Qu’est-ce que le BeHappy ? Le minimum à savoir…

Lundi 23 Avril 2024

  

  Le BeHappy est un jeu de la Pensée pour tous ceux qui désirent y jouer dans  leur vie en lisant, en parlant et peut-être en écrivant.

Son but est simple : ÊTRE PLUS HEUREUX !

Ce jeu se joue soit seul, soit à deux, soit à plus.

Ici, dans ce site « BeHappy8 », vous pouvez jouer à ce jeu en lisant les articles qui s’y trouvent dans l’ordre qui vous convient et, si vous le voulez, en écoutant des enregistrement ou bien en écrivant vous même votre Joie…

Mais, dans tous les cas, lorsque nous choisissons de jouer au BeHappy, les joueurs que nous devenons alors sont d’accord pour respecter les 8 lois suivantes qui règlent ce jeu : 

1ère Loi :  Que je sois Heureux, c’est le plus important pour l’Être que je suis et pour tous les autres Êtres.

2ème Loi :  Je ne suis un Être humain Heureux que lorsque je pense ce que je suis le plus heureux de penser.

3ème Règle : Alors, la première question la plus importante que je puisse me poser est celle-ci :

« Est-ce que j’ai pensé là ce que j’étais le plus heureux de penser, OUI ou NON ? » 

4ème Règle :  Je reconnais que toute réponse, à cette question fondamentale, qui n’a pas pu être un OUI spontané est un NON. (c’est à dire : soit c’est un OUI en moins d’une seconde, sinon, je reconnais que c’est un NON)

5ème Règle :  Si c’est un NON, la deuxième question la plus importante que je puisse alors me poser est la suivante :

« Qu’est-ce que je suis le plus heureux de penser maintenant ? »

Et là, il faut que j’ose « découvrir » cette pensée…

Ensuite, je vérifie la qualité de cette nouvelle pensée en me posant à nouveau la première question la plus importante (qui est la règle numéro 3).

6ème Règle : Et là, si la réponse est maintenant un OUI spontané, je pense dorénavant cette pensée que je viens de choisir aussi souvent que je suis heureux de la penser…

7ème Loi : Plus je répète cette pensée que je suis heureux de penser, plus il m’est facile de la penser.

8ème Loi : Je suis donc maintenant un Être un peu plus heureux… Ce qui est le plus important pour l’Être humain que je suis, bien sûr, mais aussi pour tous les autres Êtres.

Eh bien, notre souhait, c’est que ce site « BeHappy8 » nous aidera tous à être plus heureux en apprenant finalement à jouer de mieux en mieux au BeHappy et appliquer les découvertes que ce jeux nous permettra de faire dans tous les aspects de notre vie.

Pour cela, nous vous souhaitons de suivre, de votre mieux, ces Lois, si simples, si logiques et si agréables.

Comme des questions peuvent se poser à la lecture de ces lois sur lesquels est basé le jeu de BeHappy, nous y répondons dans un autre article dont le titre, pour l’instant est :

# »Compléments d’informations sur les 8 lois ou règles sur lesquels se base le Jeu de BeHappy… »

Merci à nous tous les Êtres de notre joie, toujours plus grande…

Compléments d’informations sur les 8 Lois ou Règles sur lesquels se base le Jeu de BeHappy…

Bien sûr, chacun peut jouer au BeHappy avec bénéfice pour améliorer son bien-être en ayant seulement connaissance des 8 lois ou règles telles qu’elles sont, simplement et rapidement, édictées dans l’article précédent :

« Qu’est-ce que le BeHappy ? »

Mais certains auront peut-être plaisir à ce que ces lois ou ces règles soient un peu plus développées et commentées…

Pour ces personnes, voici certains éclairages supplémentaire sur ces 8 lois/règles sur lesquels s’appuie le jeu de BeHappy qui les intéresseront sûrement.

Ensuite, au fur et à mesure, si cela est nécessaire, nous préciserons encore ces éclairages, en fonction des éventuels réactions que certains joueurs de BeHappy exprimeront dans les commentaires qu’ils déposeront sur ce site…

Alors, voyons !

Que les joueurs reconnaissent cette 1ère loi comme la leur est la condition prioritaire pour jouer à ce jeu de pensée.

En effet, après me l’être posé à moi-même, j’ai posé à des milliers de gens, dans le cadre de mon métier et dans ma vie privée, et ceci pendant des années, la question suivante :

« Qu’est-ce qui est le plus important pour vous dans la vie ? »

Et là, soit de suite, soit après une courte mise au point de vocabulaire et de signification, tout le monde, sans une seule exception, m’a répondu :

« Le plus important, c’est que je sois heureux ! »

« C’est mon but le plus important dans ma vie !« 

100% de personnes, sur des milliers de personnes qui donnent, précisément, cette réponse, nous pouvons considérer que l’on est là en face d’une loi, une loi robuste, une loi scientifique  !

Cette loi, qui est devenue une règle du jeu du BeHappy, nous pouvons l’exprimer de la façon suivante :

« Ce qui est le plus important pour tout les Êtres, sans exception, c’est qu’ils soient heureux »

Et ceci n’a rien à voir avec une opinion. Non ! C’est une loi dont chacun peut prendre connaissance tous les jours un peu plus.

Et donc, le 1er préalable au jeu de BeHappy, c’est que les joueurs reconnaissent cette 1ère loi, comme la leur, eux qui sont des Êtres humains… Mais également que cette loi est celle de tous les autres Êtres.

Et, mon expérience, c’est qu’ils le font tous, facilement, à 100% !

Donc, cette loi de la Vie, si évidente et si simple, est devenue la 1ère règle du jeu de BeHappy.

Comme je viens de le dire plus haut, parfois, il a pu être nécessaire de préciser un point ou un autre…

À la question : « Qu’est-ce qui est le plus important pour vous dans la vie ? », certains, en effet, ont pu, par exemple, dans un premier temps, répondre :

« Ce qui est le plus important pour moi, c’est que mon enfant (… ou ma mère, ou mon père, ou mon compagnon, ou ma compagne… ou mon chien, ou l’humanité) soit heureux. »

Alors, on a pu, s’ils citaient leur enfant, leur poser, par exemple, la question :

« Est-ce que votre enfant a plus de chance d’être heureux, si vous vous êtes heureux(se) ou si vous vous êtes malheureux(se) ? »

Et là, sans exception, toutes ces personnes ont toujours répondu :

« Si je suis heureux(se), bien sûr !

Alors, nous avons pu leur dire : « 

« Que vous soyez heureux, c’est donc bien le plus important pour vous, mais aussi pour votre enfant ? »

Et là, tous, sans exception également, ont répondu :

« Oui, c’est vrai. »

« Plus je suis heureux, plus mes enfants ont de chance d’être heureux… »

Et là, alors, une fois cette 1ère loi reconnue, nous avons pu commencer à présenter la 2ème lois du BeHappy en toute sécurité…

En effet, nous ne pouvons pas jouer au BeHappy de façon agréable et bénéfique avec quelqu’un qui ne reconnaîtrait pas comme sienne cette 1ère loi, qui est la règle fondamentale de ce jeu… et de la Vie… Elle est en effet le fondement de toutes les autres lois qui sont en fait les règles de ce jeu simple et bienfaisant.

En effet, en entendant l’énoncé de cette 1ère loi ou règle du jeu de BeHappy, d’autres ont pu réagir en posant la question suivante :

« Qu’est-ce que le bonheur ? »

Et là, nous sommes bien obligés de leur répondre :

« Personne ne peut définir votre bonheur à votre place…

Le bonheur est une Intimité Absolue…

Et en plus, sa forme change à chaque instant !

Mais, à chaque instant, vous-même, l’Être conscient que vous êtes, vous savez exactement ce que vous, vous êtes le plus heureux de penser, de dire ou de faire !

Et pour jouer au jeu de BeHappy, c’est tout ce qui vous est nécessaire.

Pour être heureux, c’est tout ce qui vous est nécessaire. »

Et les personnes sont toujours satisfaites de cette réponse qui respecte totalement leur propre personnalité et elles acceptent alors d’adhérer à cette 1ère loi qui est donc une règle du BeHappy qu’il faut absolument respecter pour pouvoir jouer à ce jeu de façon agréable et productive… et être plus heureux, tout simplement !

En effet, il faut remarquer que « jamais » une seule personne sur les milliers à qui nous avons pu poser la question « Qu’est-ce qui est le plus important pour vous dans la vie ? » n’a répondu :

« Moi, ce qui est le plus important dans ma vie, c’est que je souffre un maximum ! »

Ou quelque chose d’approchant… Vraiment personne !

Aucun Être, qu’il soit minéral, végétal, animal ou bien sûr humain, n’a pour but essentiel dans son existence de souffrir !

Ce qui ne veut pas dire qu’aucun Être ne souffre… Bien au contraire, les Êtres peuvent souffrir et parmi eux ce sont les Êtres humains qui semblent souffrrir le plus, et cela vraiment beaucoup plus souvent que nécessaire pour pouvoir vivre une vie épanouie.

Vous avez dû remarquer que cette Loi disait :

Prenons conscience que, sur cette terre, il y a au moins 4 types d’Êtres assez bien caractérisés par la science actuelle : il y a les Êtres minéraux, les Êtres végétaux, les Êtres animaux et les Êtres humains…

Bien sûr que le fait que je sois heureux est le plus important pour les autres Êtres humains… Mais c’est aussi le plus important pour tous les autres Êtres qui constituent également notre terre.

