25 • Badaboum !

Eh oui ! Badaboum !

Et j’ai fait une nouvelle chute en vélo ! Est-ce dû à un moment d’inattention ? Ou bien à une grande attention, mais mal dirigée ?

Je ne sais pas ! Mais, en tout cas : ça a été Badaboum ! Et je me suis retrouvé tout emmêlé dans mon vélo… Lui et moi, nous ne faisions, vraiment, plus qu’un ! Heureusement que l’on m’a aidé à m’en démêler…

Et au début, aucune douleur ! Mon corps s’est auto-shooté à l’adrénaline…

Et pourtant, il y a eu un bon choc ! Je l’ai réalisé plus tard… Mais, mon corps m’a protégé de la douleur, pour un temps… Le temps de faire face à un autre danger éventuel ? Le temps dont l’animal, que je suis toujours, à besoin pour se mettre en sécurité… et pouvoir guérir, peut-être, de son erreur ?

D’abord une stupéfaction ! Je ne m’y attendais pas… Je ne m’y attendais vraiment pas ! Et puis, une petite colère de vexation ! Je croyais que je ne tomberai plus jamais en vélo… Je croyais que j’avais compris comment être en sécurité en vélo… Je me croyais sage !

Désillusion…

Certainement que j’étais sage… Mais, jusqu’à un certain point, seulement !

Toi, Lumière, Tu es la seule Sagesse qui soit Infinie, Absolue.

Notre sagesse à nous, c’est ce que nous vivons lorsque notre conscience s’ouvre encore un peu, une fois de plus, à Toi !

Je me disais : « Christian, tu sais maintenant comment être prudent en vélo ! Depuis quelques années que tu fais du vélo régulièrement, tu es tombé 8 fois… C’est bon ! Tu as bien compris comment faire pour ne plus tomber.

Eh bien non… Je n’avais compris qu’un tout petit peu plus !

Mais, en fait, il ne s’agit pas seulement que de vélo… Il ne s’agit pas seulement que de ne plus blesser mon corps… Il s’agit de grandir en conscience de Toi… Et là, je n’arriverai jamais au bout du Vrai Moi que Tu m’offres… Jamais !

Je mourrai… Toujours, je mourrai à nouveau !

Je mourrai à chaque instant que je vis… C’est sûr !

Je peux même dire que je quitterai ce corps à chaque instant… Un corps n’est jamais acquit… Il ne dure qu’un instant… Un instant infiniment court.

Tu me le donnes à chaque instant… Et, de mieux en mieux, à chaque instant, j’arrive à Te l’offrir !

Nous sommes un mariage, toujours plus parfait, de Ton Infinitude et de Ta Finitude…

Il ne faut vraiment pas que je l’oublie ! Ou plutôt, pour dire plus vrai, il faut que je l’oublie de moins en moins : « Tu Es Tout »… Tu es « vraiment » Tout… Tu es plus Tout que nous ne pourrons jamais T’imaginer…

Mais cependant, je ne veux pas m’arrêter d’imaginer ce que je ne pourrai jamais imaginer jusqu’au bout… Et j’en suis de plus en plus heureux.

Arriver à être de plus en plus heureux de l’Échec Éternel ! Et au même instant, être heureux de la Réussite Éternelle ?

L’échec et la réussite sont complètement emmêlés ! Bien mieux que mon corps avec le vélo, lors de mon « Badaboum »…

Eh oui ! Mon Vrai Moi, c’est Toi…

Alors, je ne suis pas prêt d’en arriver au bout ! En Réalité, je n’arriverai vraiment jamais au bout ! Et je le sais au plus profond de moi…

Mais, en surface, de moins en moins souvent, il est vrai, mais encore très, très, souvent, je l’oublie…

Eh oui, je ne suis, jamais, au bout de rien ! Car, c’est Ton Infini que Tu me proposes de vivre… à chaque instant.

Ils sont innombrables, les moments, où depuis que je suis un Être humain, j’ai prétendu être arrivé « au bout » de quelque chose !

Au bout de quelque chose ? Mais n’Es-Tu pas Tout ?

Donc, j’ai prétendu un nombre infini de fois être arrivé au bout de Toi  ? Au bout de Toi qui est Tout ? Quelle prétention !

Une prétention Infinie ?

Mais là, quand je dis « Infini », est-ce que je sais vraiment ce que je dis ? Ton Infini, sous ses Formes Infinies, je n’y ai jamais rien compris… C’est Ton Mystère. Et, finalement, je ne le comprendrai jamais…

Tu entends Christian ? « Jamais ».. !

J’entends ! Mais je ne peux pas le comprendre… Je ne peux qu’essayer de le comprendre… Je ne peux qu’essayer d’imaginer que je le comprends…

Oui ! Le bout de Toi, c’est toujours plus :

Toujours plus loin… Toujours plus haut… Toujours plus bas… Toujours plus dedans… Toujours plus dehors… Toujours plus vrai… Toujours « plus moins » ! …

Tu es ce « Bout », ce bout que nous poursuivrons toujours ! Nous l’imaginerons toujours ! Et nous imaginerons toujours que nous pouvons l’atteindre, en sachant, raisonnablement, que nous ne l’atteindrons jamais.

Mais, finalement , ce bout, c’est Toi… Cette poursuite qui est la notre, c’est Toi… Ce que nous imaginons, c’est Toi aussi »… Ce qui, en nous, imagine ou raisonne, c’est Toi également… Et cette prétention que nous atteindrons le bout de Toi, c’est bien Toi aussi !

Nous cherchons à atteindre ce que Tu nous as toujours offert, de suite !

Notre but n’est que de toujours mieux le recevoir… Toujours plus… Et encore bien plus !

Et cela jusqu’à « pas » de fin !

Lorsque je suis heureux de « prétendre », tout va bien : je suis heureux ! Et c’est bien là ma priorité ! C’est ma priorité absolue à moi… Et c’est, sans aucun doute pour moi, celle de tous les Êtres humains que je rencontre !

Allons ! Reconnaissons-le ! Nous n’avons tous qu’un seul but : être heureux !

Être heureux de ce qui est… C’est à dire être heureux de Toi, à cet instant !

Être heureux de ce qui a été… C’est à dire être heureux de Toi dans notre passé… Être heureux de toutes nos mémoires !

Être heureux de ce qui sera… C’est à dire être heureux de Toi dans notre futur, quel qu’il soit ! C’est à dire être heureux, à cet instant, de ce que nous imaginons ce que ce futur sera.

L’imagination ! Quel merveilleux Don que tu nous offres à chaque instant…

Simplement, osons imaginer ce que nous sommes le plus heureux d’imaginer, c’est à dire « Toi ».

Osons imaginer la Réalité Absolue que Tu Es… Sans jamais y arriver jusqu’au bout !

Là, je ne change pas de sujet… Mais je change la forme de mon sujet unique : Toi.

Ce Vrai Moi que Tu m’offres depuis toujours, Tu ne me l’offres pas personnellement… Tu me l’offres pour tous.

Et le plus important, c’est que je sois heureux… Par exemple, heureux de ressentir les douleurs qui sont venus un peu partout dans mon corps, une nouvelle fois, après mon Badaboum.

C’est une chance, pour moi, de souffrir pour aimer toujours plus. Il y a des souffrances douces… Il y a des souffrances violentes… Mais toutes, toutes ne sont faites que de Toi.

Je veux Te reconnaître de mieux en mieux… En tout !

C’est ainsi que je vois la vie : je ne veux voir que Toi !

C’est mon choix, conscient… Et, apparemment, comme tous les Êtres, je suis totalement têtu sur ce coup-là ! Cela fait des années, voir des vies, voir depuis toujours que je veux « ça »…

En fait, je ne veux rien plus que ça ! Vraiment rien !

Je ne veux voir que Toi.

Merci de me l’avoir, toujours, donné.

24 . Le Don d’Être…

Jeudi 6 Juin 2024

Chaque Être a ses Dons qui lui sont offerts… Mais, à travers lui, tous les Êtres les reçoivent

Tu ne sais donner que Tout à tous.

Et chaque existence est un Don à toute l’Existence.

En effet, lorsque je me suis posé la question : « Quel est le Don le plus fondamental que nous recevons ? »

La réponse que j’ai été le plus heureux d’entendre, la réponse de mon Âme, a été la suivante : « C’est le Don d’exister »!

En effet, chaque Être reçoit ce Don, universel, et pourtant unique, « d’exister », bien sûr, il le reçoit en tant que lui-même, mais, également, il le reçoit dans l’intérêt de tous.

Quand je dis « chaque Être », je ne parle pas, là, que des Êtres humains qui, eux, n’ont commencé à exister que depuis peu, mais de tous les Êtres, c’est à dire de tout ce qui « existe ».

Exister en tant qu’Être… C’est être à la fois Âme, Corps, et Pensée en un Être qui est unique dans tout l’univers.

Mais, c’est aussi être « Un » avec tous les autres Êtres : une sorte de « Corps-Âme-Pensée » Universel.

Donc, il me semble, pour l’instant, que ce Don d’exister, d’une part chaque Être le reçoit seul, comme un Don qui est unique à lui dans tout l’Univers, mais d’autre part, tous les autres Êtres en bénéficient au même instant grâce à l’existence de cet Être.

Par ce Don, chacun « existe » pour lui-même et pour tous les autres Êtres.

En effet, aucun Être n’existe pour lui seul, séparé de tous les autres Êtres, et qui serait soi-disant, soit supérieur, soit inférieur aux autres Êtres…

Seule l’ombre, c’est à dire notre perte de conscience de la Lumière, propre à presque tous les Êtres humains que nous sommes, nous a permis d’imaginer une telle séparation, qui a été immédiatement douloureuse.

Cette douleur n’est que le signal d’alarme de notre perte de conscience. Et ce signal cesse dès que nous reprenons l’ouverture naturelle de notre conscience de la Lumière dans toute existence.

Donc, lorsque nous recevons, à chaque instant, le Don de notre existence, nous sommes à la fois un seul Être, un Être totalement unique dans tout l’Univers… Mais nous existons aussi comme un Don offert à tous les autres Êtres, sans une seule exception.

En effet, Tu ne sais pas donner moins que Tout… Et Tu Es ce Tout que Tu nous Offres.

Unité Absolue, Tu T’offres, à chaque instant, à la fois à chacun et à tous.

Tes Dons nous distinguent en Toi et nous unissent en Toi.

Bien sûr, aujourd’hui, avec tous ces mots, je suis probablement bien maladroit à décrire le Don de notre existence que Tu offres à chaque instant à tous les Êtres que nous sommes…

Mais, c’est en répétant que nous apprenons.

Alors, je le répète d’une façon, puis d’une autre… pour apprendre, moi-même !

