23 • Jeu ce Matin-là… Union, Séparation, Souffrance…

Mercredi 5 Juin 2024

Je présente là, en l’état, comme je les ai écrites ce jour-là, les phrases que j’ai pensées au cours de cette partie de BeHappy que j’ai joué, tout seul, le matin du Samedi 3 Février 2024…

Il est 9 heures 07… C’est un bon moment pour commencer à écrire pendant une demi-heure, non stop, ce que je suis le plus heureux de penser… et d’écrire.

Une demi-heure à penser, le mieux que j’en suis capable, à partir de mon Âme… et d’écrire.

Allez, on y va ! … Non stop ! Tranquillement…

Y-a-t-il un meilleur moment que tout de suite pour être heureux ?

Non !

Chaque instant et le meilleur pour être heureux… Et cet instant-ci est Parfait pour être heureux de penser à Toi… Pour être conscient que je ne pense que Toi.

La pensée que je suis le plus heureux de penser ces temps-ci, c’est :

« Tu Es Tout »

Par exemple, « Tu Es » mon petit doigt de ma main gauche qui courre sur le clavier pour écrire le « A », le « Q » et plus rarement le « W » … 

Mais, « Tu Es » aussi l’émotion que je suis en train de vivre : émotion de satisfaction de voir le ciel bleu et les rayons du soleil, par la fenêtre ouverte…

Rien de ce qui est n’est pas Toi ! En dehors de Toi, rien n’existe… Tu Es l’Existence-même !

Si quelque chose existe, c’est Toi… Ce ne peut être que Toi !

Et ceci, que j’en ai conscience à cet instant ou pas.

Mais, là, par exemple, cette trace de postillon que je vois sur mon écran d’ordinateur, c’est également Toi… Autant Toi que mon amour le plus élevé que je vis pour ma compagne.

Si Tu Es Tout, rien n’est moins Toi que tout autre chose !

Cela me plaît toujours plus de penser cela : « Tu Es Tout » !

Et puis toutes les conséquences de cette pensée si simple m’émeut toujours agréablement… Et, je m’en régale !

Par exemple, une des conséquences, c’est que toutes les pensées que nous n’avons pas été heureux de penser disparaîtront en tant que souffrance…

Je veux dire qu’elle révèleront leur Réalité, c’est à dire Ta Réalité… Elles révèleront qu’elles ne sont que Toi, comme tout ce qui est…

Alors, nous sommes heureux de les avoir pensées… Et nous sommes heureux de ne pas avoir été heureux de les avoir pensées !

Cela est si simple ! Tout n’est que Ta Lumière… et je veux le reconnaître toujours plus…

Chacune de nos mémoires, n’est faite que de Toi… Et je le reconnais, aujourd’hui, de mieux en mieux.

Je n’ai fait que « Te » vivre… Tout ce qui existe n’a fait que « Te » vivre…

À aucun moment quelque chose a existé qui n’était pas Toi, La Lumière…

Mais alors, ce que nous avons appelé le « mal » n’est-il que Toi ? 

Oui ! À mon point de vue, actuel, le mal n’est que Toi dont nous avons perdu conscience.

« C’est notre conscience qui fait toute la différence »

Le mal n’a donc résulté que du choix de notre conscience…

Le mal n’a été que notre perte de conscience de la Réalité Absolue que « Tu Es Tout » …

Et là, à partir de cette perte de conscience, tous nos raisonnements ont été de l’ombre raisonnée, du mal raisonné, souvent d’une façon très intelligente…

En effet, l’ombre sait se faire belle.

Et là, aussitôt la douleur est venue nous signaler notre perte de conscience de Toi !

En effet, la douleur, c est Ton Don pour nous permettre de ne pas perdre plus conscience de Toi ! C’est Tout !

La douleur est Ta Bénédiction qui nous accompagne dès que nous imaginons une distance et un labyrinthe pour pouvoir arriver à Toi…

Et chaque mur de ce labyrinthe est une pensée que nous ne sommes pas heureux de penser… C’est à dire une pensée qui, grâce au Libre Arbitre que Tu nous donnes, imagine que Tu n’es pas Tout !

Et chaque mur disparaît dès que nous osons être heureux de l’avoir pensée… 

Chaque mur du labyrinthe est imaginaire… Il résulte de l’usage maladroit de notre Libre Arbitre pour penser ce que nous ne sommes pas heureux de penser.

Les Êtres humains sont, en effet, des Libres Consciences merveilleuses ! 

Choisissons librement de penser ce que nous sommes les plus heureux de penser… à propos de tout, c’est à dire, toujours, à propos de Toi !

Et voilà, à cet instant, ce que je suis heureux de penser :

Je suis en totale sécurité dans ma vie, dans cette Vie Parfaite que Tu m’offres à chaque instant, depuis toujours.

Je suis également heureux de penser : il n’y a aucune faille dans Ton Amour… Il est Parfait ! Et je le sens à chaque instant où je choisis de le sentir.

Chaque instant que je vis, c’est Toi !

Je ne peux vivre que Toi !

Je ne vis que Toi !

  

Cela peut encore paraître choquant pour ceux qui, depuis des millénaires, sont habitués à penser que Tu n’es pas Tout depuis toujours et qui continuent, peut-être, à le penser.

Mais pour les jeunes enfants dont les corps énergétiques n’ont pas encore été ré-habités par la totalité de leurs mémoires, et qui n’ont pas encore été trop éduqués, c’est une évidence !

Il semble bien qu’à chaque nouvelle naissance, nous est donné une chance de re-croire en Toi comme étant Tout…

Mais, il est vrai que la pression de nos éducateurs adultes et de nos mémoires qui réinvestissent nos corps énergétiques est grandes… très grande !

Et la plupart d’entre nous repartent rapidement pour un tour supplémentaire de souffrances… Ce qui n’est ni obligatoire, ni nécessaire.

En effet, la souffrance n’est pas obligatoire… Il n’y a aucune pression qui puisse s’exercer sur nous pour nous interdire absolument de vivre, heureux, cet isntant que nous vivons.

Nous ne sommes faits que de Toi et nous ne sommes entourés que de Toi !

Je ne croirai jamais autre chose que ce que je suis le plus heureux de croire à cet instant.

Je penserai toujours plus ce que je suis le plus heureux de penser à cet instant.

Je choisis d’écrire mon avenir avec Toi qui Es Tout.

Oui ! Que mon avenir soit écrit par Toi.

Ton Amour est Parfait et Absolu…

Et Tu n’exerces aucune pression quelle qu’elle soit sur moi… Tu m’aimes et puis c’est Tout !

Tu respectes Absolument le Libre Arbitre que Tu me donnes…

Tu ne sais pas donner la moitié de Toi-même… Tu ne sais donner que Tout Toi-même.

En Toi et par Toi, je suis Absolument Libre…

    

L’Être que je suis est Corps-Âme-Pensée en Lui.

Et aucun de ces 3 aspects de moi n’est, en aucune façon, séparé des autres.

Mon Corps n’est pas autre chose que ma Pensée et mon Âme.

Nous n’avons pu que les « imaginer » séparés… Mais ils ne l’ont jamais été ! Ils sont « Uns », comme tout ce qui est Toi, c’est à dire comme « Tout » !

Mon Corps ne peut évoluer qu’en « Unité Absolue » avec l’Âme qu’il est et la Pensée qu’il est.

Par exemple, mon Corps ne peut pas retrouver sa santé naturelle, sans que ma pensée ne pense selon mon Âme.

L’Union de l’Âme, de la Pensée et du Corps, c’est Toi.

En perdant conscience que « Tu Est Tout », Nous avons pu imaginer que l’Âme, la Pensée et le Corps étaient séparés… 

Mais, puisque « Tu Es Tout », l’Âme, le Corps et la Pensée sont « Toi » et seulement « Toi » … Ils ne sont que des manifestations de Ton Unité Absolue.

Et ils sont donc vécus comme Un, quoique nous « pensions » !

Et mon Corps évolue en Union Absolue avec ma Pensée et mon Âme…

Tout ce qui est, est à la fois Corps, Âme et Pensée.

Rien ne peut être que Corps, ou que Pensée ou qu’Âme !

La Pensée ne peut pas être sans Corps et sans Âme.

Toute Pensée est à ce même instant Corps et Âme.

Ce n’est pas un parallélisme… C’est une Unité.

Et chaque fois que ma pensée change, mon Corps change et mon Âme change.

Chaque instant est un vécu Âme-Corps-Pensée à ce même instant.

À aucun moment, une Âme ne s’est élevée sans une évolution de la Pensée et un mouvement du Corps… 

Nous avons pu penser, imaginer, qu’une séparation existait… Mais Tu Es Tout… Et l’Union Lumineuse de Tout est la Seule Réalité !

Mais, dès que nous avons pensé une séparation ombreuse, Tu nous offres le Don de souffrir qui nous invite, « à la fois », à penser ce que nous sommes les plus heureux de penser, à vivre corporellement ce que nous sommes les plus heureux de vivre, et à aimer en l’Âme comme nous sommes les plus heureux d’aimer.

La souffrance est Ton Amoureuse Invitation à ce que nous réalisions que Tu Es encore plus Tout que ce que nous avions cru, jusqu’à là.

Nous ne courrons pas après l’Union, nous sommes Un depuis toujours… Mais nous tentons, sans cesse, de reprendre plus conscience que nous sommes Un depuis toujours et pour toujours.

Nous ne courrons pas après Toi, mais nous nous rappelons toujours plus que nous sommes en Toi, Éternellement en Toi…

Quelle joie que de vivre !

Quelle joie de souffrir pour me rappeler que Tu Es Tout !

Cette souffrance que je vis n’est pas obligatoire, mais elle est nécessaire chaque fois que je perds conscience que Tu Es Tout… Elle me ramène à la conscience de Ta Joie Éternelle, ce que je désire plus que Tout.

Je veux être heureux de suite… Oui ! tout de suite ! …Et au même moment, au moment-même où je le veux, je le vis !

Être heureux, c’est tout simplement reconnaître la Réalité que je le suis !

Et la souffrance n’est que le Bonheur Éternel dont j’avais perdu conscience.

Alors, quelle chance de souffrir !

Quelle joie de souffrir.

Quelle joie de souffrir pour me rappeler que je suis heureux !

Tu Es Tout : Tu es la joie et la souffrance en Un.

Je ne veux plus prétendre que quelque chose de Toi puisse être séparée d’autre chose de Toi !

