Les 8 Entretiens (5ème Partie du 2ème Entretien)

Oui, c’est plus simple que ça ! C’est plus simple que ce que l’ombre nous a enseigné depuis des millénaires…

C’est une logique totale : Nous ne pouvons pas tricher ! 

  

L’ombre a eu un début : elle a une fin

Eh bien, on a essayé… Nous ne pouvons pas dire que nous n’avons pas tenté de tricher… Nous l’avons tenté pendant des millénaires et des millénaires ! Mais nous n’y sommes jamais arrivés ! 

Cela a été impossible, parce que ce qui a essayé de tricher en nous, c’était l’ombre en nous… 

Et l’ombre, en nous, elle a un début et elle a une fin… La perte de conscience de la Lumière, en nous, a un début et une fin…

Mais la Lumière, dont nous sommes faits, Elle, Elle n’a ni début, ni fin : Elle est tout simplement… Éternelle.

Donc, pour nous, c’est évident… Nous savons que c’est la Lumière qui est là et qui a toujours été là et qui sera toujours là… Et la Lumière, elle ne va pas changer… Elle n’a pas disparu lorsque nous en avons perdu conscience.

Cependant, l’ombre, c’est à dire la perte de conscience, elle, elle a eu un début… et comme elle a eu un début, elle aura une fin. Ça, c’est sûr !

Eh bien, c’est bien !

Bien sûr que c’est bien.

Et, c’est vrai en plus !

Oui, c’est comme ça. L’ombre finira ! Ça, c’est sûr. L’ombre finira.

Nous pouvons avoir cet espoir absolu.

Moi, je l’ai. Ce n’est pas un souci… Je sais que l’ombre finira.

Voilà ! 

Eh bien, c’est de cet espoir, chez nous de plus en plus absolu, que naîtront les solutions au fur et à mesure… Et ceci, dans les situations de conscience que l’on va rencontrer chez nous-même et chez les autres…

Nous allons toujours persister et voir toujours mieux la Lumière en tout… Dans la Lumière bien sûr… mais aussi dans l’ombre que nous avons imaginée !

Et, là, nous voyons toujours mieux que l’ombre n’est « que » la Lumière dont nous avions perdu conscience.

On va faire ça, à droite, à gauche, dans tous les sens, jours après jours, vies après vies et ainsi, l’ombre va nécessairement diminuer et donc elle va finir.

La fin de l’ombre, c’est la Lumière !

Il n’y a pas d’autre fin que la Lumière pour l’ombre !

  

Nous sommes Amour

Est-on capable d’aimer ? …

Oui, surement ! Avec les pensées qui prennent leur source dans l’Âme.

Sommes-nous capables d’aimer ? 

Alors, là, si nous prenons comme point de départ l’éducation apprise de l’ombre, nous dirons : non ! En effet, l’ombre nous interdit de tout aimer… Elle nous interdit d’aimer sans condition… Donc elle nous interdit d’Aimer tout court !

Par contre, si nous partons de l’éducation de la Lumière, c’est à dire de la Grande Éducation Absolue que nous propose depuis toujours notre Âme… Eh bien, là, « nous sommes Amour », nous ne pouvons pas échapper à l’Amour que nous sommes… Nous ne pouvons même pas dire que nous ne pouvons pas aimer : nous « sommes » Amour. Un point c’est tout !

On pourrait s’amuser à dire que nous sommes Amour, que nous le voulions ou pas… Mais, il est plus juste de dire : nous sommes Amour, que nous en soyons conscients ou pas.

Et nous ne pouvons plus alors nous poser la question : « Est-ce que nous pouvons » ou « Est-ce que nous ne pouvons pas aimer » ? … 

C’est que : « C’est » !

Tu vois ?

Oui ! Ça, c’est plus facile à observer.

Nous sommes Amour…

Oui, ! Nous sommes Amour… Ce n’est pas que « nous aimons » ou que « nous n’aimons pas » !

Nous sommes Amour… 

Et, à partir de cette État Fondamental et Éternel que nous sommes, grâce à notre libre conscience, soit nous en avons conscience, soit nous en avions perdu, momentanément, la conscience.

Si nous en avons conscience, alors nous pensons et disons que nous aimons… Nous nous exprimons comme cela… Nous vivons alors l’état de paix et de confort qui est l’Amour Lui-même.

Mais, tant que nous avons perdu conscience de cet Amour, dont nous sommes faits depuis toujours, nous avons pu prétendre, grâce à notre libre arbitre mal utilisé, dire et même vivre, que nous n’aimions pas… 

Et là, nous avons vécu un état d’inconfort, voire de grande douleur… et, du fait de notre fidélité absolue à l’Amour Inconditionnel, nous avons revécu, et revécu, la situation que nous prétendions ne pas aimer autant de fois que nécessaire pour que nous puissions reconnaître que nous l’aimons.

En effet, cette perte de conscience ne peut guérir qu’en reprenant conscience… Et donc, cette perte de conscience ne peut guérir qu’Aimée !

C’était de l’ombre et elle ne va guérir que reconnue Lumière…

Donc, l’ombre ne va retrouver sa Véritable Nature qu’en se fondant, qu’en se perdant délicieusement dans la Lumière, dont elle a toujours été faite depuis toujours, même bien sûr, quand nous en avions perdu conscience.

