37 • Encore quelques Gouttes de l’Âme

37 • Encore quelques Gouttes de l’Âme

Voilà ce que j’ai été heureux de penser ces jours-là, à ces instants-là… Et, également, je l’ai écrit par joie…

(Voir, si vous n’en avez pas connaissance, les propositions du BeHappy dans l’article : « Qu’est-ce que le BeHappy ? Le minimum à savoir… »

Mercredi 5 Février 2025

C’est bien agréable de faire ce qui me plaît !

Pour moi, le choix est simple : la réalité est que je suis toujours heureux… Le bonheur est mon état originel… Et partant de là, j’ai deux choix possibles :

Soit je choisis d’avoir toujours plus conscience que le bonheur est mon état originel… Et ceci est l’attitude la plus naturelle, ou plutôt la plus originelle qui soit…

Soit je choisis de ralentir cette ouverture originelle de ma conscience que le bonheur est mon état originel… Et ceci n’est pas du tout une attitude naturelle, mais éduquée de génération en génération depuis le presque début de l’humanité…

Heureusement, cette ouverture de conscience originelle, nous ne pouvons jamais la stopper totalement ! Seulement la ralentir… tout simplement « en pensant ce que nous ne sommes pas heureux de penser ».

En effet, c’est la conscience qui fait toute la différence.

Et la différence essentielle qu’il y a entre tous les Êtres, c’est une différence de conscience…

Notre libre arbitre, c’est tout simplement notre liberté de conscience.

En ce qui me concerne, chaque jour, je choisis volontairement de penser que je vis une vie parfaite… Et d’en avoir ainsi toujours plus conscience…

Et les faits sont là !

Jeudi 17 Avril 2025

Penser ce que je suis le plus heureux de penser est un pouvoir merveilleux.

À chaque instant, je choisis d’utiliser ce pouvoir dont j’ai de plus en plus conscience.

Là, bien sûr, je ne pourrai pas écrire tout ce que j’ai pensé de si beau dans mon lit avant de me lever…

Mais quel régal j’ai vécu au cours de mon réveil !

Je suis heureux ! Je suis clairement de plus en plus heureux, c’est à dire de plus en plus en paix… Et ceci dans ce monde tel qu’il est.

Je vis chaque instant comme sacré… Je l’offre à la Vie de tout mon coeur.

La liberté de penser est une liberté infinie que la Vie nous offre à chaque instant.

Chaque Être a sa religion, sa vraie religion, la religion de son coeur…

Cette religion du coeur lui est, à la fois, personnelle, absolument personnelle… mais elle est aussi universelle…

Cette vraie religion de chacun ne peut s’opposer à aucune autre religion.

Elle ne peut même pas s’opposer à elle-même.

En effet, elle est vivante et elle évolue donc sans cesse… Je peux dire qu’elle nait et qu’elle meurt à chaque instant… comme tout ce qui existe d’ailleurs.

Rien ne la limite, mais elle se renouvèle à chaque instant.

La Vie est si belle à vivre… Je m’en régale chaque jour… Son goût est plus doux d’instant en instant… Et ce n’est jamais exactement le même goût !

C’est fou, ce sentiment de Liberté Absolue que je ressens de mieux en mieux, en vivant dans ce monde.

Tout le monde peut ressentir cette Joie à chaque instant… Osons la penser pour la vivre !

Demain sera un autre jour… Et hier était un autre jour.

L’instant d’avant est mort, mais il se réincarne dans cet instant que je vis là… Et ce nouvel instant meurt déjà au moment où il naît ! Et pourtant, cet instant est Éternel… C’est un tout petit instant éternel.

Je libère l’instant : « Instant Tu es Libre… Infiniment Libre ! Tu es Vivant… Tu es la Vie. »

Quelle joie de déguster cet instant, puis le suivant, puis le suivant… Quels goûts différents, toujours nouveaux ! Je n’ai jamais eu ce goût unique dans mon Être et je ne l’aurai jamais plus… Je déguste sa liberté Absolue, son Unicité Éternelle.

Oui ! L’instant Parfait, c’est celui-ci… C’est celui que je vis maintenant… Il ne cesse de naître et de mourir… Il est toujours vivant !

