28 • Quel futur je choisis ?

Un ami, qui a choisi « ÊtreSoi » comme pseudonyme, a fait, il y a quelques jours ce commentaire dont je le remercie :

« Parlons du futur…
N’est-ce pas dans le moment présent que notre futur s’inscrit ?
N’est-ce pas dés la pensée que l’on est heureux de penser en ce moment présent que ce futur s’invente ?
En fait, s’invente-t-il ?
N’est-ce pas par ces pensées heureuses en cette suite continue d’instants présents que nous nous proposons un futur heureux en son instant ?
Alors nous sommes heureux de ce futur que nous ne connaissons pas, en continuant à penser d’instant en instant, des pensées que nous sommes heureux de penser…
Ainsi, le futur ne se confond-il pas avec le présent ? »

Après avoir lu et relu, avec beaucoup de plaisir, ces pensées avec attention, j’avais écrit pendant plus d’une heure toutes une série de pensées que j’étais vraiment très heureux de penser en lisant ce joli commentaire fait par « ÊtreSoi »… Des pensées très belles, très inspirées… Enfin, c’est ce qu’elles me semblaient être !

Et puis, tout d’un coup, du fait d’une maladresse de ma part j’ai tout fait disparaître de mon ordinateur ! D’un seul coup !

Alors, là, voilà une bonne occasion de jouer au BeHappy que de choisir d’être heureux d’avoir perdu tout ce que j’avais été si heureux d’avoir écrit…

Et c’est ce que j’ai fait : tout de suite, dès que je me suis aperçu de mon erreur, dès que j’ai compris que je venais d’effacer complètement ces pages dont j’étais si fier, j’ai choisi d’être heureux.

« Dieu Est Tout », c’est la pensée fondamentale que je suis le plus heureux de penser à tout instant, celle qui est le point de départ de tous mes raisonnements, donc de toutes mes autres pensées…

Je reviens à elle sans cesse pour continuer ainsi à penser selon ma joie.

Et, si « Dieu Est Tout », Dieu est donc également ce que nous perdons !

Alors, instantanément, j’ai offert cette perte de mon texte à Dieu… Et comme chaque fois que j’ai eu la générosité de faire cette offrande, je suis très fier de moi… Je suis satisfait.

Quel confort d’être heureux de tout… et donc du « Tout » ! C’est tellement pratique ! Je le disais hier à mon ami G. lorsque nous roulions ensemble sur la route.

Nous ne pouvons pas revivre un instant deux fois… Mais nous pouvons toujours être heureux de l’instant que nous avons vécu.

Et ceci que nous l’ayons vécu l’instant juste précédent ou bien à n’importe quel autre instant de notre passé lointain… Que ce soit notre passé, soi-disant personnel, le passé de l’autre… Ou que ce soit le passé de toute l’humanité.

En effet, de mon point de vue, je ne vois pas de différence très nette entre mon passé, celui de l’autre et celui de toute l’humanité.

Grâce à mon ordinateur qui peut effacer si vite tout ce que j’ai écrit, en un instant, j’apprends à accomplir un deuil… de la façon la plus rapide et surtout la plus agréable qui soit.

Le passé est passé… Mais, quel qu’il soit, je suis libre, toujours libre, à cet instant d’en être heureux.

Le passé est une source inépuisable de joie pour celui qui sait l’aimer à cet instant présent.

Je vis un instant du Paradis, à cet instant même, chaque fois que j’ose être heureux de tout le passé.

Et toute la terre vivra (ou plutôt revivra) le Paradis, dès que tous les Êtres humains auront réussi, courageusement, à aimer, tous, le passé qu’ils ont vécu depuis qu’ils sont humains.

Ceci, semble-t-il, est un projet à long terme… Mais il se réalisera, sans aucun doute !

Et je veux, moi aussi, participer à la réalisation futur de ce projet parfait et inéluctable qu’est le retour du Paradis sur notre Terre.

Or, plus je suis heureux à cet instant, plus la vie au Paradis de la Terre entière approche.

Le futur est entre les mains de chacun de nous, les Êtres humains.

