33 • Un Matin parmi d’autres…

Mon Journal du Mercredi 21 Février 2024, mis à jour le Mardi 24 Septembre 2024

Voici donc ce que j’ai écrit dans mon journal, ce jour-là… Et je l’ai mis au propre et à jour, aujourd’hui… Car tout évolue…

La Vie est bien sûr vivante… Je suis moi-même, un Être vivant : Âme, source de vie, Corps plein de vie, Pensée qui évolue.

Ainsi, tous les jours, de mon mieux, je m’entraîne à penser ce que je suis le plus heureux de penser : c’est mon journal !

Et lorsque je relis aujourd’hui ce que j’ai écrit il y a quelque temps, je suis agréablement étonné de ce que mon Âme m’a proposé ce jour-là… En tous les cas ce qu’il me semble que j’ai entendu dans ma pensée… et ce que j’ai transcrit matériellement…

Je suis, également, surpris de tout ce que mon Âme me propose encore aujourd’hui lorsque je relis mon texte.

Alors, je l’avais certainement écrit le matin, dès mon lever, dans le silence, comme je le fais encore aujourd’hui… C’est, en général, ce que je fais en premier… Cela m’est toujours agréable et je commence ainsi ma journée le sourire dans mon coeur.

Ces textes peuvent sembler parfois bien décousus… Mais cependant il y a bien un fil conducteur solide qui coud toutes ces pensées ensemble : c’est la joie que j’ai eu à les écrire lorsque je les ai écrites…

Voyons…

Je suis heureux.

Je suis de plus en plus heureux.

Oui ! Je suis heureux de tout ce que je vis… C’est ce que je pense !

Et penser, c’est choisir.

Alors je choisis ce que je suis le plus heureux de penser… et je le pense beaucoup… Et encore plus !

J’aime l’humanité… J’aime toute l’humanité… Je veux l’aimer de plus en plus, de mieux en mieux.

Mais, si je veux aimer l’humanité, il faut, bien sûr, que je l’aime sans condition… Donc avec les guerres terribles qu’elle vit en son sein.

Je veux donc aimer tout ce que j’ai prétendu être mon ennemi.

Chacun a sa propre définition de l’amour… Et cela est merveilleux !

Pour moi, aimer, c’est être heureux.

J’aime un Être lorsque je suis heureux que cet Être soit…

J’aime un Être lorsque je suis heureux que cet Être existe telle qu’il est.

Pour moi, l’Amour est un presque-synonyme de la Joie.

Je choisis de respecter tous les autres Êtres humains… J’apprend, toujours plus, à les aimer tels qu’ils sont.

Je ne veux plus violenter les autres… Je ne veux plus leur imposer des paroles qu’ils ne sont pas prêts à être heureux d’entendre.

Je respecte la conscience que chaque Être humain choisit d’avoir…

Toute conscience de Ta Lumière est en effet parfaite.

Si Tu Es Tout, Tout Est Toi…

Si un Être existe, qu’il soit minéral, végétal, animal ou humain, sa conscience ne peut qu’être une conscience de Ta Lumière…

En effet, une conscience de Toi ne peut être constituée que de Toi… Comment peut-il en être autrement, si Tu Es Tout ?

Eh oui ! Si Tu Es vraiment Tout, Tu Es à la fois, tous les Êtres qui existent et toutes les consciences qu’ils ont de Toi…

Donc, par exemple, il y a Toi et il y a la conscience que j’ai de Toi à chaque instant… Mais les deux, c’est Toi !

Ma conscience et Toi sont « Un »… Puisque Tu Es Tout.

Et là, attention ! Il n’y a pas une conscience de Toi qui soit plus parfaite qu’une autre conscience de Toi.

En effet, n’est-ce pas, comme je viens de le penser et de l’écrire, toute conscience ne peut être que Toi !

Donc, ma conscience n’a pas plus de valeur que toute autre conscience…

Oui ! Toutes les consciences qu’ont tous les Êtres sont aussi Parfaites les unes que les autres.

Ainsi, la conscience d’un bébé est Parfaite, comme celle d’un adulte.

La conscience d’un Être-chien est Parfaite, comme celle d’un Être-humain… etc.

Mais, là, remarquons qu’un bébé a été homme-adulte un grand nombre fois et sera encore adulte un innombrable nombre de fois, en des corps humains différents…

Et au cours de toutes ses incarnations, sa conscience a toujours augmenté, sa conscience augmente encore dans cette vie qu’il vit actuellement, et sa conscience augmentera toujours au cours de chaque vie qu’il vivra…

Vraiment, cela, je suis très heureux de le penser ! Je choisis toujours d’avoir plus conscience de ce que je suis le plus heureux de penser !

Chaque instant n’est que Toi… Toi le Merveilleux, Toi le Parfait !

Et il n’y a pas de meilleurs moments que celui que nous vivons à cet instant pour être plus conscient de Toi.

Nous sommes tous en Toi… que nous en soyons plus conscients ou moins conscients.

La conscience de chacun des Êtres que Tu Es ne change en rien leur proximité avec Toi : cette proximité, elle est Totale, elle est Absolue… Nous pouvons l’appeler « Unité ».

Que mon Âme me dicte tous mes raisonnements… Et qu’ainsi ma joie augmente sans cesse en Toi.

Je n’ai pas d’autres ambitions que d’être heureux, c’est à dire de plus en plus heureux ! … Et « je suis » de plus en plus heureux…

Qui peut choisir à la place d’un autre Être la conscience qu’il a du Bonheur qu’il est ? Personne !

L’appréciation de notre bonheur est ce qui est le plus intime à chacun de nous.

Je me fais la promesse d’écrire, toujours mieux, ce que je suis le plus heureux d’écrire, à l’instant-même où je l’écris…

Ma vie est complètement consacrée à une conscience toujours plus grande de Toi… C’est à dire à un bonheur toujours plus grand ! Comme la vie de chaque Être !

Je propose à celui qui me lit qu’il se respecte lui-même au mieux : je propose que, de ce que j’écris, il ne croit et ne choisisse lui même de penser que ce que « lui » est heureux de croire…

Avoir cru ce que nous n’étions pas heureux de croire à un instant donné, c’était nous trahir nous-même et ne pas suivre « notre plan à nous », qui ne pouvait être, de toutes les façons que Ton Plan à Toi, Ton Plan Parfait !

Si Tu Es Tout… et Tu l’Es ! Alors, notre chemin ne peut être qu’en Toi… Nous sommes en Ta Parfaite Sécurité.

De Ton Amour Infini, Tu nous Aimes tels que nous sommes, c’est à dire tels que nous croyons être.

Il faut respecter la juste distance avec tout ce qui existe… que ce soit au point de vue physique, au point de vue mental, ou au point de vue spirituel !

En effet le feu nous réchauffe agréablement lorsque nous sommes à la bonne distance de lui. Si nous sommes trop loin, nous ne sommes pas réchauffés, si nous sommes trop prêts, nous nous brulons ! 

Et c’est nous qui sommes les seuls responsables de la distance que nous choisissons entre le feu et nous… Alors, faisons le bon choix, à chaque instant.

J’ai foi que tout est parfait, ou, pour le dire autrement, que Ta Perfection est Absolue… C’est à dire que rien ne Lui échappe… Rien également ne souhaite lui échapper !

En effet, tout le monde souhaite être heureux ! Personne ne souhaite souffrir… C’est là, vraiment, ce que je suis le plus heureux de penser… et de vivre…. C’est aussi ce que j’observe.

Je choisis de rester heureux lorsque j’observe que des gens n’osent pas encore être heureux comme ils le souhaiteraient… Ou même, parfois, qu’ils soient sûrs que le bonheur n’existe pas pour eux !

Je choisis d’être heureux de toute la conscience et de toute l’inconscience de Ta Lumière qu’ils choisissent d’avoir à cet instant-là.

Je dis qu’ils « choisissent » parce que c’est ce que je suis le plus heureux de penser… Vraiment le plus heureux de penser, là, à cet instant.

En effet, je ne sais plus, à cet instant, être heureux de penser qu’une personne puisse ne pas avoir le choix de son ouverture de conscience… Et je suis sûr, à cet instant, que je ne le serai jamais !

C’est une des caractéristiques merveilleuses des Êtres humains d’avoir enfin obtenu le Don du Libre Arbitre… Et rien ni personne ne peut leur enlever ce Don, même pas eux-mêmes !

La seule réelle et immense puissance que j’ai dans ce monde, c’est d’être toujours plus heureux, c’est à dire toujours plus conscient de Toi en tout…

Que je sois, donc, un témoin toujours plus fidèle de Ton Amour !

Aujourd’hui, être Ton apôtre, pour moi, c’est simplement être heureux… Toujours plus heureux !

Alors, je construis cet instant agréable sur toutes les mémoires que je choisis, librement, d’aimer…

En effet, dès que j’aime plus une mémoire, je suis plus heureux.

Et dès que nous aimerons tous, totalement, chacune des mémoires de l’humanité, nous serons, alors, totalement heureux.

Cela peut sembler être un bien long chemin… Oui ! C’est vrai qu’il est long ! Mais comment s’en plaindre puisque chaque pas n’en est qu’agréable ?

Je décide donc à chaque instant d’augmenter ma foi en Toi, c’est à dire ma foi dans la Vie !

Qu’Es-Tu, sinon la Vie Elle-même ?

Vivre, c’est Te vivre.

Alors, si apparaît en moi une ombre, c’est à dire une baisse de conscience de Ta Lumière Parfaite et Absolue, je choisis, tout de suite, d’aimer cette ombre, sans aucune condition.

C’est mon choix… Et je le respecte, à chaque instant, toujours mieux.

Je veux aimer tous les ennemis que j’avais choisis d’imaginer.

C’est la Belle Vie !

Je cultive ma naïveté… En effet, je crois que la vie est simple, « trop simple » ! Et je le crois de plus en plus, naïvement !

La solution de tous mes problèmes a toujours été d’en être, d’abord, heureux… de les aimer… et d’observer leur transmutation dans Ta Réalité, c’est à dire dans Ta Lumière.

Décrire Ta Lumière ne nécessite que peu de mots, voir aucun…

Mais la description de l’ombre, c’est à dire de la baisse de la conscience de Ta Lumière a constitué, jusqu’à ce jour encore, la grande majorité des discours et des écrits de l’humanité… Mais cela évolue, et en bien, de plus en plus vite !

J’écoute mon Âme qui me parle en toutes choses.

La vie a trois composantes totalement unifiées que je peux nommer ainsi : l’Âme, le Corps et la Pensée.

La Vie est Omniprésente… Tous les Êtres en sont l’expression qu’ils soient minéraux, végétaux, animaux ou, depuis peu, humains.

Tu Es la Vie que nous vivons tous, tous les Êtres que nous sommes : Tu Es Omniprésent.

Oui ! J’essaye vraiment de parler comme je pense et, encore plus, d’agir comme je pense… Et j’y arrive de mieux en mieux… Quel plaisir !

En effet, je pense de plus en plus à partir de mon Âme et de moins en moins à partir de mes mémoires.

Je ne cherche pas à me « faire » des amis : j’ai, en effet, autant d’amis qu’il y a d’Êtres dans Ton Univers.

Toi, Tu Es mon Amis, à la fois Unique et Infiniment Multiple.

Si un Être existe, il est mon ami… Si je rencontre un Être, il est mon ami.

Je suis donc en paix.

Je choisis d’être en paix, même avec la guerre…

Le Corps que je suis « vit » mon Âme et ma Pensée… 

La Pensée que je suis « pense » mon Âme et mon Corps… 

L’Âme que je suis est « la source » de ma Pensée et de mon Corps…

Je crois que c’est, là, un des aspect du Mystère de la Trinité : Trois en Un et Un en Trois.

Il y a, en effet, une infinité de manières de vivre Ton Unité…

Et, chaque instant que je vis est une manière unique de Te vivre.

Je choisis d’être heureux de ce qui est… et de ce qui n’est pas.

Je suis heureux de Toi… Et Toi Tu Es Tout, Toi Tu Es « ce qui est » et Tu Es « ce qui n’est pas ».

Je choisis que Toi, Âme que je suis, Tu sois la source de la Pensée que je suis et du Corps que je suis.

Toi, la Lumière, Tu Es la Seule Source de Toi-même.

Voilà ! Dans cet article du Blog « BeHappy8.org » j’ai essayé de mon mieux de respecter de mon mieux les règles du jeu du BeHappy… C’est Tout !

J’ai donc écrit, au fur et à mesure, ce qui me passait par la tête que j’ai été heureux de penser à ce moment-là.

32 • Chantons l’Instant…

Aujourd’hui, je joue au BeHappy, comme d’habitude… Et, bien sûr, je ne pense que Ta Joie…

Mais, pour la partie que j’ai joué là, j’ai été heureux de rajouter une règle supplémentaire toute simple que je vais m’amuser à respecter :

Chaque paragraphe que je vais écrire sera court, souvent une seule phrase, et contiendra nécessairement le mot « instant ».

Le mot « instant » sera le seul lien entre toutes ses phrases…

Et je vais ainsi découvrir un peu plus… comment je le vis… cet instant !

Instant, Tu es ma Vie.

C’est à cet instant que je vis.

C’est à cet Instant que je « Te » vis.

Cet Instant est Ton Instant… Il est toujours Sacré.

C’est à travers cet Instant que je vis tout ce que je vis, tout ce que j’ai vécu et tout ce que je vivrai.

Oui! C’est à cet Instant que je vis le présent, le passé et le futur.

