35 • Notre Foi et notre Doute, nos deux amis inséparables…

35 • Notre Foi et notre Doute, nos deux amis inséparables…

Samedi 22 Février 2025

Aujourd’hui, en me réveillant, j’ai pensé, pendant au moins une heure, ces deux mots : « Foi » et « Doute » !

Et là, j’ai commencé, avec plaisir, à jouer au BeHappy avec ces pensées qu’expriment ces deux mots…

Autrement dit, j’ai simplement répondu à la question : « Qu’est-ce que je suis le plus heureux de penser aujourd’hui à partir de ces deux mots : « Foi » et « Doute »… ? « 

Et alors, je me suis dit que j’allais consacrer une bonne partie de ma journée à réfléchir, avec plaisir, à cela et que j’écrirai ensuite les pensées les plus belles que je découvrirai.

Mais, après m’être levé, j’ai d’abord voulu vérifier, grâce à mon ami l’ordinateur, que j’appelle pour m’amuser « mon lobe informatique », la relation que notre tradition reconnaissait à ces deux mots…

Eh bien ! Là, c’est assez simple : ils sont l’un pour l’autre les antonymes parmi les plus fréquents…

En effet, parmi les synonymes les plus fréquents du mot « doute », nous y trouvons le mot « incertitude » et l’expression « manque de foi »…

Et parmi les synonymes les plus fréquents du mot « foi », nous trouvons le mot « croyance » et l’expression « absence de doute »…

Donc, la tradition oppose, en général, le doute à la foi et la foi au doute… Il semble, pour elle qu’ils sont séparés et qu’ils s’opposent… L’un serait comme l’ennemi de l’autre…

Ou pire encore, l’un n’existerait que si l’autre n’existait pas !

Et pourtant !

Et pourtant, pour notre pensée, notre Foi et notre Doute, ne semblent-il pas être aussi inséparables et nécessaires que notre inspiration et notre expiration le sont pour la vie de notre corps ?

En effet, pour que notre Âme puisse rester incarnée dans notre Corps, c’est à dire pour que notre corps vive, il faut, sans cesse, que celui-ci inspire de l’air puis l’expire, puis l’inspire à nouveau, puis l’expire à nouveau… Et cela sans cesse…

Et ceci depuis son premier souffle qui commence par une inspiration et jusqu’à son dernier souffle qui finit par une expiration…

Cependant, lorsque, pour la première fois dans ma vie, j’ai pensé au premier souffle de l’Être humain, m’est venue la question suivante : « Mais, la vie de l’Être humain qu’est le nouveau-né n’a-t-elle pas commencée dans le ventre de sa mère et non pas à sa naissance ? »

Et la réponse qui m’est venue immédiatement et que j’ai ensuite choisie de penser volontairement, car elle m’a beaucoup plue, a été : « Oui, mais tant qu’il est dans le ventre de sa mère, c’est elle qui lui offre sa respiration… C’est elle qui inspire et qui expire pour lui… jusqu’à son premier souffle, jusqu’à sa première douce inspiration personnelle… Si la naissance suit la Nature !

Donc, bien vivre, pour notre aspect Corps, c’est l’union harmonieuse entre notre inspiration et notre expiration… Ou bien, tant que nous sommes un foetus, de celles de notre mère…

Si, dans ce corps-ci, l’une existe sans l’autre, c’est que soit nous naissons dans ce corps, soit nous mourrons à ce corps.

En effet, le premier souffle, lors de notre naissance, c’est à dire la première inspiration n’est pas, dans ce corps-ci, précédé par une expiration… Et le dernier souffle, lors de notre mort, c’est à dire la dernière expiration, n’est pas, également dans ce corps-ci, suivie d’une inspiration…

Eh oui ! Il faudra bien attendre la prochaine incarnation de notre Âme pour que notre premier souffle recommence enfin à la suite du dernier souffle de notre corps actuel… Cela, après une interruption plus ou moins longue, en temps matériel, où notre Âme n’anime pas un corps, mais, comme on dit, « a rejoint Dieu »…

L’inspiration et l’expiration sont donc deux amis inséparables qui, à chaque fois qu’elles sont harmonieusement unis, permettent à nos corps d’exister et de vivre agréablement… Et ainsi, à notre Âme d’évoluer…

Eh bien ! Nous pouvons dire qu’au niveau de notre aspect Pensée, la relation entre la « foi » et le « doute » est du même type que la relation entre l’inspiration et l’expiration au niveau de notre aspect Corps.