La Lumière seule guérit l’ombre

C’est important ! Ça me parle… 

Moi je sens… enfin je ne sens pas… Je ne sais pas comment dire : quand je devais dire « j’aime » ou « je n’aime pas », je n’arrivais plus ! J’ai toujours eu un problème avec ce mot !

Tu as raison ! Bien sûr ! Je comprends…

Mais le fait « d’être Amour », le fait de mettre un mot différent, là aussi, c’est comme si j’avais une autre porte qui s’ouvrait. Et je sens que cela fait quelque chose à l’intérieur de moi qui fait que cela devient possible.

Alors que le fait que « il faut que j’aime mon voisin, malgré toutes les difficultés qu’il me propose… »

Quand nous disons « J’aime mon voisin », ne signifions-nous pas simplement que « Je suis conscient de l’Amour dans ce voisin » ? ou que « Je suis conscient de la Lumière qu’est ce voisin » ?

Oui, c’est cela que nous faisons.

  

Seule la Lumière existe

Quand nous disons « Je n’aime pas ce voisin », ne nous disons-nous pas, en réalité : « Mon voisin est Lumière, mais je n’en ai pas conscience » ?

Nous ne nous rendons généralement pas compte que nous pensons comme cela… et nous disons simplement : « Je ne l’aime pas ! »

On prend un raccourci verbal qui nous permet d’échapper à la conscience de la Vérité… Cela nous permet d’échapper à la conscience que l’on avait perdu conscience…

Mais ce n’est pas grave ! En effet ce voisin, il va revenir et rester dans notre voisinage, réel ou virtuel, il va continuer à nous interroger, il va continuer à nous aider… Il va en effet essayer sans cesse d’obtenir la bonne réponse de notre part !

Sa merveilleuse question, dont il est rarement conscient, c’est : « Est-ce que tu peux encore, une fois de plus, « essayer » de m’Aimer comme je suis ? Est-ce que tu peux m’aimer sans aucune condition ? »

Et ceci, il me le demandera et me le redemandera, dans cette vie, comme il l’a fait dans toutes nos vies antérieures communes, et comme il le fera dans toutes nos vies communes futures, avec une fidélité totale, jusqu’à ce que j’y arrive ! 

C’est bien là, également, la question que pose sans cesse un enfant à ses parents, n’est-ce pas ? « Maman, Papa, est-ce que vous pouvez m’Aimer sans condition ? Est-ce que vous pouvez être heureux de tout ce que je suis, sans aucune condition ? »

C’est, également, la question que nous nous posons, toi et moi, l’un à l’autre, là, à cet instant même.

C’est la question universelle : « Est-ce que je peux être aimé sans condition ? ». 

C’est à dire, finalement, « Est-ce que Dieu existe ? »

Rires…

  

Dieu existe : peux-tu me Le manifester ?

Oui ! C’est vrai !

C’est cette question-là qui est essentielle ! Et donc, nous nous la posons, nous nous la reposons et nous nous la reposerons encore, à nous-même et aux autres, jusqu’à ce que nous obtenions la seule réponse qui satisfasse en même temps, notre Âme, notre Corps et notre Pensée… Ainsi que l’Âme, le Corps et la Pensée de l’autre !

Et ensuite, nous voulons sans cesse obtenir, à nouveau, la bonne réponse, la vraie réponse, répétée encore et encore plus ! Là, c’est pour nous rassurer que c’est vraiment, vraiment, vraiment Vrai ! 

Et nous poserons cette question jusqu’à ce que nous ayons la réponse manifestée, permanente, qui soit en accord avec la certitude absolue que nous avons dans notre Âme, à propos de tel ou tel sujet :

« Sur ce sujet, nous sommes aimés sans aucune condition ».

Et ensuite, seulement, nous pourrons passer à un autre sujet !

Et, bien sûr, à cette question essentielle, il n’y a qu’une seule réponse acceptable, c’est « Oui ! »

C’est « Oui, je t’aime inconditionnellement ! » ou « Oui, je m’aime inconditionnellement ! » …

Ou par exemple : « Cette odeur que je n’aimais pas, je l’aime inconditionnellement ! Je suis totalement heureux qu’elle existe »

Parce que à un moment, il faut l’acte de foi… On ne l’a peut-être jamais fait d’aimer cette odeur qui sentait mauvais… d’être heureux qu’elle existe !

  

Reconnaître la Lumière en tout

Non, si elle sent mauvais, non !

Mais, tu vois ce que je veux dire ! Comment allons-nous résoudre cela, sans l’aimer ? Si nous ne l’aimons pas, cette odeur, va persister, pour nous, sur la terre, de façon obsessionnelle… pour nous qui ne l’aimons pas.

Et le mécanisme pour qu’elle existe pour nous, existera, soit matériellement, soit dans notre esprit… et nous y aurons accès… matériellement ou virtuellement, dans le but de l’aimer, dans le seul but que nous soyons heureux qu’elle existe…

Nous existons pour tout aimer ! Nous existons pour être heureux de tout.

Nous sommes là pour tout aimer, pour tout élever ! Nous existons pour reconnaître, toujours plus, le Divin en tout.

Et, là, du coup, il n’y a pas des moments intéressants et d’autres moments sans intérêt : Il n’y a que des moments pour tout aimer ! Il n’y a que des moments pour être heureux de Tout !