Avec le temps que Tu nous donnes pour exister, nous sommes de plus en plus conscients de Ton Don Merveilleux : celui d’exister !

Et nous réalisons de mieux en mieux que l’existence que Tu nous offres est Parfaite, Infiniment Parfaite…

Et en effet, comment pourrais-tu offrir moins que Ta Perfection ?

Et le Don que Tu offres à l’un des Êtres que nous sommes, Tu l’offres à tous, en Ta Justice Parfaite.

Aucun Être ne reçoit plus, ou moins, que tous les autres Êtres…

Mais, ce qui nous différencie les uns des autres, c’est le moment où nous sommes prêt à recevoir Ton Don que Tu nous donnes, à tous, depuis toujours…

Depuis le début de notre humanité, chacun de nous dose le rythme de l’ouverture à la conscience de son « Existence ».

Nous existons tous, mais chacun à notre rythme.

Depuis que nous sommes devenus Êtres humains, pour les premiers d’entre nous, il y a peut-être environ 150.000 ans seulement, nous choisissons le rythme d’ouverture de notre conscience d’exister grâce à notre Libre Arbitre.

Jouissons de mieux en mieux de toute Ton Existence, dans l’intérêt de tous les Êtres…

23 • Jeu ce Matin-là… Union, Séparation, Souffrance…

Mercredi 5 Juin 2024

Je présente là, en l’état, comme je les ai écrites ce jour-là, les phrases que j’ai pensées au cours de cette partie de BeHappy que j’ai joué, tout seul, le matin du Samedi 3 Février 2024…

Il est 9 heures 07… C’est un bon moment pour commencer à écrire pendant une demi-heure, non stop, ce que je suis le plus heureux de penser… et d’écrire.

Une demi-heure à penser, le mieux que j’en suis capable, à partir de mon Âme… et d’écrire.

Allez, on y va ! … Non stop ! Tranquillement…

Y-a-t-il un meilleur moment que tout de suite pour être heureux ?

Non !

Chaque instant et le meilleur pour être heureux… Et cet instant-ci est Parfait pour être heureux de penser à Toi… Pour être conscient que je ne pense que Toi.

La pensée que je suis le plus heureux de penser ces temps-ci, c’est :

« Tu Es Tout »

Par exemple, « Tu Es » mon petit doigt de ma main gauche qui courre sur le clavier pour écrire le « A », le « Q » et plus rarement le « W » … 

Mais, « Tu Es » aussi l’émotion que je suis en train de vivre : émotion de satisfaction de voir le ciel bleu et les rayons du soleil, par la fenêtre ouverte…

Rien de ce qui est n’est pas Toi ! En dehors de Toi, rien n’existe… Tu Es l’Existence-même !

Si quelque chose existe, c’est Toi… Ce ne peut être que Toi !

Et ceci, que j’en ai conscience à cet instant ou pas.

Mais, là, par exemple, cette trace de postillon que je vois sur mon écran d’ordinateur, c’est également Toi… Autant Toi que mon amour le plus élevé que je vis pour ma compagne.

Si Tu Es Tout, rien n’est moins Toi que tout autre chose !

Cela me plaît toujours plus de penser cela : « Tu Es Tout » !

Et puis toutes les conséquences de cette pensée si simple m’émeut toujours agréablement… Et, je m’en régale !

Par exemple, une des conséquences, c’est que toutes les pensées que nous n’avons pas été heureux de penser disparaîtront en tant que souffrance…

Je veux dire qu’elle révèleront leur Réalité, c’est à dire Ta Réalité… Elles révèleront qu’elles ne sont que Toi, comme tout ce qui est…

Alors, nous sommes heureux de les avoir pensées… Et nous sommes heureux de ne pas avoir été heureux de les avoir pensées !

Cela est si simple ! Tout n’est que Ta Lumière… et je veux le reconnaître toujours plus…

Chacune de nos mémoires, n’est faite que de Toi… Et je le reconnais, aujourd’hui, de mieux en mieux.

Je n’ai fait que « Te » vivre… Tout ce qui existe n’a fait que « Te » vivre…

À aucun moment quelque chose a existé qui n’était pas Toi, La Lumière…

Mais alors, ce que nous avons appelé le « mal » n’est-il que Toi ? 

Oui ! À mon point de vue, actuel, le mal n’est que Toi dont nous avons perdu conscience.

« C’est notre conscience qui fait toute la différence »

Le mal n’a donc résulté que du choix de notre conscience…

Le mal n’a été que notre perte de conscience de la Réalité Absolue que « Tu Es Tout » …

Et là, à partir de cette perte de conscience, tous nos raisonnements ont été de l’ombre raisonnée, du mal raisonné, souvent d’une façon très intelligente…

En effet, l’ombre sait se faire belle.

Et là, aussitôt la douleur est venue nous signaler notre perte de conscience de Toi !

En effet, la douleur, c est Ton Don pour nous permettre de ne pas perdre plus conscience de Toi ! C’est Tout !

La douleur est Ta Bénédiction qui nous accompagne dès que nous imaginons une distance et un labyrinthe pour pouvoir arriver à Toi…

Et chaque mur de ce labyrinthe est une pensée que nous ne sommes pas heureux de penser… C’est à dire une pensée qui, grâce au Libre Arbitre que Tu nous donnes, imagine que Tu n’es pas Tout !

Et chaque mur disparaît dès que nous osons être heureux de l’avoir pensée… 

Chaque mur du labyrinthe est imaginaire… Il résulte de l’usage maladroit de notre Libre Arbitre pour penser ce que nous ne sommes pas heureux de penser.

Les Êtres humains sont, en effet, des Libres Consciences merveilleuses ! 

Choisissons librement de penser ce que nous sommes les plus heureux de penser… à propos de tout, c’est à dire, toujours, à propos de Toi !

Et voilà, à cet instant, ce que je suis heureux de penser :

Je suis en totale sécurité dans ma vie, dans cette Vie Parfaite que Tu m’offres à chaque instant, depuis toujours.

Je suis également heureux de penser : il n’y a aucune faille dans Ton Amour… Il est Parfait ! Et je le sens à chaque instant où je choisis de le sentir.

Chaque instant que je vis, c’est Toi !

Je ne peux vivre que Toi !

Je ne vis que Toi !

  

Cela peut encore paraître choquant pour ceux qui, depuis des millénaires, sont habitués à penser que Tu n’es pas Tout depuis toujours et qui continuent, peut-être, à le penser.

Mais pour les jeunes enfants dont les corps énergétiques n’ont pas encore été ré-habités par la totalité de leurs mémoires, et qui n’ont pas encore été trop éduqués, c’est une évidence !

Il semble bien qu’à chaque nouvelle naissance, nous est donné une chance de re-croire en Toi comme étant Tout…

Mais, il est vrai que la pression de nos éducateurs adultes et de nos mémoires qui réinvestissent nos corps énergétiques est grandes… très grande !

Et la plupart d’entre nous repartent rapidement pour un tour supplémentaire de souffrances… Ce qui n’est ni obligatoire, ni nécessaire.

En effet, la souffrance n’est pas obligatoire… Il n’y a aucune pression qui puisse s’exercer sur nous pour nous interdire absolument de vivre, heureux, cet isntant que nous vivons.

Nous ne sommes faits que de Toi et nous ne sommes entourés que de Toi !

Je ne croirai jamais autre chose que ce que je suis le plus heureux de croire à cet instant.

Je penserai toujours plus ce que je suis le plus heureux de penser à cet instant.

Je choisis d’écrire mon avenir avec Toi qui Es Tout.

Oui ! Que mon avenir soit écrit par Toi.

Ton Amour est Parfait et Absolu…

Et Tu n’exerces aucune pression quelle qu’elle soit sur moi… Tu m’aimes et puis c’est Tout !

Tu respectes Absolument le Libre Arbitre que Tu me donnes…

Tu ne sais pas donner la moitié de Toi-même… Tu ne sais donner que Tout Toi-même.

En Toi et par Toi, je suis Absolument Libre…

    

L’Être que je suis est Corps-Âme-Pensée en Lui.

Et aucun de ces 3 aspects de moi n’est, en aucune façon, séparé des autres.

Mon Corps n’est pas autre chose que ma Pensée et mon Âme.

Nous n’avons pu que les « imaginer » séparés… Mais ils ne l’ont jamais été ! Ils sont « Uns », comme tout ce qui est Toi, c’est à dire comme « Tout » !

Mon Corps ne peut évoluer qu’en « Unité Absolue » avec l’Âme qu’il est et la Pensée qu’il est.

Par exemple, mon Corps ne peut pas retrouver sa santé naturelle, sans que ma pensée ne pense selon mon Âme.

L’Union de l’Âme, de la Pensée et du Corps, c’est Toi.

En perdant conscience que « Tu Est Tout », Nous avons pu imaginer que l’Âme, la Pensée et le Corps étaient séparés… 

Mais, puisque « Tu Es Tout », l’Âme, le Corps et la Pensée sont « Toi » et seulement « Toi » … Ils ne sont que des manifestations de Ton Unité Absolue.

Et ils sont donc vécus comme Un, quoique nous « pensions » !

Et mon Corps évolue en Union Absolue avec ma Pensée et mon Âme…

Tout ce qui est, est à la fois Corps, Âme et Pensée.

Rien ne peut être que Corps, ou que Pensée ou qu’Âme !

La Pensée ne peut pas être sans Corps et sans Âme.

Toute Pensée est à ce même instant Corps et Âme.

Ce n’est pas un parallélisme… C’est une Unité.

Et chaque fois que ma pensée change, mon Corps change et mon Âme change.

Chaque instant est un vécu Âme-Corps-Pensée à ce même instant.

À aucun moment, une Âme ne s’est élevée sans une évolution de la Pensée et un mouvement du Corps… 

Nous avons pu penser, imaginer, qu’une séparation existait… Mais Tu Es Tout… Et l’Union Lumineuse de Tout est la Seule Réalité !

Mais, dès que nous avons pensé une séparation ombreuse, Tu nous offres le Don de souffrir qui nous invite, « à la fois », à penser ce que nous sommes les plus heureux de penser, à vivre corporellement ce que nous sommes les plus heureux de vivre, et à aimer en l’Âme comme nous sommes les plus heureux d’aimer.

La souffrance est Ton Amoureuse Invitation à ce que nous réalisions que Tu Es encore plus Tout que ce que nous avions cru, jusqu’à là.

Nous ne courrons pas après l’Union, nous sommes Un depuis toujours… Mais nous tentons, sans cesse, de reprendre plus conscience que nous sommes Un depuis toujours et pour toujours.

Nous ne courrons pas après Toi, mais nous nous rappelons toujours plus que nous sommes en Toi, Éternellement en Toi…

Quelle joie que de vivre !

Quelle joie de souffrir pour me rappeler que Tu Es Tout !