Nous sommes, tous les Êtres humains ensemble, responsables du futur que nous vivrons, mais également du futur que nous proposerons à tous les autres Êtres, animaux, végétaux et minéraux…

Chaque instant de notre existence est l’occasion d’ouvrir, un peu plus, notre conscience à l’Infini.

Et chaque faits dont nous ne sommes pas arrivé à reconnaître la Perfection est toujours revenu à notre conscience pour que nous puissions le reconnaître Parfait.

Et si nous n’y avons pas réussi il reviendra, car consciemment ou inconsciemment, notre but de vie, à nous, tous les Êtres de la Terre, est d’ouvrir notre conscience à cet Infini qui est Éternel…

C’est à dire d’être toujours plus heureux.

Je ne retrouverai pas, sans aucun doute, les pensées exactes que j’avais écrites et que mon ordinateur a, si gentiment, effacées.

Mais l’Âme, que je suis, est une source inépuisable de pensées que la Pensée, que je suis également, est heureuse de découvrir et que le Corps est heureux de manifester.

Comme le passé, le futur se vit au présent… Et seulement au présent !

Nous ne pouvons pas revivre notre passé dans le passé, puisque le passé est justement « passé ».

Mais, le passé est inscrit dans notre mémoire… Et heureux ou malheureux, nous pouvons nous en souvenir à cet instant présent, nous pouvons également en constater les résultats dans notre présent… Nous pouvons, à chaque instant, choisir, à nouveau, d’en être heureux ou malheureux.

Nous ne pouvons pas changer ces faits passés… Mais, c’est vrai que, d’une façon ou de l’autre, ils vont revenir à notre conscience pour que nous en soyons toujours plus heureux.

Pour prendre un exemple simple : il y a entre quarante et cinquante ans, alors que je dévalais une pente de montagne à fond la caisse, mon pied est entré dans un trou, mon corps a continué sa course et mon genou gauche a été tordu à l’envers et je me le suis fracturé gravement … Cela a été, je l’ai appris beaucoup plus tard une fracture intra-articulaire du plateau tibial interne.

 l’époque, j’ai choisi de simplement rester au lit pendant 2 mois pour permettre à la fracture de se guérir… Ce sont bien des années plus tard que des radios ont été faites. Elles ont montré un genoux complètement remodelé, complètement différent de l’autre.

Au cours des années qui ont suivi, et jusqu’à aujourd’hui, je n’ai pas pu faire que cet évènement n’ait pas existé : j’ai eu le genoux fracturé gravement… C’est un fait ! C’est un fait passé… qui a laissé des traces physiques et psychologiques… et spirituelles… Et à chaque instant, je peux gérer cela comme je l’entends !

Au début, j’ai été donc alité et j’avais très mal à mon genoux. Je n’ai pas, à l’époque, choisi d’éviter cela… De ce fait, je n’ai pu qu’apprendre, progressivement de mieux en mieux à être heureux d’avoir mal et d’être alité.

Ensuite, après probablement environ deux mois, je me suis levé et j’ai commencé à marcher avec une canne et avec beaucoup de douleurs… Et je me souviens qu’à l’époque je me suis inquiété pour mon avenir.

En effet, la douleur physique était importante et elle a duré pendant quelques mois, sans que j’en sois vraiment régulièrement heureux….

Mais, si je me souviens bien, finalement, cette douleur a duré jusqu’à ce que j’arrive à choisir d’en penser ce que j’étais, à l’époque, le plus heureux d’en penser…

J’ai donc choisi d’être heureux d’avoir mal… Et j’ai augmenté la joie d’avoir mal, de plus en plus chaque jour… Chaque fois que j’avais mal, je souriais et je remerciais cette douleur d’exister.

Et là, bientôt, les douleurs ont disparu ! Et il ne m’est plus resté qu’une impossibilité de plier le genoux complètement : je ne pouvais donc pas m’accroupir sur ce genoux… Mais cela n’était plus douloureux du tout.

