Les 8 Entretiens (3ème Partie du 3ème Entretien)

 Elle s’entraîne ? Que veux-tu dire ?

L’ombre cherche toujours la même chose : elle cherche à aimer quelque chose qu’elle n’a jamais aimé jusqu’à là…

Elle cherche à aimer quelque chose qu’elle avait, depuis longtemps, prétendu ne jamais aimer…

Et pour apprendre cette chose, si difficile pour elle, comment peut-elle faire ? 

Et bien, elle répète ! Elle répète ! Et elle répète encore… Jusqu’à y arriver !

Oui ! Mais en répétant toujours la même chose ?

La merveilleuse danse de l’ombre

Oui, c’est vrai ! Bien sûr ! En répétant toujours la même chose… Mais comment faire autrement ? Comment apprendre quoi que ce soit sans répéter ?

Comment s’entraîner à aimer l’ombre ? Sinon en essayant et en essayant encore, sans y arriver… Jusqu’à y arriver un jour…

Quand nous apprenons un mouvement de danse, comment fait-on ?

Nous le répétons !

Et il nous est dit, bien clairement, que même le jour du spectacle, nous n’avons pas fini d’apprendre ! Nous n’arrêtons pas d’avoir besoin d’apprendre et nous répétons, et nous répétons encore ! 

Et puis, à un moment donné, on présente le spectacle au public, dans cet état de devenir !

Oui, mais alors ? Tu répètes, tu répètes… Mais qu’est-ce qui a fait qu’à un moment donné, Tac ! ça change ?

C’est que, à ce moment là, l’accumulation des tentatives honnêtes d’aimer ce que nous prétendions ne pas aimer a enfin réussi… Et nous arrivons enfin à aimer ce que, jusqu’à là, nous n’aimions pas ! 

C’est exactement comme un enfant qui, un jour, réussi à marcher, alors que jusque là, malgré ses tentatives nombreuses, il n’y était pas encore arrivé…

Oui, mais tu n’en as pas conscience ! Tu n’as pas conscience que là, Tac ! tu l’aimes…

Notre État Originel

Tu n’en as pas conscience, parce que c’est « naturel » ! 

Aimer, c’est aussi naturel que de respirer… 

Et la plupart du temps, nous n’avons pas conscience que nous respirons parce que… « c’est naturel » !

Quand nous retombons dans notre « État Naturel d’Amour Inconditionnel », tout est simple à nouveau, nous ne faisons plus d’effort… Enfin.. ! Et tout d’un coup, il n’y a comme « plus rien » ! 

C’est comme un silence, une paix… et là nous avons l’impression de « ne pas faire d’efforts » … C’est facile !

Mais, il y a eu des milliers d’années d’efforts faits par l’ombre en nous en amont…

J’avais la sensation que c’était un peu comme une injonction… Tu sais ! À un moment, quand ça devient vraiment impossible ! Et que l’on ordonne à l’ombre de disparaître…

Il y a ça aussi : Et tac ! Nous y allons !

Oui, ce n’est plus possible de persister à ne pas aimer l’ombre ! Voilà !

Oui! Et tac ! Nous y allons ! Nous allons l’aimer tel quelle est, cet ombre…

Il y a sûrement différents aspects dans ce succès que nous n’arrivons pas à exprimer tous, dans leurs infinis détails…

Mais le résultat final, c’est que nous « retombons », nous retombons dans notre nature… Nous retombons dans notre propre Nature véritable qui est « d’être heureux » ! 

Ce bonheur, il exprime, à chaque fois, l’ouverture de notre conscience à la Lumière… et là nous faisons une expérience de la « facilité »…

En effet, là, sur cet aspect particulier de la vie que nous avons enfin réussi à aimer, nous avons fait un bond en avant… Naturel ! 

Dans ce domaine, dorénavant, nous pouvons toujours fournir des efforts, mais ce ne sera plus jamais des efforts désagréables ! Nous ne faisons que des efforts que nous sommes heureux de faire… 

Et c’est là l’expérience de notre véritable État Originel…

Mais, cela est-il possible ?

