29 • Une petite partie ?

Voilà ! Aujourd’hui, nous sommes le Mardi 16 Août 2024 et je met en ligne une partie de BeHappy que j’ai joué il y a un peu plus d’un mois, le Mardi 9 Juillet 2024

Ce jour-là, j’ai joué pendant une heure pile !

Cela peut sembler décousu, si l’on s’en tient aux sujets successifs qui se suivent parfois de façon inattendue… voir sans relation !

Mais, comme d’habitude, il y a un fil d’Ariane que tous ceux qui le choisissent peuvent très bien suivre : ce fil d’Ariane, c’est ma joie !

En effet, je n’ai écrit là que ce que j’étais le plus heureux de penser au fur et à mesure où cela venait à ma conscience… en tous les cas ce que j’étais assez rapide pour l’écrire sur mon ordinateur, mon copain de chaque jour.

Bien sûr, je n’arrive pas à écrire aussi vite que ce que j’arrive à penser ! Et donc, assez souvent, il y a des pensées intermédiaires que je n’ai pas pu noter, car la suivante était déjà là… Et c’est elle, seulement, que j’ai pu noter…

Toutes ces pensées, comme toutes celles que j’écris sur ce site BeHappy8 n’ont pour but que d’inspirer les personnes qui sont intéressées à penser elles-mêmes ce que, elles, elles sont les plus heureuses de penser.

En effet, personne ne peut, ni ne doit, penser comme quelqu’un d’autre… C’est, heureusement, de toutes les façons impossibles à réaliser.

En effet, je ne peux même pas, moi-même, penser deux fois la même pensée, même si j’utilise les mêmes mots pour exprimer et vivre deux instants différents.

Si j’utilise les mêmes mots 1000 fois, ces mêmes mots exprimeront nécessairement 1000 pensées différentes, puisque nous ne pouvons pas vivre deux fois le même instant dans l’Univers tel qu’il existe.

Voilà, ceci était une petite introduction amicale… Maintenant voici l’enregistrement écrit le plus exacte possible de la partie que j’ai jouée ce jour-là :

« Je commence là un jeu de pensée pour une heure…

D’abord, je mets en place mon minuteur pour qu’il sonne dans une heure…

Et puis, je commence à écrire… et je continuerai non-stop pendant une heure.

Pour moi, c’est toujours une aventure merveilleuse que de partir à penser ce que je suis le plus heureux de penser, sans aucune contrainte autre que celle de ma vitesse d’écriture… Qui est assez bonne, tout de même.

Nous venons d’avoir une discussion avec Arlette… Elle revenait vers moi en me demandant pourquoi je lui avais dit que je sentais, depuis quelques temps, qu’elle avait peut-être peur de dépenser de l’argent.

J’ai été, rapidement, amené à reconnaître que ce n’était pas là la pensée que j’avais été le plus heureux de penser… 

Mais qu’au lieu de cela, ce que j’étais vraiment heureux de penser, c’était : Qu’elle est belle… Qu’elle a confiance dans l’avenir… Qu’elle dépense avec plaisir ce qu’elle dépense… Qu’elle est toujours plus heureuse de vivre… Qu’elle est de plus en plus solide dans ses efforts physiques… Qu’elle est intelligente, très intelligente… Que je suis totalement satisfait par la compagne qu’elle est pour moi…

Et, bien sûr, cela nous a fait sourire, puis rire, tous les deux… Et nous sommes repartis enrichis, l’un et l’autre, de cette mise au point éclair, comme c’est toujours le cas chaque fois que nous nous offrons le luxe, accessible pour tous, d’une communication unitaire.

Pour cela, il suffit que nous nous aidions l’un l’autre à penser, à dire et à faire ce que nous sommes chacun les plus heureux de penser, de dire et de faire.

L’outil que nous utilisons le plus est si simple… Et nous avons toujours été d’accord pour jouer à ce que j’ai finalement nommé le « BeHappy » depuis que nous nous connaissons.

Et les résultats sont là : nous sommes de plus en plus heureux… C’est tout !

Je pense, sans effort, que chaque Être est heureux par nature… Et que la souffrance des Êtres n’est qu’illusoire… même si cela a pu nous sembler complètement réel.

La Réalité, la Vraie Réalité (c’est à dire Dieu Lui-même), ne peut être que Belle, Parfaitement Belle… Je ne peux pas La concevoir autrement…

En effet, je choisis de penser, à chaque instant autant que j’en sui capable, ce que je suis le plus heureux de penser… Et rien d’autre. 

Cela peut sembler naïf à certains lorsque j’exprime mes pensées que je suis le plus heureux de penser… Et je le comprends bien.

Mais, je suis fier d’être « naïf ».

La naïveté, c’est pour moi une belle qualité que j’admire chez tous ceux qui la manifestent.

… Et en général, les gens naïfs sont les plus heureux que j’observe.