Pendant une dizaine d’années, j’ai probablement un peu grandi en sagesse, comme tout un chacun… Et puis, je ne me souviens pas pourquoi, j’ai eu à nouveau mal à mon genoux et là, par contre, je me souviens très bien que mes pensées ont baissé de qualité à propos de mon genoux, à propos de la douleur que je ressentais à nouveau et à propos de mon avenir…

Et donc, une nouvelle fois, j’ai eu bien mal jusqu’à ce que je me décide, je m’en souviens très bien, à repenser ce que j’étais le plus heureux de penser… Encore mieux.

Et que ce soit à propos de mon genoux, de la douleur ou de mon futur, je me suis entraîné fortement à penser consciemment ce que j’étais le plus heureux de penser… Jusqu’à y arriver !

Et en quelque temps, non seulement je n’ai, à nouveau, plus eu mal, mais j’ai récupéré la totalité de la flexion de mon genoux. Cela m’a étonné… Cela faisait une dizaine d’année que la flexion de mon genoux était bloquée… Mais j’ai été fier et satisfait.

Et puis j’ai vécu, heureux de mon genoux déformé, mais efficace, jusqu’à aujourd’hui…

Lorsque j’y porte mon attention, je le sens différent de mon autre genoux… Mais hier, j’ai cependant pu aller me baigner dans un étang à 1500 mètres d’altitude grâce à une marche difficile de 3 heures aller et 3 heures retour… Et aujourd’hui, je vais faire une quinzaine de kilomètres à pied à partir de là où nous sommes logés, chez notre ami G.

Et la qualité du futur que je vais vivre dans cette vie et dans les autres est décidé par l’usage que je fais de mon libre arbitre pour vivre chaque instant, avec « ce » genoux.

Ce que je suis le plus heureux de penser, c’est que plus je suis heureux aujourd’hui, plus je serai heureux demain…

Plus je suis heureux dans cette vie, plus je serai heureux dans les autres…

Et ceci quelle que soit les difficultés temporaires que l’humanité, dont je fais partie, impose à toute la terre.

Mon futur ne dépend pas totalement de moi, car je ne suis qu’un Être humain parmi des milliards… Mais la Joie que j’ai à l’imaginer aujourd’hui et la Joie que j’aurai à le vivre à chaque instant, Elle, Elle ne dépend que de moi.

Je veux toujours mieux jouir de notre passé.

Je veux toujours mieux jouir de notre futur.

Et cela, je ne le peux qu’à cet instant présent.

Les 8 Entretiens (9ème Partie du 2ème Entretien)

Je pense que fondamentalement, l’ouverture de la conscience à la Lumière, c’est la seule chose qui intéresse tout le monde. Mais, chacun en a une conscience personnelle et unique…

Du coup, le fait de pouvoir le voir et de pouvoir l’appliquer… que cette nécessité, ce besoin vital puisse s’incarner dans tous nos mots, dans toutes nos attitudes, dans tous nos gestes, ça donne corps à notre vie… 

Sinon, pour moi, c’était mort ! 

En fait, c’est ça, ça faisait des moments de mort… et que… non pas que je perdais la foi, mais que je n’étais pas vraiment consciente d’être vivante… Tout ce que je faisais était « comme » mort…

Et là… Maintenant…

Pourtant : « c’était vivant » ! Parce que la vie ne peut pas disparaître…

La Vraie Vie est Éternelle.

C’est la conscience qui fait toute la différence

La conscience de la vie… Je n’avais aucune conscience de la vie ! C’était, pour moi, le problème de la conscience de la vie !

Pourtant, tu n’es pas plus vivante maintenant que tu l’étais il y a 10 ans, ou il y a 1 ans, ou il y a 6 mois… Ça, ce n’est pas possible !

Non ! Pas du tout ! Mais, c’est cette conscience, là !

Oui, nous sommes vivants, nous sommes « absolument » vivants ! Mais, c’est la conscience qui, elle, peut changer… 

« C’est la conscience qui fait toute la différence ».

Oui ! Et, du coup, c’est vraiment devenu différent…

Nous sommes, en effet, des consciences en évolution.

