Aujourd’hui, je joue au BeHappy, comme d’habitude… Et, bien sûr, je ne pense que Ta Joie…
Mais, pour la partie que j’ai joué là, j’ai été heureux de rajouter une règle supplémentaire toute simple que je vais m’amuser à respecter :
Chaque paragraphe que je vais écrire sera court, souvent une seule phrase, et contiendra nécessairement le mot « instant ».
Le mot « instant » sera le seul lien entre toutes ses phrases…
Et je vais ainsi découvrir un peu plus… comment je le vis… cet instant !
Instant, Tu es ma Vie.
C’est à cet instant que je vis.
C’est à cet Instant que je « Te » vis.
Cet Instant est Ton Instant… Il est toujours Sacré.
C’est à travers cet Instant que je vis tout ce que je vis, tout ce que j’ai vécu et tout ce que je vivrai.
Oui! C’est à cet Instant que je vis le présent, le passé et le futur.
Cet Instant, c’est l’Instant du Libre Arbitre que Tu me donnes…
Tout le passé et tout le futur se trouvent « dans » cet Instant.
Il n’y a que cet Instant qui soit… et ce n’est qu’à travers Lui que je vois le Tout que Tu Es.
Je ne Te vois donc qu’à cet Instant.
À cet Instant, je peux T’imaginer dans le passé et le future… Mais c’est à cet Instant que je Te vis.
Cet Instant est le lieu de Toute Ta Réalité, en instantané.
Cet Instant est infiniment court… Et pourtant il existe éternellement.
Cet instant est l’instant du choix.
Je ne peux choisir ma vie qu’à cet instant… et que pour cet instant.
Cet Instant décide de mon passé et de mon avenir.
Cet instant que je vis décide du passé et de l’avenir de tous les Êtres.
L’un des synonymes du mot « Instant », c’est le mot « Libre Arbitre »… Un autre synonyme du mot instant, c’est Toi, c’est Dieu… Et puis il y a tous les autres mots que je peux penser et qui Le nomme !
Je Te cherche à cet instant, je Te trouve à cet instant, je T’adore à cet instant.
Cet Instant est Ton cadeau Sacré.
À cet instant unique, toute ma vie est vécue.
Je vis instant par instant.
Je Te vis à cet instant.
Cet instant me suffit pour Te vivre.
Tu ne sais donner que Tout, tu me donnes Tout à cet instant.
Cet instant, c’est toute ma vie… J’en suis de plus en plus conscient.
Je joue toute ma vie à cet Instant.
À cet Instant, je nais, je vis et je meurs.
J’ai autant de vies que d’instants… Et je n’ai qu’une vie, c’est cet instant.
Cet Instant est sacré… Je veux T’y adorer.
Cet instant est mon adoration…
Je T’adore toujours à cet instant.
Si quelque chose change, c’est toujours à cet Instant.
L’Instant, c’est le changement.
Je veux changer quelque chose ? Alors cet Instant est le meilleur moment : c’est le « seul » moment.
J’aime cet instant que je vis.
Je pense mon passé à cet instant.
Je vis mon passé à cet instant.
Je choisis mon passé à cet instant.
Cet Instant remet, une fois de plus, tout mon passé entre mes mains.
Mon passé ne peut guérir qu’à cet instant.
Je T’adore en cet instant…
Je ne peux T’adorer qu’à cet instant que Tu Es.
Que cet Instant soit mon adoration de Toi.
Je cherche à reconnaître Ta Proximité Absolue dans cet instant.
Tu m’offres cet instant.
Chaque instant est Ton Don… Et cela depuis toujours et pour toujours.
Chaque instant sera donc Ton Don.
À cet Instant se réunissent le passé et l’avenir.
Ce que je vois à cet instant, je ne l’ai jamais vu et je ne le verrai jamais plus.
À cet Instant, je suis mort… Et l’instant d’après je suis encore mort…
Je vis ma mort à chaque instant.
Il n’y a pas un Instant où je ne meurs !
Le nombre de mes morts est infini… Et à cet Instant, je meurs encore !
Je suis heureux de mourir à cet Instant.
Je ne mourrai jamais plus qu’à cet Instant.
Mais, à chaque Instant, je m’entraîne à mourir mieux.
Cet Instant est Unique et Éternel.
Cet Instant renaît, à chaque instant.
Vivre vraiment, c’est être de plus en plus heureux de mourir à cet instant.
Cet Instant est le seul que je vis… Les instants du passé sont des mémoires que je vis à cet Instant… Les instants du futur sont des possibles que je vis à cet Instant.
Là, à cet instant, je n’ai pas d’autres instants à vivre que cet Instant…
Cet instant contient tous les instants.
D’instant en instant, je vis l’Éternité.
Une rencontre ne dure que cet Instant.
Cet Instant est le moment de la rencontre « et » de la séparation.
Chaque instant est une séparation.
Nous nous sommes séparés autant de fois que nous avons vécu d’instants.