Voir les choses en face

Oui !

C’est possible ! Ce ne sont plus des efforts au sens ombreux du terme… Tu sais ? « À la sueur de ton front » ! Non, maintenant, ce ne sont plus des efforts au sens douloureux du terme ! 

Non, non ! Nous n’enfanterons plus dans la douleur ! Il n’y a plus aucune raison d’enfanter dans la douleur, que ce soit d’un enfant ou d’une réalisation quelconque… 

Et, pour chacun de nous individuellement, c’est tout à fait accessible dès aujourd’hui.

Mais, c’est vrai que cela demande de lâcher-prise sur de plus en plus d’aspects de l’ombre… Il s’agit bien d’apprendre à aimer, de mieux en mieux, toutes ces mémoires ombreuses ! 

Et cela, c’est justement, justement, ce qui nous a été tout à fait interdit depuis des millénaires par l’ombre elle-même…

Oui ! l’ombre nous avait interdit d’aimer quoi que ce soit…

Mais, là, tout un coup, nous nous retrouvons, de plus en plus souvent de l’autre côté du miroir… Et nous voyons les choses « en face », comme il est dit… et, maintenant, nous voyons que ce que nous regardons n’est « que » de la Lumière Elle-même… 

Et là, nous constatons que les efforts que nous faisons alors, nous sommes super heureux les faire.

Et alors ? Maintenant où est le problème ?

Mais, je pense qu’il n’y a pas beaucoup de problèmes, finalement ! Ça se résume à très peu de choses…

Mais il n’y a « pas » de problème du tout ! Il n’y a « aucun » problème !

La Réalité, c’est qu’il y a zéro problème dans la Création Divine…

Aimer s’agripper à notre rocher

C’est vraiment… 

C’est vraiment ce que je sens en rapport à un lâcher-prise, c’est comme si j’avais tout et que je m’accrochais à mon rocher : 

Je ne veux pas ! Je ne veux pas ! Je ne veux pas ! …

Mais, c’est bien normal ! « S’accrocher à ton rocher », comme tu dis, c’est, d’une part, vivre une répétition intense de la situation que tu es vraiment prête à aimer…

Et, d’autre part, refuser encore, cependant, très fortement de l’aimer… 

Alors là, tu répètes ! Tu répètes ! Tu répètes si intensément que c’est un peu comme une crise de tétanie !

Mais là, une chose que tu veux, parmi d’autres… Et que tu viens d’exprimer très clairement : c’est de t’aimer toi-même, y compris « quand tu t’agrippes à ton rocher » ! 

Ho la la ! … Mais alors là ! Là, tu m’as eu !

Et là, nous rions un bon moment…

He oui ! Mais c’est ça ! C’est pour ça que nous continuons à nous agripper !

C’est parce que nous ne nous sommes pas encore vraiment totalement reconnus comme Lumière lorsque nous sommes en train de refuser de lâcher prise sur ce rocher auquel nous nous agrippons !

Nous pensons que c’est encore un truc « à abattre », à détruire, chez nous !

Silence…

He bien, non ! Ce n’est pas à abattre, c’est à aimer ! 

Et si nous arrivons à l’aimer, si nous arrivons à aimer cet agrippement qui est le nôtre à « ce » rocher particulier, il va se détendre et même disparaître : nous le lâchons tranquillement… 

Et ensuite tu peux te dire : « Mais, comment je faisais ? C’est impossible ! Il y avait bien un rocher ? Et je m’y agrippais ? Mais où est-il ? »

Et là, maintenant, sur cet aspect particulier de ta vie, tu peux aller où tu veux quand tu veux, tu voles, mais il n’y a plus ce rocher auquel tu t’agrippais douloureusement !

Parce que, enfin, tu l’as aimé…

Oui, c’est vrai ! Il n’y a pas de raison !

La foi naturelle

C’est merveilleux ! En fait, c’est ça la vraie merveille… Ce ne sont pas les merveilles de l’ombre si tarabiscotées ! 

