14 • Humanité, je T’Aime

Dimanche 28 Avril 2024

  

  

J’aime l’humanité… Chaque fois que je la regarde bien, droit dans les yeux de quelqu’un, des larmes de joies viennent dans mes yeux… Et ça me pique si agréablement.

J’aime l’humanité… Chaque fois que je vois ce que font les gens de complètement extraordinaire, dans tous les domaines, soit devant moi, soit grâce à l’internet… et qu’ils restent si simples, si humbles… Cela me réchauffe le coeur.

J’aime l’humanité… Telle qu’elle est ! Et elle est encore bien jeune ! À peine 150.000 à 400.000 ans, c’est bien peu pour une espèce… J’ai confiance en elle : nous arriverons à retrouver le Paradis… sur cette terre !

J’admire les gens. Ils m’étonnent toujours par la joie qu’ils me permettent de ressentir… Ils arrivent tous, finalement, à être pour moi l’occasion de ressentir plus l’Amour…

Parfois, j’ai pu hésiter à être heureux de ce qu’ils faisaient… Mais, heureusement pour moi et pour tous les Êtres, j’y arrive toujours, à la fin.

J’aime tout le monde : les gens heureux et les gens qui choisissent de ne pas vivre la joie qu’ils sont, pour l’instant… Ces derniers, les plus rares, je les aime encore plus, car ils ont plus besoin de mon aide… Et, sans une seule exception, l’aide la plus efficace que je peux toujours leur apporter, c’est d’être d’abord heureux moi-même.

Tout les Êtres méritent que je les aime… Et puis, cela me fait tant de bien… Plus j’aime, plus je suis heureux et plus je profite du merveilleux Corps que mon Âme animera encore pendant quelques années…

Mais, plus tard, je reviendrai. Je reviendrai dans un autre corps que mon Âme choisira ! Peut-être pas tout de suite… Mais je reviendrai.

Car, pour moi, vivre est si agréable… Alors, je reviendrai quand ce sera le plus utile pour tous les Êtres de cette terre. Ni plus tôt, ni plus tard.

Plus je suis heureux dans ce Corps, dans cette vie, meilleurs seront toutes mes autres vies… et aussi, celles de tous les Êtres qui existent… Car, je sais que nous sommes tous « Un ».

Le Bonheur est contagieux… Il est la manifestation de l’Amour. L’Amour est à la fois instantané et infiniment patient. L’Amour est récompensé tout de suite… et pour toujours.

Aimer, c’est le Paradis tout de suite ! Le Paradis est là, il nous attend en nous-même et dans tous les autres Êtres. Le Paradis est accessible à chacun, tout le temps… À nous, les Êtres humains de choisir, librement, d’y entrer à nouveau.

Tous les autres Êtres n’en sont jamais sortis !

Je suis si heureux de vieillir… Je n’ai jamais été aussi heureux dans cette vie que maintenant…

Actuellement, je suis encore bien loin d’être prêt à me souvenir de mes autres vies, mais je suis sûr que cette vie-ci est la meilleure de toutes mes vies passées…

J’en ai une certaine preuve dans le fait que chaque année de cette vie-ci a été meilleure que la précédente et ainsi, je suis sûr que l’avenir, proche et lointain, sera encore plus beau…

De fait, je suis en sécurité, en parfaite sécurité, dans cet instant que je vis. En effet, c’est moi seul qui décide d’être heureux, là, tout de suite… Je suis le seul à pouvoir librement le décider et là, je le décide une fois de plus : et hop ! Voilà : je suis heureux.

Un instant de Paradis tout de suite, c’est toujours ça de gagné !

Et cet instant de Paradis que je viens de vivre, je choisis de le revivre de suite. Depuis toujours, je pense toujours mieux ce que je suis le plus heureux de penser… Dans cette vie-ci, c’est mon entrainement quotidien depuis des années qui fait que j’y arrive de mieux en mieux…

Et là, à cet instant, je pense, à nouveau, pour la milliardième fois, ce que je suis le plus heureux de penser.

Je me dis souvent, et je le dis parfois à d’autres Êtres humains, que si j’avais, dans cette vie, joué du piano autant d’heures par jour que je n’en ai passé à m’entrainer à penser ce que j’étais le plus heureux de penser, je serais, certainement, un grand virtuose en piano…

Mais, je me contente, dans cette vie-ci, d’être de plus en plus heureux chaque jour… Et quand j’admire un rocher, une rose ou un chien, je me dis que j’ai du chemin à faire pour arriver à leur niveau de joie qui est sans aucune ombre.

Mais quand je regarde les Êtres humain, je suis assez fier du point où j’en suis.

En effet, je n’ai aucune raison d’être jaloux de qui que ce soit, puisque, comme chacun des Êtres humains, j’ai la possibilité d’être à chaque instant encore plus heureux… et ceci jusqu’à l’Infini.

Et je sais que c’est bien là le plus important pour moi, l’Être humain que je suis, bien sûr, mais surtout pour tous les autres Êtres… que j’aime.

13 • Folle Salade

  Vendredi 26 Avril 2024

  

Aujourd’hui, j’ai encore envie de manger une petite salade de pensées toutes folles. Des pensées que je vais être heureux de penser, pardon, heureux de consommer toute ma journée !

Bref ! Un repas bien agréable dont on a envie à tous les instants de notre journée…

Mais il faut, bien sûr, que tous les ingrédients soient bien sains… Alors je ne me procure que des aliments qui soient « joielogique »… C’est à dire des pensées qui expriment ma joie… et encore plus ma joie.

D’ailleurs, dans mon jardin, qui est autant intérieur qu’extérieur, je cultive toujours, sur une planche réservée qui finalement d’année en année occupe de plus en plus de place, des pensées qui mettent de la joie dans ma vie…

Par exemple, j’ai toujours là, qui pousse très bien, un peu de « La Vie est Belle » et aussi du « Je suis heureux »… On a toujours besoin d’un peu de ce genre de condiments dans tous les plats…

Cela donne un goût délicieux, un peu de piquant toujours nouveau, mais sans trop ! J’en utilise abondamment… Je n’ai jamais l’impression d’en utiliser trop. Je ne sais pas pour vous, mais moi, j’aime les plats riches en « beauté » et en « bonheur ».

Je peux même dire que j’aime cela de plus en plus. Alors j’en cultive toujours plus… En fait, j’en plante partout parmi les salades et les artichauts… Et même dans les bois que j’arpente régulièrement.

Et en plus cela pousse partout très facilement et à toutes les saisons. Cela enrichi aussi tous les sols par des racines très solides qui, comme celles des légumineuses, travaillent en coopération avec d’autres organismes, comme « l’union », « la coopération », « l’amour » et permettent ainsi à d’autres bons goûts de la vie de pousser un peu partout.

Un plat que je mange tous les jours, c’est « la Danse des Pensées »… Alors, c’est un mélimélo de toutes sortes de pensées que je trouve, bien sûr, dans mon jardin, mais, là aussi, dans la nature…

Il y a du « sourire », de la « joie », du « plaisir »… J’y met aussi beaucoup de « créativité ».

Rien que de préparer cette « Danse des Pensées » est déjà très nourrissant… Probablement que c’est l’odeur que ce plat dégage lorsque je coupe en menu de « l’amitié » et de « la générosité », au cours de sa préparation.