Mon Corps me satisfait totalement, tel qu’il est… J’en suis totalement heureux… Quel bonheur de le vivre comme je le vis. Il me permet de matérialiser mes Pensées les plus belle et il exprime de mieux en mieux mon Âme.

J’aime également toujours le temps qu’il fait !

Et parfois cela étonne :

Alors, certaines des personnes que je rencontre me disent : « Mais, tu es toujours heureux de tout, toi ! » … Et je leur répond : « Oui, c’est vrai ! » Et c’est vrai que je suis toujours plus « heureux de tout » … Et cela est bien agréable.

C’est agréable pour moi, bien sûr… Mais c’est aussi agréable pour les autres…

Car le plus beau cadeau que l’on puisse faire aux autres, c’est d’être heureux en leur présence… Et le plus beau cadeau que l’on puisse recevoir des autres, c’est leur bonheur en notre présence.

Lorsque les gens sont heureux, nous nous sentons aimés.

Plus les gens sont heureux, plus nous nous sentons aimés… Et c’est si simple, une fois que l’on a retrouvé ce plis naturel.

Je suis de plus en plus attentif à penser ce qui est le plus beau.

En effet, cela me plaît de croire que ce qui est plus beau est plus vrai.

Je me dis : « Plus c’est beau, plus c’est vrai ! »

Plus je pense ce qui est beau, plus je vis heureux et plus je suis vrai…Et mieux c’est pour tous les autres Êtres.

Le progrès n’a pas de fin. Je progresserai toujours… Comme tous les Êtres de l’univers qui, tous, progressent toujours.

Je ne me laisse pas égarer par les difficultés apparentes que vit l’humanité. Je sais qu’elle évolue toujours vers plus de conscience… C’est vraiment ce que je suis le plus heureux de penser sur ce sujet… Alors, je le pense, régulièrement.

Souvent, j’entends dire que les gens sont de moutons… Oui, je pense moi-même de temps en temps que ce sont des moutons, mais ce sont des moutons qui cherchent toujours à être de plus beaux moutons… Ils cherchent à être toujours plus heureux d’être des moutons… Et plus ces moutons sont heureux, plus ils se libèrent ! Et je trouve cela magnifique.

En effet, ce que nous n’avons pas été heureux de vivre jusqu’à là, nous le répétons toujours pour progresser vers toujours plus de joie de le vivre.

Tout le monde veut être heureux. C’est ce que tous les Êtres veulent : Être encore plus conscients… Et chaque fois que la conscience d’un Être s’ouvre, il ressent la Joie.

En effet, la Joie, c’est la manifestation de l’ouverture naturelle de notre conscience.

Et la souffrance, elle, elle est la saine manifestation de la résistance à notre ouverture naturelle de conscience… N’y-a-t-il que les Êtres humains qui la ressentent ? C’est une question que je viens de me poser.

Non ! Pour la première fois, à cet instant, en toute conscience, je choisi de ne pas le penser… Et je crois que je ne le penserai plus : Tous les Êtres ressentent la merveilleuse douleur lorsqu’ils résistent à leur ouverture de conscience naturelle.

Mais, du fait du libre arbitre qu’ils ont reçu, c’est beaucoup, mais vraiment beaucoup plus net chez les Êtres humains que chez tous les autres Êtres, sur cette terre.

Tes Lois sont les mêmes, pour tous, dans tout Ton Univers…

Ton Univers, Il est composé d’une infinité de ce que nous nous appelons « univers ».

Ton Univers est Vraiment Infini… Ce que nous appelons univers, habituellement, a un début et une fin… Ce n’est qu’une vision limitée de Ton Univers.

Ma conscience s’ouvre toujours, comme toutes les consciences.

Je ne vois aucune conscience qui ne s’ouvre pas.

Chacun évolue… À son rythme, chaque Être évolue… 

Tous les Êtres évoluent… toujours !

Même les minéraux évoluent, bien sûr… Et, comme pour tous les autre Êtres, c’est au même instant que leur Âme, leur Corps et leur Pensée évoluent.

Bien sûr, les milliards d’années que mettent les minéraux pour évoluer ont pu nous faire croire, à nous les Êtres humains, qu’ils n’évoluaient pas…

Mais, il ne faut pas confondre une évolution sur un milliard d’années avec pas d’évolution du tout !

D’ailleurs, l’un des 3 aspects d’un Être ne peut pas évoluer sans les deux autres, puisque le Corps, l’Âme et la Pensée sont tous les trois d’un seul Être.

Et chez tous les Êtres l’évolution du Corps est totalement unifiée à l’évolution de l’Âme et de la Pensée.

Nous pouvons donc abandonner ce trop vieux paradigme de la séparation de l’Âme, de la Pensée et du Corps pour le paradigme plus beau, à mon avis, de l’Union Absolue de Tout et donc de l’Union Absolue du Corps, de l’Âme et de la Pensée en tout Être… Et, également, avec tous les autres Êtres.

Rien n’est plus « Un » avec moi que quoi que ce soit d’autre.

Je suis Un avec tout ce qui existe.