Plus je suis heureux, plus je participe à l’harmonie de la vie sur terre.

Il n’y a de véritable écologie qu’heureuse !

Maintenant, voyons quelques précisions qui peuvent être intéressante sur la 2ème Loi du jeu du BeHappy :

L’adhésion à cette 2ème loi, ou règle, du Jeu de BeHappy, comme l’adhésion à la 1ère, est un préalable absolu pour pouvoir aborder les 6 autres lois, qui sont en fait les règles de ce jeu, avant de jouer une bonne partie bienfaisante, seul ou avec un ou plusieurs partenaires.

En effet, comment être heureux au moment où nous pensons ce que nous ne sommes pas heureux de penser ?

Je n’y suis jamais arrivé moi-même… Et je n’ai jamais pu observer quelqu’un qui y soit arrivé.

En effet, qui a été heureux alors qu’il pensait « Ma vie n’est qu’un échec » ?

Qui a été heureux en pensant « Il n’y a que de l’injustice dans le monde » ?

Qui a été heureux alors qu’il pensait que « Les Êtres humains sont fondamentalement mauvais » ?

Qui a été heureux en répétant « Je ne serai jamais heureux » ?

Qui a été heureux en pensant « Mon voisin n’est qu’un imbécile » ?

Etc… Etc…

Bref ! Qui a été heureux en pensant ce qu’il n’était pas heureux de penser ?

Personne… Vraiment personne !

Sans une seule exception, chaque fois que nous avons pensé ce que nous n’étions pas heureux de penser, nous n’avons pas été heureux de vivre ce que nous étions en train de vivre.

Et ce n’est pas que ce que nous avons vécu était « mauvais »… C’est simplement que nous, nous n’avons pas été heureux de le vivre, et ceci, toujours, en pensant ce que nous n’étions pas heureux de penser.

Nous n’avons donc pas « choisi » d’être heureux de le vivre.

Pour être plus précis, nous n’avons pas osé choisir de penser ce que nous étions le plus heureux de penser pour pouvoir enfin vivre ce que nous étions le plus heureux de vivre.

Nous vivons la souffrance que nous pensons…

Mais, nous pouvons vivre le bonheur que nous pensons…

Et c’est bien le but de ce jeu du BeHappy que d’être de plus en plus heureux de vivre en apprenant, tout simplement, tout doucement, à penser ce que nous sommes de plus en plus heureux de penser.

Par contre, bien sûr, nous avons toujours été heureux de vivre un instant alors que nous pensions ce que nous étions le plus heureux de penser à ce même instant.

Ainsi, celui qui est un homme et qui pense : « Je suis heureux d’être un homme »… Eh bien, à cet instant, il vit la vie d’un homme heureux.

Celui qui pense « J’aime conduire », au même instant, il vit la joie de conduire sa voiture.

Celui qui pense « Je suis heureux de vivre » connaît tout de suite le bonheur de vivre sa vie.

Celui qui pense « J’aime l’humanité » fait, pendant cet instant merveilleux, l’expérience de vivre au sein d’une humanité qu’il aime.

Etc…

C’est ce à quoi nous invite ce site BeHappy8 : penser ce que nous sommes les plus heureux de penser pour vivre ce que nous sommes les plus heureux de vivre…

Apprendre à jouer à vivre.

Apprendre à jouer à vivre heureux… comme le font la très grande majorité des enfants ! Tant qu’ils n’on pas encore oublié ces lois si simple d’une vie heureuse que le BeHappy nous propose de nous rappeler à nouveau… et de respecter.

Actuellement, beaucoup de personnes qui entendent cette lois la reconnaissent comme vraie pour eux.

Mais, cependant, certains vont réagir, momentanément, différemment… Et ils vont peut-être exprimer une des pensées suivantes :

« On ne peut pas penser ce que l’on veut.

« Il ne suffit pas que je pense ce que je suis heureux de penser pour être heureux ! »

« Mais, je ne peux pas penser ce qui n’est pas vrai ! »

« Je n’ai pas le droit de penser ce qui n’est pas réel ! »

« Mais je ne peux pas penser ce que je ne « sens » pas ! »

« Je ne suis pas libre de penser n’importe quoi ! »

« Je ne choisis pas ce que je vis ! »

« Je n’ai pas de chance ! »

« C’est génétique, je n’y peux rien ! »

Etc… etc…

Bien sûr, ces personnes n’ont jamais été heureuses de penser ce type de pensées… Jamais !

Mais elles n’en sont pas conscientes, lorsqu’elle les pensent…

Pourquoi ?

Tout simplement, parce que depuis leur enfance, elles ne se sont plus posé la question la plus importante qu’elles pouvaient se poser ! Jamais !

Bien sûr, elles se sont posé de nombreuses questions, mais jamais celle-ci :

« Est-ce que j’ai pensé là ce que j’étais le ou la plus heureux ou heureuse de penser ? »

Cette pensée ne leur a jamais effleuré l’esprit… Elle a été effacée de leur esprit !

En effet, ces personnes n’ont pas encore conscience que les arguments qu’ils ont l’habitude d’utiliser pour exprimer leur désaccord avec cette 2ème loi du jeu de BeHappy ne sont, toujours, que des pensées qu’ils ne sont pas heureux de penser !

Ils n’en sont pas conscients parce qu’il ne se sont « jamais » posé la question la plus importante qu’il peuvent se poser et qui constitue la 3ème loi qui est en fait la 3ème règle du jeu de BeHappy que nous allons aborder tout à l’heure.

Bien sûr, elles se sont posé beaucoup d’autres questions, mais pas « cette » question !

Surtout pas cette question qui est pourtant la plus importante à se poser !

Et ceci, tout simplement, parce que toutes les autorités, sans aucune exception, auxquelles elles ont accepté d’obéir depuis des vies et des vies le leurs ont « toujours » interdit.

En effet, aucune autorité, quelle qu’elle soit, ne permet aux autres Êtres humains de se poser « cette » question !

Une autorité ne se permet même pas à elle-même de se la poser…

En effet se poser cette question, c’est le début de la disparition de toute autorité malfaisante sur soi-même ou sur les autres.

Pourquoi ? Tout simplement parce que cette question permet à la personne qui se la pose de retrouver l’usage naturel de son libre arbitre originel.

Ce « libre arbitre« , c’est cette capacité que nous avons, nous les Êtres humains, de choisir ce que nous vivons, en choisissant ce que nous pensons à partir de notre Âme plutôt qu’à partir de nos mémoires.

Pour le traduire autrement peut-être, on peut dire que le « libre arbitre est la libre conscience que nous avons de choisir de penser ce que nous pensons…

En effet, librement, totalement librement, nous pouvons soit penser ce que nous sommes le plus heureux de penser, soit penser ce que nous ne sommes pas heureux de penser.

Et personne ne peut le faire à notre place.

Mais voyons donc maintenant, plus en détail, cette question qui est la 3ème loi ou règle du jeu de BaHappy.

Nous pouvons nous poser des milliards de questions…

Par exemple, nous avons pu nous poser des questions, comme :

« Est-ce que ce que j’ai pensé est juste ? »

« Est-ce que ce que j’ai pensé est scientifique ? »

« Est-ce que ce que j’ai pensé peut être accepté par les autres ? »

« Est-ce que ce que j’ai pensé est raisonnable ? »

« Est-ce que ce que j’ai pensé respecte ma religion ? »

« Est-ce que ce que j’ai pensé est mieux que ce que les autres pensent ?

Etc… Etc…

Et, bien sûr, certaines de ces question peuvent avoir eu, à un moment donné une certaine importance dans notre vie… Et en auront encore, peut-être, dans notre vie.

Mais cependant, si notre but le plus important dans cette vie, c’est bien d’être heureux, alors il n’y a aucun doute : aucune question, n’est plus importante que celle-ci :

« Est-ce que j’ai pensé là ce que j’étais le plus heureux ou la plus heureuse de penser, OUI ou NON ? »

Comme vous avez pu le remarquer, cette question est posée au passé.

La raison en est simple : nous vivons au présent, mais nous observons toujours notre passé !

Donc, en pratique, lorsque nous nous posons cette question, nous nous questionnons à cet instant sur notre passé.

Ce passé que nous apprécions à cet instant peut être immédiat ou lointain, mais ce ne peut être que notre passé… Et, simplement, nous le reconnaissons en utilisant un temps de conjugaison du passé.

Un des avantages de ceci est que nous libérons le présent du passé.

En effet, à cet instant présent, en nous posons cette question au passé, d’une part, nous nous reconnaissons libre du passé que nous évoquons, et d’autre part nous nous reconnaissons libre de penser au temps présent ce que nous sommes le plus heureux de penser.

Dans notre vie, lorsque nous nous posons une question importante, nous avons toujours besoin que cette question soit claire.

Mais lorsque, comme ici, nous nous posons la question la plus importante que nous puissions nous poser, alors là nous avons besoin de l’exprimer « parfaitement clairement« .

Posée comme elle l’est ici la question la plus importante que nous puissions nous poser est parfaitement claire.