Cet Instant, c’est l’Instant du Libre Arbitre que Tu me donnes…

Tout le passé et tout le futur se trouvent « dans » cet Instant.

Il n’y a que cet Instant qui soit… et ce n’est qu’à travers Lui que je vois le Tout que Tu Es.

Je ne Te vois donc qu’à cet Instant.

À cet Instant, je peux T’imaginer dans le passé et le future… Mais c’est à cet Instant que je Te vis.

Cet Instant est le lieu de Toute Ta Réalité, en instantané.

Cet Instant est infiniment court… Et pourtant il existe éternellement.

Cet instant est l’instant du choix.

Je ne peux choisir ma vie qu’à cet instant… et que pour cet instant.

Cet Instant décide de mon passé et de mon avenir.

Cet instant que je vis décide du passé et de l’avenir de tous les Êtres.

L’un des synonymes du mot « Instant », c’est le mot « Libre Arbitre »… Un autre synonyme du mot instant, c’est Toi, c’est Dieu… Et puis il y a tous les autres mots que je peux penser et qui Le nomme !

Je Te cherche à cet instant, je Te trouve à cet instant, je T’adore à cet instant.

Cet Instant est Ton cadeau Sacré.

À cet instant unique, toute ma vie est vécue.

Je vis instant par instant.

Je Te vis à cet instant.

Cet instant me suffit pour Te vivre.

Tu ne sais donner que Tout, tu me donnes Tout à cet instant.

Cet instant, c’est toute ma vie… J’en suis de plus en plus conscient.

Je joue toute ma vie à cet Instant.

À cet Instant, je nais, je vis et je meurs.

J’ai autant de vies que d’instants… Et je n’ai qu’une vie, c’est cet instant.

Cet Instant est sacré… Je veux T’y adorer.

Cet instant est mon adoration…

Je T’adore toujours à cet instant.

Si quelque chose change, c’est toujours à cet Instant.

L’Instant, c’est le changement.

Je veux changer quelque chose ? Alors cet Instant est le meilleur moment : c’est le « seul » moment.

J’aime cet instant que je vis.

Je pense mon passé à cet instant.

Je vis mon passé à cet instant.

Je choisis mon passé à cet instant.

Cet Instant remet, une fois de plus, tout mon passé entre mes mains.

Mon passé ne peut guérir qu’à cet instant.

Je T’adore en cet instant…

Je ne peux T’adorer qu’à cet instant que Tu Es.

Que cet Instant soit mon adoration de Toi.

Je cherche à reconnaître Ta Proximité Absolue dans cet instant.

Tu m’offres cet instant.

Chaque instant est Ton Don… Et cela depuis toujours et pour toujours.

Chaque instant sera donc Ton Don.

À cet Instant se réunissent le passé et l’avenir.

Ce que je vois à cet instant, je ne l’ai jamais vu et je ne le verrai jamais plus.

À cet Instant, je suis mort… Et l’instant d’après je suis encore mort…

Je vis ma mort à chaque instant.

Il n’y a pas un Instant où je ne meurs !

Le nombre de mes morts est infini… Et à cet Instant, je meurs encore !

Je suis heureux de mourir à cet Instant.

Je ne mourrai jamais plus qu’à cet Instant.

Mais, à chaque Instant, je m’entraîne à mourir mieux.

Cet Instant est Unique et Éternel.

Cet Instant renaît, à chaque instant.

Vivre vraiment, c’est être de plus en plus heureux de mourir à cet instant.

Cet Instant est le seul que je vis… Les instants du passé sont des mémoires que je vis à cet Instant… Les instants du futur sont des possibles que je vis à cet Instant.

Là, à cet instant, je n’ai pas d’autres instants à vivre que cet Instant…

Cet instant contient tous les instants.

D’instant en instant, je vis l’Éternité.

Une rencontre ne dure que cet Instant.

Cet Instant est le moment de la rencontre « et » de la séparation.

Chaque instant est une séparation.

Nous nous sommes séparés autant de fois que nous avons vécu d’instants.

La rencontre que je vis à cet instant est sacrée…

La séparation que je vis à ce même instant est, elle aussi, sacrée !

Cet instant a fait partie de tous les possibles du passé, maintenant il est inscrit dans tous les possibles à venir.

Tu Es tous les instants que je vis : il ne peut donc pas y avoir d’instants meilleurs que d’autres.

Chaque instant exprime Ta Perfection;

Tous les mots sont des noms de Dieu : Instant en est un…

Quand je pense « Instant », je chante Ton Nom.

Chaque instant Te chante ! J’en suis toujours plus conscient…

Un mot ne peut pas Te nommer plus qu’un autre mot : « Instant » Te nomme comme tous les autres mots.

Si Tu Es Tout, et Tu Es Tout, un mot peut-il Te nommer plus qu’un autre ? Le mot « Instant » ne peut que Te nommer, comme tous les autres mots…

Chaque instant m’appelle, je le vis… puis je le quitte.

Ma vie n’est faite que d’instant.

Ma vie n’est faite que de « cet » Instant.

Instant, je T’adore.

Je jouis de cet Instant comme jamais !

Je ne revivrai jamais cet Instant… Mais tous le instants que je vis, c’est Toi que je vis pour toujours…

Un instant ne peut pas se regretter, il ne peut que se vivre à cet instant même…

Peut être qu’à un autre instant, je choisirai de vivre le regret de cet instant passé ? Mais alors, je le vivrai à ce nouvel instant.

Tout instant est Ton Présent Parfait… J’en suis de plus en plus conscient.

Tu es le cadeau de cet Instant, toujours !

L’Instant m’échappe toujours.

L’Instant se renouvelle sans cesse…

L’instant que je vis là, n’a jamais été vécu, ni par moi, ni par aucun autre Être.

L’Instant, c’est l’intimité absolue.

Et pourtant, nous vivons tous cet instant.

Je vis « mon » Instant pendant que l’autre vit « son » instant…

Nous ne pouvons jamais partager le même instant… et pourtant, nous le partageons toujours.

Je peux choisir d’être heureux de vivre « mon » instant…

Et l’autre peut choisir d’être heureux de vivre « son » instant…

Nous pouvons donc choisir d’être heureux au même Instant !

Nous nous sentons unis par la joie que nous choisissons de vivre nos instants ensemble.

Être heureux de vivre cet instant unique, c’est T’adorer.

Je suis en adoration chaque fois que je suis heureux de vivre l’instant.

Si, à cet instant, je suis heureux de boire du lait… alors je T’adore.

Si, à cet instant, je suis heureux de voir le ciel… Alors, là aussi, bien sûr, je T’adore.

L’adoration est naturelle, à chaque instant : je la vis à chaque fois que je suis heureux.

Être heureux à cet instant, c’est le meilleur choix que je puisse faire.

Je vis « pour » être heureux à cet Instant.

Chacun veut être heureux tout de suite, à cet instant même.

Nous choisissons notre vie à cet instant…

À cet instant, je choisis d’être heureux… Tout simplement en pensant, à cet instant, ce que je suis le plus heureux de penser !

Il n’y a pas un instant à perdre : soyons heureux de suite !

Chaque instant est l’occasion d’être heureux.

L’instant m’invite à la Joie… Je choisis, de plus en plus souvent, d’accepter son invitation.

D’instant en instant, j’aime jouer à être heureux;

Être heureux, c’est simple : il suffit qu’à cet instant j’ose penser ce que je suis le plus heureux de penser.

Être heureux, c’est notre but, à cet instant.

L’instant approche, je le vis… Il part ! L’instant suivant est déjà là !

D’instant en instant, je suis heureux.

Être heureux, c’est être de plus en plus heureux d’instant en instant.

Etc… Etc…

Voilà, cela suffit pour aujourd’hui. Je me suis offert de nombreux petits instants agréables… en écrivant avec ces règles…

Maintenant, je vais continuer en pensant.

J’écris un moment, et je m’en régale… Je pense toujours et je m’en régale également !

À bientôt, avec plaisir…

31 • L’Amour, impossible ?

Allez ! Encore aujourd’hui, bien sûr, je vais jouer un peu, par écrit, au BeHappy… Et, donc, je ne vais écrire là que ce que je suis le plus heureux de penser… pour la simple joie de le penser…

Je vais le faire de mon mieux… Et jouer ainsi, encore, une petite partie de ce jeu que j’aime tant depuis plus de 50 ans… et qui a tant enrichi ma conscience, si simplement.

D’abord, je vais répéter que le but de ma vie et de celle de tous les Êtres que je rencontre, depuis toujours sans une seule exception, c’est d’être heureux…

Mais, attention, ce n’est pas seulement le cas des Êtres humains… Non ! C’est le cas de tous les Êtres qui forment cette planète et tout cet univers.

En tous les cas, sur notre terre, c’est sûr, c’est le cas de tous les Êtres minéraux, de tous les Êtres végétaux, de tous les Êtres animaux… et bien sûr de tous les Êtres humains.

Mais, c’est vrai, seuls les Êtres humains, grâce à leur libre conscience, à leur libre arbitre, ont pu choisir d’en perdre la conscience… ou pas !

Mais, monsieur, comment pouvez-vous vous permettre de dire tout cela ?

Je me le permet, parce que je choisis de ne penser que ce que je suis le plus heureux de penser… C’est tout ! Je le choisis complètement arbitrairement…

En effet, je ne veux croire que ce que je suis le plus heureux de croire !

Mais, monsieur, vous ne pouvez pas penser n’importe quoi ! Vous ne pouvez pas croire n’importe quoi !

Si, bien sûr, je le peux ! Comme tous les Êtres humains, je peux croire n’importe quoi… Je me reconnais la Liberté de penser ce que je veux…

Mais, en ce qui me concerne, je choisis de penser, chaque jour mieux, ce qui me plaît le plus.

Mais comment pouvez-vous faire cela ? Vous n’en avez pas le droit !

Et vous, là, qui pensez que je n’en ai pas le droit… D’où tirez-vous l’autorité pour penser me l’interdire ?

Bien sûr, comme moi, vous êtes libres de penser ce que vous choisissez de penser… Mais là, là, êtes vous vraiment heureux de me dire que je ne suis pas libre de penser ce que je veux ?

… Non, c’est vrai, je ne le suis pas vraiment ! Mais je dois vous le dire, parce que c’est la vérité !

Mais, qui décide de ce qui est vrai et de ce qui est faux ?

Il est beau que chacun choisisse de penser ce que « lui » est heureux de penser…

Mais est-il juste de vouloir imposer sa pensée à quelqu’un d’autre ? Est-ce que chacun n’a pas le droit de penser librement ?

Si, bien sûr, au fond de moi, je pense que chacun est libre de sa pensée.

Nous sommes bien d’accord !

Eh bien, moi, ici, je suis heureux de penser que chacun est libre de penser ce qu’il est le plus heureux de penser… Mais qu’il est même libre, ,également, de penser ce qu’il n’est pas heureux de penser !

Bref ! Chacun est libre d’être heureux ou pas.

Mais, les gens ne peuvent pas toujours choisir… Ils ne peuvent pas toujours penser ce qu’ils sont heureux de penser.

Ah bon…? Il y a des Êtres humains qui peuvent choisir d’être heureux et d’autres qui ne le pourraient pas ? Ou bien y a-t-il des Êtres humains qui peuvent choisir d’être heureux à certains moments de leurs vies et pas à d’autres ?

Et vous, êtes-vous vraiment heureux de penser tout cela ?

Je suis obligé de reconnaître que « non », cela ne me réjouit pas de le penser. Mais c’est ainsi !

Il y aurait alors des gens supérieurs qui pourraient choisir la façon de vivre leur vie et des gens inférieurs qui ne le pourraient pas ?

Il y aurait donc des maîtres qui décident de ce qui est juste pour eux et des esclaves qui ne peuvent que subir leur volonté ?

Non, bien sûr ! Ce n’est pas ce que je voulais dire… Je serais heureux de croire que chacun est libre de vivre sa vie comme il l’entend.

Ah ! Enfin, vous devenez plus raisonnable… Et alors, là, n’avez-vous pas pensé ce que vous étiez un peu plus heureux de penser ?

Si, c’est vrai, je peux dire que je pense là ce que je suis le plus heureux de penser… Je le reconnais.

Alors, bienvenu dans votre état naturel… Bienvenu parmi les gens heureux !


L’Amour est-il vraiment impossible ? N’existe-t-il pas dans la vie réelle ? N’est-il pas notre quotidien ?

Serai-je heureux de penser cela ?

Non ! Clairement « non » !

Ce que je suis heureux de penser, c’est que l’Amour existe tout le temps et partout… Qu’il est ma vie… Qu’il est la vie de tout.

Ça, je suis vraiment heureux de le penser !

Parfois les gens se laissent aller dans leur désespoir et ils peuvent en arriver à penser que l’Amour véritable n’existe pas sur cette terre…

Et certains peuvent penser même que ce n’est qu’après leur mort que, peut-être, ils pourront vivre le bonheur, dans un soi-disant paradis, s’ils ont rempli, au cours de cette vie toutes les conditions nécessaires édictées par une autorité quelconque.

Et il y a encore d’innombrables autres théories.

Quelle souffrance que tout cela !

Mais, chacun n’est-il pas libre de choisir ce qu’il pense ?

Ce que j’aime penser à cet instant, c’est que seul l’Amour est possible… Qu’il n’y a que Lui qui existe et ceci sans aucune condition.


Mais, une des choses qui donne l’impression, à beaucoup, que les Êtres humains ne s’aiment pas, c’est que la souffrance est bruyante et que l’Amour, lui, est discret.

