Mise en avant

Qu’est-ce que le BeHappy ? Le minimum à savoir…

Lundi 23 Avril 2024

  

  Le BeHappy est un jeu de la Pensée pour tous ceux qui désirent y jouer dans  leur vie en lisant, en parlant et peut-être en écrivant.

Son but est simple : ÊTRE PLUS HEUREUX !

Ce jeu se joue soit seul, soit à deux, soit à plus.

Ici, dans ce site « BeHappy8 », vous pouvez jouer à ce jeu en lisant les articles qui s’y trouvent dans l’ordre qui vous convient et, si vous le voulez, en écoutant des enregistrement ou bien en écrivant vous même votre Joie…

Mais, dans tous les cas, lorsque nous choisissons de jouer au BeHappy, les joueurs que nous devenons alors sont d’accord pour respecter les 8 lois suivantes qui règlent ce jeu : 

1ère Loi :  Que je sois Heureux, c’est le plus important pour l’Être que je suis et pour tous les autres Êtres.

2ème Loi :  Je ne suis un Être humain Heureux que lorsque je pense ce que je suis le plus heureux de penser.

3ème Règle : Alors, la première question la plus importante que je puisse me poser est celle-ci :

« Est-ce que j’ai pensé là ce que j’étais le plus heureux de penser, OUI ou NON ? » 

4ème Règle :  Je reconnais que toute réponse, à cette question fondamentale, qui n’a pas pu être un OUI spontané est un NON. (c’est à dire : soit c’est un OUI en moins d’une seconde, sinon, je reconnais que c’est un NON)

5ème Règle :  Si c’est un NON, la deuxième question la plus importante que je puisse alors me poser est la suivante :

« Qu’est-ce que je suis le plus heureux de penser maintenant ? »

Et là, il faut que j’ose « découvrir » cette pensée…

Ensuite, je vérifie la qualité de cette nouvelle pensée en me posant à nouveau la première question la plus importante (qui est la règle numéro 3).

6ème Règle : Et là, si la réponse est maintenant un OUI spontané, je pense dorénavant cette pensée que je viens de choisir aussi souvent que je suis heureux de la penser…

7ème Loi : Plus je répète cette pensée que je suis heureux de penser, plus il m’est facile de la penser.

8ème Loi : Je suis donc maintenant un Être un peu plus heureux… Ce qui est le plus important pour l’Être humain que je suis, bien sûr, mais aussi pour tous les autres Êtres.

Eh bien, notre souhait, c’est que ce site « BeHappy8 » nous aidera tous à être plus heureux en apprenant finalement à jouer de mieux en mieux au BeHappy et appliquer les découvertes que ce jeux nous permettra de faire dans tous les aspects de notre vie.

Pour cela, nous vous souhaitons de suivre, de votre mieux, ces Lois, si simples, si logiques et si agréables.

Comme des questions peuvent se poser à la lecture de ces lois sur lesquels est basé le jeu de BeHappy, nous y répondons dans un autre article dont le titre, pour l’instant est :

# »Compléments d’informations sur les 8 lois ou règles sur lesquels se base le Jeu de BeHappy… »

Merci à nous tous les Êtres de notre joie, toujours plus grande…

2017/16 • T’oublier

T’oublier ?

Chaque seconde de ma vie, c’est Toi… 

Je veux m’en souvenir !

Chaque seconde de ma vie, c’est Toi… 

Que je m’en souvienne toujours plus !

Chaque seconde de ma vie, c’est Toi… 

Là… je m’en souviens !

Mais, même T’oublier, 

C’est me souvenir de Toi

Dimanche 23 Juillet 2017

35 • Notre Foi et notre Doute, nos deux amis inséparables…

35 • Notre Foi et notre Doute, nos deux amis inséparables…

Samedi 22 Février 2025

Aujourd’hui, en me réveillant, j’ai pensé, pendant au moins une heure, ces deux mots : « Foi » et « Doute » !

