Et ceci, que j’en ai conscience à cet instant ou pas.

Mais, là, par exemple, cette trace de postillon que je vois sur mon écran d’ordinateur, c’est également Toi… Autant Toi que mon amour le plus élevé que je vis pour ma compagne.

Si Tu Es Tout, rien n’est moins Toi que tout autre chose !

Cela me plaît toujours plus de penser cela : « Tu Es Tout » !

Et puis toutes les conséquences de cette pensée si simple m’émeut toujours agréablement… Et, je m’en régale !

Par exemple, une des conséquences, c’est que toutes les pensées que nous n’avons pas été heureux de penser disparaîtront en tant que souffrance…

Je veux dire qu’elle révèleront leur Réalité, c’est à dire Ta Réalité… Elles révèleront qu’elles ne sont que Toi, comme tout ce qui est…

Alors, nous sommes heureux de les avoir pensées… Et nous sommes heureux de ne pas avoir été heureux de les avoir pensées !

Cela est si simple ! Tout n’est que Ta Lumière… et je veux le reconnaître toujours plus…

Chacune de nos mémoires, n’est faite que de Toi… Et je le reconnais, aujourd’hui, de mieux en mieux.

Je n’ai fait que « Te » vivre… Tout ce qui existe n’a fait que « Te » vivre…

À aucun moment quelque chose a existé qui n’était pas Toi, La Lumière…

Mais alors, ce que nous avons appelé le « mal » n’est-il que Toi ? 

Oui ! À mon point de vue, actuel, le mal n’est que Toi dont nous avons perdu conscience.

« C’est notre conscience qui fait toute la différence »

Le mal n’a donc résulté que du choix de notre conscience…

Le mal n’a été que notre perte de conscience de la Réalité Absolue que « Tu Es Tout » …

Et là, à partir de cette perte de conscience, tous nos raisonnements ont été de l’ombre raisonnée, du mal raisonné, souvent d’une façon très intelligente…

En effet, l’ombre sait se faire belle.

Et là, aussitôt la douleur est venue nous signaler notre perte de conscience de Toi !

En effet, la douleur, c est Ton Don pour nous permettre de ne pas perdre plus conscience de Toi ! C’est Tout !

La douleur est Ta Bénédiction qui nous accompagne dès que nous imaginons une distance et un labyrinthe pour pouvoir arriver à Toi…

Et chaque mur de ce labyrinthe est une pensée que nous ne sommes pas heureux de penser… C’est à dire une pensée qui, grâce au Libre Arbitre que Tu nous donnes, imagine que Tu n’es pas Tout !

Et chaque mur disparaît dès que nous osons être heureux de l’avoir pensée… 

Chaque mur du labyrinthe est imaginaire… Il résulte de l’usage maladroit de notre Libre Arbitre pour penser ce que nous ne sommes pas heureux de penser.

Les Êtres humains sont, en effet, des Libres Consciences merveilleuses ! 

Choisissons librement de penser ce que nous sommes les plus heureux de penser… à propos de tout, c’est à dire, toujours, à propos de Toi !

Et voilà, à cet instant, ce que je suis heureux de penser :

Je suis en totale sécurité dans ma vie, dans cette Vie Parfaite que Tu m’offres à chaque instant, depuis toujours.

Je suis également heureux de penser : il n’y a aucune faille dans Ton Amour… Il est Parfait ! Et je le sens à chaque instant où je choisis de le sentir.

Chaque instant que je vis, c’est Toi !

Je ne peux vivre que Toi !

Je ne vis que Toi !

  

Cela peut encore paraître choquant pour ceux qui, depuis des millénaires, sont habitués à penser que Tu n’es pas Tout depuis toujours et qui continuent, peut-être, à le penser.

Mais pour les jeunes enfants dont les corps énergétiques n’ont pas encore été ré-habités par la totalité de leurs mémoires, et qui n’ont pas encore été trop éduqués, c’est une évidence !

Il semble bien qu’à chaque nouvelle naissance, nous est donné une chance de re-croire en Toi comme étant Tout…

Mais, il est vrai que la pression de nos éducateurs adultes et de nos mémoires qui réinvestissent nos corps énergétiques est grandes… très grande !

Et la plupart d’entre nous repartent rapidement pour un tour supplémentaire de souffrances… Ce qui n’est ni obligatoire, ni nécessaire.

En effet, la souffrance n’est pas obligatoire… Il n’y a aucune pression qui puisse s’exercer sur nous pour nous interdire absolument de vivre, heureux, cet isntant que nous vivons.

Nous ne sommes faits que de Toi et nous ne sommes entourés que de Toi !

Je ne croirai jamais autre chose que ce que je suis le plus heureux de croire à cet instant.

Je penserai toujours plus ce que je suis le plus heureux de penser à cet instant.

Je choisis d’écrire mon avenir avec Toi qui Es Tout.

Oui ! Que mon avenir soit écrit par Toi.

Ton Amour est Parfait et Absolu…

Et Tu n’exerces aucune pression quelle qu’elle soit sur moi… Tu m’aimes et puis c’est Tout !

Tu respectes Absolument le Libre Arbitre que Tu me donnes…

Tu ne sais pas donner la moitié de Toi-même… Tu ne sais donner que Tout Toi-même.

En Toi et par Toi, je suis Absolument Libre…

    

L’Être que je suis est Corps-Âme-Pensée en Lui.

Et aucun de ces 3 aspects de moi n’est, en aucune façon, séparé des autres.

Mon Corps n’est pas autre chose que ma Pensée et mon Âme.

Nous n’avons pu que les « imaginer » séparés… Mais ils ne l’ont jamais été ! Ils sont « Uns », comme tout ce qui est Toi, c’est à dire comme « Tout » !

Mon Corps ne peut évoluer qu’en « Unité Absolue » avec l’Âme qu’il est et la Pensée qu’il est.

Par exemple, mon Corps ne peut pas retrouver sa santé naturelle, sans que ma pensée ne pense selon mon Âme.

L’Union de l’Âme, de la Pensée et du Corps, c’est Toi.

En perdant conscience que « Tu Est Tout », Nous avons pu imaginer que l’Âme, la Pensée et le Corps étaient séparés… 

Mais, puisque « Tu Es Tout », l’Âme, le Corps et la Pensée sont « Toi » et seulement « Toi » … Ils ne sont que des manifestations de Ton Unité Absolue.

Et ils sont donc vécus comme Un, quoique nous « pensions » !

Et mon Corps évolue en Union Absolue avec ma Pensée et mon Âme…

Tout ce qui est, est à la fois Corps, Âme et Pensée.

Rien ne peut être que Corps, ou que Pensée ou qu’Âme !

La Pensée ne peut pas être sans Corps et sans Âme.

Toute Pensée est à ce même instant Corps et Âme.

Ce n’est pas un parallélisme… C’est une Unité.

Et chaque fois que ma pensée change, mon Corps change et mon Âme change.

Chaque instant est un vécu Âme-Corps-Pensée à ce même instant.

À aucun moment, une Âme ne s’est élevée sans une évolution de la Pensée et un mouvement du Corps… 

Nous avons pu penser, imaginer, qu’une séparation existait… Mais Tu Es Tout… Et l’Union Lumineuse de Tout est la Seule Réalité !

Mais, dès que nous avons pensé une séparation ombreuse, Tu nous offres le Don de souffrir qui nous invite, « à la fois », à penser ce que nous sommes les plus heureux de penser, à vivre corporellement ce que nous sommes les plus heureux de vivre, et à aimer en l’Âme comme nous sommes les plus heureux d’aimer.

La souffrance est Ton Amoureuse Invitation à ce que nous réalisions que Tu Es encore plus Tout que ce que nous avions cru, jusqu’à là.

Nous ne courrons pas après l’Union, nous sommes Un depuis toujours… Mais nous tentons, sans cesse, de reprendre plus conscience que nous sommes Un depuis toujours et pour toujours.

Nous ne courrons pas après Toi, mais nous nous rappelons toujours plus que nous sommes en Toi, Éternellement en Toi…

Quelle joie que de vivre !

Quelle joie de souffrir pour me rappeler que Tu Es Tout !

Cette souffrance que je vis n’est pas obligatoire, mais elle est nécessaire chaque fois que je perds conscience que Tu Es Tout… Elle me ramène à la conscience de Ta Joie Éternelle, ce que je désire plus que Tout.