C’est comme si, jusqu’à maintenant, je n’avais pas cette conscience… Et ceci, bien malgré moi… 

Parce, d’un autre côté, il y avait une énergie qui faisait que j’avais conscience de tout ça… Tout était devenu intense… 

Mais là, il fallait que ça devienne une réalité, je ne dirais pas une réalité individuelle, mais… une réalité « autonome » ! Voilà… c’est exactement ça.

Bien sûr, tu voulais vivre cette ouverture de ta conscience ! Nous voulons tous vivre cette expérience. Il y a un appétit qui augmente, qui augmente… Et, à un moment donné, nous ne pouvons plus refuser « l’obstacle » … 

Nous ne pouvons plus refuser la conscience de l’ombre… L’ombre s’impose à notre conscience.

Et puis, nous ne pouvons plus prendre l’excuse de l’ombre pour ne pas voir la Lumière… Nous ne le pouvons plus !

L’ombre a été là. Elle « existait », de son existence limitée… Une fois que nous l’avions imaginée, cette perte de conscience de la Lumière, qui est l’ombre, s’est immiscée dans tous les aspects de notre vie… 

Et alors, là, nous avons pu dire : « Je ne serais heureux que s’il n’y avait plus d’ombre » …

Et badaboum ! Nous étions piégés ! 

Parce que, il y avait de l’ombre partout, ou pratiquement partout, mais nous avions décidé maintenant que nous ne serions heureux que lorsque cette ombre disparaîtrait… Mais alors, comment pouvions-nous faire « disparaître » l’ombre ? Puisque…

Non ! Là, cela n’aurait jamais été possible !

La disparition de l’ombre ne pouvait pas être une condition du Bonheur qui, lui, est inconditionnel.

Alors, ça se mordait la queue, là ! Nous n’en pouvions plus…

Donc, il fallait bien, à un moment donné, que nous prenions le taureau par les cornes, comme on dit… et que nous osions faire la seule chose qui soit possible… Et ce qui est possible, tout de suite : c’est d’aimer ! D’aimer « sans » condition.

Et là, en particulier, d’aimer l’ombre, notre ennemi… Et donc d’éclairer l’ombre !

Et ainsi, de faire que, par cet éclairement, c’est à dire à dire par cette prise de conscience de la Lumière « dans » cette ombre, ce soit, enfin, la fin de cette ombre !

Et là, c’est fini ! La fin de toute ombre, c’est la Lumière !

C’est tout !

Il n’y a pas d’autre fin pour l’ombre.

Merci l’ombre

Et, aujourd’hui, et ceci pour probablement encore assez longtemps, pour nous, l’intérêt de l’ombre, c’est justement qu’elle soit l’occasion de pouvoir retrouver notre capacité naturelle d’ouverture de notre conscience à la Lumière…

C’est ça qui est merveilleux dans l’ombre : c’est qu’elle nous a invité, en permanence, depuis le début de son existence éphémère, à augmenter notre conscience de la Lumière, dans des situations très tarabiscotées… 

C’était le labyrinthe de l’ombre !

Et seule la Lumière peut nous libérer de notre labyrinthe.

C’est ça qui est étonnant, parce que c’est comme si tu disais « Ce n’est pas moi » quand tu dis : « C’est moi ! »

Oui, bien sûr ! Quand nous parlons à partir de l’Âme, ce n’est plus « notre » parole, mais c’est « La » Parole… C’est alors le Divin qui parle en nous, point à la ligne ! C’est tout ! Ça appartient à tout le monde, il n’y a pas de soucis !

Tu as raison !

C’est cela, la communication unitaire, c’est à dire la communication d’Âme à Âme… Il ne peut pas y avoir de conflit entre une Âme et une autre Âme… 

Ton Âme, c’est Dieu en toi et mon Âme, c’est Dieu en moi… Alors comment peut-il y avoir des chocs, des difficultés, des illusions de séparations, entre l’Âme et l’Âme ? Ce n’est pas possible !

Alors, si toi, ta Pensée écoute ton Âme et traduit ton Âme… et si moi, ma Pensée écoute mon Âme et traduit mon Âme… Alors, là, nous ne pouvons plus avoir de problèmes de pensées ensemble !

