8 • Dormir…

Mercredi 17 Avril 2014

Quelles sont les pensées que j’ai observées en moi, pour l’instant, lorsque je dors peu, en tous les cas moins qu’à mon habitude…

Mon habitude et même toutes mes habitudes, résultent de pensées que j’ai l’habitude de penser… Et souvent la société m’a encouragé et m’encourage encore, tous les jours à les penser :

Par exemple : « On ne peut pas vivre sans dormir »… « Et on ne peut pas vivre bien sans dormir tant d’heures » … « On ne peut pas vivre sans manger »… Et « on ne peut pas vivre bien sans manger comme ceci ou comme cela et en telle ou telle quantité » …

J’ai moi-même reçu de telles informations… Et je les ai moi-même enseignées à mes patients… Mais pourtant, notre ami Spinoza, pour lequel j’ai tant de respect, nous dit : « Nul ne sait ce que peut le corps. »

Et c’est vrai que, sans cesse, nous découvrons que le corps peut faire des choses que nous pensions impossible auparavant.

Sans cesse, se manifestent des personnes qui font des choses, avec leur corps ou avec leur mental, qui n’ont jamais été faites, soit par peu de monde, soit même par personne…

Alors ?

7 • L’Être silicium

Lundi 15 Avril 2024

  

Il faut « simplement » reprendre conscience que « Seul Tu Existes » … Que « Tu Es Tout » …

C’est avec ces mots que j’ai fini mon dernier entraînement de BeHappy, le Samedi 13 Avril.

Simplement ?

Pourquoi ce qui est si simple nous semble si difficile à réaliser : Croire que « Tout est Un »… et l’exprimer… Puis le vivre !

Peut-être que c’est le fait d’une tradition millénaire de pratique de la pensée humaine que l’on a pas été heureux de penser, mais que nous avons tout de même pensé… par tradition.

C’est vrai qu’un caillou que l’on laisse tomber… Il tombe !

Peut-être que depuis des milliards d’années le caillou espère changer la direction de sa trajectoire, sans y arriver.

Mais, si nous le suivons au cours de ces milliards d’années, il y est quand même parfois arrivé !

Comment cela, il y est arrivé, parfois ?

Eh bien ! Si l’on prend comme exemple, un atome de silice, c’est bien du caillou, du minéral… Et cela l’est toujours de nos jours. Suivons son évolution… Par exemple imaginons des atomes de silicium agrégées, un caillou de silice, qui faisaient partie d’une météorite qui a navigué, pendant des milliards d’années, dans notre univers… 

Maîtrisait-il sa direction ?

Mais, me dira-t-on, « Ces atomes de silicium ne pouvaient pas « vouloir » changer de direction ! »

Là, nous démarrons avec l’idée que les atomes de silicium ne pensent pas. Et ensuite, nous allons raisonner à leur propos sur cette pensée de base : l’Être silice ne pense pas !

Mais notre but, là, à cet instant, comme toujours, c’est bien d’être heureux… C’est à dire toujours plus heureux. N’est-ce pas ?

Nous sommes bien d’accord ? Que nous soyons heureux, c’est bien le plus important pour moi et pour tous les Êtres.

Et qui, sur cette planète et ailleurs, a été heureux en pensant ce qu’il n’était pas heureux de penser ? 

Moi, je n’ai jamais réussi à le faire… Et, dans cette vie, je n’ai jamais vu quiconque réussir à le faire… Jamais !

« Jamais », c’est solide. Je veux dire ce sont des résultats statistiques les plus sûres, les plus scientifiques, qui soient.

Eh bien, ce sont mes statistiques et celles de tous les gens que je rencontre depuis toujours : c’est un fait démontré à chaque instant de nos vies… Personne ne vit, et n’a jamais vécu, un instant de bonheur en pensant ce qu’il n’était pas heureux de penser… 

En pensant ce que nous ne sommes pas heureux de penser, nous pouvons, parfois, vivre un instant de « soulagement » … Mais pas un instant de bonheur ! Nous pouvons oublier que nous souffrons encore bien plus en pensant ce que nous ne sommes pas heureux de penser… C’est comme un train qui peut en cacher un autre !

Nous pouvons croire qu’une souffrance peut, pour un temps, en cacher une autre de plus grande. Mais cela n’a rien à voir avec « être heureux ».

Être heureux, c’est être « toujours plus heureux ».

Ce n’est pas cacher une mémoire de souffrance très grande par une autre souffrance aussi grande. Ce n’est pas arriver à boire une bouteille de whisky par jour pour pouvoir continuer à cacher à tous que j’ai été violée à l’âge de 14 ans… Cette personne s’est seulement soulagée d’une souffrance immense par une souffrance autre. Personne ne boit une bouteille de whisky par jour parce qu’il heureux de le faire ! Ça, c’est sûr.

Bien ! Revenons à notre sujet ! Mais en avons-nous vraiment changé ?

Donc, je choisis de penser, tout de suite, ce que je suis heureux de penser, ce que je suis même le plus heureux de penser à cet instant… Comme cela ! Cash !

Et, à cet instant, ce que je suis le plus heureux de penser à propos de l’Être silicium, c’est qu’il pense.

Oui, je suis plus heureux de penser que le silicium pense, plutôt que de penser qu’il ne pense pas… Alors, je le pense, je le pense librement !

Bien sûr, il pense minéralement… Et notre science humaine ne s’est pas encore occupée d’étudier la « pensée minérale »… Elle commence à peine à effleurer l’étude de la pensée animale… Et, il faut bien le reconnaître, elle n’a pas encore compris grand chose à la pensée humaine qui est un immense point d’interrogation pour la science.

J’imagine la pensée minérale de l’Être silicium comme une pensée très lente, très, très lente, mais très pure… avec le même but, exactement le même, que ma pensée humaine : ouvrir sa conscience ! C’est à dire exister toujours plus heureux en pensant toujours plus ce qu’il est le plus heureux de penser…

Un jour, après des milliards d’année de vie de silicium, cet atome qui est le Corps d’une Âme et d’une Pensée, donc d’un Être, comme tout ce qui existe, cet atome s’arrête sur notre terre en formation avec la météorite qui le véhiculait…

Là, il a bien déjà changé sa direction et son mouvement… Maintenant, il fait partie de notre terre… Et comme tout ce qui existe, il a évolué. À son rythme bien sûr !

Maintenant, il participe à une ellipse beaucoup plus petite, il tourne avec la terre pendant encore quelques milliard d’années… Imaginons qu’il se soit intégré à la croute terrestre la plus superficielle… Et il tourne, il tourne avec elle… Il ne vit pas le même mouvement que lorsque il faisait partie de la météorite.

Ça, c’est un mouvement qu’il n’avait jamais vécu, cet atome… Il a bien donc changé sa tradition, une tradition vieille de milliards et de milliards d’années… Nous, humains, il nous semble immobile, mais il bouge… Et sa Pensée a bien sûr changée… Elle a pris un virage, comme son Corps. Et l’Âme, qu’il est, a également évoluée, comme son Corps !