La merveilleuse souffrance nous signale instantanément que nous venons de perdre conscience de l’Amour Omniprésent… Et pour attirer notre attention, elle se fait toujours de plus en plus bruyante.

Mais, l’Amour, Lui, est l’expression naturelle de la Lumière… Et comme Elle, Il est Omniprésent… Et comme Elle, il est sans condition… Aucune condition.

Toute la création exprime l’Amour… Elle n’exprime « que » l’Amour…

Et si nous nous calmons, nous ne voyons que Lui… Et alors, nous ne « vivons » que Lui.

L’Amour, le véritable, ne s’affiche pas… Il Est.

Il est là, tout le temps, partout, discret, mais nous ne pouvons le voir que si nous avons foi en Lui.


Quoi que nous en pensions, l’Amour dirige la terre et tout l’univers.

Mais, soit nous en sommes conscients et nous nous en réjouissons, soit nous en perdons la conscience et nous ne pouvons alors nous en réjouir.

Se plaindre, c’est toujours se plaindre de Toi, la Vie Éternelle, l’Amour Omniprésent qui imprègne l’Existence Infinie.

Je suis si heureux de vivre cette vie-ci, malgré toutes les difficultés que j’ai pu imaginer avec l’aide de beaucoup de mes frères et soeurs humains, au cours de nos vies successives.

Mon espoir est qu’avec l’aide de tous, nous allons « vivre » de plus en plus consciemment l’Amour Parfait qui ne sera jamais déçu.

Rien ne peut décevoir l’Espoir Réel qui ne s’appuie que sur l’Amour de Tout et la Foi en Toi.

Le Véritable Paradis n’est-il là ? Maintenant ?


Quel plaisir de penser ce que nous sommes les plus heureux de penser… et quelle simplicité !

C’est si compliqué de continuer à souffrir en pensant ce que nous ne sommes pas heureux de penser… C’est compliqué pour nous et pour tous les Êtres qui nous entourent.

Soyons courageusement heureux de la vie telle qu’elle nous est offerte à cet instant et telle que nous choisissons de la vivre.

C’est tellement plus économique pour tous que nous soyons heureux à cet instant.

Il n’y a d’écologie qu’heureuse.

30 • C’est fou ! Mais c’est ce que je suis heureux de penser aujourd’hui !

Ta Lumière fait feu de tout bois.

Oui, Ta Lumière se sait Lumière en toute choses, même en celles qui nous semblent les plus sombres, à nous les Êtres humains, lorsque nous perdons conscience de Toi…

Je veux dire, par là, que si Ta Lumière est Éternelle, ce qu’Elle est, même dans l’ombre que nous avons choisi de croire la plus sombre, il ne peut y avoir « que » Ta Lumière…

Il est vrai que, trop souvent encore, nous perdons conscience de Ta Lumière dans cette ombre que nous imaginons.

C’est même comme cela que nous la créons : en perdant conscience de l’Absolue Infinité de Ta Lumière.

Mais, heureusement, notre perte de conscience ne fait pas disparaître Ta Lumière qui est Éternelle et Omniprésente… Elle ne L’a fait disparaître qu’à notre conscience !

Chaque homme n’a, pour l’instant, qu’une connaissance très limitée de lui-même et il connaît encore moins les autres.

Déjà, dans cette vie-ci, la simple vie que nous vivons en ce moment, nous avons perdu la mémoire de la plus grande partie de notre existence passée, depuis notre dernière naissance.

Souvent nous ne nous souvenons même pas de ce que nous avons vécu hier ou même il y a une heure… Que dire de ce que nous avons vécu dans notre enfance ou bien, encore plus, dans nos vies antérieures !

Certains pourront répondre que : si, ils ont quelques souvenirs clairs de leur enfance ou d’autres vies !

Et en effet, nous avons, presque tous, le sentiment de nous souvenir de certains faits importants de notre enfance ou d’une autre époque du passé de notre vie vie actuelle ou vie ancienne… ! Oui, c’est vrai, mais…

Mais d’abord, dans mon expérience personnelle, j’ai remarqué que si une autre personne et moi-même décrivions une scène que nous avons vécue ensemble, dans notre passé commun, même récent, nous n’avions jamais la même description… Et souvent nos descriptions étaient très, très éloignées l’une de l’autre.

Alors, quel est le souvenir juste ? Le mien ? Celui de l’autre ?

Nous n’avons pas la réponse…

Cela a toujours été le cas, et particulièrement si les émotions liées à ces évènements étaient intenses ou douloureuses.

Et cette différence de mémoires existent encore aujourd’hui, et ceci malgré les capacités de mémoires toujours plus grandes que permet l’évolution des techniques, les plus performantes, que sont les enregistrements, les photos, les vidéos et l’internet, pour ne parler que d’eux…

Mais nous ne pouvons, tout simplement pas, revivre le passé… Nous pouvons en aimer ou ne pas en aimer la mémoire, mais nous ne pouvons pas le revivre.

Nous ne pouvons qu’en observer les mémoires nécessairement déformées de façon nouvelle à chaque nouvel instant…

Et dans ce présent, seul vivant, nous pouvons choisir d’en être heureux ou pas.

C’est un fait qui n’a pas d’exception : nous interprétons toujours le passé.

Nous le voyons, ce passé, toujours, déformé par tous les évènements qui se sont passés entre lui et le présent… Mais également toujours déformé par ce qui a été vécu avant ce passé… Et enfin, déformé par toutes les imaginations que nous avons à propos du futur.

Ceci est nettement observable dans toutes les situations qu’elle soit propres à une personne, ou bien à un groupe de personnes, que ce groupe soit petit comme une famille ou grand comme un pays, ou même comme l’humanité toute entière.

L’histoire ne peut pas être totalement objective… Elle ne peut qu’être interprétation… Et c’est chacun de nous , à cet instant, qui choisissons « cet » interprétation.

Mais, il est évident que plus l’historien est heureux, plus il pourra, probablement, se rapprocher de la vérité à propos de la description des évènements passés.

D’un autre côté, plus l’historien souffre, plus il y aura, dans sa mémoire une déformation importante de ces mêmes faits passés.

Donc, le bonheur, en plus de ses nombreux autres avantages, a celui d’avoir du passé une mémoire plus juste, mais sans que jamais, cependant, elle puisse être parfaite.

En effet, le présent seul est « La » Vérité. Et il ne le restera que pendant cet instant vécu.

Oui, seul l’instant vécu est vrai à cet instant… et seulement à cet instant. L’instant d’après, cet instant est une mémoire, le plus souvent interprétée et donc déformée.

Donc, la seule mémoire « juste » que nous ayons, c’est cet instant-même que nous sommes en train de vivre…

Et cette mémoire juste de cet instant, elle meurt à l’instant suivant.

Ce concept, je le découvre moi-même maintenant, en y pensant et en écrivant.

L’instant seul existe… Finalement, notre existence ne dure qu’un instant. Nous naissons et nous mourrons à l’instant même où nous existons.

Et c’est à cet instant présent, seulement, que nous interprétons notre passé et imaginons notre avenir.

En ce sens, nous pouvons nous amuser à nommer cet instant « l’Instant Éternel » qui, d’une part, est unique dans tout l’univers et, d’autre part, va se « réincarner » en l’instant suivant pour toujours… C’est une succession éternelle d’instants, tous uniques.

J’aime jouer à penser, comme je le fais ici, une fois de plus, maintenant. C’est simple, agréable et enrichissant.

Lorsque je pense ce que je suis le plus heureux de penser, je découvre toujours de nouveaux aspects du Tout que Tu Es…

Et ces nouveaux aspects m’interrogent toujours, encore plus, sur le reste du Tout que Tu Es !

L’Infini de ce Tout, se déroule dans notre conscience, instant par instant.

L’opposition entre l’Éternité et l’Instant est une vue de notre esprit trompée par l’ombre qu’il a lui-même imaginée.

Ce qui me plaît, là, c’est de croire que le Tout est, à la fois, Éternité « et » Instant » en Un, c’est à dire en Lui-même.

L’Unité du Tout me rassure…

Mais la Diversité du Tout me rassure tout autant…

Voyons ! Qui choisit d’être rassuré face à cette Unité et à cette Diversité du Tout que Tu Es, si ce n’est l’Être humain que je suis ?

L’immensité, d’une part des choix que l’Être que je suis a fait, et d’autre part des choix que tous les autres Êtres ont fait de leur côté, ont déterminé l’instant présent que je vis.

Mais, le libre arbitre dont je jouis depuis que je suis Être humain me permet de choisir la couleur de cet instant que je vis.

Et la couleur dans laquelle je choisis de vivre cet instant présent participe à la mémoire de tous les futurs possibles de tous les Êtres.

Ta Lumière est l’Existence Elle-même.

Tout ce qui existe existe « de Ta Lumière ».

Rien n’existe en dehors de Ta Lumière, même, si depuis que nous sommes humains, nous avons pu, grâce à un usage maladroit de notre libre arbitre, imaginer que c’était le cas.

D’ailleurs, dès que nous l’imaginons, « notre merveilleuse souffrance » nous signale notre erreur… et elle continue à le faire jusqu’à ce que nous reconnaissions que tout, tout, n’est que Ta Lumière… y compris la Souffrance imaginée.

Oui, nous vivons, instantanément, ce que nous imaginons.

Le Paradis n’est pas la fin de la vie. Le Paradis est « la » Vie… La Seule Vie qui Soit.

Le Paradis n’est pas ailleurs, Il est toujours ici, sur cette terre chaque fois que nous « vivons » Ta Lumière en Tout.

Le Paradis est simplement la Vie que nous vivons chaque fois que toute la mémoire de l’ombre que nous imaginons est Aimée.

Le Paradis est impossible à décrire lorsque nous en perdons la conscience… Mais, Il occupe toute notre conscience lorsque nous y sommes.

Ne pas être au Paradis, c’est une illusion… Cette illusion cesse chaque fois que nous y sommes.

Car, en effet, nous ne sortons jamais du Paradis, nous perdons seulement conscience que nous y sommes.

Le Paradis, c’est le présent lorsque ce présent aime la totalité du passé et de l’avenir.

Nous vivons le Paradis chaque chaque fois que nous choisissons d’adorer Ta Lumière en toute chose.

Et, c’est un fait, nous vivons Ton Paradis de plus en plus souvent.

J’écris tout ceci d’abord par ce que je suis heureux de l’écrire et de le lire et même de le relire encore moi-même…

Mais, j’écris également tout ceci pour inviter le lecteur à être, s’il le veut un jour, heureux de le lire… ou heureux de ne pas le lire !

Je souhaite être heureux, toujours plus heureux… Et je le suis.

Je souhaite aussi que le lecteur soit toujours plus heureux… Et il l’est.

Comment je le sais ?

Je le sais parce que je ne choisis de savoir que ce que je suis le plus heureux de savoir…

Ma pensée est mon savoir… Et je vis ce que je sais.

Je remercie le libre arbitre qu’Il m’a donné il y a quelques milliers d’années… Et j’apprends à en faire un usage toujours meilleur pour tous.

29 • Une petite partie ?

Voilà ! Aujourd’hui, nous sommes le Mardi 16 Août 2024 et je met en ligne une partie de BeHappy que j’ai joué il y a un peu plus d’un mois, le Mardi 9 Juillet 2024

Ce jour-là, j’ai joué pendant une heure pile !

Cela peut sembler décousu, si l’on s’en tient aux sujets successifs qui se suivent parfois de façon inattendue… voir sans relation !

Mais, comme d’habitude, il y a un fil d’Ariane que tous ceux qui le choisissent peuvent très bien suivre : ce fil d’Ariane, c’est ma joie !

En effet, je n’ai écrit là que ce que j’étais le plus heureux de penser au fur et à mesure où cela venait à ma conscience… en tous les cas ce que j’étais assez rapide pour l’écrire sur mon ordinateur, mon copain de chaque jour.

Bien sûr, je n’arrive pas à écrire aussi vite que ce que j’arrive à penser ! Et donc, assez souvent, il y a des pensées intermédiaires que je n’ai pas pu noter, car la suivante était déjà là… Et c’est elle, seulement, que j’ai pu noter…

Toutes ces pensées, comme toutes celles que j’écris sur ce site BeHappy8 n’ont pour but que d’inspirer les personnes qui sont intéressées à penser elles-mêmes ce que, elles, elles sont les plus heureuses de penser.

En effet, personne ne peut, ni ne doit, penser comme quelqu’un d’autre… C’est, heureusement, de toutes les façons impossibles à réaliser.

En effet, je ne peux même pas, moi-même, penser deux fois la même pensée, même si j’utilise les mêmes mots pour exprimer et vivre deux instants différents.

Si j’utilise les mêmes mots 1000 fois, ces mêmes mots exprimeront nécessairement 1000 pensées différentes, puisque nous ne pouvons pas vivre deux fois le même instant dans l’Univers tel qu’il existe.

Voilà, ceci était une petite introduction amicale… Maintenant voici l’enregistrement écrit le plus exacte possible de la partie que j’ai jouée ce jour-là :

« Je commence là un jeu de pensée pour une heure…

D’abord, je mets en place mon minuteur pour qu’il sonne dans une heure…

Et puis, je commence à écrire… et je continuerai non-stop pendant une heure.

Pour moi, c’est toujours une aventure merveilleuse que de partir à penser ce que je suis le plus heureux de penser, sans aucune contrainte autre que celle de ma vitesse d’écriture… Qui est assez bonne, tout de même.

Nous venons d’avoir une discussion avec Arlette… Elle revenait vers moi en me demandant pourquoi je lui avais dit que je sentais, depuis quelques temps, qu’elle avait peut-être peur de dépenser de l’argent.