La rencontre que je vis à cet instant est sacrée…
La séparation que je vis à ce même instant est, elle aussi, sacrée !
Cet instant a fait partie de tous les possibles du passé, maintenant il est inscrit dans tous les possibles à venir.
Tu Es tous les instants que je vis : il ne peut donc pas y avoir d’instants meilleurs que d’autres.
Chaque instant exprime Ta Perfection;
Tous les mots sont des noms de Dieu : Instant en est un…
Quand je pense « Instant », je chante Ton Nom.
Chaque instant Te chante ! J’en suis toujours plus conscient…
Un mot ne peut pas Te nommer plus qu’un autre mot : « Instant » Te nomme comme tous les autres mots.
Si Tu Es Tout, et Tu Es Tout, un mot peut-il Te nommer plus qu’un autre ? Le mot « Instant » ne peut que Te nommer, comme tous les autres mots…
Chaque instant m’appelle, je le vis… puis je le quitte.
Ma vie n’est faite que d’instant.
Ma vie n’est faite que de « cet » Instant.
Instant, je T’adore.
Je jouis de cet Instant comme jamais !
Je ne revivrai jamais cet Instant… Mais tous le instants que je vis, c’est Toi que je vis pour toujours…
Un instant ne peut pas se regretter, il ne peut que se vivre à cet instant même…
Peut être qu’à un autre instant, je choisirai de vivre le regret de cet instant passé ? Mais alors, je le vivrai à ce nouvel instant.
Tout instant est Ton Présent Parfait… J’en suis de plus en plus conscient.
Tu es le cadeau de cet Instant, toujours !
L’Instant m’échappe toujours.
L’Instant se renouvelle sans cesse…
L’instant que je vis là, n’a jamais été vécu, ni par moi, ni par aucun autre Être.
L’Instant, c’est l’intimité absolue.
Et pourtant, nous vivons tous cet instant.
Je vis « mon » Instant pendant que l’autre vit « son » instant…
Nous ne pouvons jamais partager le même instant… et pourtant, nous le partageons toujours.
Je peux choisir d’être heureux de vivre « mon » instant…
Et l’autre peut choisir d’être heureux de vivre « son » instant…
Nous pouvons donc choisir d’être heureux au même Instant !
Nous nous sentons unis par la joie que nous choisissons de vivre nos instants ensemble.
Être heureux de vivre cet instant unique, c’est T’adorer.
Je suis en adoration chaque fois que je suis heureux de vivre l’instant.
Si, à cet instant, je suis heureux de boire du lait… alors je T’adore.
Si, à cet instant, je suis heureux de voir le ciel… Alors, là aussi, bien sûr, je T’adore.
L’adoration est naturelle, à chaque instant : je la vis à chaque fois que je suis heureux.
Être heureux à cet instant, c’est le meilleur choix que je puisse faire.
Je vis « pour » être heureux à cet Instant.
Chacun veut être heureux tout de suite, à cet instant même.
Nous choisissons notre vie à cet instant…
À cet instant, je choisis d’être heureux… Tout simplement en pensant, à cet instant, ce que je suis le plus heureux de penser !
Il n’y a pas un instant à perdre : soyons heureux de suite !
Chaque instant est l’occasion d’être heureux.
L’instant m’invite à la Joie… Je choisis, de plus en plus souvent, d’accepter son invitation.
D’instant en instant, j’aime jouer à être heureux;
Être heureux, c’est simple : il suffit qu’à cet instant j’ose penser ce que je suis le plus heureux de penser.
Être heureux, c’est notre but, à cet instant.
L’instant approche, je le vis… Il part ! L’instant suivant est déjà là !
D’instant en instant, je suis heureux.
Être heureux, c’est être de plus en plus heureux d’instant en instant.
Etc… Etc…
Voilà, cela suffit pour aujourd’hui. Je me suis offert de nombreux petits instants agréables… en écrivant avec ces règles…
Maintenant, je vais continuer en pensant.
J’écris un moment, et je m’en régale… Je pense toujours et je m’en régale également !
Un ami, qui a choisi « ÊtreSoi » comme pseudonyme, a fait, il y a quelques jours ce commentaire dont je le remercie :
« Parlons du futur… N’est-ce pas dans le moment présent que notre futur s’inscrit ? N’est-ce pas dés la pensée que l’on est heureux de penser en ce moment présent que ce futur s’invente ? En fait, s’invente-t-il ? N’est-ce pas par ces pensées heureuses en cette suite continue d’instants présents que nous nous proposons un futur heureux en son instant ? Alors nous sommes heureux de ce futur que nous ne connaissons pas, en continuant à penser d’instant en instant, des pensées que nous sommes heureux de penser… Ainsi, le futur ne se confond-il pas avec le présent ? »
Après avoir lu et relu, avec beaucoup de plaisir, ces pensées avec attention, j’avais écrit pendant plus d’une heure toutes une série de pensées que j’étais vraiment très heureux de penser en lisant ce joli commentaire fait par « ÊtreSoi »… Des pensées très belles, très inspirées… Enfin, c’est ce qu’elles me semblaient être !