Cela semble nourrir le coeur, avant même qu’on l’ait absorbé… Je ne sais pas ! Mais en tous les cas il y a un plaisir magique à sa préparation…

Mais, je ne vous dis pas, quand vous le dégustez, vous n’avez qu’un désir, c’est que le repas dure toute la journée !

Alors finalement, coquin que je suis, je ne peux pas m’empêcher d’en consommer toute la journée… Pourquoi se priver de ce qui est le meilleur ?

Pour cela, je met en bandoulière mon sac que j’ai tissé en « merveille », je le remplie de « Danse de Pensées » et comme cela j’en ai toujours avec moi où que j’aille… Et ma main y retourne souvent, presqu’à chaque instant !

Et puis, j’en donne beaucoup ! Car les gens sont toujours attirés par son odeur qui se répand autour de moi et me demandent « Mais qu’est-ce qui sent si bon quand tu es là ? »

Alors, je leur ouvre mon petit sac de « merveilles » et là, je ne peux plus les empêcher d’y mettre la main… Et eux aussi, ils se régalent sans fin.

Heureusement que ce petit sac en merveille n’a pas de fond et que tout ce qu’il contient se multiplie sans cesse au fur et à mesure qu’on le consomme ! C’est étonnant.

Et finalement, toute la journée, je n’arrête pas de manger de ma salade de pensées… Heureusement que cela ne fait pas grossir, sinon, je serai énorme !

Mais non ! Il semble bien que plus j’en mange, plus mon corps est en bonne santé…

Et puis également, j’ai remarqué que plus j’en mange, plus je suis heureux de ce que sont les autres… C’est étonnant, là aussi, mais je suis de plus en plus heureux de ce qu’ils sont !

Finalement, je suis bien obligé de constater que plus je consomme de pensées que je suis heureux de penser, plus je suis heureux.

Je vois bien que je vis ce que je mange !

12 • Miroir et Image ?

Jeudi 25 Avril 2024

  

Le miroir reflète une certaine image de mon corps…

Je suis heureux de réfléchir un peu avec vous, aujourd’hui, de ce phénomène qui est si quotidien dans notre vie.

Il me semble qu’il est utile que nous soyons conscient que cette image que nous reflète le miroir, n’est vraiment pas « moi »… Mais vraiment pas du tout !

Or, j’ai eu l’impression fréquente que beaucoup de personnes ont oublié ce détail. Un détail qui me semble être pourtant si important… Et, trop souvent, cela a eu des conséquences douloureuses pour eux.

Il faut vraiment remettre les choses à l’endroit, c’est le cas de le dire !

D’abord, ce que je vois, lorsque je m’observe dans un miroir, ce n’est qu’un reflet de mon Corps.

Mais, je suis loin de n’être que mon Corps ! Je suis un Être… Un Être complet.

Et l’Être que je suis, c’est à dire « Moi », c’est l’unité de mon Corps, de mon Âme et de ma Pensée… Dans la réalité, je suis, à la fois, Un en Trois et Trois en Un !

Mon Être n’existe que par l’unité, l’identité, la consubstantialité de mes trois aspects : Corps, Âme, Pensée.

Et là, dans mon miroir, je ne regarde que l’aspect « Corps ». Je ne vois ni ma Pensée, ni mon Âme. Donc, je suis bien loin de voir ce que je suis en réalité… Je ne vois pas du tout la Vérité !

Mais, en plus, je ne vois que l’extérieur de mon Corps. Or, un Corps, c’est bien plus que ce que je peux en voir avec mes yeux, y compris dans un miroir. C’est évident : mon Corps est bien plus que ma peau, mes cheveux, mes poils, mes yeux que je vois dans le reflet que je regarde.

Si je suis habillé, c’est encore pire… Là, la plus grande surface de mon Corps m’est encore plus cachée… Et c’est la même chose si je me maquille. Là aussi, je cache mon Corps, un peu, plus à ma conscience.

Alors ce que je vois dans mon miroir, c’est le reflet d’un Corps le plus souvent très, très, caché !

Nous nous éloignons déjà beaucoup de la Vérité ! Au point où nous en sommes de notre réflexion, nous sommes obligés de reconnaître que le miroir ne me dit pas du tout la « Vérité » sur moi, lorsque je regarde mon reflet en lui… Mais vraiment pas du tout !

Mais, c’est loin d’être fini.

Dans un miroir, je ne vois qu’une toute petite partie de « moi », une toute petite partie de mon Corps. Ça, nous venons de le réaliser.

Mais, en plus, le peu que je vois de mon Corps, je le vois « en miroir », c’est à dire à l’envers… Dans l’image de mon Corps que j’observe, par exemple, ma main gauche est à droite et ma main droite est à gauche.

Ce n’est pas moi que j’observe, mais un « envers » de moi… Nous y sommes tellement habitués que nous n’en sommes, en général, plus conscients…

Nous croyons nous voir fidèlement et pourtant ce que l’on voit nous ment complètement : ce n’est pas « nous » que nous regardons dans le miroir !

Mais vraiment pas nous !

Nous ne voyons qu’un pâle et faux reflet de notre Être, c’est à dire de notre réalité… Et souvent, nous allons ensuite raisonner, à notre propos, sur la base de cette erreur !

Et si je fais tout un raisonnement en l’appuyant sur une erreur, il est évident que, d’une part tout mon raisonnement est faux… Mais aussi les que les conclusions que je vais finalement en tirer seront toutes fausses, évidemment.

C’est exactement, comme si j’essayais de calculer la surface de ma table carrée, alors que je me suis trompé en mesurant ses côtés : mon calcul sera faux, tout simplement.

Et pourtant, c’est ce que nous faisons, en général, en nous regardant dans un miroir : nous ne « nous » voyons pas ! Nous croyons nous y voir. Le reflet que nous y regardons n’est pas « nous ». C’est toujours un faux moi !

Et tous les raisonnements que je vais faire à partir de ce « faux moi » seront faux et je ne pourrais arriver qu’à de fausses conclusions…

Ce que je vois dans un miroir n’est jamais, mais vraiment jamais, « la » Vérité. C’est une approximation très, très, très lointaine de la vérité… C’est complètement faux.

Il ne faut surtout pas que je m’y fie pour me connaître : je suis « infiniment plus » que ce que je crois voir de moi dans un miroir.

Et, là, nous pouvons aller plus loin dans l’étude de cette erreur du miroir et de l’image.

Par exemple, quand nous regardons quelque chose, nous pensons, en général, le voir au présent. Mais ce n’est jamais le cas. Jamais !

Nous ne pouvons pas voir le présent… Jamais ! Nous ne voyons toujours que le passé.

Alors, cela est plus facile à concevoir si ce que nous regardons est loin… Prenons l’exemple du soleil que nous voyons dans le ciel. Il nous semble, en général, que nous le voyons « comme il est »… Et bien non !

 Nous ne voyons le soleil que « comme il était »… Et plus précisément, comme il était il y a environ 8 minutes.

Eh oui! La vitesse de la lumière physique est d’environ 300.000 km par seconde et la distance soleil-terre d’environ 150 millions de kilomètres… Et on peut calculer qu’il faut 8 minutes à la lumière physique pour parcourir cette distance du soleil à nos yeux.

Donc, nous ne voyons jamais le soleil au présent… Nous croyons le voir au présent, mais nous voyons toujours « le passé du soleil ».