J’ai été, rapidement, amené à reconnaître que ce n’était pas là la pensée que j’avais été le plus heureux de penser… 

Mais qu’au lieu de cela, ce que j’étais vraiment heureux de penser, c’était : Qu’elle est belle… Qu’elle a confiance dans l’avenir… Qu’elle dépense avec plaisir ce qu’elle dépense… Qu’elle est toujours plus heureuse de vivre… Qu’elle est de plus en plus solide dans ses efforts physiques… Qu’elle est intelligente, très intelligente… Que je suis totalement satisfait par la compagne qu’elle est pour moi…

Et, bien sûr, cela nous a fait sourire, puis rire, tous les deux… Et nous sommes repartis enrichis, l’un et l’autre, de cette mise au point éclair, comme c’est toujours le cas chaque fois que nous nous offrons le luxe, accessible pour tous, d’une communication unitaire.

Pour cela, il suffit que nous nous aidions l’un l’autre à penser, à dire et à faire ce que nous sommes chacun les plus heureux de penser, de dire et de faire.

L’outil que nous utilisons le plus est si simple… Et nous avons toujours été d’accord pour jouer à ce que j’ai finalement nommé le « BeHappy » depuis que nous nous connaissons.

Et les résultats sont là : nous sommes de plus en plus heureux… C’est tout !

Je pense, sans effort, que chaque Être est heureux par nature… Et que la souffrance des Êtres n’est qu’illusoire… même si cela a pu nous sembler complètement réel.

La Réalité, la Vraie Réalité (c’est à dire Dieu Lui-même), ne peut être que Belle, Parfaitement Belle… Je ne peux pas La concevoir autrement…

En effet, je choisis de penser, à chaque instant autant que j’en sui capable, ce que je suis le plus heureux de penser… Et rien d’autre. 

Cela peut sembler naïf à certains lorsque j’exprime mes pensées que je suis le plus heureux de penser… Et je le comprends bien.

Mais, je suis fier d’être « naïf ».

La naïveté, c’est pour moi une belle qualité que j’admire chez tous ceux qui la manifestent.

… Et en général, les gens naïfs sont les plus heureux que j’observe.

Mon Corps me satisfait totalement, tel qu’il est… J’en suis totalement heureux… Quel bonheur de le vivre comme je le vis. Il me permet de matérialiser mes Pensées les plus belle et il exprime de mieux en mieux mon Âme.

J’aime également toujours le temps qu’il fait !

Et parfois cela étonne :

Alors, certaines des personnes que je rencontre me disent : « Mais, tu es toujours heureux de tout, toi ! » … Et je leur répond : « Oui, c’est vrai ! » Et c’est vrai que je suis toujours plus « heureux de tout » … Et cela est bien agréable.

C’est agréable pour moi, bien sûr… Mais c’est aussi agréable pour les autres…

Car le plus beau cadeau que l’on puisse faire aux autres, c’est d’être heureux en leur présence… Et le plus beau cadeau que l’on puisse recevoir des autres, c’est leur bonheur en notre présence.

Lorsque les gens sont heureux, nous nous sentons aimés.

Plus les gens sont heureux, plus nous nous sentons aimés… Et c’est si simple, une fois que l’on a retrouvé ce plis naturel.

Je suis de plus en plus attentif à penser ce qui est le plus beau.

En effet, cela me plaît de croire que ce qui est plus beau est plus vrai.

Je me dis : « Plus c’est beau, plus c’est vrai ! »

Plus je pense ce qui est beau, plus je vis heureux et plus je suis vrai…Et mieux c’est pour tous les autres Êtres.

Le progrès n’a pas de fin. Je progresserai toujours… Comme tous les Êtres de l’univers qui, tous, progressent toujours.

Je ne me laisse pas égarer par les difficultés apparentes que vit l’humanité. Je sais qu’elle évolue toujours vers plus de conscience… C’est vraiment ce que je suis le plus heureux de penser sur ce sujet… Alors, je le pense, régulièrement.

Souvent, j’entends dire que les gens sont de moutons… Oui, je pense moi-même de temps en temps que ce sont des moutons, mais ce sont des moutons qui cherchent toujours à être de plus beaux moutons… Ils cherchent à être toujours plus heureux d’être des moutons… Et plus ces moutons sont heureux, plus ils se libèrent ! Et je trouve cela magnifique.

En effet, ce que nous n’avons pas été heureux de vivre jusqu’à là, nous le répétons toujours pour progresser vers toujours plus de joie de le vivre.

Tout le monde veut être heureux. C’est ce que tous les Êtres veulent : Être encore plus conscients… Et chaque fois que la conscience d’un Être s’ouvre, il ressent la Joie.

En effet, la Joie, c’est la manifestation de l’ouverture naturelle de notre conscience.

Et la souffrance, elle, elle est la saine manifestation de la résistance à notre ouverture naturelle de conscience… N’y-a-t-il que les Êtres humains qui la ressentent ? C’est une question que je viens de me poser.

Non ! Pour la première fois, à cet instant, en toute conscience, je choisi de ne pas le penser… Et je crois que je ne le penserai plus : Tous les Êtres ressentent la merveilleuse douleur lorsqu’ils résistent à leur ouverture de conscience naturelle.

Mais, du fait du libre arbitre qu’ils ont reçu, c’est beaucoup, mais vraiment beaucoup plus net chez les Êtres humains que chez tous les autres Êtres, sur cette terre.

Tes Lois sont les mêmes, pour tous, dans tout Ton Univers…

Ton Univers, Il est composé d’une infinité de ce que nous nous appelons « univers ».

Ton Univers est Vraiment Infini… Ce que nous appelons univers, habituellement, a un début et une fin… Ce n’est qu’une vision limitée de Ton Univers.

Ma conscience s’ouvre toujours, comme toutes les consciences.

Je ne vois aucune conscience qui ne s’ouvre pas.

Chacun évolue… À son rythme, chaque Être évolue… 

Tous les Êtres évoluent… toujours !

Même les minéraux évoluent, bien sûr… Et, comme pour tous les autre Êtres, c’est au même instant que leur Âme, leur Corps et leur Pensée évoluent.

Bien sûr, les milliards d’années que mettent les minéraux pour évoluer ont pu nous faire croire, à nous les Êtres humains, qu’ils n’évoluaient pas…

Mais, il ne faut pas confondre une évolution sur un milliard d’années avec pas d’évolution du tout !

D’ailleurs, l’un des 3 aspects d’un Être ne peut pas évoluer sans les deux autres, puisque le Corps, l’Âme et la Pensée sont tous les trois d’un seul Être.

Et chez tous les Êtres l’évolution du Corps est totalement unifiée à l’évolution de l’Âme et de la Pensée.

Nous pouvons donc abandonner ce trop vieux paradigme de la séparation de l’Âme, de la Pensée et du Corps pour le paradigme plus beau, à mon avis, de l’Union Absolue de Tout et donc de l’Union Absolue du Corps, de l’Âme et de la Pensée en tout Être… Et, également, avec tous les autres Êtres.

Rien n’est plus « Un » avec moi que quoi que ce soit d’autre.

Je suis Un avec tout ce qui existe.

Je suis heureux de tout ce qui « est ».

C’est à dire que je suis heureux de Tout ce que Tu Es.

Je suis toujours heureux de penser ce que je suis le plus heureux de penser.

Je suis de plus en plus heureux de la vie que je mène… et de plus en plus heureux que les autres mènent la vie qu’ils mènent.

Je suis fier de l’humanité, telle qu’elle est aujourd’hui.

Je suis de plus en plus heureux que les gens soient ce qu’ils sont… 

J’ai de plus en plus d’Amour pour eux, un amour de moins en moins conditionnel.

J’ai de plus en plus d’Espoir qu’ils soient de plus en plus heureux

J’ai de plus en plus de Foi en Toi et en Ta Création que Tu Es.

Heureusement que je n’ai pas besoin de Te comprendre pour T’aimer…

Mais, plus je T’aime, mieux je Te comprends, et plus je Te comprends, plus je sais que je ne Te comprendrai jamais !

Quelle beauté que cet avenir que Tu m’offres…

Aujourd’hui, je choisis d’être heureux lorsque je crois que les autres sont injustes avec moi, alors qu’ils ne peuvent pas l’être : c’est décidé !

Je choisi de suivre, toujours mieux, la voix du Christ… Qui, Lui, Aime de toute Éternité ceux qui se sont crus ses assassins.

Les jugements, que j’ai prétendu injustes, que les autres ont eu vis à vis de moi m’ont permis de grandir en conscience de Toi.

Ces jugements, que j’ai pu prétendre injustes, ne sont faits que de Toi, puisque « Tu Es Tout ».

Ces jugements, que j’avais imaginés injustes, ne sont en fait que Ton Amour manifesté.

Maintenant, mon jugement vis à vis des autres, c’est qu’ils m’aident toujours à m’élever en Toi.

Je remercie donc les autres lorsqu’ils m’ont permis d’imaginer qu’ils étaient injustes vis à vis de moi.

Je remercie mes enfants lorsqu’ils m’ont permis d’imaginer qu’ils étaient injustes vis à vis de moi.

Merci à chacun de m’aider à grandir.

L’injustice est toujours Juste pour Toi.

Donc, l’injustice est toujours Juste pour moi. Je veux le reconnaître !

Je veux T’adorer en Tout.

Je veux T’adorer aussi bien dans ce que j’ai cru être l’injustice que dans ce que crois être la Justice.

L’injustice était un concept de l’ombre que j’avais imaginée.

Ta Justice est Éternelle, l’injustice que nous avons maladroitement imaginée a eu, elle, un début et elle aura une fin.

Notre injustice finira dans Ta Justice.

J’ai confiance dans notre injustice : elle nous mène à Ta Justice.

Tout vient de Toi… Tout nous mène à Toi… Tout n’est que Toi.

Notre injustice n’est que le mésusage que nous avons fait de Ta Justice.

Notre injustice est un vécu dévoyé par nous de Ta Justice Parfaite.

L’injustice n’est que Ta Justice Parfaite dont nous avions perdu conscience.

Je veux aimer notre injustice, à nous les Êtres humains, jusqu’à ce qu’elle révèle Ta Justice Éternelle.

Lorsque j’ai prétendu que quelqu’un était injuste avec moi, aujourd’hui, je choisis d’en être heureux… Et je révèle ainsi Ta Justice Éternelle…

Je veux révéler Ta Justice en toute chose.

Je veux révéler Ta Justice dans toutes nos, soi-disant, injustices.

Je ne fuis plus l’injustice, je choisis de l’aimer de l’Amour que Tu me donnes.

Oui ! L’injustice doit être aimée pour guérir.

Mon injustice et celle des autres, c’est maintenant comme un élastique qui m’attire vers Ta Justice.

Dans Ton Monde, qui est le Monde Réel, tout est Juste… y compris l’injustice que nous y avons imaginé.

La Terre s’élève vers Ton Ciel… Et nous réalisons qu’ils sont « Un ».

Notre injustice s’élève vers Ta Justice Parfaite.

Notre Injustice fini toujours dans Ta Justice.

L’ombre ne m’inquiète pas… L’ombre n’est que Ta Lumière déguisée par moi.

Mon ombre, et celle des autres, n’est faite « que » de Ta Lumière…

Il suffit que je perde conscience de Ta Lumière pour que j’imagine l’ombre et que je croit la vivre.

Mais, Ta Lumière est Éternelle, Infinie, Omniprésente… Elle ne varie pas lorsque j’en ai perdu conscience.

Ce n’est que ma conscience qui fait toute la différence.

« C’est la conscience qui fait toute la différence ».

Merci à Toi… Qui a tous les noms.

Et là, le minuteur a sonné…

Et je suis encore plus heureux qu’au début de cette heure de pensées et d’écritures.

Surtout, n’oublions pas que tout ceci est un jeu : un jeu de pensée… Rien qu’un « jeu »…

Dans la Lumière, il n’y a pas de pensées qui soient meilleures que d’autres pensées… Toutes ne sont que Ta Lumière.

28 • Quel futur je choisis ?

Un ami, qui a choisi « ÊtreSoi » comme pseudonyme, a fait, il y a quelques jours ce commentaire dont je le remercie :

« Parlons du futur…
N’est-ce pas dans le moment présent que notre futur s’inscrit ?
N’est-ce pas dés la pensée que l’on est heureux de penser en ce moment présent que ce futur s’invente ?
En fait, s’invente-t-il ?
N’est-ce pas par ces pensées heureuses en cette suite continue d’instants présents que nous nous proposons un futur heureux en son instant ?
Alors nous sommes heureux de ce futur que nous ne connaissons pas, en continuant à penser d’instant en instant, des pensées que nous sommes heureux de penser…
Ainsi, le futur ne se confond-il pas avec le présent ? »

Après avoir lu et relu, avec beaucoup de plaisir, ces pensées avec attention, j’avais écrit pendant plus d’une heure toutes une série de pensées que j’étais vraiment très heureux de penser en lisant ce joli commentaire fait par « ÊtreSoi »… Des pensées très belles, très inspirées… Enfin, c’est ce qu’elles me semblaient être !

Et puis, tout d’un coup, du fait d’une maladresse de ma part j’ai tout fait disparaître de mon ordinateur ! D’un seul coup !

Alors, là, voilà une bonne occasion de jouer au BeHappy que de choisir d’être heureux d’avoir perdu tout ce que j’avais été si heureux d’avoir écrit…

Et c’est ce que j’ai fait : tout de suite, dès que je me suis aperçu de mon erreur, dès que j’ai compris que je venais d’effacer complètement ces pages dont j’étais si fier, j’ai choisi d’être heureux.