Et puis, tout d’un coup, du fait d’une maladresse de ma part j’ai tout fait disparaître de mon ordinateur ! D’un seul coup !
Alors, là, voilà une bonne occasion de jouer au BeHappy que de choisir d’être heureux d’avoir perdu tout ce que j’avais été si heureux d’avoir écrit…
Et c’est ce que j’ai fait : tout de suite, dès que je me suis aperçu de mon erreur, dès que j’ai compris que je venais d’effacer complètement ces pages dont j’étais si fier, j’ai choisi d’être heureux.
« Dieu Est Tout », c’est la pensée fondamentale que je suis le plus heureux de penser à tout instant, celle qui est le point de départ de tous mes raisonnements, donc de toutes mes autres pensées…
Je reviens à elle sans cesse pour continuer ainsi à penser selon ma joie.
Et, si « Dieu Est Tout », Dieu est donc également ce que nous perdons !
Alors, instantanément, j’ai offert cette perte de mon texte à Dieu… Et comme chaque fois que j’ai eu la générosité de faire cette offrande, je suis très fier de moi… Je suis satisfait.
Quel confort d’être heureux de tout… et donc du « Tout » ! C’est tellement pratique ! Je le disais hier à mon ami G. lorsque nous roulions ensemble sur la route.
Nous ne pouvons pas revivre un instant deux fois… Mais nous pouvons toujours être heureux de l’instant que nous avons vécu.
Et ceci que nous l’ayons vécu l’instant juste précédent ou bien à n’importe quel autre instant de notre passé lointain… Que ce soit notre passé, soi-disant personnel, le passé de l’autre… Ou que ce soit le passé de toute l’humanité.
En effet, de mon point de vue, je ne vois pas de différence très nette entre mon passé, celui de l’autre et celui de toute l’humanité.
Grâce à mon ordinateur qui peut effacer si vite tout ce que j’ai écrit, en un instant, j’apprends à accomplir un deuil… de la façon la plus rapide et surtout la plus agréable qui soit.
Le passé est passé… Mais, quel qu’il soit, je suis libre, toujours libre, à cet instant d’en être heureux.
Le passé est une source inépuisable de joie pour celui qui sait l’aimer à cet instant présent.
Je vis un instant du Paradis, à cet instant même, chaque fois que j’ose être heureux de tout le passé.
Et toute la terre vivra (ou plutôt revivra) le Paradis, dès que tous les Êtres humains auront réussi, courageusement, à aimer, tous, le passé qu’ils ont vécu depuis qu’ils sont humains.
Ceci, semble-t-il, est un projet à long terme… Mais il se réalisera, sans aucun doute !
Et je veux, moi aussi, participer à la réalisation futur de ce projet parfait et inéluctable qu’est le retour du Paradis sur notre Terre.
Or, plus je suis heureux à cet instant, plus la vie au Paradis de la Terre entière approche.
Le futur est entre les mains de chacun de nous, les Êtres humains.
Nous sommes, tous les Êtres humains ensemble, responsables du futur que nous vivrons, mais également du futur que nous proposerons à tous les autres Êtres, animaux, végétaux et minéraux…
Chaque instant de notre existence est l’occasion d’ouvrir, un peu plus, notre conscience à l’Infini.
Et chaque faits dont nous ne sommes pas arrivé à reconnaître la Perfection est toujours revenu à notre conscience pour que nous puissions le reconnaître Parfait.
Et si nous n’y avons pas réussi il reviendra, car consciemment ou inconsciemment, notre but de vie, à nous, tous les Êtres de la Terre, est d’ouvrir notre conscience à cet Infini qui est Éternel…
C’est à dire d’être toujours plus heureux.
Je ne retrouverai pas, sans aucun doute, les pensées exactes que j’avais écrites et que mon ordinateur a, si gentiment, effacées.
Mais l’Âme, que je suis, est une source inépuisable de pensées que la Pensée, que je suis également, est heureuse de découvrir et que le Corps est heureux de manifester.
Comme le passé, le futur se vit au présent… Et seulement au présent !
Nous ne pouvons pas revivre notre passé dans le passé, puisque le passé est justement « passé ».
Mais, le passé est inscrit dans notre mémoire… Et heureux ou malheureux, nous pouvons nous en souvenir à cet instant présent, nous pouvons également en constater les résultats dans notre présent… Nous pouvons, à chaque instant, choisir, à nouveau, d’en être heureux ou malheureux.
Nous ne pouvons pas changer ces faits passés… Mais, c’est vrai que, d’une façon ou de l’autre, ils vont revenir à notre conscience pour que nous en soyons toujours plus heureux.