Je veux être heureux de suite… Oui ! tout de suite ! …Et au même moment, au moment-même où je le veux, je le vis !

Être heureux, c’est tout simplement reconnaître la Réalité que je le suis !

Et la souffrance n’est que le Bonheur Éternel dont j’avais perdu conscience.

Alors, quelle chance de souffrir !

Quelle joie de souffrir.

Quelle joie de souffrir pour me rappeler que je suis heureux !

Tu Es Tout : Tu es la joie et la souffrance en Un.

Je ne veux plus prétendre que quelque chose de Toi puisse être séparée d’autre chose de Toi !

Comment avons-nous pu imaginer cela ?

Rien de Toi ne peut être séparé de Toi… Puisque Tu Es Tout… Et que Tout est Un en Toi.

Ma main gauche n’est pas séparée de ma main droite… Elle n’est pas non plus séparée de n’importe quelle main de quelqu’un d’autre… Elle n’est pas non plus séparée de la terre… etc.

Rien n’est séparé de rien.

Tu Es l’Unité Absolue.

Tout est Un, comment que nous le pensions.

Mais, cependant, même lorsque nous pensons « séparation », nous Te pensons « Toi » et donc, nous pensons « Union ».

C’est toujours Toi que nous pensons, puisque Tu Es Tout.

Il n’y a pas de séparation à penser « Union et Séparation ».

Il n’y a pas de « séparation ombreuse » à penser « Union Lumineuse et Séparation Lumineuse ».

Tu es l’Union de tout ce qui est Séparé par Toi.

22 . Peur Vitale ? Merci l’ego !

Samedi 1er Juillet 2024

J’aime ma Peur… Elle est mon amie…

En effet, ma Peur me permet de garder mon Corps en vie… Et ainsi de permettre à mon Âme de rester incarnée… Et à mon Être de pouvoir continuer à penser à partir d’Elle.

Ma Peur me permet, tout simplement, de vivre.

Je veux donc la respecter… Et mieux, je veux l’aimer !

Rien qu’aujourd’hui, sans ma Peur, je serais mort plusieurs fois ! 

C’est à dire que mon Corps, mon Âme et ma Pensée se seraient séparés, si je n’avais pas eu une saine Peur… à chaque fois.

C’est elle qui a fait que j’ai, tout le temps, gardé les yeux ouverts et tenu le volant, sur l’autoroute… C’est ma saine Peur de mourir !

Sinon, pourquoi ne pas fermer les yeux une petite minute et lâcher le volant, tout en continuant à appuyer sur l’accélérateur ?

Bien sûr, c’est parce qu’il y a la Peur-Lumière, la Peur Vitale, qui est, fondamentalement, la Peur que tous les Êtres ont de ralentir l’ouverture de leur conscience de la Lumière. Nous pouvons dire aussi que c’est la saine Peur de ne pas être heureux, la saine Peur de souffrir…

Mais, depuis le presque début de l’humanité, les Êtres humains ont, eux, inventé la peur-ombre qui, elle, résulte simplement de la perte de conscience de la Lumière.

Alors, là, pour aujourd’hui, je m’amuse à écrire la Peur-Lumière avec un grand « P » majuscule et la peur-ombre avec un petit « p » minuscule… C’est la convention, que je m’amuse à mettre en place pour aujourd’hui !

Je ne veux pas, en effet, oublier que le jeu de BeHappy que je propose dans ce site « BeHappy8 » est un jeu… C’est seulement un jeu ! Un jeu-plaisir.

C’est un jeu de pensée qui consiste, il faut que je me le rappelle de temps en temps à moi-même, à penser ce que je suis le plus heureux de penser… Simplement ! C’est à dire, à m’amuser à penser, par simple plaisir…

Bon ! Ceci étant dit, alors, pourquoi « Peur Vitale » ? Eh bien, c’est pour cela : c’est parce que, à chaque instant de notre vie, cette merveilleuse Peur nous permet de garder notre Corps en vie et en bonne santé…

C’est notre Peur Vitale.

Cette peur, c’est pour que ce Corps puisse, ainsi, rester uni à notre Âme et à notre Pensée… Et que nous puissions être l’Être que nous sommes sur cette terre, aujourd’hui.

En effet, imaginez-vous sur le balcon d’un immeuble…

Bien ! Dans ce type de situation, c’est notre merveilleuse Peur qui nous rend, tous, prudents et sages !

C’est Elle qui fait que nous ne sautons pas dans le vide… C’est Elle qui fait que, parfois même, nous vérifions que la rambarde du balcon est bien solide… et que nous pouvons, en toute sécurité nous appuyer dessus pour regarder tranquillement ce qui se passe en bas… Pour le plaisir de le voir, bien sûr !

En effet, si nous n’avions pas assez d’ego, ou trop d’ego, et que nous n’écoutions pas notre Amie la Peur et que nous sautions… Eh bien, quelques secondes plus tard notre Âme quitterait probablement ce Corps qui est le nôtre actuellement.

Cependant, remarquons que, en général, si notre ego est harmonieux, notre Peur est proportionnelle à la hauteur du balcon.

En effet, au premier étage, ma peur est modérée parce que le danger est modéré. Si je saute et que je ne suis pas un expert, la chance est que j’abime mon corps effectivement, mais probablement pas que je le tue…

Mais cependant, peut-être que, si sauter était vital… si, par exemple, l’appartement derrière moi était en train de bruler violemment. Alors, là, probablement que mon amie la Peur diminuerait au point que je sauterais, pour continuer à vivre !

Merci ma Peur, qui s’adapte parfaitement au besoin de mon Corps et me protège !

Mais si, par exemple, je suis au 20ème étage… Là, ma peur m’interdit complètement de sauter, car sinon, sans aucun doute, mon Corps s’écraserait quelque secondes plus tard et mon Âme serait obligée de le quitter.

J’ai en effet, en, moi la mémoires de toutes ces chutes où, depuis des millions et des millions d’années, mes Corps sont morts ou bien ont été gravement blessés, avec toutes les douleurs que cela a entrainées.

Alors, enrichie de ses mémoires de chutes violentes, ma Peur-Lumière permet donc à mon Corps, à mon Âme et à ma Pensée de rester unis pour pouvoir continuer l’expansion naturelle de la conscience de la Lumière de l’Être que je suis.

Merci ma Peur ! Car sans Elle, mon Âme retournerait de suite à la Lumière, bien plus tôt que nécessaire, puis serait obligée de se réincarner, dans un autre Corps pour pouvoir continuer l’évolution de la conscience de l’Être que je suis.

Ce nouveau Corps serait, certainement, aussi performant que celui que j’ai aujourd’hui, peut-être même plus performant, mais je serais à nouveau un bébé, alors que le corps que j’ai aujourd’hui fonctionne parfaitement bien pour permettre, tout de suite, l’ouverture de la conscience de l’Être que je suis…

Cela me ferait tout simplement prendre un retard dans l’évolution de ma conscience.

Et, là, n’oublions pas que, depuis toujours, le but de nos existences, c’est la Joie, c’est à dire l’ouverture de notre conscience à la Lumière…

Et cette Joie que nous pouvons vivre tout de suite, dans « ce » Corps, pourquoi la remettre à plus tard, dans un autre Corps ?

Un Corps, c’est un investissement important. Et notre amie la Peur est chargée, parmi de nombreuses autres belles choses, de protéger cet investissement, nécessaire pour l’expansion de notre conscience !

Oui ! Parce que pour que la conscience de l’Être que nous sommes continue sa croissance naturelle, originelle, il est nécessaire d’être, au même instant, cet instant, une Âme, un Corps et une Pensée unis par un ego harmonieux.

Mais, là, nous pouvons nous demander ce qu’est un « ego harmonieux ».

Eh bien, souvent, j’imagine mon ego comme une sorte de « colle », une sorte de colle qui maintient ensemble mon Âme, mon Corps et ma Pensée pour que je sois l’Être incarné que je suis à cet instant et qui peut ainsi ouvrir, en permanence, sa conscience.

La juste quantité de colle de mon ego me permet « d’exister », tout simplement, harmonieusement… c’est à dire d’être « l’Être » de plus en plus heureux que je suis à cet instant… tout naturellement.

En effet, là, grâce à mon ego harmonieux, grâce à la quantité de colle juste nécessaire, je n’empiète jamais sur le Corps des autres Êtres, ni sur leurs Pensées, ni sur leurs Âmes.

J’existe, heureux et les autres existent, heureux… s’ils le veulent.