Et là, j’ai commencé, avec plaisir, à jouer au BeHappy avec ces pensées qu’expriment ces deux mots…

Autrement dit, j’ai simplement répondu à la question : « Qu’est-ce que je suis le plus heureux de penser aujourd’hui à partir de ces deux mots : « Foi » et « Doute »… ? « 

Et alors, je me suis dit que j’allais consacrer une bonne partie de ma journée à réfléchir, avec plaisir, à cela et que j’écrirai ensuite les pensées les plus belles que je découvrirai.

Mais, après m’être levé, j’ai d’abord voulu vérifier, grâce à mon ami l’ordinateur, que j’appelle pour m’amuser « mon lobe informatique », la relation que notre tradition reconnaissait à ces deux mots…

Eh bien ! Là, c’est assez simple : ils sont l’un pour l’autre les antonymes parmi les plus fréquents…

En effet, parmi les synonymes les plus fréquents du mot « doute », nous y trouvons le mot « incertitude » et l’expression « manque de foi »…

Et parmi les synonymes les plus fréquents du mot « foi », nous trouvons le mot « croyance » et l’expression « absence de doute »…

Donc, la tradition oppose, en général, le doute à la foi et la foi au doute… Il semble, pour elle qu’ils sont séparés et qu’ils s’opposent… L’un serait comme l’ennemi de l’autre…

Ou pire encore, l’un n’existerait que si l’autre n’existait pas !

Et pourtant !

Et pourtant, pour notre pensée, notre Foi et notre Doute, ne semblent-il pas être aussi inséparables et nécessaires que notre inspiration et notre expiration le sont pour la vie de notre corps ?

En effet, pour que notre Âme puisse rester incarnée dans notre Corps, c’est à dire pour que notre corps vive, il faut, sans cesse, que celui-ci inspire de l’air puis l’expire, puis l’inspire à nouveau, puis l’expire à nouveau… Et cela sans cesse…

Et ceci depuis son premier souffle qui commence par une inspiration et jusqu’à son dernier souffle qui finit par une expiration…

Cependant, lorsque, pour la première fois dans ma vie, j’ai pensé au premier souffle de l’Être humain, m’est venue la question suivante : « Mais, la vie de l’Être humain qu’est le nouveau-né n’a-t-elle pas commencée dans le ventre de sa mère et non pas à sa naissance ? »

Et la réponse qui m’est venue immédiatement et que j’ai ensuite choisie de penser volontairement, car elle m’a beaucoup plue, a été : « Oui, mais tant qu’il est dans le ventre de sa mère, c’est elle qui lui offre sa respiration… C’est elle qui inspire et qui expire pour lui… jusqu’à son premier souffle, jusqu’à sa première douce inspiration personnelle… Si la naissance suit la Nature !

Donc, bien vivre, pour notre aspect Corps, c’est l’union harmonieuse entre notre inspiration et notre expiration… Ou bien, tant que nous sommes un foetus, de celles de notre mère…

Si, dans ce corps-ci, l’une existe sans l’autre, c’est que soit nous naissons dans ce corps, soit nous mourrons à ce corps.

En effet, le premier souffle, lors de notre naissance, c’est à dire la première inspiration n’est pas, dans ce corps-ci, précédé par une expiration… Et le dernier souffle, lors de notre mort, c’est à dire la dernière expiration, n’est pas, également dans ce corps-ci, suivie d’une inspiration…

Eh oui ! Il faudra bien attendre la prochaine incarnation de notre Âme pour que notre premier souffle recommence enfin à la suite du dernier souffle de notre corps actuel… Cela, après une interruption plus ou moins longue, en temps matériel, où notre Âme n’anime pas un corps, mais, comme on dit, « a rejoint Dieu »…

L’inspiration et l’expiration sont donc deux amis inséparables qui, à chaque fois qu’elles sont harmonieusement unis, permettent à nos corps d’exister et de vivre agréablement… Et ainsi, à notre Âme d’évoluer…

Eh bien ! Nous pouvons dire qu’au niveau de notre aspect Pensée, la relation entre la « foi » et le « doute » est du même type que la relation entre l’inspiration et l’expiration au niveau de notre aspect Corps.