Je suis heureux de tout ce qui « est ».

C’est à dire que je suis heureux de Tout ce que Tu Es.

Je suis toujours heureux de penser ce que je suis le plus heureux de penser.

Je suis de plus en plus heureux de la vie que je mène… et de plus en plus heureux que les autres mènent la vie qu’ils mènent.

Je suis fier de l’humanité, telle qu’elle est aujourd’hui.

Je suis de plus en plus heureux que les gens soient ce qu’ils sont… 

J’ai de plus en plus d’Amour pour eux, un amour de moins en moins conditionnel.

J’ai de plus en plus d’Espoir qu’ils soient de plus en plus heureux

J’ai de plus en plus de Foi en Toi et en Ta Création que Tu Es.

Heureusement que je n’ai pas besoin de Te comprendre pour T’aimer…

Mais, plus je T’aime, mieux je Te comprends, et plus je Te comprends, plus je sais que je ne Te comprendrai jamais !

Quelle beauté que cet avenir que Tu m’offres…

Aujourd’hui, je choisis d’être heureux lorsque je crois que les autres sont injustes avec moi, alors qu’ils ne peuvent pas l’être : c’est décidé !

Je choisi de suivre, toujours mieux, la voix du Christ… Qui, Lui, Aime de toute Éternité ceux qui se sont crus ses assassins.

Les jugements, que j’ai prétendu injustes, que les autres ont eu vis à vis de moi m’ont permis de grandir en conscience de Toi.

Ces jugements, que j’ai pu prétendre injustes, ne sont faits que de Toi, puisque « Tu Es Tout ».

Ces jugements, que j’avais imaginés injustes, ne sont en fait que Ton Amour manifesté.

Maintenant, mon jugement vis à vis des autres, c’est qu’ils m’aident toujours à m’élever en Toi.

Je remercie donc les autres lorsqu’ils m’ont permis d’imaginer qu’ils étaient injustes vis à vis de moi.

Je remercie mes enfants lorsqu’ils m’ont permis d’imaginer qu’ils étaient injustes vis à vis de moi.

Merci à chacun de m’aider à grandir.

L’injustice est toujours Juste pour Toi.

Donc, l’injustice est toujours Juste pour moi. Je veux le reconnaître !

Je veux T’adorer en Tout.

Je veux T’adorer aussi bien dans ce que j’ai cru être l’injustice que dans ce que crois être la Justice.

L’injustice était un concept de l’ombre que j’avais imaginée.

Ta Justice est Éternelle, l’injustice que nous avons maladroitement imaginée a eu, elle, un début et elle aura une fin.

Notre injustice finira dans Ta Justice.

J’ai confiance dans notre injustice : elle nous mène à Ta Justice.

Tout vient de Toi… Tout nous mène à Toi… Tout n’est que Toi.

Notre injustice n’est que le mésusage que nous avons fait de Ta Justice.

Notre injustice est un vécu dévoyé par nous de Ta Justice Parfaite.

L’injustice n’est que Ta Justice Parfaite dont nous avions perdu conscience.

Je veux aimer notre injustice, à nous les Êtres humains, jusqu’à ce qu’elle révèle Ta Justice Éternelle.

Lorsque j’ai prétendu que quelqu’un était injuste avec moi, aujourd’hui, je choisis d’en être heureux… Et je révèle ainsi Ta Justice Éternelle…

Je veux révéler Ta Justice en toute chose.

Je veux révéler Ta Justice dans toutes nos, soi-disant, injustices.

Je ne fuis plus l’injustice, je choisis de l’aimer de l’Amour que Tu me donnes.

Oui ! L’injustice doit être aimée pour guérir.

Mon injustice et celle des autres, c’est maintenant comme un élastique qui m’attire vers Ta Justice.

Dans Ton Monde, qui est le Monde Réel, tout est Juste… y compris l’injustice que nous y avons imaginé.

La Terre s’élève vers Ton Ciel… Et nous réalisons qu’ils sont « Un ».

Notre injustice s’élève vers Ta Justice Parfaite.

Notre Injustice fini toujours dans Ta Justice.

L’ombre ne m’inquiète pas… L’ombre n’est que Ta Lumière déguisée par moi.

Mon ombre, et celle des autres, n’est faite « que » de Ta Lumière…

Il suffit que je perde conscience de Ta Lumière pour que j’imagine l’ombre et que je croit la vivre.

Mais, Ta Lumière est Éternelle, Infinie, Omniprésente… Elle ne varie pas lorsque j’en ai perdu conscience.

Ce n’est que ma conscience qui fait toute la différence.

« C’est la conscience qui fait toute la différence ».

Merci à Toi… Qui a tous les noms.

Et là, le minuteur a sonné…

Et je suis encore plus heureux qu’au début de cette heure de pensées et d’écritures.

Surtout, n’oublions pas que tout ceci est un jeu : un jeu de pensée… Rien qu’un « jeu »…

Dans la Lumière, il n’y a pas de pensées qui soient meilleures que d’autres pensées… Toutes ne sont que Ta Lumière.