Cette souffrance que je vis n’est pas obligatoire, mais elle est nécessaire chaque fois que je perds conscience que Tu Es Tout… Elle me ramène à la conscience de Ta Joie Éternelle, ce que je désire plus que Tout.

Je veux être heureux de suite… Oui ! tout de suite ! …Et au même moment, au moment-même où je le veux, je le vis !

Être heureux, c’est tout simplement reconnaître la Réalité que je le suis !

Et la souffrance n’est que le Bonheur Éternel dont j’avais perdu conscience.

Alors, quelle chance de souffrir !

Quelle joie de souffrir.

Quelle joie de souffrir pour me rappeler que je suis heureux !

Tu Es Tout : Tu es la joie et la souffrance en Un.

Je ne veux plus prétendre que quelque chose de Toi puisse être séparée d’autre chose de Toi !

Comment avons-nous pu imaginer cela ?

Rien de Toi ne peut être séparé de Toi… Puisque Tu Es Tout… Et que Tout est Un en Toi.

Ma main gauche n’est pas séparée de ma main droite… Elle n’est pas non plus séparée de n’importe quelle main de quelqu’un d’autre… Elle n’est pas non plus séparée de la terre… etc.

Rien n’est séparé de rien.

Tu Es l’Unité Absolue.

Tout est Un, comment que nous le pensions.

Mais, cependant, même lorsque nous pensons « séparation », nous Te pensons « Toi » et donc, nous pensons « Union ».

C’est toujours Toi que nous pensons, puisque Tu Es Tout.

Il n’y a pas de séparation à penser « Union et Séparation ».

Il n’y a pas de « séparation ombreuse » à penser « Union Lumineuse et Séparation Lumineuse ».

Tu es l’Union de tout ce qui est Séparé par Toi.

22 . Peur Vitale ? Merci l’ego !

Samedi 1er Juillet 2024

J’aime ma Peur… Elle est mon amie…

En effet, ma Peur me permet de garder mon Corps en vie… Et ainsi de permettre à mon Âme de rester incarnée… Et à mon Être de pouvoir continuer à penser à partir d’Elle.

Ma Peur me permet, tout simplement, de vivre.

Je veux donc la respecter… Et mieux, je veux l’aimer !

Rien qu’aujourd’hui, sans ma Peur, je serais mort plusieurs fois ! 

C’est à dire que mon Corps, mon Âme et ma Pensée se seraient séparés, si je n’avais pas eu une saine Peur… à chaque fois.

C’est elle qui a fait que j’ai, tout le temps, gardé les yeux ouverts et tenu le volant, sur l’autoroute… C’est ma saine Peur de mourir !

Sinon, pourquoi ne pas fermer les yeux une petite minute et lâcher le volant, tout en continuant à appuyer sur l’accélérateur ?

Bien sûr, c’est parce qu’il y a la Peur-Lumière, la Peur Vitale, qui est, fondamentalement, la Peur que tous les Êtres ont de ralentir l’ouverture de leur conscience de la Lumière. Nous pouvons dire aussi que c’est la saine Peur de ne pas être heureux, la saine Peur de souffrir…

Mais, depuis le presque début de l’humanité, les Êtres humains ont, eux, inventé la peur-ombre qui, elle, résulte simplement de la perte de conscience de la Lumière.

Alors, là, pour aujourd’hui, je m’amuse à écrire la Peur-Lumière avec un grand « P » majuscule et la peur-ombre avec un petit « p » minuscule… C’est la convention, que je m’amuse à mettre en place pour aujourd’hui !

Je ne veux pas, en effet, oublier que le jeu de BeHappy que je propose dans ce site « BeHappy8 » est un jeu… C’est seulement un jeu ! Un jeu-plaisir.

C’est un jeu de pensée qui consiste, il faut que je me le rappelle de temps en temps à moi-même, à penser ce que je suis le plus heureux de penser… Simplement ! C’est à dire, à m’amuser à penser, par simple plaisir…

Bon ! Ceci étant dit, alors, pourquoi « Peur Vitale » ? Eh bien, c’est pour cela : c’est parce que, à chaque instant de notre vie, cette merveilleuse Peur nous permet de garder notre Corps en vie et en bonne santé…

C’est notre Peur Vitale.

Cette peur, c’est pour que ce Corps puisse, ainsi, rester uni à notre Âme et à notre Pensée… Et que nous puissions être l’Être que nous sommes sur cette terre, aujourd’hui.

En effet, imaginez-vous sur le balcon d’un immeuble…

Bien ! Dans ce type de situation, c’est notre merveilleuse Peur qui nous rend, tous, prudents et sages !

C’est Elle qui fait que nous ne sautons pas dans le vide… C’est Elle qui fait que, parfois même, nous vérifions que la rambarde du balcon est bien solide… et que nous pouvons, en toute sécurité nous appuyer dessus pour regarder tranquillement ce qui se passe en bas… Pour le plaisir de le voir, bien sûr !

En effet, si nous n’avions pas assez d’ego, ou trop d’ego, et que nous n’écoutions pas notre Amie la Peur et que nous sautions… Eh bien, quelques secondes plus tard notre Âme quitterait probablement ce Corps qui est le nôtre actuellement.

Cependant, remarquons que, en général, si notre ego est harmonieux, notre Peur est proportionnelle à la hauteur du balcon.

En effet, au premier étage, ma peur est modérée parce que le danger est modéré. Si je saute et que je ne suis pas un expert, la chance est que j’abime mon corps effectivement, mais probablement pas que je le tue…

Mais cependant, peut-être que, si sauter était vital… si, par exemple, l’appartement derrière moi était en train de bruler violemment. Alors, là, probablement que mon amie la Peur diminuerait au point que je sauterais, pour continuer à vivre !

Merci ma Peur, qui s’adapte parfaitement au besoin de mon Corps et me protège !

Mais si, par exemple, je suis au 20ème étage… Là, ma peur m’interdit complètement de sauter, car sinon, sans aucun doute, mon Corps s’écraserait quelque secondes plus tard et mon Âme serait obligée de le quitter.

J’ai en effet, en, moi la mémoires de toutes ces chutes où, depuis des millions et des millions d’années, mes Corps sont morts ou bien ont été gravement blessés, avec toutes les douleurs que cela a entrainées.

Alors, enrichie de ses mémoires de chutes violentes, ma Peur-Lumière permet donc à mon Corps, à mon Âme et à ma Pensée de rester unis pour pouvoir continuer l’expansion naturelle de la conscience de la Lumière de l’Être que je suis.

Merci ma Peur ! Car sans Elle, mon Âme retournerait de suite à la Lumière, bien plus tôt que nécessaire, puis serait obligée de se réincarner, dans un autre Corps pour pouvoir continuer l’évolution de la conscience de l’Être que je suis.

Ce nouveau Corps serait, certainement, aussi performant que celui que j’ai aujourd’hui, peut-être même plus performant, mais je serais à nouveau un bébé, alors que le corps que j’ai aujourd’hui fonctionne parfaitement bien pour permettre, tout de suite, l’ouverture de la conscience de l’Être que je suis…

Cela me ferait tout simplement prendre un retard dans l’évolution de ma conscience.

Et, là, n’oublions pas que, depuis toujours, le but de nos existences, c’est la Joie, c’est à dire l’ouverture de notre conscience à la Lumière…

Et cette Joie que nous pouvons vivre tout de suite, dans « ce » Corps, pourquoi la remettre à plus tard, dans un autre Corps ?

Un Corps, c’est un investissement important. Et notre amie la Peur est chargée, parmi de nombreuses autres belles choses, de protéger cet investissement, nécessaire pour l’expansion de notre conscience !

Oui ! Parce que pour que la conscience de l’Être que nous sommes continue sa croissance naturelle, originelle, il est nécessaire d’être, au même instant, cet instant, une Âme, un Corps et une Pensée unis par un ego harmonieux.

Mais, là, nous pouvons nous demander ce qu’est un « ego harmonieux ».

Eh bien, souvent, j’imagine mon ego comme une sorte de « colle », une sorte de colle qui maintient ensemble mon Âme, mon Corps et ma Pensée pour que je sois l’Être incarné que je suis à cet instant et qui peut ainsi ouvrir, en permanence, sa conscience.

La juste quantité de colle de mon ego me permet « d’exister », tout simplement, harmonieusement… c’est à dire d’être « l’Être » de plus en plus heureux que je suis à cet instant… tout naturellement.

En effet, là, grâce à mon ego harmonieux, grâce à la quantité de colle juste nécessaire, je n’empiète jamais sur le Corps des autres Êtres, ni sur leurs Pensées, ni sur leurs Âmes.

J’existe, heureux et les autres existent, heureux… s’ils le veulent.

En tous cas, je les respecte dans leur libre conscience, lorsqu’ils en ont une, comme c’est le cas de tous les Êtres humains… et dans leur simple conscience, lorsqu’ils n’ont pas encore de libre conscience, comme c’est le cas de tous les autres Êtres sur cette terre.

Mais, s’il y a trop de colle, c’est à dire si mon ego est trop important ? Alors, là, cette colle, elle déborde de mon Être et je colle tous les autres Êtres : je considère alors qu’ils m’appartiennent, et que je suis leur propriétaire…

Dans ce type de situation ombreuse, trop fréquente actuellement, je vis comme si leurs Corps étaient à moi, comme si leurs Pensées m’appartenaient, comme si leurs Âmes m’appartenaient..

J’englue alors tous les aspects de tous les Êtres autour de moi…

Eh oui ! Tous les Êtres humains qui ont des egos déséquilibrés, c’est à dire qui collent trop tout ce qui existe, nous pouvons observer facilement qu’ils engluent tous les Êtres de notre terre, que ce soit les Êtres minéraux, bien sûr, mais également les Êtres végétaux, les Êtres animaux et aussi les Êtres humains… Ils vivent, vraiment, comme s’ils étaient les propriétaires exclusifs de la terre et de tous les Êtres qui la constituent !

Trop de colle, trop d’ego, c’est beaucoup de souffrance, pour eux-mêmes bien sûr, mais c’est également beaucoup de problèmes à résoudre pour tous les autres Êtres qui les entourent et qui se laissent, trop souvent actuellement encore, engluer.

Évidemment, ayant une conscience, mais pas encore une libre conscience, les Êtres minéraux, les Êtres végétaux et les Êtres animaux ne peuvent pas échapper à ces égos démesurés qui collent tout sur leur passage… Et c’est là, depuis toujours, la seule cause de tout les problèmes écologiques !

Mais, ces egos malades, malheureux qu’ils sont, tentent, sans en avoir conscience, d’engluer également tous les Êtes humains… Et, comme trop souvent encore, ils réussissent, c’est là la seule cause de tous les problèmes sociologiques.