Non ! là, c’est une merveille lumineuse, simple, naturelle, originelle, que d’ailleurs tous les enfants que nous avons été, avant que nous n’ayons été trop rééduqués et que nos mémoires antérieures n’aient à nouveau investi nos corps énergétiques… ont vécu…

Silence…

Mais, c’est la foi aussi ?

Oui ! C’est « la Foi Naturelle » ! C’est la foi qui nous tombe d’en Haut !

Il n’y a aucun « effort » douloureux à accomplir pour la vivre…

Alors, là, c’est étonnant ! C’est vraiment le mouvement inverse de celui qui nous a été toujours prôné…

Oui ! C’est vrai… L’ombre a toujours prôné beaucoup « l’effort douloureux » … Elle a prôné toute cette souffrance pour aller de là où nous sommes à là où nous devrions, soi-disant d’après elle, être !

Alors que les Êtres les plus beaux, eux, nous ont toujours dit qu’être heureux c’est la chose la plus naturelle qui soit ! 

C’est l’ombre qui nous a fait croire qu’il fallait remplir des tas de conditions, impossible à réaliser, pour être heureux… Et bien sûr, que ceux qui nous le proposaient méritaient tout notre respect…

Mais, la Lumière, Elle… Elle nous dit : « Être heureux, c’est la chose la plus Naturelle… »

Responsables, nous avons choisi ; alors choisissons

On nous a appris à nous flageller… et…

Oui ! On nous l’a appris… On nous a appris… Mais nous, nous avons aussi, nous-même, beaucoup participé… à cette ombre ! 

Nous l’avons accepté et ensuite nous l’avons appris aux autres ! 

Nous avons été les artisans de notre propre labyrinthe dont nous avons, en réalité, construit chacun des murs…

Mais, nous avons cru, pendant des siècles, qu’il fallait faire ceci et encore cela, et encore ceci… pour être un jour, peut-être heureux… dans l’au-delà… Peut-être au Paradis !

Et là nous rions…

Mais, aujourd’hui, nous apprenons à ne pas nous en vouloir… 

Et nous ne nous en voulons plus d’avoir essayé de toutes nos forces de remplir toutes ces conditions que l’ombre, en nous et autour de nous, nous imposait pour être heureux… Bien sûr, sans jamais, mais vraiment jamais y être arrivé !

Nous avons été comme ça, oui, c’est vrai ! 

Et aujourd’hui, nous apprenons, chaque jour, à aimer notre passé… Et alors ? Lorsque nous y sommes arrivés, où est le problème maintenant ?

Le problème, c’est peut-être notre passé qui était si difficile à aimer.

Oui, mais pourtant ? Est-ce que Dieu, Lui, nous aime moins parce que nous sommes restés coincés dans notre labyrinthe pendant des millénaires ? 

Non ! pas du tout ! L’Amour Absolu est réellement « Absolu » et nous sommes Aimés sans aucune condition ! 

Nous avons été Aimés depuis toujours, même quand nous avons nié cet Amour… Nous avons été aimés lorsque nous avons eu peur, très peur, de ne pas l’être !

Tout est ouvert ! C’est l’Amour sans limite… et il faut simplement que nous osions le reconnaître… Et nous le reconnaissons de plus en plus simplement et de plus en plus confortablement… Sans plus de chichi !

Parce que l’Amour sans limite, c’est confortable !

Mais, moi, je suis assez concrète… 

Et actuellement, je me confronte, régulièrement, à une personne difficile et même insupportable ! Je suis pleine de bonne volonté, mais ce qui me perturbe beaucoup, c’est que chaque fois que je reviens chez moi je me dis : « Ho lala ! Qu’est-ce que ça me pèse ! Mais qu’est-ce que ça me pèse ! »

Comment veux-tu que j’aime ça ?

L’adorer en Tout

Eh bien, justement, quand « ça te pèse » !