Et toutes les deux, la foi et le doute, sont également nécessaires à l’épanouissement l’un de l’autre…

Notre Foi et notre Doute sont complémentaires … Ils sont « un ».

Dès que l’un de ces deux aspects manque l’autre se déséquilibre…

L’harmonie de notre Foi est nécessaire à l’harmonie de notre Doute… Et l’harmonie de notre Doute est nécessaire à l’harmonie de notre Foi.

Ainsi, on peut dire que notre Doute et notre Foi se nourrissent l’un l’autre.

Mais, ils ne peuvent se nourrir l’un l’autre que « lorsque nous sommes heureux »…

Je vais m’expliquer…

Mais, d’abord, précisons quelques points : je ne veux pas perdre de vue la 1ère loi du jeu du BeHappy auquel je joue à cet instant dans le cadre de ce site BeHappy8 et que je vais exprimer cette fois comme ceci :

« Que je sois heureux, c’est le plus important pour moi et pour tous les autres ».

Et donc, ici par exemple, dans le cadre de ce jeu de pensée, je dois bien reconnaître que, si le plus important pour moi et pour tous les autres, c’est que je sois heureux, alors je préfère être heureux que d’avoir foi… Et je préfère être heureux que de douter !

Mais, l’expérience me montre clairement que plus je suis heureux plus ma foi grandit… Et plus je suis heureux, mieux je profite de ma foi qui grandit… Et plus les autres peuvent profiter de ma foi qui grandit…

J’ai en effet, observé depuis toujours qu’être heureux est la condition d’une foi fructueuse…

Être heureux de croire toujours plus quelque chose que je crois toujours plus beau fait que je suis toujours plus heureux…

Et ceci bénéficie, immédiatement, à tous !

Mais, je vois bien également que, dans mon expérience et dans celle de ceux que je peux observer, chaque fois que nous avons osé être heureux d’avoir un doute, ce doute nous a toujours enrichi… Il a alimenté notre foi et l’a fait grandir !

Lorsque je sais être heureux d’avoir un doute, ce doute va être comme « rentabilisé » : il va toujours nourrir ma foi et la rendre plus équilibrée et plus forte… Et je vais alors savoir être encore plus heureux ! Et là, le doute va être encore plus désirable…

Cependant, dans notre société, du fait des mémoires que, tous ensemble, nous avons mises en place dans notre passé, il n’est pas facile pour tout le monde d’être heureux de vivre son doute…

Il n’est pas si facile que ça, également, d’être heureux pour chacun de vivre sa foi…

En effet, dans notre passé nous nous sommes trop souvent interdit les uns aux autre, depuis nos plus jeunes âges, d’avoir foi ou d’avoir doute !

Et trop souvent, la foi de l’un a été le doute de l’autre.

Le doute de l’un a, trop souvent, interdit la foi de l’autre…

Et la foi de l’autre a, bien trop souvent, interdit le doute de l’un.

Et que de guerres ont eu lieu pour cela !

Ces guerres n’auraient jamais eu lieu si les Êtres humains avaient simplement été heureux avant tout…

En effet, si chacun sait être heureux d’avoir « sa » foi et d’avoir « son » doute, si chacun sait être heureux que l’autre ait « sa » foi et « son » doute… Alors, comment ne pas être heureux ensemble et vivre en paix ?

Comment, alors, ne pas se réjouir ensemble d’être différents ?

34 • Mouvements de Pensée, mouvement de Corps, mouvement d’Âme…

34 • Mouvements de Pensée, mouvement de Corps, mouvement d’Âme…

Lundi 14 Octobre 2024

Texte mis à jour le Mercredi 25 Décembre 2024

Le but de l’Être humain, comme celui de tous les autres Êtres n’est pas, en priorité, d’être intelligent, mais bien d’être, d’abord, tout simplement heureux… C’est à dire en ouverture de conscience.

