2024 • ULTIME…

Léonard de Vinci aimait beaucoup les charades…

Alors, en voici une, pour suivre sa trace.

ULTIME…

J’appartiens à l’Éternité… 

Et pourtant, rien n’a été plus manipulé que moi.

J’existais bien avant que l’homme ait pu vivre son libre arbitre… 

Bien avant qu’il ait pu bénéficier de moi, comme toute la Création… 

Bien avant que les fausses autorités aient pu me falsifier.

Je ne me contredis jamais, 

Fidélité, c’est aussi ma qualité.

Tous les progrès humains ont été faits en mon nom.

Mais, les plus grands drames de l’humanité 

Ont également été perpétrés en mon nom !

Je suis beauté ou laideur… 

Beauté pour celui qui me découvre toujours plus en toutes choses et me cultive… 

Laideur, et même danger, pour celui qui m’ignore, me craint et me combat…

Selon les âges 

Qui peuvent durer quelques instants ou bien des siècles, 

Je grandis ou je diminue dans l’esprit de chacun.

Je peux être une excuse pour le mal à un moment, 

Je ne peux être une cause que du bien à un autre moment.

L’homme me cherche à tout instant… 

Et trop souvent me craint plus que tout.

Dans les cœurs, les religions me cherchent 

Sous des noms innombrables… 

Mais, trop souvent, elles me combattent 

Comme si j’étais leur seul danger ! 

Dans la pensée, la philosophie me poursuit,

En général, courageusement.

Mais elle peut aussi me manipuler 

De façon si intelligente !

La science, elle, me poursuit dans la matière… 

Et elle change mon nom en me découvrant toujours plus… 

Mais, trop souvent elle oublie que je suis son but

Et elle peut interdire que l’on me cherche.

Je respecte tout avec douceur.

Jamais je ne m’impose,

Mais l’humble me trouve facilement.

Depuis que vous êtes hommes,

Vous êtes à ma poursuite… 

Mais qui d’autre que l’Éternel

Me connaît totalement ?

La nature m’exprime dans toute sa beauté…

Mais l’homme, par l’usage maladroit 

De son merveilleux Libre arbitre 

M’a, trop souvent, recouvert d’oripeaux.

Je m’exprime en toute chose… 

Et si vous m’écoutez, je suis une bénédiction… 

Mais dès que vous me camouflez, 

Le mal apparaît dans son illusion !

Il est toujours bon de m’entendre, 

Mais qui veut m’écouter ?

On a beaucoup tué en mon nom, 

Mais, pourtant, qui peut me donner un nom unique ?

Je me faufile dans la vie de chacun, 

Dont j’exprime les plus belles attentes… 

Quelles sont les peurs 

Qui vous empêchent de jouir de ma beauté ? 

L’Infini est mon royaume, 

L’Éternité est mon temps…

Personne ne peut me changer, 

Mais chacun peut me découvrir…

Toujours plus…

Ou me cacher !

Vous ne pouvez vivre votre joie

Sans me prendre avec vous.

L’Amour Véritable ne peut exister sans moi, 

Et les amants me désirent plus que tout 

Pour vivre leurs relations les plus belles !

L’homme me met à l’épreuve sans cesse 

Pour me découvrir encore et toujours…

Mais, lorsqu’il me découvre, 

Il y a une chose qui est sûre, 

C’est qu’il me découvrira encore !

Le minéral, le végétal et l’animal me vivent tranquillement… 

Sans le savoir.

Seul l’homme a pu perdre conscience de moi… 

Et souffrir de m’oublier.

Je suis autant dans le moindre grain de poussière 

Que dans les Êtres humains les plus accomplis…

Je m’exprime dans toute la création… 

Depuis le Big Bang, mais aussi bien avant !

Avant que l’Être humain ne vive son libre arbitre, 

La nature me vivait toujours dans sa conscience… 

Depuis le presque début de l’humanité, 

Seuls ceux qui le choisissent 

M’écoute et me vivent dans la paix…

Car je suis toujours la condition de la paix.

Je me suffis à moi-même…

Et pourtant, je suis en lien avec toutes les vertus. 

Je m’exprime totalement dans les plus beaux Êtres de la terre, 

Et alors, chacun peut facilement m’entendre,

S’il le désire.