Je dis, « sans en avoir conscience », parce que, bien sûr, lorsqu’ils reprendront le rythme naturel d’ouverture de leur conscience, leurs egos reviendront vers leurs équilibres naturels… Et alors, ces Êtres ne pourront s’empêcher d’être attentifs à ne plus coller « que » ce qu’ils doivent coller… c’est dire leur Corps, leur Âme et leur Pensée… Et cela dans leur intérêt et dans celui de tous les autres Êtres…

C’est à dire que leurs egos réuniront harmonieusement leurs propres Âmes, leurs propres Corps et leurs propres Pensées… Et ils ne colleront plus rien d’autre !

Eh oui ! C’est la conscience qui fait toute la différence !

Et depuis toujours, la conscience de tous les Êtres qui existent, s’ouvre de plus en plus… Et de plus en plus vite également !

Cela se manifeste pas la Joie que beaucoup ressentent de plus en plus… Et aussi par une saine Peur Vitale qui permet à leur Corps de vivre et donc à leur Âme d’évoluer sainement, avec une Pensée harmonieuse.

Je choisis donc d’être de plus en plus heureux, en pensant toujours mieux ce que je suis le plus heureux de penser… Et je souhaite à chacun d’oser faire de même, ou même de le faire mieux encore que moi…

Ceci pour vivre le plus efficacement possible la crise d’ouverture des consciences que nous abordons…

Une crise de guérison des égos ?

Penser, c’est voter.

Courage ! Ayons Peur ! 

Votons pour le Paradis.

21 • Un Petit Ruisseau de Pensées Matinales

Mardi 28 Mai 2024

Voici ce que j’ai écrit dans mon journal du Lundi 29 Janvier 2024, comme je le fais si souvent :

J’ai regardé l’heure à mon téléphone… 5 heures du matin… et c’est cette question qui m’a réveillé : 

“Que suis-je ?”

Et la réponse que j’ai déjà pensé si souvent, est revenue en moi, au-delà de ma volonté 

“Je suis une conscience de Toi qui s’ouvre à Ton Infini.”

Je m’ouvre… Je me suis toujours ouvert… Je m’ouvrirai toujours…

Comme tout ce qui est ! »

Et puis, il y a eu une petite cascade d’autres pensées… Elles s’imposaient à moi comme le ruisseau qui creuse son chemin dans les rochersTranquillement, patiemment… Alors là, j’ai pensé, en toute conscience :

« « L’Être »ruisseau » s’unit à l’Être « rocher »…

Tous les Êtres prennent conscience de Toi, toujours plus… Toujours plus…

L’eau enseigne le mouvement au rocher…

L’eau attire le rocher au mouvement.

Le rocher, petit à petit, se laisse tenter par l’aventure. Il s’érode et il suit il l’eau pour continuer son grand voyage de la conscience…

Il abandonne son immobilité rocheuse pour la mobilité du limon…

Et, comme le limon, nous, tous les Êtres, nous continuons tous notre voyage de conscience de Toi… En Toi… Vers Toi.

La Source qui n’a pas de source, coule sur nous et nous invite à couler… toujours plus couler…

Et nous  mourons pour renaître à chaque instant…

Dans la Joie… Dans Ta Joie…

… Si nous le choisissons… »

Et là, je me suis levé, je suis allé dans mon bureau, j’ai ouvert mon ordinateur et j’ai d’abord commencé à écrire les pensées que j’avais pu “attraper” dans ma mémoire…

Et puis, ensuite, voici ce que j’ai encore écrit :

« Au fur et à mesure que la conscience que je suis s’épanouit, la Pensée, le Corps, et l’Âme évoluent, comme Un… Tout évolue avec ma conscience… »

Et là, je me suis souvenu, une fois de plus de ce qui m’a été dit un jour :

« C’est la conscience qui fait toute la différence. »

Et puis j’ai bu…

Toujours un petit peu « excessif », j’ai bu un litre et demi de mon eau de Volvic, riche en acide silicique, en quelques minutes… C’est une cure que je faisais depuis bientôt deux mois, et que je continue actuellement à faire, pour permettre à mon corps de mieux éliminer l’aluminium que j’absorbe, comme chacun, le plus souvent obligatoirement, tous les jours dans ce monde moderne… que j’aime…

Je suis très curieux de tout… Et depuis que j’ai rencontré le Professeur Christopher Exley, en virtuel d’abord grâce à des vidéos en anglais, puis en lisant et relisant avec passion et beaucoup d’attention son livre « Vivre et Survivre à l’Ère de l’Aluminium », qui est préfacé par le Professeur Joyeux, en France, j’ai commencé cette cure d’eau riche en acide silicique, l’eau de Volvic.

Par exemple, un fait : le Docteur Alzheimer a découvert le premier cas de la maladie qui porte maintenant son nom environ 20 ans après le début de l’Ère de l’Aluminium, c’est à dire 20 ans après que les Êtres humains aient commencé à absorber de l’aluminium dans leur corps.

En effet, jusqu’à là, l’aluminium n’avait jamais participé à la biologie des Êtres que l’on dit vivants…

Et depuis la maladie d’Alzheimer est tout simplement de plus en plus fréquente...

Et puis là, j’ai recommencé à écrire sur mon merveilleux petit ordinateur, mon petit bijoux… Et voilà ce qui est venu :

« Chaque fois que j’utilise le Libre Arbitre, que Tu m’a donné, pour que ma conscience de Toi accepte de s’ouvrir librement à son rythme naturel, à son rythme originel, je vis toujours la Joie… C’est ce que nous appelons « Être heureux ».

Mais, chaque fois que j’ai utilisé le même Libre Arbitre que Tu me donnes, depuis toujours et pour toujours, pour prétendre freiner l’ouverture naturelle de ma conscience de Toi, là, j’ai vécu également Ta Joie, mais inconsciemment… C’est ce que nous appelons “souffrir”. »

Ensuite, calmement, j’ai attendu… Et puis, les pensées suivantes sont venues à mon esprit que j’étais vraiment heureux de penser et d’écrire :

« Par cette « belle souffrance », Tu m’as toujours signalé, respectueusement, que j’avais fait “ma” volonté et non “la Tienne”.

Ce que j’appelle ma “merveilleuse souffrance” m’a toujours, finalement, révélé Ta Joie qu’elle était en Réalité.

Et cela à l’instant même où j’ai osé me rappeler que “Tu es Tout”… et que ce que j’avais vécu n’était que Toi dont j’avais seulement perdu conscience ! »

Et là, ce jour-là, j’ai été heureux de reconnaître ce qui suit :

« Mais, en réalité, j’ai toujours appris, sans jamais arrêter, soit dans Ta Joie dont j’avais conscience, soit dans Ta Joie dont j’avais, comme on dit par erreur d’ailleurs, “perdu” conscience ! »

C’est vrai que depuis quelque temps, j’ai beaucoup pensé ceci… et j’ai vraiment, à chaque fois, eu beaucoup, beaucoup de plaisir à le penser :

« Depuis le presque début de l’humanité, toutes les consciences, que nous sommes depuis toujours, ont continué à évoluer, comme c’est Ta Volonté qu’elles le fassent, depuis toujours.

Elles ont évolué, soit dans cette ouverture naturelle de conscience de la Joie que Tu offres à chaque instant à tous les Êtres, soit, trop souvent depuis le presque début de l’humanité, dans ce que nous avons appelé la “souffrance” qui n’a fait que nous signaler une ou des pensées qui freinaient cette ouverture naturelle de notre conscience à Ta Joie Originelle. »

J’ai choisi, à chaque moment et depuis maintenant bien longtemps, de ne croire que ce que je suis le plus heureux de croire. Et je m’en porte très bien et même, vraiment, de mieux en mieux… Alors, là, j’ai choisi avec joie de penser ceci :

« Ce n’est que pour des temps limités que j’ai pu “prétendre freiner” l’ouverture de ma conscience de Toi… J’ai pu la freiner, mais je n’ai jamais pu l’arrêter !

Et je suis heureux de croire que c’est la même chose pour tous les Êtres qui existent !

Donc, je ne peux pas refuser Tes Dons… Je ne peux qu’en perdre, pour un temps qui est fini, nécessairement, la conscience.

Que nous le “voulions ou pas”, nous, tous les Êtres humains que nous sommes, ne pouvons, comme tous les Êtres depuis toujours, que recevoir la Totalité de Tes Dons.

Nous n’avons pu, si nous l’avons choisi grâce à notre libre arbitre, et ceci seulement depuis le presque début de l’humanité, nous n’avons donc pu que “retarder” ou “perdre de vue momentanément” l’ouverture de notre conscience de Ton Don que nous avons reçu depuis toujours et pour toujours.

En effet, le Libre Arbitre que Tu nous donnes depuis le début de l’humanité nous permet de choisir notre conscience de Toi… Et donc de Tout… Mais il ne nous permet pas de choisir que Tu sois ou que Tu ne sois pas ! 

Tu “Es”, Tu Es de toutes les façons ! Tu Es l’Éternité… Ton existence ne dépend en rien de la conscience que les Êtres humains que nous sommes choisissent.

Et tous Tes Dons, Tous Tes Dons, seront finalement nécessairement reçus en toute conscience… dans cette Éternité.

Notre Libre Arbitre nous permet de choisir “quand” nous serons conscients de les avoir reçus, mais pas “si nous les recevrons ou pas”… 

En effet, Tes Dons nous attendent depuis toujours et pour toujours… Ils attendent notre décision… Décision que nous prenons avec le Libre Arbitre Absolu que Tu nous donnes Éternellement. »

Et puis là, ma pensée, comme d’habitude, a pris comme un virage, tout d’un coup… Et j’ai écrit :

« Tu es l’innommable qui a tous les noms.

Nous découvrons, tous les jours, des nouveaux noms de Toi.

Nous avons dit que nous “inventions” des choses, mais nous ne faisons que découvrir un peu plus ce que Tu Es Éternellement.

« Apprendre, c’est se souvenir », nous a dit Platon.

“Inventer”, c’est Te découvrir un peu plus !

Une “invention”, c’est, simplement, une nouvelle découverte de Toi.

Et, en effet, je Te découvre à chaque instant. C’est toujours de Toi dont je prends conscience, à chaque instant ! Tu es la seule chose que je puisse « dé-couvrir », que je puisse « apprendre », puisque Tu es Tout !

Quelle joie de Te découvrir à cet instant, en sachant que je Te découvrirai pour l’Éternité… »

Après un petit calme observateur, j’ai vécu une succession de petits virages de pensées bien agréables :

« J’aime penser…

J’aime vivre mon Corps…

J’ai foi en mon Âme…

J’aime Tout…

J’aime ce Tout que Tu m’offres !

Je ne Te cherche pas ailleurs… Tu es là, à cet instant, Total !

Quelle Joie de pouvoir, toujours, Te déguster à nouveau, à cet instant !