Et si nous vivons cela, automatiquement, à ce même instant, au niveau de la matière, il n’y a plus de problèmes… En effet, si les différents corps sont l’expression pure de l’Âme qui anime chacun de ces corps… il n’y a plus de problèmes de relations matérielles entre ces corps, non plus !

Je sens que c’est comme si ça donnait un sens… Ça donne un sens : c’est ce que je cherche !

Et c’est par le sens que tu peux le trouver aussi.

Parce que, je pense que… Comment dire ça ? …

L’humanité n’a pu exister qu’avec un minimum de 2 personnes, n’est-ce pas ?

Oui ! Eh bien, oui. Moi j’ai besoin…

Avant, avec 1 personnes, il n’y a pas encore d’humanité… Donc, il a fallu que le Premier Humain, s’incarne, d’accord ? Et ensuite, il a fallu que la Première Humaine s’incarne également… et là, ça y est, l’humanité apparaît, elle est là !

Et c’est en eux qu’apparaît le Libre Arbitre, la Libre Conscience etc… Là, l’humanité commence… Enfants de la Lumière.

Et donc, l’humanité s’est bâtie sur les 2, donc sur la relation… et après, ça s’est multiplié…

Originellement, cela devait se multiplier dans une Communication Unitaire permanente, qui était la fille légitime de la Lumière ! 

Ben oui ! 

Voilà ! Des Êtres humains élevés qui s’enrichissent les uns les autres, qui font des « inventions » à partir de la Lumière qu’ils sont, qui font une prise de conscience toujours plus grande de l’Énergie qu’est la Lumière… 

Et nous arrivons ainsi à des systèmes de vécus de l’Énergie Lumineuse qui n’ont rien à voir avec ceux dont nous avons eu conscience jusqu’à là…

Enfin… Nous commençons de plus en plus… Il y a des scientifiques qui s’y intéressent et qui sont très intéressants… Je t’ai, peut-être, déjà parlé de Nassim Haramein ? 

La Science Unifiée

Avec ma compagne, on s’est bien enrichis avec Nassim, grâce à internet. C’est un scientifique, marginal, intéressant… Très intéressant.

Oui, il a fait quoi ? J’ai peut-être vu une vidéo de lui.

Oui, surement, il y en a pleins sur internet. Si tu veux avoir une vision assez complète de son travail en 3h30, c’est à dire là où il en était en 2016, donc il y a 8 seulement 8 ans, tu peux écouter la conférence qu’il a fait en français, à Paris, en 2016. Parce que, autrement il parle plutôt en anglais… 

Tu mets « Nassim Haramein-Conférence-2016 Paris » et tu tomberas sur cette conférence qui te permettra déjà de prendre connaissance d’une certaine vision scientifique bien différente.

Nous avons été très enrichis par l’étude, à notre niveau, de ce scientifique, parce qu’il a une vision unifiante qu’il appelle d’ailleurs « la Science Unifiée ».

Je l’ai vu il y a très longtemps et je pense que cela serait bien, maintenant, de le revoir…

Oui ! C’est un scientifique théorique et pratique intéressant.

Ceci pour dire qu’il y a des gens, car il n’est pas le seul, qui, un peu partout, touchent ça du doigt, quelque part… Ils imaginent une autre science, ils ont une façon différente de travailler… et donc, ils parlent de l’Énergie d’une façon différente, ce que l’on appelle l’énergie du champ de Planck… C’est passionnant… 

Mais, Spinoza nous a bien dit que « Nul ne sait ce que peut le corps ».

Et nous pouvons également dire que « Nul ne sait quoi que ce soit ! » … C’est à dire que l’énergie, on ne la connaît pas… Nous en sommes encore tout à fait ignorants !

Non ! Nous sommes en train de découvrir l’énergie, mais, il y a peu, nous étions encore à l’ère de Newton, alors… Nous n’avions même pas encore appréhendé la pensée d’Einstein ! Donc, tout était à faire…

Au turbin au bon moment

Oui, tout est à faire ! Et c’est chacun de nous qui allons le faire un jour, si nous nous y préparons bien aujourd’hui…

Parce que nous allons nous réincarner ! Bien sûr pas trop tôt, semble-t-il… Mais nous naîtrons au bon moment, si nous suivons notre joie, donc si nous suivons la Lumière… et puis voilà, dans l’avenir, on repartira au turbin !