La Pensée d’un Être ne peut pas être séparée de son Corps, ni de son Âme. Tout ce qui existe est à la fois Âme, Corps et Pensée… C’est vraiment là ce que je suis le plus heureux de penser ! Alors je le pense librement ! Je choisis librement de le penser… 

Je suis, comme tous les Êtres à cet instant… et bien sûr comme l’Être silice : Âme, Corps et Pensée…

Bien ! Maintenant, ce que je suis le plus heureux de penser c’est que, finalement, cet atome de silice, s’associe étroitement avec plein d’autres Êtres en formation : il participe, par exemple, à la constitution d’une plante terrestre… Puis il participe à l’humus que devient cette plante… Puis il participe à la constitution d’une autre plante… etc.

Là, il est encore dans un autre mouvement de son Corps et donc de sa Pensée et de son Âme qui sont, ensemble, un seul et même Être… Cet Être participe à l’existence d’innombrables autres Êtres.

Sa vie a vraiment encore complètement changée… Il est toujours minéral, mais il s’est associé avec d’autres minéraux et la plante, et l’humus sont apparus… grâce à lui et à de nombreux autres atomes qui sont chacun des Êtres. Tous ces Êtres se sont associés pour permettre l’apparition d’un autre Être : plante, humus etc…

Bien ! Quelques milliard d’années passent, avec des expériences toujours nouvelles : participation à de nouvelles plantes, à un autre humus, à de l’eau et même à de l’atmosphère… L’Être silicium se déplace toujours plus, sur notre terre. Il fait de nouvelle expérience et à chaque fois, sa mémoire s’enrichit…

Maintenant, ce que je suis heureux d’imaginer, donc de penser, c’est que, pour la première fois, un animal l’intègre à son Corps en se nourrissant de la plante dans laquelle cet atome de silice se trouvait à ce moment là…

Et voilà, pour lui, une nouvelle aventure qui lui permet d’évoluer encore plus… Ses mouvements se diversifient encore énormément ! Il participe à des groupes d’atomes de plus en plus complexes. Et son Corps bouge de plus en plus : que de voyages, il fait !

On dit que les voyages forment la jeunesse… Eh bien, tous ces changements, tous ces voyages forment la jeunesse de notre atome de silice… 

Il apprend toujours plus : son Corps change de relation avec ces entourages avec lesquels il interagit à des rythmes toujours plus accéléré, sa Pensée change de même, ainsi que l’Âme qu’il est.

Tout cela change de plus en plus vite… Et le voilà peut-être en train de participer à la vie d’un loup, puis il y a quelques dizaine de millier d’année d’un chien… Et puis il existe peut-être dans le corps d’un Être humain ! Ou peut-être dans son cerveau, ou même dans la puce d’un ordinateur, extension du cerveau de l’Être humain.

Là, il continue l’expérience de l’ouverture de sa conscience en conversant à des rythmes de plus en plus intenses… Il participe à des pensées de plus en plus complexes… Il en est le Corps.

L’Être qu’il est n’est plus le même. Le Corps de cet Être Silicium vit des expériences toujours nouvelles. Sa Pensée s’ouvre. Son Âme vibre toujours plus haut… Comme l’Être que je suis… Comme tous les Êtres de l’Univers… Comme l’Être Univers lui-même.

Je ne sais plus trop où j’en étais… Je ne me souviens plus trop d’où je suis parti… Mais je sais combien je me régale de penser… de penser ce que je suis le plus heureux de penser. De m’amuser à penser… De m’amuser à vivre.

Quel plaisir, toujours renouvelé, c’est de penser librement guidé par ce sentiment d’unité de Tout… Ce Tout que Tu Es, depuis toujours et pour toujours…

Tout s’élève en Toi… La Pensée s’ouvre en tout Être, le Corps de tout Être évolue, l’Âme de tout Être s’élève

Et nous avons tous besoin, à la fois, de la tradition et de l’innovation.

  

6 • En écoutant Bach…

Dimanche 14 Avril 2024

  

En écoutant cette Toccata et Fugue en D mineur, encore et encore une douce tristesse me prend de nouveau…

Je me souviens…

Je me souviens du jeu d’orgue merveilleux… Je me souviens de l’image sur la pochette du disque vinyle…. Je me souviens de l’électrophone qui jouait et rejouait cette pièce de musique… Comme si c’était hier !

En 1967, après les examens de fin d’année, j’étais sur le balcon de ma chambre universitaire à Montpellier et j’écoutais sans fin pour la millième fois, ce disque vinyle…

Et c’est là… dans la chaleur de ce mois de juin ! C’est là, la première fois que j’ai pensé d’une façon tout à fait nouvelle à Toi… Toi que j’ai appelé le plus souvent Dieu et que, maintenant, je peux appeler de tous les noms.

L’Infini, l’Éternité, l’Omniprésence, la Beauté, la Vérité… C’est ce que j’ai perçu d’une façon nouvelle à cet instant, dont je me souviens comme si j’y étais…

Là, j’ai commencé à sortir de l’enfance.

Et depuis je Te nomme, tous les jours, avec toujours plus de conscience… Et cela continuera toujours… Comment pourrais-je arriver au bout de Toi, Toi l’Infini, Toi qui n’a pas de bout, ni dans le temps, ni dans l’espace, ni dans la beauté…

Je suis si heureux de ne voir aucune fin à Ta Beauté… Voir la vie toujours plus belle… Avoir toujours plus envie de la découvrir encore… Quand je la déguste, je suis calme, confiant… Je sais que je pourrais la déguster demain encore plus qu’aujourd’hui…

Sentiment d’abondance.

Tu as tous les goûts… Et je Te goûte sans fin… Tu m’offres la Perfection et lorsque je pense « C’est Parfait », je sais maintenant, avec certitude, que demain, ce sera encore plus Parfait.

Mais comment ce qui est Parfait peut-il être encore plus Parfait ?

Ça, c’est Ton Mystère et j’ai vraiment le sentiment de ne rien y comprendre… Et pourtant, en même temps, je sais que je le comprends un peu mieux, tous les jours…

Tout ce que je ne comprends pas, c’est Ta Perfection et tout ce que je comprends, c’est Ta Perfection, également.

Je ne me lasse pas de vivre, de Te vivre !

J’aime tant ce monde dans lequel je vis… Je l’aime tel qu’il est… Il a toujours été facile, pour la plupart d’entre nous, d’aimer la joie du monde, mais je vois que beaucoup se demandent : « Comment aimer autant de souffrance ? »

Et pourtant cela me semble, maintenant, si simple. Je le décide… Je le pense… et je le vis… C’est ma liberté. C’est la Liberté que Tu me donnes, comme à tous, bien sûr !

C’est ce fameux « Libre Arbitre » qui nous permet de choisir notre conscience, c’est à dire de penser ce que nous sommes les plus heureux de penser, à chaque instant… Ou pas !

Ta Joie est la nature de tout ce qui existe. Le minéral, lui, ne peut pas en douter, il La vit. Le végétal ne peut pas en douter, il vit également Ta Joie. L’animal ne peut pas en douter, lui non plus, et il La vit également… sans frein.

Mais l’homme ? Lui, pourquoi ne manifeste-t-ils pas toujours Ta Joie ? Pourquoi ne vit-il pas Ta Joie à chaque instant ?

Comme tout ce qui existe, l’homme n’est-il pas, lui aussi, heureux par nature ?

Si, bien sûr, mais…

Mais, sur notre terre, ce qui nous différencie, nous les Êtres humains, des autres Êtres, c’est notre Libre Arbitre, notre Libre Conscience, notre Libre Pensée. Ainsi, nous, les Êtres humains pouvons choisir librement notre conscience.