En tous cas, je les respecte dans leur libre conscience, lorsqu’ils en ont une, comme c’est le cas de tous les Êtres humains… et dans leur simple conscience, lorsqu’ils n’ont pas encore de libre conscience, comme c’est le cas de tous les autres Êtres sur cette terre.

Mais, s’il y a trop de colle, c’est à dire si mon ego est trop important ? Alors, là, cette colle, elle déborde de mon Être et je colle tous les autres Êtres : je considère alors qu’ils m’appartiennent, et que je suis leur propriétaire…

Dans ce type de situation ombreuse, trop fréquente actuellement, je vis comme si leurs Corps étaient à moi, comme si leurs Pensées m’appartenaient, comme si leurs Âmes m’appartenaient..

J’englue alors tous les aspects de tous les Êtres autour de moi…

Eh oui ! Tous les Êtres humains qui ont des egos déséquilibrés, c’est à dire qui collent trop tout ce qui existe, nous pouvons observer facilement qu’ils engluent tous les Êtres de notre terre, que ce soit les Êtres minéraux, bien sûr, mais également les Êtres végétaux, les Êtres animaux et aussi les Êtres humains… Ils vivent, vraiment, comme s’ils étaient les propriétaires exclusifs de la terre et de tous les Êtres qui la constituent !

Trop de colle, trop d’ego, c’est beaucoup de souffrance, pour eux-mêmes bien sûr, mais c’est également beaucoup de problèmes à résoudre pour tous les autres Êtres qui les entourent et qui se laissent, trop souvent actuellement encore, engluer.

Évidemment, ayant une conscience, mais pas encore une libre conscience, les Êtres minéraux, les Êtres végétaux et les Êtres animaux ne peuvent pas échapper à ces égos démesurés qui collent tout sur leur passage… Et c’est là, depuis toujours, la seule cause de tout les problèmes écologiques !

Mais, ces egos malades, malheureux qu’ils sont, tentent, sans en avoir conscience, d’engluer également tous les Êtes humains… Et, comme trop souvent encore, ils réussissent, c’est là la seule cause de tous les problèmes sociologiques.

Je dis, « sans en avoir conscience », parce que, bien sûr, lorsqu’ils reprendront le rythme naturel d’ouverture de leur conscience, leurs egos reviendront vers leurs équilibres naturels… Et alors, ces Êtres ne pourront s’empêcher d’être attentifs à ne plus coller « que » ce qu’ils doivent coller… c’est dire leur Corps, leur Âme et leur Pensée… Et cela dans leur intérêt et dans celui de tous les autres Êtres…

C’est à dire que leurs egos réuniront harmonieusement leurs propres Âmes, leurs propres Corps et leurs propres Pensées… Et ils ne colleront plus rien d’autre !

Eh oui ! C’est la conscience qui fait toute la différence !

Et depuis toujours, la conscience de tous les Êtres qui existent, s’ouvre de plus en plus… Et de plus en plus vite également !

Cela se manifeste pas la Joie que beaucoup ressentent de plus en plus… Et aussi par une saine Peur Vitale qui permet à leur Corps de vivre et donc à leur Âme d’évoluer sainement, avec une Pensée harmonieuse.

Je choisis donc d’être de plus en plus heureux, en pensant toujours mieux ce que je suis le plus heureux de penser… Et je souhaite à chacun d’oser faire de même, ou même de le faire mieux encore que moi…

Ceci pour vivre le plus efficacement possible la crise d’ouverture des consciences que nous abordons…

Une crise de guérison des égos ?

Penser, c’est voter.

Courage ! Ayons Peur ! 

Votons pour le Paradis.

20 . Jouer encore à Penser

Dimanche 26 Mai 2024

Voici un exemple de la façon dont j’ai joué, pendant des années, au jeu de pensée que j’ai nommé, il y a bien longtemps, le BeHappy…

Ce jour-là, comme toujours, j’y ai joué avec mon style, unique bien sûr, comme je l’ai fait pendant des années, presque tous les jours.

Cette régularité m’a permis de jouer de mieux en mieux, au fur et à mesure des années… C’est à dire d’être de plus en plus heureux, en pensant de plus en plus ce que j’étais le plus heureux de penser.

C’est ma route.

En effet, lorsque je joue consciemment, comme je l’ai fait ce jour-là et tous les autres jours, la seule règle que suis attentif à respecter de mon mieux, c’est tout simplement d’être heureux, le plus heureux possible, de penser ce que je pense à cet instant… Et également, d’être heureux de l’écrire !

Et cela va, en général, très, très vite…

Je bondis d’une pensée à l’autre… J’ai toujours une grande joie à danser ma Pensée… à danser mon Âme… à danser mon Corps… qui sont Un.

Comme tous les Êtres, l’Être que je suis n’a qu’un but : ouvrir sa conscience à Lui, qui est Tout… Comment que nous Le nommions.

Mais, voici donc comment j’ai joué le Mercredi 7 Février 2024 que j’ai pris au hasard dans mon journal :

« Je ne peux Te quitter, même quand je l’imagine…

Où que je sois, Tu Es.

Je me retourne et je Te vois, toujours devant moi.

Mais, je n’ai pas besoin de me retourner pour vérifier que Tu es là : 

Tu es toujours là,

En moi et en tout !

Je ferme les yeux et je Te vois.

Que j’ouvre ou que je ferme mes yeux, Tu es là.

Je regarde ce brin d’herbe et Tu flamboies.

Et cette poussière, elle scintille de Toi.

J’ai prétendu des milliers de fois que Tu n’existais pas… 

Et cette prétention-même c’était Toi.

Je Te cherche, je Te cherche, 

Et pourtant, je T’ai toujours trouvé !

Tu es là dans mes yeux qui Te voient.

Il n’y a que Toi qui soit, 

Et tout le reste c’est Toi.

Douleur ou joie… C’est toujours Toi !

Tu m’ouvres les yeux 

Qui ont toujours été ouverts.

Tu ouvres mes yeux 

Qui sont déjà ouverts.

Le pépiement des oiseaux, que j’entends, c’est Ton bruit.

J’aime sentir ce que je sens, 

Car, c’est toujours Toi.

Je suis si heureux de Te vivre.

J’aime même souffrir, car Tu es tout.

Je Te vois en tout et pourtant ma seule peur… c’est de Te voir. 

Ma peur n’élimine pas ma foi, elle la grandie.

Je capte mes pensées de Toi.

J’aime ce bruit, mais j’aime aussi cette musique : que n’es-Tu pas ?

L’horloge, fait tic-tac : elle Te nomme… à chaque seconde !

Tic, c’est Toi… Tac, c’est Toi.

Bien sûr!

Je suis là, en Toi… 

Comme toujours.

Que me dis-Tu dans cette couleur ? 

Je Te vois en tout : que puis-je voir d’autre ? 

J’aime Te penser, j’aime Te toucher, j’aime Te voir, d’ici à l’horizon…

Le bleu est une couleur qui Te va parfaitement bien… Le rouge et le jaune aussi… 

Quelle couleur ne Te va pas ? 

Toutes les couleurs sont Tiennes.

Je Te déclame sans cesse, 

Même en T’entendant.

Je jouis de cette instant, 

Je jouis toujours de Toi.

Comment puis-je ne pas être heureux de souffrir ? 

N’es-Tu pas tout ? 

Je parlerai de Toi, toujours. 

De quoi puis-je parler d’autres ? 

Je m’aime de Te voir, je m’aime de Te vivre.

J’avance en Toi… Et c’est pourtant Toi que je quitte à chaque instant.

Ma conscience de Toi change depuis toujours… 

Mais c’est toujours Toi !

Je Te vais, je Te viens, je Te repars, je Te monte et je Te descends : 

Tu es vraiment Infini.

Je crois en Toi… 

Mais c’est facile, puisque je ne peux croire qu’en Toi !

J’attends… je T’attends, depuis toujours !

Je T’attends toujours, 

Et pourtant je T’ai toujours trouvé.

Es-Tu moins que Tout ? 

Mon doute-même, c’est Toi.

Je T’adore d’ici à là-bas.

Il n’y a pas de limite à l’ouverture de nos consciences : 

Tu es notre Limite Infinie !

Je Te pense, je Te pense… je Te vis.

Penser, c’est Te vivre.

Je m’ouvre, je me ferme…

Tu es aussi ma fermeture. 

