Bien sûr, chacun peut jouer au BeHappy, ou utiliser la méthode du BeHappy, avec bénéfice pour améliorer son bien-être en ayant seulement connaissance des 8 propositions telles qu’elles sont, simplement et rapidement, édictées dans l’article précédent :
« Qu’est-ce que le BeHappy ? »
YMais certains se posent des question et auront peut-être plaisir à ce que ces propositions soient un peu plus développées et commentées…
Pour ces personnes, voici certains éclairages supplémentaire sur ces 8 propositions sur lesquels s’appuie le BeHappy qui les intéresseront sûrement.
Ensuite, au fur et à mesure, si cela est nécessaire, nous préciserons encore ces éclairages, en fonction des éventuels réactions que certaines personnes exprimeront dans les commentaires qu’ils déposeront sur ce site…
Alors, voyons !
La 1ère Proposition est la suivante :
« Que je sois Heureux, c’est le plus important pour l’Être humain que je suis et pour tous les autres Êtres.«
Que les joueurs reconnaissent cette 1ère proposition comme la leur est la condition première que ce soit pour jouer à ce jeu de pensée ou pour l’utiliser comme une méthode d’amélioration de soi.
En effet, après me l’être posé à moi-même, j’ai posé à des milliers de gens, dans le cadre de mon métier et dans ma vie privée, et ceci pendant des dizaines années, la question suivante :
« Qu’est-ce qui est le plus important pour vous dans la vie ? »
Et là, soit tout de suite, soit après une courte mise au point de vocabulaire et de signification, tout le monde, sans une seule exception, m’a répondu :
« Le plus important, c’est que je sois heureux ! »
« C’est mon but le plus important dans ma vie !«
100% des personnes, sur des milliers de personnes qui donnent, précisément, cette même réponse ! Nous pouvons alors considérer que l’on est là en face d’une loi, une loi robuste, une loi scientifique !
Cette loi, qui est devenue la 1ère proposition du BeHappy, nous pouvons l’exprimer de la façon suivante :
« Ce qui est le plus important pour tout les Êtres, sans exception, c’est qu’ils soient heureux »
Et ceci n’a rien à voir avec une opinion. Non ! C’est une loi dont chacun peut prendre connaissance tous les jours un peu plus.
Et donc, le 1er préalable à l’usage du BeHappy, c’est que les personnes qui veulent y jouer ou l’utiliser comme une méthode de bien-être reconnaissent cette 1ère proposition, comme la leur, eux qui sont des Êtres humains… Mais également que cette loi est celle de tous les autres Êtres.
Et, mon expérience, c’est qu’ils le font tous, facilement, à 100% !
Donc, comme je viens de le dire, cette loi de la Vie, si évidente et si simple, est devenue la 1ère proposition du BeHappy.
Mais, comme je viens, également, de le dire plus haut, parfois, il a pu être nécessaire de préciser un point ou un autre…
• Alors, un 1er Point à préciser à propos de cette 1ère Proposition est le suivant :
À la question : « Qu’est-ce qui est le plus important pour vous dans la vie ? », certains, en effet, ont pu, par exemple, dans un premier temps, répondre spontanément :
« Ce qui est le plus important pour moi, c’est que mon enfant (… ou ma mère, ou mon père, ou mon compagnon, ou ma compagne… ou mon chien, ou bien encore l’humanité) soit heureux. »
Alors, on a pu, s’ils citaient, par exemple, leur enfant, leur poser la question suivante :
« Est-ce que votre enfant a plus de chance d’être heureux, si, vous, vous êtes heureux(se) ou si vous vous êtes malheureux(se) ? »
Et là, sans exception, toutes ces personnes ont toujours répondu :
« Si je suis heureux(se), bien sûr !
Alors, nous avons pu leur dire : «
« Que vous soyez heureux, c’est donc bien le plus important pour vous, mais aussi pour votre enfant ? »
Et là, tous, sans exception également, ont répondu :
« Oui, c’est vrai. »
» Plus je suis heureux, plus mes enfants ont de chance d’être heureux… C’est vrai ! «
Et là, alors, une fois cette 1ère proposition reconnue comme évidente, nous avons pu commencer à présenter la 2ème proposition du BeHappy en toute sécurité…
En effet, nous ne pouvons pas utiliser le BeHappy de façon agréable et bénéfique avec quelqu’un qui ne reconnaîtrait pas comme sienne cette 1ère proposition fondamentale… mais qui est également la loi de toute la Vie…
Elle est en effet le fondement de toutes les autres propositions qui si nous les faisons notre, sont en fait les règles de ce jeu simple et bienfaisant pour mieux se connaître et mieux s’aimer.
