Oui, à chaque instant… la Lumière Seule Existe !
… Silence…
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Du coup… Enfin oui… On en était là parce que…
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J’ai noté également, au début de notre entretien, que tu as dit que : « C’est l’Âme qui a cette qualité… »
C’est à dire que tu as mis une qualité de l’Âme…
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Oui ! En dehors du corps !
L’Âme Omniprésente
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En dehors de quelque chose… Oui, c’est cela ! Or la qualité de l’Âme, c’est qu’elle est omniprésente dans chaque plan, dans tous les aspects de l’Être…
La qualité de l’Âme, elle est partout. Et en particulier dans le Corps… et dans la Pensée… et dans l’Âme, bien sûr… et dans tous leurs aspects.
C’est comme ça : l’Âme est partout ! Elle n’est séparée de rien.
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Alors, je dois, en plus, aimer mes résistances à prendre conscience de cela… ?
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Oui ! C’est vrai ! La proposition que nous nous faisons, c’est d’aimer les résistances que nous avons à raisonner de cette façon… Et c’est là que ces résistances vont fondre, fondre, fondre… Et révéler la Lumière qu’elles sont en Réalité…
Ces résistances sont là parce que nous devons les aimer… et non pas pour que nous les combattions.
« Rien n’est à combattre, rien n’est à éliminer, tout est à aimer ! »
Tout est pour notre joie ! Et il faut que nous arrêtions simplement de combattre… Mais, cependant, en aimant ce combat que nous avons mené jusqu’à là !
Il faut tout de même reconnaître que nous avons finalement beaucoup appris avec la perte de conscience de la Lumière, c’est à dire avec l’ombre… avec la séparation… avec le combat !
Mais cela nous a coûté plus cher…
Ce qui n’était pas nécessaire est devenu utile
Dès que nous avons imaginé la séparation, nous avons combattu ! Par exemple, dans l’état ombreux, « l’instantanéité » combattait « la temporalité »…
Eh bien, non !
Nous avons opposé la droite et la gauche…
Eh bien non !
C’était un combat ! Ce combat n’a jamais été nécessaire !
Mais à nous, aujourd’hui, de faire ce qu’il aurait été utile de faire depuis toujours.
En tout cas, tout combat douloureux n’a jamais été nécessaire… C’étaient des combats pour la perte de conscience de la Lumière…
Les seuls combats nécessaires ce sont les combats de Lumière ! Donc des combats uniquement agréables.
Combat de Lumière
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« Des combats de Lumières » ? C’est quoi ça. ?
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Un combat de lumière c’est « Être heureux ».
Si tu veux, là, le mot « combat » n’a plus du tout la connotation ombreuse qu’il a eue pendant des millénaires !
C’est probablement pour cela que, pour l’instant, nous ne pouvons pas bien imaginer ce qu’est un « combat de Lumière ».
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Ça, en effet, c’est difficile pour moi !
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Jusqu’à là, nous n’avons pas bien imaginé un combat heureux…
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Un combat heureux ?
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Oui, un combat heureux !
Nous avons eu, pendant des millénaires et des millénaires, une notion de « combat » qui n’est qu’ombreuse… et donc douloureuse.
Mais, réfléchissons calmement : « combat », c’est un mot et donc c’est bien un nom de Dieu, n’est-ce pas ?
… petit silence…
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Oui…
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Tu vois : ton « Oui » a été un peu lent à venir !
Et là, nous rions…
Il va pourtant falloir le reconnaître ! En fait, nous n’avons jamais su ce qu’était réellement un combat.
Nous avons eu une vision du combat… comment dire…
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Tordue ?
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Oui ! Tordue, retordu et encore retordu des milliers de fois… Et c’est un peu comme le ressort dont nous avions parlé un jour ! Quand nous allons le lâcher, nous ne connaissons pas la forme réelle qu’a ce ressort de Lumière…
Et on ne sait pas quelle Forme Originelle va prendre le combat, une fois que l’ombre cessera complètement de le tordre dans notre imagination…
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En fait, nous ne pouvons pas, pour l’instant comprendre… Et donc la seule solution efficace, c’est d’oser voir la Lumière dans tout ce dont nous avons conscience.