Et toutes les deux, la foi et le doute, sont également nécessaires à l’épanouissement l’un de l’autre…

Notre Foi et notre Doute sont complémentaires … Ils sont « un ».

Dès que l’un de ces deux aspects manque l’autre se déséquilibre…

L’harmonie de notre Foi est nécessaire à l’harmonie de notre Doute… Et l’harmonie de notre Doute est nécessaire à l’harmonie de notre Foi.

Ainsi, on peut dire que notre Doute et notre Foi se nourrissent l’un l’autre.

Mais, ils ne peuvent se nourrir l’un l’autre que « lorsque nous sommes heureux »…

Je vais m’expliquer…

Mais, d’abord, précisons quelques points : je ne veux pas perdre de vue la 1ère loi du jeu du BeHappy auquel je joue à cet instant dans le cadre de ce site BeHappy8 et que je vais exprimer cette fois comme ceci :

« Que je sois heureux, c’est le plus important pour moi et pour tous les autres ».

Et donc, ici par exemple, dans le cadre de ce jeu de pensée, je dois bien reconnaître que, si le plus important pour moi et pour tous les autres, c’est que je sois heureux, alors je préfère être heureux que d’avoir foi… Et je préfère être heureux que de douter !

Mais, l’expérience me montre clairement que plus je suis heureux plus ma foi grandit… Et plus je suis heureux, mieux je profite de ma foi qui grandit… Et plus les autres peuvent profiter de ma foi qui grandit…

J’ai en effet, observé depuis toujours qu’être heureux est la condition d’une foi fructueuse…

Être heureux de croire toujours plus quelque chose que je crois toujours plus beau fait que je suis toujours plus heureux…

Et ceci bénéficie, immédiatement, à tous !

Mais, je vois bien également que, dans mon expérience et dans celle de ceux que je peux observer, chaque fois que nous avons osé être heureux d’avoir un doute, ce doute nous a toujours enrichi… Il a alimenté notre foi et l’a fait grandir !

Lorsque je sais être heureux d’avoir un doute, ce doute va être comme « rentabilisé » : il va toujours nourrir ma foi et la rendre plus équilibrée et plus forte… Et je vais alors savoir être encore plus heureux ! Et là, le doute va être encore plus désirable…

Cependant, dans notre société, du fait des mémoires que, tous ensemble, nous avons mises en place dans notre passé, il n’est pas facile pour tout le monde d’être heureux de vivre son doute…

Il n’est pas si facile que ça, également, d’être heureux pour chacun de vivre sa foi…

En effet, dans notre passé nous nous sommes trop souvent interdit les uns aux autre, depuis nos plus jeunes âges, d’avoir foi ou d’avoir doute !

Et trop souvent, la foi de l’un a été le doute de l’autre.

Le doute de l’un a, trop souvent, interdit la foi de l’autre…

Et la foi de l’autre a, bien trop souvent, interdit le doute de l’un.

Et que de guerres ont eu lieu pour cela !

Ces guerres n’auraient jamais eu lieu si les Êtres humains avaient simplement été heureux avant tout…

En effet, si chacun sait être heureux d’avoir « sa » foi et d’avoir « son » doute, si chacun sait être heureux que l’autre ait « sa » foi et « son » doute… Alors, comment ne pas être heureux ensemble et vivre en paix ?

Comment, alors, ne pas se réjouir ensemble d’être différents ?

33 • Un Matin parmi d’autres…

Mon Journal du Mercredi 21 Février 2024, mis à jour le Mardi 24 Septembre 2024

Voici donc ce que j’ai écrit dans mon journal, ce jour-là… Et je l’ai mis au propre et à jour, aujourd’hui… Car tout évolue…

La Vie est bien sûr vivante… Je suis moi-même, un Être vivant : Âme, source de vie, Corps plein de vie, Pensée qui évolue.