Quand tu as répété « Ça me pèse » sans être heureuse de le répéter, chaque fois que tu revenais chez toi, tu exprimais, en fait, ce sentiment « Ça me pèse » que tu te proposais d’aimer et que tu étais en train d’essayer de réintégrer et de reconnaître comme la Lumière… Au lieu de le combattre !

Et tu as revécu ce sentiment autant de fois que nécessaire pour pouvoir arriver à l’aimer.

Ah oui ! D’accord ! C’est ça que je voyais en moi, mais ce n’était pas très clair…

Ce sentiment, « Ça me pèse », en fait, il ne doit pas ne pas te peser désagréablement ! 

Cela ne doit te peser que pour que tu sois heureuse que ça te pèse ! 

Et dès l’instant où tu es heureuse que « ça te pèse », ce poids n’est plus un poids au sens ombreux, traditionnel, douloureux, du terme…

Oui, mais là, j’ai du mal à faire la différence et à savoir où est le…

Il n’y a « pas » de différence à faire…

Non ? Pas de différence à faire ?

Je ne crois pas qu’il faille faire une différence car si tu cherches une différence, tu imagines une séparation…et tu imagines qu’un côté est mieux que l’autre… 

Et là, nous rions…

Évidemment, que je cherchais ça !

Alors là, tout semblait se compliquer ! 

Non ! Non ! C’est simple ! C’est vraiment simple… Il s’agit vraiment, simplement, de « tout aimer »… 

La proposition qui nous est faite, depuis toujours, c’est d’être heureux de tout ce que nous vivons… Parce que tout est Dieu Lui-même… 

C’est une adoration continue du Divin en Tout ! 

Abandonnons toute tentative d’opposer quelque chose au Divin Infini !

Adorons « ne pas y arriver »

Oui mais, justement, c’est ça qui me perturbe : parce que je n’y arrive pas !

Oui, c’est sûr ! Nous avons tous eu l’impression de ne pas y être arrivé tant que nous n’avons pas été heureux de « ne pas y être arrivé » ! 

Ah, non ! Là, tu exagères !

Eh bien oui ! C’est ainsi ! Nous avons répété, et répété encore, l’émotion « je n’y arrive pas » pour être, enfin un jour, heureux de « ne pas y être arrivé » … C’est pour cela que nous avons répété la situation de « ne pas y être arrivé » jusqu’à aujourd’hui !

Mais, je « veux » y arriver… J’en ai marre !

Bien sûr que tu veux y arriver et, en réalité, tu y arrives ! Si tu es honnête, tu es obligée de constater que tu y arrives de mieux en mieux… 

Honnête, tu ne peux pas faire autrement : la vérité c’est que tu es de plus en plus heureuse, de plus en plus ouverte ! Et cela de plus en plus souvent.

Oui, c’est vrai, je suis bien obligée de le reconnaître…

Et donc, tu arrives même de plus en plus souvent à être heureuse d’en « avoir marre » !

Et nous éclatons de rire…

Plus sensible aujourd’hui qu’hier…

Mais, aussi, bien sûr, tu es de plus en plus sensible et de plus en plus exigeante… C’est normal, ça va avec : ça fait partie du cadeau ! 

Nous ne voulons pas ne plus être sensible ! Nous voulons être de plus en plus sensible jusqu’à devenir, un jour, « absolument sensible » !

Il faudra simplement apprendre à gérer cette nouvelle sensibilité toujours plus grande, si belle et toujours plus grande encore…

Oui, il le faudra, bien sûr !

Mais, si tu veux, à chaque étape, à chaque nouvel aspect, il y a des myriades de mémoires qui se présentent au portillon de notre conscience… 

Mais attention, c’est une image : les mémoires ne se présentent pas une par une… elles n’arrivent pas par un petit trou, comme ça, à la queue leu-leu…

Non, c’est vrai, elles arrivent par paquet !

Tout cela peut nous sembler désordonné, mais les mémoires arrivent à notre conscience dans le bon ordre, c’est à dire l’ordre dans lequel nous sommes, à cet instant, le plus capable de les accueillir… L’ordre dans lequel nous sommes le plus capable d’envisager de les aimer.