Pour prendre un exemple simple : il y a entre quarante et cinquante ans, alors que je dévalais une pente de montagne à fond la caisse, mon pied est entré dans un trou, mon corps a continué sa course et mon genou gauche a été tordu à l’envers et je me le suis fracturé gravement … Cela a été, je l’ai appris beaucoup plus tard une fracture intra-articulaire du plateau tibial interne.
 l’époque, j’ai choisi de simplement rester au lit pendant 2 mois pour permettre à la fracture de se guérir… Ce sont bien des années plus tard que des radios ont été faites. Elles ont montré un genoux complètement remodelé, complètement différent de l’autre.
Au cours des années qui ont suivi, et jusqu’à aujourd’hui, je n’ai pas pu faire que cet évènement n’ait pas existé : j’ai eu le genoux fracturé gravement… C’est un fait ! C’est un fait passé… qui a laissé des traces physiques et psychologiques… et spirituelles… Et à chaque instant, je peux gérer cela comme je l’entends !
Au début, j’ai été donc alité et j’avais très mal à mon genoux. Je n’ai pas, à l’époque, choisi d’éviter cela… De ce fait, je n’ai pu qu’apprendre, progressivement de mieux en mieux à être heureux d’avoir mal et d’être alité.
Ensuite, après probablement environ deux mois, je me suis levé et j’ai commencé à marcher avec une canne et avec beaucoup de douleurs… Et je me souviens qu’à l’époque je me suis inquiété pour mon avenir.
En effet, la douleur physique était importante et elle a duré pendant quelques mois, sans que j’en sois vraiment régulièrement heureux….
Mais, si je me souviens bien, finalement, cette douleur a duré jusqu’à ce que j’arrive à choisir d’en penser ce que j’étais, à l’époque, le plus heureux d’en penser…
J’ai donc choisi d’être heureux d’avoir mal… Et j’ai augmenté la joie d’avoir mal, de plus en plus chaque jour… Chaque fois que j’avais mal, je souriais et je remerciais cette douleur d’exister.
Et là, bientôt, les douleurs ont disparu ! Et il ne m’est plus resté qu’une impossibilité de plier le genoux complètement : je ne pouvais donc pas m’accroupir sur ce genoux… Mais cela n’était plus douloureux du tout.
Pendant une dizaine d’années, j’ai probablement un peu grandi en sagesse, comme tout un chacun… Et puis, je ne me souviens pas pourquoi, j’ai eu à nouveau mal à mon genoux et là, par contre, je me souviens très bien que mes pensées ont baissé de qualité à propos de mon genoux, à propos de la douleur que je ressentais à nouveau et à propos de mon avenir…
Et donc, une nouvelle fois, j’ai eu bien mal jusqu’à ce que je me décide, je m’en souviens très bien, à repenser ce que j’étais le plus heureux de penser… Encore mieux.
Et que ce soit à propos de mon genoux, de la douleur ou de mon futur, je me suis entraîné fortement à penser consciemment ce que j’étais le plus heureux de penser… Jusqu’à y arriver !
Et en quelque temps, non seulement je n’ai, à nouveau, plus eu mal, mais j’ai récupéré la totalité de la flexion de mon genoux. Cela m’a étonné… Cela faisait une dizaine d’année que la flexion de mon genoux était bloquée… Mais j’ai été fier et satisfait.
Et puis j’ai vécu, heureux de mon genoux déformé, mais efficace, jusqu’à aujourd’hui…
Lorsque j’y porte mon attention, je le sens différent de mon autre genoux… Mais hier, j’ai cependant pu aller me baigner dans un étang à 1500 mètres d’altitude grâce à une marche difficile de 3 heures aller et 3 heures retour… Et aujourd’hui, je vais faire une quinzaine de kilomètres à pied à partir de là où nous sommes logés, chez notre ami G.
Et la qualité du futur que je vais vivre dans cette vie et dans les autres est décidé par l’usage que je fais de mon libre arbitre pour vivre chaque instant, avec « ce » genoux.
Ce que je suis le plus heureux de penser, c’est que plus je suis heureux aujourd’hui, plus je serai heureux demain…
Plus je suis heureux dans cette vie, plus je serai heureux dans les autres…
Et ceci quelle que soit les difficultés temporaires que l’humanité, dont je fais partie, impose à toute la terre.
Mon futur ne dépend pas totalement de moi, car je ne suis qu’un Être humain parmi des milliards… Mais la Joie que j’ai à l’imaginer aujourd’hui et la Joie que j’aurai à le vivre à chaque instant, Elle, Elle ne dépend que de moi.
Deux petits artisans de la Lumière parmi tant d’autres, petit (■) et petit (●), communiquent sur bien des sujets qui n’ont peut-être pas tant d’importances…
…..
Tout est Lumière
Non ! Les opposés sont toujours, en réalité, des compléments.
Le « monde animal » et le « monde humain » : compléments ! Le « monde végétal » : complément des autres mondes minéraux, animaux et humain,
« l’homme et la femme » : non pas opposés, mais complément… etc.
Eh bien là, c’est la même chose : la notion de « chemin » avec la durée et la notion « d’instant » sans durée, c’est en réalité une seule et même chose, comme tout : ce sont des expressions de la même Lumière Unique !
