Voilà ! Aujourd’hui, nous sommes le Mardi 16 Août 2024 et je met en ligne une partie de BeHappy que j’ai joué il y a un peu plus d’un mois, le Mardi 9 Juillet 2024…
Ce jour-là, j’ai joué pendant une heure pile !
Cela peut sembler décousu, si l’on s’en tient aux sujets successifs qui se suivent parfois de façon inattendue… voir sans relation !
Mais, comme d’habitude, il y a un fil d’Ariane que tous ceux qui le choisissent peuvent très bien suivre : ce fil d’Ariane, c’est ma joie !
En effet, je n’ai écrit là que ce que j’étais le plus heureux de penser au fur et à mesure où cela venait à ma conscience… en tous les cas ce que j’étais assez rapide pour l’écrire sur mon ordinateur, mon copain de chaque jour.
Bien sûr, je n’arrive pas à écrire aussi vite que ce que j’arrive à penser ! Et donc, assez souvent, il y a des pensées intermédiaires que je n’ai pas pu noter, car la suivante était déjà là… Et c’est elle, seulement, que j’ai pu noter…
Toutes ces pensées, comme toutes celles que j’écris sur ce site BeHappy8 n’ont pour but que d’inspirer les personnes qui sont intéressées à penser elles-mêmes ce que, elles, elles sont les plus heureuses de penser.
En effet, personne ne peut, ni ne doit, penser comme quelqu’un d’autre… C’est, heureusement, de toutes les façons impossibles à réaliser.
En effet, je ne peux même pas, moi-même, penser deux fois la même pensée, même si j’utilise les mêmes mots pour exprimer et vivre deux instants différents.
Si j’utilise les mêmes mots 1000 fois, ces mêmes mots exprimeront nécessairement 1000 pensées différentes, puisque nous ne pouvons pas vivre deux fois le même instant dans l’Univers tel qu’il existe.
Voilà, ceci était une petite introduction amicale… Maintenant voici l’enregistrement écrit le plus exacte possible de la partie que j’ai jouée ce jour-là :
« Je commence là un jeu de pensée pour une heure…
D’abord, je mets en place mon minuteur pour qu’il sonne dans une heure…
Et puis, je commence à écrire… et je continuerai non-stop pendant une heure.
Pour moi, c’est toujours une aventure merveilleuse que de partir à penser ce que je suis le plus heureux de penser, sans aucune contrainte autre que celle de ma vitesse d’écriture… Qui est assez bonne, tout de même.
Nous venons d’avoir une discussion avec Arlette… Elle revenait vers moi en me demandant pourquoi je lui avais dit que je sentais, depuis quelques temps, qu’elle avait peut-être peur de dépenser de l’argent.
J’ai été, rapidement, amené à reconnaître que ce n’était pas là la pensée que j’avais été le plus heureux de penser…
Mais qu’au lieu de cela, ce que j’étais vraiment heureux de penser, c’était : Qu’elle est belle… Qu’elle a confiance dans l’avenir… Qu’elle dépense avec plaisir ce qu’elle dépense… Qu’elle est toujours plus heureuse de vivre… Qu’elle est de plus en plus solide dans ses efforts physiques… Qu’elle est intelligente, très intelligente… Que je suis totalement satisfait par la compagne qu’elle est pour moi…
Et, bien sûr, cela nous a fait sourire, puis rire, tous les deux… Et nous sommes repartis enrichis, l’un et l’autre, de cette mise au point éclair, comme c’est toujours le cas chaque fois que nous nous offrons le luxe, accessible pour tous, d’une communication unitaire.
Pour cela, il suffit que nous nous aidions l’un l’autre à penser, à dire et à faire ce que nous sommes chacun les plus heureux de penser, de dire et de faire.
L’outil que nous utilisons le plus est si simple… Et nous avons toujours été d’accord pour jouer à ce que j’ai finalement nommé le « BeHappy » depuis que nous nous connaissons.
Et les résultats sont là : nous sommes de plus en plus heureux… C’est tout !
Je pense, sans effort, que chaque Être est heureux par nature… Et que la souffrance des Êtres n’est qu’illusoire… même si cela a pu nous sembler complètement réel.
La Réalité, la Vraie Réalité (c’est à dire Dieu Lui-même), ne peut être que Belle, Parfaitement Belle… Je ne peux pas La concevoir autrement…
En effet, je choisis de penser, à chaque instant autant que j’en sui capable, ce que je suis le plus heureux de penser… Et rien d’autre.
Cela peut sembler naïf à certains lorsque j’exprime mes pensées que je suis le plus heureux de penser… Et je le comprends bien.
Mais, je suis fier d’être « naïf ».
La naïveté, c’est pour moi une belle qualité que j’admire chez tous ceux qui la manifestent.
… Et en général, les gens naïfs sont les plus heureux que j’observe.
Mon Corps me satisfait totalement, tel qu’il est… J’en suis totalement heureux… Quel bonheur de le vivre comme je le vis. Il me permet de matérialiser mes Pensées les plus belle et il exprime de mieux en mieux mon Âme.
J’aime également toujours le temps qu’il fait !
Et parfois cela étonne :
Alors, certaines des personnes que je rencontre me disent : « Mais, tu es toujours heureux de tout, toi ! » … Et je leur répond : « Oui, c’est vrai ! » Et c’est vrai que je suis toujours plus « heureux de tout » … Et cela est bien agréable.
C’est agréable pour moi, bien sûr… Mais c’est aussi agréable pour les autres…
Car le plus beau cadeau que l’on puisse faire aux autres, c’est d’être heureux en leur présence… Et le plus beau cadeau que l’on puisse recevoir des autres, c’est leur bonheur en notre présence.
Lorsque les gens sont heureux, nous nous sentons aimés.
Plus les gens sont heureux, plus nous nous sentons aimés… Et c’est si simple, une fois que l’on a retrouvé ce plis naturel.
Je suis de plus en plus attentif à penser ce qui est le plus beau.
En effet, cela me plaît de croire que ce qui est plus beau est plus vrai.
Je me dis : « Plus c’est beau, plus c’est vrai ! »
Plus je pense ce qui est beau, plus je vis heureux et plus je suis vrai…Et mieux c’est pour tous les autres Êtres.