Et plus nous regardons loin, plus nous voyons le passé…

Mais la réalité, c’est que, avec nos yeux, nous ne pouvons jamais voir que le passé.

Oui ! Nous n’avons jamais vu le présent… Jamais !

Et lorsque nous regardons notre image dans un miroir, nous ne nous voyons pas tels que nous sommes, nous nous voyons tels que nous « étions ».

Et nous pouvons décliner cette vérité absolue avec les quelques exemples de pensées qui suivent :

          Dès que nous tentons d’observer le présent, il est déjà passé !

          Nous vivons le présent, mais nous observons toujours le passé.

         Le présent, nous ne pouvons que le vivre… Nous ne pouvons pas l’observer.

         Nous observons au présent, mais ce que nous observons est déjà passé.

         Nous ne vivons qu’au présent, tout le reste, c’est du passé !

… etc… etc…

Je pense qu’un humoriste pourrait fair un beau sketch avec une telle vérité. Peut-être que j’en contacterai un pour le lui proposer.

La Vraie Vérité est toujours pleine d’humour !

(à suivre, un jour)

11 • Choisir sa Foi ?

Mercredi 24 Avril 2024

J’ai remarqué que, le plus souvent, les Êtres humains croient que « la Foi » est un don que l’on a ou que l’on a pas.

Et ils vont alors, par exemple, pouvoir dire : « Je n’ai pas la foi » ou bien « Je n’ai pas la chance d’avoir sa foi » etc.

Mais, aujourd’hui, ce que je suis le plus heureux de penser à propos de la Foi, c’est que tous les Êtres ont la Foi.

Tout ce qui existe a Foi.

La Foi, c’est la Vie.

Un exemple tout simple : les Êtres humains ont, en général, la Foi que s’ils ont la clef de la porte de leur maison, qu’ils l’introduisent dans la serrure de cette porte et la tourne, la porte va s’ouvrir.

La porte était fermée à clef ! Et ils ont eu Foi qu’elle allait s’ouvrir… Ils ont agi selon leur Foi et elle s’est ouverte. C’est un Acte de Foi…

C’est vrai que c’est une Foi très simple, très rustique qui s’exprime là, communément, chez l’Être humains… Mais, pour moi, c’est de la Foi !

Oui ! Il me plaît de penser que la Foi est un aspect essentiel, et obligatoire, de tout ce qui existe.

Évidemment, la Foi de chaque Être s’exprime différemment selon leur niveau d’évolution et leur niveau de conscience de la Lumière qu’ils sont.

Par exemple, un Être uniquement minéral, sur la terre, a une « Foi minérale », pas une « Foi humaine » !

Mais, il ne peut pas ne pas avoir sa Foi… Comme tous les Êtres, il a une Foi obligatoire qu’il va vivre et qui va lui permettre d’évoluer… 

Bien sûr, il ne peut pas prétendre la nier comme les Êtres humains le peuvent.

Cette Foi minérale, obligatoire, inaltérable, lui permettra des mouvements minéraux qui dureront des milliards d’années…

Et nous, les Êtres humains dont les corps ne vivent que bien moins de temps, nous n’avons pas pu en prendre bien connaissance, pour l’instant.

L’échelle des temps des Êtres minéraux est si longue par rapport à celle des Êtres humains, que nous n’avons pas pris conscience que par leur Foi, ils ont évolué pendant des milliard et des milliard d’années… 

Jusqu’à ce que certains minéraux, en participant au monde végétal, puis animal et finalement humain, puissent donc se mouvoir finalement aussi rapidement que les Êtres humains, puisque les Êtres humains sont constitués , essentiellement, de ces minéraux…

Quelle Foi a-t-il fallu à certains de ces minéraux pour finalement constituer un Corps humain et parvenir jusqu’aux degrés les plus élevés de la conscience humaine ?

Et un Être végétal, lui aussi, il a sa Foi, une « Foi végétale »…

C’est un Être, donc il a la Foi, comme tous les Êtres qui existent.

Lui aussi, sa Foi est obligatoire, originelle. Il ne peut pas la remettre en cause, il ne peut pas la nier, ni même la diminuer…

D’ailleurs, c’est après des milliards d’années d’évolution que la Foi minérale s’est muée en une Foi végétale qui, elle aussi, va permettre à l’Être végétal, par exemple de « croire » qu’en orientant ses feuilles dans telle ou telle direction, il pourra mieux capter la lumière du soleil et ainsi continuer son évolution.

Le Corps végétal d’un Être végétal est une évolution du Corps minéral d’un Être minéral… Et sa Foi végétale est une évolution de la Foi minérale… en lui.

Et cette Foi se perpétue chez les Êtres animaux qui ont, eux aussi, hérité finalement de la Foi de certains minéraux et de certains végétaux… Leur Foi est la continuation, l’évolution, de la Foi minérale et végétale… qu’ils contiennent en eux.

La Foi est un mouvement unique de tout l’univers, un moteur de l’évolution des consciences.

La Foi traverse les âges… participant à l’ouverture de la conscience des Êtres qu’elle habite.

Elle n’aura pas de fin, comme elle n’a pas eu de début.

Un Être animal ne peut pas nier sa foi… Il ne peut que la vivre… Elle alimente sa vie et permet son évolution.

C’est une aspiration, encore inconsciente peut-être, mais toujours plus grande, du sentiment d’Union avec Toi, la Lumière Éternelle.

La Foi permet une élévation de la conscience toujours plus grande… et cela depuis toujours et pour toujours.

Elle traverse la Vie en la tirant avec elle… Elle l’aspire, toujours plus complète, toujours plus nuancée… Mais elle ne varie pas dans sa force, depuis l’atome, depuis l’unité de Planck et certainement depuis bien avant…

La Foi de l’Être humain est finalement un empilement de Foi, un peu à la façon des poupées russes… Elle est constituée de tous les autres aspects de la Foi, dans le minéral, puis le végétal, puis l’animal et puis dans l’humain… 

L’humain, lui contient toutes ces Fois en lui.

L’Être humain a hérité de la Foi de la Vie… Et là, malgré l’invention de l’ombre, c’est à dire l’invention de freins à l’ouverture de sa conscience de la Lumière Éternelle, la Foi chez l’Être humain n’a jamais cessé de s’exprimer et de s’approfondir.

Mais alors que, jusqu’à là, elle s’affirmait de plus en plus, dans un mouvement originel, régulier et ininterrompu, là, chez l’Être humain, depuis son presque début, elle varie en fonction de l’usage qu’il fait de son Libre Arbitre.

Et chez l’Être humain, la Foi peut donc augmenter ou diminuer…

Chez lui la Foi est quasiment un autre nom de la Pensée.

L’homme pense sa Foi… Il ne la subit plus, il la choisit… en pensant.

Sa Foi est toujours plus belle lorsqu’il pense ce qu’il est le plus heureux de penser… Alors, elle augmente, elle est plus pure, plus utile à tout l’univers…

Chez les hommes les plus conscients de la Lumière, elle a pu évoluer à une vitesse devenue exponentielle… Et révéler à tous la Perfection, l’Éternité, la Vérité, la Beauté, l’Unité, de Tout…

Mais, la Foi a pu aussi être quasiment éteinte chez certains, par des pensées terribles qu’ils n’ont jamais été heureux de penser… Jamais… Et même très, très, malheureux de penser !