Les hommes de bonnes volontés vont donc travailler tout ça, dans des domaines très variés, surement ! Tu imagines ? En Politique, en sciences, en économie, dans les arts etc…

Dès que nous en serons capable, les Êtres humains, plus libres, devront prendre, tour à tour, tous ces rôles pour initier des mouvements d’ouverture de conscience à la Lumière vraiment nouveaux dans tous les domaines…

Oui ! Pour changer enfin la société… Pour lui redonner son véritable mouvement…

Mais, pour cela, il faut que nous nous entrainions tous ! C’est pour ça que nous devons être très actifs, dés aujourd’hui… Il faut, très courageusement, que nous pensions à partir de l’Âme, sans arrêt, sans arrêt, sans arrêt ! Et cela dès aujourd’hui, le plus possible !

Il faut que la Lumière devienne, à nouveau, la seule source de notre Pensée et de nos actions… Et donc, il nous faut agir.

Il nous faut apprendre.

C’est bien, hein ?

Ah, Ouais ! C’est bien.

Et apprendre, c’est répéter !

Ce sont des petites choses très basiques, très simples, mais qui, pour moi, sont essentielles… Parce que cela m’aide beaucoup à sortir de la conception qui était « d’arriver à un état » !

Tu veux de tenir tout dans tes mains ?

Oui ! Donc, c’est bien.

Répéter, c’est essentiel : ça me met dans l’instant, et comme ça… je vis !

Allez, encore, répétons !

Oui ! N’ayons pas honte de répéter… Nous devons valider la répétition… Il ne faut plus, comme nous l’a appris l’ombre, culpabiliser parce que nous répétons !

En effet, dans le système ombreux, l’école officielle a été jusqu’à aujourd’hui un exemple typique… Cette école a été un lieu important où l’on nous a beaucoup formé à la pensée ombreuse… Mais pas seulement, heureusement ! Elle a en effet également enseigné la Pensée Lumineuse…

Dans l’aspect ombreux des enseignements que les enfants recevaient, il était pensé que moins nous répétions, mieux c’était !

C’est à dire, que l’ombre nous a fait croire que celui qui avait le moins besoin de répéter pour acquérir une notion était le meilleur… Or, cela était faux ! 

Oui, la preuve ! Les enfants n’apprennent même plus les tables de multiplications…

Eh oui ! Nous n’avons pas d’autre système réel d’apprentissage… La répétition doit être validée, encouragée… et reconnue comme belle… 

Nous devons encourager les gens à être heureux de répéter ! Et non pas à être honteux de répéter, honteux d’avoir besoin de répéter… honteux de ne pas avoir compris et appris à la troisième répétition seulement !

Oui, oui ! C’est vrai !

Moi, cela me change la perception du temps même ! Du temps, et de la confiance en moi…

Là, en ce moment, je suis en train de traduire un texte de l’anglais qui lui-même a été traduit du russe. C’est un livre sur « Le Jeûne Sec » …

Cela m’intéresse en tant que thérapeute et j’ai donc expérimenté 3 jeûnes secs de 2 jours à 3 jours, pour l’instant, dans les derniers mois.

« Jeûne sec », ça veut dire : rien ! 

Surtout, cela veut dire : pas d’eau ?

Oui ! Pas de nourriture solide et pas d’eau.

J’ai donc fais cette petite expérience et cela m’a beaucoup intéressé … et je traduis ce livre de l’anglais, puisqu’il n’existe pas en français… C’est un médecin russe qui l’a écrit…

Et donc, là, ce que je voulais dire, c’est que cela me prend du temps. Là, dans l’immédiat, je veux finir ce travail qui va me prendre encore 15 jours, peut être un mois… je ne sais pas exactement.

J’ai bien avancé, mais il faudra que je le relise…

Et ensuite, nous allons pouvoir commencer à écrire nos entretiens, à les transcrire.