Ce n’est pas la peine que je l’attende pour le revivre : je ne le revivrai jamais… Jamais de toute Éternité ! Mais, il est inscrit dans ma mémoire pour toujours…

Un instant si infiniment court et dont on se souvient si infiniment tout le temps…

Je me permet de penser que chaque Être est Parfait tel qu’il est… Là, il est Parfait et là, il est encore Parfait… comme toujours !

Quel plaisir de ne voir que la Perfection en toute chose, en tout instant… Et cette Perfection se réincarne encore et encore pour toujours, jamais la même et toujours la même…

Je n’ai pas besoin de choisir entre “toujours” et “jamais”… Je n’ai pas besoin de choisir entre quelque chose et quelque chose d’autre… Je suis le propriétaire de Tout… Tout m’est donné à chaque instant pour toujours… Et je ne perds rien du passé de tous les Êtres.

Quand je dis tous les Êtres, je dis vraiment « tous » les Êtres, c’est à dire, tous les Êtres minéraux, tous les Êtres végétaux, tous les Êtres animaux et, bien sûr, tous les Êtres humains…

Vivre la Sécurité Absolue est notre à Liberté à tous… Quand je dis tous, je veux dire absolument tous les Êtres… Et, là encore, pas seulement les Êtres humains.

En effet, nous avons largement sous-estimé les Êtres qui ne sont pas humains… Nous les avons prétendus séparés de nous… moins qualifiés !

Mais, en réalité, une pierre que je regarde est un Être aussi beau et aussi libre que moi… La Liberté d’être immobile pendant des siècles et des siècles, c’est une grande liberté ! C’est une liberté que nous avons vécue et enregistrée dans nos mémoires pour toujours…

Bien sûr, nous ne pouvons pas revivre ce que nous avons vécu, jamais nous ne le revivrons…

Ainsi, je ne revivrai jamais la religion que cette pierre est en train de suivre… Mais je l’ai vécue et elle est inscrite en moi… Sa religion est l’ancêtre de la mienne… Et c’est une religion aussi vivante que la mienne.

Par nature ,toute religion est vivante et malgré que nous ayons probablement beaucoup tenté de la tuer, nous n’avons jamais réussi et ne réussirons jamais : Elle est Éternellement vivante.

Et la Vie, donc, bouge éternellement ! Pas un seul instant elle ne revit l’instant d’avant… Mais cependant, tous les instants qu’Elle a vécu sont inclus dans cet instant-là… Et cet instant-là est en train de s’inscrire, pour toujours, dans la mémoire de tous les instants infinis du futur… et du passé.

En effet, ce futur n’est-il que futur ? Non ! Il est tout le passé qui vit en lui… Le futur réincarne le passé… Tous les deux sont Un pour toujours.

Rien n’est séparé de rien… Et tout est différent de tout.

Tout est Éternel… Et cet instant est Éternel… Il est l’Éternité qui se réincarne éternellement à cet instant… Et chaque instant, pourtant unique, sera Un avec lui.

 

Je me réjouis toujours plus de mon Éternité… Et de l’Éternité de Tout !

Mes relations dureront toujours… sous des formes toujours changeantes… Je jouis, tout de suite, de toutes ces formes de mes relations… Les formes meurent à chaque instant et elles se réincarnent à l’instant suivant… Je suis éternel, comme tout ce qui existe !

Nous avons pu choisir de souffrir… et là, l’Éternité a pu nous inquiéter…

L’Éternité ne nous rassure que si nous sommes heureux à cet instant.

À chaque instant la Beauté est différente… La Beauté, c’est la Vie Elle-même ! Elle est donc vivante…

La mort n’est qu’un ré-agencement de la même matière vivante… Et l’Âme, Elle, Elle suit l’affaire et Elle est présente, sans cesse, dans le nouvel agencement.

À chaque instant, la Matière est notre Pensée matérialisée et notre Âme incarnée.

Je suis en Paix… Tout est Parfait… Là à cet instant, comme toujours.

La Perfection est notre état naturel… le plus naturel qui soit !

Et cette Perfection est vivante… Cette Perfection n’est pas un but à atteindre… Le but à atteindre, c’est l’instant que je vis et je l’atteins à chaque instant en le vivant.

Vivre cet instant, c’est, en effet, être Parfait, c’est être vraiment Parfait !