Grâce à ce libre arbitre, nous pouvons, bien sûr, comme tout le reste de Ta Création, choisir « librement », maintenant, d’être conscient de Ta Joie qui est Son Essence.

Mais, grâce à ce même libre arbitre, nous pouvons aussi choisir, tout aussi librement, de ne pas être conscient de cette Joie Absolue qui est pourtant toujours l’Essence de Ta création.

C’est ça le libre arbitre !

Les Êtres minéraux, les Êtres végétaux, les Êtres animaux, eux, ne peuvent pas perdre conscience de Ta Réalité, ils la pensent tous et la vivent tous, chacun bien sûr à son niveau de conscience.

Et, à chaque époque de leur existence, ils grandissent en conscience à leur rythme naturel, sans pouvoir questionner cette ouverture de conscience originelle.

Par le simple fait qu’ils existent, leur conscience s’ouvre. Elle s’ouvre à sa vitesse naturelle, à sa vitesse originelle, comme elle aurait dû continuer de le faire chez nous, les Êtres humains…

Mais cette Être humain, lui, au presque début de l’humanité, il a choisit de perdre conscience de Ta Lumière. Il a utilisé son nouveau libre arbitre pour penser « librement » ce qu’il n’était pas heureux de penser… Il a choisi, « librement », de perdre conscience de Ta Lumière qui est son Essence.

Quelle maladresse ! Quelle erreur !

Et quel résultat !

Mais, c’est cependant, également ce même libre arbitre qui va lui permettre, qui va « nous » permettre, à chacun des Êtres humains que nous sommes, de choisir à nouveau… et de « librement » penser à partir de Ta Lumière et non à partir de nos mémoires que nous avons mises en place depuis cette perte de conscience de Ta Lumière.

Qu’est-ce que 1000 ans, 2000 ans, 3000 ans pour Ta Création Eternelle ? Qu’est-ce à côté des 100.000 à 400.000 ans de l’existence de l’erreur humaine et des milliards d’années de Ta Perfection ?

La Vérité est toujours plus belle que ce que nous pouvons l’imaginer.

Mais imaginons-la, pensons-la, librement, toujours plus belle !

Gandhi nous a dit : « Sois ce que tu veux que le monde devienne ».

Soyons ce que nous voulons que notre monde devienne.

J’ai confiance.

5 • Pense-bête

Samedi 13 Avril 2024

  

Un soleil magnifique… Bien agréable ce printemps !

Mais, maintenant, je vais m’entraîner à penser des pensées que je suis heureux de penser à propos du sommeil… Et puis probablement que je dériverai, plus ou moins vite, sur d’autres sujets, comme d’habitude.

Ce sont là mes  « gammes ». Ces gammes que je fais régulièrement, presque tous les matins, pour améliorer sans cesse mon jeux de pensées…

C’est ce jeux, que je joue en réalité toutes mes journées, que j’appelle depuis une quarantaine d’années le « BeHappy »… Et c’est pour cela que j’ai nommé le blog que je suis en train de mettre en place sur l’internet « BeHappy8″… « 8 » étant le symbole pour « Infini ».

  

Alors, voilà quelques nouvelles pensées que je suis heureux de penser à propos du sommeil :

J’aime dormir.

Je suis heureux de dormir comme je dors.

Le sommeil est mon ami.

Je suis si heureux de me réveiller la nuit.

Plus je suis heureux de me réveiller, plus agréablement je me rendors.

Dans mon sommeil, ce que j’aime, c’est… tout : m’endormir, dormir… et me réveiller.

Dormir est un plaisir toujours renouvelé.

Je dors parfaitement bien.

Plus je suis heureux de dormir comme je dors, plus ma vie est belle.

J’aime ma vie, telle qu’elle est.

J’aime mon passé.

J’aime toutes mes mémoires.

Aujourd’hui, je suis heureux d’avoir pensé tant de pensée que je n’ai pas été heureux de penser au moment où je les ai pensées.

J’aime toutes les règles que j’ai mis en place au cours de ma vie à propos de mon sommeil ou du sommeil des autres.

Mais, ma règle fondamentale de vie, c’est « Être heureux de Tout ».

Je suis heureux de Tout ce qui est, de Tout ce qui a été et de Tout ce qui sera.

« Tout », c’est Toi… Toi que l’on nomme souvent « Dieu », mais qui est Tout ce que l’on peut nommer.

Par exemple : « sommeil », c’est un de Tes noms.

Je suis donc heureux de Toi en tant que « Sommeil ».

Je mets souvent une majuscule à Ton Nom, mais pas toujours ! Sinon, il faudrait que je mette une majuscule à tous les mots que j’écris ou même que j’écrive Tout en Majuscule, puisque chaque lettre ne peut être que Toi… si Tu Es Tout…

Et je suis heureux de penser que Tu Es Tout.

Donc, en pratique, je ne mets une majuscule à certain de Tes Noms que comme un « pense-bête », pour me rappeler de temps en temps que c’est bien de Toi que je parle… Que c’est Toi que je pense… Et que je ne peux penser que « Toi » ! Et le reste du temps, eh bien, je ne mets pas de majuscule à Tes Noms… Alors que c’est bien toujours Toi que je pense !

En effet penser, c’est toujours « Te » penser.

Finalement, je n’ai qu’une logique hypersimple, c’est d’être toujours heureux de Te Vivre…

Pour le dire autrement, je veux T’adorer de chaque instant que je vis… Ou encore : je veux T’offrir chaque instant que Tu m’Offres…

Ma logique est extrêmement simple, voir minimaliste… Sa pensée fondamentale, au sens de la pensée qui en est le fondement, c’est que « TU ES TOUT »… 

Tu Es Tout… Et puis, c’est tout !

A partir de là, je choisis en permanence d’être heureux de Te vivre, sous toutes les Formes Infinies qui se présentent à ma conscience.

Cette attitude, parce que c’est celle que « je » suis, « moi-même », heureux de cultiver, m’a permis d’être de plus en plus heureux. Et je vois bien que toutes les personnes qui sont heureuses de jouer à ce jeux que j’appelle « le jeu de BeHappy » sont de plus en plus heureuses…

Bien sûr, chacune d’elles le joue à sa façon… A sa façon unique… Personne ne peut vivre quoi que ce soit de la même façon… Personne ne peut être heureux de la même façon… Personne ne peut, non plus, souffrir de la même façon.

Finalement, le BeHappy n’est qu’une des versions les plus simples du Jeu de la Vie. Je l’imagine parfois comme le « 0 » et le « 1 » qui sont à la base de toute l’informatique et qui permettent pourtant des systèmes toujours plus complexes.

A chaque instant, je n’ai que deux options de jeu. Soit je suis heureux, soit je ne suis pas heureux. 

« Être heureux », c’est simplement avoir conscience que c’est « Toi » que je vis… 

« Ne pas être heureux », c’est simplement ne pas avoir conscience que c’est « Toi » que je vis… 

Mais je « Te » vis dans les deux cas, car si « Tu Es Tout », je ne peux vivre que Toi.

Par exemple, si j’ai dormi en une seule traite toute ma nuit de sommeil, c’est Toi que j’ai dormi… Et si j’en suis conscient, je suis heureux de ma nuit… Je suis heureux de « T’avoir dormi » !