Mais pourtant, plus nous sommes heureux, plus nous avons une saine intelligence !

Mais, qu’est-ce qu’être heureux ?

Une des innombrables façons de répondre à cette question, si personnelle à chacun de nous, c’est de dire qu’être heureux, c’est vivre l’harmonie dans l’ouverture de la conscience de tout notre Être, c’est à dire de l’Âme, du Corps et de la Pensée que nous sommes.

Vivre toujours plus cette harmonie est, en fait, quel que soient leurs niveaux de conscience, le cas de tous les Êtres qui existent sur la terre et ailleurs, qu’ils soient humains, mais également animaux, végétaux ou même minéraux…

Là, pour parler, je choisis d’utiliser le classement des Êtres le plus simple et le plus habituel qui a été fait par les humains, pour l’instant… C’est à dire : minéraux, animaux, végétaux et humains.

Mais c’est, évidemment, le cas également de tous les Êtres de notre Univers, Êtres connus et inconnus.

Je suis en effet heureux de penser que Dieu, et la Loi qu’Il Est, est Unique, Absolue et Universelle…

Je suis, bien sûr, heureux que certains pensent différemment… Mais j’ai moi-même moins de plaisir à penser que la Terre serait un lieu sacré particulier, préféré par Dieu à tous les autres.

Non ! Pour moi, ma joie me fait penser que tous les Êtres de l’Univers que nous sommes bénéficient de la même Loi Divine et vivent le même Amour de la Vie Infinie.

C’est vraiment cela que je suis, pour l’instant, le plus heureux de penser… Et, bien sûr, comme chacun, je choisis toujours, de mon mieux, de penser ce que je suis le plus heureux de penser à cet instant.. Tout simplement pour être toujours plus heureux…

Mais, bien sûr, je ne veux pas dire là que l’intelligence ne soit pas importante… C’est évidemment très important d’être intelligent, mais, à partir de l’apparition de l’Être humain sur la terre, cela a pu se révéler très destructeur chaque fois que nous ne sommes pas d’abord, et en priorité, heureux.

C’est bien ce que l’on a pu observer dans l’histoire : l’intelligence devenue humaine, chaque fois qu’elle a été malheureuse, n’a été source que de problèmes… Et ainsi, nous pouvons voir que l’humanité a entassé, trop souvent, depuis son presque début, des problèmes sur des problèmes !

Et ceci durera jusqu’à ce que cette intelligence malheureuse, et donc maladroite, guérisse dans un avenir qui ne dépend que de chacun de nous !

Une intelligence malheureuse, c’est une Pensée qui n’est plus en harmonie avec l’Âme et le Corps de l’Être qu’ils sont tous les trois ensemble.

Oui ! La souffrance chronique chez l’humain est bien une pathologie…

Et c’est vrai que encore jusqu’à aujourd’hui, c’est une pathologie que les Êtres humains considèrent trop souvent, comme naturelle et inévitable…

Mais qui a jamais été heureux de penser cela dans toute l’humanité ? Qui a été heureux de penser que cette souffrance chronique est naturelle et inévitable ?

Je n’ai, personnellement, jamais trouvé personne qui soit heureux de le penser, alors que j’ai trouvé, jusqu’à aujourd’hui, presque tout le monde qui le pensait.

Bien sûr, le but de notre vie, c’est bien d’être heureux, comme c’est le but de tous les Êtres qui existent…

Mais, évidemment, notre bonheur a bien changé de forme depuis que nous étions minéraux.

Peut-être, par exemple, que le bonheur d’un minéral, c’est d’exister… Simplement d’exister ! Ce qui, d’ailleurs, fait encore bien partie du bonheur humain !