Ce qui est aussi intéressant, c’est que, pour vivre ce phénomène…

Pardon, je te coupe ! Tu veux dire « pour en avoir conscience », parce que ce phénomène c’est ce que nous « vivons » à chaque instant de notre vie, à chaque instant de nos vies…

Oui ! … Alors, « pour avoir conscience de ce phénomène », ça te renvoie à la Lumière en toi !

Ça te renvoie à « la conscience » de la Lumière, en toi et en tout. Oui !

Parce que sinon, moi, dans un premier temps, je peux entendre : « Je vais » aimer ! Ou, « Je dois » aimer ! Ou, « Il faut » aimer ! Ou encore, « Aimez-vous les uns les autres » ! 

Bon, mais cela m’a toujours paru complètement creux ! Pas parce que c’est faux…

Mais cela me paraissait creux parce que j’étais dans une sorte d’incapacité de le faire… parce que c’était « moi » qui n’y arrivait pas …

Oui, c’était là le résultat de notre perte de conscience…

Alors que le fait de dire que « je suis Amour » et que c’est que « ça » qui va « Aimer » en moi … alors, là, tout est possible, tout est permis !

C’est marrant, parce que, sans arrêt, il faut réajuster la perception que tu as des mots… Je ne sais pas comment dire… C’est vachement important… Ce travail, il peut être si simple.

  

C’est la conscience qui fait toute la différence

Oui, on nous dit : « un mot égale une conscience ».

Oui.

Donc, il faut que nous choisissions la conscience que nous mettons dans le mot ! Ce n’est pas le mot pensé, dit ou écrit qui compte… C’est la conscience que nous y mettons.

Par exemple le mot « Dieu » … on peut en avoir une conscience très diverse… C’est : « Quelle conscience est-ce que je mets, à cet instant, dans ce mot « Dieu » ? »

Est-ce que j’y met la conscience la plus infinie que je suis capable d’envisager ? Est-ce que je « transcende » ce mot ? Est-ce que ce mot signifie pour moi « Dieu Est Tout » ?

Ou bien, est-ce que j’y met une restriction, un interdit, une séparation, du genre : Dieu est à droite, il n’est pas à gauche… ou Dieu est en haut, il n’est pas en bas… ou bien encore, Dieu est là-bas, il n’est pas ici…  ou, Dieu n’est pas en moi… ou, Dieu n’est pas en cette personne ou dans cette chose… etc.

Chaque mot a la valeur de la conscience que l’on y met… 

Mais, c’est la même chose de chaque regard, de chaque bruit que nous entendons, de chaque chose que nous touchons… Tout cela a la valeur de notre conscience !

  

Tout a la valeur de ma conscience

Quelle est la conscience de la Lumière que j’ai à cet instant dans ce que j’entends, dans ce que je touche, dans ce que je dis, etc.

« C’est la conscience qui fait toute la différence. »

Ben… c’est exactement ça… Le fait d’avoir, d’un coup, conscience de l’Amour en moi : il n’y a plus de problème !

Oui, bien sûr… Mais le problème, ce problème n’était pas obligatoire ! Il a été finalement utile, mais il n’a jamais été nécessaire…

Oui, mais c’est comme si on me donnait le passeport… 

■ 

Oui, c’est vrai ! Je comprends.

Mais sinon, je ne l’avais pas.

Nouvel instant, nouvelle libre conscience

■ 

Nous l’avons toujours eu ! Ce passeport nous l’appelons « le libre arbitre » ou la « libre conscience » …

Ce libre arbitre, nous l’avions depuis que nous sommes Êtres humains et, bien sûr, nous l’avons à cet instant également… Mais, nous l’avions utilisé jusqu’à un certain niveau et maintenant, nous l’utilisons à un nouveau niveau, plus élevé… 

Nous avions un feu, soit vert, soit rouge, à chaque nouvel instant ! Et c’est nous qui en choisissions la couleur. 

Mais, ce n’est jamais le même instant ! Ce n’est jamais la même conscience.

Nous ne pouvons pas vivre deux instants avec la même conscience. Ça, c’est impossible !

Notre conscience ne dure que cet instant ! 

Un instant, c’est une conscience… Un nouvel instant, c’est une nouvelle conscience !

N’empêche que ces mots, « l’Amour », « l’Instant » etc., c’est comme si ça me réunissait, alors qu’avant j’avais des parties, des morceaux… Alors que là, à l’instant, ça m’enveloppe moi…

Adoration Naturelle

Oui, Tu as raison !

Dès l’instant où nous avions perdu conscience de la Lumière, à ce même instant, nous avions perdu conscience de la Vérité, nous avions perdu conscience de l’Unité… Nous avions perdu conscience de tous les aspects infinis du Divin…

Donc, nous avons eu un sentiment de « séparation », puisque pour perdre conscience de la Lumière, nous avons été obligés d’imaginer autre chose que la Lumière… donc, il nous a fallu imaginer une séparation entre d’une part, la Lumière, et d’autre part, cette autre chose, soi-disant « hors » de la Lumière… 

Le dieu et le diable, si tu veux ! Ou n’importe quoi ! nous étions obligés d’imaginer une séparation ! Une opposition entre quelque chose et quelque chose d’autre… pour perdre conscience de la Lumière.