Je suis une simple conscience heureuse !

Je suis une conscience heureuse de s’ouvrir à l’Éternel.

Je suis une conscience heureuse de se laisser ouvrir… par Toi

Quelle Joie de Te Vivre ! »

Et là, ce jour-là, je me suis arrêté, près à remplir ma journée de belles prises de conscience… de Lui.

20 . Jouer encore à Penser

Dimanche 26 Mai 2024

Voici un exemple de la façon dont j’ai joué, pendant des années, au jeu de pensée que j’ai nommé, il y a bien longtemps, le BeHappy…

Ce jour-là, comme toujours, j’y ai joué avec mon style, unique bien sûr, comme je l’ai fait pendant des années, presque tous les jours.

Cette régularité m’a permis de jouer de mieux en mieux, au fur et à mesure des années… C’est à dire d’être de plus en plus heureux, en pensant de plus en plus ce que j’étais le plus heureux de penser.

C’est ma route.

En effet, lorsque je joue consciemment, comme je l’ai fait ce jour-là et tous les autres jours, la seule règle que suis attentif à respecter de mon mieux, c’est tout simplement d’être heureux, le plus heureux possible, de penser ce que je pense à cet instant… Et également, d’être heureux de l’écrire !

Et cela va, en général, très, très vite…

Je bondis d’une pensée à l’autre… J’ai toujours une grande joie à danser ma Pensée… à danser mon Âme… à danser mon Corps… qui sont Un.

Comme tous les Êtres, l’Être que je suis n’a qu’un but : ouvrir sa conscience à Lui, qui est Tout… Comment que nous Le nommions.

Mais, voici donc comment j’ai joué le Mercredi 7 Février 2024 que j’ai pris au hasard dans mon journal :

« Je ne peux Te quitter, même quand je l’imagine…

Où que je sois, Tu Es.

Je me retourne et je Te vois, toujours devant moi.

Mais, je n’ai pas besoin de me retourner pour vérifier que Tu es là : 

Tu es toujours là,

En moi et en tout !

Je ferme les yeux et je Te vois.

Que j’ouvre ou que je ferme mes yeux, Tu es là.

Je regarde ce brin d’herbe et Tu flamboies.

Et cette poussière, elle scintille de Toi.

J’ai prétendu des milliers de fois que Tu n’existais pas… 

Et cette prétention-même c’était Toi.

Je Te cherche, je Te cherche, 

Et pourtant, je T’ai toujours trouvé !

Tu es là dans mes yeux qui Te voient.

Il n’y a que Toi qui soit, 

Et tout le reste c’est Toi.

Douleur ou joie… C’est toujours Toi !

Tu m’ouvres les yeux 

Qui ont toujours été ouverts.

Tu ouvres mes yeux 

Qui sont déjà ouverts.

Le pépiement des oiseaux, que j’entends, c’est Ton bruit.

J’aime sentir ce que je sens, 

Car, c’est toujours Toi.

Je suis si heureux de Te vivre.

J’aime même souffrir, car Tu es tout.

Je Te vois en tout et pourtant ma seule peur… c’est de Te voir. 

Ma peur n’élimine pas ma foi, elle la grandie.

Je capte mes pensées de Toi.

J’aime ce bruit, mais j’aime aussi cette musique : que n’es-Tu pas ?

L’horloge, fait tic-tac : elle Te nomme… à chaque seconde !

Tic, c’est Toi… Tac, c’est Toi.

Bien sûr!

Je suis là, en Toi… 

Comme toujours.

Que me dis-Tu dans cette couleur ? 

Je Te vois en tout : que puis-je voir d’autre ? 

J’aime Te penser, j’aime Te toucher, j’aime Te voir, d’ici à l’horizon…

Le bleu est une couleur qui Te va parfaitement bien… Le rouge et le jaune aussi… 

Quelle couleur ne Te va pas ? 

Toutes les couleurs sont Tiennes.

Je Te déclame sans cesse, 

Même en T’entendant.

Je jouis de cette instant, 

Je jouis toujours de Toi.

Comment puis-je ne pas être heureux de souffrir ? 

N’es-Tu pas tout ? 

Je parlerai de Toi, toujours. 

De quoi puis-je parler d’autres ? 

Je m’aime de Te voir, je m’aime de Te vivre.

J’avance en Toi… Et c’est pourtant Toi que je quitte à chaque instant.

Ma conscience de Toi change depuis toujours… 

Mais c’est toujours Toi !

Je Te vais, je Te viens, je Te repars, je Te monte et je Te descends : 

Tu es vraiment Infini.

Je crois en Toi… 

Mais c’est facile, puisque je ne peux croire qu’en Toi !

J’attends… je T’attends, depuis toujours !

Je T’attends toujours, 

Et pourtant je T’ai toujours trouvé.

Es-Tu moins que Tout ? 

Mon doute-même, c’est Toi.

Je T’adore d’ici à là-bas.

Il n’y a pas de limite à l’ouverture de nos consciences : 

Tu es notre Limite Infinie !

Je Te pense, je Te pense… je Te vis.

Penser, c’est Te vivre.

Je m’ouvre, je me ferme…

Tu es aussi ma fermeture. 

« L’athée », crois en Toi, autant que le « croyant ».

Croire quoi que ce soit, c’est Te croire

En Toi, il y a le plus, il y a le moins… 

Et il y a le Tout !

Je n’ai peur que de Toi, 

Puisque Tu Es Tout.

Je n’ai foi qu’en Toi

Puisque Tu es Tout. »

Voilà ! Voilà comment j’ai joué ce jour-là… Et, dans le futur, chaque pensée sera pensée avec encore plus de conscience de la Joie Éternelle.

Bien sûr, je ne propose à personne de penser les mêmes pensées que celles que j’ai pensées et écrites ce jour-là  ou tout autre jour !

Non ! Je propose à chacun de penser ce que, lui ou elle, est heureux ou  heureuse de penser à l’instant-même où il, ou elle, pense.

Ce n’est pas ce que nous pensons qui a de l’importance, car toute pensée ne peut que « Le » nommer… Et donc aucune pensée ne Le nomme plus que n’importe quelle autre pensée !

Ce qui importe, c’est la conscience de la Joie que nous avons lorsque nous pensons… Cette Joie, c’est la plus belle chose que nous puissions vivre… Et elle est accessible à tous.

Regardons les enfants : ils sont souvent nos maîtres !

Mais, cette Joie, elle est également le plus beau cadeau que nous pouvons offrir à tous les autres Êtres.

Gandhi nous a proposé d’être ce que nous voulons que le monde devienne.

Alors, soyons heureux pour que le monde devienne heureux…

Pensons, nous-même, ce que nous sommes les plus heureux de penser, pour que le monde pense de plus en plus ce qu’il est le plus heureux de penser.

C’est, là, le miracle, tout simple, de la Joie Inconditionnelle.

19 • La Porte

Mardi 21 Mai 2024

Observer, c’est toujours T’observer !

Tous, nous ne pouvons observer que Toi…

Toi, que nous avons, le plus souvent, dans toutes les langues, appelé Dieu… mais qui a tous les noms de l’Univers…

Absolue, Infini, Tout, mais aussi, Marguerite, Granit, ou Repas… Également : Émotion, Joie, Confiance… Ou encore : Poussière, Eau, ou Cacahuète, Ici ou Là-bas…

Choisissons un mot… Et c’est Toi que nous nommons !

Avec plus ou moins de conscience, nous, tous les Êtres qui existons, sans une seule exception, nous voulons T’adorer en Tout, toujours mieux, car que peux-Tu ne pas être, Toi l’Être Absolu ?

L’ombre, que nous avons tous imaginée en perdant conscience de Toi, notre ombre donc, nous a voilé la Lumière pendant un bien court instant…

En effet, ce n’est que peu après que nous soyons devenus Êtres humains, que nous avons pu choisir de perdre conscience de Toi.

Cela fait à peine, 150.000 ou 400.000 ans, d’après la science actuelle…

Mais, Toi, Toi la Lumière Éternelle, Tu es Omniprésente… Tu es l’Être-même de toute chose, y compris de cette ombre que nous avons imaginée.

Et nous voulons, toujours mieux, Te voir en ce voile illusoire qu’est notre ombre… Et cela, tant que ce sera nécessaire…

Car notre ombre, elle a eu un début et elle aura une fin.

Le début de l’ombre, c’est notre perte de conscience de Toi, Toi la Lumière…

La fin de l’ombre, c’est la reprise de conscience de Toi en Tout, « y compris dans notre illusion qu’est l’ombre ».

La Vie, sans ombre, sans aucune ombre, existe… C’est le Paradis.

Le Paradis a toujours existé en tant que conscience et expérience personnelle, chaque fois que, pendant quelques instants, un des Êtres que nous sommes aime, encore plus, toute l’ombre de la Terre.

Mais, le Paradis existera pour toujours, en tant que conscience et expérience de tous les Êtres de la Terre, lorsque, tous les Êtres humains, sans une seule exception, aimeront toute l’ombre que nous avons tous pu imaginer depuis le presque début de l’humanité.

Alors, ouvrons la Porte… Et entrons !

Aimons notre ombre… Aimons notre ennemi.

101 • Tes Larmes…

Tes Larmes…

Tes larmes montent à mes yeux…

Toujours si douces !

Les Êtres sont si beaux de Toi.

Je ne vois que Toi.

Ta Lumière, même dans l’ombre…

Peut-Elle s’affaiblir ?

Tu es si beau dans chacun.

Transfiguration…

Je ne vois que Toi, que Toi,

Dans mes yeux fermés

Remplis de Tes Larmes.

Béni, comme tous les Êtres…

Par Ton Omniprésence,

Tu me respires.

Merci, Merci, Merci…

Dimanche 19 Mai 2024

18 • Conscience-Inconscience : que du plaisir !

Samedi 18 Mai 2024

Attention, aujourd’hui, il va falloir s’accrocher un peu pour lire ce qui est écrit ici ! Alors, j’ai écrit un peu plus gros que d’habitude… Peut-être un peu trop gros pour les mobiles ? Nous verrons.

Nous allons travailler la souplesse de nos esprits… un peu dans tous les sens.

Mais, attention ! Si ce que vous lisez ici, c’est ce que vous êtes le plus heureux de penser, alors, bien sûr, je vous invite à le penser chaque fois que cela vous est agréable…

Mais, attention encore ! Si ce que vous lisez, vous n’êtes pas heureux de le penser vous-même, alors jetez-le dans un placard, c’est à dire perdez-en conscience tout de suite, pour l’instant…

Cela sortira certainement du placard si un jour c’est agréable pour vous !

Mais, surtout, surtout, pour l’instant, ne vous forcez jamais à penser quoi que ce soit que vous ne soyez pas heureux de penser tout de suite !