Comment avons-nous pu imaginer cela ?

Rien de Toi ne peut être séparé de Toi… Puisque Tu Es Tout… Et que Tout est Un en Toi.

Ma main gauche n’est pas séparée de ma main droite… Elle n’est pas non plus séparée de n’importe quelle main de quelqu’un d’autre… Elle n’est pas non plus séparée de la terre… etc.

Rien n’est séparé de rien.

Tu Es l’Unité Absolue.

Tout est Un, comment que nous le pensions.

Mais, cependant, même lorsque nous pensons « séparation », nous Te pensons « Toi » et donc, nous pensons « Union ».

C’est toujours Toi que nous pensons, puisque Tu Es Tout.

Il n’y a pas de séparation à penser « Union et Séparation ».

Il n’y a pas de « séparation ombreuse » à penser « Union Lumineuse et Séparation Lumineuse ».

Tu es l’Union de tout ce qui est Séparé par Toi.

22 . Peur Vitale ? Merci l’ego !

Samedi 1er Juillet 2024

J’aime ma Peur… Elle est mon amie…

En effet, ma Peur me permet de garder mon Corps en vie… Et ainsi de permettre à mon Âme de rester incarnée… Et à mon Être de pouvoir continuer à penser à partir d’Elle.

Ma Peur me permet, tout simplement, de vivre.

Je veux donc la respecter… Et mieux, je veux l’aimer !

Rien qu’aujourd’hui, sans ma Peur, je serais mort plusieurs fois ! 

C’est à dire que mon Corps, mon Âme et ma Pensée se seraient séparés, si je n’avais pas eu une saine Peur… à chaque fois.

C’est elle qui a fait que j’ai, tout le temps, gardé les yeux ouverts et tenu le volant, sur l’autoroute… C’est ma saine Peur de mourir !

Sinon, pourquoi ne pas fermer les yeux une petite minute et lâcher le volant, tout en continuant à appuyer sur l’accélérateur ?

Bien sûr, c’est parce qu’il y a la Peur-Lumière, la Peur Vitale, qui est, fondamentalement, la Peur que tous les Êtres ont de ralentir l’ouverture de leur conscience de la Lumière. Nous pouvons dire aussi que c’est la saine Peur de ne pas être heureux, la saine Peur de souffrir…

Mais, depuis le presque début de l’humanité, les Êtres humains ont, eux, inventé la peur-ombre qui, elle, résulte simplement de la perte de conscience de la Lumière.

Alors, là, pour aujourd’hui, je m’amuse à écrire la Peur-Lumière avec un grand « P » majuscule et la peur-ombre avec un petit « p » minuscule… C’est la convention, que je m’amuse à mettre en place pour aujourd’hui !

Je ne veux pas, en effet, oublier que le jeu de BeHappy que je propose dans ce site « BeHappy8 » est un jeu… C’est seulement un jeu ! Un jeu-plaisir.

C’est un jeu de pensée qui consiste, il faut que je me le rappelle de temps en temps à moi-même, à penser ce que je suis le plus heureux de penser… Simplement ! C’est à dire, à m’amuser à penser, par simple plaisir…

Bon ! Ceci étant dit, alors, pourquoi « Peur Vitale » ? Eh bien, c’est pour cela : c’est parce que, à chaque instant de notre vie, cette merveilleuse Peur nous permet de garder notre Corps en vie et en bonne santé…

C’est notre Peur Vitale.

Cette peur, c’est pour que ce Corps puisse, ainsi, rester uni à notre Âme et à notre Pensée… Et que nous puissions être l’Être que nous sommes sur cette terre, aujourd’hui.

En effet, imaginez-vous sur le balcon d’un immeuble…

Bien ! Dans ce type de situation, c’est notre merveilleuse Peur qui nous rend, tous, prudents et sages !

C’est Elle qui fait que nous ne sautons pas dans le vide… C’est Elle qui fait que, parfois même, nous vérifions que la rambarde du balcon est bien solide… et que nous pouvons, en toute sécurité nous appuyer dessus pour regarder tranquillement ce qui se passe en bas… Pour le plaisir de le voir, bien sûr !

En effet, si nous n’avions pas assez d’ego, ou trop d’ego, et que nous n’écoutions pas notre Amie la Peur et que nous sautions… Eh bien, quelques secondes plus tard notre Âme quitterait probablement ce Corps qui est le nôtre actuellement.

Cependant, remarquons que, en général, si notre ego est harmonieux, notre Peur est proportionnelle à la hauteur du balcon.

En effet, au premier étage, ma peur est modérée parce que le danger est modéré. Si je saute et que je ne suis pas un expert, la chance est que j’abime mon corps effectivement, mais probablement pas que je le tue…

Mais cependant, peut-être que, si sauter était vital… si, par exemple, l’appartement derrière moi était en train de bruler violemment. Alors, là, probablement que mon amie la Peur diminuerait au point que je sauterais, pour continuer à vivre !

Merci ma Peur, qui s’adapte parfaitement au besoin de mon Corps et me protège !

Mais si, par exemple, je suis au 20ème étage… Là, ma peur m’interdit complètement de sauter, car sinon, sans aucun doute, mon Corps s’écraserait quelque secondes plus tard et mon Âme serait obligée de le quitter.

J’ai en effet, en, moi la mémoires de toutes ces chutes où, depuis des millions et des millions d’années, mes Corps sont morts ou bien ont été gravement blessés, avec toutes les douleurs que cela a entrainées.

Alors, enrichie de ses mémoires de chutes violentes, ma Peur-Lumière permet donc à mon Corps, à mon Âme et à ma Pensée de rester unis pour pouvoir continuer l’expansion naturelle de la conscience de la Lumière de l’Être que je suis.

Merci ma Peur ! Car sans Elle, mon Âme retournerait de suite à la Lumière, bien plus tôt que nécessaire, puis serait obligée de se réincarner, dans un autre Corps pour pouvoir continuer l’évolution de la conscience de l’Être que je suis.

Ce nouveau Corps serait, certainement, aussi performant que celui que j’ai aujourd’hui, peut-être même plus performant, mais je serais à nouveau un bébé, alors que le corps que j’ai aujourd’hui fonctionne parfaitement bien pour permettre, tout de suite, l’ouverture de la conscience de l’Être que je suis…

Cela me ferait tout simplement prendre un retard dans l’évolution de ma conscience.

Et, là, n’oublions pas que, depuis toujours, le but de nos existences, c’est la Joie, c’est à dire l’ouverture de notre conscience à la Lumière…

Et cette Joie que nous pouvons vivre tout de suite, dans « ce » Corps, pourquoi la remettre à plus tard, dans un autre Corps ?

Un Corps, c’est un investissement important. Et notre amie la Peur est chargée, parmi de nombreuses autres belles choses, de protéger cet investissement, nécessaire pour l’expansion de notre conscience !

Oui ! Parce que pour que la conscience de l’Être que nous sommes continue sa croissance naturelle, originelle, il est nécessaire d’être, au même instant, cet instant, une Âme, un Corps et une Pensée unis par un ego harmonieux.

Mais, là, nous pouvons nous demander ce qu’est un « ego harmonieux ».

Eh bien, souvent, j’imagine mon ego comme une sorte de « colle », une sorte de colle qui maintient ensemble mon Âme, mon Corps et ma Pensée pour que je sois l’Être incarné que je suis à cet instant et qui peut ainsi ouvrir, en permanence, sa conscience.

La juste quantité de colle de mon ego me permet « d’exister », tout simplement, harmonieusement… c’est à dire d’être « l’Être » de plus en plus heureux que je suis à cet instant… tout naturellement.

En effet, là, grâce à mon ego harmonieux, grâce à la quantité de colle juste nécessaire, je n’empiète jamais sur le Corps des autres Êtres, ni sur leurs Pensées, ni sur leurs Âmes.

J’existe, heureux et les autres existent, heureux… s’ils le veulent.

En tous cas, je les respecte dans leur libre conscience, lorsqu’ils en ont une, comme c’est le cas de tous les Êtres humains… et dans leur simple conscience, lorsqu’ils n’ont pas encore de libre conscience, comme c’est le cas de tous les autres Êtres sur cette terre.

Mais, s’il y a trop de colle, c’est à dire si mon ego est trop important ? Alors, là, cette colle, elle déborde de mon Être et je colle tous les autres Êtres : je considère alors qu’ils m’appartiennent, et que je suis leur propriétaire…

Dans ce type de situation ombreuse, trop fréquente actuellement, je vis comme si leurs Corps étaient à moi, comme si leurs Pensées m’appartenaient, comme si leurs Âmes m’appartenaient..

J’englue alors tous les aspects de tous les Êtres autour de moi…

Eh oui ! Tous les Êtres humains qui ont des egos déséquilibrés, c’est à dire qui collent trop tout ce qui existe, nous pouvons observer facilement qu’ils engluent tous les Êtres de notre terre, que ce soit les Êtres minéraux, bien sûr, mais également les Êtres végétaux, les Êtres animaux et aussi les Êtres humains… Ils vivent, vraiment, comme s’ils étaient les propriétaires exclusifs de la terre et de tous les Êtres qui la constituent !

Trop de colle, trop d’ego, c’est beaucoup de souffrance, pour eux-mêmes bien sûr, mais c’est également beaucoup de problèmes à résoudre pour tous les autres Êtres qui les entourent et qui se laissent, trop souvent actuellement encore, engluer.

Évidemment, ayant une conscience, mais pas encore une libre conscience, les Êtres minéraux, les Êtres végétaux et les Êtres animaux ne peuvent pas échapper à ces égos démesurés qui collent tout sur leur passage… Et c’est là, depuis toujours, la seule cause de tout les problèmes écologiques !

Mais, ces egos malades, malheureux qu’ils sont, tentent, sans en avoir conscience, d’engluer également tous les Êtes humains… Et, comme trop souvent encore, ils réussissent, c’est là la seule cause de tous les problèmes sociologiques.

Je dis, « sans en avoir conscience », parce que, bien sûr, lorsqu’ils reprendront le rythme naturel d’ouverture de leur conscience, leurs egos reviendront vers leurs équilibres naturels… Et alors, ces Êtres ne pourront s’empêcher d’être attentifs à ne plus coller « que » ce qu’ils doivent coller… c’est dire leur Corps, leur Âme et leur Pensée… Et cela dans leur intérêt et dans celui de tous les autres Êtres…

C’est à dire que leurs egos réuniront harmonieusement leurs propres Âmes, leurs propres Corps et leurs propres Pensées… Et ils ne colleront plus rien d’autre !