Par contre, si je me suis réveillé quatre fois dans ma nuit de sommeil, c’est Toi que j’ai « dormi », et c’est Toi que j’ai « réveillé », puisque Tu Est Tout… Et si j’en suis conscient, je suis heureux. Et c’est ainsi que je suis heureux d’avoir vécu ce que beaucoup appelleraient une « mauvaise nuit » et que moi j’appelle une « Nuit Parfaite »… ou bien « Ta Nuit » !

C’est comme cela que, depuis des années, je m’entraine à reconnaître Ta Perfection en toute chose, que la tradition l’ait pensée « bonne » ou « mauvaise » !

Pour moi, la tradition est à aimer, en totalité, parce qu’elle n’est que Toi… 

Jésus as dit : « Aimez votre Ennemi »… « Aimez Tout, y compris votre Ennemi ». Et combien nombreux ont été ceux qui ont, de leur mieux possible, appliqué dans leur vies ces paroles… La majorité des Êtres humains l’ont fait, depuis toujours et toujours mieux… Mais, c’est une majorité silencieuse, la plupart du temps discrète…

« Les gens heureux n’ont pas d’histoire » nous dit le dicton.

Ce sont les gens qui ne sont pas conscients qu’ils sont heureux qui font « l’histoire »…

La souffrance fait toujours du bruit… pour être aimée ! Quelle maladresse ? Mais est-ce vraiment une maladresse ? Ou bien est-ce la seule façon d’obtenir sa guérison…

C’est un peu comme un mur impeccablement blanc, mais qui a une seule tache noire, toute petite ! Où notre attention va-t-elle se porter le plus ? Sur la tache noire, bien sûr ! Mais cela fait-il que tout le mur est noir ? Non, c’est un mur tout blanc avec une toute petite tache noir !

Et si nous voulons qu’il n’y ait plus de tache sur ce mur blanc, il nous faudra « Aimer notre ennemi », c’est à dire reprendre conscience que cette tache noire n’est que Ta Blancheur dont nous avions perdu conscience… C’est à dire qu’il faut simplement reprendre conscience que « Seule Tu Existes »… Que « Tu Es Tout » ! « Vraiment Tout » …

4 • Tradition et Innovation

Vendredi 12 Avril 2024

Eh voilà ! Je me réveille une nouvelle fois… Et je choisis d’être heureux encore une fois.

Être heureux, c’est un choix… Et c’est mon choix. Je suis heureux chaque fois que je suis conscient que je suis heureux…

Et j’en suis conscient en le pensant, tout simplement…

En le pensant, quels que soient les évènements, c’est à dire les faits.

Penser, c’est voter !

Chaque fois que je pense, je choisis le monde de demain.

Si je choisis d’être heureux de ce que je pense, au même moment, je choisis d’être heureux de ce que je vis, je choisis d’être heureux du monde…

La conséquence ? Je vis une vie plus agréable et le monde s’améliore.

Les Êtres humains sont insatisfaits chaque fois qu’ils pensent ce qu’ils ne sont pas heureux de penser… Pour se vivre plus heureux, il suffit qu’ils osent se poser une question essentielle :

“Qu’est-ce que je suis le plus heureux ou la plus heureuse de penser à cet instant ?” Et qu’ils osent répondre avec vérité !

Le plus grand des courages, c’est de penser ce que nous sommes les plus heureux de penser… qui est, c’est vrai, le plus souvent bien différent de ce que notre troupeau pense !

C’est toute la question à laquelle j’ai pensée cette nuit… La question de la complémentarité entre “la tradition” et “l’innovation”… Mais aussi entre ma droite et ma gauche… Entre le haut et le bas… Entre ici et là-bas… Entre le passé et l’avenir… Entre moi et les autres…

Voici, par exemple, ce qu’a dit mon ami Alphonse de Lamartine à propos de la tradition et de l’innovation :

“ Deux forces opposées régissent le monde moral : la tradition et l’innovation, autrement dit, l’autorité et la liberté.

Elles le maintiennent à la fois en équilibre et en mouvement. 

La religion établie est la plus imposante des traditions.

La raison, l’examen, la discussion, la liberté sont les forces d’innovation. 

Leur puissance, au lieu d’être dans l’immuable, est au contraire dans leur perpétuelle recherche et dans leur transformation continue. 

Ces deux forces méritent un égal respect car l’une et l’autre sont de Dieu. 

Avec l’idée immobilisée dans une institution immuable, la pensée humaine tarit, faute de renouvellement, l’humanité s’engourdit, la société ou la nation tombent en assoupissement ou en servitude.

Avec l’innovation seule, la société se précipite et tombe en poussière par l’accélération désordonnée et sans contrepoids de la pensée. Il faut que ces deux forces soient représentées et servies dans leur juste mesure. ”

Nous étudierons un jour les paroles de Lamartine pour rebondir dessus…

Ces deux forces, “la tradition” et “l’innovation” ne sont pas opposées, mais bien complémentaires, c’est ce que nous a expliqué Lamartine, avec ses paroles toujours si harmonieuses.

Alphonse de Lamartine est mort à 78 ans, il y a 155 ans

3 • Le Sommeil du Juste

Mercredi 10 Avril 2024

Mon but ultime, à chaque instant, c’est d’être heureux.

Par exemple, mon but, dans ma vie n’est pas de dormir ou d’être éveillé… Mais bien d’être heureux ! D’être heureux que je dorme ou que je sois éveillé…

Donc d’être heureux de dormir, lorsque je dors et d’être heureux d’être éveillé lorsque je suis éveillé.

Je ne veux pas, en effet, par exemple, être heureux à la condition que je dorme 7 heures par nuit… Non ! Je veux être heureux de dormir ce que je dors et heureux de me réveiller, comme j’ai été heureux de m’endormir… Et puis c’est tout !

Dans mon passé, celui de cette vie-ci et probablement celui de mes nombreuses autres vies humaines, j’ai finalement beaucoup appris à « calculer » mon sommeil, comme également à « calculer » ma nourriture etc…

Bien sûr, chaque fois que j’ai été heureux de calculer mes heures de sommeil, cela a pu peut-être être une forme de mon bonheur et non une condition de mon bonheur… Mais, cela a-t-il été souvent le cas ?

Non ! Je le reconnais bien volontier aujourd’hui… Je ne pense pas avoir été souvent heureux de « calculer » mon sommeil ou mon alimentation et de faire de ce calcul la condition de mon bonheur…

Comme par exemple : « Je ne serais heureux que si je dors tant d’heures » ou bien « Je ne serais heureux que si je mange moins de sucre », etc.

C’était là un bonheur conditionné et donc bien fragile !

Peut-être même que je n’ai jamais été heureux de le faire! Car ce qui m’intéresse vraiment et qui seul m’a toujours intéressé, c’est d’être heureux sans condition… Sans aucune condition !

Je ne veux pas être heureux à condition de quelque chose, ni à condition de n’importe quoi !

Comme là, à cet instant, je ne veux pas être heureux à condition que j’écrive très bien. Je veux, simplement, être heureux « écrivant »…

C’est à dire que je veux être heureux que j’écrive ou pas et que j’écrive bien ou pas. Et comme là, à cet instant, j’écris sur mon ordinateur, je choisis d’être heureux « d’écrire sur mon ordinateur » comment que j’écrive…

Et puis c’est tout !