• Mais, il y a un 2ème Point à préciser à propos de cette 1ère Proposition :
En effet, en entendant l’énoncé de cette 1ère proposition du BeHappy, d’autres personnes ont pu réagir en posant la question suivante :
» Oui, mais qu’est-ce que le bonheur ? «
Et là, nous sommes bien obligés de leur répondre ceci :
« Personne ne peut définir votre bonheur à votre place…
Le bonheur est une Intimité Absolue…
Et en plus, sa forme change à chaque instant !
Mais,
à chaque instant, vous-même, l’Être conscient que vous êtes, vous savez exactement ce que, vous, vous êtes le plus heureux de penser, de dire ou de faire !
Et que ce soit pour jouer au jeu de BeHappy, ou pour utiliser le BeHappy comme une méthode de bien-être, c’est tout ce qui vous est nécessaire.
Pour être heureux, c’est tout ce qui vous est nécessaire. »
Et les personnes sont toujours satisfaites de cette réponse qui respecte totalement leur propre personnalité… Et là, elles acceptent alors d’adhérer à cette 1ère proposition du BeHappy qu’il faut, bien sûr, absolument respecter pour pouvoir jouer à ce jeu de façon agréable et productive… ou bien pour utiliser le BeHappy comme une méthode de bien-être…
Mais, il peut y avoir, parfois, un 3ème Point à préciser à propos de cette 1ère Proposition du jeu de BeHappy :
En effet, il faut remarquer que « jamais » une seule personne sur les milliers à qui nous avons pu poser la question « Qu’est-ce qui est le plus important pour vous dans la vie ? » n’a répondu :
« Moi, ce qui est le plus important dans ma vie, c’est que je souffre un maximum ! »
Ou quelque chose d’approchant… Vraiment personne !
Et en effet, aucun Être, qu’il soit minéral, végétal, animal ou bien sûr humain, n’a pour but essentiel dans son existence de souffrir !
Ce qui ne veut pas dire qu’aucun Être ne souffre… Bien au contraire, tous les Êtres peuvent souffrir… Mais, parmi eux, ce sont les Êtres humains qui semblent souffrir le plus, et cela vraiment beaucoup plus souvent que nécessaire, ce qui les empêche de vivre une vie aussi belle qu’ils le voudraient et qu’ils le méritent…
Enfin, il y a, pour l’instant, un 4ème point à préciser à propos de cette 1ère Proposition de ce jeu ou de cette méthode :
En effet, vous avez dû remarquer que cette Loi disait :
« Que je sois heureux, c’est le plus important pour l’Être humain que ne suis et pour tous les autres Êtres. »
Eh oui ! Prenons conscience que, sur cette terre, il y a au moins 4 types d’Êtres assez bien caractérisés par le bon sens, mais aussi par la science actuelle : il y a les Êtres minéraux, les Êtres végétaux, les Êtres animaux et les Êtres humains…
Bien sûr que le fait que je sois heureux est le plus important pour les autres Êtres humains… Mais c’est aussi le plus important pour tous les autres Êtres qui constituent également notre terre.
Plus je suis heureux, plus je participe à l’harmonie de la vie sur terre.
Il n’y a de véritable écologie qu’heureuse !
Maintenant que ces quelques points ont été précisés à propos de la 1ère Proposition du BeHappy, voyons quelques précisions qui peuvent être intéressante sur la 2ème Proposition du jeu du BeHappy :
Voici donc cette 2ème Proposition :
« Je ne suis un Être humain Heureux que lorsque je pense ce que je suis le plus heureux de penser.«
L’adhésion à cette 2ème Proposition BeHappy, comme l’adhésion à la 1ère, est un préalable absolu pour pouvoir aborder les 6 autres propositions, qui sont en fait les règles de ce jeu ou de cette méthode avant de jouer, par exemple, une bonne partie bienfaisante, seul ou avec un ou plusieurs partenaires.