En effet, je suis moi-même, un Être humains heureux d’exister, bien sûr… Mais, cependant, mon existence semble bien plus variée que ne l’est celle d’une montagne de granit…

Cette montagne, peut-être qu’elle pense une pensée par milliard d’années ? Je ne le sais pas… Cela un jour, la science nous le dira.

Mais jusqu’à là, la science a-t-elle eu seulement l’idée qu’une montagne puisse penser ?

Et l’Être humains ? Lui, il pense peut-être une pensée par seconde ! Ce n’est là qu’une hypothèse de réflexions que la science va vérifier, ou modifier, dans un avenir de plus en plus proche…

Voilà donc quelques pensées que j’ai eu à propos de l’intelligence et du bonheur…

Mais, maintenant, j’ai envie de parler un peu, de mouvement !

Tout bouge ! Parfois cela nous est évident… Mais il y a également des mouvements des Êtres qui, souvent, ne nous sont pas facilement perceptibles…

Par exemple, j’ai appris de la science actuelle, qu’une montagne de granit peut se déplacer par rapport à notre Terre…

Et, en effet, d’abord une montagne se déplace, tout doucement, dans différentes directions pendant des milliards d’années à la vitesse des plaques tectoniques qui la porte… Elle se déplace alors entre 1 et 10 cm par an… C’est lent, mais quand même, c’est une montagne !

 Mais, également, leurs sommets, le sommet des montagne, peuvent se balancer, un peu comme les arbres dans le vent, de façon imperceptible à nos yeux, mais que des instruments scientifiques sophistiqués permettent à l’homme de mesurer…

J’ai appris également que les chaines de montagnes, ces Êtres minéraux pourtant énormes, se déplaçaient aussi poussés par le vent et les nuages… Un peu comme des vagues sur l’eau, mais comme elles sont évidemment beaucoup plus rigides, elles se déplacent beaucoup, beaucoup, plus lentement… Tellement lentement que seule la science la plus moderne à pu nous en faire prendre conscience !

Mais, à côté de ces déplacements qui sont tous très lents, il y a des mouvements des nombreux Êtres qui forment toute la terre, y compris les montagnes dont nous venons de parler, qui sont beaucoup, mais vraiment beaucoup plus rapides…

Je ne parle pas là des déplacement très variés que peuvent faire, de façon autonome, tous les Êtres par rapport à notre Terre : les Êtres humains, et les animaux, bien sûr, mais également les végétaux et même les minéraux…

Non ! Je parle des mouvements que nous vivons tous « avec » la Terre, parce que nous lui appartenons, et que donc, tous les Êtres, autant que nous sommes sur elle, nous la suivons dans son mouvement à elle…

Et là, si nous additionnons tous les mouvements que notre Terre vit dans notre univers, nous découvrons que nous nous déplaçons tous, autant que nous sommes sur Elle, à des vitesses difficiles à imaginer…

Mais… Essayons tout de même de les imaginer !

Déjà, tous les Êtres qui sont à la surface de la Terre, cette Terre que nous formons tous ensemble, se déplacent du fait de sa rotations sur elle-même. Par exemple, si nous sommes à son équateur, nous nous déplaçons tous à 1600 km/h…

Évidemment, si un Être se déplace sur la Terre ou au-dessus d’elle, il augmente ou diminue la vitesse de son mouvement dans l’espace infini selon la direction qu’il prend…

Mais, ensuite, puisque nous suivons notre Terre dans son mouvement autour de notre Soleil, là, la science nous dit que nous avançons autour de lui dans l’espace à la vitesse de 107.000 km/h… C’est déjà énorme…

Mais pourtant, ce n’est encore rien… Car, en réalité, tous les Êtres de la terre que nous sommes se déplacent beaucoup, beaucoup, plus vite encore…

En effet, notre Soleil lui-même se déplace autour de notre galaxie, la Voie Lactée, à une vitesse de 900.000 km/h… Et bien sûr, nous le suivons tous ! « Tous », c’est à dire tous les Êtres de la Terre que nous sommes et qui forment l’Être Terre que certains d’entre nous ont nommé « Gaïa ».