Le progrès n’a pas de fin. Je progresserai toujours… Comme tous les Êtres de l’univers qui, tous, progressent toujours.
Je ne me laisse pas égarer par les difficultés apparentes que vit l’humanité. Je sais qu’elle évolue toujours vers plus de conscience… C’est vraiment ce que je suis le plus heureux de penser sur ce sujet… Alors, je le pense, régulièrement.
Souvent, j’entends dire que les gens sont de moutons… Oui, je pense moi-même de temps en temps que ce sont des moutons, mais ce sont des moutons qui cherchent toujours à être de plus beaux moutons… Ils cherchent à être toujours plus heureux d’être des moutons… Et plus ces moutons sont heureux, plus ils se libèrent ! Et je trouve cela magnifique.
En effet, ce que nous n’avons pas été heureux de vivre jusqu’à là, nous le répétons toujours pour progresser vers toujours plus de joie de le vivre.
Tout le monde veut être heureux. C’est ce que tous les Êtres veulent : Être encore plus conscients… Et chaque fois que la conscience d’un Être s’ouvre, il ressent la Joie.
En effet, la Joie, c’est la manifestation de l’ouverture naturelle de notre conscience.
Et la souffrance, elle, elle est la saine manifestation de la résistance à notre ouverture naturelle de conscience… N’y-a-t-il que les Êtres humains qui la ressentent ? C’est une question que je viens de me poser.
Non ! Pour la première fois, à cet instant, en toute conscience, je choisi de ne pas le penser… Et je crois que je ne le penserai plus : Tous les Êtres ressentent la merveilleuse douleur lorsqu’ils résistent à leur ouverture de conscience naturelle.
Mais, du fait du libre arbitre qu’ils ont reçu, c’est beaucoup, mais vraiment beaucoup plus net chez les Êtres humains que chez tous les autres Êtres, sur cette terre.
Tes Lois sont les mêmes, pour tous, dans tout Ton Univers…
Ton Univers, Il est composé d’une infinité de ce que nous nous appelons « univers ».
Ton Univers est Vraiment Infini… Ce que nous appelons univers, habituellement, a un début et une fin… Ce n’est qu’une vision limitée de Ton Univers.
Ma conscience s’ouvre toujours, comme toutes les consciences.
Je ne vois aucune conscience qui ne s’ouvre pas.
Chacun évolue… À son rythme, chaque Être évolue…
Tous les Êtres évoluent… toujours !
Même les minéraux évoluent, bien sûr… Et, comme pour tous les autre Êtres, c’est au même instant que leur Âme, leur Corps et leur Pensée évoluent.
Bien sûr, les milliards d’années que mettent les minéraux pour évoluer ont pu nous faire croire, à nous les Êtres humains, qu’ils n’évoluaient pas…
Mais, il ne faut pas confondre une évolution sur un milliard d’années avec pas d’évolution du tout !
D’ailleurs, l’un des 3 aspects d’un Être ne peut pas évoluer sans les deux autres, puisque le Corps, l’Âme et la Pensée sont tous les trois d’un seul Être.
Et chez tous les Êtres l’évolution du Corps est totalement unifiée à l’évolution de l’Âme et de la Pensée.
Nous pouvons donc abandonner ce trop vieux paradigme de la séparation de l’Âme, de la Pensée et du Corps pour le paradigme plus beau, à mon avis, de l’Union Absolue de Tout et donc de l’Union Absolue du Corps, de l’Âme et de la Pensée en tout Être… Et, également, avec tous les autres Êtres.
Rien n’est plus « Un » avec moi que quoi que ce soit d’autre.
Je suis Un avec tout ce qui existe.
Je suis heureux de tout ce qui « est ».
C’est à dire que je suis heureux de Tout ce que Tu Es.
Je suis toujours heureux de penser ce que je suis le plus heureux de penser.
Je suis de plus en plus heureux de la vie que je mène… et de plus en plus heureux que les autres mènent la vie qu’ils mènent.
Je suis fier de l’humanité, telle qu’elle est aujourd’hui.
Je suis de plus en plus heureux que les gens soient ce qu’ils sont…
J’ai de plus en plus d’Amour pour eux, un amour de moins en moins conditionnel.
J’ai de plus en plus d’Espoir qu’ils soient de plus en plus heureux
J’ai de plus en plus de Foi en Toi et en Ta Création que Tu Es.
Heureusement que je n’ai pas besoin de Te comprendre pour T’aimer…
Mais, plus je T’aime, mieux je Te comprends, et plus je Te comprends, plus je sais que je ne Te comprendrai jamais !
Quelle beauté que cet avenir que Tu m’offres…
Aujourd’hui, je choisis d’être heureux lorsque je crois que les autres sont injustes avec moi, alors qu’ils ne peuvent pas l’être : c’est décidé !
Je choisi de suivre, toujours mieux, la voix du Christ… Qui, Lui, Aime de toute Éternité ceux qui se sont crus ses assassins.
Les jugements, que j’ai prétendu injustes, que les autres ont eu vis à vis de moi m’ont permis de grandir en conscience de Toi.
Ces jugements, que j’ai pu prétendre injustes, ne sont faits que de Toi, puisque « Tu Es Tout ».
Ces jugements, que j’avais imaginés injustes, ne sont en fait que Ton Amour manifesté.
Maintenant, mon jugement vis à vis des autres, c’est qu’ils m’aident toujours à m’élever en Toi.
Je remercie donc les autres lorsqu’ils m’ont permis d’imaginer qu’ils étaient injustes vis à vis de moi.
Je remercie mes enfants lorsqu’ils m’ont permis d’imaginer qu’ils étaient injustes vis à vis de moi.
Merci à chacun de m’aider à grandir.
L’injustice est toujours Juste pour Toi.
Donc, l’injustice est toujours Juste pour moi. Je veux le reconnaître !
Je veux T’adorer en Tout.
Je veux T’adorer aussi bien dans ce que j’ai cru être l’injustice que dans ce que crois être la Justice.
L’injustice était un concept de l’ombre que j’avais imaginée.
Ta Justice est Éternelle, l’injustice que nous avons maladroitement imaginée a eu, elle, un début et elle aura une fin.
Notre injustice finira dans Ta Justice.
J’ai confiance dans notre injustice : elle nous mène à Ta Justice.