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Voilà ! Et quand nous nous surprenons à combattre, soyons heureux de prendre conscience que nous avons combattu…. Régalons-nous d’avoir combattu douloureusement !
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(Gros soupir…)
Je suis heureuse de mon soupir ?
(Nous rions…)
La danse Lumière
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C’est ça, en fait ! Soupirer et être heureux d’avoir soupiré… Taper du pied et être heureux d’avoir tapé du pied… ! Tout est bon ! Il n’y a pas de séparation douloureuse : nous nous amusons… Nous sommes des enfants de la Lumière !
Comme nous l’avons dit tout à l’heure, il n’y a plus cette raideur : la droite qui s’oppose douloureusement à la gauche… Le bien qui s’oppose douloureusement au mal !
Non ! Jouons, amusons-nous, dansons la Vraie Vie !
À droite, à gauche… à gauche, à droite… C’est la même Lumière !
Le bien, le mal… le mal, le bien… C’est la même Lumière
Enfin, nous pouvons regarder les choses simplement, pour ce qu’elles sont et, enfin, les aimer… Lumière, Lumière et encore Lumière…
Et alors notre mémoire s’éclaircit, s’éclaircit, s’éclaircit…
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Et alors ? Hier, par exemple j’étais en face d’une amie qui était dans une dynamique douloureuse… C’est une difficulté que je connais bien, moi aussi… Et cette femme tournait, et tournait, comme ça, dans sa douleur…
Je ne peux pas lui dire d’aimer son « système » douloureux… Elle ne va pas comprendre !
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Alors là, c’est ce que nous avons dit dans ce que je suis en train de transcrire de notre conversation précédente…
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Je ne peux pas lui parler comme ça !
La bonne dose
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Non, bien sûr ! Il faut effectivement, et c’est très important, apprendre le juste dosage dans chacune de nos relations, dans chacune de nos communications.
La bonne « dose », c’est l’équivalent de la bonne « distance » dont nous avons déjà parlé il y a quelques temps : vis à vis d’un feu il y a une distance juste, confortable… Pas trop près du feu, sinon je me brule, pas trop loin non plus, sinon je ne bénéficie plus de sa chaleur !
Eh bien, là c’est la même chose. Il y a un juste dosage lorsque nous parlons à quelqu’un ! Et là, pour avoir « ce » juste dosage, il suffit d’être vraiment très attentif à la joie que l’on a à parler, à dire ce que l’on dit… Et, également, à la joie que notre partenaire exprime ou pas en nous écoutant…
Lorsque nous parlons comme nous le faisons tous les deux, là, en ce moment… c’est la joie qui nous réunit : nous sommes heureux de parler ensemble, nous sommes heureux d’échanger ce que nous échangeons.
Cela signifie que, à cet instant, c’est la bonne dose pour nous.
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Oui ! Je pense que nous pouvons tout nous dire…
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Alors là, tu vois, on a ce sentiment de liberté qui est agréable… Je pense que ça, c’est là ce que l’on appelle « communication unitaire ».
Mais, pour maintenir la communication unitaire avec quelqu’un il faut toujours le respecter, l’aimer comme il est. Ne pas vouloir le faire changer : il faut que nous abandonnions tout projet de le faire changer…
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Oui, c’est vrai, c’est moi qui voulait qu’elle soit ailleurs que dans son truc… cette femme.
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Eh oui ! Voilà ! C’est ça… et cela entraine une distorsion…
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Mais comment, alors, allons-nous l’aider ?
Rendre service
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Voyons ! Voyons cela ensemble, car c’est très important… Il nous a été dit :
« Cesser de vouloir devenir, pour accepter être ».
Tu connais cette phrase ?
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Oui, je m’en souviens très bien… Et je l’accepte.
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Eh bien, si nous nous amusons à conjuguer cette phrase, pour nous l’appliquer à nous-même, cela nous permet de penser par exemple :
« Je cesse de vouloir que l’autre devienne, pour accepter qu’il soit ».
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D’accord, donc je le laisse…
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Oui… Je ne l’abandonne pas, mais j’accepte qu’il soit ce qu’il est… j’arrête de vouloir qu’il devienne autre chose que ce qu’il est…
Et je le mets au courant : je lui signifie que je l’aime comme il est, là !
Je lui exprime sincèrement, mais de façons mesurées, que je suis heureux qu’il soit là où il est.