Sinon, si nous n’imaginons aucune séparation, il ne reste plus que Dieu ! C’est tout ! Il ne reste plus que l’Unité, la Lumière Absolue en toute chose…

Et, bien sûr, nous reconnaissons la Vérité : nous sommes Un avec le Tout.

Et à ce moment-là, le grain de poussière nous extasie… Tout nous émerveille, puisque nous sommes alors dans notre état naturel d’adoration du Divin dans tout ce que nous contemplons…. dans tout ce que nous vivons.

C’est vrai que ce moment est vraiment extraordinaire ! Parce que, quand nous voyons que, avec toute cette imagination de séparation que nous avions choisie jusqu’à maintenant, dans cette imagination de Dieu comme étant extérieur à nous, nous en arrivons quand même, en même temps, à cette sensation d’Unité…

Nous arrivons quand même à travailler là-dessus et avoir des instants de conscience de la Lumière…

C’est incroyable ! Malgré l’ombre, avec l’ombre, il y a la Lumière !

L’ombre n’était que notre perte de conscience de la Lumière

Oui ! C’est parce que l’ombre n’existait pas… Elle n’existait pas comme la Lumière. La Lumière c’est l’Existence Absolue, Éternelle, Infinie… 

L’ombre, elle, elle n’était que notre perte de conscience de la Lumière.

C’est quand même extraordinaire que l’on y arrive… aussi !

Oui, bien sûr, mais, en même temps, il n’y a pas d’autre solution ! 

Ce n’est pas que « c’est possible », c’est qu’il n’y a pas d’alternative… Nous n’allons pas « vers » autre chose : Nous étions baignés depuis l’Éternité dans la Lumière… et nous y baignons aujourd’hui, « comme d’habitude » !

C’est un voyage de la conscience… Nous allons vers une conscience toujours plus grande de la Lumière Infinie et ce voyage, il durera éternellement.

Nous n’arriverons jamais au bout de notre conscience de la Lumière !

Non… C’est vrai.

Donc, notre conscience de la Lumière va s’ouvrir éternellement ! Pour toujours !

Et il n’y a pas cette fin que toutes les religions nous ont proposée et nous proposent encore…

L’ombre que nous imaginions nous a toujours proposé une fin dans l’avenir, un aboutissement final, un paradis final ou un enfer final, un samadhi, une extase terminale, un moment où soit nous aurions tout compris de Dieu, soit nous serions rejetés hors de Dieu… etc… Et les variantes ont été innombrables…

Mais, non ! Nous avons compris le Divin, à cet instant, jusqu’à ce point-là, mais après, il nous reste le Tout Infini à explorer pour l’Éternité… comme d’habitude !

  

Les 8 entretiens (1ère Partie du 4ème Entretien)

­­­­19 juillet 2021

ENTRETIENS N° 4

De Deux Petits Artisans de la Lumière parmi d’autres : ■ et ●

Vaccins et bonheur

J’ai une question sur les vaccins… En fait, c’est un conseil que je demande, car je pense qu’à plus ou moins long terme nous allons être obligés de nous faire vacciner… ou pas… je n’en sais rien !

Est-ce qu’il y a des précautions à prendre, avant, pendant, après… ou pas ?

Eh bien, la première chose, et c’est la plus importante à mon point de vue, et je n’arrête pas de la répéter, c’est que, si jamais une personne est obligée de se faire vacciner, parce que, dans notre société, telle qu’elle est pour l’instant, elle ne peut pas légalement y échapper vu sa position sociale, il faut alors, absolument, qu’elle choisisse d’être heureuse d’être obligée se faire vacciner !

Être heureux, c’est un choix… C’est un choix essentiel !

Et plus nous pratiquons ce choix, plus il est facile de le faire…

… Rires…

Oui ! Ça, j’y ai pensé… 

Sinon, si nous ne savons pas être heureux d’être contraints de nous faire vacciner, nous allons vers des problèmes, comme trop de gens le font !

Et là, ils ont un effet « nocebo » maximum.

Être heureux, dans ce cas là comme dans beaucoup d’autres, c’est là la priorité des priorités ! Parce que si nous ne faisons pas cela, nous nous mettons en danger nous-même ! C’est comme si nous choisissions alors de nous mettre en danger…

Il faut donc, dans ce genre de situation, comme dans toutes les autres d’ailleurs, être heureux en remettant notre vie entre les mains de la Lumière !

Comme Elle l’est !

Oui, comme Elle l’est en Réalité, que nous en soyons conscient ou pas ! Tu as tout à fait raison… 

Mais, là, c’est vraiment le moment d’en avoir encore plus conscience… ou d’en prendre à nouveau conscience ! 

Il est totalement utile que nous ayons conscience de ce Fait Absolu : nous sommes entre les mains de Dieu… et nous sommes en sécurité… 

Notre foi doit augmenter chaque jour… Et chaque événement est l’occasion, pour chacun de nous, de l’augmenter.

Placebo

Ensuite, il faut soutenir, au niveau pratique, cette priorité sans laquelle nous ne pourrons pas « passer » sainement et agréablement à l’instant suivant…

Pour cela, il est donc utile que nous mettions en place le meilleur effet « placebo » possible, pour nous soutenir moralement…

Pour soutenir notre corps également !

Oui, bien sûr également, car le Corps et la Pensée ne sont aucunement séparés !