Tout vient de Toi… Tout nous mène à Toi… Tout n’est que Toi.
Notre injustice n’est que le mésusage que nous avons fait de Ta Justice.
Notre injustice est un vécu dévoyé par nous de Ta Justice Parfaite.
L’injustice n’est que Ta Justice Parfaite dont nous avions perdu conscience.
Je veux aimer notre injustice, à nous les Êtres humains, jusqu’à ce qu’elle révèle Ta Justice Éternelle.
Lorsque j’ai prétendu que quelqu’un était injuste avec moi, aujourd’hui, je choisis d’en être heureux… Et je révèle ainsi Ta Justice Éternelle…
Je veux révéler Ta Justice en toute chose.
Je veux révéler Ta Justice dans toutes nos, soi-disant, injustices.
Je ne fuis plus l’injustice, je choisis de l’aimer de l’Amour que Tu me donnes.
Oui ! L’injustice doit être aimée pour guérir.
Mon injustice et celle des autres, c’est maintenant comme un élastique qui m’attire vers Ta Justice.
Dans Ton Monde, qui est le Monde Réel, tout est Juste… y compris l’injustice que nous y avons imaginé.
La Terre s’élève vers Ton Ciel… Et nous réalisons qu’ils sont « Un ».
Notre injustice s’élève vers Ta Justice Parfaite.
Notre Injustice fini toujours dans Ta Justice.
L’ombre ne m’inquiète pas… L’ombre n’est que Ta Lumière déguisée par moi.
Mon ombre, et celle des autres, n’est faite « que » de Ta Lumière…
Il suffit que je perde conscience de Ta Lumière pour que j’imagine l’ombre et que je croit la vivre.
Mais, Ta Lumière est Éternelle, Infinie, Omniprésente… Elle ne varie pas lorsque j’en ai perdu conscience.
Ce n’est que ma conscience qui fait toute la différence.
« C’est la conscience qui fait toute la différence ».
Merci à Toi… Qui a tous les noms.
Et là, le minuteur a sonné…
Et je suis encore plus heureux qu’au début de cette heure de pensées et d’écritures.
Surtout, n’oublions pas que tout ceci est un jeu : un jeu de pensée… Rien qu’un « jeu »…
Dans la Lumière, il n’y a pas de pensées qui soient meilleures que d’autres pensées… Toutes ne sont que Ta Lumière.
Deux petits artisans de la Lumière parmi tant d’autres, petit ■ et petit ●, communiquent sur bien des sujets qui n’ont peut-être pas tant d’importances…
Et moi ? Et moi !?
Pour tous les concepts, c’est la même chose : c’est normal ! Nous pouvons dire que quand nous réussissons à aimer beaucoup plus un concept particulier qui était prétendus ombreux, finalement, tous les autres concepts que l’on avait prétendus ombreux sont au courant… Toute l’ombre est au courant…
Et donc, nous avons d’autres aspects de l’ombre qui disent :
« Et moi ? Et moi ? Quand est-ce qu’on va m’aimer aussi ? Quand va-t-on me guérir ? Quand est-ce que je vais enfin pouvoir accomplir mon véritable destin, celui de redevenir un concept clair de la Lumière ? »
●
Je suis d’accord ! Ça me parle…
■
C’est logique ! C’est comme ça !
●
C’est mathématique !
■
Oui, c’est comme ça ! C’est une loi : la loi d’Amour ! Rien, ni personne ne peut passer à côté !
●
Et, en plus, ça me paraît tout à fait cohérent !
Si j’ai échoué… je répèterai
■
… Et si, à un moment donné, nous n’arrivons pas à prendre conscience de la Lumière dans quelque chose ?
Eh bien, ce n’est pas grave du tout ! Ce n’est pas grave, puisque nous allons répéter cette chose…
Cette « chose » va revenir à notre conscience, inévitablement pour être reconnue ! Dans une seconde… dans trois jours… dans un an, dans une vie… dans trois vies…
Car cet attrait que nous avons pour la conscience de la Lumière est plus fort que tout ! … plus fort que tout !
Et là, donc plus tard, lors de cette nouvelle tentative de prise de conscience de la Lumière dans cet aspect particulier de l’ombre, nous serons un peu plus près de réussir, parce que, la fois précédente, nous avions commencé à construire un circuit neurologique pour pouvoir prendre conscience de la Lumière dans « cet » aspect de l’ombre particulier…
Donc il y a un début de circuit, là où, avant, il n’y en avait pas ! Jusqu’à là, dans nos mémoires, nous n’avions pas « ça » !
●
Non ! Et en plus tu y mets une conscience… Donc déjà c’est…
■
Mais, maintenant, j’ai une petite mémoire qui est manifestée par un début de circuit de neurones, et qui n’attend qu’une chose c’est que nous la renforcions et, patiemment, elle attend une autre rencontre, qui est obligatoire, avec la même ombre… c’est à dire avec la même perte de conscience de la Lumière…
Et là, lors de cette rencontre suivante avec ce même aspect de l’ombre, si nous jouons la bonne carte et que nous ouvrons à nouveau un peu plus notre conscience à la Lumière dans cette ombre… Là, cela fera un peu plus d’éléments mémoriels…
●
Eh oui ! Bien sûr, cela fait un peu plus de mémoire de la Lumière…
Le Paradis sur la terre
■
Et là, notre circuit neuronal pour le vivre est encore un peu plus solide !
Et à un moment donné, toutes ces mémoires ombreuses se seront présentées pour que, en elles, soit reconnues la Lumière …
Et puis enfin, un jour, totalement inévitable, toutes ces mémoires ombreuses de l’humanité seront reconnues comme de la Lumière Pure… Et alors, il n’y aura plus que des mémoires Lumineuses !
Et ça, c’est « le Paradis sur la terre » …
●
Oui ?!
■
Quand tous les hommes auront réussi ça, c’est le retour au Paradis sur la terre…
Quand nous aurons tous fait ça, nous sommes au Paradis !
C’est à dire que l’on revient au point de départ où les enfants naîtront à nouveau sur la Terre de Lumière créée par Dieu depuis toujours et pour toujours… sans qu’aucune ombre ne leur soit enseignée.