Les 8 Entretiens (4ème Partie du 3ème Entretien)

Tout ce qui existe n’est qu’une invitation à la conscience de la Lumière… et à notre adoration !

On nous avait dit que non ! Et qu’il y avait des moments ou des lieux plus sacrés que d’autres : par exemple quand nous méditions ou bien quand nous étions dans un certain endroit où il y avait, soi-disant, plus de Lumière, une présence de Dieu plus grande… etc… 

Et puis, on nous avait dit que pendant les autres moments de notre vie ou bien dans les autres lieus, moins sacrés, nous perdions notre temps, car nous étions loin de la Lumière…

Mais, comment pouvons-nous ne pas être dans la Lumière à chaque instant et en tout lieu, alors que cette même Lumière est Une, Omniprésente et Infinie ?

Tout à fait ! Et j’en ai conscience lorsque je suis à côté de cette amie difficile dont je t’ai parlé plus haut, mais…

Mais, je n’ai pas dû arriver, je n’ai pas dû y arriver parce que quand je revenais, je n’étais pas bien !

La bonne distance

Oui, mais, tout cela étant dit, il t’est peut-être, parfois, proposé par ton Âme, c’est à dire par toi-même, à un moment donné, d’apprendre à être heureuse de prendre du recul, face à une situation…

Il y a, en effet, plein de petits aspects différents à aimer dans toutes les situations que nous vivons ! 

Et parfois, nous voulons apprendre à être plus heureux de reculer d’un pas que de continuer à avancer… ou bien à être heureux de doser nos rencontres. 

Trouvons toujours la dose, ou la distance, à laquelle nous sommes, pour l’instant, le plus confortable, c’est à dire le plus heureux d’être… par rapport à une situation donnée.

Apprenons à la reconnaître ! Apprenons que la Joie est toujours un critère parfait de notre ouverture de conscience à la Lumière !

Et ceci, quelles qu’aient été les mémoires ombreuses qui venaient nous dire : « Oui mais, si tu ne fais pas ça toi-même qui va le faire ? » … ou bien « Si tu n’es pas là, comment ça va se passer ? » … ou bien « Tu ne dois jamais baisser les bras ! etc. » 

Qui est heureux de penser cela ?

Ce que tu dis là est intéressant pour moi…

Bref, toutes ces nombreuses mémoires de l’ombre qui nous disaient que l’on ne pouvait pas évoluer sans souffrir et que l’on devait toujours se sacrifier pour être récompensé plus tard, que l’on devait fournir un effort désagréable et que plus cet effort était douloureux, plus cela avait de valeur… etc… etc…

Toutes ces mémoires de l’ombre sont à aimer, n’est-ce pas ?

Eh bien, pour moi, c’était apprécier cette femme qui a cet âge-là et qui de toutes les façons n’est pas rien pour nous tous, comme tout Être humain… Bien sûr !

Oui ! L’appréciation est « dans le cœur » !

L’appréciation de la distance « juste » avec une situation donnée est dans le cœur, pas dans les mètres ou dans les kilomètres… Dix kilomètres c’est autant « Dieu » qu’un seul mètre. 

Il n’y a pas de distance de cœur entre nous. Il n’y a pas de séparation entre toi et moi, ou bien entre nous et quiconque… Tout est Un… 

La distance qui nous sépare a toujours comme nom, le même nom : « l’Unité » …

Nous sommes Un

Nous avons appris pendant des millénaires, qu’aimer quelqu’un c’était nécessairement en être proche physiquement. Non ! On peut, bien sûr, aimer quelqu’un et en être proche physiquement, mais on peut aimer quelqu’un et être, en apparence, physiquement loin de lui… Nous pouvons même aimer quelqu’un et ne plus jamais le voir avec nos yeux dans cette vie-ci…. 

Même la mort ne nous sépare qu’en apparence !

Ce n’est jamais la première fois, ni la dernière fois, que nous nous rencontrons… 

Car en effet, nous ne nous quittons jamais !

C’est important, parce que c’est très concret. Et je navigue : ce n’est pas grave en soi, parce que je me débrouille quand même… 

Je veux dire que ce n’est pas dramatique, mais cette relation particulière dont nous parlons est une situation très pratique qui me met en face de la Lumière et de plein de pertes de conscience de la Lumière que je ne voyais pas !

Oui, bien sûr…

Et si tu le vois, tu le fais, tu répètes la situation dans le but de l’aimer…

Ah oui ! Je la répète !

Lumière Pure

 Et la situation telle que tu l’as pratiqué ces dernières semaines est nécessairement parfaite. 

C’est maintenant le temps que nous reconnaissions que la façon dont nous avons  vécu, cette semaine, notre relation avec cette vieille personne difficile, ce n’est qu’une expérience du Divin Pur.