« Dieu Est Tout », c’est la pensée fondamentale que je suis le plus heureux de penser à tout instant, celle qui est le point de départ de tous mes raisonnements, donc de toutes mes autres pensées…

Je reviens à elle sans cesse pour continuer ainsi à penser selon ma joie.

Et, si « Dieu Est Tout », Dieu est donc également ce que nous perdons !

Alors, instantanément, j’ai offert cette perte de mon texte à Dieu… Et comme chaque fois que j’ai eu la générosité de faire cette offrande, je suis très fier de moi… Je suis satisfait.

Quel confort d’être heureux de tout… et donc du « Tout » ! C’est tellement pratique ! Je le disais hier à mon ami G. lorsque nous roulions ensemble sur la route.

Nous ne pouvons pas revivre un instant deux fois… Mais nous pouvons toujours être heureux de l’instant que nous avons vécu.

Et ceci que nous l’ayons vécu l’instant juste précédent ou bien à n’importe quel autre instant de notre passé lointain… Que ce soit notre passé, soi-disant personnel, le passé de l’autre… Ou que ce soit le passé de toute l’humanité.

En effet, de mon point de vue, je ne vois pas de différence très nette entre mon passé, celui de l’autre et celui de toute l’humanité.

Grâce à mon ordinateur qui peut effacer si vite tout ce que j’ai écrit, en un instant, j’apprends à accomplir un deuil… de la façon la plus rapide et surtout la plus agréable qui soit.

Le passé est passé… Mais, quel qu’il soit, je suis libre, toujours libre, à cet instant d’en être heureux.

Le passé est une source inépuisable de joie pour celui qui sait l’aimer à cet instant présent.

Je vis un instant du Paradis, à cet instant même, chaque fois que j’ose être heureux de tout le passé.

Et toute la terre vivra (ou plutôt revivra) le Paradis, dès que tous les Êtres humains auront réussi, courageusement, à aimer, tous, le passé qu’ils ont vécu depuis qu’ils sont humains.

Ceci, semble-t-il, est un projet à long terme… Mais il se réalisera, sans aucun doute !

Et je veux, moi aussi, participer à la réalisation futur de ce projet parfait et inéluctable qu’est le retour du Paradis sur notre Terre.

Or, plus je suis heureux à cet instant, plus la vie au Paradis de la Terre entière approche.

Le futur est entre les mains de chacun de nous, les Êtres humains.

Nous sommes, tous les Êtres humains ensemble, responsables du futur que nous vivrons, mais également du futur que nous proposerons à tous les autres Êtres, animaux, végétaux et minéraux…

Chaque instant de notre existence est l’occasion d’ouvrir, un peu plus, notre conscience à l’Infini.

Et chaque faits dont nous ne sommes pas arrivé à reconnaître la Perfection est toujours revenu à notre conscience pour que nous puissions le reconnaître Parfait.

Et si nous n’y avons pas réussi il reviendra, car consciemment ou inconsciemment, notre but de vie, à nous, tous les Êtres de la Terre, est d’ouvrir notre conscience à cet Infini qui est Éternel…

C’est à dire d’être toujours plus heureux.

Je ne retrouverai pas, sans aucun doute, les pensées exactes que j’avais écrites et que mon ordinateur a, si gentiment, effacées.

Mais l’Âme, que je suis, est une source inépuisable de pensées que la Pensée, que je suis également, est heureuse de découvrir et que le Corps est heureux de manifester.

Comme le passé, le futur se vit au présent… Et seulement au présent !

Nous ne pouvons pas revivre notre passé dans le passé, puisque le passé est justement « passé ».

Mais, le passé est inscrit dans notre mémoire… Et heureux ou malheureux, nous pouvons nous en souvenir à cet instant présent, nous pouvons également en constater les résultats dans notre présent… Nous pouvons, à chaque instant, choisir, à nouveau, d’en être heureux ou malheureux.

Nous ne pouvons pas changer ces faits passés… Mais, c’est vrai que, d’une façon ou de l’autre, ils vont revenir à notre conscience pour que nous en soyons toujours plus heureux.

Pour prendre un exemple simple : il y a entre quarante et cinquante ans, alors que je dévalais une pente de montagne à fond la caisse, mon pied est entré dans un trou, mon corps a continué sa course et mon genou gauche a été tordu à l’envers et je me le suis fracturé gravement … Cela a été, je l’ai appris beaucoup plus tard une fracture intra-articulaire du plateau tibial interne.

 l’époque, j’ai choisi de simplement rester au lit pendant 2 mois pour permettre à la fracture de se guérir… Ce sont bien des années plus tard que des radios ont été faites. Elles ont montré un genoux complètement remodelé, complètement différent de l’autre.

Au cours des années qui ont suivi, et jusqu’à aujourd’hui, je n’ai pas pu faire que cet évènement n’ait pas existé : j’ai eu le genoux fracturé gravement… C’est un fait ! C’est un fait passé… qui a laissé des traces physiques et psychologiques… et spirituelles… Et à chaque instant, je peux gérer cela comme je l’entends !

Au début, j’ai été donc alité et j’avais très mal à mon genoux. Je n’ai pas, à l’époque, choisi d’éviter cela… De ce fait, je n’ai pu qu’apprendre, progressivement de mieux en mieux à être heureux d’avoir mal et d’être alité.

Ensuite, après probablement environ deux mois, je me suis levé et j’ai commencé à marcher avec une canne et avec beaucoup de douleurs… Et je me souviens qu’à l’époque je me suis inquiété pour mon avenir.

En effet, la douleur physique était importante et elle a duré pendant quelques mois, sans que j’en sois vraiment régulièrement heureux….

Mais, si je me souviens bien, finalement, cette douleur a duré jusqu’à ce que j’arrive à choisir d’en penser ce que j’étais, à l’époque, le plus heureux d’en penser…

J’ai donc choisi d’être heureux d’avoir mal… Et j’ai augmenté la joie d’avoir mal, de plus en plus chaque jour… Chaque fois que j’avais mal, je souriais et je remerciais cette douleur d’exister.

Et là, bientôt, les douleurs ont disparu ! Et il ne m’est plus resté qu’une impossibilité de plier le genoux complètement : je ne pouvais donc pas m’accroupir sur ce genoux… Mais cela n’était plus douloureux du tout.

Pendant une dizaine d’années, j’ai probablement un peu grandi en sagesse, comme tout un chacun… Et puis, je ne me souviens pas pourquoi, j’ai eu à nouveau mal à mon genoux et là, par contre, je me souviens très bien que mes pensées ont baissé de qualité à propos de mon genoux, à propos de la douleur que je ressentais à nouveau et à propos de mon avenir…

Et donc, une nouvelle fois, j’ai eu bien mal jusqu’à ce que je me décide, je m’en souviens très bien, à repenser ce que j’étais le plus heureux de penser… Encore mieux.

Et que ce soit à propos de mon genoux, de la douleur ou de mon futur, je me suis entraîné fortement à penser consciemment ce que j’étais le plus heureux de penser… Jusqu’à y arriver !

Et en quelque temps, non seulement je n’ai, à nouveau, plus eu mal, mais j’ai récupéré la totalité de la flexion de mon genoux. Cela m’a étonné… Cela faisait une dizaine d’année que la flexion de mon genoux était bloquée… Mais j’ai été fier et satisfait.

Et puis j’ai vécu, heureux de mon genoux déformé, mais efficace, jusqu’à aujourd’hui…

Lorsque j’y porte mon attention, je le sens différent de mon autre genoux… Mais hier, j’ai cependant pu aller me baigner dans un étang à 1500 mètres d’altitude grâce à une marche difficile de 3 heures aller et 3 heures retour… Et aujourd’hui, je vais faire une quinzaine de kilomètres à pied à partir de là où nous sommes logés, chez notre ami G.

Et la qualité du futur que je vais vivre dans cette vie et dans les autres est décidé par l’usage que je fais de mon libre arbitre pour vivre chaque instant, avec « ce » genoux.

Ce que je suis le plus heureux de penser, c’est que plus je suis heureux aujourd’hui, plus je serai heureux demain…

Plus je suis heureux dans cette vie, plus je serai heureux dans les autres…

Et ceci quelle que soit les difficultés temporaires que l’humanité, dont je fais partie, impose à toute la terre.

Mon futur ne dépend pas totalement de moi, car je ne suis qu’un Être humain parmi des milliards… Mais la Joie que j’ai à l’imaginer aujourd’hui et la Joie que j’aurai à le vivre à chaque instant, Elle, Elle ne dépend que de moi.

Je veux toujours mieux jouir de notre passé.

Je veux toujours mieux jouir de notre futur.

Et cela, je ne le peux qu’à cet instant présent.

27 • Heureux les simples d’esprit…

C’était là mon journal du Mardi 13 Février 2024 que j’ai décidé de relire et mettre à jour aujourd’hui, ce Dimanche 21 Juillet 2024

Mon petit journal, je l’ai écrit assez régulièrement… Et cela depuis plus de 45 ans.

La fonction principale qu’il a remplie, c’est qu’il a été et qu’il reste mon entraînement à penser…

C’est en effet, encore aujourd’hui, mon entraînement commando pour arriver, toujours mieux, à penser ce que je suis le plus heureux de penser.

Ce qui est nouveau, depuis quelques temps, c’est que, alors qu’il a été tout à fait intime pendant de nombreuses années, il est devenu depuis un peu moins personnel, et progressivement plus publique.

Je le partage, maintenant, un peu plus souvent… Et cela peut, aujourd’hui, prendre la forme de ce site BeHappy8.

Dans ces pensées quotidiennes, nous ne trouverons pas beaucoup de pensées que je n’ai pas été heureux de penser au moment où je les ai écrites… Peut-être une par an ! Peut-être même qu’il y a eu des années où cela n’est pas arrivé…

Également, il est utile de se rappeler que comme notre Corps et notre Âme, notre Pensée est vivante… Nous sommes donc des Êtres totalement vivants…

Et ce que j’ai pu être le plus heureux de penser il y a quelques temps peut ne plus être ce que je suis le plus heureux de penser à cet instant.

Je n’ai jamais essayé de comptabiliser tout cela très précisément… Comme souvent, je calcule à la louche !

En fait, c’est simple : je calcule toujours comme je suis le plus heureux de calculer… 

Lorsque je suis heureux de calculer avec une grande précision, je le fais… Mais lorsque je suis heureux de calculer à la louche, alors, je le fais aussi bien…

« Être heureux », c’est mon leitmotiv ! Si vous avez lu quelques uns des articles que j’ai écrit dans ce site BeHappy8, vous vous en êtes certainement rendu compte !

« Je suis heureux », c’est l’une des phrases, simple, robuste, que j’ai pensée, dite et écrite le plus souvent dans ma vie…

De ces phrases, que je suis totalement heureux de penser, il y en a une ribambelle, qui s’allonge toujours plus… Mais la phrase « Je suis heureux » en est une que je pense de nombreuses fois, jour et nuit.

Je pense que « Je suis heureux » à longueur de temps… Et cela avec une intensité toujours plus grande, une foi toujours plus grande…

Attention, je ne dis pas là que je n’ai jamais pensé ce que je n’ai pas été heureux de penser… Non ! Je l’ai fait ! Et je l’ai fait beaucoup…

Beaucoup trop ? Je ne le sais pas… Mais en tous les cas, c’est bien le chemin qui m’a amené à aujourd’hui… Et je ne suis vraiment pas déçu du voyage !

Je suis tellement heureux d’avoir marché sur chacune des pierres de mon chemin qui m’a amené à tant de joie aujourd’hui.

Mais, c’est vrai, j’ai à des moments pensé ce que je n’étais pas heureux de penser… Et je l’ai d’ailleurs fait avec une grande efficacité !

Et, bien sûr, j’ai été, comme tous ceux qui ont fait le même choix, instantanément malheureux, chaque fois que je l’ai fait !

Mais, pourtant, lorsque je me souviens de mon passé, au total, je ne l’ai pas, finalement, fait tant que ça… 

Si je m’amuse à parler en pourcentage, et à l’arrache, comme on dit maintenant, actuellement, c’est du genre de moins de 1% du temps… Et c’est un pourcentage qui diminue sans cesse avec le temps qui passe ! 

Tout le reste, c’est à dire les peut-être 99% de cette dernière année, j’ai pensé ce que j’étais le plus heureux de penser…

Et de ce fait, « je suis » donc heureux, toujours plus heureux, comme tous les Êtres qui, tous, cherchent à l’être… Et comme tous les Êtres humains qui ,eux, peuvent « choisir » de l’être !

Il y a, dans tous les domaines de ma vie, de moins en moins de nuages sombres ! Et lorsqu’il y en a, je choisis de les aimer tellement rapidement qu’ils éclatent et me rafraichissent d’une pluie douce et bienfaisante.

Combien de fois, lorsque je regarde ma vie dans ce monde, je me dis :

« Mais, tu vis au Paradis ! »

Pourtant dans le passé, cela n’a pas été toujours aussi clair ! Mais, j’ai sans cesse amélioré mon score… Et cela va de plus en plus vite !

Je vis une sorte « d’exponentielle du bonheur » !

Et c’est bien normal, puisque chacun devient un virtuose de ce qu’il pratique le plus dans sa vie.

Et oui ! En ce qui me concerne, je suis finalement devenu un virtuose du bonheur…

Il y a des virtuoses dans tous les domaines… Moi, c’est dans le bonheur ! Je suis de plus en plus heureux… tous les jours plus ! C’est une virtuosité bien agréable, pour moi… Et pour les autres…

Et pourtant, souvent, les gens disent que le monde va de moins en moins bien… 

Je ne le pense pas !