Et, de plus en plus, les informations qu’ils recevront seront celles dont nous parlons ensemble, encore bien maladroitement, aujourd’hui …
Ils ne vont pas mettre en place d’autres circuits neurologiques que ceux qui permettent de penser la Lumière…
Et ces enfants n’auront alors que des Mémoires Lumineuses…
●
Mais, ça va être vite nettoyé ?
■
Ils vont avancer à coups de 50 % au lieu de 3 %, par exemple… Et cela fera boule de neige… 60%… 70%… 80%… 90%…
Voilà ! Ils vont se réincarner un certain nombre de fois comme ça… et transmettre ces nouvelles mémoires de plus en plus lumineuses à leurs propres enfants…
Et, à un moment donné, ça se purifie… ça se purifie… puisque chaque fois on fait le même travail qui augmente la conscience que chacun peut avoir de la Lumière…
Et ensuite, un jour, il n’y aura plus, du tout, cette ombre « ambiante », comme on dit, à laquelle, actuellement, nous avons trop souvent prétendu être soumis… en tout cas dans laquelle nous vivons tous les jours !
●
Nous y sommes soumis ! Oui !
■
Pas du tout ! Elle semble s’imposer à nous, mais on y participe ! Le mot « soumis », ça voudrait dire que nous n’en sommes pas du tout responsables !
●
Non ! Ça je suis d’accord ! Et c’est important ! Nous en sommes tous responsables…
Le Paradis est notre destin
■
Jusqu’à là nous avons vécu tous les jours dans cette ombre ambiante que nous nous sommes imposés à nous-même !
Mais, là, à un moment donné, nous retrouverons le Paradis !
Le Paradis c’est une terre où il n’y a que des Mémoires Lumineuses : toutes les mémoires ont été élevées et rendues à la Lumière !
Il n’y a plus une mémoire ombreuse : les injustices, les guerres, les viols, les mensonges, les peurs ombreuses… Tout ça, c’est fini ! Tout ça est arrivé à son Destin Lumineux tant espéré…
La terre est rendue à son état Originel… La Lumière !
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La double chose, c’est que, du coup, en travaillant comme ça, en ayant cette perspective, on s’occupe de la spiritualité et non pas… c’est-à-dire… on passe au-dessus du problème…
■
Oui ! Mais, attention, le problème est « intégré » et non pas éliminé … Il est « aimé ».
●
Ce n’est pas le problème justement ! Là, tu t’occupes de la solution…
■
Oui ! c’est vrai ! Par exemple, une fois que nous avons bien travaillé la culpabilité, une fois que nous avons réussi à élever cette culpabilité à la Lumière, que nous l’avons rendu à la Lumière (on peut exprimer cela de pleins de façons !), il va y avoir des effets…
Eh bien, à ce moment-là, il va y avoir d’autres émotions qui vont venir à notre conscience, ou des détails plus fins liés à cette culpabilité qui vont se présenter à notre conscience… pour y être accueillis, eux aussi, dans la Lumière…
Parce que, c’est comme une pelote de laine dont tu tires un brin… Le reste de la pelote va progressivement se débobiner !
Là, c’est le fil qui symbolise la culpabilité, mais à partir du moment où tu le tires et que tu élèves cette culpabilité à la Lumière, le reste qui lui est relié, parfois très mystérieusement, vient à notre conscience pour obtenir la même réparation ! Tu vois ? …
●
Oui.
Un problème… à solutionner en cache un autre… à solutionner !
■
Et à un moment donné, il y a un autre aspect qui se présente… et puis il y en a encore un autre… et ainsi de suite… C’est normal… C’est toujours comme ça… jusqu’à la pleine conscience du Paradis !
Mais là, souvent, le problème, c’était que les gens pouvaient se compliquer un peu la vie … En effet le plus souvent quand ils voyaient apparaître un nouveau problème, ils pouvaient penser : « Je régresse ! Avant je n’avais pas ce problème ! » …
Ceci parce qu’ils ne le voyaient pas : il était sagement enfoui dans leurs mémoires, car ils n’étaient pas encore prêts pour pouvoir s’en occuper efficacement…
Mais maintenant il vient à leur conscience ! … Car, ils sont prêts.
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Alors, ça je veux bien le croire parce que… Je vois bien ce qui est derrière ce truc-là !
■
Et les gens disent ; « Mais qu’est-ce que je fais là ? Avant, je n’avais pas ce problème… et maintenant je l’ai ! Zut ! Je fais du mauvais travail ! »
Voyons un exemple, parmi des exemples innombrables : à la suite d’une prise de conscience efficace sur sa culpabilité, dans laquelle elle est arrivé à prendre conscience de la Lumière, une personne a pu commencer à se souvenir qu’elle a vécu un inceste, par exemple…
Pendant des années, elle a vécu sans avoir aucune conscience de cette souffrance qu’elle a vécu dans son enfance ! Un inceste qu’elle a pourtant vécu de façon répétée, par exemple, pouvait être ainsi complètement « hors » de sa conscience !
On pouvait lui dire, du fait de certaines réactions qu’elle avait : « Mais, es-tu sûre que tu n’as pas vécu d’inceste ? … Il ne s’est rien passé avec ton père ou avec quelqu’un d’autre, dans ton enfance ? »
Et, pendant des années, elle a pu répondre, tout à fait sincèrement : « Non ! ».
Mais, là, à un moment donné, lorsqu’elle est prête à résoudre cette ombre en y reconnaissant la Lumière, cela apparaît enfin dans sa conscience !
Quand nous sommes prêts à l’aimer le problème apparaît à notre conscience
●
Pourquoi ?
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Parce que tout simplement, jusqu’à là, il était tout à fait inutile que cela apparaisse à sa conscience !
●
Pourquoi ?
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Parce qu’elle était complètement incapable d’être confortable avec cette mémoire… et encore moins de l’aimer !
C’est là, à nouveau, l’histoire de la « distance » par rapport au feu dont nous avons parlé plus tôt…
Et, avoir conscience de quelque chose que nous sommes absolument incapables d’aimer à cet instant, c’est tout simplement se faire souffrir à nouveau, sans avoir la solution de cette souffrance…
Et souffrir pour rien n’a aucune efficacité ! Aucun intérêt !
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Oui, cela peut se comprendre facilement !