Alors, d’abord, il y a un 1er Point à préciser à propos de cette 2ème Proposition :
En effet, comment être heureux au moment où nous pensons ce que nous ne sommes pas heureux de penser ?
Eh bien, c’est simple : je n’y suis jamais arrivé moi-même… Et je n’ai jamais pu observer quelqu’un qui y soit arrivé !
En effet, qui a été heureux alors qu’il pensait « Ma vie n’est qu’un échec » ?
Qui a été heureux en pensant « Il n’y a que de l’injustice dans le monde » ?
Qui a été heureux alors qu’il pensait que « Les Êtres humains sont fondamentalement mauvais » ?
Qui a été heureux en répétant « Je ne serai jamais heureux » ?
Qui a été heureux en pensant « Mon voisin n’est qu’un imbécile » ?
Etc… Etc…
Bref ! Qui a été heureux en pensant ce qu’il n’était pas heureux de penser ?
PERSONNE… Vraiment personne !
Sans une seule exception, chaque fois que nous avons pensé ce que nous n’étions pas heureux de penser, nous n’avons pas été heureux de vivre ce que nous étions en train de vivre.
Et ce n’est pas que ce que nous avons vécu était nécessairement « mauvais »… C’est simplement que nous, nous n’avons pas été heureux de le vivre, et ceci, toujours, en pensant ce que nous n’étions pas heureux de penser.
Nous n’avons donc pas « choisi » d’être heureux de le vivre.
Pour être plus précis, nous n’avons pas osé choisir de penser ce que nous étions le plus heureux de penser pour pouvoir enfin vivre ce que nous sommes le plus heureux de vivre.
En effet, en pratique, nous vivons la souffrance que nous pensons…
Mais, heureusement, nous pouvons vivre le bonheur que nous pensons…
Et c’est bien le but de ce jeu du BeHappy que d’être de plus en plus heureux de vivre en apprenant, tout simplement, tout doucement, à notre rythme, à penser ce que nous sommes de plus en plus heureux de penser.
Et là, il y a un 2ème Point à préciser à propos de cette 2ème Proposition :
En effet, par contre bien sûr, nous avons toujours été heureux de vivre un instant alors que nous pensions ce que nous étions le plus heureux de penser à ce même instant.
Ainsi, celui qui est un homme et qui pense : « Je suis heureux d’être un homme »… Eh bien, à cet instant, il vit la vie d’un homme heureux.
Celui qui pense « J’aime conduire », à cet instant même, il vit la joie qu’il a à conduire une voiture… Et ceci, même s’il n’est pas en train de conduire !
Celui qui pense « Je suis heureux de vivre » connaît tout de suite le bonheur de vivre sa vie.
Celui qui pense « J’aime l’humanité » fait, pendant cet instant merveilleux, l’expérience de vivre au sein d’une humanité qu’il aime.
Etc…
C’est ce à quoi nous invite ce site BeHappy8 : il nous invite à penser ce que nous sommes les plus heureux de penser pour vivre ce que nous sommes les plus heureux de vivre…
Il s’agit d’apprendre à jouer à vivre.
Apprendre à jouer à vivre heureux… comme le font la très grande majorité des enfants ! Ceci tant qu’ils n’on pas encore oublié ces propositions si simples d’une vie heureuse que le BeHappy nous invite simplement à nous rappeler à nouveau… et à respecter.
Mais, il y a un 3ème Point que l’on peut préciser à propos de cette 2ème Proposition :
Actuellement, la plupart de personnes qui entendent, souvent pour la première fois, cette proposition, la reconnaissent comme vraie pour eux.
Mais, cependant, certains vont réagir, momentanément, différemment… Et ils vont peut-être exprimer, par exemple, une des pensées suivantes :
« On ne peut pas penser ce que l’on veut. »
« Il ne suffit pas que je pense ce que je suis heureux de penser pour être heureux !«
« Mais, je ne peux pas penser ce qui n’est pas vrai !«
« Je n’ai pas le droit de penser ce qui n’est pas réel !«
« Mais je ne peux pas penser ce que je ne « sens » pas !«
Ou bien encore :
« Je ne suis pas libre de penser n’importe quoi !«
« Je ne choisis pas ce que je vis !«
« Je n’ai pas de chance !«
« C’est génétique, je n’y peux rien !«
Etc… etc…
Bien sûr, ces personnes n’ont jamais été heureuses de penser ce type de pensées… Jamais !