Aucune conditions à mon bonheur ne m’intéressent, sauf celles que je suis heureux d’avoir et le temps que je suis heureux de les avoir…

Mais là, je suis très exigeant et, par exemple, je me pose, alors, la question : « Est-ce que je suis heureux de mettre telle condition à mon bonheur ? »

Et, là, je suis bien obligé de reconnaître que rares sont les « Oui » spontanés qui répondent à cette question…

La très grande majorité du temps, c’est « Non »… Non, je préfère être heureux sans aucune condition, vraiment aucune !

Je préfère être heureux de dormir comme je dors, comme j’ai dormi et comme je dormirai, sans y mettre aucune condition.

Mais comment ? Comment abandonner « toutes » les conditions que l’ombre de l’humanité, que j’aime tant pourtant, m’a encouragé, depuis des millénaires, à mettre en place pour mon bonheur ?

« L’ombre », c’est tout simplement la Lumière dont j’ai perdue conscience…

Une paraphrase de cela serait de dire que « le mal » est la Perfection dont j’ai perdu conscience…

Je crois en effet, depuis longtemps, que « c’est la conscience qui fait toute la différence »…

Ma conscience, c’est ma pensée… Si je pense par exemple « La Lumière n’existe pas », je choisis là de perdre conscience que la Lumière existe…

Et je suis bien libre de le faire… Je suis libre de ma pensée… J’ai, comme tous les Êtres humains, ce que l’on appelle le Libre-Arbitre…

Mais, attention ! C’est ce que je pense qui définit ce que je vis…

Si quelqu’un pense différemment de moi, ce qui est toujours le cas, cette Être vivra une autre vie que la mienne, ce qui est également toujours le cas.

En effet quel Être vit la même vie qu’un autre Être ? Aucun ! Je ne vis la vie de personne d’autre et aucun Être ne vit ma vie… Ça, c’est sûr !

Bon ! À cet instant, je choisis de penser que la Vie est Parfaite… Et hop ! Je vis ma Vie Parfaite…

Mais si quelqu’un pense que la Perfection n’existe pas… Eh bien, hop ! Lui, il vit sa Vie imparfaite…

Pour moi, nous ne sommes différents que par notre conscience, puisque je pense que la Vie est toujours Parfaite, que ce soit la mienne ou la sienne et que lui pense que la Vie est imparfaite, en particulier, peut-être la sienne.

Chacun de nous vit donc ce qu’il pense… Et c’est Parfait ! Bien sûr ! Heureusement que c’est comme cela…

Heureusement ?

Oui, car c’est ce qui garantie que nous pouvons, lorsque nous le désirons, choisir de penser différemment et ainsi vivre différemment…

Par exemple, disons que quelqu’un pensait que la Vie était imparfaite depuis toujours, et vivait donc sa Vie « imparfaitement » depuis toujours !

Eh bien, si a un moment donné il choisit, librement, de penser que la Vie est Parfaite, il va maintenant vivre « sa Vie » bien différemment. Il va vivre sa Vie Parfaite !

Et à tout instant, il est libre de le faire… S’il le choisit.

Mais, c’est vrai que pour faire cela, il lui faut un grand courage.

Il faut en effet un grand courage pour penser différemment que les gens que vous aimez et respectez…

Depuis toutes nos vies de mammifères il a toujours été dangereux de s’éloigner de notre groupe !

Et ce qui nous a permis de rester plus longtemps dans nos corps de mammifères pendant des millions et des millions d’années peut être maintenant, parfois, un obstacle à l’expression de notre libre arbitre.

Pour revenir à notre sujet du début, il faut donc un grand courage pour dormir le Sommeil du Juste…

Il faut beaucoup de courage pour dormir, seulement par joie et pour aucune autre raison…

Cela veut dire, en effet, qu’il faut, déjà au minimum, que j’ose être parfaitement heureux d’être éveillé, parfaitement heureux d’être fatigué, parfaitement heureux de me reposer, parfaitement heureux de m’endormir, parfaitement heureux de dormir, parfaitement heureux de me réveiller et parfaitement heureux d’avoir dormi, etc. etc.

Et pour vivre notre joie, sans aucune condition, à chaque instant, pour vivre notre Vie Parfaite en permanence, il faut que nous mettions en action notre Libre Arbitre d’une façon bien différente que ce que nous avions fait jusqu’à là.

Il va nous falloir beaucoup de générosité vis à vis de nos mémoires, de nos habitudes de pensées, et vis à vis des autres qui pensent encore probablement bien différemment de nous pour l’instant !

Alors, aujourd’hui, je m’entraine encore un peu… Et, si vous le voulez, entrainez-vous avec moi… Moi, je m’entraîne en écrivant… Vous, vous entraînez en lisant… Mais, tous, nous nous entrainons en pensant.

Car écrire, c’est penser, mais lire, c’est également penser !

Mais attention ! Vous, surtout, ne pensez que les pensées que, « vous », vous êtes heureux de penser… Certaines des pensées que je pense avec joie, vous pouvez, vous aussi être heureux de les penser… Et c’est super !

Mais, d’autres pensées que je suis heureux de penser, vous pouvez, vous, ne pas être heureux de les penser aujourd’hui… Alors, ne les pensez pas aujourd’hui… Et, ça, c’est également super !

Le plus important, c’est que nous soyons heureux et non pas que nous pensions telle ou telle pensée !

Alors, on y va !

Je dors du Sommeil du Juste

Je pense,, librement ce que je suis le plus heureux de penser.

J’écris ce que je suis le plus heureux d’écrire.

Je pense par plaisir…

Je ne crois que ce que je suis le plus heureux de croire.

Je dors de mieux en mieux.

Je suis parfaitement heureux d’être fatigué.

Quelle joie d’être fatigué !

La fatigue est mon amie.

Plus je suis heureux d’être fatigué, mieux je dors.

Heureux, je m’allonge ! Heureux, je pense les pensées que je suis le plus heureux de penser… Et heureux, je m’endors, pour me réveiller heureux.

Dormir consiste à être heureux.

Ce n’est pas mon sommeil qui me repose, c’est la joie que j’ai à dormir.

Je crois dans la Perfection de mon sommeil.

Mon sommeil est Parfait.

J’aime autant ne pas dormir que dormir… Je suis heureux sans condition.

Plus je suis heureux, mieux je dors.

Je valorise la qualité de sommeil, plutôt que la quantité.

Plus je suis heureux de dormir, mieux je dors.

Je suis toujours heureux de dormir, alors je dors toujours bien.

J’apprends toujours mieux à être heureux sans condition.

Je dors de mieux en mieux.

Je m’endors de plus en plus facilement.

Seul le bonheur me repose.

Ma joie de vivre est ma seule raison de vivre.

Dormir, c’est bien… Être heureux, c’est infiniment mieux !

Voilà donc quelques exemples de pensées que je suis, moi-même, heureux de penser autour du sommeil…

Vous, vous pouvez en inventer autant que vous voulez… Mais souvenez-vous des règles du jeu de ce site « BeHappy8 ». Revoyons-les ensemble…

Si vous les suivez, vous serez, tout simplement, plus heureux :

1Que je sois Heureux, c’est le plus important pour moi et pour tous les autres Êtres.

2 • Je ne suis un Être humain Heureux que lorsque je pense ce que je suis le plus heureux de penser.

3Alors, la première question la plus importante que l’Être humain que je suis peut se poser est celle-ci : « Est-ce que j’ai pensé là ce que j’étais le plus heureux de penser, OUI ou NON ? » 

4Toute réponse, à cette question fondamentale, qui n’a pas pu être un OUI spontané est un NON.