Je m’exprime tout autant dans les plus malheureux de la terre, 

Mais là, seuls peuvent m’entendre ceux qui me connaissent…

Je suis le but à atteindre, 

Et le point de départ de tout chemin.

Sans moi, rien n’est vraiment réalisé. 

La création n’existe que par moi !

Souvenez-vous de mon nom :

« Vérité » 

Mercredi 6 Mars 2024

Les 8 Entretiens (7ème Partie du 1er Entretien)

Deux petits artisans de la Lumière parmi tant d’autres, petit (■) et petit (●), communiquent sur bien des sujets qui n’ont peut-être pas tant d’importances…

Ce n’est jamais la première fois, ni la dernière fois, que nous nous rencontrons

Mais c’est ce qui fait que nous sommes là aujourd’hui ! C’est parce que nous avons certaines mémoires de cet Amour Inconditionnel… Nous avons ces liens… Et paf ! Nous sommes à nouveau ensemble !

Et c’est normal !

Si tu as un épicier qui te propose de bons produits et qui est toujours sympa, généreux, honnête etc… tu ne vas pas changer d’épicier ! Tu reviens ! Tu reviens chez lui en tant que clientes fidèles…

Voilà, c’est exactement ce qui se passe : nous revenons et nous reviendrons ! Parce que ça, c’est ce que nous « voulons » vivre ! C’est tout !

Ce que nous voulons tous vivre, c’est une relation d’Amour Inconditionnel…

Et, ensuite, tout en découle ! Ça dégouline… Ça coule comme de l’eau qui, depuis la source, forme un ruisseau et coule jusqu’à nous…

Et si nous ne bloquons pas cette eau, elle va continuer à couler, en un ruisseau de plus en plus important, sur ceux qui nous entourent… et ainsi de suite…

Il faut que ça coule !

C’est vraiment merveilleux… 

C’est merveilleux … et c’est accessible !

  

C’est merveilleux et accessible

Ça, c’est sûr ! C’est merveilleux !

Mais, c’est vrai : il faut simplement que nous acceptions de « répéter » pour apprendre une nouvelle conscience de la Lumière !

« Apprendre, c’est répéter ! » C’est ce que me disait mon père.

« Apprendre, c’est se souvenir… » C’est ce que nous a dit Platon.

C’est en répétant que l’on se souvient de mieux en mieux.

Et qui a appris autrement ?

C’est impressionnant de voir, comment nous répétons…

Tout ce que nous savons, nous l’avons appris en le répétant : marcher, parler, écrire, compter…

Et même pour apprendre les attitudes ombreuses, comment avons-nous fait ?

Nous les avons répétées !

C’est tout ! C’est le même mécanisme… Il n’y a « aucune » différence. 

Eh bien, pour apprendre les attitudes toujours plus lumineuses, nous répétons… depuis toujours… et pour toujours.

… Et c’est bien ce que nous avons fait, et pas si mal que ça… En effet, il ne faut pas sous-estimer notre passé… Nous avons un certain passé de valeur qui nous a amené à aujourd’hui !

Et nous devons être justes, avec nous-même et avec les autres !

Oui, c’est vrai que nous avons répété des choses belles qui nous ont amenés à aujourd’hui… Mais, nous avons aussi répété des choses douloureuses qui nous ont amenés, également, à aujourd’hui et dont nous pouvons prendre conscience… 

Pourquoi en prendre conscience ? 

Parce que nous voulons les aimer : nous avons décidé de mettre le paquet et d’y aller !

Et nous avons créé la situation la plus favorable à l’apprentissage de la conscience de l’ombre…

Et ensuite, une fois que nous avons conscience de cette ombre, nous répétons pour apprendre à aimer cette même ombre dont nous avons pris conscience.

Silence…

  

Répéter, c’est continuer à s’élever

Il faut que je me mette à pratiquer !

La pratique, c’est tout de suite… Il n’y a pas de soucis !

Chaque instant de vie, c’est la pratique ! Il n’y a pas besoin d’avoir un certain endroit, ni d’avoir une certaine attitude… 

La pratique, c’est ici : nous sommes toujours en train de pratiquer ! Et nous n’arrêtons jamais !

Nous regardons la nature… alors nous pratiquons ! Nous mangeons… alors nous pratiquons ! Nous marchons… nous sommes en train de pratiquer… Nous nous rencontrons entre Êtres humains… et là nous pratiquons très fort, etc… Nous pratiquons sans arrêt l’ouverture de la conscience à la Lumière ! 