Mais elles n’en sont pas conscientes, lorsqu’elle les pensent…
Pourquoi ?
Tout simplement, parce que depuis leur enfance, elles ne se sont pas posé la question la plus importante qu’elles pouvaient se poser ! Jamais !
Bien sûr, elles se sont posé de nombreuses questions, mais jamais celle-ci :
« Est-ce que j’ai pensé là ce que j’étais le plus heureux ou la plus heureuse de penser ? »
Cette pensée ne leur a jamais effleuré l’esprit… Elle a été effacée de leur esprit !
Et en effet, il y a là un 4ème Point à préciser à propos de cette 2ème Proposition :
En effet, ces personnes n’ont pas encore eu conscience que les arguments qu’elles ont eu l’habitude d’utiliser pour exprimer leur désaccord avec cette 2ème proposition du BeHappy n’ont toujours été que des pensées qu’elles n’ont jamais été heureuses de penser !
Elles n’en sont pas conscientes parce qu’elles ne se sont « jamais » posé la question la plus importante qu’elles auraient pu se poser et qui constitue la 3ème proposition du BeHappy que nous allons aborder tout à l’heure.
Bien sûr, elles se sont posé beaucoup d’autres questions, mais pas « cette » question !
Surtout pas cette question qui est pourtant la plus importante à se poser !
Et ceci, tout simplement, parce que toutes les autorités, sans aucune exception, auxquelles elles ont accepté d’obéir depuis des vies et des vies le leurs ont « toujours » interdit.
En effet, aucune autorité, quelle qu’elle soit, ne permet aux autres Êtres humains de se poser « cette » question particulière !
Une autorité ne se permet même pas de se la poser à elle-même …
En effet se poser cette question, c’est le début de la disparition de toute autorité injuste sur soi-même ou sur les autres.
Pourquoi ? Tout simplement parce que cette question permet à la personne qui se la pose de retrouver l’usage naturel de son libre arbitre originel.
Ce « libre arbitre« , c’est cette capacité que nous avons, nous les Êtres humains, de choisir ce que nous vivons, en choisissant ce que nous pensons à partir de notre Âme plutôt qu’à partir de nos mémoires.
Pour le traduire autrement peut-être, on peut dire que le « libre arbitre est la libre conscience que nous avons de choisir de penser ce que nous pensons…
En effet, librement, totalement librement, nous pouvons soit penser ce que nous sommes le plus heureux de penser, soit penser ce que nous ne sommes pas le plus heureux de penser.
Et cela, personne ne peut le faire à notre place.
Mais maintenant voyons donc, plus en détail, cette fameuse question qui est la 3ème proposition du jeu ou de la méthode du BeHappy.
3ème Proposition :
Alors, la première question la plus importante que je puisse me poser est celle-ci :
« Est-ce que j’ai pensé là ce que j’étais le plus heureux ou la plus heureuse de penser,
OUI ou NON ? »
Alors, là, d’abord, voici un 1er Point à préciser à propos de cette 3ème Proposition :
Nous pouvons, en effet, nous poser des milliards de questions…
Par exemple, nous avons pu nous poser des questions, comme :
« Est-ce que ce que j’ai pensé est juste ?«
« Est-ce que ce que j’ai pensé est scientifique ?«
« Est-ce que ce que j’ai pensé peut être accepté par les autres ?«
« Est-ce que ce que j’ai pensé est raisonnable ?«
« Est-ce que ce que j’ai pensé respecte ma religion ?«
« Est-ce que ce que j’ai pensé est mieux que ce que les autres pensent ?«
Etc… Etc…
Et, bien sûr, certaines de ces question peuvent avoir eu, à un moment donné une certaine importance dans nos vies… Et elles en auront encore, peut-être, dans cette vie-ci.