Donc, si tu te fais vacciner, ce que je conseille aux gens de faire après la vaccination… (et c’est ce que je ferais moi-aussi, si j’y étais obligé) : c’est de mettre un emplâtre d’argile verte pendant plusieurs jours à l’endroit de l’injection…

Oui, ça c’est un truc déjà connu !

Oui ! C’est tout simple et sans danger… Tu le mets le plus souvent possible, peut-être pendant la moitié des 1ères journées après la vaccination…

C’est pour cela qu’il faut essayer d’obtenir que l’injection ne soit pas faite trop haut dans l’épaule, mais plus bas sur le bras, car sinon, ce n’est vraiment pas pratique pour placer un emplâtre !

Cela étant, s’il y a tout de même des symptômes qui surviennent et que la personne n’a pas pu rester indemne face à cette intervention artificielle qu’est ce type de vaccination, alors là, il faudra étudier les symptômes… car, c’est en fonction des symptômes que l’on pourra proposer, par exemple, un traitement homéopathique pour stimuler le système homéostasique et l’aider à résoudre le problème qui est posé au « Corps-Pensée-Âme » et qu’il n’arrive visiblement pas à bien solutionner par lui-même.

En effet, s’il y a des symptômes, c’est qu’il y a un système de survie qui a été mis en place et que le corps cherche sa guérison sans y être, pour l’instant, arrivé : il cherche la solution… et alors il y a des symptômes !

Et c’est selon ces symptômes, qui sont personnels à chacun, que le thérapeute va choisir son attitude pour soutenir les effort de ce corps dans la recherche de son équilibre… 

Symptômes nos amis

Si les symptômes persistent, c’est que le corps n’y est pas encore arrivé et un traitement raisonnable aura pour but de le soutenir dans son effort de rééquilibrage… jusqu’au succès… et non pas de les supprimer, ces symptômes !

C’est ce que l’on dit pour la fièvre, qu’il faut soutenir, car cela fait partie des symptômes qui expriment l’effort que fait le corps pour retrouver son homéostasie ? 

Exactement ! Il ne faut pas combattre l’effort que fait le corps pour retrouver son équilibre, mais au contraire, bien sûr, le soutenir ! La fièvre est l’un des moyens les plus importants que les corps ont mis en place depuis l’existence des corps à sang chaud et peut être même avant…

En effet, par exemple, en homéopathie, le remède a pour but de soutenir le système « soi-disant de défense » (je ne trouve pas ce terme judicieux, car il n’y a pas nécessairement d’attaque), donc plutôt « le système immunitaire » peut-être… 

Mais pas que ! … car tout le corps est un système de maintien de sa propre vie… y compris le système immunitaire, bien sûr !

Tout traitement efficace, quel qu’il soit, aura comme effet d’accompagner le corps dans la direction, que « lui » choisit, pour l’aider à résoudre « son » déséquilibre !

En homéopathie, donc, on donnera au corps des informations à l’aide d’une substance « dynamisée » qui sera la même que celle qui a donné les mêmes symptômes lorsqu’on l’a administrée à une personne saine au cours des expérimentations;

Oui ! Oui, j’ai été soigné pendant longtemps par l’homéopathie…

L’avantage de l’effet placebo

Voilà, mon point de vue : c’est celui-ci… Mais, il y a des gens qui prennent des remèdes avant un événement particulier, comme pour « préparer » leur corps à cet évènement …

Je pense que l’homéopathie n’est pas prédictive… Cela se place dans le présent : le corps a une réaction pour pouvoir se rééquilibrer et on va donner une substance pour aider l’action que le corps a lui-même, déjà, engagée.

Donc, pour moi, prendre un traitement à l’avance, n’est pas logique, au point de vue purement « homéopathique » … 

Mais, par contre, cela a un avantage qui n’est pas à négliger : c’est « l’effet placebo », que l’on a toujours, et qui est plus ou moins puissant selon notre croyance, lorsque l’on choisit d’utiliser un traitement, quel qu’il soit !

 Ah oui ! Il est là… Il est bien, cet effet placebo…

Il y a, en effet, toujours l’effet placebo ! Et c’est pour ça qu’il ne faut jamais décourager quelqu’un (et c’est pour cela que je ne le fais pas), il ne faut donc jamais décourager quelqu’un qui croit que, parce qu’il prend, par exemple, Arnica avant une intervention chirurgicale, ça va mieux se passer ! C’est parfait : qu’il en prenne !

Au niveau purement homéopathique, c’est, peut-être, pensé inefficace… En revanche, il y aura toujours l’avantage de l’effet placebo !

Oui, oui ! C’est logique…

L’effet placebo est toujours à encourager

Il faut donc soutenir toute personne dans l’effet placebo qu’elle a choisi ! Peu importe quelle forme cela prend : il faut le soutenir ! Plus l’effet placebo sera important, plus le corps sera soutenu dans son effort de rééquilibrage !

Et ce n’est jamais, bien sûr, un bon choix de diminuer l’effet placebo que la personne a choisi, en le critiquant ou pire en s’en moquant… Il faut, au contraire, le soutenir et l’encourager !

Chez l’Être humain, dès qu’il pense, il y a toujours un effet placebo… Ou nocebo !

Oui, il ne faut vraiment pas oublier ça !

 L’effet placebo c’est, tout simplement, l’effet de la pensée ! Souvent, on n’ose pas le dire ouvertement, mais l’effet placebo, c’est, tout simplement, « le pouvoir de la pensée » ! 