Mais, là, aujourd’hui, ce que ma Foi m’oblige à être le plus heureux de penser, c’est que la Foi ne peut jamais s’éteindre.

Chez ces Êtres humains si malheureux, elle est une braise sous les cendres, une braise peut être à peine rougeoyante, mais qui s’enflammera à nouveau si nous y soufflons notre Amour.

Alors, je choisis ma Foi.

  

La Foi

10 • La Solution de l’ombre

Dimanche 21 Avril 2024

  

Et hop ! Je commence ma petite séance d’entrainement de BeHappy ! Je m’entraine à écrire ce que je suis le plus heureux de penser pendant tout le temps que je suis heureux de le faire… C’est à dire jusqu’à ce que je sois, ensuite, heureux d’arrêter… Et de faire autre chose que je serai, alors, heureux de faire.

Le but de la vie de tous les Êtres, c’est d’être heureux. J’en ai bien conscience depuis de nombreuses années. En fait, j’en ai conscience depuis toujours ! Mais je le faisais moins bien, lorsque j’étais plus jeune. 

Je me suis amélioré dans mon jeu de Pensée grâce à mon entrainement régulier pendant toutes ces années… Maintenant, je suis devenu, en quelque sorte, un virtuose en bonheur ! Je suis de plus en plus heureux.

Et c’est ce qui fait que je suis si heureux de vieillir… Je n’ai jamais été si heureux. Et ceci dans tous les aspects de ma vie. Et pourtant, je vieillis, c’est sûr ! Mon Corps vieilli.

Oui, je vieilli ! Mais vieillir est une bénédiction pour moi. Pour ma compagne également que je vois toujours plus belle. 

« Nous nous amusons à vivre ! »

C’est ce que nous nous disons, l’un à l’autre, souvent… Nous vivons comme des enfants, sauf que maintenant, ces instants  sont de plus en plus merveilleux !

Quelles sont les conditions pour être heureux ?

Il n’y en a pas !

Le véritable bonheur, en tous les cas celui que nous recherchons profondément tous, est inconditionnel.

S’il y a une condition à mon bonheur, je suis en train de souffrir.

Souffrir ? Oui, ma souffrance est mon signal d’alarme qui me prévient que je dois lâcher prise et laisser la joie m’envahir encore un peu plus, c’est à dire avec encore moins de conditions… Voir, plus de condition du tout !

La joie de vivre, c’est en fait une augmentation permanente de la joie de vivre. Ce n’est pas stationnaire. Quels que soient les Êtres concernés, la joie de la vie est une ouverture permanente de la conscience à la Lumière. 

La Lumière ?

La Lumière, C’est ce que l’on a souvent appelé Dieu. 

La Lumière est Infinie, Éternelle, Absolue, Omniprésente… La Lumière est la Vérité, la Liberté, l’Amour, la Beauté… etc.

Je n’ai pas, personnellement, de problème avec le mot « Dieu », ni avec tout le nuage des mots qui l’entourent habituellement dans toutes les religions organisées…

Mais, je comprends que beaucoup de gens en aient ! Ces mots ont été trop souvent utilisés pour servir l’ombre et répandre tant de mal ! Alors pour beaucoup, ce sont devenus pratiquement des gros mots, des injures, des malédictions !

Pendant des millénaires, les mots que les Êtres les plus beaux ont inventés, puis utilisés, pour tenter de définir la Lumière, et pour La décrire, ont été ensuite si souvent utilisés « à l’envers »… Ils ont été si souvent utilisés par l’ombre, c’est à dire par le mal, pour créer et maintenir le labyrinthe de l’ombre dans lequel, trop souvent, les Êtres humains se sont, pour l’instant, perdus…

 » L’ombre, c’est simplement la perte de conscience de la Lumière… « 

 » L’ombre, c’est simplement la perte de conscience de la Lumière… « 

Simplement ?

Oui, la Lumière, c’est simple… 

L’ombre, c’est compliquée ! Et même très, très, très compliquée ! C’est pour cela que nous la décrivons souvent comme un labyrinthe dont nous ne pouvons pas sortir. 

Mais cependant, l’humanité, dans toutes ses diverses traditions, parle également toujours d’une sorte de fil d’Ariane qui, si le héros le suit, sans jamais le rompre, lui permet de sortir de ce labyrinthe de l’ombre !

Il y a toujours, dans toutes les traditions, cette mémoire que la Lumière, ce fil d’Ariane, est toujours présente « dans » l’ombre et donc dans son labyrinthe… Et c’est vrai ! C’est éternellement vrai !

Comment je sais que c’est « vrai » ? 

Tout simplement parce que c’est ce que je suis le plus heureux de croire…

Et je choisis, librement, de ne croire que ce que je suis le plus heureux de croire !

Et j’invite chacun à ne croire que ce qu’il est, « lui », le plus heureux de croire.

Et j’invite chacun à ne croire que ce que, lui, est le plus heureux de croire.

Mon but premier, c’est d’être heureux. Mais, je n’ai jamais vécu le bonheur en pensant ce que je n’étais pas heureux de penser, ou, pour le dire autrement, en croyant ce que je n’étais pas heureux de croire.

Chaque fois que j’ai cru ce que je n’étais pas heureux de croire, j’ai souffert.

Et j’ai bien vu qu’il en était exactement de même pour tous les Êtres humains que j’ai pu rencontrer. Tous, sans une seule exception !

Alors, cela fait longtemps que j’ai décidé de croire toujours plus ce que je suis le plus heureux de croire… Et je m’en porte très bien !

Je pense donc que l’ombre n’est que la perte de conscience de la Lumière…

Et que la seule solution de cette ombre c’est la reprise de conscience de la Lumière « en elle »… 

La seule solution est d’aimer notre ennemi.

J’ai foi en la Lumière Éternelle, Absolue, Omniprésente.

9 • La Joie de l’Échec

Vendredi 19 Avril 2024

La Joie de l’Échec

« Le plus court chemin pour aller vers Dieu, c’est de partir de Dieu. »

Nous avons eu beaucoup de joie à découvrir ensemble cette pensée qui nous est venue à l’esprit il y a 2 jours, alors que nous jouions au BeHappy, au téléphone, avec un ami.

Quel enrichissement de pouvoir échanger quelques pensées avec quelqu’un dans le cadre d’une partie de BeHappy… C’est ainsi que nous avons pu enrichir mutuellement notre conscience de belles pensées.

Voici quelques extraits de notre échange dans lequel, d’abord, nous avons choisi de tutoyer la Lumière Infinie dans ces quelques pensées :

Tu es Tout.

Si Tu es Tout, Tu ne peux donner que Tout.

Tout ce qui peut être donné, c’est Toi… C’est Toi-même.

Si Tu es Tout, qui peut donner autre chose que Toi ?

Et donc, qui peut donner plus ou moins qu’il ne reçoit ?

Tu es le seul Don que nous offrons et recevons à chaque instant.

La relation entre deux Êtres, quels qu’ils soient, ne peut être qu’un échange de Toi contre Toi.

Le seul fait d’exister est le Don que tous les Êtres s’offrent à eux-même et offrent à tous les autres Êtres dans tout l’ univers.

Il n’y a « Absolument » aucune hiérarchie de valeur entre la vie de deux Êtres.