Mais ce n’est pas tout encore ! La Voie Lactée que tous les Êtres qui forment notre Terre suivent également, bien sûr, parce qu’ils en font partie, elle, elle avance à 400 000 km/h… Tous, ensemble, nous voyageons donc encore bien plus vite que nous le croyons !

Et il semble que nous devrions trouver sur notre trajectoire commune, la galaxie d’Êtres solides et gazeux la plus voisine que l’on nomme Andromède. Et ceci dans quatre ou cinq milliards d’années. Nous formerons ainsi une nouvelle communauté d’Êtres encore bien plus grande…

Il y aura certainement un grand remue-ménage, lors de la rencontre de tous ces innombrables Êtres que nous sommes tous, les uns avec les autres !

En plus, l’ensemble de tous ces Êtres que forment donc notre amas de galaxies avance, lui aussi, à environ 2 000 000 km/h vers l’amas des Êtres qui composent la galaxies de la Vierge…

Et allez ! Tous ces Êtres que nous sommes bougent beaucoup, vraiment beaucoup, n’est-ce pas ? La fusion de ces deux immenses Êtres que sont ces galaxies donnera ce que les scientifiques nomment « Androlactée »… Un Être immensément plus grand encore.

Pour l’instant, ces deux Êtres que sont ces immenses amas existent et avancent dans un ensemble d’Êtres encore plus grand que l’on appelle un « continent galactique”. C’est notre continent galactique que l’Être humain a nommé « Laniakea » et il semble, pour la science actuelle, être un ensemble de 3 « superamas »…

À noter que ce continent galactique, Laniakea  est seulement l’un des 6 millions de superamas qui semblent exister dans l’univers et que nous pouvons pour l’instant observer…

Il est vraiment difficile, mais pas impossible, d’imaginer le nombre et la taille de tous les Êtres qui existent… Il y en a de plus petits que la longueur de Planck… Et le plus grand, lui, nous l’appelons « notre Univers » !

 Et à l’intérieur de notre Univers, Laniakea, cet Être immense possède en son centre un grand attracteur avec lequel nous, tous les Êtres qui le composons, filons vers un grand attracteur encore plus grand nommé « Superamas de Shapley » à une vitesse de 2.268.000 km/h…

Alors ? Pour l’instant, si nous additionnons, à l’arrache, toutes ces vitesses, on peut découvrir que tous les Êtres de la Terre se déplacent avec elle, en réalité, dans le vide à une vitesse d’au moins 6 millions km/h… C’est pas mal, n’est-ce pas ?

« Le mouvement, c’est la vie » ! Disons-nous, nous les Êtres humains… Alors, nous, tous les Êtres de la terre, nous sommes vraiment très, très vivants !

Tout cela fait un peu réfléchir… Et c’est donc bien avec la participation de notre intelligence que nous pouvons réfléchir, et réfléchir encore, au mouvement et donc à la vie de tous ces Êtres que nous sommes et qui formons notre Terre… Et nous nous en émerveillons à chaque fois plus…

C’est notre Pensée qui nous permet d’être intellectuellement intelligent… Mais nous sommes aussi une intelligence du Corps et une intelligence de l’Âme…

Et ces 3 intelligences que nous sommes ne peuvent pas être séparées, ni fonctionner l’une sans l’autre…

Alors, si notre Corps vit des mouvements physiques aussi importants que ceux que nous venons d’évoquer plus haut, si nous, tous les Êtres de la Terre, nous bougeons physiquement à, au moins, 6 millions km/h à chaque instant, alors il y a, nécessairement un mouvement ou plutôt une évolution concomitante et immense de la Pensée et de l’Âme de tous les Êtres de la Terre… et, bien sûr, de tout notre Être Universel.

