Allez ! Encore aujourd’hui, bien sûr, je vais jouer un peu, par écrit, au BeHappy… Et, donc, je ne vais écrire là que ce que je suis le plus heureux de penser… pour la simple joie de le penser…
Je vais le faire de mon mieux… Et jouer ainsi, encore, une petite partie de ce jeu que j’aime tant depuis plus de 50 ans… et qui a tant enrichi ma conscience, si simplement.
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D’abord, je vais répéter que le but de ma vie et de celle de tous les Êtres que je rencontre, depuis toujours sans une seule exception, c’est d’être heureux…
Mais, attention, ce n’est pas seulement le cas des Êtres humains… Non ! C’est le cas de tous les Êtres qui forment cette planète et tout cet univers.
En tous les cas, sur notre terre, c’est sûr, c’est le cas de tous les Êtres minéraux, de tous les Êtres végétaux, de tous les Êtres animaux… et bien sûr de tous les Êtres humains.
Mais, c’est vrai, seuls les Êtres humains, grâce à leur libre conscience, à leur libre arbitre, ont pu choisir d’en perdre la conscience… ou pas !
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Mais, monsieur, comment pouvez-vous vous permettre de dire tout cela ?
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Je me le permet, parce que je choisis de ne penser que ce que je suis le plus heureux de penser… C’est tout ! Je le choisis complètement arbitrairement…
En effet, je ne veux croire que ce que je suis le plus heureux de croire !
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Mais, monsieur, vous ne pouvez pas penser n’importe quoi ! Vous ne pouvez pas croire n’importe quoi !
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Si, bien sûr, je le peux ! Comme tous les Êtres humains, je peux croire n’importe quoi… Je me reconnais la Liberté de penser ce que je veux…
Mais, en ce qui me concerne, je choisis de penser, chaque jour mieux, ce qui me plaît le plus.
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Mais comment pouvez-vous faire cela ? Vous n’en avez pas le droit !
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Et vous, là, qui pensez que je n’en ai pas le droit… D’où tirez-vous l’autorité pour penser me l’interdire ?
Bien sûr, comme moi, vous êtes libres de penser ce que vous choisissez de penser… Mais là, là, êtes vous vraiment heureux de me dire que je ne suis pas libre de penser ce que je veux ?
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… Non, c’est vrai, je ne le suis pas vraiment ! Mais je dois vous le dire, parce que c’est la vérité !
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Mais, qui décide de ce qui est vrai et de ce qui est faux ?
Il est beau que chacun choisisse de penser ce que « lui » est heureux de penser…
Mais est-il juste de vouloir imposer sa pensée à quelqu’un d’autre ? Est-ce que chacun n’a pas le droit de penser librement ?
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Si, bien sûr, au fond de moi, je pense que chacun est libre de sa pensée.
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Nous sommes bien d’accord !
Eh bien, moi, ici, je suis heureux de penser que chacun est libre de penser ce qu’il est le plus heureux de penser… Mais qu’il est même libre, ,également, de penser ce qu’il n’est pas heureux de penser !
Bref ! Chacun est libre d’être heureux ou pas.
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Mais, les gens ne peuvent pas toujours choisir… Ils ne peuvent pas toujours penser ce qu’ils sont heureux de penser.
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Ah bon…? Il y a des Êtres humains qui peuvent choisir d’être heureux et d’autres qui ne le pourraient pas ? Ou bien y a-t-il des Êtres humains qui peuvent choisir d’être heureux à certains moments de leurs vies et pas à d’autres ?
Et vous, êtes-vous vraiment heureux de penser tout cela ?
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Je suis obligé de reconnaître que « non », cela ne me réjouit pas de le penser. Mais c’est ainsi !
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Il y aurait alors des gens supérieurs qui pourraient choisir la façon de vivre leur vie et des gens inférieurs qui ne le pourraient pas ?
Il y aurait donc des maîtres qui décident de ce qui est juste pour eux et des esclaves qui ne peuvent que subir leur volonté ?
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Non, bien sûr ! Ce n’est pas ce que je voulais dire… Je serais heureux de croire que chacun est libre de vivre sa vie comme il l’entend.
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Ah ! Enfin, vous devenez plus raisonnable… Et alors, là, n’avez-vous pas pensé ce que vous étiez un peu plus heureux de penser ?
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Si, c’est vrai, je peux dire que je pense là ce que je suis le plus heureux de penser… Je le reconnais.
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Alors, bienvenu dans votre état naturel… Bienvenu parmi les gens heureux !
L’Amour est-il vraiment impossible ? N’existe-t-il pas dans la vie réelle ? N’est-il pas notre quotidien ?
Serai-je heureux de penser cela ?
Non ! Clairement « non » !
Ce que je suis heureux de penser, c’est que l’Amour existe tout le temps et partout… Qu’il est ma vie… Qu’il est la vie de tout.
Ça, je suis vraiment heureux de le penser !
Parfois les gens se laissent aller dans leur désespoir et ils peuvent en arriver à penser que l’Amour véritable n’existe pas sur cette terre…
Et certains peuvent penser même que ce n’est qu’après leur mort que, peut-être, ils pourront vivre le bonheur, dans un soi-disant paradis, s’ils ont rempli, au cours de cette vie toutes les conditions nécessaires édictées par une autorité quelconque.
Et il y a encore d’innombrables autres théories.
Quelle souffrance que tout cela !
Mais, chacun n’est-il pas libre de choisir ce qu’il pense ?
Ce que j’aime penser à cet instant, c’est que seul l’Amour est possible… Qu’il n’y a que Lui qui existe et ceci sans aucune condition.
Mais, une des choses qui donne l’impression, à beaucoup, que les Êtres humains ne s’aiment pas, c’est que la souffrance est bruyante et que l’Amour, lui, est discret.
La merveilleuse souffrance nous signale instantanément que nous venons de perdre conscience de l’Amour Omniprésent… Et pour attirer notre attention, elle se fait toujours de plus en plus bruyante.
Mais, l’Amour, Lui, est l’expression naturelle de la Lumière… Et comme Elle, Il est Omniprésent… Et comme Elle, il est sans condition… Aucune condition.
Toute la création exprime l’Amour… Elle n’exprime « que » l’Amour…
Et si nous nous calmons, nous ne voyons que Lui… Et alors, nous ne « vivons » que Lui.
L’Amour, le véritable, ne s’affiche pas… Il Est.
Il est là, tout le temps, partout, discret, mais nous ne pouvons le voir que si nous avons foi en Lui.
Quoi que nous en pensions, l’Amour dirige la terre et tout l’univers.
Mais, soit nous en sommes conscients et nous nous en réjouissons, soit nous en perdons la conscience et nous ne pouvons alors nous en réjouir.
Se plaindre, c’est toujours se plaindre de Toi, la Vie Éternelle, l’Amour Omniprésent qui imprègne l’Existence Infinie.
Je suis si heureux de vivre cette vie-ci, malgré toutes les difficultés que j’ai pu imaginer avec l’aide de beaucoup de mes frères et soeurs humains, au cours de nos vies successives.
Mon espoir est qu’avec l’aide de tous, nous allons « vivre » de plus en plus consciemment l’Amour Parfait qui ne sera jamais déçu.
Rien ne peut décevoir l’Espoir Réel qui ne s’appuie que sur l’Amour de Tout et la Foi en Toi.
Le Véritable Paradis n’est-il là ? Maintenant ?
Quel plaisir de penser ce que nous sommes les plus heureux de penser… et quelle simplicité !
C’est si compliqué de continuer à souffrir en pensant ce que nous ne sommes pas heureux de penser… C’est compliqué pour nous et pour tous les Êtres qui nous entourent.
Soyons courageusement heureux de la vie telle qu’elle nous est offerte à cet instant et telle que nous choisissons de la vivre.
C’est tellement plus économique pour tous que nous soyons heureux à cet instant.
Oui, Ta Lumière se sait Lumière en toute choses, même en celles qui nous semblent les plus sombres, à nous les Êtres humains, lorsque nous perdons conscience de Toi…
Je veux dire, par là, que si Ta Lumière est Éternelle, ce qu’Elle est, même dans l’ombre que nous avons choisi de croire la plus sombre, il ne peut y avoir « que » Ta Lumière…
Il est vrai que, trop souvent encore, nous perdons conscience de Ta Lumière dans cette ombre que nous imaginons.
C’est même comme cela que nous la créons : en perdant conscience de l’Absolue Infinité de Ta Lumière.
Mais, heureusement, notre perte de conscience ne fait pas disparaître Ta Lumière qui est Éternelle et Omniprésente… Elle ne L’a fait disparaître qu’à notre conscience !
Chaque homme n’a, pour l’instant, qu’une connaissance très limitée de lui-même et il connaît encore moins les autres.
Déjà, dans cette vie-ci, la simple vie que nous vivons en ce moment, nous avons perdu la mémoire de la plus grande partie de notre existence passée, depuis notre dernière naissance.
Souvent nous ne nous souvenons même pas de ce que nous avons vécu hier ou même il y a une heure… Que dire de ce que nous avons vécu dans notre enfance ou bien, encore plus, dans nos vies antérieures !
Certains pourront répondre que : si, ils ont quelques souvenirs clairs de leur enfance ou d’autres vies !
Et en effet, nous avons, presque tous, le sentiment de nous souvenir de certains faits importants de notre enfance ou d’une autre époque du passé de notre vie vie actuelle ou vie ancienne… ! Oui, c’est vrai, mais…
Mais d’abord, dans mon expérience personnelle, j’ai remarqué que si une autre personne et moi-même décrivions une scène que nous avons vécue ensemble, dans notre passé commun, même récent, nous n’avions jamais la même description… Et souvent nos descriptions étaient très, très éloignées l’une de l’autre.
Alors, quel est le souvenir juste ? Le mien ? Celui de l’autre ?
Nous n’avons pas la réponse…
Cela a toujours été le cas, et particulièrement si les émotions liées à ces évènements étaient intenses ou douloureuses.
Et cette différence de mémoires existent encore aujourd’hui, et ceci malgré les capacités de mémoires toujours plus grandes que permet l’évolution des techniques, les plus performantes, que sont les enregistrements, les photos, les vidéos et l’internet, pour ne parler que d’eux…
Mais nous ne pouvons, tout simplement pas, revivre le passé… Nous pouvons en aimer ou ne pas en aimer la mémoire, mais nous ne pouvons pas le revivre.
Nous ne pouvons qu’en observer les mémoires nécessairement déformées de façon nouvelle à chaque nouvel instant…
Et dans ce présent, seul vivant, nous pouvons choisir d’en être heureux ou pas.
C’est un fait qui n’a pas d’exception : nous interprétons toujours le passé.
Nous le voyons, ce passé, toujours, déformé par tous les évènements qui se sont passés entre lui et le présent… Mais également toujours déformé par ce qui a été vécu avant ce passé… Et enfin, déformé par toutes les imaginations que nous avons à propos du futur.
Ceci est nettement observable dans toutes les situations qu’elle soit propres à une personne, ou bien à un groupe de personnes, que ce groupe soit petit comme une famille ou grand comme un pays, ou même comme l’humanité toute entière.
L’histoire ne peut pas être totalement objective… Elle ne peut qu’être interprétation… Et c’est chacun de nous , à cet instant, qui choisissons « cet » interprétation.
Mais, il est évident que plus l’historien est heureux, plus il pourra, probablement, se rapprocher de la vérité à propos de la description des évènements passés.
D’un autre côté, plus l’historien souffre, plus il y aura, dans sa mémoire une déformation importante de ces mêmes faits passés.
Donc, le bonheur, en plus de ses nombreux autres avantages, a celui d’avoir du passé une mémoire plus juste, mais sans que jamais, cependant, elle puisse être parfaite.
En effet, le présent seul est « La » Vérité. Et il ne le restera que pendant cet instant vécu.
Oui, seul l’instant vécu est vrai à cet instant… et seulement à cet instant. L’instant d’après, cet instant est une mémoire, le plus souvent interprétée et donc déformée.
Donc, la seule mémoire « juste » que nous ayons, c’est cet instant-même que nous sommes en train de vivre…
Et cette mémoire juste de cet instant, elle meurt à l’instant suivant.
Ce concept, je le découvre moi-même maintenant, en y pensant et en écrivant.
L’instant seul existe… Finalement, notre existence ne dure qu’un instant. Nous naissons et nous mourrons à l’instant même où nous existons.
Et c’est à cet instant présent, seulement, que nous interprétons notre passé et imaginons notre avenir.
En ce sens, nous pouvons nous amuser à nommer cet instant « l’Instant Éternel » qui, d’une part, est unique dans tout l’univers et, d’autre part, va se « réincarner » en l’instant suivant pour toujours… C’est une succession éternelle d’instants, tous uniques.
J’aime jouer à penser, comme je le fais ici, une fois de plus, maintenant. C’est simple, agréable et enrichissant.
Lorsque je pense ce que je suis le plus heureux de penser, je découvre toujours de nouveaux aspects du Tout que Tu Es…
Et ces nouveaux aspects m’interrogent toujours, encore plus, sur le reste du Tout que Tu Es !
L’Infini de ce Tout, se déroule dans notre conscience, instant par instant.
L’opposition entre l’Éternité et l’Instant est une vue de notre esprit trompée par l’ombre qu’il a lui-même imaginée.
Ce qui me plaît, là, c’est de croire que le Tout est, à la fois, Éternité « et » Instant » en Un, c’est à dire en Lui-même.
L’Unité du Tout me rassure…
Mais la Diversité du Tout me rassure tout autant…
Voyons ! Qui choisit d’être rassuré face à cette Unité et à cette Diversité du Tout que Tu Es, si ce n’est l’Être humain que je suis ?
L’immensité, d’une part des choix que l’Être que je suis a fait, et d’autre part des choix que tous les autres Êtres ont fait de leur côté, ont déterminé l’instant présent que je vis.
Mais, le libre arbitre dont je jouis depuis que je suis Être humain me permet de choisir la couleur de cet instant que je vis.
Et la couleur dans laquelle je choisis de vivre cet instant présent participe à la mémoire de tous les futurs possibles de tous les Êtres.
Ta Lumière est l’Existence Elle-même.
Tout ce qui existe existe « de Ta Lumière ».
Rien n’existe en dehors de Ta Lumière, même, si depuis que nous sommes humains, nous avons pu, grâce à un usage maladroit de notre libre arbitre, imaginer que c’était le cas.
D’ailleurs, dès que nous l’imaginons, « notre merveilleuse souffrance » nous signale notre erreur… et elle continue à le faire jusqu’à ce que nous reconnaissions que tout, tout, n’est que Ta Lumière… y compris la Souffrance imaginée.
Oui, nous vivons, instantanément, ce que nous imaginons.
Le Paradis n’est pas la fin de la vie. Le Paradis est « la » Vie… La Seule Vie qui Soit.
Le Paradis n’est pas ailleurs, Il est toujours ici, sur cette terre chaque fois que nous « vivons » Ta Lumière en Tout.
Le Paradis est simplement la Vie que nous vivons chaque fois que toute la mémoire de l’ombre que nous imaginons est Aimée.
Le Paradis est impossible à décrire lorsque nous en perdons la conscience… Mais, Il occupe toute notre conscience lorsque nous y sommes.
Ne pas être au Paradis, c’est une illusion… Cette illusion cesse chaque fois que nous y sommes.
Car, en effet, nous ne sortons jamais du Paradis, nous perdons seulement conscience que nous y sommes.
Le Paradis, c’est le présent lorsque ce présent aime la totalité du passé et de l’avenir.
Nous vivons le Paradis chaque chaque fois que nous choisissons d’adorer Ta Lumière en toute chose.
Et, c’est un fait, nous vivons Ton Paradis de plus en plus souvent.
J’écris tout ceci d’abord par ce que je suis heureux de l’écrire et de le lire et même de le relire encore moi-même…
Mais, j’écris également tout ceci pour inviter le lecteur à être, s’il le veut un jour, heureux de le lire… ou heureux de ne pas le lire !
Je souhaite être heureux, toujours plus heureux… Et je le suis.
Je souhaite aussi que le lecteur soit toujours plus heureux… Et il l’est.
Comment je le sais ?
Je le sais parce que je ne choisis de savoir que ce que je suis le plus heureux de savoir…
Ma pensée est mon savoir… Et je vis ce que je sais.
Je remercie le libre arbitre qu’Il m’a donné il y a quelques milliers d’années… Et j’apprends à en faire un usage toujours meilleur pour tous.
Et j’ai fait une nouvelle chute en vélo ! Est-ce dû à un moment d’inattention ? Ou bien à une grande attention, mais mal dirigée ?
Je ne sais pas ! Mais, en tout cas : ça a été Badaboum ! Et je me suis retrouvé tout emmêlé dans mon vélo… Lui et moi, nous ne faisions, vraiment, plus qu’un ! Heureusement que l’on m’a aidé à m’en démêler…
Et au début, aucune douleur ! Mon corps s’est auto-shooté à l’adrénaline…
Et pourtant, il y a eu un bon choc ! Je l’ai réalisé plus tard… Mais, mon corps m’a protégé de la douleur, pour un temps… Le temps de faire face à un autre danger éventuel ? Le temps dont l’animal, que je suis toujours, à besoin pour se mettre en sécurité… et pouvoir guérir, peut-être, de son erreur ?
D’abord une stupéfaction ! Je ne m’y attendais pas… Je ne m’y attendais vraiment pas ! Et puis, une petite colère de vexation ! Je croyais que je ne tomberai plus jamais en vélo… Je croyais que j’avais compris comment être en sécurité en vélo… Je me croyais sage !
Désillusion…
Certainement que j’étais sage… Mais, jusqu’à un certain point, seulement !
Toi, Lumière, Tu es la seule Sagesse qui soit Infinie, Absolue.
Notre sagesse à nous, c’est ce que nous vivons lorsque notre conscience s’ouvre encore un peu, une fois de plus, à Toi !
Je me disais : « Christian, tu sais maintenant comment être prudent en vélo ! Depuis quelques années que tu fais du vélo régulièrement, tu es tombé 8 fois… C’est bon ! Tu as bien compris comment faire pour ne plus tomber.
Eh bien non… Je n’avais compris qu’un tout petit peu plus !
Mais, en fait, il ne s’agit pas seulement que de vélo… Il ne s’agit pas seulement que de ne plus blesser mon corps… Il s’agit de grandir en conscience de Toi… Et là, je n’arriverai jamais au bout du Vrai Moi que Tu m’offres… Jamais !
Je mourrai… Toujours, je mourrai à nouveau !
Je mourrai à chaque instant que je vis… C’est sûr !
Je peux même dire que je quitterai ce corps à chaque instant… Un corps n’est jamais acquit… Il ne dure qu’un instant… Un instant infiniment court.
Tu me le donnes à chaque instant… Et, de mieux en mieux, à chaque instant, j’arrive à Te l’offrir !
Nous sommes un mariage, toujours plus parfait, de Ton Infinitude et de Ta Finitude…
Il ne faut vraiment pas que je l’oublie ! Ou plutôt, pour dire plus vrai, il faut que je l’oublie de moins en moins : « Tu Es Tout »… Tu es « vraiment » Tout… Tu es plus Tout que nous ne pourrons jamais T’imaginer…
Mais cependant, je ne veux pas m’arrêter d’imaginer ce que je ne pourrai jamais imaginer jusqu’au bout… Et j’en suis de plus en plus heureux.
Arriver à être de plus en plus heureux de l’Échec Éternel ! Et au même instant, être heureux de la Réussite Éternelle ?
L’échec et la réussite sont complètement emmêlés ! Bien mieux que mon corps avec le vélo, lors de mon « Badaboum »…
Eh oui ! Mon Vrai Moi, c’est Toi…
Alors, je ne suis pas prêt d’en arriver au bout ! En Réalité, je n’arriverai vraiment jamais au bout ! Et je le sais au plus profond de moi…
Mais, en surface, de moins en moins souvent, il est vrai, mais encore très, très, souvent, je l’oublie…
Eh oui, je ne suis, jamais, au bout de rien ! Car, c’est Ton Infini que Tu me proposes de vivre… à chaque instant.
Ils sont innombrables, les moments, où depuis que je suis un Être humain, j’ai prétendu être arrivé « au bout » de quelque chose !
Au bout de quelque chose ? Mais n’Es-Tu pas Tout ?
Donc, j’ai prétendu un nombre infini de fois être arrivé au bout de Toi ? Au bout de Toi qui est Tout ? Quelle prétention !
Une prétention Infinie ?
Mais là, quand je dis « Infini », est-ce que je sais vraiment ce que je dis ? Ton Infini, sous ses Formes Infinies, je n’y ai jamais rien compris… C’est Ton Mystère. Et, finalement, je ne le comprendrai jamais…
Tu entends Christian ? « Jamais ».. !
J’entends ! Mais je ne peux pas le comprendre… Je ne peux qu’essayer de le comprendre… Je ne peux qu’essayer d’imaginer que je le comprends…
Oui ! Le bout de Toi, c’est toujours plus :
Toujours plus loin… Toujours plus haut… Toujours plus bas… Toujours plus dedans… Toujours plus dehors… Toujours plus vrai… Toujours « plus moins » ! …
Tu es ce « Bout », ce bout que nous poursuivrons toujours ! Nous l’imaginerons toujours ! Et nous imaginerons toujours que nous pouvons l’atteindre, en sachant, raisonnablement, que nous ne l’atteindrons jamais.
Mais, finalement , ce bout, c’est Toi… Cette poursuite qui est la notre, c’est Toi… Ce que nous imaginons, c’est Toi aussi »… Ce qui, en nous, imagine ou raisonne, c’est Toi également… Et cette prétention que nous atteindrons le bout de Toi, c’est bien Toi aussi !
Nous cherchons à atteindre ce que Tu nous as toujours offert, de suite !
Notre but n’est que de toujours mieux le recevoir… Toujours plus… Et encore bien plus !
Et cela jusqu’à « pas » de fin !
Lorsque je suis heureux de « prétendre », tout va bien : je suis heureux ! Et c’est bien là ma priorité ! C’est ma priorité absolue à moi… Et c’est, sans aucun doute pour moi, celle de tous les Êtres humains que je rencontre !
Allons ! Reconnaissons-le ! Nous n’avons tous qu’un seul but : être heureux !
Être heureux de ce qui est… C’est à dire être heureux de Toi, à cet instant !
Être heureux de ce qui a été… C’est à dire être heureux de Toi dans notre passé… Être heureux de toutes nos mémoires !
Être heureux de ce qui sera… C’est à dire être heureux de Toi dans notre futur, quel qu’il soit ! C’est à dire être heureux, à cet instant, de ce que nous imaginons ce que ce futur sera.
L’imagination ! Quel merveilleux Don que tu nous offres à chaque instant…
Simplement, osons imaginer ce que nous sommes le plus heureux d’imaginer, c’est à dire « Toi ».
Osons imaginer la Réalité Absolue que Tu Es… Sans jamais y arriver jusqu’au bout !
Là, je ne change pas de sujet… Mais je change la forme de mon sujet unique : Toi.
Ce Vrai Moi que Tu m’offres depuis toujours, Tu ne me l’offres pas personnellement… Tu me l’offres pour tous.