Je lui signifie cela par des attitudes, par des paroles : je lui exprime ma joie de vivre cet instant avec lui… Je lui exprime combien je suis heureux d’être avec lui, de parler avec lui… Je lui montre que suis heureux de l’écouter, etc…
Et là, il reçoit enfin ce qu’il désire vivre depuis toujours, c’est-à-dire se sentir aimé… Se sentir aimé dans « son » attitude habituelle à lui, lorsqu’il parle comme il parle, lorsqu’il agit comme il agit… Voilà !
Et ça, c’est ce dont nous avons tous besoin : nous sentir aimé comme nous sommes, sans aucune condition…
Toujours, nous nous présentons les uns aux autres en espérant sentir cela… Encore… Ou enfin !
Notre espoir est total.
Notre espoir est toujours renouvelé.
L’Espoir Infini
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Mais, ce n’est pas possible ! C’est incroyable !
J’étais en plein là-dedans, en train de faire la retranscription de ce dont tu parles là, juste maintenant… Et, cependant, j’ai trouvé le moyen, sans en prendre conscience de, quand même, vouloir emmener l’autre là où j’étais et non pas l’inverse !
Et d’ailleurs, cet autre, s’attendait aussi presque à ce que je fasse ça !
Pourquoi ?
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L’autre personne attendait que tu fasses quoi ?
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Et bien, que je l’amène ailleurs, là où je voulais justement l’amener… que je la sorte de « son » truc !
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Ah, bien oui ! Elle était dans son système : comme toi, elle croyait que là où elle était ce n’était pas bien. Elle croyait donc qu’il fallait qu’elle arrive ailleurs.
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Oui ! Et moi, je n’ai pas réagi comme je le désire vraiment !
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Nous voulons valider l’autre dans « sa » position à cet instant… Et donc il faut se mettre à sa portée.
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Oui, je comprends… Je comprends ça… C’est bien vrai !
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Il faut, bien sûr, parler un langage que l’autre puisse comprendre, comme cela a été fait pour nous depuis des siècles et des siècles.
Si les meilleurs d’entre nous disait ce qu’ils pensaient, ce qu’ils sont capables d’être heureux de penser, sans mettre en place un filtre mesuré, nous, les autres, nous ne pourrions rien comprendre ! Nous les traiterions même de dangereux fous !
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Oui, évidemment !
Le langage de la Lumière est mesuré
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Et, à l’extrême, si un Être est la Lumière Elle-même, et qu’Il parle sans aucun filtre, qu’Il parle Son Pur Langage Lumineux, nous, nous ne pourrions, pour l’instant, rien comprendre de cette Lumière Pure exprimée sans aucune distorsion ombreuse…
En effet, qui d’entre nous peut comprendre la Lumière Pure ? Pour l’instant, nous n’en sommes pas capables… et cela durera tant qu’il y aura de l’ombre en nous !
Alors, la Lumière parle un langage qui convient parfaitement à chacun de nous.
La Lumière se met au diapason de chacun, individuellement ! Elle distille pour chacun de nous un nectar sur mesure qui ne peut pas être, pour l’instant, la totalité de la Vérité Pure… Et cela par Respect pour nous, par Amour pour nous…
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Cela est logique…
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Et nous ? Nous, nous voulons, de notre mieux, nous inspirer de ça… toujours mieux !
Nous voulons, nous aussi, nous mettre au diapason de la personne qui est en face de nous… En union avec elle…
Et nous apprenons à être heureux de lui dire ce qu’elle est capable d’être la plus heureuse d’entendre, à cet instant.
Ce qu’elle est vraiment heureuse d’entendre, c’est ce qu’elle peut et veut réellement entendre à cet instant !
Et ça, c’est, précisément, ce que, nous, nous sommes vraiment heureux de lui dire… C’est là le bon équilibre, la bonne distance, la bonne dose pour une communication qui nous unit.
La communication unitaire
Nous n’allons donc pas « tout » lui dire : nous allons lui dire ce qu’elle est capable d’être heureuse d’entendre, elle, à cet instant-là… Et, bien sûr, ce que nous sommes capable d’être heureux de lui dire à elle, telle qu’elle est, à ce même instant…
Et ne sommes-nous pas capables d’être heureux de lui exprimer notre respect, notre amour ?