« L’athée », crois en Toi, autant que le « croyant ».

Croire quoi que ce soit, c’est Te croire

En Toi, il y a le plus, il y a le moins… 

Et il y a le Tout !

Je n’ai peur que de Toi, 

Puisque Tu Es Tout.

Je n’ai foi qu’en Toi

Puisque Tu es Tout. »

Voilà ! Voilà comment j’ai joué ce jour-là… Et, dans le futur, chaque pensée sera pensée avec encore plus de conscience de la Joie Éternelle.

Bien sûr, je ne propose à personne de penser les mêmes pensées que celles que j’ai pensées et écrites ce jour-là  ou tout autre jour !

Non ! Je propose à chacun de penser ce que, lui ou elle, est heureux ou  heureuse de penser à l’instant-même où il, ou elle, pense.

Ce n’est pas ce que nous pensons qui a de l’importance, car toute pensée ne peut que « Le » nommer… Et donc aucune pensée ne Le nomme plus que n’importe quelle autre pensée !

Ce qui importe, c’est la conscience de la Joie que nous avons lorsque nous pensons… Cette Joie, c’est la plus belle chose que nous puissions vivre… Et elle est accessible à tous.

Regardons les enfants : ils sont souvent nos maîtres !

Mais, cette Joie, elle est également le plus beau cadeau que nous pouvons offrir à tous les autres Êtres.

Gandhi nous a proposé d’être ce que nous voulons que le monde devienne.

Alors, soyons heureux pour que le monde devienne heureux…

Pensons, nous-même, ce que nous sommes les plus heureux de penser, pour que le monde pense de plus en plus ce qu’il est le plus heureux de penser.

C’est, là, le miracle, tout simple, de la Joie Inconditionnelle.

16 • Il a Tous « Ses » Noms

Jeudi 2 Mai 2024

« Tu Es Tout ».

C’est là une pensée fondamentale pour moi…

C’est aussi la pensée que je pense le plus souvent… actuellement.

Cela ne veux pas dire que cette pensée soit meilleure que n’importe quelle autre pour « Te » penser.

Mais, là, je vais m’amuser à la considérer un peu sous différents aspects. Bien sûr, ceux que je suis capable d’envisager pour l’instant.

Cette pensée « Tu Es Tout » Te décrit simplement comme « Tout ».

Mais, aucun mot ne peut Te nommer mieux qu’un autre… si « Tu Es Tout » !

Mais, pour l’instant, c’est cette petite phrase que je suis le plus heureux de penser, le plus souvent. C’est tout.

Elle me trotte dans la tête, toute la journée… Je suis un peu comme agréablement obsédée par elle.

Et, pour l’Être humain que je suis, elle me semble avoir une Infinité de conséquences, sur tous les plans… Et je m’amuse à en explorer quelques unes… et à écrire aujourd’hui sur ce sujet.

« Être », c’est Être à la fois Corps, Âme et Pensée, à cet instant et pour toujours… C’est vraiment là ce que je suis le plus heureux de penser.

Être, c’est Être à la fois Corps, Âme et Pensée.

Si Tu Es Tout, Tout d’un Être « T’existe »… Ça aussi, ça me plaît complètement ! Tout T’existe.

Le Corps de tout Être Te vit. Sa Pensée Te pense. Son Âme Te révèle à lui l’au delà…

Là aussi, je suis vraiment heureux de penser cela… à cet instant…

Mais là, mettons les choses au clair ! Dans ce site web, BeHappy8, que je propose à l’attention de ceux que cela intéresse, je ne fais que jouer au « BeHappy » ! C’est à dire que je me propose de n’écrire que ce que je suis le plus heureux de penser au moment où je l’écris.

Donc, ce n’est probablement pas la peine que je dise à chaque instant : « J’écris ceci ou cela parce que c’est ce que je suis le plus heureux de penser… »

C’est vrai, bien sûr ! C’est ce que j’essaye sans cesse de faire de mon mieux… Mais, ça, vous l’avez compris.

Je ne vais donc le rappeler que de temps en temps… Mais pas à chaque phrase ou à chaque mot.. ! Il suffit de savoir que je respecte, de mon mieux, les règles du jeu du BeHappy que j’exprime dans l’article « Qu’est-ce que le BeHappy ? » que vous pouvez aller revoir, chaque fois que nécessaire.

Maintenant, je reprends mon jeu là où j’en étais ! Peut-être…

« C’est la conscience qui fait toute la différence. »

« C’est la conscience qui fait toute la différence. »

Il n’y a de différence que de conscience.

À cette instant quelle conscience je choisis du « Tout » que « Tu Es » ?

Est-ce que je choisis bien la conscience du « Tout que Tu es » qui me plaît le plus à cet instant ?

Que je choisisse d’avoir telle ou telle autre conscience de Toi, cela ne change rien au Fait Éternel que « Tu Es Tout ».

Donc… La conscience que je choisis de Toi ne change rien à « Ta Réalité », mais cela change tout à « ma réalité »…

« Ma réalité », en tout les cas un aspect de ma réalité, c’est ce que « je » pense de Toi.

Je dis « un aspect de ma réalité », parce que ma réalité a trois aspect, elle aussi : un aspect Corps, un aspect Pensée et un aspect Âme.

Tous les trois sont, en même temps, « ma réalité », en même temps.

Pour l’instant, dans « ma » réalité, je veux dire dans l’aspect Pensée de ma réalité, « conscience » et « mot » sont souvent synonymes.

Ma conscience s’exprime par des mots… Et les mots que je choisis expriment ma conscience. C’est à dire, peut-être, que  les mots sont l’aspect « Corps » de mon aspect « Pensée ».

C’est amusant !

Alors, là, hop ! Je me fais une petite réflexion sur ma conscience.

Ma « conscience », elle aussi, a trois aspects, comme tout ce qui « est », c’est à dire comme « Tout ce que Tu Es »… puisque tout ce qui est, c’est « Toi ».

Ma conscience a donc un aspect Corps, un aspect Âme et un aspect Pensée.

Il y a donc « la conscience Corps », et il y a, à ce même instant, « la conscience Âme », et « la conscience Pensée »… Et je suis au même instant, ces trois aspects de « ma conscience »… puisque « ma réalité », c’est la conscience que ‘j’ai à cet instant de « Ta Réalité Éternelle ».

Et donc, aucun aspect de ma conscience de Toi ne peut évoluer sans que les deux autres aspects de ma conscience de Toi évoluent au même instant.

Je peux bien sûr également évoluer dans ma conscience Corps, dans la conscience de mon aspect Corps… Et hop ! Alors, au même instant, ma Pensée et mon Âme évoluent, car ils sont « Un » avec le Corps.

Et je n’oublie pas que l’Être humain a le « Libre Arbitre ».

Ce fameux Libre Arbitre, c’est peut-être une des qualité qui le différencie le plus des autres Êtres qu’il incorpore depuis qu’il est « humain ».

Et ce Libre Arbitre a, lui aussi, comme Tout ce que Tu Es, un aspect Corps, un aspect Pensée et un aspect Âme… C’est fou ! Et je trouve cela très beau.

En effet, dans ma vie, je n’ai plus aucune bonne raison de prétendre séparer quoi que ce soit de quoi que ce soit… Puisque « Tu Es Tout ». Tu es tous les Corps, toutes les Pensées et toutes les Âmes en « Un ».

Et cela me simplifie beaucoup la vie… Quel plaisir, pour moi, de me sentir en sécurité, quel plaisir de vivre sans combat entre une chose et une autre, mais plutôt de vivre une danse de tout avec tout !

Mais là, pour aujourd’hui, cela me suffit…

J’ai bien joué à penser et à écrire avec plus de conscience… Mais il faut aussi jouer à travailler avec conscience, à manger avec conscience, à dormir avec conscience etc.

J’ai bien de quoi m’amuser pendant les 24 heures que Tu me donnes par jour pour être heureux… Si je le choisis grâce à mon Libre Arbitre un peu plus « libéré » !

Et vous, que choisissez-vous de « Penser »… pour « Vivre » votre « Joie » ?

(à suivre)

5 • Pense-bête

Samedi 13 Avril 2024

  

Un soleil magnifique… Bien agréable ce printemps !

Mais, maintenant, je vais m’entraîner à penser des pensées que je suis heureux de penser à propos du sommeil… Et puis probablement que je dériverai, plus ou moins vite, sur d’autres sujets, comme d’habitude.