Et le plus important, c’est que je sois heureux… Par exemple, heureux de ressentir les douleurs qui sont venus un peu partout dans mon corps, une nouvelle fois, après mon Badaboum.
C’est une chance, pour moi, de souffrir pour aimer toujours plus. Il y a des souffrances douces… Il y a des souffrances violentes… Mais toutes, toutes ne sont faites que de Toi.
Je veux Te reconnaître de mieux en mieux… En tout !
C’est ainsi que je vois la vie : je ne veux voir que Toi !
C’est mon choix, conscient… Et, apparemment, comme tous les Êtres, je suis totalement têtu sur ce coup-là ! Cela fait des années, voir des vies, voir depuis toujours que je veux « ça »…
En fait, je ne veux rien plus que ça ! Vraiment rien !
Je présente là, en l’état, comme je les ai écrites ce jour-là, les phrases que j’ai pensées au cours de cette partie de BeHappy que j’ai joué, tout seul, le matin du Samedi 3 Février 2024…
Il est 9 heures 07… C’est un bon moment pour commencer à écrire pendant une demi-heure, non stop, ce que je suis le plus heureux de penser… et d’écrire.
Une demi-heure à penser, le mieux que j’en suis capable, à partir de mon Âme… et d’écrire.
Allez, on y va ! … Non stop ! Tranquillement…
Y-a-t-il un meilleur moment que tout de suite pour être heureux ?
Non !
Chaque instant et le meilleur pour être heureux… Et cet instant-ci est Parfait pour être heureux de penser à Toi… Pour être conscient que je ne pense que Toi.
La pensée que je suis le plus heureux de penser ces temps-ci, c’est :
« Tu Es Tout »
Par exemple, « Tu Es » mon petit doigt de ma main gauche qui courre sur le clavier pour écrire le « A », le « Q » et plus rarement le « W » …
Mais, « Tu Es » aussi l’émotion que je suis en train de vivre : émotion de satisfaction de voir le ciel bleu et les rayons du soleil, par la fenêtre ouverte…
Rien de ce qui est n’est pas Toi ! En dehors de Toi, rien n’existe… Tu Es l’Existence-même !
Si quelque chose existe, c’est Toi… Ce ne peut être que Toi !
Et ceci, que j’en ai conscience à cet instant ou pas.
Mais, là, par exemple, cette trace de postillon que je vois sur mon écran d’ordinateur, c’est également Toi… Autant Toi que mon amour le plus élevé que je vis pour ma compagne.
Si Tu Es Tout, rien n’est moins Toi que tout autre chose !
Cela me plaît toujours plus de penser cela : « Tu Es Tout » !
Et puis toutes les conséquences de cette pensée si simple m’émeut toujours agréablement… Et, je m’en régale !
Par exemple, une des conséquences, c’est que toutes les pensées que nous n’avons pas été heureux de penser disparaîtront en tant que souffrance…
Je veux dire qu’elle révèleront leur Réalité, c’est à dire Ta Réalité… Elles révèleront qu’elles ne sont que Toi, comme tout ce qui est…
Alors, nous sommes heureux de les avoir pensées… Et nous sommes heureux de ne pas avoir été heureux de les avoir pensées !
Cela est si simple ! Tout n’est que Ta Lumière… et je veux le reconnaître toujours plus…
Chacune de nos mémoires, n’est faite que de Toi… Et je le reconnais, aujourd’hui, de mieux en mieux.
Je n’ai fait que « Te » vivre… Tout ce qui existe n’a fait que « Te » vivre…
À aucun moment quelque chose a existé qui n’était pas Toi, La Lumière…
Mais alors, ce que nous avons appelé le « mal » n’est-il que Toi ?
Oui ! À mon point de vue, actuel, le mal n’est que Toi dont nous avons perdu conscience.
« C’est notre conscience qui fait toute la différence »
Le mal n’a donc résulté que du choix de notre conscience…
Le mal n’a été que notre perte de conscience de la Réalité Absolue que « Tu Es Tout » …
Et là, à partir de cette perte de conscience, tous nos raisonnements ont été de l’ombre raisonnée, du mal raisonné, souvent d’une façon très intelligente…
En effet, l’ombre sait se faire belle.
Et là, aussitôt la douleur est venue nous signaler notre perte de conscience de Toi !
En effet, la douleur, c est Ton Don pour nous permettre de ne pas perdre plus conscience de Toi ! C’est Tout !
La douleur est Ta Bénédiction qui nous accompagne dès que nous imaginons une distance et un labyrinthe pour pouvoir arriver à Toi…
Et chaque mur de ce labyrinthe est une pensée que nous ne sommes pas heureux de penser… C’est à dire une pensée qui, grâce au Libre Arbitre que Tu nous donnes, imagine que Tu n’es pas Tout !
Et chaque mur disparaît dès que nous osons être heureux de l’avoir pensée…
Chaque mur du labyrinthe est imaginaire… Il résulte de l’usage maladroit de notre Libre Arbitre pour penser ce que nous ne sommes pas heureux de penser.
Les Êtres humains sont, en effet, des Libres Consciences merveilleuses !
Choisissons librement de penser ce que nous sommes les plus heureux de penser… à propos de tout, c’est à dire, toujours, à propos de Toi !
Et voilà, à cet instant, ce que je suis heureux de penser :
Je suis en totale sécurité dans ma vie, dans cette Vie Parfaite que Tu m’offres à chaque instant, depuis toujours.
Je suis également heureux de penser : il n’y a aucune faille dans Ton Amour… Il est Parfait ! Et je le sens à chaque instant où je choisis de le sentir.
Chaque instant que je vis, c’est Toi !
Je ne peux vivre que Toi !
Je ne vis que Toi !
Cela peut encore paraître choquant pour ceux qui, depuis des millénaires, sont habitués à penser que Tu n’es pas Tout depuis toujours et qui continuent, peut-être, à le penser.
Mais pour les jeunes enfants dont les corps énergétiques n’ont pas encore été ré-habités par la totalité de leurs mémoires, et qui n’ont pas encore été trop éduqués, c’est une évidence !
Il semble bien qu’à chaque nouvelle naissance, nous est donné une chance de re-croire en Toi comme étant Tout…
Mais, il est vrai que la pression de nos éducateurs adultes et de nos mémoires qui réinvestissent nos corps énergétiques est grandes… très grande !
Et la plupart d’entre nous repartent rapidement pour un tour supplémentaire de souffrances… Ce qui n’est ni obligatoire, ni nécessaire.
En effet, la souffrance n’est pas obligatoire… Il n’y a aucune pression qui puisse s’exercer sur nous pour nous interdire absolument de vivre, heureux, cet isntant que nous vivons.
Nous ne sommes faits que de Toi et nous ne sommes entourés que de Toi !
Je ne croirai jamais autre chose que ce que je suis le plus heureux de croire à cet instant.
Je penserai toujours plus ce que je suis le plus heureux de penser à cet instant.
Je choisis d’écrire mon avenir avec Toi qui Es Tout.
Oui ! Que mon avenir soit écrit par Toi.
Ton Amour est Parfait et Absolu…
Et Tu n’exerces aucune pression quelle qu’elle soit sur moi… Tu m’aimes et puis c’est Tout !
Tu respectes Absolument le Libre Arbitre que Tu me donnes…
Tu ne sais pas donner la moitié de Toi-même… Tu ne sais donner que Tout Toi-même.
En Toi et par Toi, je suis Absolument Libre…
L’Être que je suis est Corps-Âme-Pensée en Lui.
Et aucun de ces 3 aspects de moi n’est, en aucune façon, séparé des autres.
Mon Corps n’est pas autre chose que ma Pensée et mon Âme.
Nous n’avons pu que les « imaginer » séparés… Mais ils ne l’ont jamais été ! Ils sont « Uns », comme tout ce qui est Toi, c’est à dire comme « Tout » !
Mon Corps ne peut évoluer qu’en « Unité Absolue » avec l’Âme qu’il est et la Pensée qu’il est.
Par exemple, mon Corps ne peut pas retrouver sa santé naturelle, sans que ma pensée ne pense selon mon Âme.
L’Union de l’Âme, de la Pensée et du Corps, c’est Toi.
En perdant conscience que « Tu Est Tout », Nous avons pu imaginer que l’Âme, la Pensée et le Corps étaient séparés…
Mais, puisque « Tu Es Tout », l’Âme, le Corps et la Pensée sont « Toi » et seulement « Toi » … Ils ne sont que des manifestations de Ton Unité Absolue.
Et ils sont donc vécus comme Un, quoique nous « pensions » !
Et mon Corps évolue en Union Absolue avec ma Pensée et mon Âme…
Tout ce qui est, est à la fois Corps, Âme et Pensée.
Rien ne peut être que Corps, ou que Pensée ou qu’Âme !
La Pensée ne peut pas être sans Corps et sans Âme.
Toute Pensée est à ce même instant Corps et Âme.
Ce n’est pas un parallélisme… C’est une Unité.
Et chaque fois que ma pensée change, mon Corps change et mon Âme change.
Chaque instant est un vécu Âme-Corps-Pensée à ce même instant.
À aucun moment, une Âme ne s’est élevée sans une évolution de la Pensée et un mouvement du Corps…
Nous avons pu penser, imaginer, qu’une séparation existait… Mais Tu Es Tout… Et l’Union Lumineuse de Tout est la Seule Réalité !
Mais, dès que nous avons pensé une séparation ombreuse, Tu nous offres le Don de souffrir qui nous invite, « à la fois », à penser ce que nous sommes les plus heureux de penser, à vivre corporellement ce que nous sommes les plus heureux de vivre, et à aimer en l’Âme comme nous sommes les plus heureux d’aimer.
La souffrance est Ton Amoureuse Invitation à ce que nous réalisions que Tu Es encore plus Tout que ce que nous avions cru, jusqu’à là.
Nous ne courrons pas après l’Union, nous sommes Un depuis toujours… Mais nous tentons, sans cesse, de reprendre plus conscience que nous sommes Un depuis toujours et pour toujours.
Nous ne courrons pas après Toi, mais nous nous rappelons toujours plus que nous sommes en Toi, Éternellement en Toi…
Quelle joie que de vivre !
Quelle joie de souffrir pour me rappeler que Tu Es Tout !
Cette souffrance que je vis n’est pas obligatoire, mais elle est nécessaire chaque fois que je perds conscience que Tu Es Tout… Elle me ramène à la conscience de Ta Joie Éternelle, ce que je désire plus que Tout.
Je veux être heureux de suite… Oui ! tout de suite ! …Et au même moment, au moment-même où je le veux, je le vis !
Être heureux, c’est tout simplement reconnaître la Réalité que je le suis !
Et la souffrance n’est que le Bonheur Éternel dont j’avais perdu conscience.
Alors, quelle chance de souffrir !
Quelle joie de souffrir.
Quelle joie de souffrir pour me rappeler que je suis heureux !
Tu Es Tout : Tu es la joie et la souffrance en Un.
Je ne veux plus prétendre que quelque chose de Toi puisse être séparée d’autre chose de Toi !
Comment avons-nous pu imaginer cela ?
Rien de Toi ne peut être séparé de Toi… Puisque Tu Es Tout… Et que Tout est Un en Toi.
Ma main gauche n’est pas séparée de ma main droite… Elle n’est pas non plus séparée de n’importe quelle main de quelqu’un d’autre… Elle n’est pas non plus séparée de la terre… etc.
Rien n’est séparé de rien.
Tu Es l’Unité Absolue.
Tout est Un, comment que nous le pensions.
Mais, cependant, même lorsque nous pensons « séparation », nous Te pensons « Toi » et donc, nous pensons « Union ».
C’est toujours Toi que nous pensons, puisque Tu Es Tout.
Il n’y a pas de séparation à penser « Union et Séparation ».
Il n’y a pas de « séparation ombreuse » à penser « Union Lumineuse et Séparation Lumineuse ».
Chaque fois que, pour nous, cela s’est ouvert, comme cela, tout d’un coup, nous avons vu qu’il y avait « nous », avec notre connaissance, notre passé, notre expérience etc… et au même instant, nous avons vu un espace qui nous dépassait infiniment…
Évidemment ! Cela nous a remis, une fois de plus, les pendules à l’heure… Tic-Tac !
Mais là, comme à chaque fois, nous avons découvert un aspect plus grand de l’Infini que nous ne connaissions pas avant… Mais nous ne venions pas de découvrir « l’Infini » dans sa Totalité !
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Non, bien sûr ! Non, non, non ! Je venais alors de sentir un peu ce que je pouvais sentir, plus loin qu’auparavant…
La joie
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Oui ! C’est cela ! Tu venais d’expérimenter une ouverture supplémentaire nouvelle !
Et ça, ça s’est manifesté par de la « joie » ! Chaque fois qu’il y a eu ce type de phénomène critique : il y a eu « un état de joie » !
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C’est vrai !
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La joie, c’est la manifestation d’une ouverture de conscience… donc d’une transcendance.
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Oui, d’accord, c’est bien ça !
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C’est ça, la joie… Le bonheur, c’est ça !
Nous avons été heureux, chaque fois que nous avons fait ça : chaque fois que nous avons ouvert notre conscience encore un peu plus… ou, parfois, beaucoup plus !
Et nous devons arriver à avoir conscience que nous le faisons à chaque instant.
En tous cas, nous désirons avoir conscience que nous le faisons à chaque instant !
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C’est ça le problème !
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Ce n’est pas un problème.
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Si, c’est de le faire à chaque instant !
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Mais, nous le « faisons » à chaque instant… que nous en soyons conscients ou pas !
Notre conscience de la Lumière augmente à chaque instant, dès l’instant où nous sommes en vie… et tant que nous sommes en vie !
Que nous le voulions ou pas notre conscience s’ouvre…
Mais, il est vrai que nous pouvons user de notre libre arbitre pour le reconnaître ou pour le nier !
Lorsque nous le reconnaissons, nous expérimentons la joie, lorsque nous le nions, nous expérimentons la souffrance…
Cette souffrance nous signale que nous nions l’existence de ce que nous désirons vivre le plus… Et que nous vivons en réalité !
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La solution est donc d’être conscient à chaque instant de notre ouverture de conscience qui est naturelle et obligatoire ?
Chaque joie est unique dans l’Éternité
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Oui, c’est cela, mais voilà ! Notre « erreur » a souvent été de partir le plus souvent avec un préjugé sur ce que devait être la prochaine explosion de conscience, la prochaine transcendance, la prochaine ouverture de notre conscience !
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Oui, c’est vrai ! Nous avons tendance à vouloir refaire la même chose ! Nous cherchons à revivre la même transcendance… Sans jamais y arriver, bien sûr !
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En effet, cela est impossible !
C’est terminé, c’était une expérience de « cette » ouverture de conscience-là, unique… une seule fois dans toute l’Éternité… et point à la ligne !
Nous ne ferons jamais une seconde expérience de cette même ouverture de conscience !
Chaque instant est « Sacré » en lui-même.
Chaque instant est « Total » en lui-même…
Chaque instant est totalement différent de tous les autres instants que nous avons pu vivre, que tous les Êtres humains ont pu vivre et même que les Êtres non-humains ont pu vivre !
C’est vraiment « unique » … Nous sommes « uniques » … Et chaque instant de nos vies est absolument unique dans tout l’univers !
Et nous, à des moments, nous avons voulu que ces instants ne soient pas uniques, quelque part !
Nous avons prétendu que l’instant d’après, ou un instant plus tard, on aurait dû retrouver, exactement ça : le même instant, la même expérience d’ouverture de notre conscience !
Mais, il faudrait reculer, ou arrêter le temps, ou le répéter… Et tout cela nous ne le pouvons pas : ce n’est pas dans le « Plan » …
Tous les poètes ont chanté ce moment vécu… et perdu pour toujours…
Une fois vécu… cet instant, maintenant, c’est une mémoire… Mais notre mémoire, à tous, a été enrichie par cet instant qui maintenant en fait partie !
La mémoire de tout ce qui existe a été enrichie, élevée, par cet instant de conscience plus grande de l’Infini que nous avons choisi de vivre pleinement !
La certitude de la Joie
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Alors, la seule chose à laquelle on peut « s’accrocher », c’est la « Joie » ?
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Oui ! C’est la Joie ! C’est mon point de vue à cet instant et c’est mon point de vue depuis de nombreuses années. C’est comme cela que j’ai choisi de fonctionner moi-même… Et c’est comme cela que j’observe que tous les Êtres fonctionnent.
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Oui, moi aussi, je fonctionne ainsi ! Je comprends…
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C’est la Joie ! Là, nous avons la garantie que si nous sommes heureux, c’est que notre conscience s’ouvre…
Mais, c’est une nouvelle ouverture de notre conscience, jamais vécue jusqu’à là et que nous ne revivrons jamais…
Quand nous sentons la rose, nous allons sentir cette rose comme nous la sentons à cet instant pour la première fois… Et pour la dernière fois !
Mais nous n’allons pas faire que sentir des roses et des roses et des roses ! L’instant d’après, nous allons jouir peut-être d’une pensée, d’un concept, d’un oiseau qui chante : cela sera, à chaque fois, différent !
Mais, c’est toujours le même mouvement ! Ce qui est toujours pareil, c’est l’expansion de la conscience… et donc la joie qui l’exprime !
« C’est la conscience qui fait toute la différence. »
Et alors, tac… tac… tac… tac… Et dans tous les sens, on ouvre, on ouvre, on ouvre… Nous pouvons faire du dessin, nous pouvons réfléchir, nous pouvons prier, nous pouvons manger… La forme que cela prend n’est pas importante, si cela exprime la conscience de notre « ouverture de conscience » ! Et là, il y a la « Joie ».
Le changement dans la Joie
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C’est important, car cela veut dire… Mais, d’abord, cela va très bien avec le dernier travail que j’ai fait en bio-résonnance qui se résumait en : « Accepte le changement qui favorise ta croissance ! »
Parce qu’on m’avait dit que j’avais un blocage au niveau du « changement ».
Un vieux concept en moi était que « le changement n’était pas bon » !
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« C’était » comme ça, avant ! Parce que ce n’est pas comme cela que je te vois aujourd’hui.
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En fait, ce n’était plus vraiment comme ça, mais il y avait tout le temps un reste de petit blocage qui m’empêchait de bouger, un reste d’appréhension de bouger… Et c’est exactement ça : c’est là où j’en était jusqu’à il y a quelques instants !
Ce qui est le plus important, c’est « le pas » que l’on accomplit, et non pas là où on va…
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Le voyage, le mouvement… En effet, nous allons toujours vers l’Infini… Et nous irons toujours vers l’Infini… Toujours vers plus d’Infini… Ça, c’est sûr… Mais, sans jamais arriver à la fin du voyage.
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Ce n’est pas de chercher, c’est d’expérimenter la vie. C’est ce que dit aussi Montaigne… C’est ça que je cherche, c’est cela que je veux…
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C’est cela que « tu vis » ! C’est ce que tu fais à chaque instant ! C’est vraiment ce que tu vis !
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Ce n’est pas la sensation que j’ai…
Bugs… et solutions
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C’est pourtant ce que tu vis… Mais seulement, tu avais mis en place des petits « bugs » … On a tous mis des petits logiciels en place avec lesquels on se joue des tours ! Socialement, on a mis des petits logiciels ombreux… des logiciels que l’on a copié le plus souvent chez nos éducateurs… C’est la conception sociale, la conception de la majorité du monde, hein ! On s’en est beaucoup chargé…
Il y a eu des choses merveilleuses dans la conception globale des gens, dans la conception globale de l’humanité… Mais il y a eu également des choses très lourdes qui ont eu tendance à freiner notre ouverture de conscience de la Lumière. Mais, cependant, sans jamais arriver à l’arrêter. C’est cela que l’on appelle « l’ombre » …
On ne peut pas arrêter l’ouverture naturelle de notre conscience, mais, c’est vrai, on a pu en perdre la conscience ! Et cette perte de conscience, ou plutôt ce coup de frein factice à notre ouverture de conscience, il s’est toujours manifesté par « la souffrance ».
Chaque fois que nous avons tenté de freiner notre ouverture naturelle de conscience : il y a eu la souffrance !
Dès que l’on a gèné l’ouverture de la conscience à son rythme naturel, à son rythme originel, ça a été la souffrance. !
Et cette souffrance, ce n’est pas une punition !
Merveilleuse souffrance
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Non, la souffrance, c’est, comme tu me l’as dit la dernière fois pour la culpabilité… C’est un signal !
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Oui, c’est cela ! C’est un signal, un auto-signal qui nous dit : « Là, tu ne penses pas ce que tu es le plus heureux, ou la plus heureuse, de penser ! Là, tu ne fais pas ce que tu es le plus heureux, ou la plus heureuse, de faire ! »
Ce que tu désires le plus au monde, eh bien là, tu n’es pas en train de le faire ! Tu es en train de trichouiller ! Tu t’interdit quelque chose de vraiment vitale !
Tu t’interdis de penser, de dire ou de faire ce que tu as le plus envie de penser, de dire ou de faire… Tu t’interdis de jouir de ta transcendance !
La souffrance, sous toutes ses formes, c’est ceci… ça te dis ça ! C’est le « baromètre » qui nous a toujours signalé, une baisse de pensée » …
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Mais, je ne suis pas systématiquement en souffrance, quand je me fais un week-end vidéo ou une autre chose de ce genre… Je suis en souffrance à la fin de la journée ! Cela prend la forme d’une culpabilité…
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Voilà ! C’est exactement adapté à la situation du moment.
Tant que tu es heureuse de regarder tes vidéos, comme une enfant le ferait, tu jouis de la Joie…
Mais, ensuite, dès que tu culpabilise en pensant que tu aurais dû faire autre chose, là, tu commence à souffrir.
La souffrance est très, très sage… La souffrance, elle est parfaitement sage !
C’est la Lumière Elle-même qui nous offre la « souffrance lumineuse ». Ce signal d’alarme est inclus dans l’Être parfait qu’elle a fait de nous et que nous sommes, quelle que soit notre conscience…
Cette souffrance nous signale que nous avons essayé d’échapper à l’ouverture de conscience à laquelle nous désirions accéder.
Nous avons essayé d’y échapper par des mécanismes d’ombre, c’est à dire par une perte de conscience de la Lumière Éternelle.
Cela a pris plein de formes possibles… En effet, cette souffrance a toujours été parfaitement adaptée à nos besoins ! Son intensité a été adaptée à nos besoin et à notre capacité de gestion du moment.
Il n’y a pas eu, jamais eu, de souffrance « stupide », si tu veux ! Il n’y a eu que des souffrances parfaites.
Mais, nous, nous avons jugé… et nous avons dit que « non ! » Influencés par l’ombre que nous avions imaginée, nous avons pensé que la souffrance était toujours mauvaise et qu’elle était interdite… comme d’ailleurs, la mort !
Dans notre société « moderne », il est prétendu que la souffrance ne devrait pas exister. Nous avons perdu la conscience de la valeur de la souffrance…
Dans notre société, nous avons prétendu que la souffrance n’avait aucune valeur.