Tous les Êtres de la terre, et de partout dans l’espace, sans une seule exception, voient leur conscience s’ouvrir :

La conscience de leur Corps s’ouvrent… La conscience de leur Pensée s’ouvrent… Et la conscience de leur Âme s’ouvrent aussi…

Et toutes ces ouvertures de consciences si infiniment variées ne peuvent se faire qu’ensemble !

Tout le plus beau reste donc possible… Et nous pouvons donc être optimiste, à long terme…

Et, au fur et à mesure où notre conscience s’ouvre, nous, les Êtres humains, nous pourrons de moins en moins ignorer cette ouverture de tous nos Êtres… et de tous nos frères, c’est à dire tous les Êtres qui existent dans tout notre univers !

Et, en effet, toujours plus, nous prenons conscience de la Lumière qui Est ce « Tout » dont nous venons, un tout petit peu, bien maladroitement, de parler…

Nous avons parlé avec notre intelligence qui est la vie de notre Corps, de notre Âme et de notre Pensée.

Ce que nous sommes, nous le sommes depuis toujours… Mais la conscience que nous en avons ne peux qu’augmenter tous les jours…

Car ces mouvements du Corps, petits ou immenses, dont nous prenons mieux conscience tous les jours, grâce à la science, ne peuvent qu’être, également et au même instant, des mouvements de la Pensée et des mouvements de l’Âme.

En effet, l’Âme, la Pensée et le Corps, comme nous l’avons dit de nombreuses fois, sont toujours, à la fois, un seul Être et la multitude des Êtres…

L’Unité Divine de tous ces Êtres Infinies ne renie jamais leur multitude Parfaite…

C’est bien, là, ce que nous ressentons et savons lorsque nous sommes « heureux ».

Et, pour « Être » heureux, il nous suffis simplement de penser ce que nous sommes les plus heureux de penser à cet instant.

Prenons également conscience qu’être heureux, c’est être toujours plus heureux… Exactement comme être ici, là où nous sommes, c’est, en même temps, se déplacer à 6 millions de kilomètres à l’heure !

Donc être ici, là où nous sommes, c’est être déjà ailleurs…

À quelque vitesse que nous avançons, nous avons toujours, une mi-temps de retard :

Nous ne pouvons donc observer que notre passé !

Mais, nous pouvons toujours, si nous le voulons, vivre cet instant dans la Joie en aimant tout ce passé que nous pouvons observer.

Et lorsque nous sommes toujours plus heureux de vivre cet instant, nous sommes en adoration…

Et là, l’avenir révèle la Perfection de ce qu’il sera.

Eh oui ! C’est Toi, le merveilleux Toi, qui Est Tout : Tu Es le passé de tous les Êtres, le présent de tous les Êtres et le futur de tous les Êtres.

Et nous ? Osons être les prophètes du bonheur que Tu nous offres !

33 • Un Matin parmi d’autres…

Mon Journal du Mercredi 21 Février 2024, mis à jour le Mardi 24 Septembre 2024

Voici donc ce que j’ai écrit dans mon journal, ce jour-là… Et je l’ai mis au propre et à jour, aujourd’hui… Car tout évolue…

La Vie est bien sûr vivante… Je suis moi-même, un Être vivant : Âme, source de vie, Corps plein de vie, Pensée qui évolue.

Ainsi, tous les jours, de mon mieux, je m’entraîne à penser ce que je suis le plus heureux de penser : c’est mon journal !

Et lorsque je relis aujourd’hui ce que j’ai écrit il y a quelque temps, je suis agréablement étonné de ce que mon Âme m’a proposé ce jour-là… En tous les cas ce qu’il me semble que j’ai entendu dans ma pensée… et ce que j’ai transcrit matériellement…

Je suis, également, surpris de tout ce que mon Âme me propose encore aujourd’hui lorsque je relis mon texte.