Comment l’imperfection peut-elle exister ? Elle n’existe que dans notre imagination douloureuse quand nous prétendons l’opposer à la Perfection.

Car l’Imperfection, elle-même, est Parfaite également, bien sûr !

Nous n’atteindrons jamais une Perfection plus Parfaite que celle que nous sommes en train de vivre.

Et quand j’imagine une imperfection, Elle est aussi Parfaite que toujours.

Rien ne s’oppose douloureusement à rien !

Comment la Vie peut-elle s’opposer à la Vie ?

Comment la Vie peut-elle s’opposer à Elle-même ?

L’opposition elle-même « est » la Vie.

Car la Vie est Tout… Tout ce qui existe… Tout ce que je peux nommer… Mais aussi, tout ce que je n’ai pas encore nommé.

Nommer quelque chose ne fait pas apparaître quelque chose qui n’existait pas… Nommer, c’est simplement prendre conscience de ce qui a toujours existé.

Je ne vis que ma religion naturelle, telle qu’elle est, vivante, à cet instant…

Je ne veux pas la suivre telle qu’elle était, vivante, hier, ou bien même il y a un instant !

Je suis heureux d’avoir vécu ma religion telle que je la vivais hier… Mais, comme tout ce qui vit, elle est morte et elle se réincarne à nouveau à cet instant, toujours nouvelle et toujours différente…

Rien ne peut limiter ma liberté, même pas moi-même !

Je suis le seul responsable qui peut prétendre que ma liberté a des limites.

Et là, instantanément, la délicieuse douleur me signale, gentiment, que je ne suis pas vrai avec moi-même.

Et si je refuse de le reconnaître, eh bien, ce n’est pas grave : elle augmente, elle augmente, gentiment, jusqu’à ce que je le reconnaisse.

Mon Libre Arbitre est Absolu.

Il n’y a pas de demi-libre arbitre !

Ce n’est que la conscience que j’ai de mon Libre Arbitre qui peut choisir de le croire limité.

Croire que la terre est plate ne la rend pas plate…

La terre est ronde pour tous ceux qui le croient et, également, pour tous ceux qui ne le croient pas !

Heureusement, la Réalité ne change pas avec nos pensées…

Mais, la perception que nous choisissons d’avoir de la Réalité décide de nos croyances.

Une croyance, ce n’est qu’une pensée.

Toutes les croyances sont Parfaites… Aussi parfaite les unes que les autres.

Chaque Être vit Parfaitement la croyance qu’il choisit… Et ça, c’est Parfait !

Si je crois que le monde est Parfait, je vis dans un monde Parfait.

Si je crois que le monde est Imparfait, je vis dans un monde Imparfait.

Là, à cet instant, je choisis de vivre dans le monde Parfait dans lequel je crois…

Chacun est bien libre de vivre dans le monde qu’il choisit !

Alors, je suis heureux que chacun pense ce qu’il pense.

Et plus je suis heureux de ce que l’autre pense, plus lui-même peut être heureux.

Et plus l’autre est heureux, plus il est heureux de ce que je pense.

Le bonheur des uns fait le bonheur des autres.

Quoi que je pense, c’est la même Loi Parfaite qui s’exprime.

La Loi Parfaite est Une et elle s’applique à tous les Êtres, depuis toujours et pour toujours.

L’instant est court, le temps peut être long.

Le changement se fait à l’instant, sa matérialisation peut prendre un temps long.

Soyons heureux de changer de suite… Soyons heureux d’attendre, peut-être longtemps, que ce changement se manifeste.

Quelle différence y a-t-il entre une seconde et un millénaire ?

Aucune !

Tout n’est qu’un Instants Éternel.

Quelle différence y a-t-il entre une seconde et un millénaire ?

Une différence absolue !

Tout est différent de tout.

Rien ne s’oppose, tout se complète…

Tout n’est qu’Un.

Il n’y a aucune opposition entre l’Unité et la Différence.

Pourquoi ne recevoir que la moitié de notre héritage, alors que nous héritons de Tout ?

Soyons généreux avec nous-même !

À cet instant, il n’y a pas plus beau que ce que je vis.

Ce que je vis est, tout simplement, Parfait dans son Imperfection !