Mais, ce n’est pas vrai ! La souffrance est très, très utile. Elle est même, carrément « vitale ».
La souffrance : pas nécessaire, mais très utile
C’est vrai que la souffrance n’est pas nécessaire… Mais elle est très utile ».
Évidemment que fonctionner à la joie, c’est plus confortable ! C’est moins cher, c’est tout mieux…
Mais, tant que nous ne sommes pas capables, tant que nous ne savons pas fonctionner à la Joie, nous avons la merveilleuse souffrance… La souffrance qui nous aide, qui nous accompagne et nous invite à jouir de notre ouverture de conscience…
Et là, nous fabriquons de toute pièce une ouverture qui est douloureuse, car nous la freinons ! Mais il y a toujours une ouverture de notre conscience, quand même !
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Je suis étonnée de ne pas avoir plus de souffrance.
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Mais, c’est parce que tu es saine ! Tu es quelqu’un de sain !
On discute pour progresser… C’est vrai ! Mais il faut comprendre : si nous prenons une moyenne, tu es au-dessus de la moyenne, nettement au-dessus de la moyenne, en termes de santé, en termes de qualité de vie… C’est évident !
Il ne faut pas oublier quand même que, pour l’instant, il n’y a seulement que relativement peu de gens qui sont, à peu près, dans les niveaux de « santé » dans lesquels tu te trouves.
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Alors, il faut quand même imaginer que l’élévation de la qualité de vie, l’amélioration de la santé, demande aussi une élévation de l’implication… une élévation de la responsabilité… et d’autres choses comme cela…
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Oui ! Une élévation de pensée, une libre ouverture de conscience…
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Donc, on peut être en souffrance, justement ?
La sensibilité à l’erreur augmente avec l’ouverture le la conscience
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Oui ! Plus on est élevé, plus notre conscience de la Lumière est grande, plus, à erreur égale, nous pouvons souffrir facilement.
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Donc, je devrais être plus en souffrance, ce qui n’est pas le cas.
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Mais, c’est tout simplement parce que tu es saine… Tu es beaucoup plus saine que tu ne le penses ! Tu t’ouvres facilement à la conscience de la Lumière…
Tu as une sorte d’harmonie de bonne qualité entre le niveau de ton Âme, le niveau de tes pensées, et tes actions matérielles, c’est à dire le corps… Tout ça est assez harmonieux… ce n’est pas mal du tout !
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Ce n’est pas mal ? Pourtant, je suis trop souvent insatisfaite !
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Bien sûr, nous pouvons toujours améliorer… et nous devons toujours nous améliorer…
Nous sommes là pour ça ! Nous existons pour ça ! Nous vivons pour augmenter notre conscience…
Nous sommes là pour augmenter notre conscience de la Perfection du Corps, pour augmenter notre conscience de la Pensée-Lumière et pour augmenter notre conscience de l’Âme Divine que nous sommes.
C’est à dire que nous augmentons notre conscience de la Lumière dans tous les aspects de notre Être. Et c’est parfait !
Évidemment, l’Infini est devant nous, nous n’avons pas de problème d’espace : il y a de quoi grandir… Et nous avons ce sain désir de grandir.
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Voilà ! C’est plutôt par rapport à ça… que… je suis étonnée de ne pas avoir plus de… souffrance… de ne pas avoir plus de signaux d’erreur !
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Parce que « au bon moment… tu prends la bonne décision ! »
Nous adaptons notre souffrance à nos besoins
En effet, le baromètre, il a des tonalités :
Légères pour te prévenir en douceur d’une petite erreur que tu as su réparer facilement, si tu étais attentive… Et c’est, sans aucun doute, ce que tu as fait le plus souvent !
Si tu n’a pas été attentive et que tu as inventé un moyen d’échapper au premier signal d’erreur que tu refusais d’entendre… alors là, bien sûr, le signal est devenu plus fort… alors la souffrance a augmenté !
Et ainsi de suite… et cela a pu aller jusqu’à la fracture, jusqu’à l’accident de voiture, jusqu’à un drame terrible par lequel nous avons pu vraiment nous inviter très fortement, et même nous obliger, à ouvrir notre conscience à la Lumière Éternelle, alors que nous hésitions très fortement, jusqu’à là…
Cela a pu être aussi un cancer, l’apparition d’un grave handicap ou un truc comme ça, pour bien taper sur la table ! Et ainsi nous nous invitons à ouvrir un peu plus les yeux sur nos erreurs.
Tout cela a été Parfait ! Cela a toujours été une gamme parfaite d’intensités…
Or, si, comme tu l’as fait le plus souvent, tu réagis au bon moment : s’il y a eu le signal léger d’un léger ralentissement de l’ouverture de ta conscience que tu mettais en place… et donc un léger mal-être qui te le signale… et que toi, tu as corrigé ton erreur sans attendre… et que tu as permis alors la reprise de l’ouverture naturelle de ta conscience en douceur… Pourquoi, alors, aurais-tu à souffrir plus ?
Tout simplement, le signal n’a plus eu de raison d’être, puisque tu lui as répondu efficacement ! Et donc tu n’as pas souffert plus… voire pas du tout, ceci parce que tu as osé corriger ton erreur instantanément !
J’ai l’impression que ce que je t’ai décrit est en lien, par exemple, avec l’ ancienne conception que tu t’es fait proposée, comme, par exemple « Peut mieux faire ! »
C’est là ce que tu as entendu dans ton enfance … et cette conception a évolué, chez l’adulte que tu es, en « Je ne peux pas, je ne peux jamais être satisfaite ! »
Encore un peu de conjugaison ?
D’abord, permets-moi de te proposer une meilleure utilisation de la « conjugaison » qui pourra te permettre de mieux libérer le présent, afin de pouvoir innover, en décrivant honnêtement ce dont tu parles avec le temps de conjugaison qui convient : c’est à dire, ici, le temps passé !
Écoute ! Si tu veux être vraiment sincère, tu peux dire, par exemple : « Je pense que « c’était » en lien avec les anciennes conceptions que l’on m’avait apprises qui disaient « Peut mieux faire ! » … « Je ne pouvais » jamais être satisfaite !
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Oui, tu as raison… je veux apprendre à utiliser les temps de conjugaison, comme ils ont été inventés par les plus belles Âmes : le passé pour parler librement d’évènements passés, le présent pour exprimer mon libre arbitre de l’instant et le futur pour imaginer librement les événement à venir… Comme tu me l’as déjà dit.
Je vais donc penser que :
1, au passé : « Je n’étais jamais satisfaite » …
Mais, 2, au présent : « je peux l’être à cet instant » …
Et enfin, 3, au futur : « Je le serai de plus en plus ! »
■
Bravo !
Pour être heureux, soyons efficace
Mais alors là, cela étant dit, et bien dit, il faut que nous reconnaissions que, finalement, ceux qui nous ont dit « Peut mieux faire ! » Eh bien, ils ont dit vrai !
Et, en effet, nous pouvons en effet toujours mieux faire, puisque l’Infini est disponible…
Donc, nous pourrons toujours mieux faire, c’est la « Réalité », c’est un fait « Absolue » …
Ces gens ont donc eu raison de nous dire que « Nous pouvions mieux faire ! » Bien sûr. Mais, ce n’est pas là qu’est le problème…
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Alors, quel est le problème ?
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Oui ! Le vrai problème, c’était l’absence de joie que des personnes ont eu en nous disant cette phrase !
C’était une vérité qui n’était pas vécue dans la joie, qui n’était pas exprimée dans la joie, et donc cette vérité n’était pas mûre à dire ! Elle n’était pas complète…
En effet, là, il y avait des mots justes, mais ils étaient vides de joie : celui qui les disait n’était pas heureux de les dire comme il les disait : c’était donc vide de la vraie vérité !
La Vrai Vérité, c’est la conscience de la Lumière !
Il y avait là l’essentiel qui manquait : la Joie d’exprimer la Lumière !
Pour que le message puisse être parfaitement reçu, il faut cette Joie qui manifeste la conscience de la Lumière dans ce que nous sommes en train de penser, de dire ou de faire.
3ÈME ENTRETIENde Deux Petits Artisans de la Lumière parmi d’Autres :
■ et ●
L’Âme de toutes les vertus
Click !
■
Voilà, ça y est, nous enregistrons !
Très bien ! Alors comment vas-tu ? Je vois que tu as presque fini la transcription de notre 1ère rencontre… Bravo et merci : tu as vraiment bien avancé !
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Oui ! Alors, du coup je me suis rendu compte que je m’étais concentrée sur notre avant-dernière conversation… Et, du coup, je ne me rappelle même plus ce que nous avons dit la dernière fois !
Et j’ai, par contre, baigné donc dans notre 1ère rencontre, à force de l’écouter plusieurs fois, d’abord pour pouvoir la copier et ensuite pour la relire !
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C’est une clef USB que voilà ?
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Oui ! Ça c’est la clef USB pour tout à l’heure…
Et donc, comme je viens de te le dire, j’ai beaucoup été dans l’histoire de « Mettre de la Lumière »…
Non, pardon ! Je voulais dire dans l’histoire de « Voir la Lumière dans l’ombre » …
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Bravo ! Ta correction montre que tu as entendu l’essentiel !
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Et puis, j’ai beaucoup réfléchi sur l’Amour…
C’est très important pour moi « cette notion d’Amour » … J’ai toujours eu l’impression que je ne savais pas ce que c’était… Et que j’étais incapable d’aimer…
Bien sûr, j’ai bien entendu ce que nous avons dit ensemble… Mais… Ce n’est pas facile !
Mais, ce n’est pas tellement ça le souci… Comment dire ? … J’ai, tout d’un coup, réalisé que cet Amour, pour l’atteindre, pour le vivre… Il n’y a que l’Âme qui puisse le vivre !
Et moi j’essayais, toujours avec mon petit « moi », de le vivre. J’ai fait une dissociation entre l’Âme et le moi… C’est comme si j’avais une Âme, mais que ce n’était pas moi !
Et ça, c’est quelque chose qui n’est pas récent, je le vois bien, et je sais que ce n’est pas juste… il n’y a pas de souci à cela : je le sais ! …
Mais, j’ai du mal à le vivre, à part à des petits moments de grâce où il y a effectivement cette expérience de l’Unité.
Mais, c’est évident que c’est Elle, l’Âme, qui « est » cette Amour, qui a ces vertus… Et il est simplement nécessaire de lui laisser la place, de la reconnaître. C’est tout !
À la limite, il me semble, maintenant, que c’est le seul travail à accomplir : laisser la place à l’Âme en tout !
Nos mémoires à aimer
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Alors, là, tu vois, il y a plusieurs choses que tu viens de me dire… Et, là, je les ai notées pour ne pas les oublier et que nous puissions, agréablement, nous y adresser.
D’abords, au début, tu as dit : « Ce n’est pas facile »…
Cette difficulté ne vient pas de l’Âme. Elle vient de nos mémoires… Ce sont, en effet, nos mémoires, ombreuses, qui reviennent à notre conscience et qui nous font penser que « ce n’est pas facile » !
On nous a tellement dit, et nous-même l’avons tellement répété, que c’était difficile d’être heureux, que c’était difficile d’atteindre le Paradis etc… Et même, souvent, que ce n’était, tout simplement, pas possible !
Du coup, sans même s’en rendre compte, nous répétons ces mémoires… Mais attention ! Et là, ce que je vais dire est important.
Nous répétons ces mémoires ombreuses dans le but, le plus souvent inconscient, de les aimer !
Nous les répétons car nous ne pouvons nous sentir libre, nous ne pouvons nous sentir confortable, qu’avec ce que nous aimons, qu’avec ce dont nous sommes heureux…
Donc, tant que nous ne sommes pas heureux de penser quelque chose, nous allons, nécessairement, le répéter…
Pourquoi ? Pour arriver, un jour, à en être heureux et donc à en être libre !
Nous sommes bien d’accord sur ce point essentiel ? Ça marche ?
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Oui ! Ça marche !
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Voilà ! Alors, d’où vient cette pensée « ce n’est pas facile » ? …
Eh bien! Posons-nous quelques questions :
« À cet instant, cette pensée a-t-elle son origine dans notre Âme ou dans nos mémoires ? »
« À cet instant, somme-nous plus heureux de penser « C’est facile » ou « Ce n’est pas facile » ? »
« Que nous soyons heureux, n’est-ce pas le plus important ? »
« N’est-ce pas le plus important pour nous et pour tous les autres Êtres ? »
« Et pouvons-nous être heureux en pensant ce que nous ne sommes pas heureux de penser ? »
Et puis enfin : « Ne sommes-nous pas libre de penser ce que nous voulons ? »
●
Si ! Je suis libre de penser ce que je veux…
Oui ! que je sois heureuse, c’est le plus important…
Et oui également ! Je ne peux être heureuse qu’en pensant ce que je suis la plus heureuse de penser.
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Eh bien ! Ainsi donc, choisissons de penser maintenant : « C’est facile » ! Tout simplement parce que c’est, vraiment, ce que nous sommes le plus heureux de penser à cet instant…
Et qui d’autres que nous peut choisir notre pensée ?
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Personne, bien sûr.
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C’est, d’ailleurs, ce que les enfants font, naturellement !
Les enfants arrivent à penser ce qu’ils sont les plus heureux de penser, tant qu’ils ne sont pas encore trop rééduqués… Et en général, ils sont heureux… En tout les cas, le plus souvent, ils sont plus heureux que les adultes qui les entourent !
Évidemment, au fur et à mesure du temps qui passe, ils vont recevoir, à nouveau, une éducation, malheureusement en grande partie ombreuse…
Et en plus, toutes leurs mémoires de leurs vies antérieures reviennent progressivement… et vers l’âge de sept à dix ans elles sont en général pratiquement toutes récupérées par leurs corps énergétiques…
Donc, jusqu’à là, ils vont vivre, en général, plus heureux que les adultes puisque:
D’une part, il n’ont pas encore récupéré toutes leurs mémoires antérieures qui seront ensuite présentes dans leurs corps énergétiques…
Et d’autre part, qu’ils n’ont pas encore suffisamment intégré les enseignements en grande partie ombreux que les adultes, qui les entourent, leurs dispensent.
●
Oui, tout à fait ! Ça, je l’entends bien et je suis d’accords avec.
■
Donc, ces enfants vivent, un peu comme les animaux, selon la Loi Divine, mais avec encore peu de conscience… Et ils pensent facilement ce qu’ils sont les plus heureux de penser, comme, par exemple : « C’est facile ! »
C’est l’ombre qui nous a appris de vies en vies que : « C’était difficile » ! Mais, cela, nous n’avons jamais, vraiment jamais, été heureux de le penser !
Or, dès que nous ne sommes pas heureux de penser quelque chose c’est, évidemment, l’ombre qui pense en nous !
C’est-à-dire qu’une fois de plus nous venons de perdre conscience de la Lumière… Et, là, ce n’est plus notre Âme qui est à l’origine de notre pensée.
Voilà ! Je voulais m’adresser à ça en premier… et redire rapidement ce que nous avons déjà dit plus longuement les dernières fois… Mais que l’on répètera surement de nombreuses autres fois… Pour l’apprendre de mieux en mieux !
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Oui ! Je comprends bien… C’est clair.
La sagesse de choisir
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Il faut en effet que nous soyons sages. Et, en particulier, il faut que nous devenions de plus en plus sages dans le choix de nos mots et, surtout, de la conscience que nous choisissons d’y mettre.
Et deuxièmement, heu… Eh bien ! Là, je ne me souviens plus du deuxièmement… et peut être qu’il n’y en a pas !
●
Non, mais j’entends bien ! L’importance du vocabulaire commence à se préciser en moi.
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Oui, osons vraiment « choisir » nos mots… de façon à ce qu’ils expriment l’aspect Âme dans tous les plans de notre Être.
Nos mots, il faut vraiment les choisir, et puis les exprimer, avec notre conscience la plus élevée.
Mais, attention ! Comme nous l’avons dit plusieurs fois : « C’est la conscience qui fait toute la différence » … Ce n’est pas le mot lui-même !
Par exemple, lorsque nous choisissons le mot « Dieu », le mot « Amour », le mot « Âme », le mot « ombre » … Tous ces mots, nous allons les utiliser comme nous les avions utilisés auparavant : ce sont les mêmes mots et nous les prononçons et les écrivons pareil…
Cependant, nous allons toujours y mettre plus de conscience de la Lumière…
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Mais, également, nous choisissons aussi nos mots, n’est-ce pas ? Quand même, j’aurais pu, par exemple, ne pas dire que c’était « difficile », mais dire que c’était : « pas facile » …
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C’est vrai ! Bien sûr que nous pouvons choisir d’autres mots, pour exprimer des concepts… Nous pouvons toujours choisir d’autres mots !
Mais, après avoir dit ce que nous avons dit, nous pouvons cependant très bien penser, à nouveau, « C’est difficile » et choisir d’être, maintenant, totalement heureux de le penser… Et là, si nous « savons » être heureux de le penser, il n’y a plus de problème à penser que « C’est difficile » !
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Ah !… Oui… Là, je comprends encore mieux.
■
Et là, tout à coup, nous venons de transmuter le mot qui exprimait une perte de conscience de la Lumière en ce même mot, mais qui, maintenant, exprime une conscience de la Lumière !
C’est-à-dire que, même lorsque nous choisissons de penser : « C’est difficile », la Lumière est là !
Et en effet, pour Dieu il n’y a pas de problème ! « Facile » ou « Difficile », c’est le même Divin, c’est la même Lumière… Puisque Dieu Est Tout.
À ce moment-là, en osant être heureux, enfin, de penser un même mot avec plus de conscience de la Lumière en lui… nous libérons l’ombre en l’aimant !
Obsédés de Lumière
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Quoi que nous disions, en fait, c’est l’obsession de la Lumière… qui compte !
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Oui ! C’est notre obsession naturelle de la Lumière… Mais là nous la reconnaissons… Et nous choisissons, maintenant, d’être heureux de cette obsession.
C’est un peu comme la plante qui recherche toujours plus la Lumière : bien sûr, elle cherche, de façon visible la lumière du soleil également, mais elle cherche, par-dessus tout, une conscience plus grande de la Lumière, du Divin… Voilà ! Avec sa conscience végétale, bien sûr.
Et sa conscience de la Lumière Éternelle grandit, sans cesse… Avec une vitesse végétale, bien sûr !
C’est depuis toujours que nous cherchons la Lumière ! Depuis le début de la création… S’il y a un début… Et en réalité, plus précisément, nous ne cherchons pas la Lumière qui, Elle, est Omniprésente… Mais nous cherchons « la conscience toujours plus grande » de cette Lumière Éternelle.
Et, par rapport aux plantes, nous avons une conscience de la même Lumière, mais plus grande qu’elles… Et elles-mêmes ont une conscience de la même Lumière, mais plus grande que le minéral…
Mais, il n’y a pas un seul Être qui soit plus proche de la Lumière qu’un autre Être !
Tous les Êtres, qu’ils soit minéraux, végétaux, animaux ou humains sont « dans » la Lumière, absolument « dans » la Lumière !
Si la Lumière est Omniprésente, si Elle est Infinie, si Elle est Éternelle, alors, il n’y a pas d’autre possibilité…
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Oui, je le crois comme cela…
Quel est le problème ?
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Mais, chez les Êtres humains que nous sommes, depuis que nous avons reçu ce fameux Libre Arbitre, depuis que nous avons cette Libre Conscience propre à l’humain, nous avons souvent pu choisir de freiner cette ouverture naturelle et obligatoire de la conscience de la Lumière… que tous les Être de la création connaissent !
Et cela a été notre problème à nous les êtres humains. C’est notre problème à nous, mais qui a touché toute notre planète, c’est à dire : tous les Êtres animaux, tous les Êtres végétaux, tous les Êtres minéraux et, bien sûr, tous les Êtres humains…
C’est ce problème que nous avons souvent appelé « Notre perte de conscience de la Lumière » … Mais, en fait, c’est seulement « un frein », et un ralentissement, à notre ouverture naturelle et obligatoire de la conscience de la Lumière Infinie …
Nous n’avons jamais perdu la Lumière. Notre problème n’a jamais été notre perte de la Lumière, puisque la Lumière est Éternelle et Omniprésente, mais bien seulement le ralentissement de l’ouverture de conscience naturelle de la Lumière par notre usage, maladroit, de notre Libre Arbitre !
Et donc, depuis le presque début de l’humanité, nous avons pu, trop souvent, choisir de ralentir la prise de conscience de la Lumière Divine.
Et depuis, nous n’avons pas eu le courage ou les vertus nécessaires pour ne pas nous engouffrer, à fond la caisse, dans le labyrinthe de l’ombre, labyrinthe que nous avons accepté de continuer à imaginer et créer à la suite de Caïn !
Quelle est la solution ?
Et voilà ! Et pour beaucoup d’entre-nous, cela fait peut-être 150 000 ans que nous pataugeons dans notre labyrinthe d’ombre…
Et heureusement que les Êtres les plus beaux viennent et reviennent nous aider à reprendre pied pour que nous ne continuions pas à nous noyer complètement dans ce « Caïnisme » !
Et il faut qu’il y en ait, parmi nous tous, un nombre suffisant qui arrivent à tenir pied face à l’ombre, c’est-à-dire, d’abord face à l’ombre en eux-mêmes…
Et ensuite à tenir pied face à l’ombre chez leurs frères et sœurs…
Et enfin, à tenir pied face à l’ombre que nous avons répandue chez tous les autres Êtres que sont les animaux, les végétaux et les minéraux… Avec toutes les conséquences.
Il faut absolument que nous tenions pied, de plus en plus nombreux !
Et nous ne pouvons pas tenir pied si nous nous séparons de l’ombre… Parce que, si nous nous séparons d’elle, nous maintenons l’illusion d’une séparation… qui, justement, est l’ombre elle-même !
Et, là, c’est repartie pour un tour… de souffrance !
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Oui ! Jusqu’à là, cela a été toujours pareil : nous avons, trop souvent, rajouté de l’ombre à l’ombre !
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Oui, tu as raison ! À ce moment-là, nous avons souvent rajouté de l’ombre à l’ombre. Et, en le faisant, nous nous sommes bien compliqués la vie… Et nous avons posé de gros problèmes à tous les Êtres qui constituent notre Terre.
Nous avons fait des nœuds sur des nœuds. Nous avons augmenté la complexité de notre labyrinthe…
Si nous ne changeons pas notre attitude vis à vis de l’ombre, à notre échelle, elle restera, momentanément, insoluble !
Alors, la véritable solution, c’est d’aimer les nœuds que nous avons mis en place jusqu’à là.
Et donc, dans tous ces mots-là que nous utilisons pour exprimer notre conscience et notre inconscience actuelles, il va falloir, les uns après les autres, y reconnaître de mieux en mieux la Lumière Éternelle.
Mais, « reconnaître la Lumière dans l’ombre », ça, c’est, exactement, ce que l’ombre nous a interdit depuis le début de son existence imaginée !
En effet, « L’ombre sait se faire belle » ! Oui, mais… Oui, mais… !
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La Pensée, dans ces cas-là… Elle nous trompe… ?