La question ne peut pas être plus claire…

Et nous allons encore préciser cette clarté avec la 4ème loi ou règle du jeu de BeHappy qui suit…

À la question la plus importante que nous pouvons nous poser, il nous faut, bien sûr, une réponse absolument claire.

En effet, la réponse à cette question la plus importante que nous puissions nous poser doit, bien sûr, être également parfaitement claire.

Et là, c’est la réponse la plus simple et la plus claire que l’on puisse donner :

C’est soit « OUI« , soit « NON » !

Dans le jeu du BeHappy, le simple fait d’hésiter une seconde avant de répondre un « OUI SINCÈRE » à cette question qui est la question la plus importante que nous puissions nous poser, doit être obligatoirement reconnue comme un « NON ».

Ceci est obligatoire, si notre but est d’être heureux… Et c’est justement notre but le plus important, comme nous le reconnaissons dans la 1ère règle de ce jeu !

Donc, tous les « OUI MAIS… » sont des « NON »… Les « Je ne sais pas » sont des « NON »… Un silence, c’est « NON », etc…

Bref, si ce n’est pas un « OUI », simple, en moins d’une seconde, c’est un « NON ».

C’est là une des clefs fondamentales de l’efficacité du jeu de pensée qu’est le BeHappy !

Si nous ne respectons pas cette 4ème loi, nous ne sommes pas en train de jouer au BeHappy dont le but premier est de retrouver, toujours mieux, notre Joie Originelle… Nous faisons autre chose, ce qui est notre liberté bien sûr !

Mais, comme l’exprime la 2ème règle de ce jeu, « nous ne pouvons être des Êtres humains heureux que lorsque nous pensons ce que nous sommes les plus heureux de penser. »

Il n’y a pas d’autres possibilités… Il n’y en a vraiment pas ! D’où la rigueur de cette exigence d’un « OUI » simple et vrai… en moins d’une seconde !

En fait, là, nous ne faisons que verbaliser et préciser quelque chose que nous vivons naturellement depuis toujours dans nos vies…

Chaque fois que nous posons une question très importante à quelqu’un, nous attendons une réponse totalement claire.

Par exemple, imaginons qu’un homme pose à sa femme la question, très importante pour lui et pour elle : « Est-ce que tu m’aimes ? » …

Si celle-ci ne répond pas, immédiatement, par un « OUI » franc, ils savent tous les deux que c’est « NON »… Ils ont un problème de relation !

Si elle répondait : « Écoute, je vais réfléchir avant de te répondre »… Ils sauraient tous les deux que c’est « NON »… Et pour l’instant en tous les cas, ils ont un problème !

Attention ! Évidemment, cette exigence d’un « OUI » spontané comme réponse n’est valable que pour une question très importante pour nous.

Si ce même homme demande à sa femme une question comme « Est-ce que tu veux que je te fasse un café » et qu’elle ne réponde ni « OUI », ni « NON », mais qu’elle réponde « Je verrai tout à l’heure, là je suis occupée »… Leur couple ne vit pas là un problème.

En effet cette question n’est pas importante, alors la réponse est sans importance… Elle n’a pas besoin d’être précise.

Mais dans le jeu du BeHappy, la question est fondamentale et la réponse doit être totalement claire : soit c’est un « OUI » absolu, soit c’est un « NON ».

Et d’ailleurs, si c’est un « NON », ce n’est pas la fin du monde…

Mais c’est probablement la fin d’un monde… Et c’est l’invitation à vivre un autre monde… Un monde meilleur ! Un monde dans lequel nous sommes plus heureux…

Et c’est ce à quoi va nous inviter la 5ème Loi que voici :

Le but, ici, n’est pas de penser telle ou telle pensée, mais bien plus simplement de penser la pensée que, nous, nous sommes, vraiment, le plus heureux de penser à cet instant.

Ce peut être sur le même sujet ou sur un tout autre sujet…

En effet, la fuite est permise. Si, pour l’instant, cela est plus confortable pour nous, nous pouvons éviter le sujet à propos duquel nous avons posé la question la plus importante que nous puissions nous poser sans pouvoir répondre « OUI »…

Notre but, en BeHappy, n’est pas de penser obligatoirement une autre pensée sur le même sujet que nous avons questionné et dont nous avons pris conscience que nous n’étions pas heureux de la penser.

Non ! Notre but le plus important est d’être heureux… Et pour cela il nous faut penser ce que nous sommes le plus heureux de penser, nous, à cet instant… « librement » !

En effet, peut-être que pour l’instant, nous ne sommes simplement pas capable de penser une pensée que nous sommes heureux de penser sur le même sujet que nous avons questionné ?

C’est parfait ! Nous allons, alors, choisir simplement de penser une pensée que, nous, nous sommes capable, à cet instant d’être heureux de penser… C’est tout !

N’oublions pas : « Que nous soyons heureux, nous, c’est le plus important pour nous et pour tous les autres Êtres ».

Dans le jeu du BeHappy, il n’y a, absolument, aucune règle disant que nous devons, obligatoirement, penser telle ou telle type de pensées.

Non ! La 5ème règle du jeu que nous étudions maintenant est très précise : « Qu’est-ce que je suis, moi, le plus heureux de penser maintenant ? »

Il y a une infinité de pensées que nous pouvons être heureux de penser… Une infinité !

Mais, à cet instant, il y en a une qui est celle que nous choisissons librement : c’est celle que nous sommes le plus heureux de penser… à cet instant.

Là, il suffit de la choisir à cet instant, et d’oser la penser, la dire, peut-être l’écrire…

Cette pensée qui est celle que nous sommes, à cet instant, le plus heureux ou la plus heureuse de penser, est complètement « arbitraire!

Et ceci n’est pas exceptionnel, puisque toutes les pensées que nous pensons sont toutes arbitraires, que nous en soyons conscients ou pas.

En effet, une pensée humaine est nécessairement « arbitraire ». Que nous le reconnaissions ou pas n’y change rien. Cela est aussi inévitable que le fait de respirer pour vivre…

Que cette pensée soit exprimée par les mêmes mots que la précédente, mais disposés différemment, qu’elle soit sur le même sujet, ou qu’elle soit sur un tout autre sujet, cela n’a aucune importance…

Que cette pensée soit sérieuse ou pas, qu’elle soit très intelligente ou naïve, qu’elle soit simple ou compliquée, qu’elle soit considéré comme « positive » ou « négative »… Tout cela et bien d’autres choses n’ont absolument aucune importance pour jouer au BeHappy…

Que ce soit nous qui la découvrions ou que ce soit quelqu’un qui nous la souffle, ou que nous citions un auteur : cela n’a aucune importance également…

Mais par contre la seule chose qui importe totalement lorsque nous jouons au BeHappy : c’est que cette pensée soit celle que, nous, nous sommes, complètement arbitrairement, le plus heureux de penser à cet instant… C’est tout !

En effet si, pour l’instant, nous évitons systématiquement un sujet que nous n’aimons pas, ce n’est pas grave du tout : ce n’est que partie remise !

En effet, il n’y a pas de soucis : tant que nous ne serons pas heureux de penser quelque chose, cette pensée, et sa manifestation, reviendra à notre conscience pour que nous puissions essayer à nouveau d’en être heureux et cela jusqu’à ce que nous y arrivions.

C’est ce que tente d’exprimer la pensée suivante : « Nous sommes libres de tout ce que nous aimons, mais nous sommes liés, par l’Amour inconditionnel, à tout ce que nous avons prétendu ne pas aimer. »

La Réalité est que nous avons l’Éternité pour ouvrir, toujours plus, notre conscience à la Joie Éternelle.

Nous ne sommes en rien obligés de réussir à aimer quoi que ce soit tout de suite, à être heureux de quelque chose tout de suite…

Si nous n’y arrivons pas là, à cet instant, ce n’est pas du tout grave !

En effet, cela n’est en rien un problème : ce que nous n’aimons pas reviendra patiemment à notre conscience jusqu’à ce que nous l’aimions, c’est à dire jusqu’à ce que nous en soyons heureux.

La route la plus courte pour arriver à être heureux, c’est celle que nous sommes les plus heureux de prendre « tout de suite ».

Donc, le seul critère pour choisir ma pensée suivante, c’est que nous puissions répondre un « OUI » en moins d’une seconde à la question :

« Est-ce que j’ai pensé là la pensée que j’étais le plus heureux ou la plus heureuse de penser, OUI ou NON ? »

Un point, c’est tout !

En effet, la répétition est la clef de l’évolution, et ceci depuis toujours…

Mais ceci est encore plus évident pour nous les Êtres humains… Il est bien évident que chaque Être humains que nous sommes a tout appris en répétant…

Nous avons appris à marcher en répétant environ 2000 fois nos tentatives de marcher jusqu’à y arriver.

Nous avons appris les tables de multiplication en les répétant jusqu’à les savoir.

Cherchez ce que vous avez appris sans le répéter ! Vous ne trouverez tout simplement « rien »…

Et, bien sûr, nous apprendrons tout ce que nous voulons apprendre en répétant !

Tous, autant que nous sommes, avons appris à penser comme nous pensons en répétant ces pensées…

Soit nous l’avons répété volontairement nous-même pour l’apprendre, soit, très souvent, d’autres personnes nous l’ont répété pour que nous l’apprenions.

Car entendre et écouter, c’est penser !