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Mais, cependant, jour après jour, nous grandissons ! Et, finalement, un jour, nous apprenons à aimer une chose… Et puis un autre jour, nous apprenons à aimer une autre un peu plus profonde… et puis encore une autre, qui est encore un peu plus profonde, mais que nous n’étions pas prêt à aimer jusque-là !
Et donc, un jour, paf ! Cette mémoire de l’inceste peut enfin revenir à notre conscience sans danger : elle apparaît à nouveau parce que nous sommes maintenant capables d’envisager de reprendre conscience de la Lumière en elle. C’est à dire que nous sommes capables, enfin, d’envisager de l’aimer… de la rendre à la Lumière !
Eh oui ! … Et à partir de là, nous commençons à travailler petit à petit avec cette mémoire qui peut revenir à notre conscience de plus en plus clairement, au fur et à mesure où nous sommes de plus en plus capables d’y reconnaître la Lumière.
Et là, ensuite, plus ou moins vite, selon notre capacité à tout aimer, tout va venir ! C’est-à-dire que, « à cet instant que nous vivons là », sont présentes toutes nos mémoires relatives à cet inceste ! Et nous savons maintenant les aimer : nous sommes en guérison permanente !
Nous avons, finalement, grandi en conscience de la Lumière grâce à ces évènements.
Et là, alors, nous sommes « tous » davantage guéris…
En effet, nous avons en nous la totalité des mémoires de l’humanité !
À cet instant que nous vivons là, sont accrochées toutes « nos » mémoires. Toutes les mémoires de l’humanité sont présentes en nous à cet instant, comme toujours !
●
Oui ! C’est ce que tu disais tout à l’heure…
À partir du moment où tu commences ce type de travail, de toutes les façons tu auras toujours toutes les mémoires qui vont venir !
Tous pour Un, Un pour Tous
■
Oui, tout va venir !
Mais, également, des choses qui parfois même ne « te » concernent pas directement dans cette vie !
« Ce n’est pas toi », c’est « nous » ! Parce que en fait nous ne travaillons pas pour « soi » !
Nous ne travaillons pas « que » pour soi !
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Oui, c’est selon ?
■
On travaille à l’Amour de l’ombre de l’humanité tout entière !
Et donc il y a des choses qui viennent de quelqu’un d’autre, mais c’est nous qui allons le travailler quand même !
C’est nous qui en prenons conscience… Et, avec d’autres, nous sommes chargés d’apprendre à l’aimer pour tous… sans aucun doute, avec d’autres qui travaillent à droite et à gauche !
Mais enfin, voilà ! Toi ça te vient à la conscience : et donc, c’est pour que tu l’Aimes !
Et si chacun fait bien son boulot, dans le sens évidemment de l’élévation dont nous sommes en train de parler… et bien le monde entier avance ! Il n’y a pas de souci…
C’est le but ! C’est que l’ombre révèle sa véritable identité qui est « Lumière », puisque la Lumière est Omniprésente ! … Voilà !
Moi, je trouve ça magnifique !
C’est simple… C’est accessible… Pour tous, mais là, pour nous en tout cas ! Et on peut le travailler tout de suite…
Un silence…
Oui ! C’est bien la conscience qui change tout
●
C’est vraiment le chemin inverse à celui que je faisais avant !
C’est bizarre ! C’est vraiment une orientation différente, une conscience, différente… qui change tout ! Là vraiment, je vois bien, je connais cette orientation, cette conscience, ce goût !
■
Oui ! Bien sûr ! Tu travailles cela depuis si longtemps !
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Je sais ce que c’est… Et là, c’est comme si d’un coup, il y avait une possibilité de l’aérer !
■
Ah oui ! Ça c’est sûr !
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Et cela change ! Je me « plantais » sans arrêt, parce que je travaillais sur les conséquences de la culpabilité et non pas sur le terme lui-même, non pas sur la culpabilité elle-même…
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Alors attention, ! Cela ne veut pas dire qu’il ne faut pas travailler sur les conséquences ! Les conséquences doivent être aimées aussi !
D’ailleurs, le plus souvent, nous commençons d’abord par apprendre à aimer les conséquences pour remonter, ensuite, vers la cause qui est aussi à aimer !
Parfois, à un moment donné, pour reprendre ton exemple, nous travaillons sur une conséquence, et puis sur une autre… Et à un moment donné, nous arrivons à la culpabilité elle-même !
C’est ce que tu as fait…
Mais, si tu n’avais pas fait cette préparation, en travaillant l’étape numéro 1, puis l’étape numéro 2, puis la numéro 3… tu n’aurais pas été encore capable d’envisager d’aimer la culpabilité elle-même !
●
Oui, c’est facile à comprendre…
C’est facile à comprendre… et à faire
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Donc il y a tout ce travail qui, depuis toujours, a construit l’instant présent…
Et l’instant présent, c’est le meilleur, c’est le moment Parfait ! Comme toujours !
Et si, à cet instant, c’est la culpabilité qui se présente à ma conscience… et bien, c’est que je suis prêt à envisager de l’aimer et c’est le moment de commencer à m’entraîner à le faire !
Et cela, pour la millième fois, pour la dix-millième fois, pour la cent-millième fois, mais voilà ! C’est le moment de l’aimer ! C’est le moment d’y voir toujours mieux la Lumière…
C’est toujours le bon moment d’avoir, encore plus, conscience de la Lumière ! …
Et puis, en même temps, nous allons travailler autre chose ! …
Parce que c’est comme ça ! Cela ne se fait pas en ligne droite ! (Il y a un geste) C’est une spirale ascendante (il y a un autre geste) …
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Attends ! Parce que travailler la culpabilité, ça peut être… Tu la vois ! Tu es dedans…
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C’est la première étape, de la « voir » ! Tout le monde ne la voit pas !
Toi, tu la vois parce que tu l’as travaillé et alors maintenant tu la vois de mieux en mieux depuis un moment…
Et, comme nous l’avons dit : quand tu conduis ta voiture, il faut ouvrir les yeux ! Donc il faut « voir » la culpabilité pour arriver à l’aimer un jour !
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Je sais que je dois l’aimer et que je suis en chemin pour apprendre à l’aimer… c’est clair…
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Voilà ! Et là, tu vas l’aimer, un peu plus, pendant un millième de seconde ! Tu l’aimes !