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Oui ! Quand notre Pensée raisonne à partir de l’ombre, elle utilise exactement la même intelligence que lorsqu’elle raisonne à partir de la Lumière…
Seulement, là, grâce à cette intelligence, elle va nous faire des raisonnements impeccables, convaincants, qui peuvent même paraître beaux, mais qui sont tous bâtis sur l’ombre…
Et ces raisonnements, aussi intelligents soient-ils, vont nous tromper ! C’est dans ce cas-là, probablement, que l’on dit que « l’ombre sait se faire belle » !
Voilà, ça, c’est une première chose dont tu avais parlé tout à l’heure… Et à laquelle je voulais réagir.
L’Unité Âme-Corps-Pensée
Ensuite, tu as parlé de « dissociation Âme//moi » …
Alors ça, cette prétendue séparation possible entre nous et notre Âme, c’est simplement parce que nous oublions que l’Âme est partout !
C’est-à-dire, comme nous l’avons déjà dit, mais nous allons le redire : l’Âme est dans tous les plans de notre Être… comme, bien sûr, le sont également le Corps et la Pensée !
C’est pour simplifier notre raisonnement que nous parlons soit de l’Âme d’un côté, soit de la Pensées d’un autre côté, soit du Corps d’un troisième côté…
Et, là, nous avons l’impression d’avoir tout dit en les distinguant comme des aspects, bien distincts, bien séparés … autonomes les uns par rapport aux autres…
Mais non ! Et c’est très clair ! Le Corps, l’Âme et la Pensée, sont « un seul Être »…
Et nous pouvons exprimer cela en disant qu’il y a, bien sûr, l’aspect Âme de l’Âme, mais il y a également l’aspect Âme du Corps et l’aspect Âme de la Pensée… L’Âme est donc « Une » avec tout le reste !
De même, il y a bien sûr l’aspect Corps du Corps, mais il y a également l’aspect Corps de l’Âme et l’aspect Corps de la Pensée… et ainsi de suite…
Donc, l’Âme est partout ! Le Corps est partout ! Et la Pensée est partout… Et c’est ainsi, car ils sont « un seul Être ».
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Ça je le sais… C’est intellectuel ! Mais je ne le vis pas !
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Si ! Tu le vis puisque nous en discutons. Et, à mon avis, tu arrives à le concevoir quand même très bien !
Mais, c’est pour l’instant une réalité limitée, une réalité imaginaire, il y a encore, trop souvent, l’aspect ombre en nous, c’est à dire cette « perte de conscience de la Lumière en Tout » …
Et la coquinerie de l’ombre en nous, c’est qu’elle appelle nos mémoires d’ombre à la rescousse ! Et alors, nous nous retrouvons en train de faire une ribambelle de petits et grands raisonnements ombreux !
Et là, nous avons pu penser… et dire, par exemple :
« Je ne peux pas penser ça ! »
« Je n’ai pas le droit de penser ça ! »
« C’est trop simple de penser ce que je suis le plus heureux de penser ! »
« Je ne peux pas être heureux de penser ce que je pense à cent pour cent ! »
« Il faut bien que je laisse un peu de place à l’ombre ! »
« L’ombre existe, c’est un fait… Le mal existera pour toujours. »
« Ce n’est pas possible que ce soit aussi simple, aussi pur… ce n’est pas possible… ! »
Etc… etc…
C’est à dire une ribambelle de pensées qui se sont construites depuis le presque début de l’humanité et que personne, mais vraiment personne, n’a jamais été heureux de penser !
Mais, en Réalité, bien sûr que c’est possible ! La Lumière existe depuis toujours et pour toujours ! La Lumière, c’est « la » Réalité Elle-même ! C’est comme ça : La Lumière, c’est « le » Fait Éternel.
Mais, nous l’avons voilée ce Fait Éternel qu’est la Lumière.
Cela nous semble impossible à cause de ce voile d’ombre, donc de ce voile de perte de conscience de la Lumière que nous avons créé grâce au « mesusage » de notre Libre Arbitre…
Un mesusage devenu très épais… Si épais qu’il donne même l’illusion d’une omniprésence.
Ce voile d’ombre, nous l’avons d’abord imaginé, inventé, une première fois.
Et puis, pendant des millénaires et des millénaires, nous l’avons argumenté copieusement… Nous avons expliqué, et ré-expliqué, avec notre merveilleuse intelligence, que c’était la nature de l’homme… Nous avons expliqué, très intelligemment également, que nous ne pouvions pas échapper à notre nature ombreuse… etc.
Et, dans chaque vie successive, nous avons appris cette ombre à nos enfants.
Mais, justement, il n’y a aucune dissociation réelle entre l’Âme et le moi, aucune… Il n’y a qu’une dissociation « pensée » !
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Oui, ça, j’en suis convaincue, mais je ne le vis pas !
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Bien sûr que tu le vis ! Tu ne peux pas faire autrement que de le vivre !
Tu es vivante parce que tu es une Âme incarnée dans un Corps… Sinon tu ne serais pas vivante dans ce corps ! Tu sais bien que lorsque l’Âme quitte le Corps, nous mourrons…
Donc, automatiquement, ce que tu appelles « moi », c’est à dire « l’ego », te permet de vivre la conscience de l’unité du Corps, de l’Âme et de la Pensée en toi… C’est à dire en l’Être que tu es.
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Mais, alors… Il est où, mon choix ?
Que peut-on choisir ?
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Notre choix le plus important, il est simple :
Soit, nous choisissons de permettre à « la conscience » de la Lumière Éternelle d’augmenter, à son Rythme Originel, chez l’Être humain que nous sommes, comme c’est toujours, encore aujourd’hui, le cas pour les Êtres minéraux, végétaux et animaux…
Et là, nous vivons l’Harmonie Originelle et nous sommes, tout simplement « heureux »… Et nous n’évoluons qu’heureux.
Soit, nous choisissons de ralentir l’ouverture naturelle de notre « conscience » de la Lumière Éternelle, sans jamais arriver à en perdre conscience totalement et encore moins à arrêter totalement son ouverture…
Et alors là, nous vivons le sentiment de dysharmonie et et nous ressentons la merveilleuse souffrance qui nous signale que nous faisons l’inverse de ce que nous voulons le plus faire de toute éternité !
Voilà notre choix !
La Lumière Éternelle, Elle-même, n’est pas un choix… c’est LA Réalité Absolue !
Mais, à chaque instant, nous pouvons choisir d’en être, encore, plus ou moins conscients… Et ça, c’est « notre » choix !
Le seul choix que nous ayons, c’est le choix de notre conscience.
La seule liberté que personne ne peut nous enlever, c’est notre liberté de penser.
Cela étant, il y a des tas de choix que nous ne pouvons pas changer à cet instant : ces choix nous les avons fait en amont… Et parfois de nombreux milliards d’années en amont !
Par exemple, dans cette vie, tu es une femme et pendant toute cette vie tu ne peux pas, pour l’instant, choisir d’être un homme… Ceci a été choisi en amont… Tu ne pourras le choisir à nouveau que pour une vie prochaine !
Pour l’instant, également, comme moi, tu dois vivre avec la pesanteur et tu ne peux pas t’en libérer et élever ton corps simplement, dans la pièce où tu te trouves, jusqu’au plafond… Pour l’instant, toi et moi, nous ne le pouvons pas…
Combien de vies nous faudra-t-il pour pouvoir changer un tel choix qui a été fait il y a des milliards et des milliards d’années, au presque début prétendu de cet univers, lorsque les seuls Êtres, que nous étions déjà, étaient minéraux ?
Également, tu es obligée de respirer pour vivre, tu n’as pas le choix de respirer ou pas, tout en restant dans ce corps ! Là, ce sont des choix qui ont été faits alors que les Êtres végétaux que nous étions, étaient apparus sur notre terre minérale, il y a des millions et des millions d’années.
Combien de temps nous faudra-t-il vivre pour que notre conscience puisse continuer à s’ouvrir sans que notre Corps ait besoin de respirer ? Et puis, cela est-il vraiment intéressant ?
etc. etc.
La conscience, que nous avons pour l’instant, des Lois Divines, fait que notre corps doit se soumettre à tout ces choix très anciens et que nous n’avons pas encore le choix en ce qui concerne ceux-ci ! Et que peut-être certains, nous ne les aurons jamais parce que cela ne sera jamais intéressant pour notre ouverture de conscience.
Nous « devons » absorber de l’énergie, nous « devons » bouger, nous « devons » respirer…
Mais, par contre, il y a un choix que nous avons à chaque instant… Et c’est bien, de mon point de vue, le plus important…
Et ce choix fondamental, l’ombre n’a jamais pu et ne pourra jamais nous l’enlever :
Nous avons le choix d’être heureux, ou pas, de la situation que nous vivons à cet instant ?
Ça, c’est bien « notre » choix ? N’est-ce pas ? C’est bien notre « libre choix » ?
Lâcher prise
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Oui ! Mais, à ce moment-là, cela me donne la sensation d’un énorme « lâcher prise » !
En effet, je suis en train de découvrir que c’est « ma volonté de vouloir gérer et de vouloir contrôler à tout prix» qui fait que je trouve cela difficile, voire impossible…
Parce que, c’est comme si, à ce moment-là, il y a une partie de moi qui doit perdre le contrôle… Et je crains de perdre le contrôle !
■
Mais, tu crains de perdre le contrôle au profit de quoi ?
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Au profit de l’ombre !
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Eh bien non ! C’est au profit de la Lumière que tu vas perdre le contrôle !
C’est à la Lumière que tu vas enfin « consciemment » offrir le contrôle qu’Elle a de toutes les façons toujours eu et qu’elle aura toujours !
Croire qu’il y a autre chose que la Lumière qui « contrôle » ma vie, c’est tout simplement perdre conscience de l ‘Omniprésence de la Lumière et donc imaginer l’ombre… Et, à partir de la, nous pouvons vivre selon cette imagination, maintenant ombreuse !
La Réalité, c’est qu’il n’y a « que » la Lumière qui contrôle ma vie et rien d’autre !
On peut même, plus simplement, dire qu’il n’y a que la Lumière Divine qui « soit » ma vie.
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Ah ! Je comprends, à cet instant, que c’est pour ça que j’avais cette impression de dissociation Âme//moi… Je voulais bien laisser le contrôle encore un petit peu à l’Âme, mais alors, je pensais que ce n’était plus « moi » !
Les noms de Dieu
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Oui, c’est probablement cela, mais voilà : l’Âme et toi, c’est « Un » !
Et il y a une sorte de lâcher-prise sur l’ombre qui va effectivement nous permettre, si l’on peut dire ainsi, de reconnaître le pouvoir de la Lumière qui l’avait toujours eu, de toutes les façons : « Mon Père que « Ta » volonté soit faite et non la mienne », c’est tout !
Et à partir de là, nous vivons selon le Père… Nous acceptons d’exprimer le Père et le Père seulement ! Par notre Corps, par notre Pensée, nous exprimons l’Âme en tout !
L’Âme est reconnue dans tous les trois plans de notre Être. L’Âme, le Divin en nous, est omniprésente en nous. Cela ne peut pas être autrement !
Mais, c’est vrai, nous pouvons en avoir conscience ou pas… ou plutôt, nous pouvons en avoir plus ou moins conscience.
Et ça, c’est « notre » choix !
Mais, le Divin ne peut pas être présent, ici, et absent, là-bas…
Dieu ne peut pas être présent dans ce que tu as appelé tout à l’heure « l’Âme » et absent dans ce que tu as appelé tout à l’heure « le moi »…
C’est le même Dieu ! Il y a un seul Dieu et il est Omniprésent ! Donc, Il est autant présent dans ce que tu appelles ton « moi », ton « Âme », ton « Corps », ou dans ce que nous appelons « l’autre » … etc.
Quelque que soit le mot que tu utilises, que nous allons utiliser, ce sera un des noms de Dieu !
Nous n’avons pas d’autres options. Mais, c’est vrai que nous n’avons pas eu, pour l’instant, l’habitude de cette conscience-là… Aveuglés que nous étions par l’ombre.
Une drôle de décision
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C’est quand même bizarre !
C’est comme si je devais prendre une décision par rapport à quelque chose qui est déjà là et dont, de toute façon, je ne peux pas faire autrement que ce soit !
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Eh oui ! Eh oui ! Et pourtant, depuis que nous sommes humains, nous avons ce « Libre Arbitre »… Et nous en avons mésusé pendant longtemps. Et de ce fait nous avons mis en place des masses de mémoires très importantes : semble-t-il environ 100.000 à 150.000 années de mémoires humaines pour chacun de nous… et pour tous !
Et ces mémoires, elles sont toujours actives… Et elles demandent à être aimées et à être ainsi réintégrées dans la conscience de l’Unité.
Or, nous avons d’abord, un jour, il y a bien longtemps pour la plupart d’entre nous imaginé l’ombre.
Dès cet instant, nous avions toujours opposé l’ombre à la Lumière…
Et puis enseigné par l’ombre elle-même, nous avons, trop souvent, combattu l’ombre que nous avions imaginée…
Et, donc, nous avons combattu l’ombre avec plus d’ombre.
Et là, tu vois, tu avais imaginé une dissociation « Âme // moi », comme tu dis… Quelque part, tu avais prétendu qu’il y avait une séparation entre « la Lumière » et « toi »
Mais, il n’y a pas de séparation ! Il n’y a jamais eu de séparation possible… Et il n’y en aura jamais.
Il ne peut pas y avoir de séparation entre la Lumière Omniprésente et la Lumière Omniprésente !
Ce n’est pas possible autrement que dans notre imagination qui a « imaginé » perdre conscience de l’Omniprésence de la Lumière…
Alors qu’en réalité l’ombre n’a imaginé seulement qu’un ralentissement de l’ouverture naturelle de la conscience, ouverture à la Lumière qui est éternellement obligatoire.
Mais tout de même, là, nous pouvons dire que l’Unité est Omniprésente… Et Elle est donc « Omniforme ».
L’Unité dont nous avons parlé ensemble, dont nous parlons ensemble, Elle est Absolue : il n’y a pas ce que, nous, nous appelons habituellement « une forme », qui soit plus ou moins dans l’Unité qu’une autre ! Et ceci, malgré que nous ayons pu beaucoup penser l’inverse…
●
Pour moi, l’Unité c’est un état.
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Oui, c’est ça ! C’est un état… L’Unité, c’est l’État naturel ! C’est l’État Éternel ! Oui !
Que nous en soyons conscient ou pas, nous sommes Un avec Tout, nous sommes Un avec « le Tout ».
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C’est un état, oui ! Mais éternel, non ! Il dure plutôt une fraction de seconde ! … Et c’est bien dommage…
Non, ce n’est pas dommage ! Mais si, quand même !
■
Oui et non ! Oui, tu le vis à l’instant, en une fraction de seconde… Cet instant qui a le goût de l’Éternité ! Alors là, oui, tu as raison…
Mais non! Ce n’est pas dommage !
Instant Éternel
Cet instant, si tu veux, il est à la fois « Instant » et à la fois « Éternel ». Des instants, combien vas-tu en vivre ? Une infinité.
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En tous les cas, cela fait une bonne mémoire…
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Oui, tu as raison ! Et comme chaque instant, cet instant lumineux particulier passe, en effet, immédiatement dans les mémoires. C’est important : chaque instant lumineux, l’instant d’après, a enrichi nos mémoires !
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Oui… Je commence à comprendre… Et, ça, c’est vraiment très important !
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La Lumière dans nos mémoires est alors plus évidente… et petit à petit nous allons pouvoir nous fier à nos mémoires, de plus en plus solidement, car elles vont être de plus en plus lumineuses.
Et ainsi, il va y avoir, dans nos mémoires, de quoi amarrer, à chaque instant présent, notre conscience à la Lumière de plus en plus facilement.
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Il faut donc que nous validions à chaque fois des moments comme ça ! Ces Instants Éternels sont des points d’appui très importants ? …
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Oui, je trouve ! Il faut vraiment vivre chaque instant avec le plus de conscience possible, car c’est là où ça se métabolise. C’est là que tout se passe !
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Mais ,ce n’est qu’un instant, quand même, quand tu vis ça !
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Oui, tu as raison. Ce n’est « qu’un » instant, mais cet instant où tu es plus consciente de l’Unité et tous les autres instants que tu vis ensuite, et où, peut être tu en es un peu moins consciente, tous sont aussi Parfaits que ceux qui les précédent….
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… Oui, surement, c’est certain !
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Mais peut-être qu’il y a une mémoire nouvelle qui se présente au deuxième instant et qui fait la différence avec le premier instant : ce n’est plus la même mémoire qui se présente au « portillon » de notre conscience…
Et là, tu as une occasion, une nouvelle occasion d’être heureuse de cette mémoire numéro 2… et à cet instant, si tu oses en effet être maintenant heureuse de cette mémoire numéro 2 également, tu vas avoir à nouveau une joie, une sensation d’Unité, une conscience de la Lumière un peu plus profonde… de suite, à l’instant numéro 3 !
Et ces, instants nous pouvons les répéter autant que nous le voulons ! C’est à nous de jouer, selon notre courage. Mais, de toutes les façons, quel que soit le choix que nous allons faire, c’est Parfait…
C’est-à-dire, que nos hésitations, nos retardements sont aussi Parfaits que nos pas en avant immédiats… Notre immobilité sur une marche est aussi Parfaite que le fait de mettre le pied sur la marche suivante !
Ainsi, nous pouvons arrêter de penser et de dire : « Si je marche sur la marche suivante c’est mieux que si je reste sur la marche précédente ». Sinon, là, nous sommes bien en train d’imaginer une séparation !
En effet, si je dis ça, je suis bien en train de dire : Dieu est plus sur la marche suivante que sur celle où je suis à cet instant.
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Oui, ça, c’est vrai !
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Et ça, ce n’est pas possible : il n’y a pas plus Dieu sur une marche que sur n’importe quelle autre marche !
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Oui, donc en fait, bon ! Si nous reprenons cette histoire de marche. Il y en a une où il y a le sentiment d’Unité et il y en a une autre où il y a le combat et….
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Bien sûr, je respecte ta façon de t’exprimer… Et je t’en remercie.
Mais, je préfère penser avec plus de précision : sur la marche numéro 1, il y a Unité Absolue et une certaine conscience de cette Unité… Et sur la marche numéro 2 il y a, bien sûr également, Unité Absolue et, nécessairement, une conscience différente de l’Unité… etc.
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Ce que je voulais dire, c’est que, même si sur chacune des marches nous avons une conscience différente de la Lumière, toutes sont dans l’Unité… mais nous ne le vivons pas toujours également…
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Oui ! C’est ça ! Quelle que soit la conscience de la Lumière que nous y avons, cela ne change en rien la Perfection et l’Infinité de l’Unité de cet instant.
Nous ne pouvons pas remettre en question l’Unité ! Mais, nous pouvons remettre en question la conscience que nous choisissons d’avoir de l’Unité Éternelle… Oui ! Ça, nous pouvons la choisir… Car, en effet nous choisissons notre conscience… Mais, nous ne pouvons pas annihiler l’Unité.
●
Ah oui ! Maintenant, je vois ce que tu veux dire…
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Donc il n’y a pas de soucis ! On est dans l’Unité à chaque instant, que nous le voulions ou pas, que nous en soyons conscients ou pas…
Par exemple, même si nous avons pensé que nous haïssons quelqu’un, nous étions dans l’Unité, comme d’habitude ! Nous n’en étions simplement pas aussi conscients.
●
En fait, c’est comme la Lumière et l’ombre !
Tous les mots sont des noms de Dieu
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Oui! Ce sont juste d’autres mots… C’est simplement un autre nom de Dieu. Tous les mots que nous pourrons prononcer seront des noms de Dieu. Il n’y a pas d’autres options !
Donc, je prends le mot « séparation » … et si je l’oppose au mot « Unité » … là, j’imagine et je vis une séparation.
Mais, si je réalise que « Séparation » et « Unité » sont des noms différents du Seul et Unique même Dieu, là, c’est terminé !
Là je peux enfin danser ma vie ! Je peux danser librement… Il n’y a aucun mouvement qui me soit interdit : je peux penser sur mes deux jambes, sans aucune contrainte : Séparation, Unité… Séparation, Unité… Séparation, Unité etc…
Et également, il est vrai que pour que nous existions et que nous puissions échanger comme nous le faisons à cet instant, il faut bien qu’il y ait une Séparation entre nous…
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Oui ! Ça c’est vrai.
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Si nos corps meurent, là, nous ne sommes plus séparés ! Oui mais, il n’y a plus non plus de vie des Corps pour ouvrir notre conscience, comme cela nous est proposé dans nos incarnations qui sont toujours riches, très riches, en séparations.
Non, c’est vraiment merveilleux ! C’est merveilleux, parce que les solutions abondent de tous les côtés… Ce sont comme des sources qui jaillissent… de chaque mot, de chaque attitude… des sources qui nous lavent… à la température que nous choisissons…
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Oui, c’est vrai ! Chaque moment devient passionnant ! Chaque moment est l’occasion de vivre l’Union toujours plus consciemment… y compris dans l’expérience d’une séparation !
Agréablement facile
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Et c’est de plus en plus facile ! En tout cas cela nous « semble » de plus en plus facile… Mais, en réalité, c’est facile, totalement, infiniment, depuis le début !
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Ça, c’est révolutionnaire : « C’est facile ! » Et j’y crois, franchement !
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Si nous nous posons la question : « Est-ce que je suis plus heureuse de croire, c’est à dire de penser, que « c’est facile » ou que « c’est difficile » ? » La tendance générale va être de croire, et donc de penser, que c’est « facile ».
Cependant l’étape qui viendra ensuite inévitablement, plus ou moins vite, c’est que le « difficile » demandera justice !
Et là, nous rions…
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Celle-là, je l’ai pas vu venir ! Mais, ça, c’est sûr !
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Et le « difficile » dira : « Et moi ! et moi ! et moi ! Est-ce que l’on peut m’aimer aussi ? Moi aussi, le « difficile », comme mon frère le « facile »… Est-ce que, moi aussi, je peux être aimé, totalement, infiniment, comme étant Lumière ? »
Et là, si nous sommes clairs, nous serons bien obligés de répondre : « Oui » !
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Mais, est-ce que l’on n’a pas déjà dit « Oui, oui et oui » au difficile ?
Agréablement difficile
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Si, je le pense, quand même… Mais, quand nous disons vraiment « Oui ! » au « difficile », le difficile devient une forme de la joie… Comme le « facile » !
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Oui, c’est logique !
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Quand, heureux de le faire, nous faisons un « effort », intellectuel ou physique ou autre…
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Mais, ça, nous l’avons beaucoup fait…
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Oui, je le pense, nous l’avons beaucoup fait !
Heureusement, nous avons souvent aimé l’effort difficile… Nous l’avons beaucoup vécu ! Et c’est ce qui fait que nous en arrivons là où nous en sommes aujourd’hui !
Ce sont des degrés de conscience différents, mais, c’est le même mouvement d’ouverture de conscience… Depuis toujours, nous ouvrons notre conscience !