Eh oui ! C’est la conscience qui fait toute la différence !

Et depuis toujours, la conscience de tous les Êtres qui existent, s’ouvre de plus en plus… Et de plus en plus vite également !

Cela se manifeste pas la Joie que beaucoup ressentent de plus en plus… Et aussi par une saine Peur Vitale qui permet à leur Corps de vivre et donc à leur Âme d’évoluer sainement, avec une Pensée harmonieuse.

Je choisis donc d’être de plus en plus heureux, en pensant toujours mieux ce que je suis le plus heureux de penser… Et je souhaite à chacun d’oser faire de même, ou même de le faire mieux encore que moi…

Ceci pour vivre le plus efficacement possible la crise d’ouverture des consciences que nous abordons…

Une crise de guérison des égos ?

Penser, c’est voter.

Courage ! Ayons Peur ! 

Votons pour le Paradis.

21 • Un Petit Ruisseau de Pensées Matinales

Mardi 28 Mai 2024

Voici ce que j’ai écrit dans mon journal du Lundi 29 Janvier 2024, comme je le fais si souvent :

J’ai regardé l’heure à mon téléphone… 5 heures du matin… et c’est cette question qui m’a réveillé : 

“Que suis-je ?”

Et la réponse que j’ai déjà pensé si souvent, est revenue en moi, au-delà de ma volonté 

“Je suis une conscience de Toi qui s’ouvre à Ton Infini.”

Je m’ouvre… Je me suis toujours ouvert… Je m’ouvrirai toujours…

Comme tout ce qui est ! »

Et puis, il y a eu une petite cascade d’autres pensées… Elles s’imposaient à moi comme le ruisseau qui creuse son chemin dans les rochersTranquillement, patiemment… Alors là, j’ai pensé, en toute conscience :

« « L’Être »ruisseau » s’unit à l’Être « rocher »…

Tous les Êtres prennent conscience de Toi, toujours plus… Toujours plus…

L’eau enseigne le mouvement au rocher…

L’eau attire le rocher au mouvement.

Le rocher, petit à petit, se laisse tenter par l’aventure. Il s’érode et il suit il l’eau pour continuer son grand voyage de la conscience…

Il abandonne son immobilité rocheuse pour la mobilité du limon…

Et, comme le limon, nous, tous les Êtres, nous continuons tous notre voyage de conscience de Toi… En Toi… Vers Toi.

La Source qui n’a pas de source, coule sur nous et nous invite à couler… toujours plus couler…

Et nous  mourons pour renaître à chaque instant…

Dans la Joie… Dans Ta Joie…

… Si nous le choisissons… »

Et là, je me suis levé, je suis allé dans mon bureau, j’ai ouvert mon ordinateur et j’ai d’abord commencé à écrire les pensées que j’avais pu “attraper” dans ma mémoire…

Et puis, ensuite, voici ce que j’ai encore écrit :

« Au fur et à mesure que la conscience que je suis s’épanouit, la Pensée, le Corps, et l’Âme évoluent, comme Un… Tout évolue avec ma conscience… »

Et là, je me suis souvenu, une fois de plus de ce qui m’a été dit un jour :

« C’est la conscience qui fait toute la différence. »

Et puis j’ai bu…

Toujours un petit peu « excessif », j’ai bu un litre et demi de mon eau de Volvic, riche en acide silicique, en quelques minutes… C’est une cure que je faisais depuis bientôt deux mois, et que je continue actuellement à faire, pour permettre à mon corps de mieux éliminer l’aluminium que j’absorbe, comme chacun, le plus souvent obligatoirement, tous les jours dans ce monde moderne… que j’aime…

Je suis très curieux de tout… Et depuis que j’ai rencontré le Professeur Christopher Exley, en virtuel d’abord grâce à des vidéos en anglais, puis en lisant et relisant avec passion et beaucoup d’attention son livre « Vivre et Survivre à l’Ère de l’Aluminium », qui est préfacé par le Professeur Joyeux, en France, j’ai commencé cette cure d’eau riche en acide silicique, l’eau de Volvic.

Par exemple, un fait : le Docteur Alzheimer a découvert le premier cas de la maladie qui porte maintenant son nom environ 20 ans après le début de l’Ère de l’Aluminium, c’est à dire 20 ans après que les Êtres humains aient commencé à absorber de l’aluminium dans leur corps.

En effet, jusqu’à là, l’aluminium n’avait jamais participé à la biologie des Êtres que l’on dit vivants…

Et depuis la maladie d’Alzheimer est tout simplement de plus en plus fréquente...

Et puis là, j’ai recommencé à écrire sur mon merveilleux petit ordinateur, mon petit bijoux… Et voilà ce qui est venu :

« Chaque fois que j’utilise le Libre Arbitre, que Tu m’a donné, pour que ma conscience de Toi accepte de s’ouvrir librement à son rythme naturel, à son rythme originel, je vis toujours la Joie… C’est ce que nous appelons « Être heureux ».

Mais, chaque fois que j’ai utilisé le même Libre Arbitre que Tu me donnes, depuis toujours et pour toujours, pour prétendre freiner l’ouverture naturelle de ma conscience de Toi, là, j’ai vécu également Ta Joie, mais inconsciemment… C’est ce que nous appelons “souffrir”. »

Ensuite, calmement, j’ai attendu… Et puis, les pensées suivantes sont venues à mon esprit que j’étais vraiment heureux de penser et d’écrire :

« Par cette « belle souffrance », Tu m’as toujours signalé, respectueusement, que j’avais fait “ma” volonté et non “la Tienne”.

Ce que j’appelle ma “merveilleuse souffrance” m’a toujours, finalement, révélé Ta Joie qu’elle était en Réalité.

Et cela à l’instant même où j’ai osé me rappeler que “Tu es Tout”… et que ce que j’avais vécu n’était que Toi dont j’avais seulement perdu conscience ! »

Et là, ce jour-là, j’ai été heureux de reconnaître ce qui suit :

« Mais, en réalité, j’ai toujours appris, sans jamais arrêter, soit dans Ta Joie dont j’avais conscience, soit dans Ta Joie dont j’avais, comme on dit par erreur d’ailleurs, “perdu” conscience ! »

C’est vrai que depuis quelque temps, j’ai beaucoup pensé ceci… et j’ai vraiment, à chaque fois, eu beaucoup, beaucoup de plaisir à le penser :

« Depuis le presque début de l’humanité, toutes les consciences, que nous sommes depuis toujours, ont continué à évoluer, comme c’est Ta Volonté qu’elles le fassent, depuis toujours.

Elles ont évolué, soit dans cette ouverture naturelle de conscience de la Joie que Tu offres à chaque instant à tous les Êtres, soit, trop souvent depuis le presque début de l’humanité, dans ce que nous avons appelé la “souffrance” qui n’a fait que nous signaler une ou des pensées qui freinaient cette ouverture naturelle de notre conscience à Ta Joie Originelle. »

J’ai choisi, à chaque moment et depuis maintenant bien longtemps, de ne croire que ce que je suis le plus heureux de croire. Et je m’en porte très bien et même, vraiment, de mieux en mieux… Alors, là, j’ai choisi avec joie de penser ceci :

« Ce n’est que pour des temps limités que j’ai pu “prétendre freiner” l’ouverture de ma conscience de Toi… J’ai pu la freiner, mais je n’ai jamais pu l’arrêter !

Et je suis heureux de croire que c’est la même chose pour tous les Êtres qui existent !

Donc, je ne peux pas refuser Tes Dons… Je ne peux qu’en perdre, pour un temps qui est fini, nécessairement, la conscience.

Que nous le “voulions ou pas”, nous, tous les Êtres humains que nous sommes, ne pouvons, comme tous les Êtres depuis toujours, que recevoir la Totalité de Tes Dons.

Nous n’avons pu, si nous l’avons choisi grâce à notre libre arbitre, et ceci seulement depuis le presque début de l’humanité, nous n’avons donc pu que “retarder” ou “perdre de vue momentanément” l’ouverture de notre conscience de Ton Don que nous avons reçu depuis toujours et pour toujours.

En effet, le Libre Arbitre que Tu nous donnes depuis le début de l’humanité nous permet de choisir notre conscience de Toi… Et donc de Tout… Mais il ne nous permet pas de choisir que Tu sois ou que Tu ne sois pas ! 

Tu “Es”, Tu Es de toutes les façons ! Tu Es l’Éternité… Ton existence ne dépend en rien de la conscience que les Êtres humains que nous sommes choisissent.

Et tous Tes Dons, Tous Tes Dons, seront finalement nécessairement reçus en toute conscience… dans cette Éternité.

Notre Libre Arbitre nous permet de choisir “quand” nous serons conscients de les avoir reçus, mais pas “si nous les recevrons ou pas”… 

En effet, Tes Dons nous attendent depuis toujours et pour toujours… Ils attendent notre décision… Décision que nous prenons avec le Libre Arbitre Absolu que Tu nous donnes Éternellement. »

Et puis là, ma pensée, comme d’habitude, a pris comme un virage, tout d’un coup… Et j’ai écrit :

« Tu es l’innommable qui a tous les noms.

Nous découvrons, tous les jours, des nouveaux noms de Toi.

Nous avons dit que nous “inventions” des choses, mais nous ne faisons que découvrir un peu plus ce que Tu Es Éternellement.

« Apprendre, c’est se souvenir », nous a dit Platon.

“Inventer”, c’est Te découvrir un peu plus !

Une “invention”, c’est, simplement, une nouvelle découverte de Toi.

Et, en effet, je Te découvre à chaque instant. C’est toujours de Toi dont je prends conscience, à chaque instant ! Tu es la seule chose que je puisse « dé-couvrir », que je puisse « apprendre », puisque Tu es Tout !

Quelle joie de Te découvrir à cet instant, en sachant que je Te découvrirai pour l’Éternité… »

Après un petit calme observateur, j’ai vécu une succession de petits virages de pensées bien agréables :

« J’aime penser…

J’aime vivre mon Corps…

J’ai foi en mon Âme…

J’aime Tout…

J’aime ce Tout que Tu m’offres !

Je ne Te cherche pas ailleurs… Tu es là, à cet instant, Total !

Quelle Joie de pouvoir, toujours, Te déguster à nouveau, à cet instant !