Exister, c’est pratiquer !

Crois-tu que la création ait attendu notre vie d’aujourd’hui pour « pratiquer » ? Depuis qu’ils existent, le minéral, le végétal et l’animal ont toujours pratiqué… mais avec leur conscience…

Aujourd’hui, nous, les Êtres humains, nous pratiquons avec notre « libre conscience ».

Zut ! à un moment, j’ai compris… et puis je suis redescendue dans mon truc habituel…

Tu n’es pas redescendu ! Mais je comprends ce que tu veux dire… 

Tu ne peux pas « redescendre ». Tu continus ton ouverture de conscience ! Comme chacun de nous… Comme toute la création…

Ce n’est pas redescendre que de répéter ! 

Répéter, c’est continuer à monter !

C’est comme si tu marches sur une marche d’escalier… puis tu répètes : deuxième marche… puis tu répètes encore : troisième marche… Et tu montes et tu montes, marche après marche en répétant le même mouvement !

Et ce sont toujours des marches qui sont, chacune, une répétition et qui peuvent nous sembler identiques… pour monter ! Mais ce ne sont jamais les mêmes marches !

Tu répètes, oui… mais en même temps, ce n’est jamais la même marche, car la suivante est toujours un peu plus haute que la précédente… Toujours !

Et grâce à la répétition, à un moment donné, tu te trouves avec une conscience de la Lumière plus grande que celle que tu avais il y a un certain temps… comme malgré toi !

Parce que, à chaque marche, tu as accepté de monter dessus… et de quitter la marche précédente…

Parce que pour arriver à monter sur la marche du dessus, il a bien fallu, à un moment donné, quitter celle qui était plus basse !

(Rire…)

  

Mourir et naître…

Donc, c’est un mouvement permanent… Il faut, sans arrêt, mourir… puis renaître… mourir… puis renaître… Chaque marche est une naissance et une mort… une naissance et une mort…

Et cela au même instant !

C’est vrai ! Il faut d’abord lâcher derrière pour pouvoir ensuite poser devant…

Ce n’est pas « d’abord », c’est « maintenant », c’est « en même temps » !

Parce que, quand tu marches, c’est très important la bipédie : quand tu marches, tu poses un pied devant en même temps que tu lèves un pied derrière, au même instant, simultanément ! Sinon, tu ne peux pas avancer !

Donc, c’est « en même temps » …

Tu vas, en même temps, naître ici et mourir là !

Et cela se fait en même temps : ce ne sont pas deux choses séparées ! C’est un seul instant ! Â chaque instant : une naissance, une vie, une mort…

Ça, je ne l’avais pas vu… Tu vois !

À chaque instant, nous mourons… à chaque instant, nous naissons ! 

Soyons heureux de mourir, pour naître à ce même instant… Vivre heureux, c’est mourir heureux « et » naître heureux… à chaque instant.

Nous sommes obligés de mourir… C’est le mouvement de la vie ! Soyons en heureux !

  

Deux pieds pour mourir et naître au même instant

Regarde ! si je marche devant toi, pour te montrer :

Je lance un pied devant et il se pose sur le sol : je nais ! Mais au même moment, il y a celui de derrière qui quitte le sol : je meurs… si je lâche ! Et hop ! il est disponible et tac ! je peux le poser devant ! Et ainsi de suite… Je meurs, je nais, je meurs, je nais… Je marche ! 

Vivre, c’est un mouvement, c’est une marche, ce n’est pas un état statique…

Et si nous faisons ça, à chaque fois, il y a un mouvement d’ouverture de conscience… et donc, à chaque fois, il y a « la Joie » ! Et c’est notre moteur ! La conscience de la Lumière, c’est notre moteur… On a effectivement accepté, une fois de plus, de mourir pour renaître…

On meurt bien plus qu’une fois dans une vie… Si un instant est infiniment court, il y a donc, dans une vie, un nombre infini d’instants… Et à chacun de ces instants, nous mourrons… Alors dans une vie, nous mourons et nous naissons un nombre infini de fois !

C’est bien !

  

Nous nous aidons les uns les autres, 

même si nous n’en sommes pas conscients

Mais ce sont des lois très simples. Tu sais… Ce sont des choses évidentes… Il faut simplement s’encourager les uns les autres, s’entraider à reprendre conscience de la Lumière en Tout.