Ce sont là mes  « gammes ». Ces gammes que je fais régulièrement, presque tous les matins, pour améliorer sans cesse mon jeux de pensées…

C’est ce jeux, que je joue en réalité toutes mes journées, que j’appelle depuis une quarantaine d’années le « BeHappy »… Et c’est pour cela que j’ai nommé le blog que je suis en train de mettre en place sur l’internet « BeHappy8″… « 8 » étant le symbole pour « Infini ».

  

Alors, voilà quelques nouvelles pensées que je suis heureux de penser à propos du sommeil :

J’aime dormir.

Je suis heureux de dormir comme je dors.

Le sommeil est mon ami.

Je suis si heureux de me réveiller la nuit.

Plus je suis heureux de me réveiller, plus agréablement je me rendors.

Dans mon sommeil, ce que j’aime, c’est… tout : m’endormir, dormir… et me réveiller.

Dormir est un plaisir toujours renouvelé.

Je dors parfaitement bien.

Plus je suis heureux de dormir comme je dors, plus ma vie est belle.

J’aime ma vie, telle qu’elle est.

J’aime mon passé.

J’aime toutes mes mémoires.

Aujourd’hui, je suis heureux d’avoir pensé tant de pensée que je n’ai pas été heureux de penser au moment où je les ai pensées.

J’aime toutes les règles que j’ai mis en place au cours de ma vie à propos de mon sommeil ou du sommeil des autres.

Mais, ma règle fondamentale de vie, c’est « Être heureux de Tout ».

Je suis heureux de Tout ce qui est, de Tout ce qui a été et de Tout ce qui sera.

« Tout », c’est Toi… Toi que l’on nomme souvent « Dieu », mais qui est Tout ce que l’on peut nommer.

Par exemple : « sommeil », c’est un de Tes noms.

Je suis donc heureux de Toi en tant que « Sommeil ».

Je mets souvent une majuscule à Ton Nom, mais pas toujours ! Sinon, il faudrait que je mette une majuscule à tous les mots que j’écris ou même que j’écrive Tout en Majuscule, puisque chaque lettre ne peut être que Toi… si Tu Es Tout…

Et je suis heureux de penser que Tu Es Tout.

Donc, en pratique, je ne mets une majuscule à certain de Tes Noms que comme un « pense-bête », pour me rappeler de temps en temps que c’est bien de Toi que je parle… Que c’est Toi que je pense… Et que je ne peux penser que « Toi » ! Et le reste du temps, eh bien, je ne mets pas de majuscule à Tes Noms… Alors que c’est bien toujours Toi que je pense !

En effet penser, c’est toujours « Te » penser.

Finalement, je n’ai qu’une logique hypersimple, c’est d’être toujours heureux de Te Vivre…

Pour le dire autrement, je veux T’adorer de chaque instant que je vis… Ou encore : je veux T’offrir chaque instant que Tu m’Offres…

Ma logique est extrêmement simple, voir minimaliste… Sa pensée fondamentale, au sens de la pensée qui en est le fondement, c’est que « TU ES TOUT »… 

Tu Es Tout… Et puis, c’est tout !

A partir de là, je choisis en permanence d’être heureux de Te vivre, sous toutes les Formes Infinies qui se présentent à ma conscience.

Cette attitude, parce que c’est celle que « je » suis, « moi-même », heureux de cultiver, m’a permis d’être de plus en plus heureux. Et je vois bien que toutes les personnes qui sont heureuses de jouer à ce jeux que j’appelle « le jeu de BeHappy » sont de plus en plus heureuses…

Bien sûr, chacune d’elles le joue à sa façon… A sa façon unique… Personne ne peut vivre quoi que ce soit de la même façon… Personne ne peut être heureux de la même façon… Personne ne peut, non plus, souffrir de la même façon.

Finalement, le BeHappy n’est qu’une des versions les plus simples du Jeu de la Vie. Je l’imagine parfois comme le « 0 » et le « 1 » qui sont à la base de toute l’informatique et qui permettent pourtant des systèmes toujours plus complexes.

A chaque instant, je n’ai que deux options de jeu. Soit je suis heureux, soit je ne suis pas heureux. 

« Être heureux », c’est simplement avoir conscience que c’est « Toi » que je vis… 

« Ne pas être heureux », c’est simplement ne pas avoir conscience que c’est « Toi » que je vis… 

Mais je « Te » vis dans les deux cas, car si « Tu Es Tout », je ne peux vivre que Toi.

Par exemple, si j’ai dormi en une seule traite toute ma nuit de sommeil, c’est Toi que j’ai dormi… Et si j’en suis conscient, je suis heureux de ma nuit… Je suis heureux de « T’avoir dormi » !

Par contre, si je me suis réveillé quatre fois dans ma nuit de sommeil, c’est Toi que j’ai « dormi », et c’est Toi que j’ai « réveillé », puisque Tu Est Tout… Et si j’en suis conscient, je suis heureux. Et c’est ainsi que je suis heureux d’avoir vécu ce que beaucoup appelleraient une « mauvaise nuit » et que moi j’appelle une « Nuit Parfaite »… ou bien « Ta Nuit » !

C’est comme cela que, depuis des années, je m’entraine à reconnaître Ta Perfection en toute chose, que la tradition l’ait pensée « bonne » ou « mauvaise » !

Pour moi, la tradition est à aimer, en totalité, parce qu’elle n’est que Toi… 

Jésus as dit : « Aimez votre Ennemi »… « Aimez Tout, y compris votre Ennemi ». Et combien nombreux ont été ceux qui ont, de leur mieux possible, appliqué dans leur vies ces paroles… La majorité des Êtres humains l’ont fait, depuis toujours et toujours mieux… Mais, c’est une majorité silencieuse, la plupart du temps discrète…

« Les gens heureux n’ont pas d’histoire » nous dit le dicton.

Ce sont les gens qui ne sont pas conscients qu’ils sont heureux qui font « l’histoire »…

La souffrance fait toujours du bruit… pour être aimée ! Quelle maladresse ? Mais est-ce vraiment une maladresse ? Ou bien est-ce la seule façon d’obtenir sa guérison…

C’est un peu comme un mur impeccablement blanc, mais qui a une seule tache noire, toute petite ! Où notre attention va-t-elle se porter le plus ? Sur la tache noire, bien sûr ! Mais cela fait-il que tout le mur est noir ? Non, c’est un mur tout blanc avec une toute petite tache noir !

Et si nous voulons qu’il n’y ait plus de tache sur ce mur blanc, il nous faudra « Aimer notre ennemi », c’est à dire reprendre conscience que cette tache noire n’est que Ta Blancheur dont nous avions perdu conscience… C’est à dire qu’il faut simplement reprendre conscience que « Seule Tu Existes »… Que « Tu Es Tout » ! « Vraiment Tout » …

Les 8 entretiens (7ème Partie du 4ème Entretien)

Les 8 Entretiens (7ème Partie du 4ème Entretien)

Oui ! Je comprends… En tout cas, c’est sûr, les échanges que nous avons sont des échanges qui se manifestent par beaucoup de plaisir, beaucoup de joie, beaucoup de satisfaction… beaucoup même de fierté, de respect, de justice, de justesse…

Notre espoir augmente. Notre conscience de l’amour augmente, notre foi augmente… 

Si la souffrance est un message d’erreur, quand nous échangeons ensemble comme nous le faisons, nous n’avons pas beaucoup de messages d’erreur !

Oui ! Mais c’est quand même normal ! On parle de choses qui nous intéressent…

Oui, mais…

La souffrance, ou si tu veux « le mot souffrance » traditionnel est entaché d’ombre évidemment ! Mais en fait, redisons-le, la souffrance, c’est de la Lumière Pure. 

Oui !

Donc cette Souffrance-Lumière, dont nous avons conscience en tant que Lumière Pure, ce n’est pas une souffrance au sens ancien et ombreux du terme… 

Avec notre langage actuel, nous, nous n’avons plus tendance à l’appeler souffrance ! Ce n’est pas la souffrance, ça, c’est du plaisir, c’est de la joie.

Tu vois ce que je veux dire ? 

La souffrance n’a été séparée de la joie que par l’ombre, c’est à dire grâce à la perte de conscience de la Lumière. 

Consubstantialité

Mais, si nous disons « Dieu Est Tout », « la Lumière » Est Tout, alors : Souffrance = Dieu. 

Oui !