Je suis une simple conscience heureuse !

Je suis une conscience heureuse de s’ouvrir à l’Éternel.

Je suis une conscience heureuse de se laisser ouvrir… par Toi

Quelle Joie de Te Vivre ! »

Et là, ce jour-là, je me suis arrêté, près à remplir ma journée de belles prises de conscience… de Lui.

20 . Jouer à Penser

Dimanche 26 Mai 2024

Voici un exemple de la façon dont j’ai joué, pendant des années, au jeu de pensée que j’ai nommé, il y a bien longtemps, le BeHappy…

Ce jour-là, comme toujours, j’y ai joué avec mon style, unique bien sûr, comme je l’ai fait pendant des années, presque tous les jours.

Cette régularité m’a permis de jouer de mieux en mieux, au fur et à mesure des années… C’est à dire d’être de plus en plus heureux, en pensant de plus en plus ce que j’étais le plus heureux de penser.

C’est ma route.

En effet, lorsque je joue consciemment, comme je l’ai fait ce jour-là et tous les autres jours, la seule règle que suis attentif à respecter de mon mieux, c’est tout simplement d’être heureux, le plus heureux possible, de penser ce que je pense à cet instant… Et également, d’être heureux de l’écrire !

Et cela va, en général, très, très vite…

Je bondis d’une pensée à l’autre… J’ai toujours une grande joie à danser ma Pensée… à danser mon Âme… à danser mon Corps… qui sont Un.

Comme tous les Êtres, l’Être que je suis n’a qu’un but : ouvrir sa conscience à Lui, qui est Tout… Comment que nous Le nommions.

Mais, voici donc comment j’ai joué le Mercredi 7 Février 2024 que j’ai pris au hasard dans mon journal :

« Je ne peux Te quitter, même quand je l’imagine…

Où que je sois, Tu Es.

Je me retourne et je Te vois, toujours devant moi.

Mais, je n’ai pas besoin de me retourner pour vérifier que Tu es là : 

Tu es toujours là,

En moi et en tout !

Je ferme les yeux et je Te vois.

Que j’ouvre ou que je ferme mes yeux, Tu es là.

Je regarde ce brin d’herbe et Tu flamboies.

Et cette poussière, elle scintille de Toi.

J’ai prétendu des milliers de fois que Tu n’existais pas… 

Et cette prétention-même c’était Toi.

Je Te cherche, je Te cherche, 

Et pourtant, je T’ai toujours trouvé !

Tu es là dans mes yeux qui Te voient.

Il n’y a que Toi qui soit, 

Et tout le reste c’est Toi.

Douleur ou joie… C’est toujours Toi !

Tu m’ouvres les yeux 

Qui ont toujours été ouverts.

Tu ouvres mes yeux 

Qui sont déjà ouverts.

Le pépiement des oiseaux, que j’entends, c’est Ton bruit.

J’aime sentir ce que je sens, 

Car, c’est toujours Toi.

Je suis si heureux de Te vivre.

J’aime même souffrir, car Tu es tout.

Je Te vois en tout et pourtant ma seule peur… c’est de Te voir. 

Ma peur n’élimine pas ma foi, elle la grandie.

Je capte mes pensées de Toi.

J’aime ce bruit, mais j’aime aussi cette musique : que n’es-Tu pas ?

L’horloge, fait tic-tac : elle Te nomme… à chaque seconde !

Tic, c’est Toi… Tac, c’est Toi.

Bien sûr!

Je suis là, en Toi… 

Comme toujours.

Que me dis-Tu dans cette couleur ? 

Je Te vois en tout : que puis-je voir d’autre ? 

J’aime Te penser, j’aime Te toucher, j’aime Te voir, d’ici à l’horizon…

Le bleu est une couleur qui Te va parfaitement bien… Le rouge et le jaune aussi… 

Quelle couleur ne Te va pas ? 

Toutes les couleurs sont Tiennes.

Je Te déclame sans cesse, 

Même en T’entendant.

Je jouis de cette instant, 

Je jouis toujours de Toi.

Comment puis-je ne pas être heureux de souffrir ? 

N’es-Tu pas tout ? 

Je parlerai de Toi, toujours. 

De quoi puis-je parler d’autres ? 

Je m’aime de Te voir, je m’aime de Te vivre.

J’avance en Toi… Et c’est pourtant Toi que je quitte à chaque instant.

Ma conscience de Toi change depuis toujours… 

Mais c’est toujours Toi !

Je Te vais, je Te viens, je Te repars, je Te monte et je Te descends : 

Tu es vraiment Infini.

Je crois en Toi… 

Mais c’est facile, puisque je ne peux croire qu’en Toi !

J’attends… je T’attends, depuis toujours !

Je T’attends toujours, 

Et pourtant je T’ai toujours trouvé.

Es-Tu moins que Tout ? 

Mon doute-même, c’est Toi.

Je T’adore d’ici à là-bas.

Il n’y a pas de limite à l’ouverture de nos consciences : 

Tu es notre Limite Infinie !

Je Te pense, je Te pense… je Te vis.

Penser, c’est Te vivre.

Je m’ouvre, je me ferme…

Tu es aussi ma fermeture. 

« L’athée », crois en Toi, autant que le « croyant ».

Croire quoi que ce soit, c’est Te croire

En Toi, il y a le plus, il y a le moins… 

Et il y a le Tout !

Je n’ai peur que de Toi, 

Puisque Tu Es Tout.

Je n’ai foi qu’en Toi

Puisque Tu es Tout. »

Voilà ! Voilà comment j’ai joué ce jour-là… Et, dans le futur, chaque pensée sera pensée avec encore plus de conscience de la Joie Éternelle.

Bien sûr, je ne propose à personne de penser les mêmes pensées que celles que j’ai pensées et écrites ce jour-là  ou tout autre jour !

Non ! Je propose à chacun de penser ce que, lui ou elle, est heureux ou  heureuse de penser à l’instant-même où il, ou elle, pense.

Ce n’est pas ce que nous pensons qui a de l’importance, car toute pensée ne peut que « Le » nommer… Et donc aucune pensée ne Le nomme plus que n’importe quelle autre pensée !

Ce qui importe, c’est la conscience de la Joie que nous avons lorsque nous pensons… Cette Joie, c’est la plus belle chose que nous puissions vivre… Et elle est accessible à tous.

Regardons les enfants : ils sont souvent nos maîtres !

Mais, cette Joie, elle est également le plus beau cadeau que nous pouvons offrir à tous les autres Êtres.

Gandhi nous a proposé d’être ce que nous voulons que le monde devienne.

Alors, soyons heureux pour que le monde devienne heureux…

Pensons, nous-même, ce que nous sommes les plus heureux de penser, pour que le monde pense de plus en plus ce qu’il est le plus heureux de penser.

C’est, là, le miracle, tout simple, de la Joie Inconditionnelle.

19 • La Porte

Mardi 21 Mai 2024

Observer, c’est toujours T’observer !

Tous, nous ne pouvons observer que Toi…

Toi, que nous avons, le plus souvent, dans toutes les langues, appelé Dieu… mais qui a tous les noms de l’Univers…

Absolue, Infini, Tout, mais aussi, Marguerite, Granit, ou Repas… Également : Émotion, Joie, Confiance… Ou encore : Poussière, Eau, ou Cacahuète, Ici ou Là-bas…

Choisissons un mot… Et c’est Toi que nous nommons !

Avec plus ou moins de conscience, nous, tous les Êtres qui existons, sans une seule exception, nous voulons T’adorer en Tout, toujours mieux, car que peux-Tu ne pas être, Toi l’Être Absolu ?

L’ombre, que nous avons tous imaginée en perdant conscience de Toi, notre ombre donc, nous a voilé la Lumière pendant un bien court instant…

En effet, ce n’est que peu après que nous soyons devenus Êtres humains, que nous avons pu choisir de perdre conscience de Toi.

Cela fait à peine, 150.000 ou 400.000 ans, d’après la science actuelle…

Mais, Toi, Toi la Lumière Éternelle, Tu es Omniprésente… Tu es l’Être-même de toute chose, y compris de cette ombre que nous avons imaginée.

Et nous voulons, toujours mieux, Te voir en ce voile illusoire qu’est notre ombre… Et cela, tant que ce sera nécessaire…

Car notre ombre, elle a eu un début et elle aura une fin.

Le début de l’ombre, c’est notre perte de conscience de Toi, Toi la Lumière…

La fin de l’ombre, c’est la reprise de conscience de Toi en Tout, « y compris dans notre illusion qu’est l’ombre ».

La Vie, sans ombre, sans aucune ombre, existe… C’est le Paradis.

Le Paradis a toujours existé en tant que conscience et expérience personnelle, chaque fois que, pendant quelques instants, un des Êtres que nous sommes aime, encore plus, toute l’ombre de la Terre.

Mais, le Paradis existera pour toujours, en tant que conscience et expérience de tous les Êtres de la Terre, lorsque, tous les Êtres humains, sans une seule exception, aimeront toute l’ombre que nous avons tous pu imaginer depuis le presque début de l’humanité.

Alors, ouvrons la Porte… Et entrons !

Aimons notre ombre… Aimons notre ennemi.

18 • Conscience-Inconscience : que du plaisir !

Samedi 18 Mai 2024

Attention, aujourd’hui, il va falloir s’accrocher un peu pour lire ce qui est écrit ici ! Alors, j’ai écrit un peu plus gros que d’habitude… Peut-être un peu trop gros pour les mobiles ? Nous verrons.

Nous allons travailler la souplesse de nos esprits… un peu dans tous les sens.

Mais, attention ! Si ce que vous lisez ici, c’est ce que vous êtes le plus heureux de penser, alors, bien sûr, je vous invite à le penser chaque fois que cela vous est agréable…

Mais, attention encore ! Si ce que vous lisez, vous n’êtes pas heureux de le penser vous-même, alors jetez-le dans un placard, c’est à dire perdez-en conscience tout de suite, pour l’instant…

Cela sortira certainement du placard si un jour c’est agréable pour vous !

Mais, surtout, surtout, pour l’instant, ne vous forcez jamais à penser quoi que ce soit que vous ne soyez pas heureux de penser tout de suite !

Et plus tard, vous verrez…

Alors… « Être heureux, », c’est ce qui me passionne depuis toujours…

Et, à chaque instant, je vois bien que c’est ce qui passionne le plus tous les autres Êtres humains que je rencontre… mais aussi tous les autres Êtres.