Si tu veux, « c’est la conscience qui fait toute la différence ». Quelle conscience, de ce qu’elle vit, la personne va-t-elle choisir ?

Mais, c’est un peu plus que ça quand même… Parce que quand on fait des tests classiques scientifiques, les gens ne savent pas s’ils prennent le placebo ou le médicament.

■ 

Oui c’est vrai tu as raison ! Normalement, ils ne devraient même pas savoir qu’ils font partie d’une étude qui compare 2 groupes différents… 

Oui ! Mais, en revanche, ils ont confiance dans leurs médecins et c’est pour cela qu’ils choisissent de subir ce traitement, quel qu’il soit… en ne sachant pas ce dont il retourne.

Et leur confiance en leur thérapeute, c’est leur placebo ! Plus leur confiance est grande dans les thérapeutes qui s’occupent d’eux, plus leur effet placebo sera puissant ! Et mieux leur corps retrouvera son équilibre…

Oui, c’est vrai, bien sûr !

 Conscience et inconscience entremêlées

Mais, la conscience, c’est à la fois simple… et compliquée ! 

Ce n’est pas aussi carré que nous le pensons en général… Il n’y a pas « conscience » et « inconscience » séparées l’une de l’autre, avec une sorte de barrière fixe entre les deux, une ligne qui serait très fine entre les deux qui ne varirait pas… 

Non ! La frontière entre la conscience et l’inconscience est très, très mobile et donc très flou ! Par exemple, nous savons plein de choses que nous ne croyons pas savoir et à l’inverse nous ne savons pas plein de choses que nous croyons savoir…

Ah oui, ? Il y a des niveaux de conscience entremêlés… Je n’avais pas pensé à ça ! Mais, c’est vrai… Il y a l’intuition… Et puis, le corps peut te parler d’une certaine façon !

Donc, tu vois, c’est très flou ! En fait, c’est un halo total… C’est un mixe infini… 

Parce que, si nous sommes dans un moment merveilleux de croyance totale en Dieu Infini, Éternel, Omniprésent… là, nous savons que Dieu est Tout ! 

Alors, cette conscience, c’est donc Dieu ! Mais, puisque Dieu « est » Tout, l’inconscience, c’est aussi Dieu… 

Donc, la totalité de notre conscience + la totalité de notre inconscience, c’est le Divin… Et il n’y a pas de séparation entre ces différents aspects de Dieu, mais bien une Unité Absolue !

Rires…

Oui ! C’est toujours pareil ! Donc, ce n’est pas aussi simple que ça…

Non, ce n’est pas une ligne droite avec une frontière immobile et stable entre l’inconscient et le conscient. 

Une preuve, parmi d’autres, c’est que parfois on peut être conscient pour l’autre, on peut savoir une vérité sur l’autre que lui ne sait pas à cet instant… 

Il ne le sait pas lui-même, mais quelque part, il en est conscient puisqu’il y a des réactions dans sa vie, des manifestations dans son corps, qui lui ont fait se poser des questions ! Et c’est pour cela qu’il communique avec toi…

Et puis, lorsque tu lui exprimes la conscience que tu as à son propos, il peut, s’il le veut, prendre conscience de son inconscience… et hop ! sa vie peut changer…

Oui, oui, oui ! C’est bien comme cela que ça se passe, souvent…

Donc, c’est très, très, flou… Mais, en général, on fait comme ça : nous séparons nettement la conscience de l’inconscient, ce qui est souvent pratique pour réfléchir jusqu’à un certain point… 

Mais, en réalité, cette séparation, elle n’existe pas… Elle n’existe pas dans l’Unité de Dieu qui est Tout !

Petit schéma

Pour illustrer ce que nous venons de dire, nous pouvons faire un schéma très simple : Prenons une feuille blanche, en A4 par exemple, qui est rectangulaire… Mais là, nous, pour notre discussion, nous allons imaginer que cette feuille blanche, elle est sans limite à l’infini… Et ainsi elle va symboliser, pour nous, l’Infinité de Dieu… 

Et puis là, sur cette surface imaginée Infinie, je dessine une surface limitée par un trait rouge très floue qui symbolise ma conscience finie qui se trouve à l’intérieur de cette surface infinie (je la nomme conscience de 1 dans le schéma ci-dessous)…

Et donc tout le reste de cette surface infinie qui est à l’extérieur de ma conscience, c’est mon inconscience infinie (nommée inconscience de 1)…                 

                                           

Donc, en fait, je suis conscient de Dieu ici à l’intérieur, puisque je ne peux être conscient que de Lui… Et je suis inconscient de Dieu à l’extérieur, puisque je ne peux être inconscient que de Lui… Puisqu’Il Est Tout ! 

Mais, cette ligne qui représente la limite entre les deux, elle n’est pas fixe, mais elle est infiniment mobile… Sans arrêt ça bouge ça fluctue, un peu comme les limites d’une amibe sous le microscope !

Ici, j’ai essayé de représenter ce mouvement incessant par une zone de floue… Mais, ce serait pratique, plutôt, de parler de cela avec une vidéo qui donnerait un mouvement incessant de cette soi-disant limite…

En effet, parfois, je suis fortement conscient de quelque chose, c’est à dire d’un aspect particulier de Dieu et j’oublie le reste dont je suis alors inconscient…

Et puis l’instant d’après, je vais me concentrer sur autre chose, c’est à dire sur un autre aspect de Dieu et perdre conscience du reste… etc… etc… Et ceci évolue sans cesse, d’instant en instant !