Et écouter beaucoup, c’est penser beaucoup…

Donc, d’un côté, nous avons trop souvent appris à penser ce que nous n’étions pas heureux de penser en le répétant beaucoup nous-même ou en nous le faisant beaucoup répéter par d’autres.

D’un autre côté, nous apprendrons toujours à penser ce que nous sommes les plus heureux de penser en le répétant également beaucoup…

Donc répétons beaucoup ce que nous sommes les plus heureux de penser !

C’est que, tout simplement plus nous sommes heureux de répéter, plus nous apprenons vite !

Et c’est, également, que nous n’avons, en général, aucun plaisir à apprendre par la répétition ce que nous ne sommes pas heureux de penser…

Et en effet, nous avons tous fait l’expérience que nous apprenions beaucoup plus facilement et rapidement ce qui nous plaisait d’apprendre que ce qui ne nous plaisait pas d’apprendre.

Et nos éducateurs ont toujours eu beaucoup de difficultés à nous faire répéter ce que nous n’étions pas, nous-même, heureux d’apprendre…

Cela a été une grande source de souffrances pour l’humanité…

Une grande souffrance pour les éducateurs qui, sans succès, ont essayé de forcer les élèves à apprendre ce qu’ils n’étaient pas heureux d’apprendre…

Mais également une grande souffrance pour les élèves qui ont, de façon naturelle, toujours sainement résisté, de toutes leurs forces à apprendre ce qu’ils n’étaient pas heureux d’apprendre.

Viendra un jour où les lois et règles que nous respectons lorsque nous jouons discrètement au BeHappy seront enseignées publiquement à tous dès le plus jeune âge !

Alors, ce ne sera qu’une grande joie pour les parents d’éduquer leurs enfants et pour tout le monde adulte d’enseigner les jeunes… et les moins jeunes…

Ce sera également une grande joie pour les enfants et les jeunes d’enseigner avec amour les adultes qui les entourent !

« Chassez le naturel, il revient au gallop »

Il y a la propagande d’origine extérieure par les mémoires personnelles ou sociales et il y a l’autopropagande heureuse ou malheureuse.

La propagande malheureuse qui arrive à devenir un autopropagande malheureuse demandera toujours beaucoup de répétition pour rester active.

À poursuivre… dès que je le peux !

Âme ou mémoire ?

9 • La Joie de l’Échec

Vendredi 19 Avril 2024

La Joie de l’Échec

« Le plus court chemin pour aller vers Dieu, c’est de partir de Dieu. »

Nous avons eu beaucoup de joie à découvrir ensemble cette pensée qui nous est venue à l’esprit il y a 2 jours, alors que nous jouions au BeHappy, au téléphone, avec un ami.

Quel enrichissement de pouvoir échanger quelques pensées avec quelqu’un dans le cadre d’une partie de BeHappy… C’est ainsi que nous avons pu enrichir mutuellement notre conscience de belles pensées.

Voici quelques extraits de notre échange dans lequel, d’abord, nous avons choisi de tutoyer la Lumière Infinie dans ces quelques pensées :

Tu es Tout.

Si Tu es Tout, Tu ne peux donner que Tout.

Tout ce qui peut être donné, c’est Toi… C’est Toi-même.

Si Tu es Tout, qui peut donner autre chose que Toi ?

Et donc, qui peut donner plus ou moins qu’il ne reçoit ?

Tu es le seul Don que nous offrons et recevons à chaque instant.

La relation entre deux Êtres, quels qu’ils soient, ne peut être qu’un échange de Toi contre Toi.

Le seul fait d’exister est le Don que tous les Êtres s’offrent à eux-même et offrent à tous les autres Êtres dans tout l’ univers.

Il n’y a « Absolument » aucune hiérarchie de valeur entre la vie de deux Êtres.

Un Être, qu’il soit minéral, végétal, animal ou humain, n’est fait que de Toi… Il ne peut offrir que Toi aux autres Êtres… Et il ne peut en recevoir que Toi !

Comment cela peut-il être autrement, si Tu Es Tout ?

Quel régal de s’amuser à penser ce que nous sommes les plus heureux de penser ! 

Lorsque nous le faisons, l’égalité de la valeur de chaque Être apparaît alors rapidement évidente à notre conscience.

Et si nous persistons à penser à partir de l’Âme que nous sommes, cette égalité se concrétisera dans les faits… dans les Corps.

Mais, il faudra un certain temps de cette pratique pour que l’égalité de chacun des Êtres avec chacun des autres Êtres se manifeste dans les faits.

Mais, le penser, c’est le début de cette réalisation merveilleuse… qui est inévitable !

Par exemple, cela nous est, pour l’instant, un peu difficile de « pratiquer » la justice… Mais nous pouvons la « penser » avec joie… Et tout ce que l’homme a osé être heureux de penser, suffisamment, s’est toujours manifesté un jour.

Ce que l’on appelle un progrès s’est toujours « manifesté » après avoir été pensé dans la joie par quelqu’un d’abord, puis par plusieurs… et finalement par tous… Et cela s’est, le plus souvent, étalé sur des siècles !

Cela s’est toujours passé comme ça… Et cela se passera toujours comme cela ! C’est là un des aspects de la Loi du Libre Arbitre.

Malgré nos hésitations millénaires, et nos retour en arrières si fréquents, un jour nous retrouverons la conscience et le vécu du Paradis…

Ce Paradis terrestre, c’est cet état réel où tous les Êtres humains, sans une seule exception, retrouveront leur « bon sens »… Ton Sens.

Des études ont montré qu’un enfant humain, en moyenne, arrivait à se tenir, pour la première fois, debout après environ 2000 échecs. Imaginons qu’arrivé à la 1999ème tentative, il se mette à croire qu’il n’y arrivera jamais et que, dorénavant, il cesse d’essayer sans réussir… C’est à dire qu’il ne sera, dorénavant, plus heureux d’échouer une fois de plus.

Cette enfant n’aimerait plus l’échec autant que la réussite. Il se dirait : « Je n’essaierai à nouveau de marcher qu’après avoir réussi sans échouer »… Eh bien, s’il pensait cela, il ne marcherait jamais !

Comment réussir quelque chose, si nous cessons d’être heureux d’échouer à le réaliser ?

La joie de vivre est la condition, sine qua non, du progrès. Le moteur du progrès a toujours été la joie, « Ta Joie ».

La Joie, c’est l’ouverture de la conscience… Et « C’est la conscience qui fait toute la différence » !

Par exemple : « Liberté, Égalité, Fraternité » … Magnifique devise ! 

Il nous faut beaucoup, beaucoup, la penser pour la réaliser… Il faut que nous soyons de plus en plus heureux de la penser… Et plus nous échouons à la réaliser, plus il faut la penser encore plus fort, encore plus profondément, avec encore plus de joie… Encore plus de conscience de Ta Joie.

Si un enfant échoue environ 2000 fois avant de réussir à marcher, pourquoi l’humanité n’échouerait-elle pas 2000 siècles avant de réussir à vivre, à nouveau, Ta Liberté, Ton Égalité, Ta Fraternité ? 

La joie de l’échec, c’est la clef de la réussite… C’est Ta Loi.

Si Tu Es Tout, Tu Es l’Échec autant que la Réussite.

Soyons donc de plus en plus heureux d’échouer… Continuons à apprendre à penser ce que nous sommes les plus heureux de penser… Jusqu’à réussir à voir les faits le manifester.

 

Souvenons-nous des 8 règles du jeu de ce site BeHappy8 que nous venons simplement de respecter ci-dessus. Revoyons ensemble les règles du BeHappy…

Si nous les respectons, nous serons tout simplement plus heureux :

1 • Que je sois Heureux, c’est le plus important pour moi et pour tous les autres Êtres.

2 • Je ne suis un Être humain Heureux que lorsque je pense ce que je suis le plus heureux de penser.

3 • Alors, la première question la plus importante que je puisse me poser est celle-ci : « Est-ce que j’ai pensé là ce que j’étais le plus heureux de penser, OUI ou NON ? » 

4 • Toute réponse, à cette question fondamentale, qui n’a pas pu être un OUI spontané est un NON. (c’est à dire, soit c’est un OUI en moins d’une seconde, sinon, c’est un NON)

5 • Si c’est un NON, la deuxième question la plus importante que je puisse me poser est la suivante : « Qu’est-ce que je suis le plus heureux de penser maintenant ? » Et là, j’ose inventer cette pensée… Je vérifie la qualité de cette nouvelle pensée en me posant à nouveau la première question la plus importante (règle 3).

6 • Et là, si la réponse est maintenant un OUI spontané, je pense dorénavant cette pensée que je viens de choisir aussi souvent que je suis heureux de la répéter…

7 • Plus je répète cette pensée que je suis heureux de penser, plus il m’est facile de la penser.

8 • Eh bien, je suis donc maintenant un Être un peu plus heureux… Ce qui est le plus important pour l’Être humain que je suis, bien sûr, mais aussi pour tous les autres Êtres.