Notre désir de l’aider, notre peur d’y revenir, notre hésitation, notre refus, nos blocages, nos regrets, notre liberté… Tous les mouvements d’humeur que nous avons vécus, toutes les émotions que nous avons expérimentées : tout cela ne peut être que Lumière Pure… La Lumière Omniprésente.

Oui, c’est vrai ! Sinon, nous retombons encore dans l’illusion de la séparation… et donc dans les jugements, dans les reproches…

Eh oui ! Tout ce que nous vivons c’est la Lumière Pure… à chaque fois. Qu’est-ce que ça peut bien être d’autre, puisque rien d’autre n’existe ?

Ah là là là là… !

Instant Parfait

Si Dieu Est Tout, l’instant est Parfait. L’instant est toujours Parfait…

« L’instant » c’est toujours Lui, Lui la Lumière Infinie, Éternelle, Omniprésente ! 

Donc il n’y a aucun instant à combattre ou à condamner… Il n’y a que des instants à aimer.

Tous les instants sont, bien sûr, du Dieu Pur… à adorer !

Sinon, il y a du « dieu » et du « pas dieu » … et on retomberait dans l’incroyance !

J’ai dû écrire cela au moins 10 fois, cette phrase particulière ! Mais, c’est énorme…

Réfléchissons ! Depuis les 100.000 ans environ que la plupart d’entre nous avons été humains, combien de fois avons-nous pratiqué quotidiennement l’inverse, même dans les petites choses ? 

Parce que, c’est pareil : tu peux mettre la table et ne pas être heureuse de la mettre… ou bien tu peux faire la vaisselle et ne pas être heureuse de la faire…

Rien que dans cette vie actuelle :

Combien de fois avons-nous pensé sans être heureux de penser ? 

Combien de fois avons-nous parlé sans être heureux de ce que nous disions ? 

Combien de fois avons-nous fait des choses sans être heureux de les faire ?

Oui, c’est vrai : rien que cette dernière semaine, pour moi c’est encore toujours innombrable !

Reset ! Reset ! Reset !

Pour moi, c’est la même chose ! 

Alors, prenons conscience du formatage intense que nous avons subi… et fait subir… à chacune de nos vies ! 

Cela signifie que, dans cette vie, notre cerveau est quand même « super-formaté » !

Et il faut… et il faudra, de nombreux « resets » pour tout effacer, pour vraiment tout effacer jusqu’à la moindre trace… de nos imaginations de séparation ombreuse !

Si nous avons mis environ 100.000 ans pour installer l’ombre aussi fortement sur notre disque dur, 100.000 ans pour perdre conscience de la Lumière d’une façon aussi poussée… et pour arriver à mettre la planète dans l’état où nous l’avons mise… 

100.000 ans… à, disons, une vie par 100 ans en moyenne, cela fait déjà 1000 vies.

Eh bien ! Aussi bien intentionnés que nous soyons tous, on va bien mettre « un certain temps » pour faire tous les « resets » nécessaires pour revenir à l’état de Paradis Originel… 

Et une vie ou quelques dizaines de vies ce n’est vraiment pas beaucoup pour une telle réalisation !

Et en plus, une telle réalisation ne peut se faire que dans la Joie, sinon elle ne se réalisera pas ! La Lumière, en effet, est la seule référence possible pour le faire !

Seule la Lumière ne voit qu’Elle-même dans l’ombre que nous avons imaginée…

Douce révolution

Je reconnais tout cela ! Et, c’est marrant, je commence à voir que c’est vraiment révolutionnaire ! Ce sont des petites choses qui sont révolutionnaires… 

Mais, il me semble que mon cerveau est obligé de se mettre à l’envers pour « révolutionner »… 

C’est comme s’il fallait marcher sur la tête, ou quelque chose comme ça… C’est un peu cette sensation-là ! 

Et pourtant… Oui ! Du coup, c’est faisable…  Oui ! C’est comme ça ! Et du coup je peux arrêter de me battre, je peux arrêter de me culpabiliser, j’arrête de faire n’importe quoi…

Oui ! De plus en plus, tu fais ce que tu es heureuse de faire, quand tu es heureuse de le faire…

Voilà !

Alors là, nous naviguons selon l’Âme, que nous écoutons dans notre joie…

Et, là, quoi que je fasse, j’en suis si heureuse !

Et nous naviguons… et nous naviguons… Nous faisons ce que nous sommes les plus heureux de faire là… et puis, ensuite, nous ferons ce que nous sommes les plus heureux de faire l’instant suivant…

Et automatiquement, chaque fois, quoi que nous vivons, nous reconnaissons mieux l’instant pour ce qu’il est : la Lumière qui s’offre à nous et nous qui nous offrons à Elle ! 

Et les instants deviennent, à nos yeux, à notre conscience, ce qu’ils sont vraiment, c’est-à-dire de la Lumière Pure.

Et c’est notre révolution en douceur !

Silence…

Recto, verso, c’est la même Feuille Infinie

Il faut vraiment aller à l’inverse de ce que nous avions appris !