À suivre…

Les 8 Entretiens (7ème Partie du 2ème Entretien)

Ce sont nos neurones qui fonctionnent comme nous leur avons appris à fonctionner… Mais c’est pourtant bien merveilleux ! 

Pourquoi revenons-nous vers ce type de parole ? 

Tout simplement, pour l’aimer… Pour apprendre à être heureux de l’avoir pensé, de l’avoir cru ! Et ainsi, la rendre à l’Infini, la rendre à Dieu !

Tout ce que nous recevons de Dieu, nous devons le « rendre » … C’est à dire que nous voulons reconnaître que, comme tout, c’est Dieu Lui-même. 

Nous apprenons à ne plus fermer la main dessus, nous ne voulons plus prétendre que cela n’est pas la Lumière… Nous ne voulons plus prétendre que ce soit autre chose que Dieu Lui-même !

C’est tout.

C’est une circulation !

Et c’est très beau, très agréable.

… Silence …

Communication unitaire

Là, nous sommes en train de vivre, je pense, une communication unitaire de bonne qualité… Alors, lorsque nous échangeons, nous ressentons un enrichissement permanent. 

Tout échange avec un Être humain, ou avec tout autre aspect du Divin, comme la nature, ou l’eau lorsque nous prenons notre douche, ou avec l’aliment lorsque nous mangeons, tout cela est un moment favorable, infiniment favorable, à une prise de conscience augmentée de la Lumière…

Et l’instant d’après cela sera exactement pareil : il y aura une autre occasion, merveilleuse, d’augmenter notre conscience de la Lumière et ainsi de suite, pour toujours !

Nous pouvons donc déjà, personnellement, vivre au Paradis dans ce monde actuel… Si nous le choisissons !

Nous n’avons pas besoin d’attendre que toute la terre change pour commencer un Paradis, une petite île de Paradis, qui va…

● 

Contaminer ?

Oui ! C’est cela : qui va contaminer gentiment, en douceur, très respectueusement, tous ceux qui le voudront bien, au moment où ils le voudront bien.

Il faut que, à chaque instant, nous soyons prêts à cela ! 

Voilà ! Et ça, c’est imperceptible, ce n’est pas gênant, c’est gentil, tu vois ? Il n’y a aucun combat, aucune violence vis à vis de l’ombre ! C’est invisible, comme la Lumière Divine qui ne se voit qu’avec la foi.

C’est immatériel ! Et pourtant totalement matériel…

Oui !

C’est comme un… un souffle… C’est un mouvement… qui n’entraine aucun combat… C’est simplement la conscience d’une Présence… et c’est infini comme jeu…

Nous sommes en sécurité… Totalement en sécurité… Il n’y a pas de danger.

Eh non, parce que, en plus, nous avons tout à aimer… Donc, même le danger qui se présente, nous allons pouvoir choisir de l’aimer !

Et la mort, c’est la vie !

Oui !

Et nous sommes en sécurité… Il n’y a plus de peur de mourir.

On n’a pas « envie » de mourir ! Mais seulement, au moment où la mort vient : Lumière ! Conscience de la Lumière ! Plongeon dans la Lumière, comme d’habitude quoi ! 

Comme d’hab. !

« Comme d’hab. » quoi… !

Mais, ça, ce n’est pas un souci pour moi !

Et puis, là, c’est tout ! Rien de différent.

En réfléchissant à la mort de 2 ou 3 personnes amies que j’ai pu observer, j’ai eu souvent l’impression que tout était parti… mais qu’il n’y avait que la matière qui avait du mal à lâcher, plus qu’autre chose ! C’est bizarre…

En général, l’ombre, par la perte de conscience de la Lumière dont elle était constituée… l’ombre donc imaginait que la vie n’était la vie que quand nous étions vivants, c’est à dire que « quand nous avions un corps » …

Ah oui ! donc en fait…

La belle peur de la mort

Dans ce cas, les personnes s’attachaient au corps et, alors, elles craignaient la mort qu’elles s’imaginaient être la fin totale de leur vie… 

Mais cette crainte, elle s’est répétée depuis des milliers d’années, depuis presque le début de l’humanité, pour être aimée ! Il est maintenant temps que nous nous décidions à aimer cette peur de la mort, quand elle apparaît autour de nous ou en nous… 

Cette peur de la mort réapparaissait pour que nous lui reconnaissions sa véritable signification : c’est à dire pour que nous reprenions conscience de la Lumière « dans » cette peur-même.