5 • Si c’est NON, la deuxième question la plus importante que je puisse me poser est la suivante : « Qu’est-ce que je suis le plus heureux de penser à cet instant ? »

6 • Je pense dorénavant cette pensée que je viens de choisir aussi souvent que je suis heureux de la répéter…

7Plus je répète une pensée que je suis heureux de penser, plus il m’est facile de la penser.

8Je suis donc maintenant un Être un peu plus heureux… Ce qui est le plus important pour moi, bien sûr, mais aussi pour tous les autres Êtres.

Dormons mieux, dormons du Sommeil du « un peu plus » Juste…

Vous, qu’en pensez-vous ?

Vous, qu’en pensez-vous ?

(à suivre)

2 • Maître de ma Chance

  

  

1 • Le projet BeHappy8 dans mon coeur

Mardi 7 Avril 2024

Le projet BeHappy8, c’est mon projet pour exprimer ma joie à ma façon unique et encourager toute personne désireuse de vivre et exprimer sa joie à sa façon unique.

La technique moderne me permet de réaliser ce projet de façon souple, publique mais discrète. Grâce à elle, je peux le modifier à chaque instant.

Les textes écrits seront, chaque fois que c’est possible, également disponibles en audio.

Il va falloir que j’apprenne beaucoup de chose pour la création de ce site « BeHappy8 » sur internet…

C’est intéressant pour mon cerveau !

Voyons ce qu’il en est !

2024 • ULTIME…

Léonard de Vinci aimait beaucoup les charades…

Alors, en voici une, pour suivre sa trace.

ULTIME…

J’appartiens à l’Éternité… 

Et pourtant, rien n’a été plus manipulé que moi.

J’existais bien avant que l’homme ait pu vivre son libre arbitre… 

Bien avant qu’il ait pu bénéficier de moi, comme toute la Création… 

Bien avant que les fausses autorités aient pu me falsifier.

Je ne me contredis jamais, 

Fidélité, c’est aussi ma qualité.

Tous les progrès humains ont été faits en mon nom.

Mais, les plus grands drames de l’humanité 

Ont également été perpétrés en mon nom !

Je suis beauté ou laideur… 

Beauté pour celui qui me découvre toujours plus en toutes choses et me cultive… 

Laideur, et même danger, pour celui qui m’ignore, me craint et me combat…

Selon les âges 

Qui peuvent durer quelques instants ou bien des siècles, 

Je grandis ou je diminue dans l’esprit de chacun.

Je peux être une excuse pour le mal à un moment, 

Je ne peux être une cause que du bien à un autre moment.

L’homme me cherche à tout instant… 

Et trop souvent me craint plus que tout.

Dans les cœurs, les religions me cherchent 

Sous des noms innombrables… 

Mais, trop souvent, elles me combattent 

Comme si j’étais leur seul danger ! 

Dans la pensée, la philosophie me poursuit,

En général, courageusement.

Mais elle peut aussi me manipuler 

De façon si intelligente !

La science, elle, me poursuit dans la matière… 

Et elle change mon nom en me découvrant toujours plus… 

Mais, trop souvent elle oublie que je suis son but

Et elle peut interdire que l’on me cherche.

Je respecte tout avec douceur.

Jamais je ne m’impose,

Mais l’humble me trouve facilement.

Depuis que vous êtes hommes,

Vous êtes à ma poursuite… 

Mais qui d’autre que l’Éternel

Me connaît totalement ?

La nature m’exprime dans toute sa beauté…

Mais l’homme, par l’usage maladroit 

De son merveilleux Libre arbitre 

M’a, trop souvent, recouvert d’oripeaux.

Je m’exprime en toute chose… 

Et si vous m’écoutez, je suis une bénédiction… 

Mais dès que vous me camouflez, 

Le mal apparaît dans son illusion !

Il est toujours bon de m’entendre, 

Mais qui veut m’écouter ?

On a beaucoup tué en mon nom, 

Mais, pourtant, qui peut me donner un nom unique ?

Je me faufile dans la vie de chacun, 

Dont j’exprime les plus belles attentes… 

Quelles sont les peurs 

Qui vous empêchent de jouir de ma beauté ? 

L’Infini est mon royaume, 

L’Éternité est mon temps…

Personne ne peut me changer, 

Mais chacun peut me découvrir…

Toujours plus…

Ou me cacher !

Vous ne pouvez vivre votre joie

Sans me prendre avec vous.

L’Amour Véritable ne peut exister sans moi, 

Et les amants me désirent plus que tout 

Pour vivre leurs relations les plus belles !

L’homme me met à l’épreuve sans cesse 

Pour me découvrir encore et toujours…

Mais, lorsqu’il me découvre, 

Il y a une chose qui est sûre, 

C’est qu’il me découvrira encore !

Le minéral, le végétal et l’animal me vivent tranquillement… 

Sans le savoir.

Seul l’homme a pu perdre conscience de moi… 

Et souffrir de m’oublier.

Je suis autant dans le moindre grain de poussière 

Que dans les Êtres humains les plus accomplis…

Je m’exprime dans toute la création… 

Depuis le Big Bang, mais aussi bien avant !

Avant que l’Être humain ne vive son libre arbitre, 

La nature me vivait toujours dans sa conscience… 

Depuis le presque début de l’humanité, 

Seuls ceux qui le choisissent 

M’écoute et me vivent dans la paix…

Car je suis toujours la condition de la paix.

Je me suffis à moi-même…

Et pourtant, je suis en lien avec toutes les vertus. 

Je m’exprime totalement dans les plus beaux Êtres de la terre, 

Et alors, chacun peut facilement m’entendre,

S’il le désire.

Je m’exprime tout autant dans les plus malheureux de la terre, 

Mais là, seuls peuvent m’entendre ceux qui me connaissent…

Je suis le but à atteindre, 

Et le point de départ de tout chemin.

Sans moi, rien n’est vraiment réalisé. 

La création n’existe que par moi !

Souvenez-vous de mon nom :

« Vérité » 

Mercredi 6 Mars 2024

Les 8 Entretiens (1ère Partie du 1er Entretien)

Deux petits artisans de la Lumière parmi tant d’autres, petit (■) et petit (●), communiquent sur bien des sujets qui n’ont peut-être pas tant d’importances…

Bonjour !

■ 

Alors ? On avait bien travaillé lors de notre 1ère rencontre, …

Et quand j’y ai réfléchi, je me suis dit : « Quel dommage que l’on n’ait pas enregistré ! Cela nous aurait donné de la matière ! »

Oui ! Là, il y avait de la matière ! On peut le dire…

Mais, tout est parfait : cette matière, on va la retrouver parce que de toutes les façons, on va y revenir encore et encore ! Ce ne sont là que des notions classiques. Ce sont de bons outils simples et utiles, qui sont inscrits en nous… mais dont il faut reparler sans cesse pour les utiliser de mieux en mieux…

Alors ! Depuis la dernière fois où nous avons bien travaillé, qu’est-ce que tu as réfléchi ? Qu’est-ce que tu as observé au point de vue de cette discussion que nous avons eu ? De cet échange ? De ce travail que nous avons fait ensemble ? Est-ce que tu as eu des réactions premières ?

Alors ! … Ce qui est intéressant, et c’est un schéma un peu récurrent chez moi… C’est à dire, déjà, lorsque je suis parti d’ici, j’étais sur un petit nuage !