Oui ! C’est ça ! Nous avions appris l’inverse… Nous avions vraiment cru que c’était juste… Et ce n’est pas grave… 

Non, ce n’est pas grave… mais…

Ce n’est pas grave ! Puisque « cet inverse », que nous avons appris, n’a qu’une seule pulsion, vraiment une seule, c’est de retrouver « son endroit », c’est de retrouver sa véritable identité, sa véritable couleur, c’est de retrouver la conscience de la Véritable Lumière que cet « inverse » est depuis toujours et pour toujours…

 Cet inverse n’a qu’un seul désir, c’est de se retourner, un peu comme une chaussette ! Et ainsi, retrouver son « endroit ».

Mais, cependant, ne l’oublions pas : avant, à l’envers, c’était une chaussette Divine et maintenant, à l’endroit, c’est une chaussette Divine : seule notre conscience s’est ouverte… un peu plus.

« Chassez le naturel, il revient au galop » … 

Ça, c’est une bonne nouvelle !

Oui, bien sûr, ce vieux dicton nous délivre une très bonne nouvelle ! 

Et, justement, notre naturel, c’est d’être heureux, c’est d’être dans la conscience de la Lumière ! Ça, c’est naturel, puisque c’est Dieu qui nous a créé ainsi… 

« Chassez le naturel », c’est à dire « Faire l’effort, nécessairement douloureux, pour perdre notre conscience de la Lumière » aussi longtemps que nous le voulons… 

Mais, dès l’instant où nous cessons de faire cet effort douloureux pour imaginer cette ombre en place, alors là « le naturel revient au galop », c’est à dire que nous retrouvons tout naturellement notre conscience innée de la Lumière Éternelle… et nous vivons cela dans notre joie !

Notre joie, c’est notre conscience qui s’ouvre

Et de ce fait, la joie est un repère très pratique pour nous ! C’est, semble-t-il, le critère le plus simple, le plus basique, le plus immédiatement accessible à tout le monde, dès aujourd’hui, de la manifestation de l’ouverture de notre conscience à la Lumière…

Nous savons ainsi que, si nous sommes heureux, nous sommes en train d’ouvrir un peu plus, ou de réouvrir, notre conscience à la Lumière Divine, c’est tout ! 

Alors, si, à cet instant, nous sommes plus heureux de faire ceci que de faire cela… Eh bien, nous faisons ceci au lieu de faire cela…

Ça me fait vraiment plaisir, ce que tu dis là !

 ■

Alors, comme ça, nous avançons petit à petit vers une conscience toujours plus grande de l’Infini ! 

Dans ces décombres du passé, dans ce dédale, dans ce labyrinthe que nous avons mis en place en l’imaginant et qui n’avait aucune réalité, sauf celle d’être de la Lumière Pure…

Dans ce labyrinthe par lequel nous avons prétendu que rien n’était Lumière et où nous imaginions qu’il y avait une séparation entre la Lumière et l’ombre, et même que la Lumière n’existait pas… 

Eh bien ! Dans ce labyrinthe, décidons d’avancer tout droit ! Traversons ces murs, en tenant bien fort ce Fil d’Ariane qui est notre foi en la Lumière Absolue ! 

Alors, là, ces murs révèlent leur Réalité : ils ne sont que Lumière… Pure Lumière.

Et, par exemple, chaque fois que nous lâchons une, soi-disant condition de notre bonheur, alors là, nous savons que nous tenons ce Fil d’Ariane et que nous le suivons fidèlement, avec courage… 

Et, automatiquement, « notre Joie » manifeste cela… à nous et, également, à ceux qui nous entourent !

Ça me fait vraiment plaisir parce que la Joie a toujours été mon critère… 

Oui ! La Joie est le critère de toute la Vie… C’est le critère des minéraux, des plantes, des animaux et bien sûr c’est notre critère à nous les Êtres humains, malgré toute l’ombre dont nous l’avions recouverte, par le mesusage de notre Libre Arbitre !

Oui ! La Joie, quand tu la vis, tu sais que c’est « ça » !

Semons la conscience de la Lumière

Oui, bien sûr ! Tu as raison.

Et les Âmes des bébés le savent, également encore… Et ces bébés essayent courageusement de défendre cette vérité face à la pression qu’on leur impose avec la meilleur intention du monde et qu’ils ont pourtant eux-mêmes semée dans leur passé et qu’ils ont retrouvée avant même leur nouvelle naissance, dès qu’ils se sont incarnés ! 

C’est un des véritables sens de cette parole : « Nous récoltons ce que nous avons semé ! »

Rires…

Et alors là qu’est-ce qu’ils vont faire ?