Cette peur, comme toutes les peurs, est sacrée… Elle mérite d’être aimée, comme toutes les peurs… et quand elle est aimée, alors elle peut remplir sa véritable mission… qui est de nous faire reprendre conscience de la Lumière Éternelle !

C’est intéressant, parce que, là, je m’attendais presque à ce que tu me dises « aimer la mort » … mais, « aimer la peur de la mort », c’est encore autre chose !

Tout mot est un nom de Dieu

Eh bien, oui ! Tout est lié. « Tout » est à aimer.

Il n’y a pas une pensée que nous puissions avoir, un mot que nous utilisons, qui ne soit pas un nom de Dieu !

Si Dieu est Tout, tous les mots que j’utilise nomme une certaine conscience de Dieu. Ils ne peuvent nommer rien d’autre que Lui, puisqu’il n’y a rien d’autre à nommer. D’accord ?

Oui !

Ça, il faut le remettre sans arrêt comme point de départ de tous nos raisonnements !

Sans arrêt ! Oui, c’est ce que je suis en train de voir !

Attention ! Là, à nouveau, je suis en train de nommer Dieu… Là, également, quel que soit le mot que j’utilise, je suis encore en train de nommer Dieu… et toujours Dieu ! 

Et là, nos vieilles habitudes de mémoires vont peut-être nous dire, « mais non ! là, je suis en train de nommer le diable ! »

Mais, non ! Excusez-moi, je n’adhère pas à cela ! c’est bien de Dieu dont nous sommes en train de parler ! 

C’est nécessairement Dieu que je nomme…

Eh bien, tu vois, instinctivement, c’était ça ! Appréhender…

Ce n’était pas instinctif ! C’était « éduqué ».

Oui ! éduqué ! Tu as raison.

Notre instinct originel

Notre instinct, c’est la Lumière ! C’est l’instinct de toute la vie… c’est l’instinct de tout Être humain et de toute vie !

La Lumière, ça c’est l’instinct ! La Lumière, c’est l’Instinct Éternel.

Jusqu’aux bêtes, nous n’avons pas pu contredire la Lumière… Les animaux ont l’instinct de la Lumière… et ils font selon le Plan de Dieu, en tant que tel animal ou tel autre animal… C’est la même chose pour les plantes ou pour les minéraux !

Donc, pour nous humains, comme pour les animaux, les plantes et les minéraux, notre instinct, c’est ça : Notre véritable instinct, c’est la Lumière !

Nous n’avons pas pu perdre cet Instinct Originel ! Nous n’avons pu que le voiler à notre conscience…

C’était là le risque de la Libre Conscience !

Oui, comme tout le reste.

La perte de conscience, c’était comme un voile ! C’était comme un voile sur la Réalité Lumineuse.  

Cela ne pouvait pas être autre chose qu’un voile voué à se déchirer. Il était fait pour disparaître. Ce voile, il a eu un début… Il aura une fin !

C’est ça ! Mais cette histoire de « peur de la mort » ! 

C’est comme s’il y avait toute une perspective qui s’ouvrait : d’abord de prendre conscience des mots, conscience des sensations… et après se positionner en tant que moi… et puis… et puis, changer à chaque fois…

Silence…

Tu penses faire comment, si tu veux que nous bossions ?

Comment travailler ?

Eh bien là, nous travaillons en fait… Nous sommes en train de travailler magnifiquement !

Le fait que nous enregistrions notre échange… nous mettons nos pensées de côté… Après, nous verrons ce que nous allons en faire exactement…

La première chose, ce sera certainement de l’écrire… Donc, toi, si tu le veux, tu transcriras une partie, et moi, une autre. Nous écouterons et nous écrirons… Nous transcrirons tout simplement, au début, et puis après, nous verrons ! 

Si cela nous intéresse, si cela continue à nous plaire, nous nettoierons, nous l’adapterons pour un langage écrit…. Parce que là, nous parlons !