Et plus tard, vous verrez…

Alors… « Être heureux, », c’est ce qui me passionne depuis toujours…

Et, à chaque instant, je vois bien que c’est ce qui passionne le plus tous les autres Êtres humains que je rencontre… mais aussi tous les autres Êtres.

Une conscience de la Joie toujours plus grande, c’est la priorité absolue de tout ce qui existe, c’est à dire de tous les Êtres.

En effet, la Joie, inconditionnelle, est le moteur de l’existence.

Mais, pour les Êtres humains, être heureux, c’est, d’abord, « penser », en tant qu’humain, ce qu’ils sont les plus heureux de penser à cet instant…

Puis c’est, parfois, d’exprimer, par des paroles ou des actes, ce qu’ils sont les plus heureux d’exprimer.

Alors, allons-y ! À la façon d’aujourd’hui, je m’amuse à penser ma Joie… et à l’exprimer avec des mots que j’écris !

Je m’amuse à vivre une agréable petite folie de ma pensée… etdonc, même, à l’écrire !

Et ensuite, eh bien vous, vous en ferez l’usage que vous jugez bon.

Penser, c’est « l’Intimité Absolue », mais, bien sûr, plus j’exprime ma pensée à d’autres Êtres humains, moins c’est intime, plus c’est publique.

Mais, rien, ni personne d’autre que moi ne choisit ma pensée… Je suis totalement libre ce que je pense… Comme tous les Êtres humains.

J’ai mon libre arbitre, ma libre conscience… et du coup, ma libre inconscience !

Chaque mot que j’utilise existe pour exprimer une certaine conscience, que j’ai, à cet instant, du Tout .

Alors, là, rappelons-nous que tout ce qui existe est à la fois Âme, Corps et Pensée… avec une certaine conscience.

La conscience que j’ai est toujours unique dans le temps et dans l’espace.

C’est à dire qu’aucun Être n’a la même conscience, aucun Être n’a eu la même conscience et aucun Être n’aura la même conscience qu’un autre Être… Et ceci dans l’Infinité de l’univers et dans l’Éternité du temps.

Rappelons-nous également que tous les Êtres ont une inconscience qui est Infinie… Et ceci quelle que soit leur conscience.

Là, j’essaye de dire qu’un Être minéral, un Être végétal, et un Être animal ont la même inconscience infinie que moi qui suis un Être humain.

Une autre façon imagée de le formuler, c’est de dire que « quel que soit le kilométrage qu’un Être a parcouru, il lui reste toujours, toujours, l’infini à parcourir.

Donc, tout Être a une conscience différente de tous les autres Êtres, mais leur inconscience, elle, elle est toujours Infinie… et, également, différente.

Un Être « est » sa Conscience, unique à cet instant unique et en ce lieu unique.

La conscience est donc un mouvement permanent qui concerne à ce même instant, l’aspect Corps, l’aspect Pensée et l’aspect Âme d’un Être.

Donc, la conscience que nous sommes à cet instant n’a jamais existé et n’existera jamais plus.

Ce qui fait que, peut-être que j’utiliserai le même mot, mais il n’exprimera jamais la même conscience.

Une conscience, c’est toujours un instant de conscience… Donc, la conscience ne dure qu’un instant.

Ce qui fait que n’ai jamais eu et je n’aurai jamais plus la conscience que j’ai à cet instant.

J’aime à penser que la conscience de tout Être augmente en permanence, mais où qu’elle en soit dans son mouvement Éternel d’expansion, et quelle que soit la vitesse de cette expansion, il lui reste l’Infinité de son Inconscience à découvrir…

Alors une chose que chacun peut observer, c’est que plus un Être est conscient, plus il est conscient que son inconscience est Infinie.

 cet instant unique et merveilleux, un Être a l’Éternité devant lui, comme il a l’Éternité derrière lui…

Si chaque Être a une conscience unique, chaque Être a donc également une inconscience unique.

Et toutes ces inconsciences uniques sont Infinies.

Il apparait évident qu’il n’y a pas de conscience sans inconscience, ni d’inconscience sans conscience… Et que ma conscience est aussi Infinie que mon inconscience.

Ma conscience et mon inconscience sont unies, en une relation unique, dans l’Être que je suis à cet instant.

Je suis à la fois, un Être « Corps », un Être « Pensée » et un Être « Âme » au même instant.

Je peux m’amuser à dire la même chose sous cette forme : un Être est l’unité d’un Corps, d’une Âme et d’une Pensée à cet instant.

En effet, hier, j’étais un Être que je ne suis plus… Et demain, je serai un Être que je n’ai jamais été.

La conscience Corps que je suis, la conscience Pensée que je suis et la conscience Âme que je suis sont, à cet instant et seulement pour cet instant, l’Être unique que je suis…

Cet Être unique, que je suis, n’avait encore jamais existé et n’existera jamais plus… Mais il est en même temps Éternel.

Chaque mot a un présent, un passé et un futur.

Un mot pourra être prononcé ou écris un innombrable nombre de fois par un innombrable nombre d’Êtres humains, mais il n’exprimera jamais la même conscience… Jamais !

En effet, la conscience de cet instant est Unique.

Mais l’inconscience de cet instant est également Unique.

La conscience est toujours nouvelle… Toujours !

Mais, l’inconscience est également toujours nouvelle !

Je n’ai ni la même conscience, ni la même inconscience que celles que j’avais l’instant d’avant ou que j’aurai l’instant d’après.

Donc, par exemple, le mot « Dieu » n’a jamais été, ni ne sera, jamais prononcé, avec la même conscience… et ceci dans l’Infini de l’univers et dans l’Éternité du temp.

Et il en est de même pour tous les mots qui existent, qui ont existé et qui existeront.

Ainsi, quand je relis pour la millième fois le même texte écrit, je n’ai jamais une seule fois lu ce texte avec la même conscience que cette fois-ci.

Un texte peut être écrit sur le papier… mais la conscience que j’en ai ne peut jamais être écrite : elle est vivante ! Elle évolue à chaque instant.

Il est clair que conscience et inconscience sont deux facettes de la même Réalité Absolue et Unique.

À un instant donné, j’ai une certaine conscience de ma conscience… et une certaine conscience de mon inconscience.

Mais, je n’observe que le passé… Ma conscience ne peut donc être qu’une observation de ma conscience passée.

Pour le dire autrement, je ne peux avoir conscience que de mon passé.

C’est amusant ! Je me retrouve en train d’être heureux de penser : « Je ne peux avoir conscience que de ma conscience passée ! »

Cela m’a amusé de penser cela et de l’écrire, mais, l’instant d’après, j’en ai douté… Il faudra que je trouve ce que je suis vraiment heureux de penser sur ce sujet. Affaire à suivre !

En tous les cas, lorsque je prends conscience de cette conscience que je viens juste d’avoir, la conscience que j’en ai est déjà passée…

Ce sont des pensées qui pourrait faire le sujet d’un sketch humoristique pour un humoriste !

En effet, qu’est-ce que c’est agréable de penser par plaisir.

C’est le même type de plaisir que celui que l’on vit lorsque l’on danse.

Finalement, la danse de l’Être, c’est la danse de l’Âme lorsqu’elle est dansée par la Pensée et par le Corps.

Ou alors, on peut dire : la danse de mon Être, c’est l’harmonie de la danse du Corps que je suis, de la Pensée que je suis et de l’Âme que je suis.

Donc, nous dansons notre plus belle danse lorsque l’Âme, la Pensée et le Corps, que nous sommes, dansent en harmonie.

Voilà pour cette fois-ci… Je me suis bien amusé !

À suivre, bien sûr… à l’Infini !

Compléments d’informations sur les 8 Lois ou Règles sur lesquels se base le Jeu de BeHappy…

Bien sûr, chacun peut jouer au BeHappy avec bénéfice pour améliorer son bien-être en ayant seulement connaissance des 8 lois ou règles telles qu’elles sont, simplement et rapidement, édictées dans l’article précédent :

« Qu’est-ce que le BeHappy ? »

Mais certains auront peut-être plaisir à ce que ces lois ou ces règles soient un peu plus développées et commentées…

Pour ces personnes, voici certains éclairages supplémentaire sur ces 8 lois/règles sur lesquels s’appuie le jeu de BeHappy qui les intéresseront sûrement.

Ensuite, au fur et à mesure, si cela est nécessaire, nous préciserons encore ces éclairages, en fonction des éventuels réactions de certains joueurs de BeHappy exprimeront dans les commentaires qu’ils déposeront sur ce site…

Que les joueurs reconnaissent cette 1ère loi comme la leur est la condition prioritaire pour jouer à ce jeu de pensée.

En effet, après me l’être posé à moi-même, j’ai posé à des milliers de gens, dans le cadre de mon métier et dans ma vie privée, et ceci pendant des années, la question suivante :

« Qu’est-ce qui est le plus important pour vous dans la vie ? »

Et là, soit de suite, soit après une courte mise au point de vocabulaire et de signification, tout le monde, sans une seule exception, m’a répondu :

« Que je sois heureux ! »

100% de personnes, sur des milliers de personnes qui donnent, précisément, cette réponse, nous pouvons considérer que l’on est là en face d’une loi, une loi robuste, une loi scientifique  !

Cette loi, qui est devenue une règle du jeu du BeHappy, nous pouvons l’exprimer de la façon suivante :

« Ce qui est le plus important pour tout les Êtres, sans exception, c’est qu’ils soient heureux »

Et ceci n’a rien à voir avec une opinion. Non ! C’est une loi dont chacun peut prendre connaissance tous les jours un peu plus.

Et donc, le 1er préalable au jeu de BeHappy, c’est que les joueurs reconnaissent cette 1ère loi, comme la leur, eux qui sont des Êtres humains… Mais également que cette loi est celle de tous les autres Êtres.

Et, c’est ce qu’ils font tous, facilement, à 100% !

Donc, cette loi de la Vie, si évidente et si simple, est devenue la 1ère règle du jeu de BeHappy.

Comme je viens de le dire plus haut, parfois, il a pu être nécessaire de préciser un point ou un autre…

À la question : « Qu’est-ce qui est le plus important pour vous dans la vie ? », certains ont pu, par exemple, dans un premier temps, répondre :

« Ce qui est le plus important pour moi, c’est que mon enfant (… ou ma mère, ou mon père, ou mon compagnon, ou ma compagne… ou mon chien, ou l’humanité) soit heureux. »

Alors, on a pu, s’ils citaient leur enfant, leur poser, par exemple, la question :

« Est-ce que votre enfant a plus de chance d’être heureux, si vous vous êtes heureux(se) ou si vous vous êtes malheureux(se) ? »

Et là, sans exception, toutes ces personnes ont toujours répondu :

« Si je suis heureux(se), bien sûr !