Eh bien ! Soit ces Être humains vont ressemer encore la même ombre dans cette vie, soit, ils vont avoir le courage de dire « Non ! Maintenant, dans cette vie-ci, j’arrête! J’arrête de semer de l’ombre… et je sème ma conscience de la Lumière, en moi et en tous… et ceci, en particulier « dans » l’ombre ! »

Dans cette génération, nous allons avoir le courage de ne pas ressemer ce que nos parents n’ont pas été heureux de nous enseigner… 

Non ! Nous allons, bien sûr, ressemer tout ce qu’ils ont été heureux de nous enseigner… Et, en plus, pour la première fois peut-être, nous allons courageusement semer tout ce que « nous », nous sommes heureux de semer !

Nous allons nous mettre dans cette conscience et nous allons faire ce que nous sommes heureux de faire…

Vivre la Vraie Vie, c’est être heureux … Et nous allons avancer comme ça, de plus en plus heureux ! 

Et nous allons aimer l’ombre… Nous allons aimer nos ennemis…

Et de joie en joie, à chaque fois, la conscience s’ouvre… Et alors, nous avons de plus en plus de foi, notre espoir augmente, notre amour s’épanouie… 

Dans la Réalité, rien de tout cela n’augmente… Mais c’est notre conscience de tout cela qui augmente… et cela redevient notre fonctionnement qui a toujours été Naturel…

Oui, c’est Naturel !

Paradis Naturel

Oui ! Naturel, voilà ! 

Et nous ne voyons pas comment nous pourrions faire autrement… Et à un moment donné, nous le faisons !

En quelque sorte, nous retombons dans notre État Originel de Paradis.

Oui, c’est cela ! Le Paradis est un état Naturel ! C’est notre état Originel.

Je parle là du Paradis terrestre… En effet, ce Paradis sur la terre, sera retrouvé lorsque toutes nos mémoires, sans aucune exception, auront été reconnues comme Lumière !

Nous ne serons plus empêtrés alors dans les complications de l’ombre.

Aimer notre ennemi l’ombre ?

Oui ! Le jour où la dernière ombre sera aimée l’humanité se retrouvera alors, en entier, au Paradis… Ici ! Sur cette terre ! 

Mais, chacun de nous peut voir, et vivre dès maintenant, à cet instant si nous le voulons, les prémices de cette Vérité… 

Mais, est-ce que vraiment tout le monde, y compris les plus méchants, pourront vivre ce Paradis ? 

La plus belle des prophéties

Oui, il n’y aura pas de laissés pour compte… Tout le monde sera aimé de mieux en mieux au fur et à mesure, avec toutes ses mémoires d’ombre qui, alors, révèleront à nos consciences la Lumière Éternelle qu’elles ont toujours été en Réalité.

Et là, lorsque cela sera accompli par tous et pour tous, on retrouvera enfin le Paradis Originel sur « cette » terre.

On le vivra, c’est sûr ! Cela nous est prophétisé par les plus beaux Êtres !

Cette prophétie est la plus belle et donc la plus vraie…

La Beauté exprime toujours la Vérité !

Et plus nous serons nombreux à mettre notre foi en elle, plus vite cette prophétie se manifestera !

Et nous revivrons, c’est sûr, le Paradis que certains parmi nous ont vécu, sur cette terre… Mais, pendant un temps très court, un temps bien court ! Seulement une génération.

Tout cela se réalise par la démarche de tous… Nous sommes des milliards de milliards à y participer : tous les êtres minéraux, tous les êtres végétaux, tous les êtres animaux et tous les êtres humains… C’est notre « multitude » !

C’est dans « ce devenir » que, de plus en plus d’entre nous, les Êtres humains, nous aimons et respectons les animaux, nous aimons les végétaux, et nous aimons les minéraux et bien sûr, nous aimons les humains : cela nous repose, cela nous rassure, cela nous fait du bien !

Par exemple, même un chien regarde son maître avec les yeux de son amour pour lui, même si celui-ci l’a maltraité ! Cela rassure son maître…

Eh bien, ce chien également, participe à la guérison de son maître !

Ce chien fait que nous vivrons ce paradis plus tôt…

Un silence…

Je ne suis pas à l’aise, moi, avec les animaux…

Eh oui ! L’ombre nous a « enseigné » beaucoup de choses sombres sur la Nature… Et de ce fait, on a beaucoup combattu la Nature, on a beaucoup craint la Nature… et donc les animaux… 

L’humain a imaginé et finalement créé beaucoup de dysharmonie sur Gaia, son corps planétaire… Mais cet ombre et sa dysharmonie ont une fin.

L’ombre a toujours une fin.

L’Infini, c’est vraiment l’Infini

Bien sûr, nous ne pourrons jamais être totalement conscients de la Lumière Infinie !

Nous en serons toujours « plus conscients »… mais jamais totalement conscients… 

L’Éternité, c’est à la fois ce « toujours » et ce « jamais » !

Mais, nous pouvons nous poser par exemple les quelques questions suivantes… Et beaucoup d’autres  :

Comment mangerons-nous lorsque nous serons tous beaucoup, beaucoup, plus conscients de la Lumière ?

Comment vivrons-nous alors ?

Que va devenir notre sexualité ?

Quelles vont être nos relations avec la matière, avec la terre ?