Une conscience de la Joie toujours plus grande, c’est la priorité absolue de tout ce qui existe, c’est à dire de tous les Êtres.

En effet, la Joie, inconditionnelle, est le moteur de l’existence.

Mais, pour les Êtres humains, être heureux, c’est, d’abord, « penser », en tant qu’humain, ce qu’ils sont les plus heureux de penser à cet instant…

Puis c’est, parfois, d’exprimer, par des paroles ou des actes, ce qu’ils sont les plus heureux d’exprimer.

Alors, allons-y ! À la façon d’aujourd’hui, je m’amuse à penser ma Joie… et à l’exprimer avec des mots que j’écris !

Je m’amuse à vivre une agréable petite folie de ma pensée… etdonc, même, à l’écrire !

Et ensuite, eh bien vous, vous en ferez l’usage que vous jugez bon.

Penser, c’est « l’Intimité Absolue », mais, bien sûr, plus j’exprime ma pensée à d’autres Êtres humains, moins c’est intime, plus c’est publique.

Mais, rien, ni personne d’autre que moi ne choisit ma pensée… Je suis totalement libre ce que je pense… Comme tous les Êtres humains.

J’ai mon libre arbitre, ma libre conscience… et du coup, ma libre inconscience !

Chaque mot que j’utilise existe pour exprimer une certaine conscience, que j’ai, à cet instant, du Tout .

Alors, là, rappelons-nous que tout ce qui existe est à la fois Âme, Corps et Pensée… avec une certaine conscience.

La conscience que j’ai est toujours unique dans le temps et dans l’espace.

C’est à dire qu’aucun Être n’a la même conscience, aucun Être n’a eu la même conscience et aucun Être n’aura la même conscience qu’un autre Être… Et ceci dans l’Infinité de l’univers et dans l’Éternité du temps.

Rappelons-nous également que tous les Êtres ont une inconscience qui est Infinie… Et ceci quelle que soit leur conscience.

Là, j’essaye de dire qu’un Être minéral, un Être végétal, et un Être animal ont la même inconscience infinie que moi qui suis un Être humain.

Une autre façon imagée de le formuler, c’est de dire que « quel que soit le kilométrage qu’un Être a parcouru, il lui reste toujours, toujours, l’infini à parcourir.

Donc, tout Être a une conscience différente de tous les autres Êtres, mais leur inconscience, elle, elle est toujours Infinie… et, également, différente.

Un Être « est » sa Conscience, unique à cet instant unique et en ce lieu unique.

La conscience est donc un mouvement permanent qui concerne à ce même instant, l’aspect Corps, l’aspect Pensée et l’aspect Âme d’un Être.

Donc, la conscience que nous sommes à cet instant n’a jamais existé et n’existera jamais plus.

Ce qui fait que, peut-être que j’utiliserai le même mot, mais il n’exprimera jamais la même conscience.

Une conscience, c’est toujours un instant de conscience… Donc, la conscience ne dure qu’un instant.

Ce qui fait que n’ai jamais eu et je n’aurai jamais plus la conscience que j’ai à cet instant.

J’aime à penser que la conscience de tout Être augmente en permanence, mais où qu’elle en soit dans son mouvement Éternel d’expansion, et quelle que soit la vitesse de cette expansion, il lui reste l’Infinité de son Inconscience à découvrir…

Alors une chose que chacun peut observer, c’est que plus un Être est conscient, plus il est conscient que son inconscience est Infinie.

 cet instant unique et merveilleux, un Être a l’Éternité devant lui, comme il a l’Éternité derrière lui…

Si chaque Être a une conscience unique, chaque Être a donc également une inconscience unique.

Et toutes ces inconsciences uniques sont Infinies.

Il apparait évident qu’il n’y a pas de conscience sans inconscience, ni d’inconscience sans conscience… Et que ma conscience est aussi Infinie que mon inconscience.

Ma conscience et mon inconscience sont unies, en une relation unique, dans l’Être que je suis à cet instant.

Je suis à la fois, un Être « Corps », un Être « Pensée » et un Être « Âme » au même instant.

Je peux m’amuser à dire la même chose sous cette forme : un Être est l’unité d’un Corps, d’une Âme et d’une Pensée à cet instant.

En effet, hier, j’étais un Être que je ne suis plus… Et demain, je serai un Être que je n’ai jamais été.

La conscience Corps que je suis, la conscience Pensée que je suis et la conscience Âme que je suis sont, à cet instant et seulement pour cet instant, l’Être unique que je suis…

Cet Être unique, que je suis, n’avait encore jamais existé et n’existera jamais plus… Mais il est en même temps Éternel.

Chaque mot a un présent, un passé et un futur.

Un mot pourra être prononcé ou écris un innombrable nombre de fois par un innombrable nombre d’Êtres humains, mais il n’exprimera jamais la même conscience… Jamais !

En effet, la conscience de cet instant est Unique.

Mais l’inconscience de cet instant est également Unique.

La conscience est toujours nouvelle… Toujours !

Mais, l’inconscience est également toujours nouvelle !

Je n’ai ni la même conscience, ni la même inconscience que celles que j’avais l’instant d’avant ou que j’aurai l’instant d’après.

Donc, par exemple, le mot « Dieu » n’a jamais été, ni ne sera, jamais prononcé, avec la même conscience… et ceci dans l’Infini de l’univers et dans l’Éternité du temp.

Et il en est de même pour tous les mots qui existent, qui ont existé et qui existeront.

Ainsi, quand je relis pour la millième fois le même texte écrit, je n’ai jamais une seule fois lu ce texte avec la même conscience que cette fois-ci.

Un texte peut être écrit sur le papier… mais la conscience que j’en ai ne peut jamais être écrite : elle est vivante ! Elle évolue à chaque instant.

Il est clair que conscience et inconscience sont deux facettes de la même Réalité Absolue et Unique.

À un instant donné, j’ai une certaine conscience de ma conscience… et une certaine conscience de mon inconscience.

Mais, je n’observe que le passé… Ma conscience ne peut donc être qu’une observation de ma conscience passée.

Pour le dire autrement, je ne peux avoir conscience que de mon passé.

C’est amusant ! Je me retrouve en train d’être heureux de penser : « Je ne peux avoir conscience que de ma conscience passée ! »

Cela m’a amusé de penser cela et de l’écrire, mais, l’instant d’après, j’en ai douté… Il faudra que je trouve ce que je suis vraiment heureux de penser sur ce sujet. Affaire à suivre !

En tous les cas, lorsque je prends conscience de cette conscience que je viens juste d’avoir, la conscience que j’en ai est déjà passée…

Ce sont des pensées qui pourrait faire le sujet d’un sketch humoristique pour un humoriste !

En effet, qu’est-ce que c’est agréable de penser par plaisir.

C’est le même type de plaisir que celui que l’on vit lorsque l’on danse.

Finalement, la danse de l’Être, c’est la danse de l’Âme lorsqu’elle est dansée par la Pensée et par le Corps.

Ou alors, on peut dire : la danse de mon Être, c’est l’harmonie de la danse du Corps que je suis, de la Pensée que je suis et de l’Âme que je suis.

Donc, nous dansons notre plus belle danse lorsque l’Âme, la Pensée et le Corps, que nous sommes, dansent en harmonie.

Voilà pour cette fois-ci… Je me suis bien amusé !

À suivre, bien sûr… à l’Infini !

17 • Jouer à Penser

Vendredi 11 Mai 2024

Jouer à penser ce que je suis le plus heureux de penser, l’écrire et parfois le communiquer est une de mes passions essentielles.

Cela fait plus de 44 ans que je joue, consciemment, à ce jeu de pensée… À un moment, il y a environ 36 ans, j’ai commencé à nommer ce jeu, le « BeHappy », car alors, je savais que j’allais le jouer avec d’autres Êtres humains aux États-Unis d’Amérique, ce que j’ai effectivement fait pendant 2 ans… Et puis ce nom est resté, car tout le monde en comprend le sens… Et surtout, il me plaît.

J’ai formalisé les règles de ce jeu, à cette époque, et elles n’ont que très peu changées depuis. Actuellement, j’énonce ces règles du jeu comme je le fais dans l’article de ce site dont le titre est : « Qu’est-ce que le BeHappy ? »

Je relis, souvent, moi-même, ces règles du jeu pour vérifier que je les respecte lorsque je joue à penser.

Et, avec la pratique, j’ai réussi à respecter, moi-même, de mieux en mieux ces règles du jeu qui sont toutes simples… Ce ne sont finalement qu’une astucieuse mise en mots du bon sens qui est en chacun de nous.

Mais, respecter consciemment ce « bon sens » remet en question des millénaires de mémoires douloureuses et surtout cela permet d’en guérir… Si on le veut bien.

Et là, aujourd’hui encore une fois, je vais faire une bonne partie de BeHappy, comme j’en ai pris l’habitude depuis ces nombreuses années… Alors, allons-y !

Si vous le voulez, jouons une petite partie de « BeHappy » ensemble : pensons, peut-être ensemble, ce que nous sommes heureux de penser !

Tout les Êtres veulent être heureux… Et ceci, sans une seule exception dans tout l’univers. Et tous les Être, les Êtres minéraux, les Êtres végétaux, les Êtres animaux et en particulier les Êtres humains, que nous sommes tous ensemble, ont bien raison de le vouloir !

Cette quête d’une conscience de la Joie toujours plus grande, c’est la Vie Elle-même.

Cette Joie dont, tous, nous cherchons toujours plus la conscience, Elle est à la fois Infinie, Éternelle, Omniprésente… Elle est Vérité… Elle est Amour… Elle est ce que beaucoup, et j’en fais partie, appellent Dieu.

On pourrait dire que c’est, à la fois, un état, et un mouvement. C’est le mouvement de Tout ce qui existe, connu et inconnu de nous, les Êtres humains.

La Joie est Omniprésente depuis le minéral que nous avons été pendant des milliards et des milliards d’années, dans notre Univers… Et même, sans aucun doute, infiniment avant l’apparition de cette Univers que nous croyons connaître.

Notre Terre est une des énormes masses de minéraux d’origines diverses qui, à leur niveau, ont suffisamment évoluées dans leur conscience de cette Joie Éternelle dont nous parlons, et qui ont pu, finalement, s’unir ensemble et lui donner sa forme minérale… Cela s’est passé, semble-t-il, il y a entre 4 et 5 milliards d’années…

Et tout ceci s’est fait en établissant également une relation harmonieuse avec l’énorme masse de notre soleil et avec tous les autre Êtres minéraux locaux… mais également les Êtres lointains et même infiniment lointains.