8 • Dormir…

Mercredi 17 Avril 2014

Quelles sont les pensées que j’ai observées en moi, pour l’instant, lorsque je dors peu, en tous les cas moins qu’à mon habitude…

Mon habitude et même toutes mes habitudes, résultent de pensées que j’ai l’habitude de penser… Et souvent la société m’a encouragé et m’encourage encore, tous les jours à les penser :

Par exemple : « On ne peut pas vivre sans dormir »… « Et on ne peut pas vivre bien sans dormir tant d’heures » … « On ne peut pas vivre sans manger »… Et « on ne peut pas vivre bien sans manger comme ceci ou comme cela et en telle ou telle quantité » …

J’ai moi-même reçu de telles informations… Et je les ai moi-même enseignées à mes patients… Mais pourtant, notre ami Spinoza, pour lequel j’ai tant de respect, nous dit : « Nul ne sait ce que peut le corps. »

Et c’est vrai que, sans cesse, nous découvrons que le corps peut faire des choses que nous pensions impossible auparavant.

Sans cesse, se manifestent des personnes qui font des choses, avec leur corps ou avec leur mental, qui n’ont jamais été faites, soit par peu de monde, soit même par personne…

Alors ?

7 • L’Être silicium

Lundi 15 Avril 2024

  

Il faut « simplement » reprendre conscience que « Seul Tu Existes » … Que « Tu Es Tout » …

C’est avec ces mots que j’ai fini mon dernier entraînement de BeHappy, le Samedi 13 Avril.

Simplement ?

Pourquoi ce qui est si simple nous semble si difficile à réaliser : Croire que « Tout est Un »… et l’exprimer… Puis le vivre !

Peut-être que c’est le fait d’une tradition millénaire de pratique de la pensée humaine que l’on a pas été heureux de penser, mais que nous avons tout de même pensé… par tradition.

C’est vrai qu’un caillou que l’on laisse tomber… Il tombe !

Peut-être que depuis des milliards d’années le caillou espère changer la direction de sa trajectoire, sans y arriver.

Mais, si nous le suivons au cours de ces milliards d’années, il y est quand même parfois arrivé !

Comment cela, il y est arrivé, parfois ?

Eh bien ! Si l’on prend comme exemple, un atome de silice, c’est bien du caillou, du minéral… Et cela l’est toujours de nos jours. Suivons son évolution… Par exemple imaginons des atomes de silicium agrégées, un caillou de silice, qui faisaient partie d’une météorite qui a navigué, pendant des milliards d’années, dans notre univers… 

Maîtrisait-il sa direction ?

Mais, me dira-t-on, « Ces atomes de silicium ne pouvaient pas « vouloir » changer de direction ! »

Là, nous démarrons avec l’idée que les atomes de silicium ne pensent pas. Et ensuite, nous allons raisonner à leur propos sur cette pensée de base : l’Être silice ne pense pas !

Mais notre but, là, à cet instant, comme toujours, c’est bien d’être heureux… C’est à dire toujours plus heureux. N’est-ce pas ?

Nous sommes bien d’accord ? Que nous soyons heureux, c’est bien le plus important pour moi et pour tous les Êtres.

Et qui, sur cette planète et ailleurs, a été heureux en pensant ce qu’il n’était pas heureux de penser ? 

Moi, je n’ai jamais réussi à le faire… Et, dans cette vie, je n’ai jamais vu quiconque réussir à le faire… Jamais !

« Jamais », c’est solide. Je veux dire ce sont des résultats statistiques les plus sûres, les plus scientifiques, qui soient.

Eh bien, ce sont mes statistiques et celles de tous les gens que je rencontre depuis toujours : c’est un fait démontré à chaque instant de nos vies… Personne ne vit, et n’a jamais vécu, un instant de bonheur en pensant ce qu’il n’était pas heureux de penser… 

En pensant ce que nous ne sommes pas heureux de penser, nous pouvons, parfois, vivre un instant de « soulagement » … Mais pas un instant de bonheur ! Nous pouvons oublier que nous souffrons encore bien plus en pensant ce que nous ne sommes pas heureux de penser… C’est comme un train qui peut en cacher un autre !

Nous pouvons croire qu’une souffrance peut, pour un temps, en cacher une autre de plus grande. Mais cela n’a rien à voir avec « être heureux ».

Être heureux, c’est être « toujours plus heureux ».

Ce n’est pas cacher une mémoire de souffrance très grande par une autre souffrance aussi grande. Ce n’est pas arriver à boire une bouteille de whisky par jour pour pouvoir continuer à cacher à tous que j’ai été violée à l’âge de 14 ans… Cette personne s’est seulement soulagée d’une souffrance immense par une souffrance autre. Personne ne boit une bouteille de whisky par jour parce qu’il heureux de le faire ! Ça, c’est sûr.

Bien ! Revenons à notre sujet ! Mais en avons-nous vraiment changé ?

Donc, je choisis de penser, tout de suite, ce que je suis heureux de penser, ce que je suis même le plus heureux de penser à cet instant… Comme cela ! Cash !

Et, à cet instant, ce que je suis le plus heureux de penser à propos de l’Être silicium, c’est qu’il pense.

Oui, je suis plus heureux de penser que le silicium pense, plutôt que de penser qu’il ne pense pas… Alors, je le pense, je le pense librement !

Bien sûr, il pense minéralement… Et notre science humaine ne s’est pas encore occupée d’étudier la « pensée minérale »… Elle commence à peine à effleurer l’étude de la pensée animale… Et, il faut bien le reconnaître, elle n’a pas encore compris grand chose à la pensée humaine qui est un immense point d’interrogation pour la science.

J’imagine la pensée minérale de l’Être silicium comme une pensée très lente, très, très lente, mais très pure… avec le même but, exactement le même, que ma pensée humaine : ouvrir sa conscience ! C’est à dire exister toujours plus heureux en pensant toujours plus ce qu’il est le plus heureux de penser…

Un jour, après des milliards d’année de vie de silicium, cet atome qui est le Corps d’une Âme et d’une Pensée, donc d’un Être, comme tout ce qui existe, cet atome s’arrête sur notre terre en formation avec la météorite qui le véhiculait…

Là, il a bien déjà changé sa direction et son mouvement… Maintenant, il fait partie de notre terre… Et comme tout ce qui existe, il a évolué. À son rythme bien sûr !

Maintenant, il participe à une ellipse beaucoup plus petite, il tourne avec la terre pendant encore quelques milliard d’années… Imaginons qu’il se soit intégré à la croute terrestre la plus superficielle… Et il tourne, il tourne avec elle… Il ne vit pas le même mouvement que lorsque il faisait partie de la météorite.

Ça, c’est un mouvement qu’il n’avait jamais vécu, cet atome… Il a bien donc changé sa tradition, une tradition vieille de milliards et de milliards d’années… Nous, humains, il nous semble immobile, mais il bouge… Et sa Pensée a bien sûr changée… Elle a pris un virage, comme son Corps. Et l’Âme, qu’il est, a également évoluée, comme son Corps !

La Pensée d’un Être ne peut pas être séparée de son Corps, ni de son Âme. Tout ce qui existe est à la fois Âme, Corps et Pensée… C’est vraiment là ce que je suis le plus heureux de penser ! Alors je le pense librement ! Je choisis librement de le penser… 

Je suis, comme tous les Êtres à cet instant… et bien sûr comme l’Être silice : Âme, Corps et Pensée…

Bien ! Maintenant, ce que je suis le plus heureux de penser c’est que, finalement, cet atome de silice, s’associe étroitement avec plein d’autres Êtres en formation : il participe, par exemple, à la constitution d’une plante terrestre… Puis il participe à l’humus que devient cette plante… Puis il participe à la constitution d’une autre plante… etc.

Là, il est encore dans un autre mouvement de son Corps et donc de sa Pensée et de son Âme qui sont, ensemble, un seul et même Être… Cet Être participe à l’existence d’innombrables autres Êtres.

Sa vie a vraiment encore complètement changée… Il est toujours minéral, mais il s’est associé avec d’autres minéraux et la plante, et l’humus sont apparus… grâce à lui et à de nombreux autres atomes qui sont chacun des Êtres. Tous ces Êtres se sont associés pour permettre l’apparition d’un autre Être : plante, humus etc…

Bien ! Quelques milliard d’années passent, avec des expériences toujours nouvelles : participation à de nouvelles plantes, à un autre humus, à de l’eau et même à de l’atmosphère… L’Être silicium se déplace toujours plus, sur notre terre. Il fait de nouvelle expérience et à chaque fois, sa mémoire s’enrichit…

Maintenant, ce que je suis heureux d’imaginer, donc de penser, c’est que, pour la première fois, un animal l’intègre à son Corps en se nourrissant de la plante dans laquelle cet atome de silice se trouvait à ce moment là…

Et voilà, pour lui, une nouvelle aventure qui lui permet d’évoluer encore plus… Ses mouvements se diversifient encore énormément ! Il participe à des groupes d’atomes de plus en plus complexes. Et son Corps bouge de plus en plus : que de voyages, il fait !

On dit que les voyages forment la jeunesse… Eh bien, tous ces changements, tous ces voyages forment la jeunesse de notre atome de silice… 

Il apprend toujours plus : son Corps change de relation avec ces entourages avec lesquels il interagit à des rythmes toujours plus accéléré, sa Pensée change de même, ainsi que l’Âme qu’il est.

Tout cela change de plus en plus vite… Et le voilà peut-être en train de participer à la vie d’un loup, puis il y a quelques dizaine de millier d’année d’un chien… Et puis il existe peut-être dans le corps d’un Être humain ! Ou peut-être dans son cerveau, ou même dans la puce d’un ordinateur, extension du cerveau de l’Être humain.