Comment serons-nous les uns avec les autres ? 

Nous ne pouvons pas l’imaginer totalement aujourd’hui… Pas tant que nous sommes si emberlificotés dans l’ombre que nous avons nous-mêmes imaginée !

Non, c’est sûr !

N’y aura-t-il plus besoin de verrous aux portes ? Ni de barrières à des propriétés ? Ni de protection quelconque ? 

La notion de « propriété » existera-t-elle encore ? 

Et la communication, quelles formes prendra-t-elle ?

Que seront nos émotions ?

Je ne peux, pour l’instant, qu’imaginer, certainement bien incorrectement, ce que sera la vie sur cette terre lorsque nous serons seulement 100 fois plus conscients de la Lumière ! 

Mais, plus loin ?

Nous pouvons voir l’horizon… Mais après … ? Comment tout cela sera-t-il lorsque nous marcherons vers cet horizon ?

En tous les cas, c’est en continuant à aller vers cet horizon que nous allons découvrir tout cela !

… Je suis absolument sûr qu’un jour nous vivrons, tous, « cette véritable vie merveilleuse » dont tout le monde rêve…

J’ai plaisir à l’imaginer, moi aussi… Mais, bon ! Je dirais presque que… pour le coup ce qui m’intéresse actuellement, c’est l’instant et les petits pas qui sont faits.

C’est le plus important ! De maintes fois, cela nous a été clairement dit : « Le plus important c’est le présent. »

Jouer à être heureux

Parce que, franchement, c’est assez fascinant et ludique ce travail, présenté comme cela…

Oui, bien sûr… On en avance, là ! Et on en avance avec plaisir…

 ● 

C’est comme si j’avais ouvert… Tu m’as permis d’ouvrir une autre porte que celle…

Alors, là, faisons tout de suite une petite remarque… 

Quand nous disons « Tu m’as permis… » à quelqu’un, comme tu viens de le faire, c’est une façon habituelle de fonctionner, de dire, de croire… 

Mais en fait, c’est nous qui nous nous permettons. Chacun, nous constituons notre propre bouquet de fleurs personnel… Et cela, dans l’intérêt de tous.

Chacun se fait son bouquet !

Son bouquet ? C’est à dire ?

Eh bien, nous cueillons une fleur à gauche que quelqu’un offres, nous prenons une fleur à droite que quelqu’un d’autre offre… Mais chacun de nous fait « son » propre bouquet ! Chacun de nous choisit chacune des fleurs qui va le composer… 

Parce que, si nous discutons ensemble comme nous le faisons depuis quelques temps, c’est bien « toi » qui choisis la situation comme « tu » la désires, c’est « toi » qui en fait l’usage pour toi, l’usage que « tu » désires en faire… Ainsi, tu crées ton propre bouquet.

Et, bien sûr, moi aussi de mon côté, je fais pareil… C’est évident ! 

Responsabilité

Mais chacun de nous est seul responsable de la situation qu’il vit et que nous choisissons de vivre ensemble. Je ne suis pas plus responsable que toi, ou toi plus responsable que moi…

Nous sommes tous co-responsables à 100%.

Les visions ombreuses anciennes nous disaient qu’il y avait le haut et le bas, bien séparés ! Qu’il y avait l’ombre et la lumière, bien opposées ! Qu’il y avait des Êtres plus élevés et des Êtres plus bas… Etc… Etc…

Mais, non ! Nous sommes tous à égalité, en Dieu.

Tous ! Nous sommes tous au début de Dieu… 

Quel que soit le kilométrage que chacun a pu parcourir, il reste, à chacun de nous, l’Infini à parcourir ! 

Exactement le « même » Infini !

Oui, mais bon ! J’ai cherché et j’ai trouvé quelque chose que je cherchais…

Ben oui ! Mais, c’est bien toi qui l’a cherché, n’est-ce pas ? Si tu n’avais pas cherché, c’est que tu n’aurais pas eu encore la conscience nécessaire pour chercher tel ou tel ouverture…

C’est toi qui a choisi cette conscience. C’est bien ça, la Libre Conscience ? N’est-ce pas ?

Oui, c’est bien vrai…

Silence…                                                                                                     

… Ensuite, je vois que j’ai noté ici que tu avais dit, au tout début de notre entretien : « Cette forme de l’Unité » … Mais, je ne me souviens plus très bien du contexte, parce que nous avons beaucoup échangé depuis… 

Unité

Mais tout de même, là, nous pouvons dire que l’Unité est Omniprésente et elle est donc « Omniforme ».

L’Unité dont nous parlons ensemble, Elle est Absolue : il n’y a pas ce que, nous, nous appelons « une forme », qui soit plus ou moins dans l’Unité qu’une autre ! Et ceci, malgré que nous ayons pu beaucoup penser l’inverse…

Pour moi, l’Unité c’est un état.

Oui, c’est ça ! C’est un état… L’Unité, c’est l’État naturel ! C’est l’État Éternel ! Oui !