Un Être, qu’il soit minéral, végétal, animal ou humain, n’est fait que de Toi… Il ne peut offrir que Toi aux autres Êtres… Et il ne peut en recevoir que Toi !

Comment cela peut-il être autrement, si Tu Es Tout ?

Quel régal de s’amuser à penser ce que nous sommes les plus heureux de penser ! 

Lorsque nous le faisons, l’égalité de la valeur de chaque Être apparaît alors rapidement évidente à notre conscience.

Et si nous persistons à penser à partir de l’Âme que nous sommes, cette égalité se concrétisera dans les faits… dans les Corps.

Mais, il faudra un certain temps de cette pratique pour que l’égalité de chacun des Êtres avec chacun des autres Êtres se manifeste dans les faits.

Mais, le penser, c’est le début de cette réalisation merveilleuse… qui est inévitable !

Par exemple, cela nous est, pour l’instant, un peu difficile de « pratiquer » la justice… Mais nous pouvons la « penser » avec joie… Et tout ce que l’homme a osé être heureux de penser, suffisamment, s’est toujours manifesté un jour.

Ce que l’on appelle un progrès s’est toujours « manifesté » après avoir été pensé dans la joie par quelqu’un d’abord, puis par plusieurs… et finalement par tous… Et cela s’est, le plus souvent, étalé sur des siècles !

Cela s’est toujours passé comme ça… Et cela se passera toujours comme cela ! C’est là un des aspects de la Loi du Libre Arbitre.

Malgré nos hésitations millénaires, et nos retour en arrières si fréquents, un jour nous retrouverons la conscience et le vécu du Paradis…

Ce Paradis terrestre, c’est cet état réel où tous les Êtres humains, sans une seule exception, retrouveront leur « bon sens »… Ton Sens.

Des études ont montré qu’un enfant humain, en moyenne, arrivait à se tenir, pour la première fois, debout après environ 2000 échecs. Imaginons qu’arrivé à la 1999ème tentative, il se mette à croire qu’il n’y arrivera jamais et que, dorénavant, il cesse d’essayer sans réussir… C’est à dire qu’il ne sera, dorénavant, plus heureux d’échouer une fois de plus.

Cette enfant n’aimerait plus l’échec autant que la réussite. Il se dirait : « Je n’essaierai à nouveau de marcher qu’après avoir réussi sans échouer »… Eh bien, s’il pensait cela, il ne marcherait jamais !

Comment réussir quelque chose, si nous cessons d’être heureux d’échouer à le réaliser ?

La joie de vivre est la condition, sine qua non, du progrès. Le moteur du progrès a toujours été la joie, « Ta Joie ».

La Joie, c’est l’ouverture de la conscience… Et « C’est la conscience qui fait toute la différence » !

Par exemple : « Liberté, Égalité, Fraternité » … Magnifique devise ! 

Il nous faut beaucoup, beaucoup, la penser pour la réaliser… Il faut que nous soyons de plus en plus heureux de la penser… Et plus nous échouons à la réaliser, plus il faut la penser encore plus fort, encore plus profondément, avec encore plus de joie… Encore plus de conscience de Ta Joie.

Si un enfant échoue environ 2000 fois avant de réussir à marcher, pourquoi l’humanité n’échouerait-elle pas 2000 siècles avant de réussir à vivre, à nouveau, Ta Liberté, Ton Égalité, Ta Fraternité ? 

La joie de l’échec, c’est la clef de la réussite… C’est Ta Loi.

Si Tu Es Tout, Tu Es l’Échec autant que la Réussite.

Soyons donc de plus en plus heureux d’échouer… Continuons à apprendre à penser ce que nous sommes les plus heureux de penser… Jusqu’à réussir à voir les faits le manifester.

 

Souvenons-nous des 8 règles du jeu de ce site BeHappy8 que nous venons simplement de respecter ci-dessus. Revoyons ensemble les règles du BeHappy…

Si nous les respectons, nous serons tout simplement plus heureux :

1 • Que je sois Heureux, c’est le plus important pour moi et pour tous les autres Êtres.

2 • Je ne suis un Être humain Heureux que lorsque je pense ce que je suis le plus heureux de penser.

3 • Alors, la première question la plus importante que je puisse me poser est celle-ci : « Est-ce que j’ai pensé là ce que j’étais le plus heureux de penser, OUI ou NON ? » 

4 • Toute réponse, à cette question fondamentale, qui n’a pas pu être un OUI spontané est un NON. (c’est à dire, soit c’est un OUI en moins d’une seconde, sinon, c’est un NON)

5 • Si c’est un NON, la deuxième question la plus importante que je puisse me poser est la suivante : « Qu’est-ce que je suis le plus heureux de penser maintenant ? » Et là, j’ose inventer cette pensée… Je vérifie la qualité de cette nouvelle pensée en me posant à nouveau la première question la plus importante (règle 3).

6 • Et là, si la réponse est maintenant un OUI spontané, je pense dorénavant cette pensée que je viens de choisir aussi souvent que je suis heureux de la répéter…

7 • Plus je répète cette pensée que je suis heureux de penser, plus il m’est facile de la penser.

8 • Eh bien, je suis donc maintenant un Être un peu plus heureux… Ce qui est le plus important pour l’Être humain que je suis, bien sûr, mais aussi pour tous les autres Êtres.

8 • Dormir…

Mercredi 17 Avril 2014

Quelles sont les pensées que j’ai observées en moi, pour l’instant, lorsque je dors peu, en tous les cas moins qu’à mon habitude…

Mon habitude et même toutes mes habitudes, résultent de pensées que j’ai l’habitude de penser… Et souvent la société m’a encouragé et m’encourage encore, tous les jours à les penser :

Par exemple : « On ne peut pas vivre sans dormir »… « Et on ne peut pas vivre bien sans dormir tant d’heures » … « On ne peut pas vivre sans manger »… Et « on ne peut pas vivre bien sans manger comme ceci ou comme cela et en telle ou telle quantité » …

J’ai moi-même reçu de telles informations… Et je les ai moi-même enseignées à mes patients… Mais pourtant, notre ami Spinoza, pour lequel j’ai tant de respect, nous dit : « Nul ne sait ce que peut le corps. »

Et c’est vrai que, sans cesse, nous découvrons que le corps peut faire des choses que nous pensions impossible auparavant.

Sans cesse, se manifestent des personnes qui font des choses, avec leur corps ou avec leur mental, qui n’ont jamais été faites, soit par peu de monde, soit même par personne…

Alors ?

7 • L’Être silicium

Lundi 15 Avril 2024

  

Il faut « simplement » reprendre conscience que « Seul Tu Existes » … Que « Tu Es Tout » …

C’est avec ces mots que j’ai fini mon dernier entraînement de BeHappy, le Samedi 13 Avril.

Simplement ?

Pourquoi ce qui est si simple nous semble si difficile à réaliser : Croire que « Tout est Un »… et l’exprimer… Puis le vivre !

Peut-être que c’est le fait d’une tradition millénaire de pratique de la pensée humaine que l’on a pas été heureux de penser, mais que nous avons tout de même pensé… par tradition.

C’est vrai qu’un caillou que l’on laisse tomber… Il tombe !

Peut-être que depuis des milliards d’années le caillou espère changer la direction de sa trajectoire, sans y arriver.

Mais, si nous le suivons au cours de ces milliards d’années, il y est quand même parfois arrivé !