Ce qui est important, c’est que nous abordons des questions qui intéressent tout le monde…

Je le crois… Si nous pouvions écrire exactement ce que nous avons dit et que quelqu’un de censé, d’assez équilibré déjà, puisse le lire, il me semble qu’il ne perdrait pas son temps à le lire… 

Il y aurait, pour lui, des bribes de quelque chose d’intéressant… Il pourrait peut-être glaner des choses, ici et là, à droite ou à gauche…

Voilà, ce sont des perceptions que nous avons tous et qui nous semblent pourtant assez inattendues, lorsque nous osons les exprimer… 

Tu sais, c’est comme si nous regardions derrière le miroir… C’est vraiment une perspective complètement différente et qui change tout !

Transcendance

C’est probablement une perspective plus instinctive. Elle est moins éduquée… Elle est plus naturelle… En tout cas, nous l’espérons.

Mais, cette perspective a quand même une base : c’est à dire que, à mon avis, ce n’est intéressant, pour l’instant, que pour des gens qui osent faire un acte de croyance en Dieu… et ceci quel que soit le nom qu’ils utilisent pour nommer ce qui est « Tout » !

C’est à dire qu’ils vont peut-être penser et dire : « Oui, Dieu est Tout ! » Et ils vont partir de cette base-là… 

Ou bien ils vont penser « La Lumière est Infinie, Éternelle » … et ils vont partir de cette base-ci…

Ou bien mille autres mots qui vont exprimer leur transcendance personnelle…

Je pense que c’est la base… Oui, effectivement… Sinon, on ne peut pas aller plus loin… en tout cas pour l’instant.

Sinon, oui ! C’est terminé pour l’instant ! Le dialogue ne pourra pas se faire plus loin… dans l’immédiat !

Mais beaucoup de personnes, qu’elles se disent croyantes ou pas, ont quand même cette sensation… et ce désir de transcendance ! On s’en rend compte souvent.

Verbaliser ? Écrire ?

Oui, bien sûr ! Absolument ! Mais, à ce moment-là, peut-être, il faudra trouver des verbalisations adaptées à elles. En tous les cas parfois.

Oui, bien sûr…

En effet, il ne faut pas déranger les gens inutilement dans leur perte de conscience de la Lumière momentanée… 

Il ne faut pas que, en entendant ce que quelqu’un leur dit, certaines personnes perdent un peu plus conscience de la Lumière… alors que le but des paroles qu’ils entendent est une plus grande ouverture de la conscience… 

Il ne faut donc pas tout dire… Il ne faut dire que ce que chacun peut comprendre et accepter avec joie… Sinon, le reste n’est que du bavardage !

Et ensuite, on verra… Soit ce ne sera que pour nous et on en restera là, mais ce sera déjà intéressant pour nous de lire et de réfléchir nos propres paroles… et de les vivifier !

Soit, si nous envisageons que c’est utile pour d’autres, nous le mettrons en forme pour le leur présenter ?

Nous verrons ! Là, pour la suite, je ne sais pas quelle forme cela prendra, ni même si ça en prendra une…

Si on pouvait, par exemple, masquer nos voix et faire que ce soit accessible à des gens qui écoutent, sans qu’ils puissent savoir d’où cela vient… peut-être serait-ce intéressant… mais peut-être pas ?

D’un autre côté, il y a cette histoire de matérialisation. On nous a eu dit qu’il y a une dématérialisation générale et qu’il faut qu’elle s’opère : un livre, par exemple, n’est-ce pas une matérialisation ?

Mais en même temps, on étudie des livres et on les écrit… Et on fait des films… qui sont bien des matérialisations… Alors ?

Moi, à cet instant, je crois que la clef, c’est la matérialisation issue de l’Âme, c’est à dire la joie, le bonheur ! 

C’est à dire que si je te parle et que je suis heureux de ce que je te dis et que tu es heureuse de l’entendre : là, c’est bénéfique ! 

Il y a alors pour nous deux une ouverture de la conscience à la Lumière, ensemble… 

Nous nous promenons sur des sujets… Nous ouvrons, et nous ouvrons encore et encore notre conscience sur des sujets variés… Et ainsi, on voit la Lumière là où on la voyait moins, moins bien, jusqu’à là…

Si, à un moment donné, je parlais ou j’écrivais et que je n’étais pas heureux de ce que je disais ou de ce que j’écrivais… là, en revanche, pour l’instant j’aurais reperdu conscience de la Lumière !

Et c’est la même chose dans la réception !