… Silence…
●
C’est beau ! Ce concept-là, d’Unité de Tout ! Le vivre dans notre vie quotidienne, c’est une véritable aventure !
■
Toi ! C’est sûr ! Tu es aventureuse…
●
Dans la marche, je lève le pied là et je le repose là…
■
C’est le même mouvement… Attention ! Quand tu marches, tu as deux pieds qui se posent sur le sol alternativement…
●
C’est plus facile de poser le pied devant… Mais de lever le pied de derrière, c’est plus difficile…
■
Alors… Là, tu vois : tu émets une pensée… Tu es d’accord ?
Tu viens de penser et de dire : « Il est plus facile de poser le pied de devant que de lever celui qui est derrière » …
●
Oui, c’est vrai.
■
Mais, dis-moi : As-tu été, oui ou non, heureuse de penser cette pensée ?
Ou, pour te poser la question autrement : La source de cette pensées a-t-elle été ton Âme ou tes mémoires ?
●
Mes mémoires ! Bien sûr !
■
Tu en es sûre ?
●
Oui, c’est sûr !
■
Dans ce cas, n’hésite pas ! Maintenant que tu en as conscience ! Maintenant que « tu as ouvert les yeux », tu as vu !
Alors là, maintenant, tu peux « prendre le volant » … C’est à dire que, à partir de là, tu peux oser penser, maintenant, ce que tu es la plus heureuse de penser, ce que ton Âme te souffle !
Tu vas lui donner une forme… Il faut simplement l’exprimer !
Osons
Donc, si tu le veux, tu vas choisir de prendre conscience de l’ombre en toi, dans tes pensées, ou autour de toi, dans les pensées des autres… Et ensuite, tu vas choisir de penser à partir de la Lumière en toi, c’est à dire à partir de l’Âme… Et tac !
Je pourrais te dire : « Et ensuite, tu vas choisir de penser ce que tu es la plus heureuse de penser »… Cela veut dire exactement la même chose…
Et chaque fois que nous osons faire ce mouvement naturel, nous vivons un instant de joie ! Chaque fois que nous augmentons notre conscience de la Lumière, nous ressentons un mieux-être ! Toujours.
Il faut simplement créer une petite phrase qui va exprimer cette nouvelle vision que nous sommes en train d’imaginer, de choisir, à partir de notre conscience augmentée de la Lumière…
Et, à partir de là, cela va maintenant faire partie de nos mémoires, maintenant plus lumineuses… D’une part, notre mémoire personnelle et d’autre part, la mémoire de l’humanité sont alors plus élevées, plus belles.
●
Alors, je choisis de penser : « C’est vraiment une grande joie de mettre un pied devant l’autre, sans appréhension ! »
■
C’est parfait comme exemple… Voilà ! Bravo !
Il n’y a pas de contradiction de pieds… C’est un seul corps ! C’est un seul mouvement et le pied de devant va passer derrière et le pied de derrière va passer devant… Et le corps entier avance parce que c’est complet ! Là, il y a le mouvement…
Il n’y a pas un pied de devant qui n’est que devant tout le temps et un pied de derrière qui n’est que derrière tout le temps, sinon tu n’avances pas harmonieusement…
Sinon, tu sautilles ! Et nous ne pouvons pas sautiller très longtemps…
Ce sont des concepts évidents quand on les regarde avec l’Âme, mais ce sont des concepts qui contredisent des années et des années d’habitude de pensée que nous avions vécu dans la séparation, l’opposition, la comparaison, le combat etc…
Nous avons vécu dans ce combat permanent de deux opposés… Moi et l’autre… le féminin et le masculin… Prendre et donner… Offrir et recevoir… Justice et injustice… et bien sûr le bien et le mal ! Alors que tout cela n’est que la Lumière Parfaite !
Croire !
Et là, c’est fini : « Dieu est Tout » ! Nous en avons une conscience plus grande… Nous sommes « plus croyant » en un Dieu Unique, Infini, Éternel, Omniprésent, dont l’aspect est infiniment multiple !
Nous avons pu passer à cet instant d’une certaine incroyance que « Dieux n’est pas tout » … à une certaine croyance plus grande en « Dieu Un ».
C’est le miracle de la foi !
Silence…
À partir de là, pendant un moment, la conversation est difficile à entendre, car le bruit du ventilateur de l’ordinateur s’est fait trop puissant et occupe parfois tout l’espace sonore de l’enregistrement.
Alors ce ne sont, pour un moment, que des bribes plus ou moins longues, séparées par des absences de compréhension plus ou moins longues :
……………..
Mais ensuite, ça fait boule de neige.
Et évolue très vite… Mais, tu sais, c’est au début… Alors nous avons encore l’impression que ça ne bouge pas trop…
……………….
Là, le cerveau fonctionne d’une façon qui lui a été inhabituelle jusqu’à là… Il est obligé de créer de nouveaux circuits pour ces nouvelles pensées… C’est comme si tu apprends une danse que tu n’as jamais dansé : tout le corps doit arriver à faire de nouveaux mouvements…
……………….