La Conscience a toujours une Forme, une Forme qui prend sa source dans l’Amour, c’est à dire dans la Joie… Et la matière, elle, elle est toujours une forme de la Conscience et de la Joie.

Notre Terre, Gaia, comme tout ce qui existe, est une Parfaite Unité de Corps, de Pensées et d’Âmes…

Et, pendant des milliards d’années, nos Âmes, qui ne sont humaines que depuis si peu de temps, n’ont eu comme Corps, pendant de longs éons, que cette Être minéral…

Il y avait là donc la semence de nos Corps humains, la semence de nos Pensées humaines et la semence de nos Âmes humaines… C’est à dire la semence des Êtres humains que nous sommes aujourd’hui.

Puis, il y a bien longtemps, le minéral, pour pouvoir continuer à ouvrir sa conscience à la Joie qu’il était, le minéral donc, a eu besoin d’un Corps différent qui pourrait exprimer toujours mieux cette Joie dont il avait de plus en plus conscience…

Et, là, l’Être végétal est apparu, avec ses Corps végétaux, ses Pensées végétales, et ses Âmes végétales…

Tout cela dans une merveilleuse Union harmonieuse de tous ces nouveaux Êtres avec les plus anciens.

Ils étaient en effet à la fois « Un » entre eux, les végétaux, mais également « Un » avec les Êtres minéraux de Gaia qu’ils avaient été eux-même pendant si longtemps auparavant.

Et ainsi, depuis, la conscience de la Joie Omniprésente s’exprime dans tout l’Être végétal… Et ceci jusqu’à nos jours où elle continue également dans nos Corps humains qui l’ont conservé précieusement en eux.

La Vie, en effet, ne recule jamais… Elle avance toujours… Et, toujours, elle additionne ce qui fonctionne harmonieusement à ce qui a fonctionné harmonieusement… C’est une de ses lois.

Et là, au minéral, elle a ajouté le végétal… végétal qui contient donc le minéral auquel il est uni pour toujours. Ils ne sont que « Un ».

Finalement, il n’y avait pas, et il n’y a toujours pas, d’un côté le minéral et d’un autre côté le végétal… Non ! Il y a les Êtres minéraux qui ont préparé pendant des milliards et des milliards d’années leur évolution qui a été, pour certains d’entre eux, à un moment donné, et maintenant pour toujours, les Êtres végétaux.

Et ce sont ces mêmes Êtres végétaux qui ont permis l’évolution des Corps minéraux, des Pensées minérales et des Âmes minérales, pour que ceux-ci participent à une conscience de la Joie encore toujours plus grande…

« Rien ne se crée, rien ne se perd, tout se transforme. » a dit un scientifique du 18ème siècle.

Et aujourd’hui, nous pouvons nous amuser à transcrire ce concept de la façon suivante :

« La conscience de la Joie ne crée rien, la conscience de la Joie ne perd rien, la conscience de la Joie se transforme Éternellement. »

Cela me plait bien !

Dans tout l’Univers, c’est comme cela… Alors, il n’y a probablement pas que sur notre petite Gaia adorée que la conscience de la Joie se transforme comme elle le fait « ici ».

Mais cependant, pour l’instant, restons sur notre « petite Gaia » et continuons à participer à son évolution de conscience… Elle a bien besoin de l’ouverture de notre conscience pour pouvoir continuer la sienne, n’est-ce pas ?

La Conscience minérale de la Joie, et la Conscience végétale de la même Joie, ont continué à s’ouvrir ensemble, comme un seul Être…

Et à un moment donné, il y a bien longtemps également, ces deux consciences faites « Une » ont eu, bien sûr, besoin d’un Corps capable d’accueillir et de manifester leur évolution continue…

Et c’est à ce même instant le Corps animal, la Pensée animale et l’Âme animale qui les ont accueillies, ensemble, pour qu’elles puissent continuer à s’épanouir.

Et hop ! Le monde animal est apparu, à la fois prolongement du monde minéral et du monde végétal et Union avec eux, eux qui avaient déjà réussi leur Union depuis longtemps…

Et voilà que l’Union s’est élargie ! C’est encore un succès de la Vie, de la Pensée et de la Joie ensemble.

C’est beau !

Et c’est un fait que « Plus c’est Beau, plus c’est Vrai »…

En effet, la Vérité est toujours plus Belle que ce que nous avions pensé de plus beau jusqu’à là.

Et quel plaisir pour moi de penser et d’écrire ces pensées !

Or, plus je pense ce que je suis le plus heureux de penser, plus ma conscience s’ouvre à la Joie… Et plus ma Conscience s’ouvre à la Joie, plus ma Vie est Belle ! Plus ma Vie est Belle, plus l’humanité s’épanouit ! Et plus l’humanité s’épanouit, plus Gaia élève sa conscience…

Et ainsi, chacun de nous participe de la même manière à cette ouverture de la conscience de Gaia… et, au delà, de l’ouverture de la conscience de l’univers, cet inconnu.

Mais, il faut reprendre, un moment, notre voyage fantastique à travers les milliards d’années.

Donc, bien sûr, cette Conscience animale de la Joie est une Union réussie, Union d’Elle-même avec les Consciences minérales et végétales déjà Unies.

C’est un succès de la Vie, de la Conscience et de la Joie, Unes en même temps. Il y a dans Gaia toujours plus de Vie et toujours plus de Conscience de la Joie. Cela va grandir pendant des millions d’années… Et se préparer à la suite… Une suite qui ne finira jamais !

En effet, l’étape suivante de l’évolution de cette Union de la Vie, c’est l’apparition de l’Être humain. L’Être humain qui est l’Union du minéral, du végétal et de l’animal en une nouvelle conscience : la conscience humaine, avec son Libre Arbitre tout nouveau et qui le caractérise.

Et, à partir de là, la conscience humaine de la Joie a grandi rapidement, en exponentielle, jusqu’à aujourd’hui… Et ceci, malgré un usage trop souvent bien maladroit du Libre Arbitre. Le Libre Arbitre, cette Libre Conscience toute nouvelle, qui lui a été donnée, il y a seulement quelques centaines de milliers d’années…

Nous pouvons voir, aujourd’hui, le résultat de cette usage maladroit du Libre Arbitre : c’est « l’ombre » ! C’est « le mal » !

Les Être minéraux, végétaux et animaux, eux, n’ont jamais pu, et ne pourront jamais, perdre la conscience de la Joie, la conscience de la Lumière Éternelle…

Mais, les Êtres humains, eux, ont pu utiliser leur nouveau et merveilleux Libre Arbitre pour ouvrir toujours plus leur Conscience de la Lumière… Mais aussi pour perdre, trop souvent, conscience de la même Lumière Éternelle.

Et « C’est la conscience qui fait toute la différence. »

Heureusement, la Lumière, Elle, est Parfaitement Éternelle, Infinies, Parfaitement Omniprésente, alors que l’ombre, que l’homme a imaginé, elle, elle a eu un début… Elle aura donc une fin.

L’ombre n’est que la Lumière Éternelle dont nous avons perdue conscience.

Or, dès que nous perdons conscience de la Lumière Éternelle, nous souffrons.

Et cette souffrance, loin d’être une punition, est un merveilleux cadeau de la Lumière Elle-même, qui étant Omniprésente, est donc présente « dans » l’ombre.

La souffrance est donc une persistance Éternelle, en nous, de la Conscience de la Lumière « dans » la perte-même de conscience de la Lumière que nous avons cru choisir librement avec notre Libre Arbitre.

Notre merveilleuse souffrance nous invite, simplement, à reprendre notre Mouvement Naturel et Originel, d’ouverture de notre conscience à la Joie, que notre Être a vécu, sans interruption jusqu’à là, en tant que minéral, que végétal puis qu’animal…

En effet, les Êtres minéraux, végétaux et animaux, eux, n’ont jamais pu et ne pourront jamais perdre conscience de la Lumière qu’est la Joie, car ils n’ont pas le Libre Arbitre propre à l’Être humain qui seul a permis de croire choisir la perte de conscience.

Heureusement, c’est ce même Libre Arbitre qui nous permet, nous Êtres humains, de reprendre notre Mouvement Naturel d’ouverture de notre conscience, lorsque nous sommes avertis, par notre amie intérieure, la souffrance, que nous avons donné un coup de frein et qu’il faut relâcher ce frein pour pouvoir à nouveau reprendre notre vitesse naturelle d’ouverture de conscience, celle qui n’aurait jamais dû diminuer…

En effet, la seule solution à notre perte de conscience de la Lumière, que l’on a appelé « ombre », c’est notre reprise de conscience de la Lumière, y compris « dans » l’ombre.

« Aimer notre ennemi », « Aimer l’ombre », est la seule solution à la souffrance que nous avons ressenti lorsque nous avions oublié que nous l’Aimions.

Nous sommes en effet libre de tout ce que nous Aimons en toute Conscience, mais nous sommes liés, par l’Amour Éternelle, à tout ce que nous avons prétendu ne pas aimer.

Nous ne pouvons pas « accepter » de ne pas Tout Aimer !

Nous ne l’accepterons jamais.

(à suivre)

16 • Il a Tous « Ses » Noms

Jeudi 2 Mai 2024

« Tu Es Tout ».

C’est là une pensée fondamentale pour moi…

C’est aussi la pensée que je pense le plus souvent… actuellement.

Cela ne veux pas dire que cette pensée soit meilleure que n’importe quelle autre pour « Te » penser.

Mais, là, je vais m’amuser à la considérer un peu sous différents aspects. Bien sûr, ceux que je suis capable d’envisager pour l’instant.

Cette pensée « Tu Es Tout » Te décrit simplement comme « Tout ».

Mais, aucun mot ne peut Te nommer mieux qu’un autre… si « Tu Es Tout » !

Mais, pour l’instant, c’est cette petite phrase que je suis le plus heureux de penser, le plus souvent. C’est tout.

Elle me trotte dans la tête, toute la journée… Je suis un peu comme agréablement obsédée par elle.

Et, pour l’Être humain que je suis, elle me semble avoir une Infinité de conséquences, sur tous les plans… Et je m’amuse à en explorer quelques unes… et à écrire aujourd’hui sur ce sujet.