Mais cependant, si nous reconnaissons que notre but le plus important dans cette vie, c’est bien d’être heureux… et si nous reconnaissons également que nous ne sommes heureux que lorsque nous pensons ce que nous sommes les plus heureux de penser… Alors il n’y a aucun doute : aucune question, n’est plus importante que celle-ci :
« Est-ce que j’ai pensé là ce que j’étais le plus heureux ou la plus heureuse de penser, OUI ou NON ? »
Mais, il peut y avoir un 2ème Point à préciser à propos de cette 3ème Proposition :
Comme vous avez pu le remarquer, cette question est posée au passé.
La raison en est simple : nous vivons au présent, mais nous observons toujours notre passé !
Donc, en pratique, lorsque nous nous posons cette question, nous nous questionnons à cet instant sur notre passé.
Ce passé que nous apprécions à cet instant peut être immédiat ou lointain, mais ce ne peut être que notre passé… Et, simplement, nous le reconnaissons en utilisant un temps de conjugaison du passé.
Un des avantages de ceci, c’est qu’ainsi, nous libérons le présent du passé.
En effet, à cet instant présent, en nous posons cette question au passé : d’une part, nous nous reconnaissons libre du passé que nous évoquons, et d’autre part nous nous reconnaissons libre de penser au temps présent ce que nous sommes le plus heureux de penser.
Il s’agit donc là, tout simplement, d’être « vrai », c’est à dire là de vivre, tout simplement, la vérité… Et la vérité, ici, c’est que je ne peux observer que le passé.
Un 3ème Point à préciser à propos de cette 3ème Proposition :
Dans notre vie, lorsque nous nous posons une question importante, nous avons bien sûr toujours besoin que cette question soit clairement exprimée.
Mais lorsque, comme ici, nous nous posons la question la plus importante que nous puissions nous poser, alors là, nous avons besoin de l’exprimer « parfaitement clairement« .
Eh bien, posée comme elle l’est ici la question la plus importante que nous puissions nous poser est parfaitement claire.
La question ne peut pas être plus claire…
Et nous allons encore préciser cette clarté avec la 4ème proposition du BeHappy que voici…
Et cette 4ème Proposition dit ceci :
« Je reconnais que toute réponse, à cette question fondamentale, qui n’a pas pu être un OUI spontané est un NON. «
(c’est à dire : soit c’est un OUI en moins d’une seconde, sinon, je reconnais que c’est un NON)
Alors là, de suite, voici un 1er Point très important à préciser à propos de cette 4ème Proposition :
À la question la plus importante que nous pouvons nous poser, il nous faut, bien sûr, une réponse absolument claire.
En effet, la réponse à cette question la plus importante que nous puissions nous poser doit, bien sûr, être également parfaitement claire.
Et là, c’est la réponse la plus simple et la plus claire que l’on puisse donner :
C’est soit « OUI« , soit « NON » !
C’est tout ! Aucune autre réponse n’est acceptable.
Dans le BeHappy, le simple fait d’hésiter une seconde avant de répondre un « OUI SINCÈRE ET DONC IMMÉDIAT » à cette question qui est la question la plus importante que nous puissions nous poser, doit être obligatoirement reconnue comme un « NON ».
Ceci est obligatoire, si notre but est d’être heureux… Et c’est justement notre but le plus important, comme nous le reconnaissons dans la 1ère proposition du BeHappy !
Donc, tous les « OUI MAIS… » sont des « NON »… Les « Je ne sais pas » sont des « NON »… Un silence, c’est « NON », etc…
Bref, si ce n’est pas un « OUI », simple, en moins d’une seconde, c’est un « NON ». Et nous devons le reconnaître !
C’est là une des clefs fondamentales de l’efficacité du jeu ou de la méthode qu’est le BeHappy !
Si nous ne respectons pas cette 4ème loi, nous ne sommes pas en train de jouer au BeHappy dont le but premier est de vivre, toujours mieux, notre Joie Originelle… Nous faisons autre chose, ce qui est notre liberté bien sûr !
Mais, comme l’exprime la 2ème proposition du BeHappy, « nous ne pouvons être des Êtres humains heureux que lorsque nous pensons ce que nous sommes les plus heureux de penser. »
Il n’y a pas d’autres possibilités… Il n’y en a vraiment pas ! D’où la rigueur de cette exigence d’un « OUI » simple et vrai… en moins d’une seconde !