Je pense que le monde va de mieux en mieux.

Je le pense parce que c’est tout simplement ce que je suis le plus heureux de penser.

Je ne me permet de croire que ce que je suis le plus heureux de croire… C’est mon choix.

J’essaye en cela, de mon mieux, de suivre la proposition de Gandhi que je trouve si belle :

« Sois ce que tu veux que le monde devienne ! »

Alors, je me questionne, sans cesse, dans les situation les plus variées : « Toi, veux-tu que le monde devienne heureux ?

Et ma réponse est toujours : « Oui ! je veux que le monde devienne heureux. »

Alors, sois ce que tu veux que le monde devienne : « Sois heureux ».

Je suis donc plus heureux pour que le monde devienne plus heureux.

Et cela fait bien maintenant bien longtemps que j’ai pris conscience, de plus en plus, que je ne pouvais être heureux qu’en pensant, moi-même, ce que j’étais le plus heureux de penser.

Et, sans aucune exception, j’ai observé que c’était la même chose pour tout les Êtres humains, absolument tous !

De plus, la qualité d’une réponse dépend toujours de la qualité de la question.

Alors, j’ai observé les pensées que je pensais sous cet angle unique, toujours le même… C’est à dire en me posant cette question toute simple et pas une autre :

« Est-ce que tu viens de penser là ce que tu as été le plus heureux de penser, oui ou non ? »

Et j’ai, rapidement, eu la certitude que c’était là la question la plus importante que je pouvais me poser… Et donc que la réponse était la meilleure possible.

Alors, j’ai été de plus en plus exigeant sur la clarté de la réponse… Et j’en suis, rapidement, arrivé à cette conclusion : « Si notre réponse à cette question, la question la plus importante que nous puissions nous poser, n’est pas un « Oui » spontané, il faut que nous reconnaissions que c’est un « Non »… »

Qu’est-ce que c’est qu’un « Oui spontané » ?

En pratique, un « Oui spontané », c’est un « Oui qui vient en moins d’une seconde ».

Dès qu’un « Oui » vient en plus d’une seconde, c’est à dire dès que j’hésite aussi peu que ce soit à répondre « Oui », il faut que j’ai le courage et l’honnêteté de reconnaître que c’est un « Non » !

Et là, si c’est un « Non », je choisis arbitrairement, « totalement arbitrairement », de penser ce que je suis, à cet instant, le plus heureux de penser à la place.

Et c’est ainsi que, procédant comme cela tout les jours pendant des années, j’en suis arrivé à penser, par exemple :

« J’aime ce monde dans lequel je vis »…

« J’aime la manière dont je le vis. »

« J’ai confiance dans tous les Êtres… « 

« Et donc dans tous les Êtres humains. »

« Ma vie est merveilleuse, comme celle de tous les Êtres. »

Bref, il y a, ainsi, une myriade de pensées que je suis heureux de penser et que je pense, les unes après les autres… Une myriade de pensées qui, chacune à un moment donné, exprime la Lumière en moi !

C’est là « mon » choix ! Et rien ne peut me priver de mon « libre arbitre » merveilleux qui me permet ainsi de « choisir », à chaque instant, mes pensées.

Des autorités ont pu, à l’extrême, tuer certains de mes corps, mais elles n’ont jamais pu tuer ma Pensée et encore moins mon Âme.

Je suis bien toujours libre, comme chacun, de penser ce que je choisis de penser, n’est-ce pas ?

Eh bien ! Là, maintenant, je choisis, à chaque instant, de penser ce que je suis de plus en plus heureux de penser.

C’est mon critère, le plus simple, le plus pur, pour choisir de penser ce que je pense.

Et c’est ainsi que je peux, par exemple, choisir de penser, des pensées telles que celles-ci :

« La vie est parfaite ».

« Toute vie est parfaite ».

« J’aime tous les gens que je rencontre, exactement comme ils sont ».

« Chaque instant de ma vie a été parfait, sans une seule exception. »

« L’autre a toujours raison d’être ce qu’il est. »

Etc… Etc…

Bien sûr, le plus souvent, je suis heureux de ne pas le crier sur la place du marché ! Mais je le pense de nombreuses fois chaque jour dans mon intimité… Parfois, lorsque c’est approprié, je le dis ou je l’écris, comme à cet instant… Mais surtout, « je le vis » :

« Je vis heureux » !

Mais qu’est-ce que c’est que « être heureux » ?

Alors, là, chacun a sa propre définition ! Une définition qui varie d’ailleurs, en plus, chez chacun avec le temps qui passe…

Mais, pour moi, aujourd’hui, « être heureux », c’est tout simplement vivre ce que je vis…

Être heureux, c’est vivre !

Être heureux, c’est exister !

Je suis heureux tel que je suis et tel que le monde est. 

Bien sûr, cela peut sembler fou à ceux qui choisissent, librement, de penser que c’est une folie ! Mais, pour moi, c’est comme ça ! C’est ce que je choisis de penser et donc de vivre, de plus en plus fort, dans ma vie… 

Et c’est très agréable !

Ainsi, je suis « heureux avec de moins en moins de conditions », car cela fait bien longtemps que j’ai compris que les conditions du bonheur le mettait instantanément en danger !

J’ai compris que des « conditions » au bonheur voilaient celui-ci à ma conscience.

Par exemple, je ne veux pas être heureux à condition que le monde soit différent. Non ! Non, je veux être heureux là, de suite, dans ce monde, tel qu’il est à cet instant…

Et je le suis !

Je ne veux pas, non plus, être heureux à condition que je sois moi-même différent. Non ! Non, je veux être heureux de moi, là, de suite, tel que je suis à cet instant…

Et je le suis !

J’applique là ce qu’une très belle Âme m’a dit :

« Cesser de vouloir devenir pour accepter être »

Pourtant, c’est vrai, je me dis parfois que le monde est bizarre ! Je parle là du monde des Êtres humains, parce que les autres Êtres de la Nature, eux, je ne les trouve jamais bizarres… Jamais ! Mais le monde humain, oui, parfois je ne le comprends pas du tout : il me semble bizarre…

Mais, depuis maintenant longtemps, j’ai choisis d’être de plus en plus heureux de ce que j’appelle « la bizarrerie »… ou bien souvent je l’appelle « la maladresse » des Êtres humains, et donc, parfois de l’Être, bien humain, que je suis moi-même !

Je préfère, de loin, être heureux que comprendre…

Mais, j’ai observé, sans aucune exception, que plus j’étais heureux, mieux je comprenais.

Et le résultat de tout ces choix que je fais tous les jours, c’est que, tel qu’il est tout les jour, tel qu’il est chaque jour, ce monde ne me gêne plus du tout dans mon bonheur…

Au contraire, le monde, tel qu’il est, est sans cesse l’occasion pour moi de me décider à être encore plus heureux !

Et j’abandonne donc, tous les jours mieux, toutes les conditions, les soi-disant conditions, du bonheur. 

Je les abandonne toutes, au fur et à mesure où je prends conscience que je me les suis imposées…

Alors, s’il fait beau, je suis heureux qu’il fasse beau. S’il pleut, je suis heureux qu’il pleuve.

Si une personne est heureuse et gentille, je suis heureux qu’elle soit heureuse et gentille.

Mais si, à un autre moment, cette même personne souffre et devient triste et agressive, je suis heureux, de plus en plus heureux, qu’elle souffre et devienne triste et agressive…

Et je vois bien que du fait que je « choisis » de rester heureux face à sa souffrance, je suis beaucoup plus disponible pour pouvoir lui rendre service et l’aider dans sa difficulté, dans sa souffrance…

Donc, je vois, clairement, le monde tel qu’il est… Je « veux » le voir tel qu’il est !

Et c’est bien « ce » monde, ce monde-là que je vois, que je choisis d’aimer… C’est bien « ce » monde dont je choisis d’être heureux à chaque instant.

Et je fais cela en pensant ce que je suis le plus heureux de penser de lui, de ce monde !

Je suis libre de le faire… Et chacun est libre de le faire… ou de ne pas le faire.

Je suis heureux que la vie soit telle qu’elle est.

C’est tout !

Je l’ai décidé de mieux en mieux, au cours de cette vie… Et, probablement, que je me suis entrainé à le faire depuis de nombreuses vies.

C’est, probablement, une des raison pour lesquelles j’y arrive, dans cette vie-ci, avec une aisance qui semble encore assez rare…

Dans tous les cas, c’est sûr : j’y arrive mieux chaque jours !

Et je vois bien que chacun y arrive mieux chaque jour, également.

Ma vision, c’est ma responsabilité… Je ne choisis pas encore toujours de voir ce que je vois, mais je choisis de le voir comme je le vois…

C’est moi seul qui choisis, ou pas, d’être heureux de le voir !

Et en effet, vivre au Paradis, aujourd’hui, c’est un luxe que tout le monde peut s’offrir, dès aujourd’hui… Instant après instant.

Le Paradis, pour moi, c’est tout de suite ! … ou pas !

Chacun peut s’offrir des instants de Paradis, de plus en plus souvent, en apprenant à penser de mieux en mieux ce qu’il ou elle est heureux ou heureuse de penser…

Eh oui ! C’est en effet « tout de suite » que je suis heureux, lorsque j’ose penser ce que je suis le plus heureux de penser à cet instant !

Et alors là, je suis au Paradis, c’est à dire dans ce que je pense, moi, être la Vraie Vie… Le Paradis.

Je sais ce que beaucoup pensent encore souvent : « Le Paradis, c’est pour les simples d’esprit. »

Pour moi, « un simple d’esprit », c’est quelqu’un qui, lorsqu’il vit ce qu’il vit, pense simplement ce qu’il est heureux de penser.

Le simple d’esprit ne pense qu’une chose : « Je suis heureux », « Je suis heureux de ce qui est »…

Et en effet qu’est-ce que l’on peut penser de plus simple ?

Et le simple d’esprit, il le pense du matin au soir… Et aussi la nuit, s’il se réveille pour aller aux toilettes. C’est simple, non ?

Dès que l’un d’entre nous se plaint… alors, là, ce n’est plus un simple d’esprit… Pour lui, cet instant est compliqué et douloureux !

En effet, penser ce que « je ne suis pas heureux de penser », c’est toujours douloureux…

Mais, cette douleur, je l’appelle « ma merveilleuse douleur ». Elle me rappelle que je viens de compliquer ma vie !

Ma douleur me rappelle que je viens de perdre conscience que je suis heureux par Nature… Elle me rappelle que je viens de sortir du Paradis…

Or, pour sortir du Paradis, c’est aussi simple que pour y rentrer.

Pour sortir du Paradis, toujours nous avons commencé à prétendre qu’il y avait des conditions à notre bonheur… « Je serais heureux si… Je serais heureux parce que »… Et là, instantanément, tout nous semblait compliqué et douloureux…

Là, nous ne sommes plus un simple d’esprit ! Nous sommes un esprit torturé, labyrinthique… C’est l’enfer… Tout de suite !

Mais cet enfer, il ne dure que le temps pendant lequel nous persistons à penser ce que nous ne sommes pas le plus heureux de penser.

Et en effet, dès que nous pensons à nouveau ce que nous sommes le plus heureux de penser : Hop ! Retour au Paradis !

C’est un peu comme si, entre l’enfer et le Paradis, il y avait une porte battante ! Je la passe dans un sens, je suis au Paradis, je la passe dans l’autre sens, je suis en enfer… Et c’est moi qui décide dans quel sens je la passe…

Je le décide par ma pensée !

Oui ! Dès que je pense ce que je suis le plus heureux de penser, je la passe vers le Paradis… et je vis cet Instant, tel qu’il est, Heureux !

Mais, dès que je pense ce que je ne suis pas le plus heureux de penser, alors là, je la passe vers l’enfer… Et, instantanément, je souffre de ma merveilleuse souffrance qui, elle, m’invite à repasser le plus vite possible la même porte, mais dans l’autre sens !

Mais, en réalité, il n’y a même pas de porte entre l’enfer et le Paradis : « L’enfer, c’est tout simplement le Paradis dont j’avais perdu conscience », c’est tout !

Je veux dire que mon état Naturel, mon état Originel, c’est d’être heureux, c’est de vivre le Paradis Originel… et cela depuis toujours et pour toujours !

Je ne peux rien y changer ! Je suis heureux par Nature…

Et, ça, comme tout ce que je viens d’écrire, je suis vraiment heureux de le penser ! Et depuis longtemps…

Mais, la Sagesse Infinie me dit :

« C’est la conscience qui fait toute la différence. »

Je peux, soit, en effet être heureux par Nature et, librement, en avoir conscience… Et là, je me vis heureux, je suis Heureux « avec » la conscience de l’être… Cela, c’est ce que j’appelle vivre le Paradis.

Mais, je peux également, être heureux par Nature et, aussi librement, en perdre la conscience… et là, je me vis malheureux, c’est à dire que je suis Heureux, mais « sans » en avoir conscience, sans avoir conscience de l’Être heureux que je suis depuis toujours et pour toujours… Et là, je ne jouis plus de la Joie que je suis.

Or, qui choisit ma conscience ?

Moi-même !

Personne d’autre que moi-même ne peut choisir ma conscience à ma place.

Depuis que nous sommes des Êtres humains, nous sommes dotés du Libre Arbitre pour toujours.