La véritable consubstantialité de la souffrance, c’est la Lumière Pure… 

Et ça, si tu veux, nous sommes, souvent, en train de l’expérimenter nous-mêmes… En effet, tu vois, il y a quand même des tas de moments où, lorsque nous discutions, nous sommes arrivés à prendre conscience d’erreurs de notre part. Nous avons pris conscience que nous n’avions pas une conscience aussi claire de la Lumière que nous le voulions… 

Oui, mais ce n’est pas une souffrance, sur l’instant !

Oui, eh bien, justement ! C’est ce que je veux dire : nous ne vivons pas cela comme une souffrance… Nous n’avons pas appelé ça une souffrance… Tu vois, même avec le langage de l’ombre, nous n’appelons pas ça une souffrance… C’est une jouissance !

Parce qu’on est dans le jeu…

Oui ! Parce que le vrai rôle de la souffrance, le vrai visage de la souffrance c’est celui-là : c’est juste un message souriant de perte de conscience de la Lumière. 

Il faut corriger les mots, alors !

La souffrance est un désir d’ouverture de la conscience

Oui, tu as raison ! Alors, je vais, là, corriger mes mots :

« La souffrance, c’est un message lumineux qui exprime notre désir d’une conscience plus grande de Lumière à cet instant ! »

Voilà ! En effet, je crois que c’est plus juste…

Oui, tu as raison ! Finalement, la souffrance n’est pas une erreur, ni même l’expression d’une erreur ! C’est que tout d’un coup, nous avons un nouvel appétit d’avoir une conscience de la Lumière encore plus grande que celle que nous avions jusqu’à là : c’est notre désir irrépressible… Nous voulons nous ouvrir plus vite encore !

Ça, c’est la souffrance ! C’est la vraie souffrance… C’est le vrai visage de « la souffrance » … Il apparaît que c’est un « désir de conscience encore plus grande de Lumière » … 

Or, ce désir vital, nous n’arrivons jamais à le réprimer…

Avoir conscience de ce désir ! C’est super !

Et en effet, il y a encore plus que ce dont j’avais conscience jusque-là… Et il y aura toujours plus… Et… du coup, nous aurons toujours cette merveilleuse souffrance… 

La souffrance est basée sur le désir ?

Oui ! Voilà ! Notre souffrance exprime un désir… 

Mais, alors, là, ce n’est pas une souffrance que l’ombre appelait souffrance !

Parce que, dans la relation que nous avons, là, nous sommes assez loin et peut-être même parfois très, très, loin du grossier : en effet, auparavant, dans notre surdité à entendre ce désir et à le satisfaire simplement, nous allions souvent jusqu’à nous fracasser avec une souffrance qui prenait alors jusqu’à une expression « physique » violente de l’aspect Corps de notre Être ! 

Nous avons tous, si souvent, utilisé cette technique pour nous décider finalement à accomplir notre désir d’ouverture de conscience que, jusqu’à là, nous réfrénions ! 

Et, là, nous utilisions souvent un choc frontal, violent, par lequel nous nous obligions à avancer dans la direction de notre véritable désir…

C’était archaïque ! Mais notre hésitation à penser ce que nous étions le plus heureux de penser nous y a tout de même souvent obligé… Et cela a souvent fonctionné !

Dans cette vie et probablement dans d’autres, j’ai, moi-même, souvent utilisé cette méthode violente pour évoluer !

À un moment, pour oser passer à la suite de ma vie, c’est à dire à la suite de l’ouverture de ma conscience que je réfrénais, devant laquelle je freinais trop fort : « un choc » ! … Une fracture, une noyade, une maladie, une dépression, ou quelque chose comme ça. Cela était vraiment archaïque ! … Mais, pourtant, cela a parfaitement bien marché.

Oui, mais, du coup, c’est comme si la même chose s’appelait « souffrance », parce que, quelque part, c’était plus sombre… et « désir », parce que cela semblait plus lumineux… mais c’était la même chose !

Eh bien oui ! C’est un peu ça !

Tu as la Réalité… Et puis tu as des mots qui tentent de l’exprimer… qui tentent toujours de nous ramener vers ce Centre, car le but de tout ça, c’est ce Point Omega de la Véritable Réalité que tente de décrire Teilhard de Chardin !

C’est important cette « envie », ce « désir » ! C’est fondamental… S’il n’y en a pas, nous ne pouvons pas évoluer…

Oui ! C’est la Vie elle-même ! Cette envie-là, ce désir dont nous venons de parler, d’une certaine façon peut être maladroite encore, mais quand même courageuse, c’est « la Vie » !

Le minéral, la plante, l’animal, l’humain ont cette quête de joie, cette quête d´Absolu, cette quête de « toujours plus de conscience de l’Absolu »…

En fait, c’est là où… Et je ne sais pas si je vais le dire correctement mais : Est-ce que c’est là que l’ombre va s’exprimer le plus ? 

Oui ! Pour l’instant, oui ! Parce que, cette envie, qui est bien sûr fondamentale chez l’homme, comme dans tout ce qui existe, cette envie, elle a pris, trop souvent, une forme ombreuse dans nos sociétés : elle a été mise dans les finances, le pouvoir, l’autorité, la puissance etc…  

Mais nous vivons de l’envie, du désir, nous fonctionnons avec les envies, nous ne sommes qu’envie, que désir, en fait !

Bien sûr ! C’est vrai ! Comme tout ce qui existe, l’homme est une pulsion de vie, une pulsion d’ouverture de conscience de la Lumière, toujours plus grande ! 

Mais, chez l’homme, depuis le presque début de son humanité, du fait d’un usage maladroit de son Libre Arbitre, cela a trop souvent perdu sa puissance originelle, cela a trop perdu la conscience de sa Joie Originelle… 

C’est à dire que cela a perdu la conscience de son origine et nous avons alors remplacé la vraie réponse à ce véritable désir, par une fausse réponse à un faux désir, un désir irréel qui n’est plus notre Véritable Désir Originel…

Nous sommes alors dans un système d’addiction à une drogue…

La Lumière : La Drogue Ultime !

Oui, carrément, nous sommes trop souvent dans l’addiction…

 ■

Oui ! Nous avons remplacé le seul accomplissement possible de notre désir réel par une fausse solution qui ne nous a jamais satisfait : l’accomplissement d’un désir irréel…

Et là nous sommes restés donc avec notre véritable désir qui était toujours aussi vif… Mais qui était resté déçu !

Et là, par exemple, nous avons pu dire : « Je serai heureux quand j’aurai cette voiture rouge » … 

Et là nous avons perdu conscience de la Joie Inconditionnelle Unique, Universelle, dont nous sommes pourtant pétris, comme toute la Vie… et nous avons imaginé une ribambelle de joies conditionnées qui ont tenté de la remplacer… sans jamais y parvenir !

Des systèmes de compensation, en fait !

Or, là, si nous avons prétendu n’être heureux que lorsque nous aurions cette voiture rouge, nous n’avons pas été heureux à cet instant-même…

Nous étions là dans les points « A » et « B » bien séparés par une distance que nous avons appelé « souffrance » : Le point « A », c’était « je n’ai pas la voiture », le point « B », c’était « Je ne serai heureux que quand j’aurai cette voiture » … 

Et comme nous l’avons déjà, dit cette souffrance était proportionnelle à cette distance que nous imaginions entre le point « A » et le point « B ».

En effet, nous ne pouvons être heureux qu’à « cet instant » ! 

Il n’y a pas d’autre instant que celui que nous sommes en train de vivre, pour être heureux…

Nous ne pouvons être heureux ni hier, ni demain !

Et là, nous imaginions et vivions alors une souffrance anormale… Cette souffrance n’est pas anormale au sens hors-norme, car en fait, elle est la plus fréquente pour l’instant dans notre humanité… et donc nous pourrions dire qu’elle est « normale » !

En revanche, bien qu’habituelle dans notre société, elle est malsaine, elle est irréelle, elle n’est pas « naturelle » au véritable sens du mot…  

Ce n’est pas la vraie souffrance ! 

Notre vraie souffrance c’est notre belle aspiration, à cet instant, à une joie encore plus grande !

Rires…

C’est drôle de dire cela ! Mais le vrai visage de la souffrance c’est la Joie ! 

Si nous reprenons l’image du point « A » et du point « B » : dans la Souffrance-Joie, nous réalisons qu’il n’y a aucune distance entre eux et que « A » et « B » sont, en réalité, un seul et même point, dont le véritable nom est « Adoration de Dieu » dans ce que nous sommes en train de vivre… à cet instant ! 