C’est ce que font les générations, les unes avec les autres…

On se propose les uns aux autres des mémoires à aimer…

Quand tu rencontres les enfants, ils mettent ça sur la table et ils te demandent : « Tiens ! Est-ce que tu pourrais aimer ceci en moi ? »

Oui, c’est vrai !

Admettons que tu ne puisses pas aimer un aspect particulier dans cet enfant et que tu répondes : « Non ! Ça je ne l’aime pas en toi ! » Eh bien, ce n’est pas grave…

Simplement, l’enfant te le représente et te redemande de l’aimer… et imaginons que tu n’aimes toujours pas cet aspect de lui la deuxième fois… Ce n’est pas grave !

Il te le représente une troisième fois et te propose à nouveau de l’aimer… et ainsi de suite…

Et ceci, jusqu’à ce que tu puisses reconnaître que tu Aimes effectivement cet aspect de lui…

Nous ne nous trahissons jamais les uns les autres… Il y a entre nous tous, entre tous les êtres, un contrat. C’est un contrat qui est de persister jusqu’au succès ! Personne ne va lâcher le morceau… Personne ne va accepter d’être aimé à condition qu’il soit différent !

« Tu vois, maman, je suis comme je suis… et c’est « ça » que je t’invite à aimer ! Et toi, tu n’as qu’une envie, c’est d’aimer ce que je suis en abandonnant de me demander de changer…

Alors, allons-y, essayons à nouveau ! J’ai confiance en toi… Je sais que tu vas finalement le reconnaître : Tu m’aimes sans aucune condition ! »

« Tu n’y arrives pas ? Ce n’est pas grave… Je reviendrai demain ou après-demain ou dans trois jours, ou dans vingt ans, ou bien même dans une autre vie… Et je te présenterai à nouveau, fidèlement, ce que tu cherches à aimer en moi qui est exactement ce que je veux qui soit aimé en moi ! Je te le présenterai encore et encore… jusqu’à ce que nous y arrivions ! … »

« Et toi ? Toi, tu me fais la même chose ! »

En effet, c’est toujours dans les deux sens, en même temps…

Et pareil, on travaille fidèlement ensemble… Et nous prenons le temps qui est nécessaire… Cela dépend de chaque cas, des facteurs en présence… etc.

Cela peut mettre une seconde… ou trois ans… ou même trois vies… Mais qu’est-ce que le temps pour le Divin ?

(… Silence)

  

Si je le fais, ça marche !

J’ai senti… J’ai senti… et parfois, j’ai réussi à exprimer mon Amour sur des points sur lesquels je n’avais pas réussi à le faire auparavant…

Voilà ! Ça crée un précédent ! Comme on dit en justice : « Cela fait jurisprudence » …

Je comprends que ça peut marcher, effectivement !

Ça ne peut « que » marcher ! Cela ne peut pas ne pas marcher !

La seule chose qui est nécessaire… c’est qu’il faut le faire !

Mais, si tu mets un pied devant l’autre, tu avances… Il n’y a pas de souci !

C’est comme si on disait : « Je pense que je peux marcher ! »

Non, ce n’est pas « Je peux marcher ! » … mais « Je marche ! » Voilà !

Si je le fais, ça marche ! Et puis, « je » marche…

Mais, chaque mot a son pouvoir ! Tu vois, si nous disons « Ça peut marcher ! » ou si nous disons « Ça marche ! », on ne dit pas la même chose et on ne ressent pas la même chose… Tu vois bien la différence… ?

Tu sais très bien que ce que tu es vraiment heureuse de penser, c’est « Ça marche ! » et non pas « Ça peut marcher ! » … Mais, tu vois comme c’est fin… C’est malin !

Oui, c’est vrai… la différence est subtile, mais elle est réelle…

On nous dit « L’ombre sait se faire belle ! » 

Tu vois ! Ça semble sympa de dire ça : « Ça peut marcher ! » … Mais est-ce que c’est « vraiment » ce que nous sommes le plus heureux de penser et de dire à cet instant ?

  

Choisissons notre conscience… avec les mots !

C’est là la vraie question : « Est-ce que ce que j’ai pensé là ce que j’étais la plus heureuse de penser ? Oui ou non ? »

Non ! C’est vrai… Ce que je suis la plus heureuse de penser, c’est « Ça marche ! »

Alors, osons penser : « Ça marche ! » … et pensons-le encore et encore !