C’est normal !

« C’est la conscience qui fait toute la différence »

Notre échange avait réveillé toute mon énergie vitale… Ça avait réveillé mon optimisme qui m’appartient… et que, parfois, je perds !

Que tu ne perds « que de vue » ! Tu ne le « perd » pas…

Oui, tu as raison. « Je ne le perds que de vue ! »

 Tu ne peux en perdre « que la conscience » …

Oui ! C’est vrai ! 

Donc ça, c’était très bien… et ça a duré quelques jours… Pas de soucis ! 

Ensuite, cela s’est un peu atténué… Mais, tout de même, je l’avais toujours en tête et ça m’a beaucoup aidé dans les moments difficiles… Enfin ! … pas vraiment difficiles ! Mais, il y a eu des moments où ça m’a permis de relancer la machine…

Très bien !

Je l’ai toujours sous le coude, parce que si j’ai un souci, je sais que je l’ai… Je ne me suis pas inquiétée de mon problème donc… 

Mais progressivement, en revanche je n’avais plus la même… vitalité !

Tu veux dire cette luminosité, cette clarté, ce piquant !

Oui, ce côté qui m’obsède depuis toujours, en fait ! C’est vrai ! C’est vraiment…

  

La Lumière est notre obsession depuis toujours

Qui t’obsède ? … Tu veux dire : que tu veux vivre ça ? Tu veux vivre cette clarté ?

Oui !

Oui ? Alors, c’est normal que ça t’obsède !

Je veux trouver « ça » ! Pour moi, exister, c’est « ça » ! Il faut que je vive « ça » …

Tu as raison, bien sûr ! Moi aussi, c’est ce que je veux vivre… Et tout le monde ne veut vivre que “ça” !

  

Pourquoi ?

 Donc… Je sentais que c’était là et du coup, je me suis dit : « Je suis en face d’un mécanisme assez curieux : c’est que j’ai tout ce qu’il faut… et pourquoi, pourquoi, mais pourquoi je ne le prends pas ? Pourquoi je ne l’utilise pas ? »

Alors, ça, c’est très important ce que tu dis là ! Parce que, tant que nous n’avons pas solutionné ce « Pourquoi ? », tant que nous ne l’avons pas validé, tant que nous n’avons pas trouvé « la belle raison » pour laquelle nous faisons comme ça… nous nous en voulons de faire comme ça…

  

Apprendre, c’est répéter !

Mais du coup, je suis retombé direct là-dedans ! Je m’en suis voulu…

Et du coup, en s’en voulant de « ne pas y arriver » … nous nous obligeons, « merveilleusement », à ne pas y arriver à nouveau ! C’est très, très, important de réaliser cela !

Oui, c’est vrai ! C’est très important pour moi, parce que c’est toute « ma problématique » de l’instant par rapport à plein de choses…

Eh oui ! C’est la problématique de chacun de nous ! Parce que c’est l’histoire dont nous avons parlé la dernière fois, mais dont nous allons reparler de nombreuses autres fois, si tu le veux bien ! 

C’est parce qu’il faut absolument « répéter » ! 

Moi-même, je suis obligé de me le répéter…  Je dis qu’il est utile d’écrire… Et moi-même, j’écrit, mais mes écrits, c’est 99 % de répétitions… 

Tu vois ? Je répète des choses depuis des années… des phrases, les mêmes phrases que je suis heureux de penser et qui reviennent… et qui reviennent… et que je réinstalle pour la centième fois ! 

Ce n’est vraiment pas parce que tu le penses une fois, que tu l’écris une fois, que c’est terminé, que c’est dans la poche !

Oui ! Je le comprends…

Non ! C’est un travail constant ! C’est « un entrainement »… comme un entrainement de danse, comme un entraînement pour apprendre n’importe quelle chose que nous voulons apprendre… 

Pour apprendre, il nous faut sans arrêt répéter ! 

Et pour s’améliorer, il faut encore, sans cesse, encore plus que nous répétions…

C’est logique !

  

Qu’est-ce que l’instant ?

Oui ! Les danseurs les plus grands n’arrêtent pas de danser… Ils travaillent pendant des semaines pour leur spectacle. Et tout ça, nous reconnaissons que c’est tout à fait normal ! 

Mais, il y a un truc ! c’est que : en fait il y a plusieurs choses dont il faut se souvenir à la base et qui sont plus qu’intéressantes…

Et la première, c’est que « L’Instant, c’est toujours Dieu Lui-même ». 

Oui !

Un instant est donc Sacré, il est Divin, il est Parfait !

Voilà ! L’instant, c’est le B.A. BA : « Dieu est Tout ! »

Si nous sommes d’accord avec ça, c’est à dire si nous avons cette foi que « Dieu est tout », alors, là, ensuite, nous sommes obligés, et c’est logique, de reconnaître que cet instant, quel qu’il soit, c’est du Divin Pur ! 

Parce que « Il est tout », il n’y a pas d’autres places, il n’y a personne d’autre, il n’y a rien d’autre que Lui !

Mais attention ! Ce que je nomme là « Dieu », nous pouvons le nommer de millier d’autres noms… C’est simplement le nom que chacun choisi pour désigner ce qui est « Tout » … « Absolument Tout » ! C’est la Lumière, l’Infini, l’Absolue, l’Éternelle, la Vérité, l’Universel… etc… etc…

D’accord ! Oui, ça c’est vrai !

Voilà, déjà c’est très important de se rappeler de ça et de se le redire sans arrêt : 

« Cet instant que je suis en train de vivre, quoi que j’en pense, quelque conscience que j’en ai, c’est Dieu Lui-même ! Je suis en train de vivre la Lumière ! »

  

La culpabilité et l’incroyance

Nous sommes d’accord ! C’est ce que j’avais bien entendu l’autre fois… Et du coup, quand même, cela m’a aidé, lorsque j’ai expérimenté cette « culpabilité de ne pas y arriver » ! 

Alors, je me suis dit : Attention ! Cet instant c’est Dieu, celui-là aussi, et tous les autres instants également… 

Mais, j’ai continué quand même à souffrir de ma « culpabilité » !

Oui ! Parce que, si tu veux, pour l’instant encore, quand tu as ce sentiment de « culpabilité », tout d’un coup, tu retombes dans « l’incroyance » ! 

L’incroyance ?

C’est à dire que tu prétends que la culpabilité n’est pas Dieu, qu’elle n’est pas faite de Dieu Lui-même, qu’elle est faite d’autres choses que de Dieu… et là tu es bien dans l’incroyance, puisque tu ne crois plus que « Dieu est Tout » !

Tu as imaginé une séparation entre, d’une part « Dieu » et d’autre part « la culpabilité » … Et là, nous avons perdu notre foi en « Dieu Absolu » !

Et cela est bien compréhensible, parce que la culpabilité a été travaillée très fort par l’ombre que nous avons imaginée, pendant des millénaires, comme un outil de manipulation !

Et donc, à partir de là, il a été très difficile, pour les gens en général, d’envisager la culpabilité comme étant un sentiment valeureux, comme étant Dieu Lui-même, comme étant tissée du Divin Pur… 

Alors, on a pensé que la culpabilité, c’était mauvais et que c’était l’ombre. Voilà ! « Culpabilité » était égale à « ombre » ! 

C’est sûr que c’est la tendance… et que cela a été « ma » tendance !