Nous avons ouvert notre conscience à la Lumière à travers l’ombre… depuis que nous avons cru faire exister l’ombre…
La Lumière fait feu de tout bois !
La Lumière fait feu de toute ombre !
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Tu ne peux pas savoir comme ça me repose, tout ce que nous disons là… J’ai l’impression que, en moi, il y a : « Ouf ! ça me repose… »
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Oui ! moi aussi, ça me repose… c’est agréable, c’est jouissif, c’est doux….
La Lumière dans l’effort
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C’est vrai que ça rejoint un peu un état enfantin… J’avais oublié ce que c’était que ce goût de la vie, quoi !
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En effet, avec ma compagne, nous nous disons souvent que nous vivons une vie de gamins. Nous sommes simplement heureux… Quand nous le voulons, nous faisons ce que nous sommes heureux de faire ! Il y a de moins en moins de poids dans notre vie… Ça s’allège… Et pourtant, nous sommes agréablement actifs !
Et donc, nous retrouvons l’état naturel de joie de l’enfant. Mais là, c’est à un autre niveau de conscience, avec une conscience beaucoup plus large, une conscience d’adulte…
Une conscience dans laquelle nous arrivons à choisir de garder cet état d’esprit, conscients que nous sommes de la présence Éternelle de la Lumière, de la Liberté en toute chose… Et aussi conscients de la Contrainte Agréable… dans « ce » monde !
Parce que, il est juste de s’en rappeler, l’enfant, lui, il fournit bien sûr un effort très important : un effort pour vivre, un effort pour marcher, un effort pour parler, pour apprendre, pour jouer… mais il le fait dans sa joie…
Et en effet, cet effort est, tout simplement, un autre nom de Dieu. Cet effort n’est pas alors imaginé séparé ou opposé à Dieu.
L’effort Lumineux et le repos Lumineux expriment tous les deux la Lumière Éternelle… Et ceci quel que soit le niveau de conscience, enfantin ou adulte, auquel nous sommes arrivés à cet instant.
Tout est effort ! Vivre, c’est faire un effort permanent… C’est le flux de la Lumière !
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Oui, c’est vrai… Mais cependant, moi, j’ai toujours eu un problème avec l’effort physique. Mais… je pense que c’est tout simplement dû à la façon dont je le vis.
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Tu veux dire ,peut-être : à la façon dont tu « l’as vécu ».
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Oui, j’ai oublié. C’est vrai, que je suis plus heureuse de dire « La façon dont je l’ai vécu » que de dire « La façon dont je le vis ».
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Mais revenons à l’effort physique… Et aux difficultés que certains peuvent avoir avec lui. Tout cela semble être le résultat de la répétition de la perte de conscience de la Lumière… Et il faut le remarquer, cela existe aussi bien, chez les gens aisées que chez les gens pauvres financièrement…
C’est le résultat de la façon dont nous avons été enseignés… et dont nous avons nous-même enseigné aux autres… Et ceci aux différentes époques de notre passé !
Et donc, il s’est répandu cette idée que l’effort physique avait une valeur inférieure…
Libres riches, libres pauvres
Et il y a des gens qui travaillent beaucoup physiquement et d’autres qui ne font rien physiquement…
Par exemple, il y a des gens riches qui vivent confortablement sans travailler, sans faire d’efforts physiques difficiles et il y a des gens pauvres qui travaillent énormément et très durement, pour arriver, difficilement, à survivre !
Ces deux situations, en apparence bien différentes, peuvent être utilisées pour vivre la même problématique : en effet, les riches, comme les pauvres peuvent faire la même erreur : être malheureux… être malheureux de ce qu’ils vivent.
Ces deux catégories d’êtres humains peuvent se priver du Paradis, alors qu’ils peuvent également choisir d’être heureux , les uns d’être heureux riches, les autres d’être heureux pauvres…
Et, si les uns ou les autres, nous choisissons d’être heureux de la situation où nous nous trouvons à ce moment donné de notre existence terrestre, il y a toujours quelque chose de nouveaux qui se passe dans notre vie : un sentiment de plus grande liberté apparaît, notre esprit s’ouvre, une nouvelle clarté apparaît à notre conscience, un sentiment de plus grande justice se développe sainement en nous…
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Oui, oui, c’est bien vrai…
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Évidemment… C’est logique ! Toutes les vertus augmentent avec la joie. Chaque fois que nous sommes plus heureux toutes nos vertus se développent un peu plus : nous sommes plus courageux, plus persévérants, plus justes, plus généreux, plus intelligents… etc… au fur et à mesure où nous sommes plus heureux.
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Hier j’ai bien vu cela : heureuse, j’ai eu une grande efficacité ! J’ai tout fait avec plaisir… Qu’est-ce que j’ai été contente de ma journée ! Je n’en suis pas revenue !
Mémoires transcendées
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Oui, mais maintenant, cette belle journée que tu as vécus, elle fait partie de tes mémoires pour toujours ! Tu ne peux plus l’oublier : c’est inscrit pour toujours, que tu en sois consciente ou inconsciente !
Ta conception de la vie a évolué.
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Oh oui ! Ça a été une expérience !
■
Mais, nous avons eu de nombreuses fois ce genre d’expérience…
Et, à chaque fois, notre capital mémoire a évolué : le rapport des « pourcentages » des mémoires Lumineuses, d’un côté, et des mémoires ombreuses, de l’autre, ont changé… et ceci en faveur de nos mémoires Lumineuses.
Et hop ! Voilà ! Ça s’accumule ! Et, plus ou moins rapidement, selon notre courage, selon notre détermination, de plus en plus de nos mémoires ombreuses vont être guéries… Et un jour, toutes le seront !
En effet, toutes les mémoires ombreuses que nous avons mises en place dans notre passé humain sont vouées à être reconnues comme Lumineuses, un jour ou l’autre !
Pour en revenir à l’Hydre de Lerne de la mythologie grecque, on nous dit que le seul moment où Hercule a pu en finir avec l’Hydre, ce monstre terrible, le seul moment où il a pu, soi-disant, « vaincre » son ennemi, selon les termes de l’époque, c’est quand il a pris l’Hydre entière et qu’il l’a élevé au-dessus de sa tête : « il l’a élevé au plus haut » …
En fait, «Hercules a tout simplement aimé son ennemi », comme cela nous a été dit plus tard, il y a 2000 ans… Il a reconnu la Lumière « dans » l’ombre, comme nous en avons parlé plusieurs fois ensemble !
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Je ne me souvenais plus comment il s’en était sorti…
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C’est une version de ce mythe en tout cas… Il y a plusieurs versions de cet épisode des travaux d’Hercules… Mais j’aime beaucoup celle-ci : Il coupe une tête de l’Hydre… et il en repousse deux ! Il coupe encore d’autres têtes et à chaque fois, les têtes repoussent en se multipliant…
Et à un moment donné, il réalise qu’il ne s’en sortira pas en « combattant » toutes ces têtes, alors il prend à bras le corps « toute » l’Hydre et il l’élève au-dessus de sa tête : et là, fin du « combat » ! Il a transcendé… Il a aimé son ennemi.
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C’est vrai que c’est comme ça, dans les faits !
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Tous ces symboles anciens peuvent être très beaux… Une fois que nous sommes heureux, une fois que nous « voyons » la Lumière là où Elle est, c’est à dire partout, on comprend beaucoup mieux ces mythes magnifiques qui ont participé à la reconstruction de l’humanité…
Et nous réalisons, également, que des beaux Êtres, aux pensées les plus élevées, ont toujours, dans toutes les civilisations, participé au retour de l’humanité dans son Paradis Originel.
Adoration immédiate
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Donc, en fait, si nous sommes dans le fonctionnement globale de voir de plus en plus la Lumière en toute chose, et en particulier de La voir dans l’ombre, il y a un moment où nous offrons tout à la Lumière… sans plus tarder… sans hésiter… Et ainsi nous allons vachement plus vite !
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Oui, c’est une adoration : nous offrons tout à la Lumière… Tout Lui est « sacrifié » … Nous rendons tout à Dieu… Allez, zou ! Et là, évidemment, notre vie se simplifie… Et se simplifie encore… Et toujours plus…
Et ce n’est qu’agréable…
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C’est important ! C’est très important que ce soit agréable… c’est très important parce que, sinon, nous ne le faisons pas.
Je veux dire : j’ai souvent constaté et j’ai souvent posé la question de cette notion de « service », de donner… et tout…
Et je me disais que nous ne pouvons pas être au service si nous ne le faisons pas joyeusement. Et là, je me disais : je ne vois pas comment !
Tu vois, cette gratitude avec Dieu… Moi, je le « sais » mais je ne l’ai pas, je ne la « vis » pas… Mais, en fait, c’est simplement une expérience à faire… et tout peut changer.
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Tu ne la « vivais » pas, mais tu la vis certainement de mieux en mieux… Et ça va continuer à augmenter…
Pari gagnant
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Oui, ça me paraît possible aujourd’hui… Mais avant, si je voulais être vraiment honnête avec moi-même, je « pensais » bien que ce n’était pas ça encore !
Je vois bien cela grâce à certains de mes amis qui sont dans l’action, dans le service, mais qui y sont « joyeusement » !
Nous ne pouvons pas tricher avec ça… Nous pouvons essayer de faire semblant d’être joyeux, mais ça ne marche pas ! En tous les cas, pour moi, cela n’avait jamais marché.
Et du coup des expériences comme celle de hier sont fondamentales, parce que, là, je me rends compte que je peux le « faire » … et ça me fait du bien… C’est ça qui est important.
C’est pour cela que nous sommes renvoyés sans arrêt à cette notion de « bien-être » que je ne comprenais pas… Parce que cela me semblait assez antinomique : donner tout… et en même temps rester dans le bien-être ! Je ne comprenais pas… Je voulais bien le faire mais je ne comprenais pas…
Donc, ce n’est seulement que par l’expérience de notre vécue du bien-être et de la joie que que nous pouvons continuer… et augmenter, en fait, notre conscience de la Lumière…
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Oui, cela fait boule de neige.
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Mais, maintenant je fais le pari de le faire, de l’expérimenter…
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Oui, bien sûr… chaque fois que nous le faisons, cela marche bien… Ça se voit clairement que ça marche bien !
C’est un pari toujours gagnant.
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Parce que jusqu’à là, j’attendais presque d’attendre d’être heureuse pour le faire… Alors que là, je sais que c’est possible de suite… en l’état !
Tu comprends ?
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Oui, oui, oui ! C’était, en effet, le langage tenu habituellement dans le passé…
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Ah, oui, ça c’est vrai ! Alors que là, je sais maintenant que c’est possible autrement… tout de suite !
Dieu omniprésent
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J’utilise souvent un petit schéma bien simple, mais qui m’aide efficacement à expliquer certaines choses aux gens : Je dessine un point « A » qui symbolise « ce que je suis » et, à un autre endroit, un point « B » qui symbolise « ce que je devrais être » … C’est à dire ce que l’ombre exige que je sois.
En effet, l’idée proposée par l’ombre a toujours été que « nous devions être autre chose que ce que nous sommes » et donc que nous devons toujours nous rendre du point « A » (où l’ombre nous dit que nous ne sommes pas ce que nous devrions être) au point « B » (où nous serions, prétendument, ce que nous devrions être d’après la même ombre) pour enfin pouvoir « devenir heureux »!
L’ombre en nous imagine donc une distance fictive entre le point « A » et le point « B » … et une direction.
Et tu sais comment nous pouvons nommer cette « distance » imaginaire, qui existerait d’après l’ombre, entre ces points « A », où nous sommes et « B », où nous devrions être ?
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… Non…
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Et bien cette distance imaginée entre le point « A » et le point « B » nous la nommons en général : la « souffrance » …
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Ah oui ! C’est tout à fait ça !
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La souffrance, c’est ce que l’on vit quand on prétend que A et B sont 2 points séparés, éloignés… Et bien sûr d’inégale valeur divine !
Et notre souffrance est d’autant plus grande que nous imaginons ces deux points plus éloignés l’un de l’autre !
Et pourtant, le truc est simple… La solution, il n’y en a qu’une :
Il s’agit simplement de reconnaître la vérité que « A » = « B » … et que bien sûr, du coup, nous savons qu’il n’y a aucune distance entre les deux !
« Cessons de vouloir devenir pour accepter être. »
C’est-à-dire qu’il faut simplement reconnaître que « A » et « B » sont deux noms de Dieu et que je suis parfaitement en Dieu, aussi bien en « A » qu’en « B » …
Et là, c’est le bonheur immédiat… Enfin détendu !
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C’est une façon de symboliser très parlante…
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C’est l’attitude la plus sûre…
« Cessons de vouloir devenir, pour accepter être »
Alors, là, nous nous régalons de tout…
Et nous pouvons nous trouver en « À », en « B » ou en tout autre point de l’univers, dans la joie, c’est à dire conscient de l’omniprésence de Dieu… et là, il n’y a aucun problème : là où nous sommes, nous sommes parfaitement heureux… d’y être !
Et donc, nous sommes dans ce mouvement, dans ce travail : Petit à petit nous abandonnons cette prétendue distance entre « A » et « B »… Ou entre « toi » et « moi » etc.
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Oui, je sens bien ce que tu dis, dans mon vécu.
Mourir de notre « belle mort »
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Nous reconnaissons de mieux en mieux qu’il n’y a pas de distance entre « Dieu » et « Dieu ». Donc que nous soyons « là-bas » ou « ici », nous sommes en Lui et nous pouvons vivre la danse de « notre » vie libre et heureux !
Nous pouvons faire tel ou tel chemin sans perdre conscience que la Lumière est Omniprésente, vraiment Omniprésente !
Et, bien sûr, cela va donner des styles très différents, évidemment : parmi nous, personne ne va faire le même dessin, personne ne va faire la même musique. Chacun de nous va danser à sa façon parce qu’il danse dans la conscience de la Lumière Omniprésente, il est dans la Lumière, où qu’il soit … et c’est simplement Beau !
Ça peut être une jeune personne ou une vieille personne… Cela sera Beau de toute les façons !
De Deux Petits Artisans de la Lumière parmi d’autres : ■ et ●
…
Vaccins et bonheur
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J’ai une question sur les vaccins… En fait, c’est un conseil que je demande, car je pense qu’à plus ou moins long terme nous allons être obligés de nous faire vacciner… ou pas… je n’en sais rien !
Est-ce qu’il y a des précautions à prendre, avant, pendant, après… ou pas ?
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Eh bien, la première chose, et c’est la plus importante à mon point de vue, et je n’arrête pas de la répéter, c’est que, si jamais une personne est obligée de se faire vacciner, parce que, dans notre société, telle qu’elle est pour l’instant, elle ne peut pas légalement y échapper vu sa position sociale, il faut alors, absolument, qu’elle choisisse d’être heureuse d’être obligée se faire vacciner !
Être heureux, c’est un choix… C’est un choix essentiel !
Et plus nous pratiquons ce choix, plus il est facile de le faire…
… Rires…
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Oui ! Ça, j’y ai pensé…
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Sinon, si nous ne savons pas être heureux d’être contraints de nous faire vacciner, nous allons vers des problèmes, comme trop de gens le font !
Et là, ils ont un effet « nocebo » maximum.
Être heureux, dans ce cas là comme dans beaucoup d’autres, c’est là la priorité des priorités ! Parce que si nous ne faisons pas cela, nous nous mettons en danger nous-même ! C’est comme si nous choisissions alors de nous mettre en danger…
Il faut donc, dans ce genre de situation, comme dans toutes les autres d’ailleurs, être heureux en remettant notre vie entre les mains de la Lumière !
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Comme Elle l’est !
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Oui, comme Elle l’est en Réalité, que nous en soyons conscient ou pas ! Tu as tout à fait raison…
Mais, là, c’est vraiment le moment d’en avoir encore plus conscience… ou d’en prendre à nouveau conscience !
Il est totalement utile que nous ayons conscience de ce Fait Absolu : nous sommes entre les mains de Dieu… et nous sommes en sécurité…
Notre foi doit augmenter chaque jour… Et chaque événement est l’occasion, pour chacun de nous, de l’augmenter.
Placebo
Ensuite, il faut soutenir, au niveau pratique, cette priorité sans laquelle nous ne pourrons pas « passer » sainement et agréablement à l’instant suivant…
Pour cela, il est donc utile que nous mettions en place le meilleur effet « placebo » possible, pour nous soutenir moralement…
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Pour soutenir notre corps également !
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Oui, bien sûr également, car le Corps et la Pensée ne sont aucunement séparés !
Donc, si tu te fais vacciner, ce que je conseille aux gens de faire après la vaccination… (et c’est ce que je ferais moi-aussi, si j’y étais obligé) : c’est de mettre un emplâtre d’argile verte pendant plusieurs jours à l’endroit de l’injection…
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Oui, ça c’est un truc déjà connu !
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Oui ! C’est tout simple et sans danger… Tu le mets le plus souvent possible, peut-être pendant la moitié des 1ères journées après la vaccination…
C’est pour cela qu’il faut essayer d’obtenir que l’injection ne soit pas faite trop haut dans l’épaule, mais plus bas sur le bras, car sinon, ce n’est vraiment pas pratique pour placer un emplâtre !
Cela étant, s’il y a tout de même des symptômes qui surviennent et que la personne n’a pas pu rester indemne face à cette intervention artificielle qu’est ce type de vaccination, alors là, il faudra étudier les symptômes… car, c’est en fonction des symptômes que l’on pourra proposer, par exemple, un traitement homéopathique pour stimuler le système homéostasique et l’aider à résoudre le problème qui est posé au « Corps-Pensée-Âme » et qu’il n’arrive visiblement pas à bien solutionner par lui-même.
En effet, s’il y a des symptômes, c’est qu’il y a un système de survie qui a été mis en place et que le corps cherche sa guérison sans y être, pour l’instant, arrivé : il cherche la solution… et alors il y a des symptômes !
Et c’est selon ces symptômes, qui sont personnels à chacun, que le thérapeute va choisir son attitude pour soutenir les effort de ce corps dans la recherche de son équilibre…
Symptômes nos amis
Si les symptômes persistent, c’est que le corps n’y est pas encore arrivé et un traitement raisonnable aura pour but de le soutenir dans son effort de rééquilibrage… jusqu’au succès… et non pas de les supprimer, ces symptômes !
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C’est ce que l’on dit pour la fièvre, qu’il faut soutenir, car cela fait partie des symptômes qui expriment l’effort que fait le corps pour retrouver son homéostasie ?
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Exactement ! Il ne faut pas combattre l’effort que fait le corps pour retrouver son équilibre, mais au contraire, bien sûr, le soutenir ! La fièvre est l’un des moyens les plus importants que les corps ont mis en place depuis l’existence des corps à sang chaud et peut être même avant…
En effet, par exemple, en homéopathie, le remède a pour but de soutenir le système « soi-disant de défense » (je ne trouve pas ce terme judicieux, car il n’y a pas nécessairement d’attaque), donc plutôt « le système immunitaire » peut-être…
Mais pas que ! … car tout le corps est un système de maintien de sa propre vie… y compris le système immunitaire, bien sûr !
Tout traitement efficace, quel qu’il soit, aura comme effet d’accompagner le corps dans la direction, que « lui » choisit, pour l’aider à résoudre « son » déséquilibre !
En homéopathie, donc, on donnera au corps des informations à l’aide d’une substance « dynamisée » qui sera la même que celle qui a donné les mêmes symptômes lorsqu’on l’a administrée à une personne saine au cours des expérimentations;
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Oui ! Oui, j’ai été soigné pendant longtemps par l’homéopathie…
L’avantage de l’effet placebo
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Voilà, mon point de vue : c’est celui-ci… Mais, il y a des gens qui prennent des remèdes avant un événement particulier, comme pour « préparer » leur corps à cet évènement …
Je pense que l’homéopathie n’est pas prédictive… Cela se place dans le présent : le corps a une réaction pour pouvoir se rééquilibrer et on va donner une substance pour aider l’action que le corps a lui-même, déjà, engagée.
Donc, pour moi, prendre un traitement à l’avance, n’est pas logique, au point de vue purement « homéopathique » …
Mais, par contre, cela a un avantage qui n’est pas à négliger : c’est « l’effet placebo », que l’on a toujours, et qui est plus ou moins puissant selon notre croyance, lorsque l’on choisit d’utiliser un traitement, quel qu’il soit !
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Ah oui ! Il est là… Il est bien, cet effet placebo…
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Il y a, en effet, toujours l’effet placebo ! Et c’est pour ça qu’il ne faut jamais décourager quelqu’un (et c’est pour cela que je ne le fais pas), il ne faut donc jamais décourager quelqu’un qui croit que, parce qu’il prend, par exemple, Arnica avant une intervention chirurgicale, ça va mieux se passer ! C’est parfait : qu’il en prenne !
Au niveau purement homéopathique, c’est, peut-être, pensé inefficace… En revanche, il y aura toujours l’avantage de l’effet placebo !
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Oui, oui ! C’est logique…
L’effet placebo est toujours à encourager
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Il faut donc soutenir toute personne dans l’effet placebo qu’elle a choisi ! Peu importe quelle forme cela prend : il faut le soutenir ! Plus l’effet placebo sera important, plus le corps sera soutenu dans son effort de rééquilibrage !
Et ce n’est jamais, bien sûr, un bon choix de diminuer l’effet placebo que la personne a choisi, en le critiquant ou pire en s’en moquant… Il faut, au contraire, le soutenir et l’encourager !
Chez l’Être humain, dès qu’il pense, il y a toujours un effet placebo… Ou nocebo !
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Oui, il ne faut vraiment pas oublier ça !
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L’effet placebo c’est, tout simplement, l’effet de la pensée ! Souvent, on n’ose pas le dire ouvertement, mais l’effet placebo, c’est, tout simplement, « le pouvoir de la pensée » !
Si tu veux, « c’est la conscience qui fait toute la différence ». Quelle conscience, de ce qu’elle vit, la personne va-t-elle choisir ?
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Mais, c’est un peu plus que ça quand même… Parce que quand on fait des tests classiques scientifiques, les gens ne savent pas s’ils prennent le placebo ou le médicament.
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Oui c’est vrai tu as raison ! Normalement, ils ne devraient même pas savoir qu’ils font partie d’une étude qui compare 2 groupes différents…
Oui ! Mais, en revanche, ils ont confiance dans leurs médecins et c’est pour cela qu’ils choisissent de subir ce traitement, quel qu’il soit… en ne sachant pas ce dont il retourne.
Et leur confiance en leur thérapeute, c’est leur placebo ! Plus leur confiance est grande dans les thérapeutes qui s’occupent d’eux, plus leur effet placebo sera puissant ! Et mieux leur corps retrouvera son équilibre…
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Oui, c’est vrai, bien sûr !
Conscience et inconscience entremêlées
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Mais, la conscience, c’est à la fois simple… et compliquée !