Et là, bien sûr, il y a un 2ème Point à préciser à propos de cette 4ème Proposition :
En fait, là, nous ne faisons que verbaliser et préciser quelque chose que nous vivons naturellement depuis toujours dans nos vies…
Chaque fois que nous posons une question très importante à quelqu’un, nous attendons une réponse totalement claire, immédiate et sincère.
Par exemple, imaginons qu’un homme pose à sa femme la question, très importante pour lui et pour elle : « Est-ce que tu m’aimes ? » …
Si celle-ci ne répond pas, immédiatement, par un « OUI » franc, ils savent tous les deux que c’est « NON »… Ils ont un problème de relation !
Si elle répondait : « Écoute, je vais réfléchir avant de te répondre »… Ils sauraient également tous les deux que c’est un « NON »… Et pour l’instant en tous les cas, ils ont un problème !
Et là, il y a un 3ème Point à préciser à propos de cette 4ème Proposition :
Attention ! Évidemment, cette exigence d’un « OUI » spontané comme réponse n’est valable que pour une question très importante pour nous.
Si ce même homme demande à sa femme une question comme « Est-ce que tu veux que je te fasse un café » et qu’elle ne réponde ni « OUI », ni « NON », mais qu’elle réponde, par exemple, « Je verrai tout à l’heure, là je suis occupée »… Leur couple ne vit pas là un problème.
En effet, cette question n’est pas importante, alors la réponse est sans importance… Et elle n’a pas besoin d’être précise.
Mais dans le jeu du BeHappy, la question est fondamentale et la réponse doit être totalement claire : soit c’est un « OUI » absolu, soit c’est un « NON ».
Et d’ailleurs, si c’est un « NON », ce n’est pas la fin du monde…
Mais c’est probablement la fin d’un monde… Et c’est l’invitation à vivre un autre monde… Un monde meilleur ! Un monde dans lequel nous sommes plus heureux…
Et c’est ce à quoi va nous inviter la 5ème proposition que voici maintenant :
Alors que dit cette 5ème Proposition du BeHappy ?
Si c’est un NON, la deuxième question la plus importante que je puisse et que je dois alors me poser est la suivante :
« Qu’est-ce que je suis le plus heureux de penser maintenant ? »
Et là, il faut que j’ose « découvrir » cette pensée…
Et puis, ensuite, je vérifie la qualité de cette nouvelle pensée en me posant à nouveau la première question la plus importante (qui est la règle du jeu numéro 3).
Alors, ici, il y a bien sûr, un 1er Point à préciser à propos de cette 5ème Proposition du BeHappy :
En effet, le but, ici, n’est pas de penser telle ou telle pensée particulière, mais bien plus simplement de penser la pensée que, nous, nous sommes, vraiment, le plus heureux de penser à cet instant.
Et cette pensée, elle peut, bien sûr, être sur le même sujet, mais elle peut aussi être sur un tout autre sujet…
En effet, notre but le plus important, c’est clairement d’être heureux… Et donc la fuite heureuse est permise !
Si, pour l’instant, cela est plus confortable pour nous, nous pouvons fuir le sujet à propos duquel nous avons posé la question « Est-ce que j’ai pensé là la pensée que j’étais le plus heureux de penser, OUI ou NON< ? » sans que l’on ait pu répondre « OUI »…
Notre but, en BeHappy, n’est pas de penser obligatoirement une autre pensée sur le même sujet que nous avons questionné et dont nous avons pris conscience que nous n’étions pas heureux de la penser.
Non ! Notre but le plus important, c’est d’être heureux… Et pour cela il nous faut penser ce que nous sommes le plus heureux de penser, nous, à cet instant… « librement » !
Et là, donc, il y a là un 2ème point à préciser à propos de cette 5ème Proposition :
En effet, peut-être que pour l’instant, nous ne sommes simplement pas capable de penser une pensée que nous sommes heureux de penser sur le même sujet que nous avons questionné ?
C’est parfait ! Nous allons, alors, choisir simplement de penser une pensée que, nous, nous sommes capable, à cet instant d’être heureux de penser… C’est tout !
N’oublions pas : « Que nous soyons heureux, nous, c’est le plus important pour nous et pour tous les autres Êtres ».