Maintenant, si je dessine la conscience et l’inconscience d’une autre personne, en violet (conscience de l’autre nommée : 2) … On voit bien que sa conscience et la mienne (1 = conscience de moi) se chevauchent en une conscience commune nommée 3...

La zone 3, c’est notre conscience commune du Divin… à un moment donné seulement, puisque tout cela est complètement mobile … Et donc cette conscience commune 3, elle va évoluer sans cesse ! 

Ensuite, il y a également une zone où je suis conscient et où l’autre personne est inconsciente (1 – 3 : 1 moins 3)… Et réciproquement, il y a une zone ou l’autre, lui, est conscient et moi, je suis inconscient (2 –3)…

Et tout cela change également sans cesse.

Et, enfin, il y a tout le reste, qui, quelle que soit les évolutions incessantes de nos deux consciences qui augmentent sans cesse, ce reste qui est cet Infini où nous sommes tous les deux inconscients de Dieu, évidemment. 

Mais, tout ça, est mobile, rien n’est fixé…

Nos conscience augmentent sans cesse dans un Infini qui reste « Infini ».

Joie et souffrance

Maintenant, en utilisant toujours ce simple genre de petit schéma, nous pouvons parler de « la joie » et de la « souffrance » et de leur relation avec la conscience et l’inconscience : 

La Joie c’est, en effet, ce que nous ressentons chaque fois que nous expérimentons une « augmentation de notre conscience du Divin » : à ce moment-là, il y a une ouverture de notre conscience… Et nous vivons la Joie !

Sur notre schéma cela se dessine comme une sorte de hernie qui se fait à partir de la limite de ma conscience, et qui schématise une augmentation de notre conscience qui se fait dans une direction ou dans une autre ! 

En revanche, chaque fois que nous souffrons, notre « Souffrance » est un merveilleux signal d’alarme qui nous permet, si nous l’écoutons, de savoir, avec une mi-temps de retard, que nous venons de « freiner l’expansion naturelle de notre conscience de la Lumière » … Soit un peu, soit beaucoup !

Également, la zone « 3 » où les 2 consciences se recouvrent est très importante dans nos échanges entre Être humains… C’est en effet la zone de notre conscience commune… Nous communiquons essentiellement à partir de cette zone de conscience commune qui, pourtant, est si mobile…

Cette zone 3, c’est en effet une zone à partir de laquelle on peut s’entraider beaucoup à favoriser l’ouverture de nos consciences, et l’un et l’autre…

En effet, au bord de cette zone, l’un des deux est conscient et l’autre ne l’est pas, à ce même instant. Et là, si nous pouvons avoir une communication unitaire efficace, on va avoir comme résultat que chacun va gagner de la conscience sur sa propre inconscience grâce à la conscience de l’autre … et de même également, symétriquement l’autre peut le faire aussi s’il le veut, bien sûr… 

Et cela permet à chacun d’ouvrir un peu plus sa conscience à la Lumière… et donc de vivre un instant de Joie !

Voilà, ceci est un petit schéma tout simple, tout bête, mais qui dit bien des choses ! Il serait pratique de faire une vidéo pour imager cette notion, ces notions, plus justement. Mais, pour l’instant, j’ai fait ce schéma-là… et il m’aide beaucoup depuis de nombreuses années…

Donc, la joie, c’est ce que nous ressentons chaque fois que nous favorisons « l’ouverture naturelle de notre conscience » (et chacun peut sentir cette ouverture qui a, également bien sûr, une manifestation physique).

Et la souffrance, c’est l’alarme bienveillante qui sonne pour me prévenir d’un frein que je mets à l’ouverture naturelle de ma conscience de la Lumière… (et là chacun, également, a pu sentir la rétraction, le resserrement, y compris bien sûr, au niveau de son corps)

La souffrance, une invitation à la joie

Et donc, finalement, la souffrance est une invitation à favoriser un lâcher-prise pour permettre une ouverture de conscience supplémentaire plus grande !

Et voilà, nous revenons à notre sujet !

En réalité donc, je ne crois pas que l’on puisse « perdre » conscience… Je ne le crois vraiment pas.

Mais, nous ne pouvons que mettre « un frein » à notre ouverture de conscience naturelle… Nous pouvons probablement le faire en sclérosant, en fixant, en rigidifiant notre conscience, en tous les cas, ses limites… Mais reperdre conscience, je ne peux pas croire que ce soit possible.

Je ne serais vraiment pas heureux de le penser… Alors, je ne le pense pas !

Et puis, sinon, pourquoi ne pourrions-nous pas perdre la libre conscience humaine pour retrouver une simple conscience animale ou végétale ?

Mais on ne le peut pas ! On ne peut donc que ralentir, que retarder, une augmentation naturelle de notre conscience de la Lumière… qui est « inéluctable »… 

À ce moment-là, ce n’est pas tout à fait pareil… Nous pouvons la nier…

« L’ouverture de conscience » est un Don de Dieu que personne ne peut nous enlever… pas même nous-même… 

Nous ne pouvons que la retarder ! Et encore la retarder par rapport à quel programme ? Y-a-t-il un programme pour un Être doté du libre arbitre ?