  

Merveilleuse Culpabilité !

Oui, cela a été la tendance ombreuse ! Mais voilà ! C’est faux ! Nous avons été déformés, ou désinformés, comme ça… depuis des vies !

Alors, qu’en réalité, la culpabilité, c’est simplement un merveilleux et lumineux message d’erreur, c’est tout ! 

Chaque fois que nous perdons conscience du Divin, de la Lumière, en quelque chose, nous allons avoir, cette « culpabilité » qui va apparaître et qui nous signale… amoureusement : « Tiens, tu viens de perdre conscience de Moi ! »

 Ah ! Je commence à comprendre le mécanisme…

Cette culpabilité qui est apparue et qui nous dit « Tiens, là, en ceci, à cet instant, tu viens de perdre conscience de la Véritable Réalité, c’est à dire de Dieu » … C’est un des aspects que peut prendre ce que nous avons appelé parfois notre baromètre intérieur !

Notre baromètre intérieur ?

Oui, un baromètre qui nous signale, par exemple par un sentiment de culpabilité :

 « Là, tu viens de perdre conscience du Divin ! » … Voilà ! c’est tout ! 

Et là, maintenant nous avons l’occasion de choisir à nouveau : soit nous allons décider de continuer à perdre notre conscience du Divin, soit nous allons décider de reprendre conscience du Divin dans Tout… et donc également « dans cette merveilleuse culpabilité » qui vient de nous être offerte…

Ah Non ! Mais c’est super important ! Parce que la culpabilité, c’était un truc terrible !

Cela a été pour tout le monde pareil… parce que nous avons été formés comme ça… ou plutôt parce que nous avons été déformés comme ça : 

« Nous ne sommes pas heureux parce que tu ne travailles pas bien à l’école ! » « Nous ne sommes pas heureux, parce que tu ne fais pas ceci ! » « Dieu est en colère parce que tu agis comme cela ! » … etc. etc. etc.

Nos parents, nos éducateurs et nos chefs ont remis ça sur le tapis, sans cesse ! Mais nos parents d’avant également… et puis, nous-mêmes, nous l’avons également fait à nos enfants de nombreuses fois… et ainsi de suite… Le dicton dit que « L’enfer est pavé de bonnes intentions ».

C’est récurrent !

Eh oui ! Par exemple, si tu voulais des soldats, il fallait qu’ils soient sans culpabilité ! Il fallait qu’ils te tuent quelqu’un comme ça, les doigts dans le nez ! En réalité, ils n’y sont jamais arrivé vraiment, mais le but c’était d’aller vers ça… Et donc depuis des millénaires nous avons été formés, par toutes les autorités, à combattre la culpabilité en nous et non pas à l’écouter comme une amie !

  

Écoutons le message d’erreur

Ah oui ! Même encore maintenant, je ne l’avais pas vu ! parce que je croyais encore que la culpabilité, c’était un truc à combattre…

Si je t’appelle au téléphone et que tu n’écoutes pas la sonnerie, tu ne me répondras pas ! 

Et le message ne sert à rien…

Un message d’erreur ?

Oui, la culpabilité, c’est simplement un message d’erreur ! C’est un signal d’erreur de la Lumière en moi qui me dit : « Ah ! Attention ! Là, je viens de perdre conscience, de la Lumière. »

  

Reconnaître la Lumière en tout

Mais alors, cela me fait penser que ça fait pareil que de « voir la Lumière dans l’ombre ».

Oui, c’est ce que nous voulons réellement ! Au-delà de toutes les manipulations de l’ombre, qui ont agi sur notre pensée, en tant qu’Âme, nous voulons voir la Lumière « dans » l’ombre. 

Reconnaître la Lumière en tout, c’est notre but ! C’est aussi notre véritable nature…

Le fait de voir que c’est un message d’erreur et non une culpabilité mauvaise ?

 Oui ! … Alors, nous allons dans ce sens : Nous allons vers l’idée, vers la réalisation, qu’effectivement cette ombre, si Dieu est Tout, elle n’a pu être faite que de Lumière… et que nous en avions simplement perdu la conscience !

 Et à partir de là, dès que nous avions donné à l’ombre certains noms comme, par exemple, « culpabilité », ou bien « injustice », ou bien « dévalorisation » … cela avait automatiquement déclenché en nous la perte de conscience de la Lumière, dans ce que décrivait ce mot… 

Et ça, c’est ce qu’il faut retrouver : « La conscience du Divin en Tout ! »

Il faut récupérer notre jouissance du Divin, ce Divin qui a été, depuis longtemps, caché par nous sous ces mots…

Ça ne veut pas dire que nous sommes favorables à la culpabilité, ou que nous voulons de l’injustice etc… Pas du tout ! Mais, c’est la seule vraie solution à l’injustice, à la culpabilité ou à la dévalorisation… C’est à dire à tous ces « mots » et « maux » dont nous souffrions !

 La seule solution, c’est de réussir à y reconnaître, enfin, le Divin… Là aussi !

  

La Lumière est Inconditionnelle

Parce que, en effet, je trouve qu’il y a une deuxième chose très importante, et qui a des conséquence pratique quotidienne : c’est que nous devons bien prendre conscience que Nous n’accepterons jamais qu’il y ait « une condition à notre Bonheur » … 

… Attends ! Je cherche mes mots : personne d’entre nous n’accepte le bonheur conditionnel… Ce que nous voulons tous, c’est « le Bonheur Inconditionnel » ! 

Alors, dès que, avec notre pensée, nous avons prétendu mettre une condition à notre bonheur… immédiatement, l’Âme, que nous sommes également, refuse instantanément, cette même condition ! Notre Âme en nous dit : « Stop ! Ce n’est pas ça que nous voulons ! » 

Si, par exemple, nous sommes heureux « parce qu’il fait beau », l’Âme dit tout de suite « stop » ! 

Et en effet, si notre joie est inconditionnelle, nous sommes heureux qu’il fasse beau ou qu’il pleuve ! 

Nous ne voulons pas être heureux « à condition » qu’il fasse beau ! 

Tant que nous sommes heureux à la condition qu’il fasse beau, en réalité, nous ne sommes jamais vraiment heureux ! 

Ah oui ? Mais, comment cela se peut-il ?

Eh bien, effectivement, s’il ne faisait pas beau, nous avions décidé d’être malheureux : nous avions décidé de perdre conscience de la Lumière « dans le mauvais temps » … Et s’il faisait beau nous avions prétendu être heureux, alors qu’en fait ce bonheur avait une condition : c’est qu’il fasse beau ! Donc ce n’est pas une joie « inconditionnelle » … 

En plus, cette condition, elle était totalement fragile, puisque nous savions bien qu’il avait déjà plu et nous savions également qu’il pleuvrait, alors nous vivions une joie bancale dans la crainte qu’elle ne dure pas… et en effet, elle ne durait pas !

Un bonheur « à condition » a toujours eu un début et une fin… Seul le Bonheur sans condition est Éternel ! Et c’est bien compréhensible, puisque l’Inconditionnel, c’est Dieu Lui-même…

Ce que nous voulons, tous, absolument, c’est la Joie Inconditionnelle, l’Amour Inconditionnel ! 

Par exemple, nous ne voulons pas être aimé parce que nous sommes gentil… ou parce que nous sommes beau… ou pour n’importe quoi d’autre !

C’est vrai !