Dans le BeHappy, il n’y a, absolument, aucune règle disant que nous devons, obligatoirement, penser telle ou telle type de pensées.
Non ! La 5ème proposition du jeu que nous étudions maintenant est très précise : « Qu’est-ce que je suis, moi, le plus heureux de penser maintenant ? »
Mais, il y a encore un 3ème point à préciser ici sur cette 5ème Proposition :
Il y a une infinité de pensées que nous pouvons être heureux de penser… Une infinité !
Mais, à cet instant, il y en a une qui est celle que nous choisissons librement : c’est celle que nous sommes le plus heureux de penser… à cet instant.
Là, il suffit de la choisir à cet instant, et d’oser la penser, la dire, et, peut-être, l’écrire…
Et là, attention à ce 4ème point que nous précisons sur cette 5ème Proposition du BeHappy !
Cette pensée qui est celle que nous sommes, à cet instant, le plus heureux ou la plus heureuse de penser, est complètement « arbitraire!
Et ceci n’est pas exceptionnel, puisque toutes les pensées que nous pensons sont toutes arbitraires, que nous en soyons conscients ou pas.
En effet, une pensée humaine est nécessairement « arbitraire ». Que nous le reconnaissions ou pas n’y change rien. Cela est aussi inévitable que le fait de respirer pour vivre…
Que cette pensée soit exprimée par les mêmes mots que la précédente, mais disposés différemment, qu’elle soit sur le même sujet, ou qu’elle soit sur un tout autre sujet, cela n’a aucune importance...
Que cette pensée soit sérieuse ou pas, qu’elle soit très intelligente ou naïve, qu’elle soit simple ou compliquée, qu’elle soit considéré comme « positive » ou « négative »… Tout cela et bien d’autres choses n’ont absolument aucune importance pour être heureux…
Que ce soit nous qui la découvrions ou que ce soit quelqu’un qui nous la souffle, ou que nous citions un auteur : cela n’a aucune importance également…
Mais par contre la seule chose qui importe totalement lorsque nous utilisons les propositions du BeHappy : c’est que cette pensée soit celle que, nous, nous sommes, complètement arbitrairement, le plus heureux de penser à cet instant… C’est tout !
Mais, là, il y a une 5ème chose à préciser pour cette 5ème Proposition :
En effet si, pour l’instant, nous évitons systématiquement un sujet que nous n’aimons pas, ce n’est pas grave du tout : ce n’est que partie remise !
En effet, il n’y a pas de soucis à se faire : tant que nous ne serons pas heureux de penser quelque chose, cette pensée, et sa manifestation, reviendra à notre conscience pour que nous puissions essayer à nouveau d’en être heureux et cela jusqu’à ce que nous y arrivions…
C’est ce que tente d’exprimer la pensée suivante : « Nous sommes libres de tout ce que nous aimons, mais nous sommes liés, par l’Amour inconditionnel, à tout ce que nous avons, jusqu’à là, prétendu ne pas aimer. »
La Réalité, c’est que nous avons l’Éternité pour ouvrir, toujours plus, notre conscience à la Joie Éternelle.
Nous ne sommes en rien obligés de réussir à aimer quoi que ce soit tout de suite, à être heureux de quelque chose tout de suite…
Bien sûr, si nous y arrivons, tant mieux…
Mais si nous n’y arrivons pas là, à cet instant, ce n’est pas grave du tout !
En effet, cela n’est en rien un problème : ce que nous n’aimons pas reviendra patiemment à notre conscience jusqu’à ce que nous l’aimions, c’est à dire jusqu’à ce que nous en soyons heureux.
La route la plus courte pour arriver à être heureux, c’est celle que nous sommes le plus heureux de prendre « tout de suite ».
6ème point à préciser sur cette 5ème Proposition : insistons !
Donc, le seul critère pour choisir ma pensée suivante, c’est que nous puissions répondre un « OUI » en moins d’une seconde à la question :
« Est-ce que j’ai pensé là la pensée que j’étais le plus heureux ou la plus heureuse de penser, OUI ou NON ? »
Un point, c’est tout !