Comment cela, il y est arrivé, parfois ?

Eh bien ! Si l’on prend comme exemple, un atome de silice, c’est bien du caillou, du minéral… Et cela l’est toujours de nos jours. Suivons son évolution… Par exemple imaginons des atomes de silicium agrégées, un caillou de silice, qui faisaient partie d’une météorite qui a navigué, pendant des milliards d’années, dans notre univers… 

Maîtrisait-il sa direction ?

Mais, me dira-t-on, « Ces atomes de silicium ne pouvaient pas « vouloir » changer de direction ! »

Là, nous démarrons avec l’idée que les atomes de silicium ne pensent pas. Et ensuite, nous allons raisonner à leur propos sur cette pensée de base : l’Être silice ne pense pas !

Mais notre but, là, à cet instant, comme toujours, c’est bien d’être heureux… C’est à dire toujours plus heureux. N’est-ce pas ?

Nous sommes bien d’accord ? Que nous soyons heureux, c’est bien le plus important pour moi et pour tous les Êtres.

Et qui, sur cette planète et ailleurs, a été heureux en pensant ce qu’il n’était pas heureux de penser ? 

Moi, je n’ai jamais réussi à le faire… Et, dans cette vie, je n’ai jamais vu quiconque réussir à le faire… Jamais !

« Jamais », c’est solide. Je veux dire ce sont des résultats statistiques les plus sûres, les plus scientifiques, qui soient.

Eh bien, ce sont mes statistiques et celles de tous les gens que je rencontre depuis toujours : c’est un fait démontré à chaque instant de nos vies… Personne ne vit, et n’a jamais vécu, un instant de bonheur en pensant ce qu’il n’était pas heureux de penser… 

En pensant ce que nous ne sommes pas heureux de penser, nous pouvons, parfois, vivre un instant de « soulagement » … Mais pas un instant de bonheur ! Nous pouvons oublier que nous souffrons encore bien plus en pensant ce que nous ne sommes pas heureux de penser… C’est comme un train qui peut en cacher un autre !

Nous pouvons croire qu’une souffrance peut, pour un temps, en cacher une autre de plus grande. Mais cela n’a rien à voir avec « être heureux ».

Être heureux, c’est être « toujours plus heureux ».

Ce n’est pas cacher une mémoire de souffrance très grande par une autre souffrance aussi grande. Ce n’est pas arriver à boire une bouteille de whisky par jour pour pouvoir continuer à cacher à tous que j’ai été violée à l’âge de 14 ans… Cette personne s’est seulement soulagée d’une souffrance immense par une souffrance autre. Personne ne boit une bouteille de whisky par jour parce qu’il heureux de le faire ! Ça, c’est sûr.

Bien ! Revenons à notre sujet ! Mais en avons-nous vraiment changé ?

Donc, je choisis de penser, tout de suite, ce que je suis heureux de penser, ce que je suis même le plus heureux de penser à cet instant… Comme cela ! Cash !

Et, à cet instant, ce que je suis le plus heureux de penser à propos de l’Être silicium, c’est qu’il pense.

Oui, je suis plus heureux de penser que le silicium pense, plutôt que de penser qu’il ne pense pas… Alors, je le pense, je le pense librement !

Bien sûr, il pense minéralement… Et notre science humaine ne s’est pas encore occupée d’étudier la « pensée minérale »… Elle commence à peine à effleurer l’étude de la pensée animale… Et, il faut bien le reconnaître, elle n’a pas encore compris grand chose à la pensée humaine qui est un immense point d’interrogation pour la science.

J’imagine la pensée minérale de l’Être silicium comme une pensée très lente, très, très lente, mais très pure… avec le même but, exactement le même, que ma pensée humaine : ouvrir sa conscience ! C’est à dire exister toujours plus heureux en pensant toujours plus ce qu’il est le plus heureux de penser…

Un jour, après des milliards d’année de vie de silicium, cet atome qui est le Corps d’une Âme et d’une Pensée, donc d’un Être, comme tout ce qui existe, cet atome s’arrête sur notre terre en formation avec la météorite qui le véhiculait…

Là, il a bien déjà changé sa direction et son mouvement… Maintenant, il fait partie de notre terre… Et comme tout ce qui existe, il a évolué. À son rythme bien sûr !

Maintenant, il participe à une ellipse beaucoup plus petite, il tourne avec la terre pendant encore quelques milliard d’années… Imaginons qu’il se soit intégré à la croute terrestre la plus superficielle… Et il tourne, il tourne avec elle… Il ne vit pas le même mouvement que lorsque il faisait partie de la météorite.

Ça, c’est un mouvement qu’il n’avait jamais vécu, cet atome… Il a bien donc changé sa tradition, une tradition vieille de milliards et de milliards d’années… Nous, humains, il nous semble immobile, mais il bouge… Et sa Pensée a bien sûr changée… Elle a pris un virage, comme son Corps. Et l’Âme, qu’il est, a également évoluée, comme son Corps !

La Pensée d’un Être ne peut pas être séparée de son Corps, ni de son Âme. Tout ce qui existe est à la fois Âme, Corps et Pensée… C’est vraiment là ce que je suis le plus heureux de penser ! Alors je le pense librement ! Je choisis librement de le penser… 

Je suis, comme tous les Êtres à cet instant… et bien sûr comme l’Être silice : Âme, Corps et Pensée…

Bien ! Maintenant, ce que je suis le plus heureux de penser c’est que, finalement, cet atome de silice, s’associe étroitement avec plein d’autres Êtres en formation : il participe, par exemple, à la constitution d’une plante terrestre… Puis il participe à l’humus que devient cette plante… Puis il participe à la constitution d’une autre plante… etc.

Là, il est encore dans un autre mouvement de son Corps et donc de sa Pensée et de son Âme qui sont, ensemble, un seul et même Être… Cet Être participe à l’existence d’innombrables autres Êtres.

Sa vie a vraiment encore complètement changée… Il est toujours minéral, mais il s’est associé avec d’autres minéraux et la plante, et l’humus sont apparus… grâce à lui et à de nombreux autres atomes qui sont chacun des Êtres. Tous ces Êtres se sont associés pour permettre l’apparition d’un autre Être : plante, humus etc…

Bien ! Quelques milliard d’années passent, avec des expériences toujours nouvelles : participation à de nouvelles plantes, à un autre humus, à de l’eau et même à de l’atmosphère… L’Être silicium se déplace toujours plus, sur notre terre. Il fait de nouvelle expérience et à chaque fois, sa mémoire s’enrichit…

Maintenant, ce que je suis heureux d’imaginer, donc de penser, c’est que, pour la première fois, un animal l’intègre à son Corps en se nourrissant de la plante dans laquelle cet atome de silice se trouvait à ce moment là…

Et voilà, pour lui, une nouvelle aventure qui lui permet d’évoluer encore plus… Ses mouvements se diversifient encore énormément ! Il participe à des groupes d’atomes de plus en plus complexes. Et son Corps bouge de plus en plus : que de voyages, il fait !

On dit que les voyages forment la jeunesse… Eh bien, tous ces changements, tous ces voyages forment la jeunesse de notre atome de silice… 

Il apprend toujours plus : son Corps change de relation avec ces entourages avec lesquels il interagit à des rythmes toujours plus accéléré, sa Pensée change de même, ainsi que l’Âme qu’il est.