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De penser que c’est un message d’erreur, ça je peux l’aimer. Ah ! Chic ! on me dit que je suis dans l’erreur !
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C’est déjà bien !
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Mais après ? Euh… Je sais que ce sont des pensées… Mais…
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Après ? Exactement comme nous avons appris à penser le contraire pendant des millénaires, il faut simplement maintenant oser réapprendre à penser… en choisissant cette fois-ci de penser ce que nous sommes le plus heureux de penser !
En s’entrainant par exemple à penser : « J’aime cette culpabilité » … « Je l’attendais comme mon amie » … « Je la veux » … « Je veux l’écouter et entendre son message bienfaisant » … « Cette culpabilité est merveilleuse ! » etc… etc…
Je saute ! … avec prudence
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Je suis obligée de reconnaître que je n’ai jamais pensé ce type de pensées de toute cette vie que je suis en train de vivre !
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Oui ! et probablement que tu ne l’avais jamais pensé dans toutes les vies que tu as vécues !
Mais, maintenant, tu prends évidemment une direction qui est pour l’instant inhabituelle dans notre société ! Alors, tu ne vas pas crier ces pensées-là dans la rue ! C’est intérieur… C’est intime !
Là, on en discute calmement et profondément, mais évidemment on ne va pas parler de ça, de but en blanc, dans ces termes-là, à n’importe qui ! Les gens se vexeraient ou risqueraient de se faire mal avec nos paroles maladroites !
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Ah oui ! ça c’est clair… D’ailleurs le dicton ne nous dit-il pas « La parole est d’argent, mais le silence est d’or » ?
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En effet, si on dit à quelqu’un qu’il est sage d’aimer celui qui fait une injustice ou accomplit un viol, et que cette personne n’a jamais fait aucun travail de conscience préalables, ils ne comprendraient pas ce que l’on signifie et ils seraient peut-être même en colère, et ils nous traiteraient probablement de fous… et peut-être nous mettraient-ils leur poing dans la figure ! Et on les comprend…
Nous devons respecter les croyances des autres ! Nous voulons avoir de la douceur en les abordant… et trouver les mots adaptés… à eux !
Et, le plus souvent, on doit tout simplement se taire… et continuer à travailler sur soi ! Ce qui est le seul moyen réellement efficace.
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Là en effet, Gandhi nous a dit : « Sois le changement que tu veux voir dans le monde » …
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Oui, nous ne devons pas parler trop rapidement… Soyons heureux de nous taire… On ne doit parler à une personne que si vraiment elle sait être heureuse d’entendre de telles paroles… et si nous sommes vraiment heureux de les lui dire…
Là aussi, il s’agit, encore et toujours, de trouver la bonne distance ! Ce n’est que si c’est ton Âme qui te dit d’en parler que tu dois en parler… Si ce sont tes mémoires encore trop ombreuses, tu vas à l’échec et aux problèmes… pour l’instant !
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Ça je l’entends bien… Et j’entends bien le fait de penser que j’aime la culpabilité, que j’aime la ressentir parce que c’est un message d’erreur…
Ce message je le veux… et je le veux parce que c’est enrichissant… et du coup, en ce moment, je suis en train de sentir qu’il y a… des gros trucs derrière !
Tirons le fil de l’ombre avec douceur
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Eh bien, évidemment ! C’est ce que nous avons dit, il y a peu… Nous avons dit ce qui se passait quand on tire un seul fil d’une bobine, mais il faudrait plutôt regarder la chose comme ce que l’on a vu tout à l’heure…
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Oui, il y a tout un truc…
Rires…
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Quand nous tirons avec amour le fil… nous avons des millions de choses qui viennent au portillon de notre conscience… pour être aimées ! Ça c’est normal !
Ces autres choses sont attachées à cette culpabilité… qui sont liées dans cette vie, dans l’autres… dans l’autre… dans l’autre… Il y a des milliards d’évènements, et donc des milliards de mémoires…
Mon Âme me protège tout en respectant mon libre-arbitre
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Il faut en avoir conscience, ou il suffit de les aimer ?
Parce que moi, je ne suis pas consciente de toutes ces mémoires !
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Nous en aurons conscience ! Mais nous n’en aurons conscience que lorsque nous serons prêts à les aimer, c’est à dire prêts à y voir la Lumière !
Parce que nous avons en nous un système de protection, dont on a parlé tout à l’heure et dont je te reparle maintenant… C’est un processus de protection qui fait que rien ne va se présenter à ma conscience que je ne sois pas capable d’aimer et donc d’élever… à cet instant.
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Ah oui, c’est vrai !
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Sinon, ça ne sert à rien d’avoir conscience de nos mémoires ! Cela serait même dangereux !
Donc, nous avons un système de protection… Et du coup, nous n’avons pas encore conscience de ce que nous ne sommes pas encore prêt à aimer !
C’est pour cela que nous avons des vies « saucissonnées » !
Car, nous ne nous souvenons pas de notre vie antérieure… et des autres vies encore antérieures… Et pourtant, nous savons très bien qu’elles ont existé… et nous savons très bien que certains s’en souviennent !
… Tout simplement, parce qu’ils sont capables de les aimer !
Si nous étions capables d’aimer la personne qui nous a coupé la tête dans un lointain passé, nous pourrions nous en souvenir sans problème ! Si nous aimions la personne qui nous a coupé la tête, cela ne nous poserait, aujourd’hui, aucun problème qu’il nous l’ait coupée et nous pourrions nous en souvenir sans danger, ni pour nous, ni pour elle !
Mais, si nous sommes aujourd’hui incapables de faire cela… et que nous nous en souvenions clairement, par un artifice dangereux, alors, pour nous, et pour elle, cela serait un drame terrible ! Et nous pourrions peut-être la tuer dans cette vie-ci, parce qu’elle nous a coupé la tête une vie d’avant ! Ou un truc de ce genre…
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Ou, peut-être l’inverse… C’est pire, c’est nous qui lui avons coupé la tête… et il va vouloir nous couper la tête !
Aimons notre inconscience
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Oui, tu comprends ce que je veux dire… On irait au méli-mélo !
Donc, il y a un système de protection ! Par exemple, ce système de protection se manifeste par la vie que j’appelle « saucissonnée ».