Toi, si tu le désires, tu peux commencer quand tu veux, d’ailleurs ! On se partagera le travail, bien sûr.

Pas de soucis ! J’ai du temps, en tout cas pour l’instant !

Mais je reviens sur le jeûne sec… Il a un effet particulier ? Pourquoi le fait de ne pas donner d’eau ?

Le jeûne sec est à peu près 3 fois plus performant que le jeûne hydrique au niveau détoxination du corps… C’est à dire que en 3 fois moins de temps, tu obtiens les mêmes résultats.

Ah, écoutes, c’est intéressant !

Il y a plein d’autres trucs que tu verras un jour, si tu en as le désir.

Moi, ça m’intéresse ! Et pourtant, ce n’est pas ce qui est le plus intéressant…

Mais, dans ce domaine particulier de l’alimentation, ce qui m’intéresse fondamentalement, c’est de pouvoir vivre un jour en me nourrissant de la Lumière, directement par la conscience de la Lumière comme source de la vie ! Mais, pour l’instant, je constate que j’en suis bien incapable ! Il faut bien que je le reconnaisse…

Et je doute que j’y arrive dans cette vie… Mais peut-être y arriverons-nous dans une autre de nos nombreuses vies à venir !

Mais, pour tous, et bien sûr pour moi, ce qui est vraiment, vraiment, le plus important, c’est d’être heureux de suite… Ça, c’est vraiment le plus important à mes yeux… 

Ce que je mange, ou ne mange pas, est secondaire, pour l’instant, très secondaire… Mais, en parallèle, je m’amuse tout de même à faire mes petites expériences ! Cela me plaît.

Ah, carrément !

Oui !

C’est tout à fait possible.

Oui, ça l’est, mais, pour ça, il y a pour moi tout un gros, un très gros, travail d’ouverture de ma conscience à la Lumière à accomplir… 

Il y a des gens qui ont spontanément cessé de manger… C’est donc possible ! Cela à été déjà réalisé par certains, sans même qu’ils le veuillent !

Il y a des gens qui vivent sans manger matériellement pendant plus ou moins longtemps… Et il y en a même qui vivent toute leur vie sans manger ni boire… c’est plus rare, mais il y en a…

Je trouve très intéressant que cela existe… Déjà parce que cela résoudrait la quasi-totalité des problèmes matériels : tout le monde serait nourri sainement et serait en bonne santé, puisque, à ce moment-là, il n’y aurai rien qui manquerait !

Et la planète pourrait tranquillement continuer à nous héberger.

Et ça rejoint le travail sur la matière que l’on ne connaît pas : le « Nul ne sait ce que peut le Corps » de Spinoza…

■  

Voilà ! Ça m’intéresse, marginalement, et j’avance dans cette direction-là, à mon rythme… Et là, pour l’instant, j’en suis à étudier, pour un temps, ce jeûne sec qui est, une expérience qui me semble raisonnable pour moi… Un apprentissage parmi d’autres…

Mais, je trouve stimulant que des gens puissent tomber spontanément dans la situation de pouvoir nourrir leur corps sans passer par la nourriture matériel habituelle… et même de ne plus boire…

On va voir ! On en reparlera peut-être, un jour…

Ah oui ! Ça, ça m’intéresse !

OK !

Mais en tous les cas, pour l’instant, et pour toujours : Lumière ! Lumière ! Lumière !

Lumière ! Lumière ! Oui ! C’est très, très, bien…

Super !

Eh bien, je me régale, de toi… et de tout ça… 

Pour moi, écoute, c’est vraiment intéressant ! Là, je suis tout heureuse, j’ai l’impression de jouer…

Oui, jouons à vivre !

Je te remercie beaucoup d’exister, d’être ouverte à ce dont nous discutons, à ce que nous échangeons et que nous allons pratiquer de notre mieux à tout propos… et qui est aussi un élément essentiel de notre bonne santé !

Être heureux, simplement, de Tout !

Alors, là, il faut que j’arrête l’enregistrement !

Couic !

Et c’est la fin de l’enregistrement de cet entretien N°2 !