Là, il continue l’expérience de l’ouverture de sa conscience en conversant à des rythmes de plus en plus intenses… Il participe à des pensées de plus en plus complexes… Il en est le Corps.

L’Être qu’il est n’est plus le même. Le Corps de cet Être Silicium vit des expériences toujours nouvelles. Sa Pensée s’ouvre. Son Âme vibre toujours plus haut… Comme l’Être que je suis… Comme tous les Êtres de l’Univers… Comme l’Être Univers lui-même.

Je ne sais plus trop où j’en étais… Je ne me souviens plus trop d’où je suis parti… Mais je sais combien je me régale de penser… de penser ce que je suis le plus heureux de penser. De m’amuser à penser… De m’amuser à vivre.

Quel plaisir, toujours renouvelé, c’est de penser librement guidé par ce sentiment d’unité de Tout… Ce Tout que Tu Es, depuis toujours et pour toujours…

Tout s’élève en Toi… La Pensée s’ouvre en tout Être, le Corps de tout Être évolue, l’Âme de tout Être s’élève

Et nous avons tous besoin, à la fois, de la tradition et de l’innovation.

  

6 • En écoutant Bach…

Dimanche 14 Avril 2024

  

En écoutant cette Toccata et Fugue en D mineur, encore et encore une douce tristesse me prend de nouveau…

Je me souviens…

Je me souviens du jeu d’orgue merveilleux… Je me souviens de l’image sur la pochette du disque vinyle…. Je me souviens de l’électrophone qui jouait et rejouait cette pièce de musique… Comme si c’était hier !

En 1967, après les examens de fin d’année, j’étais sur le balcon de ma chambre universitaire à Montpellier et j’écoutais sans fin pour la millième fois, ce disque vinyle…

Et c’est là… dans la chaleur de ce mois de juin ! C’est là, la première fois que j’ai pensé d’une façon tout à fait nouvelle à Toi… Toi que j’ai appelé le plus souvent Dieu et que, maintenant, je peux appeler de tous les noms.

L’Infini, l’Éternité, l’Omniprésence, la Beauté, la Vérité… C’est ce que j’ai perçu d’une façon nouvelle à cet instant, dont je me souviens comme si j’y étais…

Là, j’ai commencé à sortir de l’enfance.

Et depuis je Te nomme, tous les jours, avec toujours plus de conscience… Et cela continuera toujours… Comment pourrais-je arriver au bout de Toi, Toi l’Infini, Toi qui n’a pas de bout, ni dans le temps, ni dans l’espace, ni dans la beauté…

Je suis si heureux de ne voir aucune fin à Ta Beauté… Voir la vie toujours plus belle… Avoir toujours plus envie de la découvrir encore… Quand je la déguste, je suis calme, confiant… Je sais que je pourrais la déguster demain encore plus qu’aujourd’hui…

Sentiment d’abondance.

Tu as tous les goûts… Et je Te goûte sans fin… Tu m’offres la Perfection et lorsque je pense « C’est Parfait », je sais maintenant, avec certitude, que demain, ce sera encore plus Parfait.

Mais comment ce qui est Parfait peut-il être encore plus Parfait ?

Ça, c’est Ton Mystère et j’ai vraiment le sentiment de ne rien y comprendre… Et pourtant, en même temps, je sais que je le comprends un peu mieux, tous les jours…

Tout ce que je ne comprends pas, c’est Ta Perfection et tout ce que je comprends, c’est Ta Perfection, également.

Je ne me lasse pas de vivre, de Te vivre !

J’aime tant ce monde dans lequel je vis… Je l’aime tel qu’il est… Il a toujours été facile, pour la plupart d’entre nous, d’aimer la joie du monde, mais je vois que beaucoup se demandent : « Comment aimer autant de souffrance ? »

Et pourtant cela me semble, maintenant, si simple. Je le décide… Je le pense… et je le vis… C’est ma liberté. C’est la Liberté que Tu me donnes, comme à tous, bien sûr !

C’est ce fameux « Libre Arbitre » qui nous permet de choisir notre conscience, c’est à dire de penser ce que nous sommes les plus heureux de penser, à chaque instant… Ou pas !

Ta Joie est la nature de tout ce qui existe. Le minéral, lui, ne peut pas en douter, il La vit. Le végétal ne peut pas en douter, il vit également Ta Joie. L’animal ne peut pas en douter, lui non plus, et il La vit également… sans frein.

Mais l’homme ? Lui, pourquoi ne manifeste-t-ils pas toujours Ta Joie ? Pourquoi ne vit-il pas Ta Joie à chaque instant ?

Comme tout ce qui existe, l’homme n’est-il pas, lui aussi, heureux par nature ?

Si, bien sûr, mais…

Mais, sur notre terre, ce qui nous différencie, nous les Êtres humains, des autres Êtres, c’est notre Libre Arbitre, notre Libre Conscience, notre Libre Pensée. Ainsi, nous, les Êtres humains pouvons choisir librement notre conscience.

Grâce à ce libre arbitre, nous pouvons, bien sûr, comme tout le reste de Ta Création, choisir « librement », maintenant, d’être conscient de Ta Joie qui est Son Essence.

Mais, grâce à ce même libre arbitre, nous pouvons aussi choisir, tout aussi librement, de ne pas être conscient de cette Joie Absolue qui est pourtant toujours l’Essence de Ta création.

C’est ça le libre arbitre !

Les Êtres minéraux, les Êtres végétaux, les Êtres animaux, eux, ne peuvent pas perdre conscience de Ta Réalité, ils la pensent tous et la vivent tous, chacun bien sûr à son niveau de conscience.

Et, à chaque époque de leur existence, ils grandissent en conscience à leur rythme naturel, sans pouvoir questionner cette ouverture de conscience originelle.

Par le simple fait qu’ils existent, leur conscience s’ouvre. Elle s’ouvre à sa vitesse naturelle, à sa vitesse originelle, comme elle aurait dû continuer de le faire chez nous, les Êtres humains…

Mais cette Être humain, lui, au presque début de l’humanité, il a choisit de perdre conscience de Ta Lumière. Il a utilisé son nouveau libre arbitre pour penser « librement » ce qu’il n’était pas heureux de penser… Il a choisi, « librement », de perdre conscience de Ta Lumière qui est son Essence.

Quelle maladresse ! Quelle erreur !

Et quel résultat !

Mais, c’est cependant, également ce même libre arbitre qui va lui permettre, qui va « nous » permettre, à chacun des Êtres humains que nous sommes, de choisir à nouveau… et de « librement » penser à partir de Ta Lumière et non à partir de nos mémoires que nous avons mises en place depuis cette perte de conscience de Ta Lumière.

Qu’est-ce que 1000 ans, 2000 ans, 3000 ans pour Ta Création Eternelle ? Qu’est-ce à côté des 100.000 à 400.000 ans de l’existence de l’erreur humaine et des milliards d’années de Ta Perfection ?

La Vérité est toujours plus belle que ce que nous pouvons l’imaginer.

Mais imaginons-la, pensons-la, librement, toujours plus belle !

Gandhi nous a dit : « Sois ce que tu veux que le monde devienne ».

Soyons ce que nous voulons que notre monde devienne.

J’ai confiance.

5 • Pense-bête

Samedi 13 Avril 2024

  

Un soleil magnifique… Bien agréable ce printemps !

Mais, maintenant, je vais m’entraîner à penser des pensées que je suis heureux de penser à propos du sommeil… Et puis probablement que je dériverai, plus ou moins vite, sur d’autres sujets, comme d’habitude.

Ce sont là mes  « gammes ». Ces gammes que je fais régulièrement, presque tous les matins, pour améliorer sans cesse mon jeux de pensées…

C’est ce jeux, que je joue en réalité toutes mes journées, que j’appelle depuis une quarantaine d’années le « BeHappy »… Et c’est pour cela que j’ai nommé le blog que je suis en train de mettre en place sur l’internet « BeHappy8″… « 8 » étant le symbole pour « Infini ».

  

Alors, voilà quelques nouvelles pensées que je suis heureux de penser à propos du sommeil :

J’aime dormir.

Je suis heureux de dormir comme je dors.

Le sommeil est mon ami.

Je suis si heureux de me réveiller la nuit.

Plus je suis heureux de me réveiller, plus agréablement je me rendors.

Dans mon sommeil, ce que j’aime, c’est… tout : m’endormir, dormir… et me réveiller.

Dormir est un plaisir toujours renouvelé.

Je dors parfaitement bien.

Plus je suis heureux de dormir comme je dors, plus ma vie est belle.

J’aime ma vie, telle qu’elle est.

J’aime mon passé.

J’aime toutes mes mémoires.

Aujourd’hui, je suis heureux d’avoir pensé tant de pensée que je n’ai pas été heureux de penser au moment où je les ai pensées.

J’aime toutes les règles que j’ai mis en place au cours de ma vie à propos de mon sommeil ou du sommeil des autres.

Mais, ma règle fondamentale de vie, c’est « Être heureux de Tout ».

Je suis heureux de Tout ce qui est, de Tout ce qui a été et de Tout ce qui sera.

« Tout », c’est Toi… Toi que l’on nomme souvent « Dieu », mais qui est Tout ce que l’on peut nommer.