Ce n’est pas normal que les vies soit saucissonnées ! … Non, pardon, je me trompe de terme : en fait c’est normal, mais ce n’est pas naturel !
Mais nous avons pris une route qui a nécessité ces saucissonnement pour nous protéger des mémoires que nous avons mis en place dans notre passé lointain et que, pour l’instant, nous ne sommes pas du tout capables d’aimer.
Donc : Ayons une sage inconscience ! … pour l’instant.
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Alors, merci à notre sage inconscience !
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Oui ! Il est sage d’aimer notre inconscience !
Nous allons travailler, nous allons travailler… et nous allons donc arriver à aimer une première chose… et puis nous allons apprendre à aimer encore une deuxième chose… et puis encore une troisième ! etc…
Alors, nous étudions d’abord à l’école maternelle… Là, nous apprenons à aimer ce qui est, pour nous, facile à aimer : nous y aimons facilement les gens qui sont gentils, qui sont beaux, qui sont bons, qui sont généreux, les gens qui nous manifestent leur amour…
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Oui ! Ça, c’est vraiment facile à faire… pour la plupart des gens !
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Une fois que nous réussissons cela, c’est déjà pas mal ! Car il y a des gens qui ont encore des difficultés à le faire ! Ils ne savent pas bien encore être heureux que quelqu’un soit gentil ou beau… Ils peuvent en être jaloux ou bien triste de ne pas l’être eux-mêmes… etc.
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Oui, c’est vrai…
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Il y a des systèmes ombreux pervers de toutes sortes qui ont été mis en place depuis des millénaires !
Mais, cependant, une fois cet apprentissage de débutant réussi, nous passons au cours préparatoire… et là il y a en général des choses, des situations, des personnes, qui, pour la plupart des gens, sont un peu plus difficiles à aimer… mais, ils peuvent maintenant l’envisager !
Il y a donc là des choses qui se présentent à notre conscience et qui, du fait de la programmation ombreuse que nous avons mise en place depuis le presque début de l’humanité, étaient, pour nous, un peu plus difficiles à reconnaître comme étant de la Lumière Infinie…
Mais, si nous travaillons bien et que finalement nous réussissons à aimer également ces aspects de la vie, hop ! Nous passons dans la classe supérieure et nous allons travailler des choses encore un peu plus difficiles pour la plupart des gens…
Et ainsi de suite, pendant des années… pendant des vies… et des vies !
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Je comprends ! Je peux entendre « aimer » … Mais alors je me pose cette question : « C’est quoi « aimer » au niveau pratique ? »
Aimer, c’est être heureux
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Dans notre échange, au niveau pratique, au niveau très pratique : « aimer » quelque chose, c’est tout simplement être heureux de cette chose… Être toujours plus heureux de cette chose !
Aimer un aspect de notre vie, aimer une personne, aimer une émotion etc., c’est tout simplement être heureux de cet aspect de notre vie, c’est être heureux de cette personne, c’est être heureux de cette émotion, etc… chaque fois plus !
Je sais que ma compagne m’aime parce que, je sens qu’elle est heureuse que je sois ce que je suis… de plus en plus !
Voilà ! C’est tout ! Je me sens aimé d’elle chaque fois qu’elle manifeste sa joie que je sois ce que je suis… C’est tout !
Un autre exemple : Toi tu m’apprécies… n’est-ce pas ?
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Eh oui, c’est vrai !
Être heureux de ce qu’est l’autre, c’est l’aimer !
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Alors, du coup, je me sens « aimé » parce que tu l’exprimes en venant et en me faisant confiance… Tu m’apprécies… Et hop ! Ça y est ! Je me sens aimé, je me sens en sécurité avec toi… etc.…
Et pour moi c’est très, très simple ! C’est très ras de terre ! C’est de la philosophie rustique, pas compliquée. C’est tout simplement ceci : « j’aime quelqu’un », ça veut dire que « j’arrive à être heureux de ce qu’il est… chaque jour plus… » … Voilà ! C’est simple !
Mais, inévitablement, si je l’aime, je vais être de plus en plus heureux de tout ce qu’il est ! Et alors, chaque fois, il va me présenter de nouvelles facettes de lui pour que je les aime… et je vais apprendre à les aimer…
Est-ce que j’aime mes enfants ?
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Alors, par rapport à ce que nous disions tout à l’heure, moi je n’aime pas mes enfants ? Je ne suis pas heureuse de ce qu’ils sont !
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Alors, ce que tu dis là est important. C’est une très bonne réaction… et qui va présenter pour nous de gros avantages !
Réfléchissons ! Si nous écoutons notre Âme, après l’avoir interrogée : « L’amour est-il limité ou infini ? »
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L’amour est Infini !
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D’accord ! Alors, maintenant : « Est-ce que l’amour a un début ? »
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Non !
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Alors, il n’a pas de début… Est-ce qu’il a une fin ?
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Non.
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Donc, tu Aimes !
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Oui ! Je vois ce que tu veux dire…
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Que tu en sois consciente ou inconsciente : tu Aimes ! Que tu en ais conscience ou pas tu n’as pas cessé d’être « Amour ». Et c’est très simple, c’est logique parce que…
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Tu veux dire que c’est un problème de conscience ?
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Oui bien sûr ! Ce n’est « qu’un » problème de conscience !
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Ah… !
Seule la Perfection Existe
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Qui nous a créés ? Qui nous crée à chaque instant ? Qui nous créera toujours ?
…
C’est Dieu ! N’est-ce pas ?
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Oui, bien sûr !
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Est-ce que Dieu peut créer quelque chose d’imparfait ?
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Non !
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Non ! Donc, sa création est Parfaite, totalement Parfaite…
Donc je suis créé Parfait !
Si sa Création est Amour, je suis créé « Amour ».
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En être conscient alors ?
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Alors après, en effet, notre travail… ça va consister à en être de plus en plus conscient !
Ce qui pose certains problèmes, vu ce que nous avons vécu depuis que celui que l’on nomme Caïn a perdu, pour la première fois chez les humains, conscience de la Lumière.
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Oui, oui…
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Mais avant Caïn ? Les animaux, eux, ne pouvaient pas remettre en question la Création de Dieu… Par exemple, ils ne pouvaient pas ne pas aimer quelque chose !