« Être », c’est Être à la fois Corps, Âme et Pensée, à cet instant et pour toujours… C’est vraiment là ce que je suis le plus heureux de penser.

Être, c’est Être à la fois Corps, Âme et Pensée.

Si Tu Es Tout, Tout d’un Être « T’existe »… Ça aussi, ça me plaît complètement ! Tout T’existe.

Le Corps de tout Être Te vit. Sa Pensée Te pense. Son Âme Te révèle à lui l’au delà…

Là aussi, je suis vraiment heureux de penser cela… à cet instant…

Mais là, mettons les choses au clair ! Dans ce site web, BeHappy8, que je propose à l’attention de ceux que cela intéresse, je ne fais que jouer au « BeHappy » ! C’est à dire que je me propose de n’écrire que ce que je suis le plus heureux de penser au moment où je l’écris.

Donc, ce n’est probablement pas la peine que je dise à chaque instant : « J’écris ceci ou cela parce que c’est ce que je suis le plus heureux de penser… »

C’est vrai, bien sûr ! C’est ce que j’essaye sans cesse de faire de mon mieux… Mais, ça, vous l’avez compris.

Je ne vais donc le rappeler que de temps en temps… Mais pas à chaque phrase ou à chaque mot.. ! Il suffit de savoir que je respecte, de mon mieux, les règles du jeu du BeHappy que j’exprime dans l’article « Qu’est-ce que le BeHappy ? » que vous pouvez aller revoir, chaque fois que nécessaire.

Maintenant, je reprends mon jeu là où j’en étais ! Peut-être…

« C’est la conscience qui fait toute la différence. »

« C’est la conscience qui fait toute la différence. »

Il n’y a de différence que de conscience.

À cette instant quelle conscience je choisis du « Tout » que « Tu Es » ?

Est-ce que je choisis bien la conscience du « Tout que Tu es » qui me plaît le plus à cet instant ?

Que je choisisse d’avoir telle ou telle autre conscience de Toi, cela ne change rien au Fait Éternel que « Tu Es Tout ».

Donc… La conscience que je choisis de Toi ne change rien à « Ta Réalité », mais cela change tout à « ma réalité »…

« Ma réalité », en tout les cas un aspect de ma réalité, c’est ce que « je » pense de Toi.

Je dis « un aspect de ma réalité », parce que ma réalité a trois aspect, elle aussi : un aspect Corps, un aspect Pensée et un aspect Âme.

Tous les trois sont, en même temps, « ma réalité », en même temps.

Pour l’instant, dans « ma » réalité, je veux dire dans l’aspect Pensée de ma réalité, « conscience » et « mot » sont souvent synonymes.

Ma conscience s’exprime par des mots… Et les mots que je choisis expriment ma conscience. C’est à dire, peut-être, que  les mots sont l’aspect « Corps » de mon aspect « Pensée ».

C’est amusant !

Alors, là, hop ! Je me fais une petite réflexion sur ma conscience.

Ma « conscience », elle aussi, a trois aspects, comme tout ce qui « est », c’est à dire comme « Tout ce que Tu Es »… puisque tout ce qui est, c’est « Toi ».

Ma conscience a donc un aspect Corps, un aspect Âme et un aspect Pensée.

Il y a donc « la conscience Corps », et il y a, à ce même instant, « la conscience Âme », et « la conscience Pensée »… Et je suis au même instant, ces trois aspects de « ma conscience »… puisque « ma réalité », c’est la conscience que ‘j’ai à cet instant de « Ta Réalité Éternelle ».

Et donc, aucun aspect de ma conscience de Toi ne peut évoluer sans que les deux autres aspects de ma conscience de Toi évoluent au même instant.

Je peux bien sûr également évoluer dans ma conscience Corps, dans la conscience de mon aspect Corps… Et hop ! Alors, au même instant, ma Pensée et mon Âme évoluent, car ils sont « Un » avec le Corps.

Et je n’oublie pas que l’Être humain a le « Libre Arbitre ».

Ce fameux Libre Arbitre, c’est peut-être une des qualité qui le différencie le plus des autres Êtres qu’il incorpore depuis qu’il est « humain ».

Et ce Libre Arbitre a, lui aussi, comme Tout ce que Tu Es, un aspect Corps, un aspect Pensée et un aspect Âme… C’est fou ! Et je trouve cela très beau.

En effet, dans ma vie, je n’ai plus aucune bonne raison de prétendre séparer quoi que ce soit de quoi que ce soit… Puisque « Tu Es Tout ». Tu es tous les Corps, toutes les Pensées et toutes les Âmes en « Un ».

Et cela me simplifie beaucoup la vie… Quel plaisir, pour moi, de me sentir en sécurité, quel plaisir de vivre sans combat entre une chose et une autre, mais plutôt de vivre une danse de tout avec tout !

Mais là, pour aujourd’hui, cela me suffit…

J’ai bien joué à penser et à écrire avec plus de conscience… Mais il faut aussi jouer à travailler avec conscience, à manger avec conscience, à dormir avec conscience etc.

J’ai bien de quoi m’amuser pendant les 24 heures que Tu me donnes par jour pour être heureux… Si je le choisis grâce à mon Libre Arbitre un peu plus « libéré » !

Et vous, que choisissez-vous de « Penser »… pour « Vivre » votre « Joie » ?

(à suivre)

15 • Vie Idéale

Lundi 29 Avril 2024

  

Vie Idéale

  

Ma Vie Idéale, c’est celle que je suis heureux de vivre.

C’est tout simple… Si je suis heureux de vivre quelque chose, je suis en train de vivre mon Idéal.

Pour donner un petit exemple :

Je suis un homme. Si je suis heureux d’être un homme, ma Vie Idéale, c’est bien que je sois un homme. Si je n’étais pas heureux d’être un homme, je serais toujours un homme, mais je ne vivrais pas ma vie idéale.

Ma Vie Idéale, c’est donc bien d' »être heureux de ce que je vis »… Quoique je vive, si je n’étais pas heureux de le vivre, je ne vivrais plus ma vie idéale.

Je suis donc bien le seul auteur de ma Vie Idéale. Ça, c’est sûr !

C’est bien moi qui choisit, à chaque instant de vivre ,ou pas, ma Vie Idéale en étant heureux, ou pas, de vivre ce que je vis.

C’est rassurant ! C’est rassurant parce qu’il suffit que « moi » je choisisse d’être heureux de vivre ce que je vis pour vivre ma Vie Idéale.

Que « je » le choisisse ? Mais, il y a tellement de conditions qui ne dépendent pas de « moi »…

Oui, c’est vrai, l’ombre nous a beaucoup, beaucoup, « conditionnés »… Et il est nécessaire maintenant de nous « déconditionner », jusqu’au bout, pour pouvoir vivre de plus en plus notre Vie Idéale… et puis finalement que nous ne vivions « que » notre vie idéale.

Ce que je suis vraiment heureux de penser, et depuis longtemps, c’est que la Lumière, est « la seule condition » de ma vie… Elle seule doit la rester.

La Lumière ?

Oui, la Lumière, c’est le nom que je choisis à cet instant, parmi tous ses noms, pour nommer ce qui est Tout : L’Infini, l’Éternel, l’Absolu, l’Amour, la Beauté etc. Bref, ce que le plus souvent les Êtres humains ont appelé Dieu.

Mais j’hésite un peu à utiliser, là, le mot « Dieu », parce que ce mot est trop souvent chargé de tant de mémoires douloureuses qu’il en est insupportable pour l’instant pour beaucoup d’entre nous.

Mais, ce n’est pas grave ! Ce n’est par grave du tout pour moi, puisque tous les mots qui existent ne nomment que ce Tout, cette Lumière Infinie…

Par exemple, là, à cette instant, je ne sais pas pourquoi, mais le mot « cuillère » me vient à l’esprit… Mais, si tout est Tout, est-ce que le mot « cuillère » n’est pas un des noms de ce Tout ? Est-ce que la cuillère elle-même n’est pas « que » ce Tout ?

Notre Vie Idéale, c’est celle que nous sommes heureux de vivre… Si, à cet instant, nous sommes heureux de Tout, nous vivons, à cet instant, notre Vie Idéale.

Notre Vie Idéale, c’est notre Vraie Vie… C’est tout ce que nous sommes heureux de vivre.

Et qui choisit d’être heureux de ce que nous vivons… ou pas ? Quelle condition extérieure décide, à notre place, que nous soyons heureux ou pas ?

Il n’y a rien, bien sûr, en dehors de nous-même, qui pense à notre place. Et si nous observons calmement les choses, nous voyons bien que nous vivons ce que nous pensons.

Nous vivons ce que nous pensons.

Nous sommes obligés de reconnaître que nous sommes toujours heureux lorsque nous pensons ce que nous sommes les plus heureux de penser…

Et que nous sommes toujours malheureux, lorsque nous pensons une pensée que nous ne sommes pas heureux de penser.

Si nous voulons vivre, un instant, notre Vie Idéale, alors, il va bien falloir, à cet instant, oser penser ce que nous sommes les plus heureux de penser.

Et qui pense en nous ? C’est bien sûr nous-même, n’est-ce pas ?

Et là, à cet instant que nous venons de vivre, avons-nous pensé ce que nous étions les plus heureux de penser ? Ou bien, par habitude, nous sommes-nous contentés de ne penser que ce que nous n’étions pas heureux de penser…

C’est là la question la plus importante que nous invite à nous poser le jeu du BeHappy qui est la raison d’être de ce site web BeHappy8 et qui a pour but de nous entrainer à être toujours plus heureux en osant penser ce que nous sommes les plus heureux de penser.

C’est là la règle numéro 3 de ce jeu qui est une question, la question la plus importante que nous pouvons nous poser : « Est-ce que j’ai pensé là ce que j’étais le plus heureux de penser ? OUI ou NON ? »

Mais reprenons maintenant le fil de notre entretien d’aujourd’hui : notre Vie Idéale…

Tout ce que nous ne sommes pas heureux de vivre n’est pas notre « Vraie Vie »… Ce n’est pas notre Vie Idéale.

Oui, c’est cela ! Dès que je ne suis pas heureux de quelque chose, je perd conscience de la Lumière qui est Tout, la Lumière dont je suis fait (ou bien la Lumière que je suis).

Et lorsque je perd conscience de la Lumière Pure que je suis, alors là, je vis à cet instant ce que l’on appelle souvent « l’ombre », ou « le mal »…

L’ombre n’est que la Lumière, lorsque j’en perd conscience.