Voyons, maintenant, plus en détail la 6ème Proposition du BeHappy :
Et là, si la réponse est maintenant un OUI spontané, je pense dorénavant cette pensée que je suis heureux de penser aussi souvent que je suis heureux de la penser…
Le 1er point à préciser sur cette 6ème Proposition, c’est l’importance de « la répétition » :
En effet, la répétition est la clef de l’évolution, et ceci depuis toujours…
Mais ceci est encore plus évident pour nous les Êtres humains… Il est bien évident que chaque Être humains que nous sommes a tout appris en répétant…
Nous avons appris à marcher en répétant ,en moyenne 2000 fois nos tentatives de marcher sans succès… jusqu’à y arriver.
Nous avons appris les tables de multiplication en les répétant jusqu’à les savoir.
Cherchez ce que vous avez appris sans le répéter ! Vous ne trouverez tout simplement « rien »…
Et, bien sûr, c’est la même chose pour notre avenir : nous apprendrons tout ce que nous voulons apprendre en répétant !
Tous, autant que nous sommes, avons appris à penser comme nous pensons en répétant ces pensées…
Soit nous l’avons répété volontairement nous-même pour l’apprendre, soit, très souvent, d’autres personnes nous l’ont répété pour que nous l’apprenions.
Car entendre et écouter, c’est penser !
Et écouter beaucoup, c’est penser beaucoup…
Donc, d’un côté, nous avons trop souvent appris à penser ce que nous n’étions pas heureux de penser en le répétant beaucoup nous-même ou en nous le faisant beaucoup répéter par d’autres.
D’un autre côté, nous apprendrons toujours à penser ce que nous sommes les plus heureux de penser en le répétant également beaucoup…
Donc, en pratique, répétons vraiment beaucoup ce que nous sommes les plus heureux de penser pour pouvoir ensuite le penser facilement !
Et là, il y a un 2ème point important à préciser à propos de cette 6ème Proposition du BeHappy :
C’est que, tout simplement, plus nous sommes heureux de répéter ce que nous répétons, plus c’est facile et plus nous l’apprenons vite !
Mais, c’est également que nous n’avons aucun plaisir à apprendre par la répétition ce que nous ne sommes pas heureux de penser…
Et en effet, nous avons tous fait l’expérience que nous apprenions beaucoup plus facilement et rapidement ce qui nous plaisait d’apprendre que ce qui ne nous plaisait pas d’apprendre.
Et nos éducateurs ont toujours eu beaucoup de difficultés à nous faire répéter ce que nous n’étions pas, nous-même, heureux d’apprendre…
Cela a été une grande source de souffrances pour l’humanité…
D’une part une grande souffrance pour les éducateurs qui, sans succès, ont essayé de forcer les élèves à apprendre ce qu’ils n’étaient pas, à cet instant, heureux d’apprendre…
Mais également une grande souffrance pour les élèves qui ont, de façon naturelle, toujours sainement, mais souvent douloureusement, résisté, de toutes leurs forces, à apprendre ce qu’ils n’étaient pas heureux d’apprendre.
Viendra un jour où les propositions que nous respectons lorsque nous jouons discrètement au BeHappy seront enseignées publiquement à tous dès le plus jeune âge !
Alors, ce ne sera qu’une grande joie pour les parents d’éduquer leurs enfants et pour tout le monde adulte d’enseigner les jeunes… et les moins jeunes…
Ce sera également une grande joie pour les enfants et les jeunes d’enseigner avec amour les adultes qui les entourent et d’apprendre d’eux ce qu’ils seront les plus heureux d’apprendre…
Voici maintenant la 7ème Proposition du BeHappy :
« En effet, plus je répète une pensée, plus il m’est facile de la penser.«
Et enfin, Voici la 8ème et dernière Proposition du BeHappy :
« Si j’ai respecté toutes les propositions précédente, je suis obligatoirement maintenant un Être humain un peu plus heureux… Ce qui est le plus important pour l’Être humain que je suis, bien sûr, mais également pour tous les autres Êtres.«
Exponentielle
« Chassez le naturel, il revient au gallop »
Il y a la propagande d’origine extérieure par les mémoires personnelles ou sociales et il y a l’autopropagande heureuse ou malheureuse.
La propagande malheureuse qui arrive à devenir un autopropagande malheureuse demandera toujours beaucoup de répétition pour rester active.
À poursuivre… dès que je le peux !
Âme ou mémoire ?