Ils vivaient selon le Plan de la Lumière, sans jamais pouvoir s’y opposer.
Les Êtres n’ont reçu le Libre Arbitre, la Libre Conscience, qu’à partir de leur humanité.
C’est à dire pour les premiers, d’après ce que nous dit la science actuelle, il y a environ 150.000 ans… peut-être 400.000 ans…
Or, « C’est la conscience qui fait toute la différence.
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Tu ne sais pas ce que cela me fait comme effet de penser que je suis capable d’aimer !
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Tu n’es pas seulement capable d’aimer ! Tu es Amour Pur !
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Ah Oui ! Ça me libère d’un truc, ça !
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Que tu en ais conscience ou pas. Que les autres en aient conscience ou pas…
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Ah ! J’ai l’amour en moi ?
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Tu dis « l’avoir » … Non ! « tu l’es » ! Tu es créée comme ça ! Tu es créée Amour…
C’est comme quand tu dis « je suis ce corps » … Eh bien, tu es Amour également.
Au niveau spirituel nous sommes Amour. Au niveau du corps nous sommes Corps physique, au niveau du mental nous sommes Pensée…
Et donc, que nous en soyons conscients ou inconscients, « Nous sommes Amour » !
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C’est marrant ce mécanisme : dans la mesure où tu reconnais quelque chose tu te donnes la possibilité de l’être.
Être ce que je suis depuis toujours… et le reconnaître librement
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Non ! Tu te donnes la possibilité de « reconnaître » que tu l’es.
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Oui, c’est vrai !
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Tu ne l’es pas plus après qu’avant !
Tu n’es pas plus Amour après en avoir pris conscience qu’avant !
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C’est comme si je n’avais pas un problème d’amour, mais seulement un problème de conscience…
Et que quand tu as la conscience… c’est la libération !
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Eh bien, oui ! C’est la libération !
C’est la libération de la perte de conscience de la Lumière Éternelle et Parfaite !
Chaque fois que nous avons plus conscience du Divin… Ouah ! Nous vivons un instant de joie… Voilà ce que ça fait !
Mais, le lendemain, ou un an plus tard, nous avons encore plus conscience du Divin et… Ouah ! Nous vivons un autre instant de joie… etc.
Cela le fera toujours ! C’est la joie… c’est la joie de l’Instant Éternel…
« La joie », c’est ce que nous ressentons chaque fois que notre conscience de la Lumière augmente d’un cran de plus !
La joie n’est pas un état, c’est « un mouvement » !
La joie est un mouvement d’ouverture de conscience !
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Hum… ! C’est vrai ! Là, je suis d’accord…
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Voilà ! C’est la joie… Chaque fois… Chaque fois… Chaque fois… Toujours renouvelée à l’infini ! Chaque fois que nous ouvrons, une fois de plus, notre conscience à la Lumière : c’est la Joie !
Et ça durera toujours et cette joie est à la fois grandissante et toujours plus calme…
Les couleurs de cette joie vont en être de plus en plus variées… et cela infiniment…
Tu vois ? Voilà ! Il n’y a aucune limite… « No limit ! »
Mais pour l’instant, nous sommes là où nous sommes, chacun de nous : en plein dans la Lumière, depuis toujours et pour toujours… et notre conscience de cette Lumière Infinie augmente… tranquillement… ou, au début, chaotiquement !
Mais, nous ne pouvons pas, je pense, imaginer ce qu’est « réellement » la Joie…
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Non ! Ce n’est pas possible…
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Nous avons une vision très myope de l’avenir !
Nous avons une vision très myope de ce qu’est l’avenir avec une conscience toujours plus grande de la Lumière Éternelle !
Mais bon ! Nous sommes très bien comme ça ! Et chaque jour nous irons toujours vers plus de conscience de la Joie, c’est sûr !
Et nous aurons alors les cerveaux qui correspondront à cette conscience… Avec cette conscience, nous allons créer des neurones et des circuits de neurones qui vont nous permettre d’avoir encore plus de conscience de la Lumière…
Donc nous allons avoir un autre cerveau… le cerveau continuera à évoluer… Il changera… Il ne pourra pas être pareil qu’aujourd’hui… et le corps entier également !
« Nul ne sait ce que peut le corps », nous a dit Spinoza…
(… Silence…)
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Pourquoi parlions-nous de l’Amour ?
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Pour reconnaître, je pense, qu’il est Absolu, Éternel, et que nous ne pouvons pas échapper à une conscience de plus en plus grande de Lui, jour après jour.
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Ah oui !
L’Amour… toujours l’Amour
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Et donc, nous ne pouvons pas augmenter l’Amour que nous sommes, que ce soit pour quelque chose ou pour quelqu’un… Et, bien sûr, personne ne peut augmenter l’Amour Infini qu’il est pour nous…
Mais, en revanche, nous pouvons augmenter notre conscience de l’Amour que nous sommes, pour cette chose ou pour ce quelqu’un ! Et ce quelqu’un peut augmenter sa conscience de l’Amour Infini qu’il est pour nous…
En gros ! Voilà ! Pour le dire maladroitement… mais pour le dire quand-même ! Voilà ! C’est tout !
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C’est ça ! Nous n’augmentons pas l’Amour Éternel, mais nous augmentons la conscience que nous en avons.
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Nous ne pouvons pas augmenter l’Amour que Dieu a fait de nous. Sa création est « Parfaite » ! Nous ne pouvons pas l’améliorer… Mais nous pouvons, toujours plus, prendre conscience de sa plénitude.
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Du coup, par rapport à aimer… aimer la culpabilité… aimer l’ombre ?
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Oui ! Aimer un aspect quelconque de l’ombre…
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Aimer l’ombre… C’est prendre conscience de l’Amour que nous sommes, vis-à-vis de cette ombre ?
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Oui, puisque, par décret Divin, nous sommes Amour…
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Alors, déjà, cela m’a fait quelque chose de penser… que j’avais de l’Amour…
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Ce n’est pas « avoir » !
Quand tu as dit « avoir de l’amour », tu as parlé avec des termes qu’a utilisés l’ombre en général… C’est-à-dire nous pouvions soi-disant « avoir » ou « ne pas avoir » l’Amour…