L’ombre, le mal, n’est que ma perte de conscience du Tout, ma perte de conscience de la Lumière Infinie, de l’Amour, de la Perfection…

Mais est-ce que cette ombre, ce mal, va avoir une fin ?

Alors, là, ce que je suis vraiment, mais vraiment, le plus heureux de répondre, c’est : « Oui ! Le mal aura une fin. Oui ! le mal aura une fin… L’ombre a eu un début et elle aura une fin ».

Seule la Lumière est Éternelle.

Qui a jamais été heureux de penser que le mal ne finirait jamais, que l’ombre serait éternelle ? Qui a été heureux de penser cela ? Personne… sur toute la terre !

Je ne dis pas que personne ne l’a pensé, bien sûr. Je dis simplement que personne n’a été « heureux » de le penser. Et là, quand je dis personne, je dis « personne ». C’est vraiment, là, ce que je suis le plus heureux de penser.

Mais alors, comment ce mal va-t-il finir ?

Pour que ce mal finisse, il suffit que nous reprenions conscience de la Lumière en Tout… Alors là, nous vivons notre Vie Idéale, notre Vie Lumière…

En Tout ! En Tout ? Mais comment ? Comment voir la Lumière dans l’ombre ? L’ombre est partout !

Non, l’ombre n’est pas partout. La Lumière, Elle, est partout. Elle est discrètement partout, Infinie, Éternelle… Et donc Omniprésente.

L’ombre, elle, elle fait beaucoup de bruit, ce qui nous fait croire qu’elle est partout, alors que, dans la Vraie Réalité, c’est à dire dans la Lumière qui est Tout, elle n’est nul part…

Mais, là, le problème pour la plupart d’entre nous, c’est que ce qui est le plus simple, c’est en même temps ce que nous avons rendu le plus compliqué pour nous !

Notre Vie Idéale, c’est ce qui est le plus simple à vivre, puisqu’il suffit pour la vivre de reconnaître la Lumière là où Elle est, c’est à dire en Tout. Cela ne peut pas être plus simple !

Mais, en même temps, nous l’avons rendu si compliqué ! Parce que l’ombre, c’est à dire le mal, depuis que nous avons cru la faire exister, c’est à dire depuis le presque début de l’humanité, l’ombre donc, nous a interdit la conscience de la Lumière… Et cela, en particulier, « dans l’ombre ».

Depuis que nous avons choisi, il y a bien longtemps, de perdre conscience de la Lumière, l’ombre, que nous avons imaginée alors, n’a jamais aimé rien du Tout, ni la Lumière, ni l’ombre… Nous avons donc une très, très forte tradition multi-millénaire qui est de combattre la Lumière… et surtout de combattre l’ombre !

Vivant dans l’illusion de la séparation, l’ombre a toujours combattu l’ombre ! Qu’elle soit en nous ou autour de nous, elle a toujours prétendu qu’il fallait combattre l’ombre en nous et autour de nous.

Finalement, les Êtres humains ont fait de l’ombre un véritable labyrinthe qui, en plus, s’est auto-labyrinthiser, sans cesse, depuis quelques centaines de millénaires…

Et alors, là, comment faire pour sortir de ce labyrinthe de l’ombre ?

Eh bien, là, il faut enfin se décider à suivre un conseil qui nous a été donné, à nouveau, il y a environ 2000 ans. Ce conseil, c’est, tout simplement : « Aimez votre ennemi ».

Notre « ennemi », c’est tout ce que nous n’avons pas aimé, tout ce dont nous n’avons pas été heureux.

Notre « ennemi », c’est tout simplement l’ombre elle-même… C’est notre perte de conscience de la Lumière Infini, notre perte de conscience du Tout Infini.

Notre « Vie Idéale », c’est d’être heureux de Tout, « y compris de l’ombre« … C’est de Tout aimer, « y compris le mal ».

Alors, ça, pour l’instant, cela a été difficile à admettre, vu notre « déformation ombreuse »…

Pour l’instant… Et pour un bon moment encore, il faut que nous apprenions, de mieux en mieux, à reconnaître la Lumière « dans » l’ombre…

Dans l’ombre ?

Oui ! « Dans » l’ombre.

Et, pour cela, il faut, sans cesse, nous aider les uns les autres à nous rappeler que Tout est Parfait… Et cela, au-delà de toutes les illusions ombreuses que nous avons accumulées au cours du temps.

« Ce Tout qui est Parfait » inclut, bien sûr, tout notre passé…

En effet, à force d’avoir « pensé », pendant si longtemps, que nous n’aimions pas l’ombre, comme elle-même nous l’a appris pendant des dizaines de millénaires, alors, nous n’avons pas aimé l’ombre en pratique.

Mais, maintenant, à force de penser, de plus en plus, que nous aimons l’ombre, nous allons finir par aimer l’ombre dans les faits et par n’y reconnaître que la Lumière Éternelle.

C’est exactement le même merveilleux mécanisme de la « Pensée », dont nous avons depuis trop longtemps mésusée pour imaginer l’ombre, que nous allons utiliser maintenant pour reconnaître simplement la Lumière en Toute Chose, y compris dans l’ombre.

Et lorsque nous aimerons totalement l’ombre et que nous n’y reconnaîtrons que la Lumière, la Lumière Seule restera dans notre conscience comme Elle a toujours existé en Tout.

Et là, nous aimerons tout notre Passé Merveilleux !

Et nous créerons à chaque instant, à partir de la Lumière en nous, notre Vie Idéale Éternelle.

  

Qu’en pensez-vous ?

  

(À suivre)

14 • Humanité, je T’Aime

Dimanche 28 Avril 2024

  

  

J’aime l’humanité… Chaque fois que je la regarde bien, droit dans les yeux de quelqu’un, des larmes de joies viennent dans mes yeux… Et ça me pique si agréablement.

J’aime l’humanité… Chaque fois que je vois ce que font les gens de complètement extraordinaire, dans tous les domaines, soit devant moi, soit grâce à l’internet… et qu’ils restent si simples, si humbles… Cela me réchauffe le coeur.

J’aime l’humanité… Telle qu’elle est ! Et elle est encore bien jeune ! À peine 150.000 à 400.000 ans, c’est bien peu pour une espèce… J’ai confiance en elle : nous arriverons à retrouver le Paradis… sur cette terre !

J’admire les gens. Ils m’étonnent toujours par la joie qu’ils me permettent de ressentir… Ils arrivent tous, finalement, à être pour moi l’occasion de ressentir plus l’Amour…

Parfois, j’ai pu hésiter à être heureux de ce qu’ils faisaient… Mais, heureusement pour moi et pour tous les Êtres, j’y arrive toujours, à la fin.

J’aime tout le monde : les gens heureux et les gens qui choisissent de ne pas vivre la joie qu’ils sont, pour l’instant… Ces derniers, les plus rares, je les aime encore plus, car ils ont plus besoin de mon aide… Et, sans une seule exception, l’aide la plus efficace que je peux toujours leur apporter, c’est d’être d’abord heureux moi-même.

Tout les Êtres méritent que je les aime… Et puis, cela me fait tant de bien… Plus j’aime, plus je suis heureux et plus je profite du merveilleux Corps que mon Âme animera encore pendant quelques années…

Mais, plus tard, je reviendrai. Je reviendrai dans un autre corps que mon Âme choisira ! Peut-être pas tout de suite… Mais je reviendrai.

Car, pour moi, vivre est si agréable… Alors, je reviendrai quand ce sera le plus utile pour tous les Êtres de cette terre. Ni plus tôt, ni plus tard.

Plus je suis heureux dans ce Corps, dans cette vie, meilleurs seront toutes mes autres vies… et aussi, celles de tous les Êtres qui existent… Car, je sais que nous sommes tous « Un ».

Le Bonheur est contagieux… Il est la manifestation de l’Amour. L’Amour est à la fois instantané et infiniment patient. L’Amour est récompensé tout de suite… et pour toujours.

Aimer, c’est le Paradis tout de suite ! Le Paradis est là, il nous attend en nous-même et dans tous les autres Êtres. Le Paradis est accessible à chacun, tout le temps… À nous, les Êtres humains de choisir, librement, d’y entrer à nouveau.

Tous les autres Êtres n’en sont jamais sortis !

Je suis si heureux de vieillir… Je n’ai jamais été aussi heureux dans cette vie que maintenant…

Actuellement, je suis encore bien loin d’être prêt à me souvenir de mes autres vies, mais je suis sûr que cette vie-ci est la meilleure de toutes mes vies passées…

J’en ai une certaine preuve dans le fait que chaque année de cette vie-ci a été meilleure que la précédente et ainsi, je suis sûr que l’avenir, proche et lointain, sera encore plus beau…

De fait, je suis en sécurité, en parfaite sécurité, dans cet instant que je vis. En effet, c’est moi seul qui décide d’être heureux, là, tout de suite… Je suis le seul à pouvoir librement le décider et là, je le décide une fois de plus : et hop ! Voilà : je suis heureux.

Un instant de Paradis tout de suite, c’est toujours ça de gagné !

Et cet instant de Paradis que je viens de vivre, je choisis de le revivre de suite. Depuis toujours, je pense toujours mieux ce que je suis le plus heureux de penser… Dans cette vie-ci, c’est mon entrainement quotidien depuis des années qui fait que j’y arrive de mieux en mieux…

Et là, à cet instant, je pense, à nouveau, pour la milliardième fois, ce que je suis le plus heureux de penser.

Je me dis souvent, et je le dis parfois à d’autres Êtres humains, que si j’avais, dans cette vie, joué du piano autant d’heures par jour que je n’en ai passé à m’entrainer à penser ce que j’étais le plus heureux de penser, je serais, certainement, un grand virtuose en piano…

Mais, je me contente, dans cette vie-ci, d’être de plus en plus heureux chaque jour… Et quand j’admire un rocher, une rose ou un chien, je me dis que j’ai du chemin à faire pour arriver à leur niveau de joie qui est sans aucune ombre.

Mais quand je regarde les Êtres humain, je suis assez fier du point où j’en suis.

En effet, je n’ai aucune raison d’être jaloux de qui que ce soit, puisque, comme chacun des Êtres humains, j’ai la possibilité d’être à chaque instant encore plus heureux… et ceci jusqu’à l’Infini.

Et je sais que c’est bien là le plus important pour moi, l’Être humain que je suis, bien sûr, mais surtout pour tous les autres Êtres… que j’aime.