Par exemple : « sommeil », c’est un de Tes noms.

Je suis donc heureux de Toi en tant que « Sommeil ».

Je mets souvent une majuscule à Ton Nom, mais pas toujours ! Sinon, il faudrait que je mette une majuscule à tous les mots que j’écris ou même que j’écrive Tout en Majuscule, puisque chaque lettre ne peut être que Toi… si Tu Es Tout…

Et je suis heureux de penser que Tu Es Tout.

Donc, en pratique, je ne mets une majuscule à certain de Tes Noms que comme un « pense-bête », pour me rappeler de temps en temps que c’est bien de Toi que je parle… Que c’est Toi que je pense… Et que je ne peux penser que « Toi » ! Et le reste du temps, eh bien, je ne mets pas de majuscule à Tes Noms… Alors que c’est bien toujours Toi que je pense !

En effet penser, c’est toujours « Te » penser.

Finalement, je n’ai qu’une logique hypersimple, c’est d’être toujours heureux de Te Vivre…

Pour le dire autrement, je veux T’adorer de chaque instant que je vis… Ou encore : je veux T’offrir chaque instant que Tu m’Offres…

Ma logique est extrêmement simple, voir minimaliste… Sa pensée fondamentale, au sens de la pensée qui en est le fondement, c’est que « TU ES TOUT »… 

Tu Es Tout… Et puis, c’est tout !

A partir de là, je choisis en permanence d’être heureux de Te vivre, sous toutes les Formes Infinies qui se présentent à ma conscience.

Cette attitude, parce que c’est celle que « je » suis, « moi-même », heureux de cultiver, m’a permis d’être de plus en plus heureux. Et je vois bien que toutes les personnes qui sont heureuses de jouer à ce jeux que j’appelle « le jeu de BeHappy » sont de plus en plus heureuses…

Bien sûr, chacune d’elles le joue à sa façon… A sa façon unique… Personne ne peut vivre quoi que ce soit de la même façon… Personne ne peut être heureux de la même façon… Personne ne peut, non plus, souffrir de la même façon.

Finalement, le BeHappy n’est qu’une des versions les plus simples du Jeu de la Vie. Je l’imagine parfois comme le « 0 » et le « 1 » qui sont à la base de toute l’informatique et qui permettent pourtant des systèmes toujours plus complexes.

A chaque instant, je n’ai que deux options de jeu. Soit je suis heureux, soit je ne suis pas heureux. 

« Être heureux », c’est simplement avoir conscience que c’est « Toi » que je vis… 

« Ne pas être heureux », c’est simplement ne pas avoir conscience que c’est « Toi » que je vis… 

Mais je « Te » vis dans les deux cas, car si « Tu Es Tout », je ne peux vivre que Toi.

Par exemple, si j’ai dormi en une seule traite toute ma nuit de sommeil, c’est Toi que j’ai dormi… Et si j’en suis conscient, je suis heureux de ma nuit… Je suis heureux de « T’avoir dormi » !

Par contre, si je me suis réveillé quatre fois dans ma nuit de sommeil, c’est Toi que j’ai « dormi », et c’est Toi que j’ai « réveillé », puisque Tu Est Tout… Et si j’en suis conscient, je suis heureux. Et c’est ainsi que je suis heureux d’avoir vécu ce que beaucoup appelleraient une « mauvaise nuit » et que moi j’appelle une « Nuit Parfaite »… ou bien « Ta Nuit » !

C’est comme cela que, depuis des années, je m’entraine à reconnaître Ta Perfection en toute chose, que la tradition l’ait pensée « bonne » ou « mauvaise » !

Pour moi, la tradition est à aimer, en totalité, parce qu’elle n’est que Toi… 

Jésus as dit : « Aimez votre Ennemi »… « Aimez Tout, y compris votre Ennemi ». Et combien nombreux ont été ceux qui ont, de leur mieux possible, appliqué dans leur vies ces paroles… La majorité des Êtres humains l’ont fait, depuis toujours et toujours mieux… Mais, c’est une majorité silencieuse, la plupart du temps discrète…

« Les gens heureux n’ont pas d’histoire » nous dit le dicton.

Ce sont les gens qui ne sont pas conscients qu’ils sont heureux qui font « l’histoire »…

La souffrance fait toujours du bruit… pour être aimée ! Quelle maladresse ? Mais est-ce vraiment une maladresse ? Ou bien est-ce la seule façon d’obtenir sa guérison…

C’est un peu comme un mur impeccablement blanc, mais qui a une seule tache noire, toute petite ! Où notre attention va-t-elle se porter le plus ? Sur la tache noire, bien sûr ! Mais cela fait-il que tout le mur est noir ? Non, c’est un mur tout blanc avec une toute petite tache noir !

Et si nous voulons qu’il n’y ait plus de tache sur ce mur blanc, il nous faudra « Aimer notre ennemi », c’est à dire reprendre conscience que cette tache noire n’est que Ta Blancheur dont nous avions perdu conscience… C’est à dire qu’il faut simplement reprendre conscience que « Seule Tu Existes »… Que « Tu Es Tout » ! « Vraiment Tout » …

4 • Tradition et Innovation

Vendredi 12 Avril 2024

Eh voilà ! Je me réveille une nouvelle fois… Et je choisis d’être heureux encore une fois.

Être heureux, c’est un choix… Et c’est mon choix. Je suis heureux chaque fois que je suis conscient que je suis heureux…

Et j’en suis conscient en le pensant, tout simplement…

En le pensant, quels que soient les évènements, c’est à dire les faits.

Penser, c’est voter !

Chaque fois que je pense, je choisis le monde de demain.

Si je choisis d’être heureux de ce que je pense, au même moment, je choisis d’être heureux de ce que je vis, je choisis d’être heureux du monde…

La conséquence ? Je vis une vie plus agréable et le monde s’améliore.

Les Êtres humains sont insatisfaits chaque fois qu’ils pensent ce qu’ils ne sont pas heureux de penser… Pour se vivre plus heureux, il suffit qu’ils osent se poser une question essentielle :

“Qu’est-ce que je suis le plus heureux ou la plus heureuse de penser à cet instant ?” Et qu’ils osent répondre avec vérité !

Le plus grand des courages, c’est de penser ce que nous sommes les plus heureux de penser… qui est, c’est vrai, le plus souvent bien différent de ce que notre troupeau pense !

C’est toute la question à laquelle j’ai pensée cette nuit… La question de la complémentarité entre “la tradition” et “l’innovation”… Mais aussi entre ma droite et ma gauche… Entre le haut et le bas… Entre ici et là-bas… Entre le passé et l’avenir… Entre moi et les autres…

Voici, par exemple, ce qu’a dit mon ami Alphonse de Lamartine à propos de la tradition et de l’innovation :

“ Deux forces opposées régissent le monde moral : la tradition et l’innovation, autrement dit, l’autorité et la liberté.

Elles le maintiennent à la fois en équilibre et en mouvement. 

La religion établie est la plus imposante des traditions.

La raison, l’examen, la discussion, la liberté sont les forces d’innovation. 

Leur puissance, au lieu d’être dans l’immuable, est au contraire dans leur perpétuelle recherche et dans leur transformation continue. 

Ces deux forces méritent un égal respect car l’une et l’autre sont de Dieu. 

Avec l’idée immobilisée dans une institution immuable, la pensée humaine tarit, faute de renouvellement, l’humanité s’engourdit, la société ou la nation tombent en assoupissement ou en servitude.

Avec l’innovation seule, la société se précipite et tombe en poussière par l’accélération désordonnée et sans contrepoids de la pensée. Il faut que ces deux forces soient représentées et servies dans leur juste mesure. ”

Nous étudierons un jour les paroles de Lamartine pour rebondir dessus…

Ces deux forces, “la tradition” et “l’innovation” ne sont pas opposées, mais bien complémentaires, c’est ce que nous a expliqué Lamartine, avec ses paroles toujours si harmonieuses.

Alphonse de Lamartine est mort à 78 ans, il y a 155 ans

3 • Le Sommeil du Juste

Mercredi 10 Avril 2024

Mon but ultime, à chaque instant, c’est d’être heureux.

Par exemple, mon but, dans ma vie n’est pas de dormir ou d’être éveillé… Mais bien d’être heureux ! D’être heureux que je dorme ou que je sois éveillé…

Donc d’être heureux de dormir, lorsque je dors et d’être heureux d’être éveillé lorsque je suis éveillé.

Je ne veux pas, en effet, par exemple, être heureux à la condition que je dorme 7 heures par nuit… Non ! Je veux être heureux de dormir ce que je dors et heureux de me réveiller, comme j’ai été heureux de m’endormir… Et puis c’est tout !

Dans mon passé, celui de cette vie-ci et probablement celui de mes nombreuses autres vies humaines, j’ai finalement beaucoup appris à « calculer » mon sommeil, comme également à « calculer » ma nourriture etc…

Bien sûr, chaque fois que j’ai été heureux de calculer mes heures de sommeil, cela a pu peut-être être une forme de mon bonheur et non une condition de mon bonheur… Mais, cela a-t-il été souvent le cas ?