Il faut choisir les mots… Il faut choisir notre conscience… et puis… il faut répéter !

Les mots, sont très importants…

Il faut « oser » les exprimer… Il faut s’y entraîner… soit par écrit… soit seul, par exemple, dans la voiture en parlant… Ou bien en les pensant intensément dans ta tête ! 

Les mots expriment notre conscience et notre conscience s’exprime par des mots !

Il faut « oser » mettre des mots… clairs et nets qui expriment la Lumière Divine de la façon la plus belle dont nous sommes capables à cet instant…

Le vocabulaire est très important.

Oui ! Je le réalise…

Ouvrir les yeux et tenir le volant

Par exemple, avec sagesse, il faut que nous choisissions également « le temps de conjugaison » … C’est très important !

Nous n’exprimons pas la même conscience lorsque nous disons : « Ça marche ! », « Ça marchera ! » ou « Ça a marché ! » Nous ne sommes pas en train de dire la même chose… Nous n’exprimons pas la même conscience de la Lumière…

« Qu’est-ce que je suis la plus heureuse de penser et de dire à cet instant ? » C’est, là, une question essentielle que nous voulons nous poser… Et là, il faut que je choisisse…

N’oublions pas : pour conduire notre voiture et arriver à bon port, il faut que nous ouvrions les yeux et que nous tenions le volant, en même temps : 

« Ouvrir les yeux », cela signifie « voir ce que j’ai pensé et vérifier si c’est bien ce que je suis le plus heureux de penser… ou pas ! » … 

« Tenir le volant », cela signifie « choisir maintenant de penser ce que je suis le plus heureux de penser » ! 

C’est à dire « Prendre conscience de la conscience que nous venons d’avoir » et en même temps, « Choisir ma conscience suivante à ce nouvel instant » !

C’est là un usage sage du Libre Arbitre qui nous a été donné depuis le début de l’humanité.

Et là, il se passe ce qui doit se passer… C’est à dire une ouverture de la conscience à la Lumière pour l’humanité… à travers moi !

C’est l’intérêt commun que nous servons en pensant ce que nous sommes le plus heureux de penser, c’est à dire en choisissant à chaque instant la conscience que nous sommes le plus heureux d’avoir !

De toutes les façons, je ne sais pas ce que cela réveille, mais ça réveille quelque chose de très agréable…

  

L’instant éternel

Et cela se réalise dans ce petit instant… Un instant, c’est bien plus petit qu’une seconde ! C’est infiniment petit…

C’est comme ce « point » dont on nous a parlé en 6ème en cours de mathématique ! Ce point qui n’a pas de surface ! Tu t’en souviens ? Cela m’avait passionné… et du coup j’avais été premier en math ! J’étais ébloui ! Ce point qui n’avait pas de surface m’a beaucoup touché !

De la même façon, l’instant n’a pas de temps ! Il est infiniment court !

Et c’est à cet instant que tout se passe… « L’instant, c’est le plus important ! » C’est là que tout se passe ! C’est là que s’exprime notre libre conscience, notre libre arbitre !

C’est toujours à cet instant que nous naissons et que nous mourons ! … Dans la joie, si nous le choisissons…

Quel plaisir d’en parler !

C’est un chemin qui n’en est pas un… puisqu’il ne dure qu’un instant !

C’est un chemin… Et il ne faut pas que nous craignions d’utiliser tous les mots…

Le mot « chemin » n’est pas contradictoire avec le concept de « l’instant » et donc, avec le mot qui l’exprime.

C’est comme « la droite » et « la gauche » … La gauche n’est pas l’opposé de la droite… Elle en est le complément !

« Le haut » n’est pas l’opposé « du bas », mais il en est le complément !

Nous avons eu tendance à vivre dans cette idée d’opposer, de séparer, comme « le devant » et « le derrière », « le haut » et « le bas », « l’avant » et « l’après » …

etc.

  

Tout est Lumière

Non ! Les opposés sont des compléments.

Le « monde animal » et le « monde humain » : compléments ! Le « monde végétal » : complément des autres mondes… « l’homme et la femme » : compléments… etc.

Eh bien là, c’est la même chose : la notion de « chemin » avec la durée et la notion « d’instant » sans durée, c’est en réalité une seule et même chose. Comme tout : ce sont des expressions de la même Lumière Unique !

… Silence…