Tout cela change de plus en plus vite… Et le voilà peut-être en train de participer à la vie d’un loup, puis il y a quelques dizaine de millier d’année d’un chien… Et puis il existe peut-être dans le corps d’un Être humain ! Ou peut-être dans son cerveau, ou même dans la puce d’un ordinateur, extension du cerveau de l’Être humain.

Là, il continue l’expérience de l’ouverture de sa conscience en conversant à des rythmes de plus en plus intenses… Il participe à des pensées de plus en plus complexes… Il en est le Corps.

L’Être qu’il est n’est plus le même. Le Corps de cet Être Silicium vit des expériences toujours nouvelles. Sa Pensée s’ouvre. Son Âme vibre toujours plus haut… Comme l’Être que je suis… Comme tous les Êtres de l’Univers… Comme l’Être Univers lui-même.

Je ne sais plus trop où j’en étais… Je ne me souviens plus trop d’où je suis parti… Mais je sais combien je me régale de penser… de penser ce que je suis le plus heureux de penser. De m’amuser à penser… De m’amuser à vivre.

Quel plaisir, toujours renouvelé, c’est de penser librement guidé par ce sentiment d’unité de Tout… Ce Tout que Tu Es, depuis toujours et pour toujours…

Tout s’élève en Toi… La Pensée s’ouvre en tout Être, le Corps de tout Être évolue, l’Âme de tout Être s’élève

Et nous avons tous besoin, à la fois, de la tradition et de l’innovation.

  

6 • En écoutant Bach…

Dimanche 14 Avril 2024

  

En écoutant cette Toccata et Fugue en D mineur, encore et encore une douce tristesse me prend de nouveau…

Je me souviens…

Je me souviens du jeu d’orgue merveilleux… Je me souviens de l’image sur la pochette du disque vinyle…. Je me souviens de l’électrophone qui jouait et rejouait cette pièce de musique… Comme si c’était hier !

En 1967, après les examens de fin d’année, j’étais sur le balcon de ma chambre universitaire à Montpellier et j’écoutais sans fin pour la millième fois, ce disque vinyle…

Et c’est là… dans la chaleur de ce mois de juin ! C’est là, la première fois que j’ai pensé d’une façon tout à fait nouvelle à Toi… Toi que j’ai appelé le plus souvent Dieu et que, maintenant, je peux appeler de tous les noms.

L’Infini, l’Éternité, l’Omniprésence, la Beauté, la Vérité… C’est ce que j’ai perçu d’une façon nouvelle à cet instant, dont je me souviens comme si j’y étais…

Là, j’ai commencé à sortir de l’enfance.

Et depuis je Te nomme, tous les jours, avec toujours plus de conscience… Et cela continuera toujours… Comment pourrais-je arriver au bout de Toi, Toi l’Infini, Toi qui n’a pas de bout, ni dans le temps, ni dans l’espace, ni dans la beauté…

Je suis si heureux de ne voir aucune fin à Ta Beauté… Voir la vie toujours plus belle… Avoir toujours plus envie de la découvrir encore… Quand je la déguste, je suis calme, confiant… Je sais que je pourrais la déguster demain encore plus qu’aujourd’hui…

Sentiment d’abondance.

Tu as tous les goûts… Et je Te goûte sans fin… Tu m’offres la Perfection et lorsque je pense « C’est Parfait », je sais maintenant, avec certitude, que demain, ce sera encore plus Parfait.

Mais comment ce qui est Parfait peut-il être encore plus Parfait ?

Ça, c’est Ton Mystère et j’ai vraiment le sentiment de ne rien y comprendre… Et pourtant, en même temps, je sais que je le comprends un peu mieux, tous les jours…

Tout ce que je ne comprends pas, c’est Ta Perfection et tout ce que je comprends, c’est Ta Perfection, également.

Je ne me lasse pas de vivre, de Te vivre !

J’aime tant ce monde dans lequel je vis… Je l’aime tel qu’il est… Il a toujours été facile, pour la plupart d’entre nous, d’aimer la joie du monde, mais je vois que beaucoup se demandent : « Comment aimer autant de souffrance ? »

Et pourtant cela me semble, maintenant, si simple. Je le décide… Je le pense… et je le vis… C’est ma liberté. C’est la Liberté que Tu me donnes, comme à tous, bien sûr !

C’est ce fameux « Libre Arbitre » qui nous permet de choisir notre conscience, c’est à dire de penser ce que nous sommes les plus heureux de penser, à chaque instant… Ou pas !

Ta Joie est la nature de tout ce qui existe. Le minéral, lui, ne peut pas en douter, il La vit. Le végétal ne peut pas en douter, il vit également Ta Joie. L’animal ne peut pas en douter, lui non plus, et il La vit également… sans frein.

Mais l’homme ? Lui, pourquoi ne manifeste-t-ils pas toujours Ta Joie ? Pourquoi ne vit-il pas Ta Joie à chaque instant ?

Comme tout ce qui existe, l’homme n’est-il pas, lui aussi, heureux par nature ?

Si, bien sûr, mais…

Mais, sur notre terre, ce qui nous différencie, nous les Êtres humains, des autres Êtres, c’est notre Libre Arbitre, notre Libre Conscience, notre Libre Pensée. Ainsi, nous, les Êtres humains pouvons choisir librement notre conscience.

Grâce à ce libre arbitre, nous pouvons, bien sûr, comme tout le reste de Ta Création, choisir « librement », maintenant, d’être conscient de Ta Joie qui est Son Essence.

Mais, grâce à ce même libre arbitre, nous pouvons aussi choisir, tout aussi librement, de ne pas être conscient de cette Joie Absolue qui est pourtant toujours l’Essence de Ta création.

C’est ça le libre arbitre !

Les Êtres minéraux, les Êtres végétaux, les Êtres animaux, eux, ne peuvent pas perdre conscience de Ta Réalité, ils la pensent tous et la vivent tous, chacun bien sûr à son niveau de conscience.

Et, à chaque époque de leur existence, ils grandissent en conscience à leur rythme naturel, sans pouvoir questionner cette ouverture de conscience originelle.

Par le simple fait qu’ils existent, leur conscience s’ouvre. Elle s’ouvre à sa vitesse naturelle, à sa vitesse originelle, comme elle aurait dû continuer de le faire chez nous, les Êtres humains…

Mais cette Être humain, lui, au presque début de l’humanité, il a choisit de perdre conscience de Ta Lumière. Il a utilisé son nouveau libre arbitre pour penser « librement » ce qu’il n’était pas heureux de penser… Il a choisi, « librement », de perdre conscience de Ta Lumière qui est son Essence.

Quelle maladresse ! Quelle erreur !

Et quel résultat !

Mais, c’est cependant, également ce même libre arbitre qui va lui permettre, qui va « nous » permettre, à chacun des Êtres humains que nous sommes, de choisir à nouveau… et de « librement » penser à partir de Ta Lumière et non à partir de nos mémoires que nous avons mises en place depuis cette perte de conscience de Ta Lumière.

Qu’est-ce que 1000 ans, 2000 ans, 3000 ans pour Ta Création Eternelle ? Qu’est-ce à côté des 100.000 à 400.000 ans de l’existence de l’erreur humaine et des milliards d’années de Ta Perfection ?

La Vérité est toujours plus belle que ce que nous pouvons l’imaginer.