Alors, nous avons pu leur dire : « 

« Que vous soyez heureux, c’est donc bien le plus important pour vous, mais aussi pour votre enfant ? »

Et là, tous, sans exception également, ont répondu :

« Oui, c’est vrai. »

Et là, une fois cette 1ère loi reconnue, nous avons pu commencer à présenter la 2ème lois du BeHappy en toute sécurité…

En effet, nous ne pouvons pas jouer au BeHappy de façon agréable et bénéfique avec quelqu’un qui ne reconnaîtrait pas comme sienne cette 1ère loi, qui est la règle fondamentale de ce jeu… Elle est en effet le fondement de toutes les autres lois qui sont en fait les règles de ce jeu simple et bienfaisant.

En effet, en entendant l’énoncé de cette 1ère loi ou règle du jeu de BeHappy, d’autres ont pu réagir en posant la question suivante :

« Qu’est-ce que le bonheur ? »

Et là, nous sommes bien obligés de leur répondre :

« Personne ne peut définir votre bonheur à votre place…

Le bonheur est une Intimité Absolue…

Et en plus, sa forme change à chaque instant !

Mais, à chaque instant, vous-même, l’Être conscient que vous êtes, vous savez exactement ce que vous, vous êtes le plus heureux de penser, de dire ou de faire !

Et pour jouer au jeu de BeHappy, c’est tout ce qui vous est nécessaire. »

Et les personnes sont toujours satisfaites de cette réponse qui respecte totalement leur personnalité et elles acceptnt alors d’adhérer à cette 1ère loi qui est donc une règle du BeHappy qu’il faut absolument respecter pour pouvoir jouer à ce jeu de façon agréable et productive.

En effet, il faut remarquer que « jamais » une seule personne sur les milliers à qui nous avons pu poser la question « Qu’est-ce qui est le plus important pour vous dans la vie ? » n’a répondu :

« Moi, ce qui est le plus important dans ma vie, c’est que je souffre un maximum ! »

Ou quelque chose d’approchant… Vraiment personne !

Aucun Être, qu’il soit minéral, végétal, animal ou bien sûr humain, n’a pour but essentiel dans son existence de souffrir !

Ce qui ne veut pas dire qu’aucun Être ne souffre… Bien au contraire, les Êtres peuvent souffrir et parmi eux ce sont les Êtres humains qui semblent souffrrir le plus, et cela vraiment beaucoup plus souvent que nécessaire pour pouvoir vivre une vie épanouie.

Vous avez dû remarquer que cette Loi disait :

Prenons conscience que, sur cette terre, il y a au moins 4 types d’Êtres assez bien caractérisés par la science actuelle : il y a les Êtres minéraux, les Êtres végétaux, les Êtres animaux et les Êtres humains…

Bien sûr que le fait que je sois heureux est le plus important pour les autres Êtres humains… Mais c’est aussi le plus important pour tous les autres Êtres qui constituent également notre terre.

Plus je suis heureux, plus je participe à l’harmonie de la vie sur terre.

Il n’y a de véritable écologie qu’heureuse !

L’adhésion à cette 2ème loi, ou règle, du Jeu de BeHappy, comme l’adhésion à la 1ère, est un préalable absolu pour pouvoir aborder les 6 autres lois, qui sont en fait les règles de ce jeu, avant de jouer une bonne partie bienfaisante, seul ou avec un ou plusieurs partenaires.

En effet, comment être heureux au moment où nous pensons ce que nous ne sommes pas heureux de penser ?

Je n’y suis jamais arrivé moi-même… Et je n’ai jamais pu observer quelqu’un qui y soit arrivé.

En effet, qui a été heureux alors qu’il pensait « Ma vie n’est qu’un échec » ?

Qui a été heureux en pensant « Il n’y a que de l’injustice dans le monde » ?

Qui a été heureux alors qu’il pensait que « Les Êtres humains sont fondamentalement mauvais » ?

Qui a été heureux en répétant « Je ne serai jamais heureux » ?

Qui a été heureux en pensant « Mon voisin n’est qu’un imbécile » ?

Etc… Etc…

Bref ! Qui a été heureux en pensant ce qu’il n’était pas heureux de penser ?

Personne… Vraiment personne !

Sans une seule exception, chaque fois que nous avons pensé ce que nous n’étions pas heureux de penser, nous n’avons pas été heureux de vivre ce que nous étions en train de vivre.

Et ce n’est pas que ce que nous avons vécu était « mauvais »… C’est simplement que nous, nous n’avons pas été heureux de le vivre, et ceci, toujours, en pensant ce que nous n’étions pas heureux de penser.

Nous n’avons donc pas « choisi » d’être heureux de le vivre.

Pour être plus précis, nous n’avons pas osé choisir de penser ce que nous étions le plus heureux de penser pour pouvoir enfin vivre ce que nous étions le plus heureux de vivre.

Nous vivons la souffrance que nous pensons…

Mais, nous pouvons vivre le bonheur que nous pensons…

Et c’est bien le but de ce jeu du BeHappy que d’être de plus en plus heureux de vivre en apprenant à penser ce que nous sommes de plus en plus heureux de penser.

Par contre, bien sûr, nous avons toujours été heureux de vivre un instant alors que nous pensions ce que nous étions le plus heureux de penser à ce même instant.

Ainsi, celui qui est un homme et qui pense : « Je suis heureux d’être un homme »… Eh bien, à cet instant, il vit la vie d’un homme heureux.

Celui qui pense « J’aime conduire », au même instant, il vit la joie de conduire sa voiture.

Celui qui pense « Je suis heureux de vivre » connaît tout de suite le bonheur de vivre sa vie.

Celui qui pense « J’aime l’humanité » fait, pendant cet instant merveilleux, l’expérience de vivre au sein d’une humanité qu’il aime.

Etc…

C’est ce à quoi nous invite ce site BeHappy8 : penser ce que nous sommes les plus heureux de penser pour vivre ce que nous sommes les plus heureux de vivre…

Apprendre à jouer à vivre.

Apprendre à jouer à vivre heureux.

Actuellement, beaucoup de personnes qui entendent cette lois la reconnaissent comme vraie pour eux.

Mais, cependant, certains vont réagir, momentanément, différemment… Et ils vont peut-être exprimer une des pensées suivantes :

« On ne peut pas penser ce que l’on veut.

« Il ne suffit pas que je pense ce que je suis heureux de penser pour être heureux ! »

« Mais, je ne peux pas penser ce qui n’est pas vrai ! »

« Je n’ai pas le droit de penser ce qui n’est pas réel ! »

« Mais je ne peux pas penser ce que je ne « sens » pas ! »

« Je ne suis pas libre de penser n’importe quoi ! »

« Je ne choisis pas ce que je vis ! »

« Je n’ai pas de chance ! »

« C’est génétique, je n’y peux rien ! »

Etc… etc…

Bien sûr, ces personnes ne sont jamais heureuses de penser ce type de pensées… Jamais !

Mais elles n’en sont pas conscientes…

En effet, ces personnes n’ont pas encore conscience que les arguments qu’ils ont l’habitude d’utiliser pour exprimer leur désaccord avec cette 2ème loi du jeu de BeHappy ne sont que des pensées qu’ils ne sont pas heureux de penser !

Ils n’en sont pas conscients parce qu’il ne se sont « jamais » posé la question la plus importante qu’il peuvent se poser et qui constitue la 3ème loi qui est en fait la 3ème règle du jeu de BeHappy que nous allons aborder tout à l’heure.

Bien sûr, elles se sont posé beaucoup d’autres questions, mais pas « cette » question !

Et ceci, tout simplement, parce que toutes les autorités, sans aucune exception, auxquelles elles ont accepté d’obéir depuis des vies et des vies le leurs ont « toujours » interdit.

En effet, aucune autorité, quelle qu’elle soit, ne permet aux autres Êtres humains de se poser « cette » question !

Une autorité ne se permet même pas à elle-même de se la poser…

En effet se poser cette question, c’est le début de la disparition de toute autorité malfaisante sur soi-même ou sur les autres.

Pourquoi ? Parce que cette question permet à la personne qui se la pose de retrouver l’usage naturel de son libre arbitre originel.

Ce « libre arbitre« , c’est cette capacité que nous avons, nous les Êtres humains, de choisir ce que nous vivons, en choisissant ce que nous pensons à partir de notre Âme plutôt qu’à partir de nos mémoires.

Pour le traduire autrement peut-être, on peut dire que le « libre arbitre est la libre conscience que nous avons de choisir de penser ce que nous pensons…

En effet, librement, nous pouvons soit penser ce que nous sommes le plus heureux de penser, soit penser ce que nous ne sommes pas heureux de penser.

Et personne ne peut le faire à notre place.

Mais voyons donc maintenant, plus en détail, cette question qui est la 3ème loi ou règle du jeu de BaHappy.

Nous pouvons nous poser des milliards de questions…

Par exemple, nous avons pu nous poser des questions, comme :

« Est-ce que ce que j’ai pensé est juste ? »

« Est-ce que ce que j’ai pensé est scientifique ? »

« Est-ce que ce que j’ai pensé peut être accepté par les autres ? »

« Est-ce que ce que j’ai pensé est raisonnable ? »

« Est-ce que ce que j’ai pensé respecte ma religion ? »

« Est-ce que ce que j’ai pensé est mieux que ce que les autres pensent ?

Etc… Etc…

Et, bien sûr, certaines de ces question peuvent avoir eu, à un moment donné une certaine importance dans notre vie… Et en auront encore, peut-être, dans notre vie.

Mais cependant, si notre but le plus important dans cette vie, c’est bien d’être heureux, alors il n’y a aucun doute : aucune question, n’est plus importante que celle-ci :

« Est-ce que j’ai pensé là ce que j’étais le plus heureux ou la plus heureuse de penser, OUI ou NON ? »

Comme vous avez pu le remarquer, cette question est posée au passé.

La raison en est simple : nous vivons au présent, mais nous observons toujours notre passé !

Donc, en pratique, lorsque nous nous posons cette question, nous nous questionnons à cet instant sur notre passé.

Ce passé que nous apprécions à cet instant peut être immédiat ou lointain, mais ce ne peut être que notre passé… Et, simplement, nous le reconnaissons en utilisant un temps de conjugaison du passé.

Un des avantages de ceci est que nous libérons le présent du passé. À cet instant présent, en nous posons cette question au passé, nous nous reconnaissons libre du passé que nous évoquons.

Dans notre vie, lorsque nous nous posons une question importante, nous avons toujours besoin que cette question soit claire.

Mais lorsque, comme ici, nous nous posons la question la plus importante que nous puissions nous poser, alors là nous avons besoin de l’exprimer « parfaitement clairement« .

Posée comme elle l’est ici la question la plus importante que nous puissions nous poser est parfaitement claire.