Penser, c’est aussi « physique » bien sûr… Penser c’est « corporel »… Pour penser, il y a donc un effort agréable à faire qui est également physique !
Et c’est parce que les gens ne voulaient pas faire cet effort physique de penser, qu’ils n’y arrivaient pas…
En tous cas, on peut dire que le chef d’orchestre, c’est le Divin Lui-même, c’est à dire l’Âme en nous…
……………….
Ça, c’est le chemin, c’est constant… Mais où est-ce un problème ? Est-ce que c’est un problème d’être en train d’avancer ? Est-ce que « avancer », ce n’est pas « arriver » ?
Avancer, c’est bien arriver d’instant en instant…
………………
Mais, c’est évident : si on exige d’un bébé qu’il apprenne à marcher en une seule fois, il ne pourra pas le faire !
La répétition, c’est une Loi Divine ! Ce n’est donc pas une erreur humaine de répéter… Depuis toujours l’univers répète pour ouvrir sa conscience à la Lumière !
Nous, les Êtres humains, nous ne faisons que continuer à vivre selon cette Loi Divine de la Répétition.
……………….
Nous avons pris le temps que Dieu nous donne à chaque instant, en Lui, pour arriver à cet instant actuel.
Personne n’a jamais vécu un instant en dehors de Dieu ! Si Dieu est Tout, ce n’est pas possible… Quelqu’un peut vivre, à chaque instant, avec une certaine conscience et une certaine inconscience de Dieu, mais pas un instant en dehors de Dieu !
……………….
Ce n’est pas compliqué, puisque nous arrivons à aujourd’hui :
Nous avons donc bien avancé, nous avons donc bien évolué… comme tout l’univers !
……………….
C’est cette idée d’une « fin » que l’on retrouve dans toutes les religions et les démarches soi-disant spirituelles… avec le Paradis final, le Samadhi total etc… Cette idée, c’est que à un moment, nous pouvons arriver au bout de Dieu…
Mais ce que l’on appelle habituellement Dieu n’a pas de bout… Cette démarche d’ouverture de la conscience est donc Éternelle…
Bien sûr que tous les « bouts » sont en Dieu également… mais Dieu Infini n’a pas de bout, il contient tous les bouts que les hommes ont pu imaginer…
Il n’y a pas de bout à notre ouverture de conscience… Pour avoir conscience de l’Infini, il nous faut tout simplement l’Éternité.
………………
Le mouvement, c’est une prise de conscience toujours accrue de la Lumière… Et quand est-ce que l’on va arriver au bout de Dieu ?
Jamais !
………………
La conjugaison n’est pas un détail
Là, il faut faire attention à la conjugaison ! Les conjugaisons que les Êtres élevés nous ont léguées, à un moment, dans leur sagesse a une grande importance pour pouvoir fonctionner harmonieusement… Ainsi :
Il faut conjuguer au temps passé, ce dont nous parlons et qui est une mémoire du passé… Et le passé, c’est tout le passé depuis l’infini passé, jusqu’au dernier instant que l’on vient de vivre.
Il faut conjuguer au futur, ce dont nous parlons et qui n’est pas encore arrivé, mais dont nous avons une vision.
Il faut conjuguer au présent ce que nous vivons à cet instant. C’est à cet instant présent que s’exerce notre libre arbitre…
Notre conception du présent s’exprime au temps présent… Nous la choisissons au présent… avec notre libre pensée !
En effet, l’instant du choix, c’est tout de suite !
Nous choisissons au présent la pensée que nous choisissons d’avoir au présent… Nous ne pouvons pas faire autrement… Et cette liberté de conscience est merveilleuse !
Nous avons été enseignés autrement et nous-même nous avons enseigné aux autres autrement… C’est donc normal que cela nous soit présenté, à nous, de cette façon…
Ce que nous pensons à cet instant, ce que nous disons à cet instant, ce que nous faisons à cet instant défini seul ce que nous vivons à cet instant…
La libre conscience, ou libre arbitre, ne s’exerce qu’à cet instant… Elle ne peut s’exercer sur le passé ou sur le futur qu’en passant par le présent…
Elle s’exerce sur le vécu que je choisis d’avoir, « à cet instant », de mon passé : est-ce que je choisis de l’élever ou pas ? C’est à dire, est-ce que je choisis d’en être heureux ou pas ?
De même, c’est à cet instant présent que je choisis la relation que j’établis avec le futur. Suis-je heureux du futur dont j’ai la vision ou pas ?
Et tout cela, je ne peux le faire qu’à cet instant, l’instant du libre arbitre !
Le libre arbitre ne se conjugue qu’au présent
Le Libre arbitre ne se conjugue qu’au présent !
Notre libre arbitre, à cet instant, nous permet de choisir notre mémoire du passé ou notre vision du futur…
Et, à chaque instant, nous pouvons changer la mémoire que nous avons de notre passé ou la vision que nous avons de notre futur…
Le présent, c’est le plus important ! C’est là que je peux « choisir » !