C’est « l’Ordre Naturel Parfait » dans lequel on est prêt à les aimer, à les reconnaître pour ce qu’elles sont : Lumière Pure ! 

Mais, en même temps, par habitude, nous pouvons hésiter à les reconnaître, nous pouvons même résister à les reconnaître et continuer de les combattre… Alors qu’on est mûr pour pouvoir les aimer, c’est à dire que l’on est vraiment prêt à en être heureux !

Soyons Hercules

Et là, il y a une seule solution que décrit d’ailleurs très bien, par exemple, le beau mythe de l’Hydre de Lerne des 12 Travaux d’Hercules… En voici une version :

« Après avoir trouvé l’Hydre, ce monstre du mal aux multiples têtes horribles, Hercules a commencé à couper une première tête… et, aussitôt, deux têtes ont repoussé ! 

Alors, il a, avec sa force surhumaine, dans un combat terrible, coupé les têtes, les têtes, les têtes, les unes après les autres … Mais, à chaque fois, d’autres têtes repoussaient ! Et le combat s’est prolongé, et prolongé encore…

Cela aurait été sans fin, si Hercules n’avait pas eu, enfin, la bonne idée, la bonne attitude… et le courage aussi, de prendre à bras la totalité du corps du monstre, avec toutes ses multiples têtes si dangereuses qui repoussaient sans cesse… de le prendre donc, en entier, dans ses bras puissants et de l’élever, en entier, au-dessus de sa tête… et ainsi de l’offrir au Plus Haut !

Et, là, le combat s’est terminé, car l’Hydre a été guérie… par l’Amour »

C’est une belle version… L’image est belle… La solution de l’ombre est en effet toujours simple :

« Il faut simplement prendre tout… et tout aimer » !

Il suffit de reconnaître la Lumière en tout… Il nous faut tout rendre à la Lumière ! Il faut simplement « aimer notre ennemi », « aimer l’ombre » ! Aimer toute l’ombre !

Arrêtons d’imaginer des séparations partout ! 

C’est la même Lumière Absolue Éternelle qui constitue tout en tout.

Alors, là, oui, c’est simple ! 

Adorons

Ce grain de poussière que nous regardons là, sur le bureau, n’est que la Lumière. Alors, adorons la Lumière dans ce grain de poussière…

Adorons de plus en plus souvent : en mastiquant, en marchant, en posant notre main sur le bureau ou notre tête sur l’oreiller, en buvant… Adorons !

Tout ce qui existe n’est qu’une invitation à la conscience de la Lumière… et à l’adoration !

On nous avait dit que non et qu’il y avait des moments ou des lieux plus sacrés que d’autres : par exemple quand nous méditions ou bien quand nous étions dans un certain endroit où il y avait, soi-disant, plus de Lumière… etc… 

Et puis, on nous avait dit que pendant les autres moments de notre vie ou dans les autres lieus, nous perdions notre temps, car nous étions loin de la Lumière…

Mais, comment pouvons-nous ne pas être dans la Lumière à chaque instant et en tout lieu, alors que cette même Lumière est Une, Omniprésente et Infinie ?

Tout à fait ! Et j’en ai conscience lorsque je suis à côté de cette amie difficile dont je t’ai parlé plus haut, mais… Mais, je n’ai pas dû y arriver parce que quand je revenais, je n’étais pas bien !

La bonne distance

Oui, mais, tout cela étant dit, il t’est peut-être proposé, à un moment donné, d’apprendre à être heureuse de prendre du recul, face à une situation…

Il y a, en effet, plein de petits aspects différents à aimer dans toutes les situations que nous vivons ! 

Par exemple, nous pouvons apprendre parfois à être plus heureux de reculer d’un pas que de continuer à avancer… ou bien d’être heureux de doser nos rencontres. 

Trouvons toujours la dose, ou la distance, à laquelle nous sommes, pour l’instant, le plus confortable, c’est à dire le plus heureux d’être… par rapport à une situation.

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