Vivification Éternelle

Oui, alors, là, nous aurions un livre, de type religieux officiel classique, plein d’ombres, dans lequel on se propose, trop souvent, les uns aux autres une perte de conscience de la Lumière… Ce serait l’ombre qui aurait pris possession de cette création littéraire !

Donc, nous demanderons à notre Âme et nous verrons au moment… et puis peut-être que nous demanderons l’avis de personnes plus conscientes de la Lumière que nous ?

Moi, je trouve, quand même, que cela m’intéresse… Toi, bien sûr, ce sont des concepts que tu as déjà travaillés…

Oui ! Ce sont des concepts que je travaille à chaque instant, comme toi, et comme tous, probablement depuis toujours… et pour toujours ! Point à la ligne !

C’est comme s’ils arrivaient à point à ma conscience.

Il n’y a pas de différence ! Tu comprends bien que dès que nous discutons, ces concepts ne sont pas miens, ils sont universels, ils sont totaux, même si nous les exprimons avec des mots qui sont propres à chacun de nous.

Chacun y a accès à tout instant : chacun a son Âme, il l’écoute ou il ne l’écoute pas… Mais, il peut l’écouter… C’est accessible à chacun depuis toujours !

Donc, évidemment, ça n’appartient à personne… L’auteur, lui, doit disparaître, probablement ! Il faut que l’auteur ne puisse pas offrir le flan à un quelconque respect indu, à un respect qui ne lui est pas dû… ou ce genre de chose !

Et c’est là qu’il faut être prudent. C’est là qu’il faut être très sage. Et donc, il faut peut-être trouver des moyens, qui peut-être n’existent pas, d’être invisible.

Mais, je voulais dire…

… Silence…

Excuse-moi d’interrompre ton silence ! Mais, et j’ai beaucoup réfléchi à tout cela, il me semble que le plus important, c’est qu’il y ait, à plusieurs endroits sur la terre, cette augmentation de prise de conscience de la Lumière dans le nouveau monde qui re-débute… Et ça, avec des livres ou sans livres ! 

Que ce que l’on dit soit foutu à la poubelle et que l’on n’en parle plus… ou bien que l’on en parle beaucoup… 

De simples gouttes d’huile

C’est la prise de conscience qui vient de s’ouvrir un peu ou beaucoup plus, quelque part ! Et là, c’est fini : cela a été pensé à partir de l’Âme… Et il y a des Êtres humains, ailleurs, à tels ou tels autres endroits qui ont perçu cette conscience supplémentaire de leur Âme également… Car, finalement, nous sommes une seule Âme Universelle qui se découvre.

Et cela, ça fait une tache… et c’est terminé…C’est comme de petites gouttes d’huile qui vont se répandre à toute la surface de l’eau en un film d’une finesse extrême devenu pratiquement invisible… sans que finalement nous puissions, maintenant, savoir d’où cela vient !

Je suis d’accord avec toi, parce que j’ai l’impression que c’est prêt ! J’ai entendu pleins de petits déclics. Ce n’est pas une révélation en tant que telle, et pourtant, c’en est une !

Mais cela vient du fait de notre vocabulaire… et d’une prise de conscience, quoi ! C’est comme s’il suffisait parfois de changer un mot pour que tout change ! C’est exactement ça ! 

Alors, je crois que ce n’est pas de « changer un mot », c’est de « changer la conscience que l’on met dans ce mot », parce que tu ne changes pas nécessairement le mot : par exemple, le mot « Dieu », il restera le mot « Dieu » …

Ou le mot « Lumière », il restera le mot « Lumière » … etc.

Non, ce n’est pas le mot, c’est la façon dont on le situe !

Tu as raison, en fait, nous n’avons pas besoin de changer de mots. Mais nous avons besoin…

J’ai l’impression que l’on est tous prêt à entendre…

Oui… Tout le monde, toute la création, n’a qu’un désir… Un seul désir ! C’est « la Conscience de la Lumière… Toujours plus » … Ceci se manifeste par « Être heureux… Être encore plus heureux… Être encore et encore plus heureux ! … »

Voilà, ça c’est le désir absolu de toute la création : « Conscience du Créateur, conscience de la Lumière… toujours plus ! » …

Après, au niveau pratique, il faut trouver le moyen de respecter l’autre…