Ne sommes-nous pas désireux de lui exprimer combien nous sommes heureux qu’elle existe exactement comme elle existe à cet instant ?
N’est-ce pas là ce que nous sommes le plus heureux de penser et de lui exprimer ?
Et là, lorsque nous le faisons, cette personne, ne va-t-elle pas se sentir aimée, telle qu’elle est ?
Ne va-t-elle pas sentir ce qu’elle voulait sentir le plus, depuis le début de cette vie et souvent depuis de nombreuses, de très nombreuses vies ?
N’est-ce pas pour cela qu’elle a choisi de nous rencontrer ?
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Oui, c’est bien ainsi !
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Et la douceur, l’harmonie, la joie de ce mouvement : cela va faire que naturellement, en son temps, son autre pied sera prêt pour se poser sur la marche suivante.
Et plus tard, ce sera exactement la même chose… Mais pas tout à fait au même niveau puisque cette marche aura été franchie… Par elle… Et par nous, ensemble… Et ainsi de suite…
Donc, chaque fois, un mouvement est initié par notre sentiment respectif de sécurité : Elle, elle se sent aimée dans ce qu’elle désire et peut recevoir et nous, nous nous sentons aimé dans ce que nous désirons, et pouvons, offrir !
L’amour nous libère tous
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C’est la situation idéale.
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Oui, c’est vrai ! Et donc, elle peut lâcher prise sur la marche précédente… Et nous pouvons ainsi monter ensemble sur la marche suivante.
Elle est libérée, elle, parce qu’elle se sent aimée et aimante ! Nous sommes libérés parce que nous nous sentons aimés… et aimant !
… Et là, un silence…
Alors tu te souviens que nous avions dit une autre fois que « Nous sommes libres de tout ce que nous aimons » ?
Eh bien, de même, « Chacun est libre de tout ce qui est aimé en lui » ! Quand il se sent aimé, il est libéré !
Et ainsi, par exemple, chacun peut enfin avoir une relation libre avec son problème… Et ensuite, le rythme et la force de la communication s’accélère…
Et nous en arrivons à une certaine vitesse… et c’est ce que nous sommes, nous-même, là, en train d’expérimenter… Nous trouvons l’un et l’autre que nous avançons, à un rythme soutenu, à une bonne vitesse ! Une vitesse qui ne nous est qu’agréable !
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Alors que moi, cette fois encore, avec cette personnes particulière , j’avais voulu l’entraîner plus vite qu’elle ne pouvait aller… Ce que j’avais cherché, c’était de l’amener là où j’étais.
Le même Infini pour tous
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En fait, toujours, l’idée qui est à l’origine de cette attitude maladroite, c’est : « L’autre est moins en Dieu que moi ! »
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… Ben oui !
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Ce qui, bien sûr, est une idée ombreuse… qui n’a donc aucune réalité.
La vérité, c’est, tout simplement, que : « L’autre est, toujours, autant en Dieu que moi ! » Et cela, où qu’il en soit !
C’est pour cela qu’il faut avoir conscience que nous sommes tous à égalité devant Dieu : il nous reste, à tous, l’Infini à parcourir !
Donc nous sommes égaux : nous sommes tous au raz des pâquerettes, quel que soit le chemin que chacun a déjà parcouru !
Nous sommes égaux devant Dieu : l’Infini pour l’autre et l’Infini pour nous, c’est toujours le même Infini à explorer !
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Oui, je pense que, ça, c’est indiscutable !
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Et, c’est ainsi que, par exemple, en mathématiques, nous disons : « l’infini moins quoi que ce soit est toujours égal à l’infini ». En mathématique, l’infini moins dix, l’infini moins cent ou l’infini moins un million, c’est toujours l’infini…
Et donc, il nous reste, à tous, l’Infini devant nous à parcourir quel que soit le chemin que nous ayons accomplit à ce jour !
Eh bien, il faut se le répéter, il faut se le redire. Et peut-être faut-il l’écrire pour qu’on puisse le lire et en discuter encore et encore…
C’est peut-être là, l’un des intérêts de cette idée que nous avons eu de la transcription de nos échanges ?