Mais imaginons-la, pensons-la, librement, toujours plus belle !

Gandhi nous a dit : « Sois ce que tu veux que le monde devienne ».

Soyons ce que nous voulons que notre monde devienne.

J’ai confiance.

5 • Pense-bête

Samedi 13 Avril 2024

  

Un soleil magnifique… Bien agréable ce printemps !

Mais, maintenant, je vais m’entraîner à penser des pensées que je suis heureux de penser à propos du sommeil… Et puis probablement que je dériverai, plus ou moins vite, sur d’autres sujets, comme d’habitude.

Ce sont là mes  « gammes ». Ces gammes que je fais régulièrement, presque tous les matins, pour améliorer sans cesse mon jeux de pensées…

C’est ce jeux, que je joue en réalité toutes mes journées, que j’appelle depuis une quarantaine d’années le « BeHappy »… Et c’est pour cela que j’ai nommé le blog que je suis en train de mettre en place sur l’internet « BeHappy8″… « 8 » étant le symbole pour « Infini ».

  

Alors, voilà quelques nouvelles pensées que je suis heureux de penser à propos du sommeil :

J’aime dormir.

Je suis heureux de dormir comme je dors.

Le sommeil est mon ami.

Je suis si heureux de me réveiller la nuit.

Plus je suis heureux de me réveiller, plus agréablement je me rendors.

Dans mon sommeil, ce que j’aime, c’est… tout : m’endormir, dormir… et me réveiller.

Dormir est un plaisir toujours renouvelé.

Je dors parfaitement bien.

Plus je suis heureux de dormir comme je dors, plus ma vie est belle.

J’aime ma vie, telle qu’elle est.

J’aime mon passé.

J’aime toutes mes mémoires.

Aujourd’hui, je suis heureux d’avoir pensé tant de pensée que je n’ai pas été heureux de penser au moment où je les ai pensées.

J’aime toutes les règles que j’ai mis en place au cours de ma vie à propos de mon sommeil ou du sommeil des autres.

Mais, ma règle fondamentale de vie, c’est « Être heureux de Tout ».

Je suis heureux de Tout ce qui est, de Tout ce qui a été et de Tout ce qui sera.

« Tout », c’est Toi… Toi que l’on nomme souvent « Dieu », mais qui est Tout ce que l’on peut nommer.

Par exemple : « sommeil », c’est un de Tes noms.

Je suis donc heureux de Toi en tant que « Sommeil ».

Je mets souvent une majuscule à Ton Nom, mais pas toujours ! Sinon, il faudrait que je mette une majuscule à tous les mots que j’écris ou même que j’écrive Tout en Majuscule, puisque chaque lettre ne peut être que Toi… si Tu Es Tout…

Et je suis heureux de penser que Tu Es Tout.

Donc, en pratique, je ne mets une majuscule à certain de Tes Noms que comme un « pense-bête », pour me rappeler de temps en temps que c’est bien de Toi que je parle… Que c’est Toi que je pense… Et que je ne peux penser que « Toi » ! Et le reste du temps, eh bien, je ne mets pas de majuscule à Tes Noms… Alors que c’est bien toujours Toi que je pense !

En effet penser, c’est toujours « Te » penser.

Finalement, je n’ai qu’une logique hypersimple, c’est d’être toujours heureux de Te Vivre…

Pour le dire autrement, je veux T’adorer de chaque instant que je vis… Ou encore : je veux T’offrir chaque instant que Tu m’Offres…

Ma logique est extrêmement simple, voir minimaliste… Sa pensée fondamentale, au sens de la pensée qui en est le fondement, c’est que « TU ES TOUT »… 

Tu Es Tout… Et puis, c’est tout !

A partir de là, je choisis en permanence d’être heureux de Te vivre, sous toutes les Formes Infinies qui se présentent à ma conscience.

Cette attitude, parce que c’est celle que « je » suis, « moi-même », heureux de cultiver, m’a permis d’être de plus en plus heureux. Et je vois bien que toutes les personnes qui sont heureuses de jouer à ce jeux que j’appelle « le jeu de BeHappy » sont de plus en plus heureuses…

Bien sûr, chacune d’elles le joue à sa façon… A sa façon unique… Personne ne peut vivre quoi que ce soit de la même façon… Personne ne peut être heureux de la même façon… Personne ne peut, non plus, souffrir de la même façon.

Finalement, le BeHappy n’est qu’une des versions les plus simples du Jeu de la Vie. Je l’imagine parfois comme le « 0 » et le « 1 » qui sont à la base de toute l’informatique et qui permettent pourtant des systèmes toujours plus complexes.

A chaque instant, je n’ai que deux options de jeu. Soit je suis heureux, soit je ne suis pas heureux. 

« Être heureux », c’est simplement avoir conscience que c’est « Toi » que je vis… 

« Ne pas être heureux », c’est simplement ne pas avoir conscience que c’est « Toi » que je vis… 

Mais je « Te » vis dans les deux cas, car si « Tu Es Tout », je ne peux vivre que Toi.

Par exemple, si j’ai dormi en une seule traite toute ma nuit de sommeil, c’est Toi que j’ai dormi… Et si j’en suis conscient, je suis heureux de ma nuit… Je suis heureux de « T’avoir dormi » !

Par contre, si je me suis réveillé quatre fois dans ma nuit de sommeil, c’est Toi que j’ai « dormi », et c’est Toi que j’ai « réveillé », puisque Tu Est Tout… Et si j’en suis conscient, je suis heureux. Et c’est ainsi que je suis heureux d’avoir vécu ce que beaucoup appelleraient une « mauvaise nuit » et que moi j’appelle une « Nuit Parfaite »… ou bien « Ta Nuit » !

C’est comme cela que, depuis des années, je m’entraine à reconnaître Ta Perfection en toute chose, que la tradition l’ait pensée « bonne » ou « mauvaise » !

Pour moi, la tradition est à aimer, en totalité, parce qu’elle n’est que Toi… 

Jésus as dit : « Aimez votre Ennemi »… « Aimez Tout, y compris votre Ennemi ». Et combien nombreux ont été ceux qui ont, de leur mieux possible, appliqué dans leur vies ces paroles… La majorité des Êtres humains l’ont fait, depuis toujours et toujours mieux… Mais, c’est une majorité silencieuse, la plupart du temps discrète…

« Les gens heureux n’ont pas d’histoire » nous dit le dicton.

Ce sont les gens qui ne sont pas conscients qu’ils sont heureux qui font « l’histoire »…

La souffrance fait toujours du bruit… pour être aimée ! Quelle maladresse ? Mais est-ce vraiment une maladresse ? Ou bien est-ce la seule façon d’obtenir sa guérison…

C’est un peu comme un mur impeccablement blanc, mais qui a une seule tache noire, toute petite ! Où notre attention va-t-elle se porter le plus ? Sur la tache noire, bien sûr ! Mais cela fait-il que tout le mur est noir ? Non, c’est un mur tout blanc avec une toute petite tache noir !

Et si nous voulons qu’il n’y ait plus de tache sur ce mur blanc, il nous faudra « Aimer notre ennemi », c’est à dire reprendre conscience que cette tache noire n’est que Ta Blancheur dont nous avions perdu conscience… C’est à dire qu’il faut simplement reprendre conscience que « Seule Tu Existes »… Que « Tu Es Tout » ! « Vraiment Tout » …