Alors, seul, face à nous même, nous choisissons, plus ou moins facilement, de vivre notre Joie, probablement en partie selon l’entrainement que nous nous sommes donné jusqu’à cet instant… Et puis, aussi, selon notre courage.

C’est vrai que je pense souvent qu’être heureux dans ce monde tel qu’il est aujourd’hui, c’est le plus grand courage qui soit.

Alors, soit, comme trop souvent, pendant des millénaires, nous nous sommes entraînés régulièrement à penser ce que nous n’étions pas heureux de penser… Et, là, très souvent, nous nous sommes tellement bien entraînés que c’est devenu comme une seconde nature !

Dans ce cas-là, la première pensée qui nous vient à la conscience, à un moment donné, c’est, trop souvent, une pensée que nous ne sommes pas heureux de penser… Et ainsi, notre entrainement, à penser ce que nous ne sommes pas heureux de penser, se renforce encore un peu plus !

Mais, nous pouvons aussi, volontairement, consciemment, courageusement, choisir de penser à cet instant ce que nous sommes les plus heureux de penser… Et cela sur n’importe quel sujet ! Comme cela, pour le simple plaisir de le penser… Complètement « arbitrairement ».

Chacun de nous, bien sûr, en a le droit et la liberté.

Mais, nous sommes le seul à pouvoir le décider : personne ne peut le faire à notre place !

C’est fou comme c’est simple et accessible à tous les Êtres humains !

Mais, c’est vrai : il faut vraiment être « simple d’esprit » pour faire cela !

Mais, Lui, ne nous a-t-Il pas dit, il y a 2000 ans :

« Heureux les simples d’esprits, car le Royaume des Cieux leur appartient » ?

26 • Présent, Passé, Avenir… etc… 

Voici la copie du commentaire qu’un ami, dont le pseudonymes est « ÊtreSoi », a fait sur ce site… Et ma réaction, amicale, à ce commentaire qui m’a beaucoup intéressé.

Voici ce commentaire :

 » Accepter la pensée que l’on n’est pas heureux de penser, c’est à dire ne pas lutter contre elle, est essentiel. C’est déjà être heureux… »

Comme je me suis pris au jeu de la pensée en y réfléchissant, mon commentaire s’est fait assez long, beaucoup plus long que ce que je pensais au départ…

Et finalement, je me suis décidé à ce qu’il sorte d’un simple commentaire et qu’il soit publié comme un article de ce « Blog ».

Voici donc ce qu’est devenue ma réponse qui a consisté, finalement, simplement à jouer au BeHappy, ce jeu de la pensée auquel j’ai joué plus longtemps que ce que j’avais prévu au départ…

Mais, ceci n’est-il pas le propos de ce site BeHappy8 ?


 » Coucou, mon ami ! Et merci beaucoup pour ton commentaire… Celui-ci, semble-t-il, m’a beaucoup stimulé… J’y réagis avec plaisir ici, et bien plus longuement que ce que je le pensais au départ :

Mais, revoyons, d’abord quelques bases du jeu auquel nous avons décidé de jouer ensemble sur ce site BeHappy8 :

Rappelons-nous, d’abord, « qu’être heureux nous-mêmes, Êtres humains que nous sommes, c’est le plus important pour nous et pour tous les autres Êtres. »

Rappelons-nous également que « nous ne pouvons avoir conscience de la Joie que nous sommes, et donc « Être heureux », qu’en pensant ce que nous sommes les plus heureux de penser.

Rappelons aussi que la Joie (ou la Lumière, ou le Divin… etc.) dont nous sommes l’Expression Éternelle, ne varie pas en fonction de ce que nous pensons.

Par exemple, son Omniprésence ne diminue pas lorsque nous pensons des pensées que nous ne sommes pas heureux de penser… Ni d’ailleurs si nous pensons les pensées que nous sommes les plus heureux de penser !

Ce qui varie, avec nos différentes pensées, c’est notre conscience.

Ou, plus précisément, ce qui varie, c’est la vitesse d’ouverture de notre conscience à la Joie, à la Lumière, c’est à dire à Dieu…

C’est finalement la qualité de la pensée, que nous choisissons à chaque instant, grâce au Libre Arbitre dont nous les Êtres humains sommes dotés, qui décide de la vitesse d’ouverture de notre conscience :

Ainsi, ce que j’aime penser, pour l’instant, c’est que notre ouverture de conscience à la Lumière s’accélère chaque fois que nous pensons la pensée que nous sommes les plus heureux de penser à cet instant.

Mais, ce que je suis, également, heureux de penser, c’est que notre ouverture de conscience à la Lumière se ralentie chaque fois que nous pensons une pensée qui n’est pas celle que nous sommes les plus heureux de penser à cet instant.

Par contre, et c’est pour moi très important, à aucun moment l’ouverture de la conscience de tous les Êtres, qu’ils soient humains, animaux, végétaux ou minéraux, ne peut cesser totalement… Et encore moins régresser.

Nous, les Êtres humains, ne pouvons donc qu’accélérer ou ralentir l’ouverture Naturelle, Originelle et obligatoire de notre conscience.

C’est là, vraiment, ce que je suis le plus heureux de penser à cet instant et cela depuis un bon moment !

Cette ouverture de la conscience de « tous » les Êtres, quels qu’ils soient, ne peut qu’être active en chacun de nous, depuis toujours et pour toujours…

Seules les vitesses d’ouverture de leurs consciences peuvent varier et donc être différentes selon les moments d’une vie et donc, en conséquence, selon les différentes vies vécues par chacun des Êtres que nous sommes tous.

Et, de ceci, il résulte que chaque Être existe, à cet instant, exactement comme il est.

Pour faire un raccourci, je peux dire que : « l’ombre » ou « le mal » n’est que la perte de conscience de la Lumière.

Mais, si je veux m’amuser à être plus précis, je peux alors dire que l’ombre, n’est que « la diminution de la vitesse d’ouverture de la conscience de la Lumière » par rapport à sa vitesse d’ouverture Originelle.

Et ceci a, au même instant, des conséquences sur l’Âme, la Pensée et le Corps qui sont inséparables, qui sont consubstantiels


Maintenant, voici quelques autres pensées que j’ai été heureux de penser  :

J’ai, en effet, plaisir à remarquer que cela simplifie grandement notre réflexion, et nos communications, lorsque nous utilisons les temps de la conjugaison des verbes qui tentent de décrire le mieux possible la Réalité :

C’est à dire, que nous utilisons, le temps de conjugaison du passé pour parler, librement, du passé, dont nous nous rappelons au présent.

Ensuite, nous utilisons le temps de conjugaison du futur pour parler, librement là aussi, de l’avenir que nous choisissons d’envisager, à cet instant présent également…

Et, bien sûr, ce qui est encore plus évident, utilisons le temps de conjugaison du présent pour exprimer notre Libre Arbitre qui, lui, ne peut s’exercer qu’à cet instant.

Sur ce sujet, ce que j’aime à penser actuellement, c’est que ce sont probablement les Êtres humains, les plus beaux parmi tous, qui dans certaines de leurs incarnations passées, probablement assez anciennes, ont inventé les « conjugaisons »des verbes pour mieux exprimer leurs réflexions et mieux les communiquer aux autres Êtres humains qui y étaient sensibles.

En tous les cas, dans ma vie actuelle, j’ai remarqué que cela était bien pratique d’utiliser ces conjugaisons à bon escient pour réfléchir moi-même plus agréablement et pour transmettre plus efficacement le résultat de mes réflexions à ceux qui y étaient intéressés.

Alors, c’est pourquoi j’apprends, toujours mieux, à respecter les temps de conjugaison pour exprimer, toujours plus précisément, ma pensée… et aussi la relier avec plus d’efficacité à d’autres pensées.

Et cela demande de l’attention ! En effet, il y a eu de nombreuses torsions mise en place dans l’usages des temps de conjugaison des verbes… Nous avons pris l’habitude de les mettre en place sous la pression de l’ombre, en nous et chez les autres.

Ainsi, ceci étant dit, si l’on reprend ton commentaire que je relis :

 » Accepter la pensée que l’on n’est pas heureux de penser, c’est à dire ne pas lutter contre elle, est essentiel. C’est déjà être heureux… »

Eh bien, prenons conscience que nous ne pensons qu’une pensée à la fois, même si la succession des pensées, parfois très rapide, peut nous donner la fausse impression que l’on pense plusieurs pensées à la fois.

Si, par exemple, j’hésite entre répondre « oui » ou « non » à une question très importante pour moi, cela ne veut pas dire que je pense « oui » et « non » en même temps, mais simplement que je pense alternativement « oui », puis « non », puis « oui », puis « non », puis « oui », puis « non » etc…

D’ailleurs, si ce type d’hésitation est trop intense, s’il dure trop longtemps et que la personne le vit trop douloureusement, cela se manifeste finalement dans l’aspect Corps de cette Être humain comme un « tremblement », un tremblement physique : c’est ce que l’on a appelé la maladie de Parkinson.

Mais revenons, là, à ton commentaire… Dans la réalité, nous ne pouvons vivre donc que le présent… Et donc, au présent, nous ne pouvons « qu’observer » le passé, mais pas le vivre.

Donc, je crois que ce que tu voulais vraiment exprimer, c’est ceci:

« Accepter la pensée que l’on n’a pas été heureux de penser, c’est à dire ne plus lutter contre elle est essentiel. C’est être heureux. »

Ou, pour donner plus de détails :

« Accepter (à cet instant présent) la pensée que l’on n’a pas été heureux de penser (dans le passé), c’est à dire ne plus lutter (à l’instant présent suivant) contre cette pensée du passée, est essentiel. C’est être heureux (à ce nouveau présent-ci)… »

Finalement, pour le dire très, très simplement :

Être heureux d’avoir été malheureux, c’est « être heureux » !

Mais aussi : Être heureux de mon passé, c’est le guérir.

Pour le redire un peu différemment : À cet instant présent, je ne peux donc penser qu’une seule pensée… qui exprime mon Libre Arbitre.

Et c’est ainsi que c’est à cet instant présent seulement que je peux observer une pensée que je n’ai pu penser que dans mon passé. Et ceci même si ce passé, c’est juste l’instant qui précède, d’un centième de seconde, l’instant présent où je l’observe.

Au présent, nous ne pouvons donc « qu’observer » le passé.

Chaque instant meurt à l’instant-même où il naît.

Et les poètes ont exprimé cela souvent, comme Lamartine avec ces magnifiques vers :

« Le livre de la vie est le livre suprême

On voudrait revenir à la page où on aime 

Et la page où l’on meurt est déjà sous nos doigts… »


Heureusement que, lorsque j’essaie de parler de tels concepts, ce qui est le plus important pour moi, c’est simplement d’être heureux d’exprimer ce que je suis le plus heureux de penser… Et ceci avec les mots que je suis le plus heureux d’utiliser à cet instant.

En effet, je ne m’impose aucun autre impératif qui serait plus important que celui-ci : « Penser ce que je suis le plus heureux de penser ».

Par exemple, je préfère, et de loin, être heureux qu’avoir raison… Mais, je sais que plus je suis heureux, plus je m’approche de la Vérité… Sans, cependant, jamais l’atteindre !

Pour paraphraser, grossièrement, Picasso : J’ai mis toute une vie pour arriver à penser à nouveau comme un enfant !

La Vérité n’est pas immobile, mais Elle est Infiniment Vivante… Et nous en prenons toujours plus connaissance depuis toujours, en sachant cependant qu’elle est toujours plus Vraie que ce que nous avons cru jusqu’à là.

Et chaque fois que l’Être humain a tenté d’immobiliser la Vérité, de la fossiliser, l’intolérance et les guerres sont arrivées au galop

La Vérité est Une et Vivante, mais aucun Être ne peut en avoir la même conscience…

Et « toutes » les consciences de la Lumière sont aussi parfaites les unes que les autres.


C’est toujours extraordinaire d’expérimenter le fait qu’une pensée n’est jamais isolée, suspendue, toute seule dans l’univers des pensées, mais qu’elle est toujours reliée à l’Infini des autres pensées par des fils que nous ne pouvons que découvrir de mieux en mieux au fur et à mesure que nous sommes plus heureux.

Chacun, s’il est heureux de le décider, peut ressentir que tous les Corps des Êtres que nous sommes tous sont « Un » avec l’infini de tous les Corps des autres Êtres.

Ainsi, le Corps des Êtres humains que nous sommes sont non seulement reliés, mais »Un » avec les Corps de tous les autres Êtres qu’ils soient humains, bien sûr, mais aussi animaux, végétaux et minéraux.

Nous ressentons bien que dès que nous, les Êtres humains, avons perdu conscience de cette Unité que nous sommes tous, les problèmes écologiques ont commencé.

Et ces problèmes écologiques ont toujours augmenté, au fur et à mesure où nous l’avons oublié un peu plus… ou beaucoup plus… Comme en témoigne la souffrance actuelle de tous les Êtres de la terre !

Eh bien, en ce qui concerne l’aspect Pensée des Êtres, c’est la même unité entre toutes les pensées individuelles de tous les Êtres.

À cet instant, notre pensée, à nous les Êtres humains, est toujours reliée et unie à toutes les pensées de tous les autres Êtres de l’Univers.

Cette pensée présente, que nous choisissons, grâce à notre Libre Arbitre depuis que nous sommes humains, est reliée à toutes les pensées que tous les Êtres ont pensées depuis toujours… Et à toutes les pensées que nous penserons, librement, dans le futur.

« Soit ce que tu veux que le monde devienne. » nous dit Gandhi.

Pensons dès maintenant ce que nous voulons que le monde pense dans l’avenir.