Ce n’est pas aussi carré que nous le pensons en général… Il n’y a pas « conscience » et « inconscience » séparées l’une de l’autre, avec une sorte de barrière fixe entre les deux, une ligne qui serait très fine entre les deux qui ne varirait pas…
Non ! La frontière entre la conscience et l’inconscience est très, très mobile et donc très flou ! Par exemple, nous savons plein de choses que nous ne croyons pas savoir et à l’inverse nous ne savons pas plein de choses que nous croyons savoir…
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Ah oui, ? Il y a des niveaux de conscience entremêlés… Je n’avais pas pensé à ça ! Mais, c’est vrai… Il y a l’intuition… Et puis, le corps peut te parler d’une certaine façon !
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Donc, tu vois, c’est très flou ! En fait, c’est un halo total… C’est un mixe infini…
Parce que, si nous sommes dans un moment merveilleux de croyance totale en Dieu Infini, Éternel, Omniprésent… là, nous savons que Dieu est Tout !
Alors, cette conscience, c’est donc Dieu ! Mais, puisque Dieu « est » Tout, l’inconscience, c’est aussi Dieu…
Donc, la totalité de notre conscience + la totalité de notre inconscience, c’est le Divin… Et il n’y a pas de séparation entre ces différents aspects de Dieu, mais bien une Unité Absolue !
Rires…
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Oui ! C’est toujours pareil ! Donc, ce n’est pas aussi simple que ça…
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Non, ce n’est pas une ligne droite avec une frontière immobile et stable entre l’inconscient et le conscient.
Une preuve, parmi d’autres, c’est que parfois on peut être conscient pour l’autre, on peut savoir une vérité sur l’autre que lui ne sait pas à cet instant…
Il ne le sait pas lui-même, mais quelque part, il en est conscient puisqu’il y a des réactions dans sa vie, des manifestations dans son corps, qui lui ont fait se poser des questions ! Et c’est pour cela qu’il communique avec toi…
Et puis, lorsque tu lui exprimes la conscience que tu as à son propos, il peut, s’il le veut, prendre conscience de son inconscience… et hop ! sa vie peut changer…
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Oui, oui, oui ! C’est bien comme cela que ça se passe, souvent…
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Donc, c’est très, très, flou… Mais, en général, on fait comme ça : nous séparons nettement la conscience de l’inconscient, ce qui est souvent pratique pour réfléchir jusqu’à un certain point…
Mais, en réalité, cette séparation, elle n’existe pas… Elle n’existe pas dans l’Unité de Dieu qui est Tout !
Petit schéma
Pour illustrer ce que nous venons de dire, nous pouvons faire un schéma très simple : Prenons une feuille blanche, en A4 par exemple, qui est rectangulaire… Mais là, nous, pour notre discussion, nous allons imaginer que cette feuille blanche, elle est sans limite à l’infini… Et ainsi elle va symboliser, pour nous, l’Infinité de Dieu…
Et puis là, sur cette surface imaginée Infinie, je dessine une surface limitée par un trait rouge très floue qui symbolise ma conscience finie qui se trouve à l’intérieur de cette surface infinie (je la nomme conscience de 1 dans le schéma ci-dessous)…
Et donc tout le reste de cette surface infinie qui est à l’extérieur de ma conscience, c’est mon inconscience infinie (nommée inconscience de 1)…
Donc, en fait, je suis conscient de Dieu ici à l’intérieur, puisque je ne peux être conscient que de Lui… Et je suis inconscient de Dieu à l’extérieur, puisque je ne peux être inconscient que de Lui… Puisqu’Il Est Tout !
Mais, cette ligne qui représente la limite entre les deux, elle n’est pas fixe, mais elle est infiniment mobile… Sans arrêt ça bouge ça fluctue, un peu comme les limites d’une amibe sous le microscope !
Ici, j’ai essayé de représenter ce mouvement incessant par une zone de floue… Mais, ce serait pratique, plutôt, de parler de cela avec une vidéo qui donnerait un mouvement incessant de cette soi-disant limite…
En effet, parfois, je suis fortement conscient de quelque chose, c’est à dire d’un aspect particulier de Dieu et j’oublie le reste dont je suis alors inconscient…
Et puis l’instant d’après, je vais me concentrer sur autre chose, c’est à dire sur un autre aspect de Dieu et perdre conscience du reste… etc… etc… Et ceci évolue sans cesse, d’instant en instant !
Maintenant, si je dessine la conscience et l’inconscience d’une autre personne, en violet (conscience de l’autre nommée : 2) … On voit bien que sa conscience et la mienne (1 = conscience de moi) se chevauchent en une conscience commune nommée 3...
La zone 3, c’est notre conscience commune du Divin… à un moment donné seulement, puisque tout cela est complètement mobile … Et donc cette conscience commune 3, elle va évoluer sans cesse !
Ensuite, il y a également une zone où je suis conscient et où l’autre personne est inconsciente (1 – 3 : 1 moins 3)… Et réciproquement, il y a une zone ou l’autre, lui, est conscient et moi, je suis inconscient (2 –3)…
Et tout cela change également sans cesse.
Et, enfin, il y a tout le reste, qui, quelle que soit les évolutions incessantes de nos deux consciences qui augmentent sans cesse, ce reste qui est cet Infini où nous sommes tous les deux inconscients de Dieu, évidemment.
Mais, tout ça, est mobile, rien n’est fixé…
Nos conscience augmentent sans cesse dans un Infini qui reste « Infini ».
Joie et souffrance
Maintenant, en utilisant toujours ce simple genre de petit schéma, nous pouvons parler de « la joie » et de la « souffrance » et de leur relation avec la conscience et l’inconscience :
La Joie c’est, en effet, ce que nous ressentons chaque fois que nous expérimentons une « augmentation de notre conscience du Divin » : à ce moment-là, il y a une ouverture de notre conscience… Et nous vivons la Joie !
Sur notre schéma cela se dessine comme une sorte de hernie qui se fait à partir de la limite de ma conscience, et qui schématise une augmentation de notre conscience qui se fait dans une direction ou dans une autre !
En revanche, chaque fois que nous souffrons, notre « Souffrance » est un merveilleux signal d’alarme qui nous permet, si nous l’écoutons, de savoir, avec une mi-temps de retard, que nous venons de « freiner l’expansion naturelle de notre conscience de la Lumière » … Soit un peu, soit beaucoup !
Également, la zone « 3 » où les 2 consciences se recouvrent est très importante dans nos échanges entre Être humains… C’est en effet la zone de notre conscience commune… Nous communiquons essentiellement à partir de cette zone de conscience commune qui, pourtant, est si mobile…
Cette zone 3, c’est en effet une zone à partir de laquelle on peut s’entraider beaucoup à favoriser l’ouverture de nos consciences, et l’un et l’autre…
En effet, au bord de cette zone, l’un des deux est conscient et l’autre ne l’est pas, à ce même instant. Et là, si nous pouvons avoir une communication unitaire efficace, on va avoir comme résultat que chacun va gagner de la conscience sur sa propre inconscience grâce à la conscience de l’autre … et de même également, symétriquement l’autre peut le faire aussi s’il le veut, bien sûr…
Et cela permet à chacun d’ouvrir un peu plus sa conscience à la Lumière… et donc de vivre un instant de Joie !
Voilà, ceci est un petit schéma tout simple, tout bête, mais qui dit bien des choses ! Il serait pratique de faire une vidéo pour imager cette notion, ces notions, plus justement. Mais, pour l’instant, j’ai fait ce schéma-là… et il m’aide beaucoup depuis de nombreuses années…
Donc, la joie, c’est ce que nous ressentons chaque fois que nous favorisons « l’ouverture naturelle de notre conscience » (et chacun peut sentir cette ouverture qui a, également bien sûr, une manifestation physique).
Et la souffrance, c’est l’alarme bienveillante qui sonne pour me prévenir d’un frein que je mets à l’ouverture naturelle de ma conscience de la Lumière… (et là chacun, également, a pu sentir la rétraction, le resserrement, y compris bien sûr, au niveau de son corps)
La souffrance, une invitation à la joie
Et donc, finalement, la souffrance est une invitation à favoriser un lâcher-prise pour permettre une ouverture de conscience supplémentaire plus grande !
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Et voilà, nous revenons à notre sujet !
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En réalité donc, je ne crois pas que l’on puisse « perdre » conscience… Je ne le crois vraiment pas.
Mais, nous ne pouvons que mettre « un frein » à notre ouverture de conscience naturelle… Nous pouvons probablement le faire en sclérosant, en fixant, en rigidifiant notre conscience, en tous les cas, ses limites… Mais reperdre conscience, je ne peux pas croire que ce soit possible.
Je ne serais vraiment pas heureux de le penser… Alors, je ne le pense pas !
Et puis, sinon, pourquoi ne pourrions-nous pas perdre la libre conscience humaine pour retrouver une simple conscience animale ou végétale ?
Mais on ne le peut pas ! On ne peut donc que ralentir, que retarder, une augmentation naturelle de notre conscience de la Lumière… qui est « inéluctable »…
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À ce moment-là, ce n’est pas tout à fait pareil… Nous pouvons la nier…
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« L’ouverture de conscience » est un Don de Dieu que personne ne peut nous enlever… pas même nous-même…
Nous ne pouvons que la retarder ! Et encore la retarder par rapport à quel programme ? Y-a-t-il un programme pour un Être doté du libre arbitre ?
Alors pouvons-nous réellement parler de « retard » ? Comment comparer deux êtres qui, tous les deux, ont le libre arbitre ?
Il n’y a qu’un seul repère fixe ! C’est Dieu Lui-même.
Et si deux Êtres humains prennent Dieu comme seul point de repère fixe… Alors là, c’est hypersimple :
Si nous avons le courage de nous comparer à l’Infini, nous faisons la seule comparaison qui soit raisonnable…
Alors, là, nous ne pouvons que prendre conscience, en effet, que tous les Êtres qui existent ont encore à parcourir exactement le même Infini… Et cela, quel que soit le kilométrage déjà parcouru !
Nous sommes tous, « tous » les Êtres de l’Univers, face au même Infini.
Et le Libre Arbitre qui nous est donné depuis le début de l’humanité, ne permet aucun programme pour parcourir cet Infini !
Il y a un Plan Divin, mais pas de programmes pour les hommes…
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Mais, c’est un peu le même problème de partout… La conscience, nous l’avons au départ !
Le Don de l’ouverture de conscience
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Nous sommes, en effet, créés parfait par le Divin… Alors, je vais dire plutôt que dès le départ, ce que nous avons, c’est « le Don de l’ouverture de conscience » … Nous l’avons depuis le début de la création et pour toujours ! C’est à dire depuis toujours et pour toujours…
Nous sommes créés en tant que « mouvement d’ouverture de conscience »…
Toute Création de Dieu est un « mouvement », pas un état immobile !
Nous « sommes », tous les Êtres, un mouvement de conscience…
Nous faisons partie d’une ouverture de conscience illimitée.
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Donc… C’est un mouvement d’expansion ?
■
Oui ! Un mouvement d’expansion naturelle, obligatoire et illimitée… rapide ou lent selon notre conception du temps.
●
Donc, en fait, cette soi-disant perte de conscience est une illusion ?
■
Oui, de mon point de vue, une illusion qui est un aspect de l’illusion de l’ombre.
Nous sommes créés Parfaits par le Divin ! Mais le réaliser de plus en plus, en prendre de plus en plus conscience, va nous prendre un temps infini !
Il est en effet facile de réaliser que pour prendre conscience de l’Infini, il nous faut l’Éternité…
Je vais le dire autrement : nous sommes créés « en mouvement d’ouverture de conscience ».
Nous « sommes » un mouvement d’ouverture conscience…
Chacun de nous est une conscience qui s’ouvre depuis toujours et pour toujours !
Tout ce qui existe est une ouverture de conscience
Mais, ceci n’est pas propre à l’homme !
C’est tout ce qui existe qui grandit en conscience :
Le minéral, lui, a une conscience « minérale » qui s’ouvre…
Puis le végétal, lui aussi, a une certaine conscience « végétale » qui est plus grande que la conscience minérale et qui s’ouvre…
Puis l’animal a encore une conscience « animale » qui s’est encore élargie et qui continue à s’ouvrir…
Et enfin, pour l’instant, il y a eu depuis peu une « libre conscience humaine » qui s’élargit à un rythme qui dépend du Libre Arbitre qui a été donné à chacune de ces consciences humaines …
Donc, la conscience du Tout s’ouvre depuis toujours !
Et cette conscience s’ouvrira toujours !
●
Donc… C’est un mouvement d’expansion…
■
Oui ! Oui, c’est un mouvement d’expansion naturelle et obligatoire… plus ou moins rapide ou lent !
Mais, je pense pour l’instant que ce mouvement n’est pas le même lorsque nous freinons l’ouverture naturelle de la conscience que lorsque l’expansion de la conscience suit son évolution naturelle, parce que :
Effectivement, dans la soi-disant perte de conscience nous ne perdons pas ce que nous avons gagné… mais nous pouvons le nier !
Alors que dans l’ouverture de conscience, nous gagnons pour toujours la conscience que nous avons gagné !
●
Nous pouvons donc nier la conscience de la Lumière que nous avons eu… mais elle est toujours là pour toujours ! Sinon, nous n’aurions même pas la possibilité de la nier ?
■
Oui, c’est cela, à mon avis… Je ne pense pas que nous puissions réellement « perdre » conscience de ce dont nous avons eu conscience…
Par exemple, on ne peut pas revenir en arrière, à une conscience strictement animale, ou strictement végétale, ou strictement minérale. Nous avons, pour toujours, ces différentes consciences en nous… Mais depuis peu, nous avons aussi la conscience humaine, avec ce fameux Libre Arbitre…
D’ailleurs, si nous pouvions « perdre » vraiment notre conscience… et bien, par exemple, si nous allions à l’extrême, nous pourrions revenir à une conscience uniquement minérale…
Mais ce n’est pas possible ! Une conscience de la Lumière est acquise pour toujours !
Dieu ne reprend jamais ce qu’Il a donné !
Dans son Amour Parfait, Dieu ne sait donner que pour toujours…
Donc, pour toujours, l’homme a la conscience minérale, la conscience végétale, la conscience animale en lui et, bien sûr, depuis très peu de temps, la libre conscience humaine qui lui ont été donné pour toujours…
Nous sommes de, très, très jeune « libre conscience humaine » !
Cette « panique », terrible, de l’ombre, c’est le résultat de la rencontre, à un même instant, d’une part de « son immense espoir de ne plus souffrir » et d’autre part « de ses mémoires de toutes ses immenses déceptions passées » !
En effet l’ombre n’a jamais pu que vivre des déceptions… Elle n’a jamais pu vivre le bonheur sans condition, jamais !
Alors qu’au plus profond de lui, tous les êtres, quelle que soit leur conscience, ne veulent être qu’heureux, tout de suite et sans aucune condition.
Alors, il y a au même moment le « frétillement angoissé » de savoir, que d’une part, nous pouvons guérir de nos tourments extrêmes qui nous semblent durer depuis toujours et, d’autre part, que nous pouvons, une fois de plus, revivre la déception démesurée que nous avons vécu si souvent dans le passé !
C’est ça, « la panique de l’ombre » !
En effet, nous n’avons jamais perdu conscience de la Lumière dans la joie ! L’ombre n’a été « que » souffrance…
Cela a été une immense souffrance que nous avons vécu pendant chacune de nos nombreuses vies passées…
Mais, il n’y a que la conscience de la Lumière qui puisse rendre à l’ombre sa Vérité … On ne peut pas faire autrement ! Il n’y a pas de plan B.
Et, depuis le début de l’ombre, c’est à dire depuis le presque début de l’humanité, chacun d’entre nous, y compris les plus sombres, ne rêvent que d’en être soulagés !
●
Oui, c’est vrai, nous le rêvons tous !
■
Mais combien, combien ont vécu, avant ce jour, leur rêve jusqu’au bout ?
●
Cette ombre doit révéler la Lumière qu’elle ne peut qu’être.
■
Oui! Cette ombre, imaginée par elle-même, doit révéler la Vraie Lumière Merveilleuse qu’elle Est depuis toujours et pour toujours !
Révélations
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Mais attention ! Ce n’est pas qu’elle doit « devenir » Lumière… Comment peut-elle devenir ce qu’elle est : l’ombre doit simplement révéler qu’elle est Lumière depuis toujours…
●
Oui, c’est vrai ! Je suis d’accord… Il faut que nous soyons attentifs à nos paroles, car elles expriment notre conscience…
■
Oui, c’est en écoutant nos paroles que nous pouvons le plus souvent prendre connaissance de l’état de notre conscience… Et nous pouvons ainsi en permettre l’ouverture, toujours plus grande.
L’ombre, cette perte de conscience de la Lumière, a eu un début… et elle a une fin ! Tout ce qui a un début a une fin !
Seule la Lumière, Elle-même, n’a ni début, ni fin…
La Lumière est Éternelle…
●
Mais alors, si la Lumière est Éternelle, si Elle est Tout depuis toujours, qu’est-ce qui n’est pas la Lumière ?
L’ombre finit dès que nous reconnaissons la Lumière en elle ! Dès que nous reprenons conscience de la Lumière en Tout… « y compris en elle » !
Jusqu’à sa fin, l’ombre n’avait jamais pu voir, en elle-même, la Lumière !
L’ombre n’avait jamais pu suivre le fil d’Ariane dont elle est elle-même tissée depuis son début !
Le seul fil d’Ariane qui soit c’est la Lumière Elle-même.
La conscience de la Lumière est la seule solution à la perte de conscience de la Lumière.
La Lumière est la seule solution pour l’ombre.
L’ombre est tissée de la Lumière… Il suffit que nous nous révélions, à nous-même, la Lumière dont elle est tissée !
L’ombre doit être révélée à elle-même qu’elle est Lumière, rien que Lumière…
Car la Lumière est l’étoffe de Tout, sans une seule exception… La Lumière est donc, bien sûr, l’étoffe de l’ombre qui en a perdu conscience !
Nous n’avons pas d’autre issue pour sortir du labyrinthe de l’ombre que nous avons construit ! L’ombre, en nous et autour de nous, doit se voir révélée qu’elle est fille de la Lumière… qu’elle a toujours été tissée « Lumière ».
L’ombre n’a été qu’une perte de conscience de la Lumière… Mais, c’est vrai, cette perte de conscience a pu durer des millénaires et des millénaires !
Et de ce fait sa propagande a été entendue un nombre incalculable de fois par chacun de nous ! Et la puissance de cette propagande a été, ces derniers temps, maximale…
En effet, il y a, actuellement, une immense panique de l’ombre en nous et autour de nous, avant sa fin qu’elle sent proche.
Le fil d’Ariane
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Oui, cela a été un fait ! Mais, cependant, l’ombre, ce n’est qu’une perte de conscience… ce n’est pas une perte d’état ?
■
Oui, tu as raison…
Nous devons « reconnaître », c’est à dire « connaître à nouveau », que chacun des murs du labyrinthe que nous avions construit n’a été fabriqué que de la Lumière Éternelle qui est la Source de Tout, mais dont nous avions perdu conscience…
Les murs du labyrinthe eux-mêmes « sont » le fil d’Ariane !
Et nous avons le pouvoir de révéler cela par notre amour tendant vers l’inconditionnel…
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Oui, c’est vraiment ça… C’est ça l’Unité !
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Je trouve que c’est merveilleux
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C’est simple et…
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… Et quand nous en discutons, comme nous le faisons à chaque fois que nous nous rencontrons, nous découvrons toujours de nouvelles facettes de la Lumière… Et aujourd’hui encore, nous venons de le faire… Et nous en découvrirons encore d’autres !
Vu la qualité de notre échange et le respect que l’on a l’un pour l’autre, nous créons des zones de sécurité de suffisamment bonne qualité pour l’un et pour l’autre…
Et de ce fait, nous pouvons, l’un et l’autre faire l’expérience de nouvelles prises de conscience… de la Lumière.
Et là nous volons d’évidence en évidence :
Ah, mais oui ! Ça en fait, c’est de la Lumière Pure et je l’avais simplement oublié…
Ah ! Mais là aussi, ça, c’est de la Lumière Pure et je l’avais aussi oublié !
… Et ainsi de suite… On enlève l’un après l’autre les voiles d’ombre que l’on avait déposé sur nos yeux et qui nous interdisaient de voir la Lumière, pourtant Omniprésente ?
●
C’est vrai que c’est facile et confortable… et toujours enrichissant !
Zéro souffrance
■
De « Mais oui ! » en « Mais oui ! », ça s’ouvre très agréablement et pourtant cela ne nous coûte que « zéro » en souffrance !
Il n’y a aucun prix à payer !
●
Non ! C’est d’une simplicité étonnante !
■
Nous nous voyons depuis quatre ou cinq fois et nous n’avons jamais souffert ni de nous-même, ni de l’autre. Et pourtant nous voyons bien qu’il s’est passé des choses : ensemble, nous avons ouvert ! … nous avons ouvert notre conscience ! … Et nous n’avons pas payé un seul prix de douleur !
●
C’est vrai ! Je ressens ça plutôt comme des lâcher-prises ! Oui ! En fait, je ressens surtout des « lâcher-prises » …
C’est comme quand tu arrêtes de t’agripper à un poteau… puis tu lâche un autre poteau… et puis encore un autre !
Le fait, par exemple, de dire : je ne dois pas convaincre l’autre… « la joie, c’est ce qu’il faut ! » Je n’ai seulement qu’à aimer l’autre tel qu’il est. Point finale !
Illumination de l’ombre
■
En fait quand nous disons « lâcher prise », cela exprime toujours « lâcher prise sur l’ombre » ! Nous devons lâcher le combat avec l’ombre ! Nous devons simplement « illuminer » l’ombre…
●
Ah oui, toujours ! C’est vrai !
■
Il s’agit simplement « d’une illumination de l’ombre ». Parce que c’est ça le lâcher prise : c’est éclairer l’ombre ! Et là, nous la « lâchons », parce qu’elle ne nous semblait exister que par notre perte de conscience de la Lumière…
Je pense que, vraiment, le seul souhait réel de l’ombre, c’est la Lumière… Lumière qu’elle « est », mais dont elle a perdu conscience !
C’est ce que l’on peut observer au fond de chacun d’entre nous : un espoir de la Lumière, un amour de la Lumière, une foi en la Lumière…
●
C’est ce que j’observe en moi, en effet.
■
L’humanité entière n’a qu’un désir : c’est la Lumière… Elle espère « la conscience de la Lumière » ! Car en fait, la Lumière Elle-même, l’humanité, elle L’a… elle L’a depuis toujours et pour toujours !
Rires…
Il faut toujours revenir aux basiques. Et le basique des basiques, c’est, à chaque fois, « plus de conscience de la Lumière » !
Dieu s’est donné, Lui-même, Éternellement… Il ne va pas se reprendre !
Dieu-Lumière ne va pas reprendre ce qu’Il offre : « Lui-même »… Ce n’est pas possible !
Depuis toujours nous sommes des consciences vivantes qui s’ouvrent à la Lumière !
Dieu ne reprend jamais ce qu’il a donné ! Ce n’est pas possible, Il ne sait pas reprendre ! « Reprendre », cela a été une invention de l’ombre.
Si on se regarde soi-même, attentivement, c’est bien comme cela que nous sommes… Oui, c’est comme cela que nous sommes, comme tous les Êtres.