Ainsi, tous les jours, de mon mieux, je m’entraîne à penser ce que je suis le plus heureux de penser : c’est mon journal !

Et lorsque je relis aujourd’hui ce que j’ai écrit il y a quelque temps, je suis agréablement étonné de ce que mon Âme m’a proposé ce jour-là… En tous les cas ce qu’il me semble que j’ai entendu dans ma pensée… et ce que j’ai transcrit matériellement…

Je suis, également, surpris de tout ce que mon Âme me propose encore aujourd’hui lorsque je relis mon texte.

Alors, je l’avais certainement écrit le matin, dès mon lever, dans le silence, comme je le fais encore aujourd’hui… C’est, en général, ce que je fais en premier… Cela m’est toujours agréable et je commence ainsi ma journée le sourire dans mon coeur.

Ces textes peuvent sembler parfois bien décousus… Mais cependant il y a bien un fil conducteur solide qui coud toutes ces pensées ensemble : c’est la joie que j’ai eu à les écrire lorsque je les ai écrites…

Voyons…

Je suis heureux.

Je suis de plus en plus heureux.

Oui ! Je suis heureux de tout ce que je vis… C’est ce que je pense !

Et penser, c’est choisir.

Alors je choisis ce que je suis le plus heureux de penser… et je le pense beaucoup… Et encore plus !

J’aime l’humanité… J’aime toute l’humanité… Je veux l’aimer de plus en plus, de mieux en mieux.

Mais, si je veux aimer l’humanité, il faut, bien sûr, que je l’aime sans condition… Donc avec les guerres terribles qu’elle vit en son sein.

Je veux donc aimer tout ce que j’ai prétendu être mon ennemi.

Chacun a sa propre définition de l’amour… Et cela est merveilleux !

Pour moi, aimer, c’est être heureux.

J’aime un Être lorsque je suis heureux que cet Être soit…

J’aime un Être lorsque je suis heureux que cet Être existe telle qu’il est.

Pour moi, l’Amour est un presque-synonyme de la Joie.

Je choisis de respecter tous les autres Êtres humains… J’apprend, toujours plus, à les aimer tels qu’ils sont.

Je ne veux plus violenter les autres… Je ne veux plus leur imposer des paroles qu’ils ne sont pas prêts à être heureux d’entendre.

Je respecte la conscience que chaque Être humain choisit d’avoir…

Toute conscience de Ta Lumière est en effet parfaite.

Si Tu Es Tout, Tout Est Toi…

Si un Être existe, qu’il soit minéral, végétal, animal ou humain, sa conscience ne peut qu’être une conscience de Ta Lumière…

En effet, une conscience de Toi ne peut être constituée que de Toi… Comment peut-il en être autrement, si Tu Es Tout ?

Eh oui ! Si Tu Es vraiment Tout, Tu Es à la fois, tous les Êtres qui existent et toutes les consciences qu’ils ont de Toi…

Donc, par exemple, il y a Toi et il y a la conscience que j’ai de Toi à chaque instant… Mais les deux, c’est Toi !

Ma conscience et Toi sont « Un »… Puisque Tu Es Tout.

Et là, attention ! Il n’y a pas une conscience de Toi qui soit plus parfaite qu’une autre conscience de Toi.

En effet, n’est-ce pas, comme je viens de le penser et de l’écrire, toute conscience ne peut être que Toi !

Donc, ma conscience n’a pas plus de valeur que toute autre conscience…

Oui ! Toutes les consciences qu’ont tous les Êtres sont aussi Parfaites les unes que les autres.

Ainsi, la conscience d’un bébé est Parfaite, comme celle d’un adulte.

La conscience d’un Être-chien est Parfaite, comme celle d’un Être-humain… etc.

Mais, là, remarquons qu’un bébé a été homme-adulte un grand nombre fois et sera encore adulte un innombrable nombre de fois, en des corps humains différents…

Et au cours de toutes ses incarnations, sa conscience a toujours augmenté, sa conscience augmente encore dans cette vie qu’il vit actuellement, et sa conscience augmentera toujours au cours de chaque vie qu’il vivra…

Vraiment, cela, je suis très heureux de le penser ! Je choisis toujours d’avoir plus conscience de ce que je suis le plus heureux de penser !