Là, nous n’imaginons plus de séparation entre quoi que ce soit… et quoi que ce soit d’autre ! L’ombre a alors révélé sa véritable nature : Lumière !

Et là, nous allons fonctionner selon la Souffrance Originelle qui est simplement un message d’erreur merveilleux qui nous signale notre résistance à l’ouverture de notre conscience de la Lumière à son Rythme Originel…

Cette Ouverture Originelle, tous les Êtres la connaissent depuis le minéral, le végétal, l’animal… Et bien sûr l’homme, lui aussi, l’a connu au tout début de son humanité.

Une plante développe sa feuille en fonction de son désir d’ouverture de sa conscience.

Si elle dirige sa croissance vers une première direction et qu’il y a moins de lumière solaire, elle souffre… C’est à dire qu’elle prend une conscience végétale de son erreur qui est à la fois matérielle et déjà spirituelle…

Et elle tient, elle qui est végétale, obligatoirement compte de ce message d’erreur qu’est sa souffrance…

Et, alors, elle cherche une autre direction pour favoriser sa croissance, sur tous ses plans…

Elle a toujours ce désir d’une certaine dose de lumière du soleil pour pouvoir s’épanouir dans une conscience végétale toujours plus grande, jusqu’à ce qu’elle puisse passer, un jour, à une conscience animale.

Alors, cet animal, que cette même Âme animera dorénavant, il fonctionnera de la même façon sur un mode « d’erreurs et de réussites » …

Mais chez lui, comme chez la plante, il n’y a pas de libre arbitre dont ils pourraient mésuser, il n’y a pas la possibilité d’imaginer le voile de l’ombre : ce ne sont que de véritables erreurs et de véritables réussites de la Vie !

Tous les Êtres sont dans cette même recherche de transformation permanente, de transmutation de la souffrance, c’est à dire d’une transmutation de l’erreur, en toujours plus de joie… C’est le moteur de l’évolution de la conscience depuis toujours !

Pour les humains que nous sommes, il s’agit simplement de reconnaître que la Souffrance est la Joie… 

Reconnaissons que la Souffrance Réelle et la Joie Réelle sont « Une ». Et dirigeons-nous ainsi, naturellement, vers une conscience du Divin toujours plus grande… dans la Joie !

Et cela s’est accéléré donc, de plus en plus, pour atteindre, chez l’homme, pour l’instant, une grande accélération de l’ouverture de notre conscience…

Maximum de vitesse, maximum d’accélération… mais aussi maximum de risques, du fait du Libre Arbitre qui est apparu avec l’humain !

En effet, depuis le presque début de l’homme, nous avons mis en place un brouillard, un voile, qui n’existait ni pour le minéral, ni pour les plantes, ni pour les animaux…

Cela n’existait pas pour eux avant que l’homme ne le leur impose par son puissant freinage de l’ouverture de sa conscience humaine à la Lumière ! 

Mais là, l’homme a imaginé la séparation de la souffrance et de la joie… C’est « cette incroyance » … ce sont ces faux désirs, ces fausses solutions… 

Et, en ces derniers temps, nous sommes arrivés à ce maximum de souffrance que nous pouvons observer… Ce n’est que ce merveilleux système d’alarme de la Lumière que nous obligeons à « gueuler », à chaque instant plus fort, pour pouvoir prendre conscience de notre seule erreur qui est d’avoir, d’une certaine façon, perdu conscience de la Vraie Lumière, la Seule Lumière qui soit !

Oui, c’est vrai, là, ce brouillard nous l’avons mis en place, à un point qui nous trouble beaucoup la vue !

Mais, à ce moment-là c’est quoi « le courage » ? C’est quoi le courage de répondre à cet élan d’ouverture de notre conscience ?

Le courage de la conscience

Le courage ? C’est quoi le courage ? On a utilisé le mot « courage » à différent moment… C’est quoi, dans la Réalité ?

Quel est ce « Courage Originel », ce véritable courage ? 

Le courage originel chez l’homme, quelque part, c’est « le rayon lumineux qui ose se voir Lumière… qui ose se voir tel qu’il est… » 

Je ne sais pas comment dire… C’est simplement d’avoir cette conscience de la Lumière, à cet instant que je suis en train de vivre, cet instant qui avait, jusqu’à là, exprimé un mélange d’ombre et de Lumière.

Ce type de courage sera nécessaire chez l’homme tant qu’il y aura encore un frein à l’ouverture de la conscience de la Lumière.

C’est de la conscience, alors ?

Ça rejoint la conscience, oui !

Après, une fois que notre conscience de la Lumière se retrouvera sans tache, sans perte de conscience, donc sans ombre, le courage ce sera alors simplement d’obéir à ce désir d’augmenter encore notre conscience de la Lumière, jusqu’à toujours… 

Mais, il n’y aura plus, alors, la connotation d’un danger qu’il faut dépasser…

Oui… Dans la notion du courage jusqu’à aujourd’hui, il y avait également la notion de danger.

Oui, voilà ! C’est qu’il y avait des dangers … On disait, par exemple : « Il a du courage face au danger ! »

Ce type de courage existait jusqu’à aujourd’hui parce qu’il y avait ce prétendu danger ombreux d’hier que nous avions imaginé par notre perte de conscience de la Lumière…

Ce courage nous permettait de reprendre une certaine conscience de la Lumière que nous avions perdu du fait de notre incroyance !

Qu’appelles-tu, là, « notre incroyance » ?

Croyant et incroyant

Être « croyant », pour moi ici, c’est tout simplement croire en La Lumière comme étant Une, Éternelle, Infinie, Omniprésente, Amour Absolue Inconditionnelle etc…

Être un « incroyant », c’était avoir perdu cette croyance : on avait perdu la conscience de l’Unité de la Lumière, de Son Éternité, de Son Infinité, de Son Omniprésence, de Son Amour Absolue Inconditionnelle…

On croyait alors qu’il y avait au minimum une chose qui n’était pas Dieu, qui était séparée de Dieu…

Voilà !

Mais revenons à notre courage… D’abord, jusqu’à maintenant, nous l’avons utilisé pour traverser tous les voiles imaginaires d’ombres impressionnants que nous rencontrions et nous avancions, nous avancions, « ré-ouvrant » toujours plus notre conscience à la Lumière… 

Courage Originel

Mais, à un moment donné, à force d’avoir utilisé notre courage, face aux dangers, pour lever tous ces voiles d’ombre imaginaire que l’homme avait créé… alors, ces voiles n’existent plus et nous n’avons plus que la vision pure de la Lumière !

Alors, ce n’est plus le « grand courage » pour traverser l’ombre en voyant la Lumière en elle qui est nécessaire… Maintenant, c’est le « simple Courage Originel », qui jouit de la Lumière sans aucune ombre !

Ce courage n’a plus besoin de dépasser aucun frein ! Il avance, tranquillement, dans l’Infini pour toujours… 

C’est le Courage de vivre au Paradis !

C’est un peu comme un bateau que tu pousses, avec force et courage, du bord et qui ensuite continuerait à avancer tout seul à l’infini. Il n’y aurait plus aucune force qui le freinerait… 

C’est également un peu comme un objet que l’on envoie dans l’espace et qui nécessite une très grande énergie pour se libérer de l’attraction terrestre… et qui ensuite va avancer, dans le vide de l’espace, à la vitesse atteinte « pour toujours », dorénavant sans aucun frein ! 

Alors, il n’y aura plus de courage ? Il n’y en aura plus besoin ?

Il y aura toujours ce courage, mais ce sera maintenant le « Véritable Courage » qui n’a plus besoin de danger pour s’exprimer… Ce Vrai Courage n’est que de Lumière…

Ce Courage Originel est la Lumière Elle-même sans aucune perte de conscience d’Elle-même. 

Oui… C’est à dire un élan vital, simplement…

Oui ! Toujours plus ! Il y aura simplement une ouverture à la conscience, mais qui va continuer, comme ça, éternellement… mais dans le confort, dans le bien-être, parce que nous aurons abandonné tous nos attachements à un ego malsain. Nous aurons juste l’ego équilibré nécessaire pour être incarnés heureux… 

Il n’y aura plus d’ombre à éclairer, mais seulement la Lumière à déguster… Ce sera le courage au Paradis !