Soyons heureux maintenant, puisque nous voulons que le monde le devienne.

« VIVRE ET SURVIVRE À L’ÈRE DE L’ALUMINIUM  » du Pr Christopher EXLEY… Extraits…

Je vous conseille vivement d’acheter le livre du Pr. Christopher EXLEY dont le titre est « VIVRE ET SURVIVRE À L’ÈRE DE L’ALUMINIUM… Entretien avec Monsieur Aluminium ».

Il y a en effet de très nombreuses notes scientifiques et de nombreux schémas et tableaux explicatifs qui ne peuvent pas être retransmis par la voix dans ces extraits enregistrés que je propose ici.

J’espère de tout mon coeur que ces quelques extraits vous donnerons envie de lire ce livre et aussi d’écouter les quelques vidéos (en anglais dont vous pouvez avoir la traduction) disponibles sur la toile internet qui permettent de voir quelques conférences ou interviews du Pr Christopher EXLEY qui on pu rester sur la toile malgré une omerta terrible;.

J’espère aussi qu’ayant pris connaissance du travail scientifique merveilleux qu’a accompli cet homme, vous aurez à coeur de le faire connaître pour aider à l’amélioration de la santé de la population.

Le Pr. Christopher EXLEY est un véritable et courageux scientifique. C’est aussi un homme honnête, bienveillant et très bon pédagogue.

Mais, il a été simplement rendu inaudible par les médias officiels parce que ses recherches scientifiques risquent de beaucoup déranger de puissants pouvoirs financiers.

La connaissance de son savoir sur l’aluminium et l’application de ses conseils scientifiques ont eu, en 6 mois seulement, des effets importants sur ma vie dont voici la colonne vertébrale :

1 • Une amélioration vraiment étonnante de ma mémoire... J’ai été tellement surpris par l’importance de cette évolution que je n’ai eu de cesse d’en parler… J’ai acheté 3 autres livres pour les prêter autour de moi et j’ai décidé de faire ces enregistrements d’extraits de ce livre pour donner aux gens envie d’acheter ce livre.

2 • Des décisions vraiment beaucoup plus rapides et nettes.

3 • Une compréhension beaucoup plus claire dans tous les domaines.

4 • Et, chose amusante, une beaucoup plus grande conscience de mes rêves.

Et probablement beaucoup d’autres effets bien plus difficiles à cerner pour le simple observateur que je suis…

Tout ceci en suivant simplement ses conseils scientifique pour, d’une part limiter l’absorption d’Aluminium (Chapitre 8) et d’autre part en augmenter l’élimination en buvant une eau riche en acide silicique… En ce qui nous concerne en France : l’eau de Volvic. (Chapitre 9)

Il y a aussi des hypothèses et des découvertes très intéressantes sur la raison probablement la plus importante de la toxicité pour certains d’entre nous des vaccins.

Et puis des découvertes scientifiques tout à fait claires et très bien expliqué à propos de maladie graves qui sont de plus en plus fréquentes, comme par exemple la maladie d’Alzheimer, la maladie de Parkinson, la sclérose en plaque, l’autisme et beaucoup d’autres pathologies.

Un LIVRE PASSIONNANT !

UN VÉRITABLE SCIENTIFIQUE S’EXPRIME CALMEMENT.

• Extraits des Chapitres 0, 1 et 2 :

« Préface du Pr Henri Joyeux : Face à une nouvelle et imminente attaque aluminique. »

« Pourquoi j’ai écrit un livre sur l’aluminium »

« Pourquoi suis-je préoccupé par l’aluminium »

• Extraits des Chapitres 3, 4 et 5 :

« Un peu de biochimie basique de l’aluminium »

« Où trouve-t-on l’aluminium dans le corps humain ? »

« Mesurer la charge corporelle d’aluminium »

• Extraits des Chapitres 6 et 7 :

« La quantité d’aluminium sortant n’est pas égale à la quantité d’aluminium entrant »

« Je suis l’aluminium que je mange (ou le suis-je?)« 

• Extraits du Chapitre 8 

« Comment vivre pleinement et en toute sécurité à l’ère de l’aluminium »    +++

• Extraits du Chapitre 9 :

« De l’eau minérale riche en silicium chaque jour pour tenir l’aluminium à distance » +++

Extraits du Chapitre 10  

« La grossesse, et pourquoi l’exposition des nourrisson à l’aluminium est un cas particulier ».

La grossesse, et pourquoi l’exposition des nourrisson à l’aluminium est un cas particulier

• Extraits du Chapitre 11 :

« Rappelez-moi : Pourquoi il y a de l’aluminium dans les vaccins, déjà ? »

• Extraits du Chapitre 12 :

« L’aluminium est une cause et un facteur de maladie humaine »

• Extraits du Chapitre 13 :

« Ce qu’il faut savoir sur l’aluminium dans les tissus cérébraux humains »

• Extraits du Chapitre 14 :

« La maladie d’Alzheimer et l’éléphant d’aluminium dans la pièce »

14 • Vivre et Survivre à l’Ère de l’Aluminium

Extraits du Chapitre 15 :

« Aluminium et cancer du sein : les choses se précisent »

• Extraits du Chapitre 16 :

« L’Aluminium : candidat sérieux au titre de cause de la sclérose en plaque »

• Extraits du Chapitre 17 :

« L’atout maître des modes de toxicité de l’aluminium »

• Extraits du Chapitre 18 :

« Camelford – Les dessous d’un mensonge d’État »

• Extraits du Chapitre 19 :

« Science et politique »

• Extraits du Chapitre 20 :

« Imaginez que vous êtes un atome d’aluminium »

Voilà ! C’est la fin des extraits de ce livre passionnant… qui peut participer efficacement à l’amélioration de la santé de notre société par des moyens accessibles à la plupart d’entre nous.

J’espère que beaucoup achèteront ce livre et le liront et en tireront un enseignement de qualité qui leur sera utile.

À plus tard, avec plaisir.

25 • Badaboum !

Eh oui ! Badaboum !

Et j’ai fait une nouvelle chute en vélo ! Est-ce dû à un moment d’inattention ? Ou bien à une grande attention, mais mal dirigée ?

Je ne sais pas ! Mais, en tout cas : ça a été Badaboum ! Et je me suis retrouvé tout emmêlé dans mon vélo… Lui et moi, nous ne faisions, vraiment, plus qu’un ! Heureusement que l’on m’a aidé à m’en démêler…

Et au début, aucune douleur ! Mon corps s’est auto-shooté à l’adrénaline…

Et pourtant, il y a eu un bon choc ! Je l’ai réalisé plus tard… Mais, mon corps m’a protégé de la douleur, pour un temps… Le temps de faire face à un autre danger éventuel ? Le temps dont l’animal, que je suis toujours, à besoin pour se mettre en sécurité… et pouvoir guérir, peut-être, de son erreur ?

D’abord une stupéfaction ! Je ne m’y attendais pas… Je ne m’y attendais vraiment pas ! Et puis, une petite colère de vexation ! Je croyais que je ne tomberai plus jamais en vélo… Je croyais que j’avais compris comment être en sécurité en vélo… Je me croyais sage !

Désillusion…

Certainement que j’étais sage… Mais, jusqu’à un certain point, seulement !

Toi, Lumière, Tu es la seule Sagesse qui soit Infinie, Absolue.

Notre sagesse à nous, c’est ce que nous vivons lorsque notre conscience s’ouvre encore un peu, une fois de plus, à Toi !

Je me disais : « Christian, tu sais maintenant comment être prudent en vélo ! Depuis quelques années que tu fais du vélo régulièrement, tu es tombé 8 fois… C’est bon ! Tu as bien compris comment faire pour ne plus tomber.

Eh bien non… Je n’avais compris qu’un tout petit peu plus !

Mais, en fait, il ne s’agit pas seulement que de vélo… Il ne s’agit pas seulement que de ne plus blesser mon corps… Il s’agit de grandir en conscience de Toi… Et là, je n’arriverai jamais au bout du Vrai Moi que Tu m’offres… Jamais !

Je mourrai… Toujours, je mourrai à nouveau !

Je mourrai à chaque instant que je vis… C’est sûr !

Je peux même dire que je quitterai ce corps à chaque instant… Un corps n’est jamais acquit… Il ne dure qu’un instant… Un instant infiniment court.

Tu me le donnes à chaque instant… Et, de mieux en mieux, à chaque instant, j’arrive à Te l’offrir !

Nous sommes un mariage, toujours plus parfait, de Ton Infinitude et de Ta Finitude…

Il ne faut vraiment pas que je l’oublie ! Ou plutôt, pour dire plus vrai, il faut que je l’oublie de moins en moins : « Tu Es Tout »… Tu es « vraiment » Tout… Tu es plus Tout que nous ne pourrons jamais T’imaginer…

Mais cependant, je ne veux pas m’arrêter d’imaginer ce que je ne pourrai jamais imaginer jusqu’au bout… Et j’en suis de plus en plus heureux.

Arriver à être de plus en plus heureux de l’Échec Éternel ! Et au même instant, être heureux de la Réussite Éternelle ?

L’échec et la réussite sont complètement emmêlés ! Bien mieux que mon corps avec le vélo, lors de mon « Badaboum »…

Eh oui ! Mon Vrai Moi, c’est Toi…

Alors, je ne suis pas prêt d’en arriver au bout ! En Réalité, je n’arriverai vraiment jamais au bout ! Et je le sais au plus profond de moi…

Mais, en surface, de moins en moins souvent, il est vrai, mais encore très, très, souvent, je l’oublie…

Eh oui, je ne suis, jamais, au bout de rien ! Car, c’est Ton Infini que Tu me proposes de vivre… à chaque instant.

Ils sont innombrables, les moments, où depuis que je suis un Être humain, j’ai prétendu être arrivé « au bout » de quelque chose !

Au bout de quelque chose ? Mais n’Es-Tu pas Tout ?

Donc, j’ai prétendu un nombre infini de fois être arrivé au bout de Toi  ? Au bout de Toi qui est Tout ? Quelle prétention !

Une prétention Infinie ?

Mais là, quand je dis « Infini », est-ce que je sais vraiment ce que je dis ? Ton Infini, sous ses Formes Infinies, je n’y ai jamais rien compris… C’est Ton Mystère. Et, finalement, je ne le comprendrai jamais…

Tu entends Christian ? « Jamais ».. !

J’entends ! Mais je ne peux pas le comprendre… Je ne peux qu’essayer de le comprendre… Je ne peux qu’essayer d’imaginer que je le comprends…

Oui ! Le bout de Toi, c’est toujours plus :

Toujours plus loin… Toujours plus haut… Toujours plus bas… Toujours plus dedans… Toujours plus dehors… Toujours plus vrai… Toujours « plus moins » ! …

Tu es ce « Bout », ce bout que nous poursuivrons toujours ! Nous l’imaginerons toujours ! Et nous imaginerons toujours que nous pouvons l’atteindre, en sachant, raisonnablement, que nous ne l’atteindrons jamais.

Mais, finalement , ce bout, c’est Toi… Cette poursuite qui est la notre, c’est Toi… Ce que nous imaginons, c’est Toi aussi »… Ce qui, en nous, imagine ou raisonne, c’est Toi également… Et cette prétention que nous atteindrons le bout de Toi, c’est bien Toi aussi !

Nous cherchons à atteindre ce que Tu nous as toujours offert, de suite !

Notre but n’est que de toujours mieux le recevoir… Toujours plus… Et encore bien plus !

Et cela jusqu’à « pas » de fin !

Lorsque je suis heureux de « prétendre », tout va bien : je suis heureux ! Et c’est bien là ma priorité ! C’est ma priorité absolue à moi… Et c’est, sans aucun doute pour moi, celle de tous les Êtres humains que je rencontre !

Allons ! Reconnaissons-le ! Nous n’avons tous qu’un seul but : être heureux !

Être heureux de ce qui est… C’est à dire être heureux de Toi, à cet instant !

Être heureux de ce qui a été… C’est à dire être heureux de Toi dans notre passé… Être heureux de toutes nos mémoires !

Être heureux de ce qui sera… C’est à dire être heureux de Toi dans notre futur, quel qu’il soit ! C’est à dire être heureux, à cet instant, de ce que nous imaginons ce que ce futur sera.

L’imagination ! Quel merveilleux Don que tu nous offres à chaque instant…

Simplement, osons imaginer ce que nous sommes le plus heureux d’imaginer, c’est à dire « Toi ».

Osons imaginer la Réalité Absolue que Tu Es… Sans jamais y arriver jusqu’au bout !

Là, je ne change pas de sujet… Mais je change la forme de mon sujet unique : Toi.

Ce Vrai Moi que Tu m’offres depuis toujours, Tu ne me l’offres pas personnellement… Tu me l’offres pour tous.

Et le plus important, c’est que je sois heureux… Par exemple, heureux de ressentir les douleurs qui sont venus un peu partout dans mon corps, une nouvelle fois, après mon Badaboum.

C’est une chance, pour moi, de souffrir pour aimer toujours plus. Il y a des souffrances douces… Il y a des souffrances violentes… Mais toutes, toutes ne sont faites que de Toi.

Je veux Te reconnaître de mieux en mieux… En tout !

C’est ainsi que je vois la vie : je ne veux voir que Toi !

C’est mon choix, conscient… Et, apparemment, comme tous les Êtres, je suis totalement têtu sur ce coup-là ! Cela fait des années, voir des vies, voir depuis toujours que je veux « ça »…

En fait, je ne veux rien plus que ça ! Vraiment rien !

Je ne veux voir que Toi.

Merci de me l’avoir, toujours, donné.