(Un silence…)
Liberté de la lecture
Alors l’intérêt de l’écrit, aussi, c’est que quand on lit un texte c’est nous qui le lisons, c’est nous qui en dosons la compréhension pour nous… C’est nous qui prenons, ou ne prenons pas, telle ou telle partie !
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Oui ! Ce n’est pas pareil que quand c’est quelqu’un d’autre qui décide de ce que nous devons entendre…
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Il semble en effet que souvent, mais pas toujours, il y a une liberté plus grande dans la lecture que dans l’écoute directe. C’est en effet nous qui dosons plus facilement, dans notre intimité ce que nous recevons !
Par exemple, cette ligne, nous la sautons… parce que, pour l’instant, nous ne sommes prêts à en recevoir confortablement le contenu… Ce n’est pas agréablement, immédiatement, assimilable.
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Oui, quand ce n’est pas accessible, tu ne la vois même pas, cette ligne ! Ou tu l’interprètes à ta façon pour l’instant…
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Oui, c’est cela !
Nous ne relisons jamais deux fois le même texte
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Et c’est cela qui fait que quand nous lisons un texte plusieurs fois ce n’est jamais le même texte que nous relisons ! Et ceci est d’autant plus net que ce texte exprime mieux la Lumière…
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Oui, c’est sûr, cela m’arrive souvent !
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L’autre jour j’ai relu, peut-être pour la 500ème fois, à voix haute, un texte qui pour moi est plein de la Lumière et, une fois de plus, cela a été le même régal de la découverte…
Ce qui est écrit sur le papier, ce sont, depuis des années, toujours les mêmes mots et les mêmes phrases… Mais à chaque fois ma compréhension de ce même texte s’enrichit… Et c’est toujours un plaisir renouvelé que de lire et de relire ce texte toujours nouveau !
À chaque re-lecture, je sens que ma conscience de la Lumière augmente et cela se manifeste par une nouvelle joie de le lire à nouveau…
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Moi aussi, j’ai eu cette expérience avec des DVD très beau : c’est comme si, à chaque écoute, j’avais une révélation nouvelle…
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Oui ! Si je n’avais pas l’absolue certitude que ce texte n’a jamais quitté mon tiroir, je pourrais croire facilement que quelqu’un a modifié ce texte depuis la dernière fois que je l’ai lu : qu’un mot, une ligne ou parfois tout un paragraphe a été ajouté !
J’ai, à chaque fois, l’impression de ne jamais l’avoir lu auparavant… Et pourtant j’ai la certitude, physique, que c’est bien lui que j’ai lu et relu de si nombreuses fois auparavant !
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Oui, c’est toujours étonnant !
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Pourtant, c’est normal, si on y réfléchit ! Tant qu’un texte ou un DVD, ou tout autre média, exprime une conscience de la Lumière très supérieure à celle que nous avons à cet instant, il y aura toujours à manger pour nous en le relisant ou en le réécoutant !
Et imaginons ce que ce serait, si un média, un texte, un DVD ou autre exprimait la Lumière Pure ! Alors, là, nous pourrions nous nourrir de Lui pour toujours !
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C’est un rêve à vivre, ça…
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Mais, c’est bien « ce rêve » que nous réalisons, chaque fois que nous écoutons notre Âme !
Notre Âme, c’est la Lumière Pure, inscrite en nous.
Et là, il y a eu encore un silence…
L’eau de la Source coule du haut vers le bas
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En tous les cas, de notre côté, c’est exactement le type de situation que nous devons créer, de notre mieux, dans notre relation avec l’autre…
Cela pour lui offrir un espace, une liberté… une sorte d’aspiration vers le haut dont il pourra profiter au fur et à mesure de de ses besoins à lui, de ses désirs à lui et de ses possibilités à lui…
Bien sûr, ce ne peut pas être une contrainte, ni une obligation, pour lui d’aller de là à là… Aucune pression ne doit s’exercer sur lui.
Mais nous attirons ! C’est comme du sucre ! Ça donne envie… d’en reprendre !
La personne se sent aimée là… et puis elle sent aimée là encore… et elle éprouve de la joie à continuer…
Pour enrichir l’autre et l’accompagner ainsi sur « son » chemin de la Liberté, nous devons donc simplement, donc, exprimer une conscience de la Lumière qui soit supérieure à la sienne ou au minimum égale à la sienne… Sur le sujet donné !