L’humanité n’a qu’un désir : reprendre « conscience » de la Lumière ! Parce que « la Lumière », elle L’a !
Depuis toujours, nous sommes « de Lumière », nous sommes de la Lumière Pure… Nous allons, plus précisément, plutôt dire comme cela : nous sommes de la conscience qui s’ouvre à Lumière…
Chacun de nous est une conscience de la Lumière qui s’ouvre et qui s’ouvrira toujours !
Le mot et la conscience
●
C’est important ce terme de « conscience » … Nous avons eu tendance à le squeezer pour aller plus vite et à dire que « l’on recherche la Lumière », au lieu de dire que « l’on cherche à ouvrir notre conscience de la Lumière qui Elle est Éternellement Présente » !
■
Oui, c’est vrai ! On fait souvent des raccourcis verbaux… Parfois au risque d’une perte du véritable sens.
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Oui, mais c’est important d’en prendre conscience, car parfois, c’est tout le concept qui s’inverse du coup si l’on n’est pas attentif par ce « glissement des mots » … Il y a donc une grande importance du vocabulaire.
■
Oui, c’est vrai, mais ce n’est pourtant pas si grave, ni si compliqué que ça de résoudre ce problème de glissement ! En effet, nous nous entraidons, volontairement et aussi involontairement, les uns les autres à purifier notre langage et à le rendre à la Lumière… Donc, ne nous faisons pas de soucis pour ça !
Et quand il y en a un de nous qui perd un peu trop la conscience réelle du concept dont il parle, soit il s’en aperçoit lui-même, soit quelqu’un le lui signale gentiment…
Et là, nous reprenons le langage le plus adapté, le plus lumineux, celui qui exprime le mieux notre conscience de la Lumière à cet instant et qui est peut-être un peu plus long à exprimer… Oui, c’est vrai !
●
Oui, et cela permet d’être attentif à nos pensées, à notre vocabulaire pour exprimer clairement notre pensée… Ce n’est pas mal ! C’est intéressant ! Nous sommes trop souvent dans le no man’s land du manque de précision…
Effort confortable
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Oui ! Pourtant, ce doit être une attention qui n’est « que » confortable… uniquement confortable.
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Oui, je comprends…
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Ce n’est pas une attention dans laquelle il nous faut fournir un effort désagréable pour être attentif, comme l’ombre nous l’a appris pendant des millénaires !
Non ! c’est un effort qui n’est qu’agréable. S’il n’est pas qu’agréable, alors, hop ! C’est la souffrance qui nous prévient que nous venons d’imaginer à nouveau le labyrinthe dans lequel nous allons nous reperdre…
Nous allons, à nouveau, risquer de perdre conscience de la Lumière Infinie…
Nous allons peut-être même perdre conscience que l’effort que nous sommes en train de faire n’est que Lumière Pure…
Et nous risquons de prétendre que l’effort que nous venons de faire est un mélange d’ombre et de Lumière : nous risquons alors de perdre en qualité de conscience !
●
Ce qui est bien, c’est qu’il faut vraiment que j’apprenne à m’aimer avec tous mes efforts !
■
Oui, bien sûr ! L’effort, c’est Dieu qui nous l’a donné. L’effort, c’est Divin… L’effort n’est pas un problème !
Regarde, une plante : pour pousser, elle fait des efforts permanents : la petite graine fait des efforts pour écarter la terre, puis faire des racines, puis faire une première feuille et donner une plantule… Elle s’épanouie « dans » l’effort.
L’effort, c’est la vie !
L’effort n’a été rendu…
●
… Souffrance ?
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Oui ! L’effort n’a été rendu souffrance que par l’ombre !
●
C’est vrai qu’il y a eu un amalgame entre « souffrance » et « effort » ! Et là, j’y ai moi-même beaucoup participé !
■
Et ça, c’est l’ombre, parce que dès qu’avec notre ego excessif nous avons voulu manipuler quelqu’un, il a été nécessaire de l’inviter à ce qu’il perde conscience de la Lumière…
En effet, tant qu’il ne perdait pas conscience de la Lumière Infinie, Éternelle, Omniprésente, alors il n’était pas manipulable… Et s’il retrouve cette conscience, il n’est plus manipulable !
●
Oui ! C’est bien comme cela que nous avons procédé avec les autres ou même avec nous-mêmes…
Merveilleuse souffrance
■
Mais heureusement, dès que nous perdons conscience que l’effort n’est que Lumière, une alarme se déclenche qui nous signale notre perte de conscience : c’est la souffrance qui est cette merveilleuse alarme !
La souffrance est une invitation à reprendre conscience de la Lumière et ainsi retrouver la paix et le plaisir de notre effort parfait…
●
D’accord !
■
Il faut se rappeler que l’ombre ne fait que « pseudo-exister » !
Seul l’usage maladroit de leur libre arbitre a fait que des Être ont pu croire qu’elle existait (car en fait elle n’a jamais existé, puisqu’elle n’a été faite que de la perte de conscience de la Lumière qu’elle est et qui Seule Existe !)
C’est vrai que, pour nous aujourd’hui, cela peut sembler bizarre ! Mais l’ombre, aussi étonnant que cela puisse paraître encore, n’a pas d’existence « réelle »…
Mais, en termes de mécanismes, une fois qu’elle a cru exister, l’ombre a automatiquement et inconsciemment proposé sa perte de conscience de la Lumière aux autres…
Et, lorsqu’elle a réussi, nous avons eu l’apparition d’une relation d’ombre à ombre… jusqu’à ce que l’un ou l’autre réalise qu’il y a eu supercherie ! Ce qui est inévitable ! Mais au bout de combien de temps, au bout de combien de souffrances…
Donc, tant que l’erreur n’a pas été réparée, il a fallu que nous souffrions ! Voilà ! Nous n’avons pas pu vivre, comme ça, dans l’erreur, sans souffrir : cela n’a plus été permis… C’était normal…
Alors là, nous avons mangé et nous avons souffert pour nous nourrir…
Nous avons voulu mettre les nôtres à l’abri, et nous avons souffert pour les mettre à l’abri…
Nous avons souffert de naître, nous avons souffert de vieillir, nous avons souffert de mourir…
Voilà quelle a été la vision ombreuse qui a été majoritaire depuis des millénaires et que nous nous sommes transmise de génération en génération… Et nous-même, nous l’avons transmise d’innombrables fois à nos enfants.
Et nous l’avons transmise par manque de courage… Parce que, sur cette terre, dans l’état où nous l’avons mise, aujourd’hui, le vrai courage, c’est d’être heureux ! Nous avons simplement manqué de courage…
Silence…
●
Tout ça, c’est lié quand même, à un moment donné, au libre arbitre… Car s’il n’y avait pas de libre arbitre, nous ne parlerions pas de ça… nous n’aurions pas eu le choix !
■
Alors, nous allons dire cela un peu différemment. Tout cela a été lié à un usage ombreux du libre arbitre, c’est-à-dire un usage à l’envers du libre arbitre… parce que le libre arbitre, sa réalité, c’est…
●
… C’est l’Amour de Dieu ?
■
Oui, voilà, c’est tout : le libre arbitre, c’est le Pur Amour de Dieu.
●
Ça, je l’entends… J’entends bien l’ombre « Lumineuse » …
Mais pourquoi « l’ombre » ? Pourquoi, à un moment donné l’utilisation du libre arbitre a pu amener ça ?
L’ego juste
■
C’est l’ego ! Ça, on nous l’a toujours dit…
C’est, au presque début de l’humanité, un Être qui, doté du « libre arbitre » a le premier mésusé de son ego… Et un premier ego « anormal » s’est développé, un ego qui est devenu malade…
Et ensuite, la majorité des autres, nous avons suivi !
Et, malgré toutes les aides merveilleuses proposées depuis le début de l’humanité par les plus beaux Êtres humains, nous n’avons pas pu résoudre ce développement déséquilibré de notre ego originel… Trop souvent, nous n’avons pas su lui rendre son harmonie naturelle, si utile, si belle !
En effet, il n’est pas anormal d’avoir un ego… l’ego en soi n’est pas malsain… L’ego est naturel et il nécessaire pour vivre dans un corps.
Nous ne pouvons pas vivre sans ego…
L’ego c’est un peu comme « une sorte de colle » nécessaire pour maintenir ensemble les trois aspects de l’Être que sont l’Âme, le Corps et la Pensée.
L’ego est donc absolument nécessaire pour la vie incarnée.
Mais, il faut juste la quantité de colle qui est seulement nécessaire pour remplir cette fonction : il n’en faut ni plus, ni moins !
Mais, s’il y a trop de « colle », trop d’ego, alors cet ego excessif va avoir tendance à coller d’autres Âmes, d’autres Corps et d’autres Pensées que les siennes et qui ne devraient jamais être collés à lui… Et là, bien sûr, c’est là le problème de l’ego !
Alors là, avec un tel ego qui colle tout, nous nous dirigeons vers la « pensée unique », vers le « Tout pour moi », vers le « Je suis dieu » !
C’est là l’illusion de la séparation, c’est l’illusion de l’ombre, c’est la perte de conscience de la Lumière Omniprésente et Unique dont je suis une simple conscience parmi une infinité d’autres consciences aussi merveilleuses les unes que les autres…
Il nous faut donc juste la quantité d’ego nécessaire pour exister nous-même : s’il y en a plus, ou moins, que ce qui est prévu pour l’existence de l’Être humain que nous sommes, alors c’est l’illusion de l’ombre qui est en train de naître quelque part !
Par exemple, si nous voulions convaincre quelqu’un qu’il devait faire comme ceci ou comme cela pour être heureux, nous étions dans cette douloureuse dynamique… Nous avons voulu, alors, « coller » l’autre, prendre possession de lui et lui dire comment il devait fonctionner etc.
Et ça c’est parce qu’il y avait trop de colle en nous et nous avons collé à nous des choses que nous n’aurions jamais dû coller ! Il y avait un ego trop abondant.
Pourquoi trop de colle ?
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Mais pourquoi, à un moment donné, quelqu’un a-t-il eu trop de colle ? Pourquoi ?
■
Ce n’est peut-être pas si compliqué que ça à envisager et nous allons essayer de le préciser par des mots comme ceux-ci :
Soit, nous avons conscience que la Lumière est Omniprésente, Omnisciente, Infinie, Éternelle etc… et là, nous nous sentons en sécurité… Nous ne voulons rien d’autre que vivre le plaisir de cet instant que nous sommes en train de vivre, parce que cet instant, c’est « La Lumière Elle-même » qui est ce que nous désirons le plus.
Alors, là, nous sommes conscients de la Lumière Totale Absolue dans cet instant et nous n’avons envie d’aucun autre instant, d’aucun autre endroit, nous n’avons envie de rien d’autre, à la place de cet instant que nous vivons, de cet endroit où nous nous trouvons : le Tout est Parfait ! Et nous en jouissons…
… Nous n’avons aucun désir autre que de jouir de cette Lumière-Là, comme nous en jouirions à un autre endroit et à un autre instant…
Et dans cette situation-là, nous n’avons besoin que de « la colle » nécessaire pour tenir ensemble notre Âme, notre Corps et notre Pensée et avoir la pleine conscience de cet Instant Parfait…
Mais, nous avons pu aussi, par un usage maladroit de notre libre arbitre, perdre conscience de cette Lumière… Et là nous avons « inventé » l’ombre…
Et si nous n’avons pas repris conscience rapidement de la Lumière, l’ego est sorti de son bon équilibre naturel ! Et la souffrance est apparue pour nous le signaler…
Et si nous n’avons pas su entendre le message de la souffrance, pour tenter maladroitement de la soulager sans l’écouter, nous avons augmenté notre ego et nous avons alors tout collé autour de nous…
À cela, on peut peut-être rajouter que, schématiquement, chez le minéral, le végétal et l’animal, l’ego, bien que parfait également, a une fonction plus simple : celle qui consiste à maintenir ensemble simplement un Corps, une Âme et un tout petit peu de pensée minérale, végétale ou animale !
Mais à partir de l’homme, l’ego a dû maintenir ensemble un Corps, une Âme « et » une Libre Pensée…
Et cette Libre Pensée a pu respecter la quantité de colle pour que nous puissions simplement vivre heureux…
Mais elle a pu aussi augmenter ou diminuer la quantité de colle… Elle a pu mésuser de cette colle pourtant parfaite ! Cela a toujours été le résultat d’une perte de conscience de la Lumière Éternelle…
Et là les troubles ont commencé…
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Mais pourquoi ? Pourquoi y a-t-il eu une première perte de conscience qui a entraîné tout ça ?
L’erreur est Divine
■
Alors, là il y a quelque chose qui m’a beaucoup aidé à réfléchir à cela : j’ai lu quelque chose de très intéressant chez Teilhard de Chardin dans la fin de son livre « Le Phénomène Humain », un livre que j’ai lu de nombreuses fois à différentes périodes de ma vie…
Il y parle, rapidement, de ce sujet d’une façon que je trouve très intéressante dans un appendice qu’il a nommé : « Quelques remarques sur la place du mal dans un monde en évolution » et qu’il a écrit à Rome en 1948. Quelle lecture enrichissante que ce livre !
Je vais essayer d’exprimer, de mon mieux, ce que j’ai compris à ce point de ce qu’il explique : il y a toujours eu des erreurs, des échecs dans l’évolution qui ont accompagné les réussites.
L’erreur est Divine, comme la réussite… La Lumière inclut bien sûr tout, et elle inclut donc l’échec comme la réussite…
Il y a donc toujours eu dans la nature, bien avant l’Être humain et, depuis peu dans l’Être humain qui est un aspect récent de la nature, une tentative constante d’élévation de la conscience, avec des voies qui ont été pleines de succès, et là il y a eu une nouvelle étape de conscience et au même instant un nouveau corps qui se développe pour l’exprimer…
Mais, il y a aussi des voies qui ont été des échecs… Et là, l’Âme ne trouvait pas dans ces corps la possibilité de s’élever. Ce sont les culs de sac de la vie : les échecs !
Mais, à travers ces succès et ces échecs, la conscience de la Lumière s’est toujours élevée… et elle s’élèvera toujours !
Cela a toujours existé, ce n’est pas nouveau… L’homme n’a pas inventé ce phénomène d’avancée et de recul, d’erreurs et de correction d’erreurs… et finalement de succès…
Dans cette vision-là, on pourrait dire que l’ombre fait partie de ce mouvement naturel !
Mais, dans le minéral, le végétal et l’animal, donc tant que l’Être n’est pas humanisé, cela ne pose pas de problème de faire erreur… et d’échouer ! En effet, il n’y a pas un ego difficile à gérer… Il n’y a pas encore de libre arbitre et donc pas de libre conscience…
Alors là, l’ego ne peut rien vouloir coller en plus ou en moins… Donc pas de problème pour lui, ni pour les autres Êtres…
Donc, avant l’apparition de l’homme, les corps pouvaient mourir de leurs erreurs, de leur échecs, de leurs insuffisances… et puis voilà ! C’est tout !
Et, tout simplement, leur Âme renaissait dans un autre corps, peut être mieux adapté à la situation du moment. Si c’est le cas, ce nouveau corps avait de meilleures qualités et pouvait mieux offrir à l’Âme une occasion d’élévation…
Une erreur sans libre conscience, c’est une chose… Mais, une erreur avec la libre conscience, c’est une autre chose !
L’ombre sans libre conscience, c’est une chose… Mais l’ombre avec la libre conscience, c’est une autre chose ! …
Mais, à travers ces succès et ces échecs, la conscience de la Lumière s’est toujours élevée… et elle s’élèvera toujours !
Cela a toujours existé, ce n’est pas nouveau… L’homme n’a pas inventé ce phénomène d’avancée et de recul, d’erreurs et de correction d’erreurs… et finalement de succès…
Dans cette vision-là, on pourrait dire que l’ombre fait partie de ce mouvement naturel !
Mais, dans le minéral, le végétal et l’animal, donc tant que l’Être n’est pas humanisé, cela ne pose pas de problème de faire erreur… et d’échouer ! En effet, alors, il n’y a pas un ego difficile à gérer… Il n’y a pas encore de libre arbitre et donc pas de libre conscience…
Alors là, l’ego ne peut rien vouloir coller en plus ou en moins… Donc pas de problème pour lui, ni pour les autres Êtres…
Donc, avant l’apparition de l’homme, les corps pouvaient mourir de leurs erreurs, de leur échecs, de leurs insuffisances… Oui ! C’est vrai et puis voilà ! C’est tout !
En effet, tout simplement, leurs Âmes se réincarnait dans un autre corps, peut être mieux adapté à la situation du moment. Et, Si c’était le cas, ce nouveau corps avait de meilleures qualités et pouvait mieux offrir à leurs Âmes une occasion d’élévation et à leurs consciences une occasion de s’ouvrir…
Une erreur sans libre conscience, c’est une chose… Mais, une erreur avec la libre conscience, c’est une autre chose !
L’ombre sans libre conscience, c’est une chose… Mais l’ombre avec la libre conscience, c’est une autre chose ! …
Ombre Lumineuse
●
Ça y est ! Je commence à voir ! En fait, c’est un phénomène naturel : pendant des milliards d’années, l’erreur a été un phénomène naturel que nous pourrions appeler « l’ombre naturelle » …
Mais maintenant, chez l’Être humain avec sa libre conscience, celui-ci a pu avoir un ego qui n’a pas accepté l’ombre naturelle et qui en a finalement mésusée…
Et là, c’est ce que nous appelons habituellement dans nos discussion « l’ombre ». Cet « ombre » n’est qu’un mauvais usage de « l’ombre naturelle » qui était jusqu’à là, simplement, ce que nous appelions l’erreur ou l’échec, dans la nature…
■
Oui ! Nous pouvons nous amuser à dire qu’il y a « l’ombre lumineuse » : là ce sont des échecs, mais lumineux… C’est à dire que, finalement, ils participeront à l’ouverture de la conscience, autant que « les succès lumineux » …
Et puis, il y a « l’ombre ombreuse » qui, elle, résulte d’une perte de conscience de la Lumière tant dans le succès que dans l’échec.
Parce que, par exemple, si Caïn avait eu une « jalousie naturelle », c’est à dire cette « saine jalousie » que l’on trouve chez le minéral, le végétal et l’animal depuis toujours… Cette saine jalousie qui a toujours participé à l’avancée de la vie et à l’ouverture de la conscience depuis son apparition dans l’univers et ceci bien avant que l’Être humain n’apparaisse… alors, les choses aurait été bien différentes !
En effet, si ce Caïn avait été capable simplement d’aimer, en toute conscience cette jalousie naturelle, reste d’animalité en lui, cela n’aurait posé aucun problème, comme cela n’en avait jamais posé chez l’animal…
L’amour de cette jalousie lui aurait permis d’écouter le message de cette souffrance qu’est la jalousie, puis de la transcender et de la transmuter en une vertu supérieure…
Mais, là, à un moment donné l’ego, maladroitement manipulé par sa libre pensée humaine toute nouvelle, a fait qu’il n’a pas pu s’aimer tel qu’il était. Il n’a pas su accepter sa faiblesse naturelle, il n’a pas pu accepter sa jalousie. Et donc il n’a pas pu aimer sa jalousie !
Juste répétition
Alors, là, qu’est-ce qui se passe toujours quand nous n’aimons pas quelque chose qui pourtant, nécessairement, n’est « que » Lumière ?
Eh bien, cette chose se répète, se répète inlassablement, pour que nous l’aimions, pour que nous la reconnaissions comme faisant partie de l’Unité de la Lumière… et ceci jusqu’à ce qu’elle obtienne justice !
Dans le cas particulier de cette émotion, si nous arrivons à utiliser et rentabiliser cette répétition de notre jalousie pour apprendre à l’accueillir et à l’aimer de mieux en mieux à chaque fois, à un moment donné la répétition atteint son but et nous guérissons…
Nous guérissons plus ou moins rapidement, selon l’inconditionnalité de notre amour…
Et là, notre jalousie, n’est plus un problème ! C’est « une expérience », riche en belles conséquences, qui permet une augmentation des vertus en nous.
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Oui ! C’est exactement la même chose que ce que l’on disait tout à l’heure par rapport à l’évolution : nous voyons bien que la nature, qui, avant l’homme, n’a pas ce souci d’ego, arrive à répéter en les accueillant et donc en les « aimant » toutes ses erreurs, parce qu’elles sont normales pour elle, et du coup ça bouge ! …
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Oui ! « La nature, minérale, végétale et animale » n’a pas ce problème : elle n’a pas ce libre arbitre, et donc elle n’a pas la possibilité du mauvais usage de ce libre arbitre non plus !
Voilà ! Dans ce cas, c’est simplement une expérience qui échoue… Ce corps ne pourra pas exister, parce qu’il lui manque ceci ou cela : telle molécule, telle agilité ou tel autre élément ! Et c’est tout : ça ne pose pas de problème à la conscience du minéral, du végétal ou de l’animal…
Mais, à partir du moment où la conscience humaine est apparue, avec en particulier le libre arbitre et la possibilité de son usage maladroit ou adroit, très vite ça a pu poser un problème !
Cependant, cela s’inscrit dans un plan beaucoup plus large ! Nous, actuellement, nous sommes un peu le nez dans le guidon !
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Oui, un peu !
La souffrance : utile, mais pas nécessaire
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Alors? Il faut que nous prenions du recul et que nous comprenions que, de toutes les façons, tout ça va se résoudre très bien, parfaitement…
Et ce qui est « regrettable », peut-être, c’est la souffrance qui est vécue… en attendant !
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Une souffrance qui n’est peut-être pas nécessaire ?
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Non ! Ce n’est pas « peut-être » ! C’est une souffrance qui n’est « absolument » pas nécessaire à l’origine !
Mais, c’est une perte de conscience de la Lumière, que nous appelons l’ombre, qui a prétendu que la souffrance était nécessaire, dans un but de manipulation…
En effet, répétons-le : si l’autre est heureux, s’il ne souffre pas, il n’est pas manipulable !
Pour qu’un ego excessif puisse établir son autorité sur les autres, il faut absolument que les autres souffrent… ainsi que lui-même d’ailleurs !
Mais, aujourd’hui, il nous faut revenir à une relation harmonieuse entre les gens et reconnaître que chacun est égal, que chacun est parfait etc…
Pour cela, il faut que les ego retrouvent leur équilibre naturel : ils faut qu’ils collent simplement, chez chaque Être humain, l’Âme, le Corps et la Pensée ensemble et rien de plus… ni rien de moins.
Et là, il n’y a pas de problème, pas de guerre, pas de vol, pas de tentative de forcer l’autre à être autre chose que ce qu’il est !
Nous avons pu entendre : « Cesser de vouloir devenir pour accepter être » …
Eh bien, dans une situation saine et harmonieuse, nous cessons de vouloir que l’autre devienne pour accepter qu’il soit…
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En tout cas accepter déjà que l’autre soit tel qu’il est, c’est accepté aussi tout ce que nous sommes nous-même, parce que nous sommes tous pareils…
Le soleil s’éclaire lui-même…
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Oui ! Tu ne peux pas le faire pour l’autre, si, toi, tu ne le fais pas pour toi-même.