Alors pouvons-nous réellement parler de « retard » ? Comment comparer deux êtres qui, tous les deux, ont le libre arbitre ?

Il n’y a qu’un seul repère fixe ! C’est Dieu Lui-même.

Et si deux Êtres humains prennent Dieu comme seul point de repère fixe… Alors là, c’est hypersimple :

Si nous avons le courage de nous comparer à l’Infini, nous faisons la seule comparaison qui soit raisonnable…

Alors, là, nous ne pouvons que prendre conscience, en effet, que tous les Êtres qui existent ont encore à parcourir exactement le même Infini… Et cela, quel que soit le kilométrage déjà parcouru !

Nous sommes tous, « tous » les Êtres de l’Univers, face au même Infini.

Et le Libre Arbitre qui nous est donné depuis le début de l’humanité, ne permet aucun programme pour parcourir cet Infini !

Il y a un Plan Divin, mais pas de programmes pour les hommes…

Mais, c’est un peu le même problème de partout… La conscience, nous l’avons au départ !

Le Don de l’ouverture de conscience

Nous sommes, en effet, créés parfait par le Divin… Alors, je vais dire plutôt que dès le départ, ce que nous avons, c’est « le Don de l’ouverture de conscience » … Nous l’avons depuis le début de la création et pour toujours ! C’est à dire depuis toujours et pour toujours…

Nous sommes créés en tant que « mouvement d’ouverture de conscience »…

Toute Création de Dieu est un « mouvement », pas un état immobile !

Nous « sommes », tous les Êtres, un mouvement de conscience…

Nous faisons partie d’une ouverture de conscience illimitée.

Donc… C’est un mouvement d’expansion ?

Oui ! Un mouvement d’expansion naturelle, obligatoire et illimitée… rapide ou lent selon notre conception du temps.

Donc, en fait, cette soi-disant perte de conscience est une illusion ?

Oui, de mon point de vue, une illusion qui est un aspect de l’illusion de l’ombre.

Nous sommes créés Parfaits par le Divin ! Mais le réaliser de plus en plus, en prendre de plus en plus conscience, va nous prendre un temps infini ! 

Il est en effet facile de réaliser que pour prendre conscience de l’Infini, il nous faut l’Éternité…

Je vais le dire autrement : nous sommes créés « en mouvement d’ouverture de conscience ». 

Nous « sommes » un mouvement d’ouverture conscience… 

Chacun de nous est une conscience qui s’ouvre depuis toujours et pour toujours !

Tout ce qui existe est une ouverture de conscience

Mais, ceci n’est pas propre à l’homme ! 

C’est tout ce qui existe qui grandit en conscience :

Le minéral, lui, a une conscience « minérale » qui s’ouvre…

Puis le végétal, lui aussi, a une certaine conscience « végétale » qui est plus grande que la conscience minérale et qui s’ouvre…

Puis l’animal a encore une conscience « animale » qui s’est encore élargie et qui continue à s’ouvrir…

Et enfin, pour l’instant, il y a eu depuis peu une « libre conscience humaine » qui s’élargit à un rythme qui dépend du Libre Arbitre qui a été donné à chacune de ces consciences humaines …

Donc, la conscience du Tout s’ouvre depuis toujours !

Et cette conscience s’ouvrira toujours !

Donc… C’est un mouvement d’expansion…

Oui ! Oui, c’est un mouvement d’expansion naturelle et obligatoire… plus ou moins rapide ou lent !

Mais, je pense pour l’instant que ce mouvement n’est pas le même lorsque nous freinons l’ouverture naturelle de la conscience que lorsque l’expansion de la conscience suit son évolution naturelle, parce que : 

Effectivement, dans la soi-disant perte de conscience nous ne perdons pas ce que nous avons gagné… mais nous pouvons le nier ! 

Alors que dans l’ouverture de conscience, nous gagnons pour toujours la conscience que nous avons gagné !

Nous pouvons donc nier la conscience de la Lumière que nous avons eu… mais elle est toujours là pour toujours ! Sinon, nous n’aurions même pas la possibilité de la nier ?

Oui, c’est cela, à mon avis… Je ne pense pas que nous puissions réellement « perdre » conscience de ce dont nous avons eu conscience…

Par exemple, on ne peut pas revenir en arrière, à une conscience strictement animale, ou strictement végétale, ou strictement minérale. Nous avons, pour toujours, ces différentes consciences en nous… Mais depuis peu, nous avons aussi la conscience humaine, avec ce fameux Libre Arbitre…

D’ailleurs, si nous pouvions « perdre » vraiment notre conscience… et bien, par exemple, si nous allions à l’extrême, nous pourrions revenir à une conscience uniquement minérale… 

Mais ce n’est pas possible ! Une conscience de la Lumière est acquise pour toujours !

Dieu ne reprend jamais ce qu’Il a donné !

Dans son Amour Parfait, Dieu ne sait donner que pour toujours…

Donc, pour toujours, l’homme a la conscience minérale, la conscience végétale, la conscience animale en lui et, bien sûr, depuis très peu de temps, la libre conscience humaine qui lui ont été donné pour toujours…

Nous sommes de, très, très jeune « libre conscience humaine » !

Et cela se voit !