« Maintenant », c’est l’instant du choix !
Seul le présent permet de transcender le passé et l’avenir.
………………
Qu’est-ce qui n’est pas Dieu ?
Tu as faim, c’est l’expérience de Dieu… Tu manges, c’est l’expérience de Dieu… Tu délires, c’est l’expérience de Dieu… Tu es sage, c’est l’expérience de Dieu… Tu regardes une poussière, c’est l’expérience de Dieu, etc.
………………
Nous voulons Le reconnaître de mieux en mieux, dans toutes les circonstances…
Alors, toi, tu as certainement accéléré beaucoup.
Sinon, tu n’aurais pas pu. En tout cas, si tu l’avais fait à un rythme « normal », c’est à dire à un rythme moyen, comme presque 8 milliards d’habitants de la planète, nous ne serions pas là, ensemble, à parler comme nous le faisons… Tu serais « normale » … Donc, tu vois bien…
●
Cela existait déjà…
■
Évidemment, que cela existait déjà, sinon, nous ne serions pas là !
Nous sommes en mouvement, comme tous les Êtres depuis toujours… La vie est en mouvement d’ouverture de conscience, depuis les minéraux, les végétaux, les animaux et puis depuis peu les humains… et donc nous…
Tu as choisis d’accélérer ta prise de conscience… tu as fait plus de pas à la seconde ou à la minute…Oui ! et cela n’est pas nouveau… Dans cette vie-ci, tu sais très bien, depuis ton enfance, que tu n’étais pas comme la majorité des autres, mais un peu décalée !
Il faut bien que certains d’entre nous avancent d’abord pour que les autres puissent avancer ensuite.
Mais, est-ce qu’un petit enfant a moins de valeur qu’un Être humain plus agé ?
Non, bien sûr !
●
En tous les cas, c’est quand même un concept très nouveau.
La nouveauté de toujours
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Non ! Ce concept est Éternel…
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La conscience du concept est nouvelle…
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Oui ! Tout ce concept était à la bonne place depuis toujours… Il ne nous a pas attendu pour exister depuis l’Éternité !
Et il fonctionnait parfaitement… et il continue à fonctionner parfaitement… Mais juste, à chaque instant, notre conscience nouvelle crée de nouveaux circuits neurologiques qui permettent cette nouvelle conscience en mouvement du même Concept Éternel…
Mais, ça ne fonctionne pas plus parfaitement maintenant que ça ne l’a toujours fait ! Car Dieu ne peut pas « dysfonctionner » … C’est notre conscience qui a pu soi-disant dysfonctionner ! Dieu, Lui a toujours été Parfait !
Il ne sera jamais plus Parfait qu’Il ne l’a jamais été.
●
La nourriture de cette conscience n’a-t-elle pas changé ?
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Sa nourriture a toujours été Parfaite… Sa seule nourriture est la Lumière Elle-même… Il n’y a rien d’autre pour nourrir notre conscience…
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Qu’est-ce qui peut changer, alors ?
À vraie question, vraie réponse
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C’est la question ! Quelle question va-t-on se poser ?
Va-t-on se poser la question de l’origine de notre pensée ? Sa source est-elle notre Âme ou nos mémoires ?
Est-ce que l’on va être assez courageux pour choisir nos concepts d’après notre Âme ? Ou bien est-ce que l’on va choisir de garder nos concepts d’après nos mémoires ?
Mais, c’est le même cerveau qui pensera et Tout est Parfait…
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Mais alors, pourquoi tant de gens souffrent-ils en choisissant leurs concepts à partir de le leurs mémoires ?
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Mais sont-ils moins parfaits que nous ? Sont-ils moins faits de la Lumière que nous ?
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Non ! Bien sûr !
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Leur conscience est juste : c’est la conscience qui est la bonne pour eux, à cet instant.
Chacun de nous a la conscience juste pour soi, à cet instant.
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Ce regard, porté… Alors, tout est bon ?
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Oui ! Tout est Lumière.
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Mais, ça c’est nouveau !
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Non ! Ce n’est pas nouveau du tout… ça a été enseigné, ré-enseigné… depuis que l’homme existe
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Mais, moi, c’est la première fois que je l’entends !
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C’est sûr que tu l’entends pour la première fois comme tu l’entends aujourd’hui !
Chaque instant étant unique, on n’a jamais pu entendre, dans notre passé, ce que l’on entend aujourd’hui comme on l’entend aujourd’hui… Ça, oui !
Mais ils l’ont dit, à l’époque de Pythagore, à l’époque de Socrate et de Platon et à de très nombreuses autres occasions… Nous l’avons entendu sous toutes les formes et dans toutes les langues… en égyptien, en grec, en latin, en français, en chinois …
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Mais qu’est-ce qui fait qu’on ne l’a pas entendu aussi bien ?
C’est la conscience qui fait toute la différence
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Notre conscience !
La conscience dont nous parlons, c’est la conscience de la Lumière ! N’est-ce pas ?