La question ne peut pas être plus claire…

Et nous allons encore préciser cette clarté avec la 4ème loi ou règle du jeu de BeHappy qui suit…

Il nous faut une réponse absolument claire.

En effet, la réponse à cette question la plus importante que nous puissions nous poser doit, bien sûr, être également parfaitement claire.

Et là, c’est la réponse la plus simple et la plus claire que l’on puisse donner : c’est soit « OUI« , soit « NON » !

C’et tout ! Aucune autre réponse n’est acceptable.

Dans le jeu du BeHappy, le simple fait d’hésiter une seconde avant de répondre un « OUI SINCÈRE » à cette question, la question la plus importante que nous puissions nous poser, doit être obligatoirement reconnue comme un « NON ».

Ceci est obligatoire, si notre but est d’être heureux… Et c’est notre but le plus important !

Donc, tous les « OUI MAIS… » sont des « NON »… Les « Je ne sais pas » sont des « NON »… Un silence, c’est « NON », etc…

Bref, si ce n’est pas un « OUI », simple, en moins d’une seconde, c’est un « NON ».

C’est là une des clefs fondamentales de l’efficacité du jeu de pensée qu’est le BeHappy !

Si nous ne respectons pas cette 4ème loi, nous ne sommes pas en train de jouer au BeHappy dont le but premier est de retrouver, toujours mieux, notre Joie Originelle… Nous faisons autre chose, ce qui est notre liberté bien sûr !

Mais, comme l’exprime la 2ème règle de ce jeu, nous ne pouvons être des Êtres humains heureux que lorsque nous pensons ce que nous sommes les plus heureux de penser.

Il n’y a pas d’autres possibilités… Il n’y en a vraiment pas ! D’où la rigueur de cette exigence d’un « OUI » simple et vrai… en moins d’une seconde !

En fait, là, nous ne faisons que verbaliser et préciser quelque chose que nous vivons naturellement depuis toujours dans nos vies…

Chaque fois que nous posons une question très importante à quelqu’un, nous attendons une réponse totalement claire.

Par exemple, imaginons qu’un homme pose à sa femme la question, très importante pour lui et pour elle : « Est-ce que tu m’aimes ? » …

Si celle-ci ne répond pas, immédiatement, par un « OUI » franc, ils savent tous les deux que c’est « NON »… Ils ont un problème de relation !

Si elle répondait : « Écoute, je vais réfléchir »… Ils sauraient tous les deux que c’est « NON »… Et pour l’instant en tous les cas, ils ont un problème !

Évidemment, cette exigence d’un « OUI » spontané comme réponse n’est valable que pour une question très importante pour nous.

Si ce même homme demande à sa femme une question comme « Est-ce que tu veux que je te fasse un café » et qu’elle ne réponde ni « OUI », ni « NON », mais qu’elle réponde « Je verrai tout à l’heure, là je suis occupée »… Leur couple ne vit pas là un problème.

En effet cette question n’est pas importante, alors la réponse est sans importance… Elle n’a pas besoin d’être précise.

Mais dans le jeu du BeHappy, la question est fondamentale et la réponse doit être totalement claire : soit c’est un « OUI » absolu, soit c’est un « NON ».

Et d’ailleurs, si c’est un « NON », ce n’est pas la fin du monde…

Mais c’est probablement la fin d’un monde… Et c’est l’invitation à vivre un autre monde… Un monde meilleur ! Un monde dans lequel nous sommes plus heureux…

Et c’est ce à quoi va nous inviter la 5ème Loi que voici :

Le but, ici, n’est pas de penser telle ou telle pensée, mais bien plus simplement de penser la pensée que, nous, nous sommes, vraiment, le plus heureux de penser à cet instant.

Ce peut être sur le même sujet ou sur un tout autre sujet…

En effet, la fuite est permise. Si, pour l’instant, cela est plus confortable pour nous, nous pouvons éviter le sujet à propos duquel nous avons posé la question la plus importante que nous puissions nous poser sans pouvoir répondre « OUI »…

Notre but, en BeHappy, n’est pas de penser obligatoirement une autre pensée sur le même sujet que nous avons questionné et dont nous avons pris conscience que nous n’étions pas heureux de la penser.

Non ! Notre but le plus important est d’être heureux… Et pour cela il nous faut penser ce que nous sommes le plus heureux de penser, nous, à cet instant… « librement » !

En effet, peut-être que pour l’instant, nous ne sommes simplement pas capable de penser une pensée que nous sommes heureux de penser sur le même sujet que nous avons questionné ?

C’est parfait ! Nous allons, alors, choisir aussi simplement de penser une pensée que, nous, nous sommes capable, à cet instant d’être heureux de penser… C’est tout !

N’oublions pas : « Que nous soyons heureux, nous, c’est le plus important pour nous et pour tous les autres Êtres ».

Dans le jeu du BeHappy, il n’y a, absolument, aucune règle disant que nous devons, obligatoirement, penser telle ou telle type de pensées.

Non ! La 5ème règle du jeu que nous étudions maintenant est très précise : « Qu’est-ce que je suis, moi, le plus heureux de penser maintenant ? »

Il y a une infinité de pensées que nous pouvons être heureux de penser… Une infinité !

Mais, à cet instant, il y en a une qui est celle que nous choisissons librement : c’est celle que nous sommes le plus heureux de penser… à cet instant.

Là, il suffit de la choisir à cet instant, et d’oser la penser, la dire, peut-être l’écrire…

Cette pensée qui est celle que nous sommes, à cet instant, le plus heureux ou la plus heureuse de penser, est complètement « arbitraire!

Et ceci n’est pas exceptionnel, puisque toutes les pensées que nous pensons sont toutes arbitraires, que nous en soyons conscients ou pas.

En effet, une pensée humaine est nécessairement « arbitraire ». Que nous le reconnaissions ou pas n’y change rien. Cela est aussi inévitable que le fait de respirer pour vivre…

Que cette pensée soit exprimée par les mêmes mots que la précédente, mais disposés différemment, qu’elle soit sur le même sujet, ou qu’elle soit sur un tout autre sujet, cela n’a aucune importance…

Que cette pensée soit sérieuse ou pas, qu’elle soit très intelligente ou naïve, qu’elle soit simple ou compliquée, qu’elle soit considéré comme « positive » ou « négative »… Tout cela et bien d’autres choses n’ont absolument aucune importance pour jouer au BeHappy…

Que ce soit nous qui la découvrions ou que ce soit quelqu’un qui nous la souffle, ou que nous citions un auteur : cela n’a aucune importance également…

Mais par contre la seule chose qui importe totalement lorsque nous jouons au BeHappy : c’est que cette pensée soit celle que, nous, nous sommes, complètement arbitrairement, le plus heureux de penser à cet instant… C’est tout !

En effet si, pour l’instant, nous évitons systématiquement un sujet que nous n’aimons pas, ce n’est pas grave du tout : ce n’est que partie remise !

En effet, il n’y a pas de soucis, tant que nous ne serons pas heureux de penser quelque chose, cette pensée, et sa manifestation, reviendra à notre conscience pour que nous puissions essayer à nouveau d’en être heureux et cela jusqu’à ce que nous y arrivions.

C’est ce que tente d’exprimer la pensée suivante : « Nous sommes libres de tout ce que nous aimons, mais nous sommes liés, par l’Amour inconditionnel, à tout ce que nous avons prétendu ne pas aimer. »

La Réalité est que nous avons l’Éternité pour ouvrir, toujours plus, notre conscience à la Joie Éternelle.

Nous ne sommes en rien obligés de réussir à aimer quoi que ce soit tout de suite, à être heureux de quelque chose tout de suite…

Si nous n’y arrivons pas là, à cet instant, ce n’est pas du tout grave !

En effet, cela n’est en rien un problème : ce que nous n’aimons pas reviendra patiemment à notre conscience jusqu’à ce que nous l’aimions, c’est à dire jusqu’à ce que nous en soyons heureux.

La route la plus courte pour arriver à être heureux, c’est celle que nous sommes les plus heureux de prendre « tout de suite ».

Donc, le seul critère pour choisir ma pensée suivante, c’est que nous puissions répondre un « OUI » en moins d’une seconde à la question :

« Est-ce que j’ai pensé là la pensée que j’étais le plus heureux ou la plus heureuse de penser, OUI ou NON ? »

Un point, c’est tout !

En effet, la répétition est la clef de l’évolution, et ceci depuis toujours…

Mais ceci est encore plus évident pour nous les Êtres humains… Il est bien évident que chaque Être humains que nous sommes a tout appris en répétant…

Nous avons appris à marcher en répétant environ 2000 fois nos tentatives de marcher jusqu’à y arriver.

Nous avons appris les tables de multiplication en les répétant jusqu’à les savoir.

Cherchez ce que vous avez appris sans le répéter ! Vous ne trouverez tout simplement « rien »…

Et, bien sûr, nous apprendrons tout ce que nous voulons apprendre en répétant !

Tous, autant que nous sommes, avons appris à penser comme nous pensons en répétant ces pensées…

Soit nous l’avons répété volontairement nous-même pour l’apprendre, soit, très souvent, d’autres personnes nous l’ont répété pour que nous l’apprenions.

Car entendre et écouter, c’est penser !

Et écouter beaucoup, c’est penser beaucoup…

Donc, d’un côté, nous avons trop souvent appris à penser ce que nous n’étions pas heureux de penser en le répétant beaucoup nous-même ou en nous le faisant beaucoup répéter par d’autres.

D’un autre côté, nous apprendrons toujours à penser ce que nous sommes les plus heureux de penser en le répétant également beaucoup

C’est que plus nous sommes heureux de répéter, plus nous apprenons vite !

Et c’est, également, que nous n’avons, en général, aucun plaisir à apprendre par la répétition ce que nous ne sommes pas heureux de penser…

Et en effet, nous avons tous fait l’expérience que nous apprenions beaucoup plus facilement et rapidement ce qui nous plaisait d’apprendre que ce qui ne nous plaisait pas d’apprendre.

Et nos éducateurs ont toujours eu beaucoup de difficultés à nous faire répéter ce que nous n’étions pas, nous-même, heureux d’apprendre…

Cela a été une grande source de souffrances, autant pour les éducateurs qui ont essayé de forcer les élèves à apprendre ce qu’ils n’étaient pas heureux d’apprendre que pour les élèves qui résistaient, tout à fait naturellement, de toutes leurs forces à apprendre ce qu’ils n’étaient pas heureux d’apprendre.

« Chassez le naturel, il revient au gallop »

Il y a la propagande d’origine extérieure par les mémoires personnelles ou sociales et il y a l’autopropagande heureuse ou malheureuse.

La propagande malheureuse qui arrive à devenir un autopropagande malheureuse demandera toujours beaucoup de répétition pour rester active.

À poursuivre… dès que je le peux !

Âme ou mémoire ?