Et c’est probablement pour cela que l’on nous a dit : « Aimez l’autre comme vous-même ».
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Donc, il faut d’abord m’aimer moi-même pour pouvoir aimer l’autre…?
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Oui, nous sommes invités, par cette parole, à nous aimer d’abord nous-même… C’est le point de départ.
Même notre soleil s’éclaire d’abord lui-même, pour pouvoir nous éclairer !
Et ensuite chacun des Êtres, autour de lui, fait l’usage qu’il peut ou qu’il veut de sa lumière…
Et donc de même, nous, par notre témoignage, nous ne pouvons proposer à l’autre que l’amour que nous nous proposons à nous-même…
… Et là, l’autre, il en fait ce qu’il veut ! … et ce qu’il peut !
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Oui, cela paraît logique !
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Et là, évidemment il vit une situation idéale qui l’invite à choisir, quand il le désire, que sa conscience s’ouvre un peu plus à la Lumière. C’est sûr !
C’est magnifique, parce que c’est imprenable ! C’est parfait !
Décrire la Perfection
Nous sommes en train d’essayer, là, de notre mieux évidemment, de décrire la Perfection. Et nous progressons et nous progressons encore… et nous l’appliquons de notre mieux… à ça… et puis à ça… et puis à ça encore…
La Lumière est Omniprésente ! Et on avance nos pions de conscience, à droite, à gauche et on récupère du terrain soi-disant « perdu » et donc de la conscience de la Lumière qui aurait soi-disant été perdue à un moment donné ! Cela se fait naturellement… dans le plaisir et dans la joie !
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La conscience de la Lumière, donc, ça commence bien par soi !
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Ah ben, oui ! Si nous prenons l’exemple de la lumière physique, exemple qui a ses limites bien sûr, mais qui peut nous rendre service pour comprendre un peu, la Vraie Lumière : Eh bien ! Pour qu’une lampe éclaire, il faut qu’elle s’éclaire d’abord elle-même ! Et ensuite, à partir d’elle cette lumière se répand partout autour d’elle… Mais, là, nous parlons, bien sûr, de la lumière physique.
En effet, attention ! La Lumière dont nous parlons en général dans nos entretiens n’est pas cette lumière-là, ce n’est pas la lumière physique, c’est la Vraie Lumière Absolue, c’est la Lumière qui est absolument partout à tout instant !
Elle, cette Lumière Absolue, Infinie, Éternelle, Elle ne chemine pas pour aller d’un point à l’autre : Elle est déjà partout depuis toujours et pour toujours ! Elle est Omniprésente…
Mais notre conscience, elle, elle n’est pas partout ! Nous pouvons soit accélérer, soit ralentir notre ouverture de conscience à la Lumière… Cependant cette ouverture est « inéluctable »…
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C’est d’ailleurs par cette conscience-là que nous pouvons aimer l’autre. Sinon, c’est débile… Non, mais, c’est sûr qu’il ne faut pas faire les choses à l’envers !
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Si nous les faisons à l’envers, cela ne va pas durer longtemps parce que, avec notre esprit actuel, nous allons rapidement souffrir… Et cette souffrance, c’est le message d’erreur : elle nous signale que l’on vient de freiner à nouveau notre ouverture naturelle de notre conscience à la Lumière.
Message d’erreur
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Nous allons souffrir parce que ça ne va pas marcher, ou alors c’est le message d’erreur qui est la souffrance ?
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C’est le message d’erreur qui « est » la souffrance.
La souffrance, c’est toujours un message d’erreur… Et cela bien avant que l’homme ne soit apparu sur notre terre.
Nous, si nous reconnaissons que c’est un message d’erreur, nous ne « sur-souffrons » pas !
À peine sentons-nous un léger malaise, à peine nous sentons que nous n’avons pas autant de joie que d’habitude, que nous nous disons : « Tiens, j’ai commis une erreur » !
Voilà ! Alors, acceptant l’invitation de notre malaise, nous regardons mieux et nous pouvons choisir d’aimer ce que nous venons d’oublier d’aimer…
Et là, nous voyons la vérité à nouveau : nous reconnaissons à nouveau la Lumière qui réapparaît ainsi à notre conscience à laquelle nous avons permis de reprendre son rythme naturel d’expansion !
Et avec une mi-temps de retard, nous pouvons observer ce qui s’est passé en nous : « Là, j’avais perdu conscience… Là, j’ai eu peur… et je n’ai pas su décider d’aimer ma peur assez rapidement ! »
Mais, là, maintenant, nous pouvons nous décider à aimer cette peur que nous avons eu… Et alors hop ! La peur nous révèle son message…
Et là hop ! Notre conscience à la Lumière reprend son mouvement naturel originel d’ouverture … Et nous vivons à nouveau ce que nous appelons la joie…
Et cette joie, n’est-ce pas ce que nous vivons, chaque fois que nous permettons un peu plus à l’ouverture naturelle de notre conscience à la Lumière Éternelle de reprendre son rythme originel ?
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Mais, du coup, c’est bien d’être attentif, à ces messages d’erreur : ils sont vraiment importants !
Le cadeau
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Oui! Ils sont importants et ils sont constants ! Nous en aurons besoin tant qu’il y aura de l’ombre sur cette terre… C’est à dire tant que nous, les Êtres humains, mettrons des freins à l’ouverture naturelle de notre conscience à la Lumière
Si tu veux, c’est le cadeau que nous offre l’ombre !
Pour parler plus précisément, c’est le cadeau de la Lumière lorsque nous freinons notre ouverture de conscience à Elle… Car c’est cela que nous appelons « l’ombre ».
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Oui ! C’est vrai ! C’est, en réalité, un cadeau…
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Oui ! C’est le cadeau de l’ombre ! C’est le cadeau de la Réalité de l’ombre… Et la Réalité de l’ombre, c’est la Lumière !
Oui ! En réalité, l’ombre en elle-même, c’est de la Lumière Pure, puisque la Lumière est la seule Réalité qui soit… Et donc l’ombre, en elle-même, a la solution…
Il n’y a rien qui soit imparfait ! Même pas l’ombre !
Un instant que nous vivons est toujours Parfait !
Quoi que nous en pensions, cet instant ne peut pas être autre chose que le Divin Parfait qui est Tout.
Nous, parfois, nous avons pu regarder un instant avec nos yeux d’ombre… Alors, nous avons jugé que nous étions séparés… C’est à dire que nous avons imaginé une séparation entre l’ombre et la Lumière, une séparation entre nous et la Lumière… Nous avons imaginé des compartiments qui s’opposent les uns aux autres… qui se combattent.
Mais, en réalité, à chaque instant, la conscience que nous sommes ne peut que contempler la Lumière Pure : il n’y a rien d’autre à voir !
Nous ne sommes que des éclats de cette Lumière Pure qui regardons la Lumière Pure et Omniprésente.
Toute situation est donc, bien sûr, vraiment Parfaite !
Si Dieu est Tout
Une situation est parfaite, comme Dieu l’a créée depuis toujours et pour toujours…
Répétons-le :
« C’est « notre » conscience qui fait toute la différence. »
Chacun peut librement le croire… ou ne pas le croire ! Mais l’ombre ne peut être « faite » que du Divin… Il n’y a que Dieu en elle !
Si Dieu est Tout !
Donc l’ombre c’est le Divin lui-même et rien d’autre ! Le problème : c’est seulement que nous en avons perdu conscience…
Si nous en reprenons conscience, la solution de l’ombre est là, et nous nous apercevons que, cette solution, elle est incluse en cette ombre même : la solution ne s’est jamais perdue !
La solution de l’ombre, c’est la Lumière Pure qui est la source de l’ombre, qui est la trame de l’ombre, qui est la Réalité de l’ombre illusoire !
Plus qu’hier et bien moins que demain
À chaque instant, malgré nous, malgré les coups de frein que nous donnons, nous pensons de plus en plus que La Lumière est Infinie, Éternelle, Omniprésente, Amour…
Mais en fait, toujours, l’instant d’après nous réalisons que c’était bien plus que ce que nous avions pensé jusqu’à là !
C’est drôle, hein ?
C’est une conception originelle de la Vie Originelle…
Mais, depuis le presque début de l’humanité et jusqu’à aujourd’hui, c’est une conception qui, dans notre société, est souvent difficile à exprimer pour qu’elle puisse le reconnaître, en être heureuse et l’aimer, et cela uniquement parce que notre société a été fortement « propagandée » à l’envers !
Personne sur cette terre ne peut avoir totalement échappé à cette propagande de l’ombre imaginaire…
Et donc, pour l’instant, presque toute l’humanité est organisée en fonction de cette propagande passée… et cela depuis des millénaires et des millénaires…
Ainsi, c’est l’ombre qui a imprégné les organisations politiques, les organisation financières, le commerce, la science, les relations humaines etc… etc…
Et cela a finalement contaminé la terre entière dans tous ses aspects…
Et Gaïa souffre, pour l’instant, dans ses recoins les plus secrets…
Silence…
Même si, comme Hercules, nous avons coupé et coupé les têtes de l’Hydre de Lerne, elles ont repoussé et repousseront tant que, comme Hercules, nous ne nous déciderons pas à prendre toute l’Hydre elle-même pour l’élever enfin en entier au-dessus de notre tête, pour la rendre à Dieu en entier… Pour n’y re-connaître que… Dieu !
Alors, là, j’aime mon ennemi… Et c’est la fin de tout combat !
La fin de tout combat
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Tu sais ? Il y a peu de personnes à qui je peux parler de ça… même parmi mes amis les plus proches !
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C’est vrai que même avec nos bons amis il faut que chacun de nous soit respectueux.
Si, nous voulons, nous pouvons en parler, mais d’abord, il faut que notre ami le veuille bien… Et puis, il faut y aller doucement… Il faut bien sûr qu’il y ait cette ouverture qui se manifeste par la joie d’écouter puis d’entendre… et ensuite la joie de réfléchir librement à ce qui a été entendu…
À ce moment-là, il n’y a pas de soucis… C’est possible.
Mais, il faut qu’il y ait cette ouverture… C’est l’autre qui doit avoir de l’appétit…
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Parce que, au départ, je vois bien que cela marche pour moi ! Je vois que cela marche pour toi également…
Peut-être sommes-nous privilégiés ?
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Rien dans la vie ne peut être privilégié par rapport à quoi que ce soit d’autre.
Dieu n’a pas de chouchous !
Donc, nous ne sommes pas privilégiés !
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Oui, bien sûr ! Tu as raison : l’Amour Divin ne connaît pas de direction, Il est Omniprésent … Bien sûr !
Comme le soleil Il éclaire tout, mais Lui Il éclaire absolument tout de l’intérieur de tout ce qu’il éclaire !
C’est un Soleil Omniprésent…
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Mais, au niveau pratique, c’est par là qu’il faut commencer… Il faut commencer par là où ça marche, c’est à dire à petit pas… autour de nous.
Mais, surtout, surtout, il faut que nous soyons d’abord l’exemple, le témoin vivant, de ce que nous exprimons !
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OUI ! Je le vois pour moi-même, c’est le Paradis, en ce moment ! C’est vrai : en ce moment je n’ai pas de soucis, je n’ai pas de malheurs, je n’ai pas de douleurs… Alors, bien sûr, cela me semble assez simple…
Mais là, en cette période de l’humanité en crise où ça commence à être un peu plus difficile… Eh bien, il faut bien que nous nous entraînions pour être prêt lorsque la tempête arrivera !
C’est bien maintenant que, lorsqu’il y a une petite difficulté dans notre vie, il faut choper le coup ! C’est à dire, qu’il faut voir si nous pouvons vivre cette petite difficulté un peu différemment !
Sinon, si déjà que trop souvent les gens ont du mal à être heureux quand tout va bien…
Le Paradis a existé sur la terre
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Alors là, je te dis : « non, non et non » ! Depuis le presque début de l’humanité, jamais tout est allé vraiment « bien » ! Cela n’a jamais existé depuis ce presque début !
Attention ! Ça a existé avant, au tout début ! Le Paradis a bien existé pendant très peu de temps, trop peu de temps, au tout début de l’humanité ! Mais, il faut comprendre que quand tu dis que tout allait bien il y a 10 ans : Là, non !
Depuis que, très tôt, nous avons accepté de perdre la conscience de la Lumière, « cela n’a jamais été vraiment bien » ! Nous ne savons pas réellement ce que veut dire « aller bien » aujourd’hui…
Non ! Il faut en prendre conscience ! Il y a 10 ans, il y a 1000 ans, il y a 10 000 ans, tout n’allait pas « bien » : il y avait, quand même, une perte de conscience de la Lumière énorme, c’est à dire qu’il y avait beaucoup d’ombre sur la terre qui se manifestait fortement, par des injustices énormes…
Et, actuellement, il n’y a pas, encore, une plus grande perte de conscience de la Lumière qu’il y a 10 ans, 1000 ans ou 10 000 ans…
Mais, c’est vrai, il y a, en revanche, un énorme remue-ménage de l’ombre. C’est à dire pour parler avec plus de précision un énorme remue-ménage qui est causé « par notre perte de conscience humanitaire de la Lumière » !
En effet, dans sa panique dont nous avons parlé il y a peu, l’ombre de l’humanité sort ses « griffes de panique » au maximum ! Et cela fait beaucoup de bruit ! Vraiment beaucoup de bruit ! Ça grince de partout…
Eh oui ! Au même instant, notre perte de conscience veut guérir… et au même instant, elle a une trouille bleue de guérir…
Chacun de nous, individuellement, nous connaissons ça… Nous connaissons tous, intimement, ce désir de la Lumière et en même temps cette peur de la même Lumière qui est Une et Unique !
Nous sommes ambigus… pour l’instant !
Et tant qu’il y aura de l’ombre sur la Planète, tant qu’il y aura encore une perte de conscience de la Lumière chez un seul d’entre nous, nous aurons cette ambiguïté qui résulte de notre Unité…
En effet, notre Unité existe, même lorsque nous l’ignorons.
La solution de l’ambiguïté
Et il y a une seule solution face à cette ambiguïté : c’est que chacun de nous devienne un petit centre de conscience grandissante de la Lumière Absolue… Il nous faut donc choisir de voir, enfin, la Lumière « dans » cette ambiguïté-même !
Nous ne pouvons plus en rester à penser que cette ambiguïté, c’est de l’ombre où il n’y a pas de Lumière ! Là où il y a l’ombre, il y a la Lumière Absolue dont nous avons simplement, c’est vrai, perdu conscience !
Il n’y a, en effet, que la Lumière qui « Soit » …
Reconnaissons donc, de mieux en mieux, que « tout est Lumière » …
Et là, au fur et à mesure où cette évidente certitude que la Lumière Absolue est vraiment Absolue s’installe chez un plus grand nombre d’entre nous… alors là, notre humanité se détend !
Et, là, notre Véritable Intelligence se déploie…
… Et là, les solutions pratiques apparaissent…
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Parce que, tout à l’heure, je te disais que, en ce moment, nous ne sommes pas encore complètement en face des énormes difficultés que l’on peut imaginer et qui semblent arriver… Et donc, pour l’instant, c’est un peu plus facile d’effectuer ce travail de bien-être… En tout les cas de s’y entraîner…
Virtuoses de la Joie
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C’est toujours, toujours, le meilleur moment pour s’entraîner à être heureux !
Mais, c’est vrai, ce que tu dis est vrai ! C’est une bonne idée de nous entraîner maintenant, alors que la vie est peut-être un peu plus facile, en tous les cas pour nous, ici !
C’est pour cela qu’il faut que nous devenions des « virtuoses de la joie », des virtuoses de la conscience de la Lumière, et cela dans tous les domaines !
Dans toutes les positions et dans toutes les situations, à l’envers… à l’endroit… Il faut que l’on devienne des virtuoses en conscience de la Lumière…
Parce que, évidemment, là où nous avions, auparavant, trois jours pour nous décider à être heureux sans trop souffrir, à un moment donné nous n’aurons peut-être qu’une seule seconde !
Et si nous ne sommes pas assez virtuoses et qu’il nous faut trois jours pour nous décider à être heureux dans la tempête, alors, nous allons souffrir pendant trois jours, énormément… Et, après cela, allons-nous sortir indemnes de cette souffrance ?
Il faut donc oser prendre la décision que nous sommes le plus heureux de prendre « instantanément » !
Et, pourtant, le plus souvent, cela contredit tous les enseignements que l’ombre nous avait donnés jusqu’à là… Cela contredit nos habitudes ombreuses restantes, cela contredit les gens les plus proches de nous qui peut-être, eux, réagissent eux-aussi selon leur ombre, selon leur perte de conscience de la Lumière !
Il nous faut donc avoir ce courage d’être heureux face à toutes les situations, quelles qu’elles soient…
Il nous faut pouvoir dire instantanément : « Non ! Là, je vais là où je suis le plus heureux d’aller ! Je fais ça parce que c’est ce que je suis le plus heureux de faire ! Je choisis ça parce que c’est ce que je suis le plus heureux de choisir ! » …
Et pour faire cela rapidement, il nous faut bien être capables d’une excellente réactivité ! Tchik… Tchik… Tchik… Il faut y aller ! Alors, on y va !
On y va ?
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Il faut y aller ? Mais nous n’avons pas vraiment une grande expérience à nous décider dans l’instant, comme ça, sur ce thème de la joie : sommes-nous capables de répondre en moins d’une seconde à la question : « Qu’est-ce qui va me mettre le plus en joie ? »
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Oui ! Nous en sommes capables, nous en sommes capables parce que c’est la nature en nous qui s’exprime alors ! On a une grande expérience de tout ça ! On peut même dire que l’on a eu des expérience innombrables de cela…
En effet, sans arrêt, depuis le minéral, puis le végétale, puis l’animal, et même depuis que nous sommes humains, nous avons eu cette expérience qui a consisté à choisir ce que nous étions le plus heureux de penser, de dire ou de faire un nombre innombrable de fois !
Nous n’avons pas été malheureux tout le temps ! Nous n’avons pas été « que » malheureux pendant des milliards d’années !
On a eu des instants innombrables de joie… Et ces instants innombrables de joie sont marqués, imprimés dans nos mémoires depuis le début de cet univers et même certainement avant…
Ils sont d’ailleurs bien plus nombreux, infiniment probablement plus nombreux, que les instants de souffrance et ils sont des repères beaucoup plus solides que les récents instants ombreux où, humains, nous avons perdu la conscience de la Lumière…
Je dis « récent », car l’humanité n’existe que depuis peu, depuis très, très peu ! C’est ce que nous dit la science actuelle… Seulement, peut-être depuis 100.000 ou 200.000 ans pour homo sapiens, alors que cet univers semble exister depuis environ 13 milliards de nos années terrestres !
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Ah oui ?
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Oui !
C’est vrai que la perte de conscience de la joie a été également imprimée, mais « irréellement » ! Légèrement ! Ça n’a aucune réalité… c’est une illusion, c’est une impression contraire, totalement contraire, à notre nature heureuse fondamentale !
Tandis que quand, infiniment plus souvent, dans notre passé, depuis des milliards et des milliards d’années, nous avons expérimenté la joie c’est la conscience de Dieu lui-même qui s’est imprimée dans nos mémoires… Et ça c’est du vraiment solide ! C’est notre Réalité… c’est de l’Éternité !
Et nous cherchons toujours, malgré nos difficultés, à en retrouver la conscience… et à revivre la joie que nous avons vécu si souvent et qui nous est si naturelle !
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C’est marrant ! Parce que, moi, je pensais que nous nous rappelions surtout ces moments agréables-là événements-là parce qu’ils étaient rares.
La voiture démarre : Quelle merveille !
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Non !
Non ! C’est l’ombre qui, depuis peu, nous a appris à ne pas reconnaître, à ne pas valider, ces innombrables expériences de joie que nous avons vécues pendant des milliards d’années.
Par exemple, si nous entrons dans notre voiture et que, lorsque nous tournons la clef du démarreur, elle démarre : C’est une merveille ! C’est une merveille… et nous voulons être totalement heureux qu’elle démarre… C’est là un miracle et l’occasion d’un instant de conscience de la Lumière et donc d’une joie magnifique !
Mais, avons-nous pris conscience que cet instant exprime la Merveilleuse Lumière Éternelle ?
Non ! Trop souvent, la voiture a démarré… et nous n’en avons eu rien à faire ! Nous étions tellement concentrés sur les nombreux problèmes irréels que nous imaginions à ce même instant !
La conscience des innombrables miracles que nous avons vécus a été, trop souvent, obscurcie par notre souffrance que nous avons obligée à crier toujours plus fort. Quel gâchis cela a été !
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Ah… Mais c’est intéressant, ça ! C’est un aspect que je n’avais jamais vu… Moi, quand on parlait de joie je voyais un état plutôt grandiose…
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Mais non! Non ! La joie, c’est le quotidien !
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Ah oui ! Mais ça, c’est bien !
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La joie, c’est : tu mets tes lunettes sur ton nez et tu vois mieux ce que tu regardes…
Regarder et mieux voir, c’est bien une joie !
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Ah… C’est le nuage que tu regardes et qui, pour ta plus grande joie, ressemble à de la neige ou à de la crème chantilly… Oui, c’est vrai !
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Voilà ! C’est n’importe quoi puisque « Tout est la Lumière »… Il suffit d’en prendre conscience :
« C’est la conscience qui fait toute la différence » …
Voilà ! Par exemple, tu as regardé les vêtements que tu avais dans ton placard et tu as décidé : « Tiens, ce matin, je vais mettre ça » et tu as été heureuse de mettre ce vêtement… Et, ça, c’est bien la belle vie ?
Mais avons-nous eu conscience de cette joie qui tisse toute notre journée ? C’est pourtant là que se joue l’essentiel !
Si nous ne l’avons pas reconnu, c’est dommage ! Nous n’avons pas joui de la conscience du Divin dans cet instant…
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Mais oui, tu as raison ! C’est un très bon entraînement, ça !
L’instant est toujours grandiose
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Eh oui ! C’est ça l’entraînement !
Et c’est un entrainement commando ! C’est à chaque instant…
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Mais moi, encore une fois, je voyais ça comme quelque chose de grandiose, quoi ! Tu vois ?
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C’est « ça » l’entraînement dont nous avons parlé tout à l’heure.
Il n’existe pas un seul moment de notre vie où il n’y ait pas une possibilité de voir le Divin et de prendre conscience, encore plus, de Sa Lumière…
Pas un seul moment, puisque, chaque instant, c’est Dieu Lui-même !
Par exemple là ce livre, il est bleu : tu dis « Ah, c’est bleu ! »
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Oui, c’est un joli bleu !
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Oui, c’est bleu ! Mais c’est le bleu de Dieu… Il existe, ce bleu de Dieu, pour que tu en sois heureuse.
Et ça ? C’est noir !
Ah, oui ! Mais ça, c’est la couleur noire de Dieu… Ce noir existe pour que tu t’en régales…
Tu vois ce que je veux dire ?
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En fait, je comprends, c’est reconnaître Dieu dans toutes les secondes et les millièmes de secondes… Là où Il Est, c’est à dire Partout ?