Chaque instant n’est que Toi… Toi le Merveilleux, Toi le Parfait !

Et il n’y a pas de meilleurs moments que celui que nous vivons à cet instant pour être plus conscient de Toi.

Nous sommes tous en Toi… que nous en soyons plus conscients ou moins conscients.

La conscience de chacun des Êtres que Tu Es ne change en rien leur proximité avec Toi : cette proximité, elle est Totale, elle est Absolue… Nous pouvons l’appeler « Unité ».

Que mon Âme me dicte tous mes raisonnements… Et qu’ainsi ma joie augmente sans cesse en Toi.

Je n’ai pas d’autres ambitions que d’être heureux, c’est à dire de plus en plus heureux ! … Et « je suis » de plus en plus heureux…

Qui peut choisir à la place d’un autre Être la conscience qu’il a du Bonheur qu’il est ? Personne !

L’appréciation de notre bonheur est ce qui est le plus intime à chacun de nous.

Je me fais la promesse d’écrire, toujours mieux, ce que je suis le plus heureux d’écrire, à l’instant-même où je l’écris…

Ma vie est complètement consacrée à une conscience toujours plus grande de Toi… C’est à dire à un bonheur toujours plus grand ! Comme la vie de chaque Être !

Je propose à celui qui me lit qu’il se respecte lui-même au mieux : je propose que, de ce que j’écris, il ne croit et ne choisisse lui même de penser que ce que « lui » est heureux de croire…

Avoir cru ce que nous n’étions pas heureux de croire à un instant donné, c’était nous trahir nous-même et ne pas suivre « notre plan à nous », qui ne pouvait être, de toutes les façons que Ton Plan à Toi, Ton Plan Parfait !

Si Tu Es Tout… et Tu l’Es ! Alors, notre chemin ne peut être qu’en Toi… Nous sommes en Ta Parfaite Sécurité.

De Ton Amour Infini, Tu nous Aimes tels que nous sommes, c’est à dire tels que nous croyons être.

Il faut respecter la juste distance avec tout ce qui existe… que ce soit au point de vue physique, au point de vue mental, ou au point de vue spirituel !

En effet le feu nous réchauffe agréablement lorsque nous sommes à la bonne distance de lui. Si nous sommes trop loin, nous ne sommes pas réchauffés, si nous sommes trop prêts, nous nous brulons ! 

Et c’est nous qui sommes les seuls responsables de la distance que nous choisissons entre le feu et nous… Alors, faisons le bon choix, à chaque instant.

J’ai foi que tout est parfait, ou, pour le dire autrement, que Ta Perfection est Absolue… C’est à dire que rien ne Lui échappe… Rien également ne souhaite lui échapper !

En effet, tout le monde souhaite être heureux ! Personne ne souhaite souffrir… C’est là, vraiment, ce que je suis le plus heureux de penser… et de vivre…. C’est aussi ce que j’observe.

Je choisis de rester heureux lorsque j’observe que des gens n’osent pas encore être heureux comme ils le souhaiteraient… Ou même, parfois, qu’ils soient sûrs que le bonheur n’existe pas pour eux !

Je choisis d’être heureux de toute la conscience et de toute l’inconscience de Ta Lumière qu’ils choisissent d’avoir à cet instant-là.

Je dis qu’ils « choisissent » parce que c’est ce que je suis le plus heureux de penser… Vraiment le plus heureux de penser, là, à cet instant.

En effet, je ne sais plus, à cet instant, être heureux de penser qu’une personne puisse ne pas avoir le choix de son ouverture de conscience… Et je suis sûr, à cet instant, que je ne le serai jamais !

C’est une des caractéristiques merveilleuses des Êtres humains d’avoir enfin obtenu le Don du Libre Arbitre… Et rien ni personne ne peut leur enlever ce Don, même pas eux-mêmes !

La seule réelle et immense puissance que j’ai dans ce monde, c’est d’être toujours plus heureux, c’est à dire toujours plus conscient de Toi en tout…

Que je sois, donc, un témoin toujours plus fidèle de Ton Amour !