Il n’y a que deux positionnements possibles : soit j’augmente la vitesse d’ouverture de ma conscience de la Lumière à cet instant, soit je la diminue…
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Tu veux dire, « soit je l’arrête » ?
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Non ! Je ne peux jamais arrêter complètement l’ouverture de ma conscience : les minéraux n’y sont pas arrivés, les végétaux et les animaux non plus et bien sûr l’homme n’y est jamais arrivé et n’y arrivera jamais !
La conscience s’est toujours ouverte et elle s’ouvrira toujours, quelques erreurs que l’humain fasse pour en ralentir l’ouverture.
Les corps ont changé, mais l’ouverture de la conscience de la création a continué et continuera toujours !
L’ouverture de la conscience est une Loi Éternelle que l’on ne peut pas ne pas respecter !
Notre libre conscience, notre libre arbitre ne nous donne de pouvoir que sur « la vitesse d’ouverture de conscience » … mais pas sur l’ouverture de conscience elle-même : elle s’ouvrira de toutes les façons, comme elle s’est toujours ouverte depuis le début de cet univers !
Exister, c’est être une conscience qui s’ouvre !
Soit elle s’ouvre à sa vitesse naturelle, originelle, comme elle l’a toujours fait, sur la terre, avant que la libre conscience humaine n’apparaisse, il y a peut-être 150.000 à 400.000 ans…
Pour que cela continue chez nous, il suffit que l’homme pense toujours à partir de son Âme, c’est à dire de la Lumière en lui…
Au niveau bêtement pratique, il suffit que nous pensions toujours ce que nous sommes les plus heureux de penser… et rien d’autre ! C’est ainsi que la nature a toujours évolué et c’est ainsi qu’elle continuera à évoluer…
Soit la conscience de l’homme ne s’ouvre pas à sa vitesse naturelle, mais à une vitesse inférieure… et ce phénomène n’a pu exister que depuis que la libre conscience est apparue et que nous en avons fait un usage erroné…
Ce n’est donc que depuis le presque début de l’humanité que nous avons pu, librement, nous mettre à penser à partir de nos mémoires…
Et là, au niveau pratique, cela signifie que nous ne pensions pas ce que nous étions le plus heureux de penser, ou même que nous pensions carrément ce que nous n’étions pas du tout heureux de penser !
Et là, nous avons vu le résultat : beaucoup, beaucoup, de souffrance pour toute la terre !
Mais cette souffrance, n’est pas le signe d’un arrêt de l’ouverture de conscience, mais seulement d’un ralentissement de cette ouverture de conscience à une vitesse inférieure à la vitesse « naturelle » ou « originelle » …
Reprenons notre libre arbitre en main
D’où l’intérêt de reprendre un usage sain de notre libre arbitre… il s’agit simplement de l’utiliser pour penser, librement, à partir de notre Âme… de l’utiliser pour penser de mieux en mieux ce que nous sommes les plus heureux de penser…
Faisons actes de foi sur actes de foi pour rendre à notre libre conscience son fonctionnement originel.
Il s’agit d’agir d’une façon qui nous semble nouvelle, sans l’être réellement : pensons à partir de notre Âme et non pas poussés par nos mémoires…
Pensons humblement à partir de notre Âme, comme nous le faisions lorsque nous étions minéraux, puis lorsque nous étions végétaux, puis animaux…
Là, nous avions une conscience (minérale, végétale, puis animal) mais pas encore une « libre conscience ».
Choisissons notre vie
Si nous ne reconnaissons pas en nous le libre arbitre pour faire cela, nous ne pouvons pas le faire… C’est le facteur essentiel…
Bien sûr, il y a des conditions matérielles, il y a des conditions mentales et il y a des conditions spirituelles à l’exercices de notre libre conscience… mais, même ces conditions sont soumises à notre libre arbitre…
Et il faut que tout se mette en place pour que l’ouverture de notre conscience reprenne son « pas » naturel d’origine !
La vie est une ouverture de conscience depuis toujours… et, plus récemment, depuis le début de la création de cet univers !
C’est à dire que la vie est une ouverture de conscience depuis le Big Bang, qui est le nom que nous donnons pour l’instant au soi-disant début de cet univers qui est le nôtre… et à la conscience duquel nous avons de plus en plus accès…
Voilà, c’est la fin de ce 1er entretien qui avait duré 2 heure et que j’ai divisé en 8 parties, pour des raisons pratiques de lecture ou d’écoute.
Et si tout cela vous intéresse vraiment, alors vous pourrez bientôt, lire ou écouter le 2ème entretien que je diviserai probablement également en 8 parties…
Et puis viendra le 3ème entretien… et ainsi de suite, jusqu’au 8ème et derniers de cette 1ère série de 8 entretiens.
Merci de votre intérêt… Et n’hésitez pas à faire vos commentaires, il seront sans aucun doute très utiles pour tous. Je les modèrerai le mieux que je peux avant de les publier avec plaisir.