Non ! Je le reconnais bien volontier aujourd’hui… Je ne pense pas avoir été souvent heureux de « calculer » mon sommeil ou mon alimentation et de faire de ce calcul la condition de mon bonheur…

Comme par exemple : « Je ne serais heureux que si je dors tant d’heures » ou bien « Je ne serais heureux que si je mange moins de sucre », etc.

C’était là un bonheur conditionné et donc bien fragile !

Peut-être même que je n’ai jamais été heureux de le faire! Car ce qui m’intéresse vraiment et qui seul m’a toujours intéressé, c’est d’être heureux sans condition… Sans aucune condition !

Je ne veux pas être heureux à condition de quelque chose, ni à condition de n’importe quoi !

Comme là, à cet instant, je ne veux pas être heureux à condition que j’écrive très bien. Je veux, simplement, être heureux « écrivant »…

C’est à dire que je veux être heureux que j’écrive ou pas et que j’écrive bien ou pas. Et comme là, à cet instant, j’écris sur mon ordinateur, je choisis d’être heureux « d’écrire sur mon ordinateur » comment que j’écrive…

Et puis c’est tout !

Aucune conditions à mon bonheur ne m’intéressent, sauf celles que je suis heureux d’avoir et le temps que je suis heureux de les avoir…

Mais là, je suis très exigeant et, par exemple, je me pose, alors, la question : « Est-ce que je suis heureux de mettre telle condition à mon bonheur ? »

Et, là, je suis bien obligé de reconnaître que rares sont les « Oui » spontanés qui répondent à cette question…

La très grande majorité du temps, c’est « Non »… Non, je préfère être heureux sans aucune condition, vraiment aucune !

Je préfère être heureux de dormir comme je dors, comme j’ai dormi et comme je dormirai, sans y mettre aucune condition.

Mais comment ? Comment abandonner « toutes » les conditions que l’ombre de l’humanité, que j’aime tant pourtant, m’a encouragé, depuis des millénaires, à mettre en place pour mon bonheur ?

« L’ombre », c’est tout simplement la Lumière dont j’ai perdue conscience…

Une paraphrase de cela serait de dire que « le mal » est la Perfection dont j’ai perdu conscience…

Je crois en effet, depuis longtemps, que « c’est la conscience qui fait toute la différence »…

Ma conscience, c’est ma pensée… Si je pense par exemple « La Lumière n’existe pas », je choisis là de perdre conscience que la Lumière existe…

Et je suis bien libre de le faire… Je suis libre de ma pensée… J’ai, comme tous les Êtres humains, ce que l’on appelle le Libre-Arbitre…

Mais, attention ! C’est ce que je pense qui définit ce que je vis…

Si quelqu’un pense différemment de moi, ce qui est toujours le cas, cette Être vivra une autre vie que la mienne, ce qui est également toujours le cas.

En effet quel Être vit la même vie qu’un autre Être ? Aucun ! Je ne vis la vie de personne d’autre et aucun Être ne vit ma vie… Ça, c’est sûr !

Bon ! À cet instant, je choisis de penser que la Vie est Parfaite… Et hop ! Je vis ma Vie Parfaite…

Mais si quelqu’un pense que la Perfection n’existe pas… Eh bien, hop ! Lui, il vit sa Vie imparfaite…

Pour moi, nous ne sommes différents que par notre conscience, puisque je pense que la Vie est toujours Parfaite, que ce soit la mienne ou la sienne et que lui pense que la Vie est imparfaite, en particulier, peut-être la sienne.

Chacun de nous vit donc ce qu’il pense… Et c’est Parfait ! Bien sûr ! Heureusement que c’est comme cela…

Heureusement ?

Oui, car c’est ce qui garantie que nous pouvons, lorsque nous le désirons, choisir de penser différemment et ainsi vivre différemment…

Par exemple, disons que quelqu’un pensait que la Vie était imparfaite depuis toujours, et vivait donc sa Vie « imparfaitement » depuis toujours !

Eh bien, si a un moment donné il choisit, librement, de penser que la Vie est Parfaite, il va maintenant vivre « sa Vie » bien différemment. Il va vivre sa Vie Parfaite !

Et à tout instant, il est libre de le faire… S’il le choisit.

Mais, c’est vrai que pour faire cela, il lui faut un grand courage.

Il faut en effet un grand courage pour penser différemment que les gens que vous aimez et respectez…

Depuis toutes nos vies de mammifères il a toujours été dangereux de s’éloigner de notre groupe !

Et ce qui nous a permis de rester plus longtemps dans nos corps de mammifères pendant des millions et des millions d’années peut être maintenant, parfois, un obstacle à l’expression de notre libre arbitre.

Pour revenir à notre sujet du début, il faut donc un grand courage pour dormir le Sommeil du Juste…

Il faut beaucoup de courage pour dormir, seulement par joie et pour aucune autre raison…

Cela veut dire, en effet, qu’il faut, déjà au minimum, que j’ose être parfaitement heureux d’être éveillé, parfaitement heureux d’être fatigué, parfaitement heureux de me reposer, parfaitement heureux de m’endormir, parfaitement heureux de dormir, parfaitement heureux de me réveiller et parfaitement heureux d’avoir dormi, etc. etc.

Et pour vivre notre joie, sans aucune condition, à chaque instant, pour vivre notre Vie Parfaite en permanence, il faut que nous mettions en action notre Libre Arbitre d’une façon bien différente que ce que nous avions fait jusqu’à là.

Il va nous falloir beaucoup de générosité vis à vis de nos mémoires, de nos habitudes de pensées, et vis à vis des autres qui pensent encore probablement bien différemment de nous pour l’instant !

Alors, aujourd’hui, je m’entraine encore un peu… Et, si vous le voulez, entrainez-vous avec moi… Moi, je m’entraîne en écrivant… Vous, vous entraînez en lisant… Mais, tous, nous nous entrainons en pensant.

Car écrire, c’est penser, mais lire, c’est également penser !

Mais attention ! Vous, surtout, ne pensez que les pensées que, « vous », vous êtes heureux de penser… Certaines des pensées que je pense avec joie, vous pouvez, vous aussi être heureux de les penser… Et c’est super !

Mais, d’autres pensées que je suis heureux de penser, vous pouvez, vous, ne pas être heureux de les penser aujourd’hui… Alors, ne les pensez pas aujourd’hui… Et, ça, c’est également super !

Le plus important, c’est que nous soyons heureux et non pas que nous pensions telle ou telle pensée !

Alors, on y va !

Je dors du Sommeil du Juste

Je pense,, librement ce que je suis le plus heureux de penser.

J’écris ce que je suis le plus heureux d’écrire.

Je pense par plaisir…

Je ne crois que ce que je suis le plus heureux de croire.

Je dors de mieux en mieux.

Je suis parfaitement heureux d’être fatigué.

Quelle joie d’être fatigué !

La fatigue est mon amie.

Plus je suis heureux d’être fatigué, mieux je dors.

Heureux, je m’allonge ! Heureux, je pense les pensées que je suis le plus heureux de penser… Et heureux, je m’endors, pour me réveiller heureux.

Dormir consiste à être heureux.

Ce n’est pas mon sommeil qui me repose, c’est la joie que j’ai à dormir.

Je crois dans la Perfection de mon sommeil.

Mon sommeil est Parfait.

J’aime autant ne pas dormir que dormir… Je suis heureux sans condition.

Plus je suis heureux, mieux je dors.

Je valorise la qualité de sommeil, plutôt que la quantité.

Plus je suis heureux de dormir, mieux je dors.

Je suis toujours heureux de dormir, alors je dors toujours bien.

J’apprends toujours mieux à être heureux sans condition.

Je dors de mieux en mieux.

Je m’endors de plus en plus facilement.

Seul le bonheur me repose.

Ma joie de vivre est ma seule raison de vivre.

Dormir, c’est bien… Être heureux, c’est infiniment mieux !

Voilà donc quelques exemples de pensées que je suis, moi-même, heureux de penser autour du sommeil…

Vous, vous pouvez en inventer autant que vous voulez… Mais souvenez-vous des règles du jeu de ce site « BeHappy8 ». Revoyons-les ensemble…

Si vous les suivez, vous serez, tout simplement, plus heureux :

1Que je sois Heureux, c’est le plus important pour moi et pour tous les autres Êtres.

2 • Je ne suis un Être humain Heureux que lorsque je pense ce que je suis le plus heureux de penser.

3Alors, la première question la plus importante que l’Être humain que je suis peut se poser est celle-ci : « Est-ce que j’ai pensé là ce que j’étais le plus heureux de penser, OUI ou NON ? » 

4Toute réponse, à cette question fondamentale, qui n’a pas pu être un OUI spontané est un NON.

5 • Si c’est NON, la deuxième question la plus importante que je puisse me poser est la suivante : « Qu’est-ce que je suis le plus heureux de penser à cet instant ? »

6 • Je pense dorénavant cette pensée que je viens de choisir aussi souvent que je suis heureux de la répéter…

7Plus je répète une pensée que je suis heureux de penser, plus il m’est facile de la penser.

8Je suis donc maintenant un Être un peu plus heureux… Ce qui est le plus important pour moi, bien sûr, mais aussi pour tous les autres Êtres.

Dormons mieux, dormons du Sommeil du « un peu plus » Juste…

Vous, qu’en pensez-vous ?

Vous, qu’en pensez-vous ?

(à suivre)

2 • Maître de ma Chance