Aujourd’hui, être Ton apôtre, pour moi, c’est simplement être heureux… Toujours plus heureux !

Alors, je construis cet instant agréable sur toutes les mémoires que je choisis, librement, d’aimer…

En effet, dès que j’aime plus une mémoire, je suis plus heureux.

Et dès que nous aimerons tous, totalement, chacune des mémoires de l’humanité, nous serons, alors, totalement heureux.

Cela peut sembler être un bien long chemin… Oui ! C’est vrai qu’il est long ! Mais comment s’en plaindre puisque chaque pas n’en est qu’agréable ?

Je décide donc à chaque instant d’augmenter ma foi en Toi, c’est à dire ma foi dans la Vie !

Qu’Es-Tu, sinon la Vie Elle-même ?

Vivre, c’est Te vivre.

Alors, si apparaît en moi une ombre, c’est à dire une baisse de conscience de Ta Lumière Parfaite et Absolue, je choisis, tout de suite, d’aimer cette ombre, sans aucune condition.

C’est mon choix… Et je le respecte, à chaque instant, toujours mieux.

Je veux aimer tous les ennemis que j’avais choisis d’imaginer.

C’est la Belle Vie !

Je cultive ma naïveté… En effet, je crois que la vie est simple, « trop simple » ! Et je le crois de plus en plus, naïvement !

La solution de tous mes problèmes a toujours été d’en être, d’abord, heureux… de les aimer… et d’observer leur transmutation dans Ta Réalité, c’est à dire dans Ta Lumière.

Décrire Ta Lumière ne nécessite que peu de mots, voir aucun…

Mais la description de l’ombre, c’est à dire de la baisse de la conscience de Ta Lumière a constitué, jusqu’à ce jour encore, la grande majorité des discours et des écrits de l’humanité… Mais cela évolue, et en bien, de plus en plus vite !

J’écoute mon Âme qui me parle en toutes choses.

La vie a trois composantes totalement unifiées que je peux nommer ainsi : l’Âme, le Corps et la Pensée.

La Vie est Omniprésente… Tous les Êtres en sont l’expression qu’ils soient minéraux, végétaux, animaux ou, depuis peu, humains.

Tu Es la Vie que nous vivons tous, tous les Êtres que nous sommes : Tu Es Omniprésent.

Oui ! J’essaye vraiment de parler comme je pense et, encore plus, d’agir comme je pense… Et j’y arrive de mieux en mieux… Quel plaisir !

En effet, je pense de plus en plus à partir de mon Âme et de moins en moins à partir de mes mémoires.

Je ne cherche pas à me « faire » des amis : j’ai, en effet, autant d’amis qu’il y a d’Êtres dans Ton Univers.

Toi, Tu Es mon Amis, à la fois Unique et Infiniment Multiple.

Si un Être existe, il est mon ami… Si je rencontre un Être, il est mon ami.

Je suis donc en paix.

Je choisis d’être en paix, même avec la guerre…

Le Corps que je suis « vit » mon Âme et ma Pensée… 

La Pensée que je suis « pense » mon Âme et mon Corps… 

L’Âme que je suis est « la source » de ma Pensée et de mon Corps…

Je crois que c’est, là, un des aspect du Mystère de la Trinité : Trois en Un et Un en Trois.

Il y a, en effet, une infinité de manières de vivre Ton Unité…

Et, chaque instant que je vis est une manière unique de Te vivre.

Je choisis d’être heureux de ce qui est… et de ce qui n’est pas.

Je suis heureux de Toi… Et Toi Tu Es Tout, Toi Tu Es « ce qui est » et Tu Es « ce qui n’est pas ».

Je choisis que Toi, Âme que je suis, Tu sois la source de la Pensée que je suis et du Corps que je suis.

Toi, la Lumière, Tu Es la Seule Source de Toi-même.

Voilà ! Dans cet article du Blog « BeHappy8.org » j’ai essayé de mon mieux de respecter de mon mieux les règles du jeu du BeHappy… C’est Tout !

J’ai donc écrit, au fur et à mesure, ce qui me passait par la tête que j’ai été heureux de penser à ce moment-là.