Et notre conscience va s’ouvrir, s’ouvrir, s’ouvrir, toujours plus… dans la Lumière…

Mais, il n’y aura plus de peurs, plus d’appréhensions !

Si tu veux, ici, dans notre dessin du début, qui tentait, maladroitement, de symboliser la conscience et l’inconscience, l’ombre, elle, ne fait pas partie de la surface du papier infini qui symbolisait notre Dieu Infini… 

Non, l’ombre ne peut-être que là : « dans les lignes » que j’ai dessinées… dans ces prétendues limites qui imaginaient « séparer » une conscience d’une inconscience.

La séparation qui ne sépare rien

L’ombre n’aura été que le ralentissement de l’ouverture de notre conscience du Divin… Ce ralentissement n’ayant été, bien sûr, lui-même, dans sa substance, que Dieu Lui-même…

Oui, d’accord !

Il n’y a pas moins de Dieu dans notre inconscience de Dieu que dans notre conscience de Dieu… 

Dieu est Absolument Omniprésent…

Oui, bien sûr ! 

Donc, l’ombre n’était pas plus dans notre inconscience de Dieu, que dans notre conscience de Dieu.

Alors, elle était peut-être simplement dans cette prétendue limite que nous avions imaginée entre notre conscience et notre inconscience. Elle était là… elle était cette séparation imaginaire ! 

Ah oui, c’est plutôt ça ! Oui, oui ! Elle était cette prétendue limite entre les deux… Oui, elle n’était vraiment que ça…

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C’était un truc de ce genre ! N’oublions pas, bien sûr, que ce dessin est bien imparfait… 

Mais c’est par là !

En fait, c’était une limite… 

Oui, c’était une limite, mais qui n’a jamais existé !

Elle n’a jamais existé dans la Lumière, mais seulement dans notre perte de conscience de la Lumière que l’on appelle l’ombre.

Nous l’avons imaginé pour pouvoir croire en une séparation inexistante… C’est comme si on avait fait un dessin dans le sable en disant là c’est moi, là ce n’est pas moi… et qu’une vague arrive et efface tout !

Voilà !

C’est la limite de nos corps, aussi… Nous disons : « Ça, c’est toi… Ça, c’est moi » ! Tu vois ?

La Limite Divine

Mais, maintenant, si nous approfondissons encore notre sujet, ces mêmes limites peuvent rester dans notre esprit sans poser de problème !

 En effet, même cette limite que nous imaginons, nous pouvons la garder sans qu’elle ne nous pose de problème ! En effet, si nous reconnaissons qu’elle aussi n’est que Lumière Pure, puisque la Lumière est Omniprésente, Elle-même est aussi, bien sûr, cette « limite » que nous avons imaginée ! 

Rien n’est « pas Dieu » !

À ce moment-là, avec cette conscience que Dieu est tout, cette limite elle-même ne pose plus aucun problème, parce que ce n’est plus une « limite limitante » ! Ce n’est plus une limite qui sépare !

Silence…

Non ! C’est une « limite heureuse » … Je ne sais pas comment dire…

Oui, tu as tout à fait raison ! C’est une limite heureuse ! C’est une limite qui nous réunit…

Elle ne pose plus aucun problème : et on peut rester ainsi : « toi » et « moi » … 

Aucun problème !

Nickel ! Tu vois ? Et chacun de nous amène sa spécialité, son style… et tout le monde autour s’enrichit de cet artiste, de ce mathématicien, de cette beauté physique, de cette défaut physique… de Tout ce qui « Est » … 

Car alors, nous sommes croyants : nous croyons que « Seul Dieu Est ».

Et nous aimons Tout, tout simplement !

Oui, nous aimons sans condition ! Voilà ! Tout est une expression pour nous de plus en plus pure, de plus en plus enthousiasmante, de la Lumière. 

Voilà ! Et le courage, c’est simplement ça ! Le courage devient ce mouvement naturel et éternel, que seule la Lumière a…

Si c’est Éternel, ce n’est que la Lumière, hein ?

Le courage c’est un peu répondre à l’élan. C’est comme quand tu as des rails et que tu te remets sur les rails… En fait, c’est ça !

Mais, au fur et à mesure que tu dérailles de moins en moins souvent, ce n’est plus ce mouvement-là…

Oui ! En effet, c’est cela qu’il faut abandonner : il nous faut abandonner cette idée de la disparition douloureuse de quelque chose !

Rien ne résulte de la disparition de quelque chose ! 

Et, là, un dicton dit : « Rien n’est à éliminer tout est à aimer » …

Rien ne disparaît, tout s’Illumine

Mais alors, le courage, c’est bien ! Je ne vois pas pourquoi il doit disparaître…

Mais, en effet, il n’y a pas lieu qu’il disparaisse ! Il va seulement « s’illuminer » ! Il va s’illuminer…

C’est-à-dire que, avant, pour parler de courage, il fallait qu’il y ait de l’ombre ?

Oui…

 Et puis, il y a de moins en moins d’ombre, c’est à dire de moins en moins de perte de conscience de la Lumière… Et le courage continue à exister, mais il s’exprime dans ce nouvel état de conscience plus grande de la Lumière… 

Et puis on continue, et il s’exprime encore plus loin… Il s’exprime de façon encore plus lumineuse !

Oui… Rien ne disparaît !

Non, le courage ne disparaît pas ! Il s’illumine !

Rien ne disparaîtra, tout s’illuminera…

De toute façon, c’est normal, puisque tout n’est que la Lumière…

Peut-être peut-on dire qu’il se dématérialise ? Il n’y a plus besoin de difficultés matérialisées pour que ce courage s’exprime… Parce qu’il y a de moins en moins de difficultés matérialisées !

Et lui, il continue à exister et c’est un moteur…

C’est un moteur de plus en plus puissant qui rencontre de moins en moins de résistance, c’est à dire de moins en moins d’ombre !

C’est comme un courage dématérialisé !

Oui, c’est comme si j’avais dit que la vie s’arrête… c’était un peu ridicule, oui !

Courage, l’élan vital « vers » et « dans » la Lumière

Le mot « élan », que tu as utilisé tout à l’heure, il est pas mal… 

Le courage devient peut-être ce qu’il était à l’origine : un élan vital, « un élan vers et dans la Lumière » qui existe depuis toujours, mais qui, à un moment donné de l’évolution n’est plus gêné, qui n’est plus dérangé, par des résistances importantes, par des pertes de conscience importantes de la Lumière que seul l’homme a pu installer…

Oui !

Il nous permet alors d’aller d’une belle conscience de la Lumière… à une conscience encore plus belle de la Lumière !

Mais, il n’y a plus besoin de la souffrance que l’on utilisait avant pour se décider à un lâcher-prise de l’ombre.

Ce lâcher-prise, c’est simplement cette prise de conscience que cette ombre n’était que la Lumière dont nous avions perdu conscience.

Et ce lâcher-prise, il permet à nouveau à l’ouverture de conscience de reprendre son rythme originel…

Jusqu’à la, je voyais plus le courage comme permettant de faire à chaque fois le choix entre la Lumière ou l’ombre !

Oui ! C’est comme ça que l’ombre nous avait appris à le voir ! 

Car dès que nous l’avons imaginée, l’ombre nous a enseigné qu’il y avait de l’ombre « et » de la lumière… et qu’il fallait choisir !

Après, eh bien non ! C’est la Vie, c’est le Souffle !

La Lumière fait feu de toute ombre !

Et en effet, si nous regardons bien, finalement, l’ombre nous a permis d’apprendre « la fidélité au courage » … 

Je veux dire que, dans toutes ces situations où nous avons vécu une perte de conscience de la Lumière, il a bien fallu que nous développions beaucoup de courage pour pouvoir, cependant, continuer à chercher toujours plus de conscience de la Lumière, malgré cette illusion d’opposition, cette illusion de séparation, que notre perte de conscience de la Lumière, c’est à dire notre ombre, nous avait proposée. 

Grâce au courage, nous avons osé continuer notre chemin vers l’ouverture de notre conscience de la Lumière, alors que c’était interdit par notre ombre imaginée !

Oui, c’est vrai ! Ça demande du courage !

Tu vois ? Là, il nous a fallu reconnaître en nous un gros courage, un courage grossier, un courage archaïque… mais qui en même temps a mis en place tous les éléments pour nous permettre de retrouver, un jour, le véritable courage qui est simplement « L’élan de Vie » dont nous avons parlé, il y a peu !