Alors, je l’avais certainement écrit le matin, dès mon lever, dans le silence, comme je le fais encore aujourd’hui… C’est, en général, ce que je fais en premier… Cela m’est toujours agréable et je commence ainsi ma journée le sourire dans mon coeur.

Ces textes peuvent sembler parfois bien décousus… Mais cependant il y a bien un fil conducteur solide qui coud toutes ces pensées ensemble : c’est la joie que j’ai eu à les écrire lorsque je les ai écrites…

Voyons…

Je suis heureux.

Je suis de plus en plus heureux.

Oui ! Je suis heureux de tout ce que je vis… C’est ce que je pense !

Et penser, c’est choisir.

Alors je choisis ce que je suis le plus heureux de penser… et je le pense beaucoup… Et encore plus !

J’aime l’humanité… J’aime toute l’humanité… Je veux l’aimer de plus en plus, de mieux en mieux.

Mais, si je veux aimer l’humanité, il faut, bien sûr, que je l’aime sans condition… Donc avec les guerres terribles qu’elle vit en son sein.

Je veux donc aimer tout ce que j’ai prétendu être mon ennemi.

Chacun a sa propre définition de l’amour… Et cela est merveilleux !

Pour moi, aimer, c’est être heureux.

J’aime un Être lorsque je suis heureux que cet Être soit…

J’aime un Être lorsque je suis heureux que cet Être existe telle qu’il est.

Pour moi, l’Amour est un presque-synonyme de la Joie.

Je choisis de respecter tous les autres Êtres humains… J’apprend, toujours plus, à les aimer tels qu’ils sont.

Je ne veux plus violenter les autres… Je ne veux plus leur imposer des paroles qu’ils ne sont pas prêts à être heureux d’entendre.

Je respecte la conscience que chaque Être humain choisit d’avoir…

Toute conscience de Ta Lumière est en effet parfaite.

Si Tu Es Tout, Tout Est Toi…

Si un Être existe, qu’il soit minéral, végétal, animal ou humain, sa conscience ne peut qu’être une conscience de Ta Lumière…

En effet, une conscience de Toi ne peut être constituée que de Toi… Comment peut-il en être autrement, si Tu Es Tout ?

Eh oui ! Si Tu Es vraiment Tout, Tu Es à la fois, tous les Êtres qui existent et toutes les consciences qu’ils ont de Toi…

Donc, par exemple, il y a Toi et il y a la conscience que j’ai de Toi à chaque instant… Mais les deux, c’est Toi !

Ma conscience et Toi sont « Un »… Puisque Tu Es Tout.

Et là, attention ! Il n’y a pas une conscience de Toi qui soit plus parfaite qu’une autre conscience de Toi.

En effet, n’est-ce pas, comme je viens de le penser et de l’écrire, toute conscience ne peut être que Toi !

Donc, ma conscience n’a pas plus de valeur que toute autre conscience…

Oui ! Toutes les consciences qu’ont tous les Êtres sont aussi Parfaites les unes que les autres.

Ainsi, la conscience d’un bébé est Parfaite, comme celle d’un adulte.

La conscience d’un Être-chien est Parfaite, comme celle d’un Être-humain… etc.

Mais, là, remarquons qu’un bébé a été homme-adulte un grand nombre fois et sera encore adulte un innombrable nombre de fois, en des corps humains différents…

Et au cours de toutes ses incarnations, sa conscience a toujours augmenté, sa conscience augmente encore dans cette vie qu’il vit actuellement, et sa conscience augmentera toujours au cours de chaque vie qu’il vivra…

Vraiment, cela, je suis très heureux de le penser ! Je choisis toujours d’avoir plus conscience de ce que je suis le plus heureux de penser !

Chaque instant n’est que Toi… Toi le Merveilleux, Toi le Parfait !

Et il n’y a pas de meilleurs moments que celui que nous vivons à cet instant pour être plus conscient de Toi.

Nous sommes tous en Toi… que nous en soyons plus conscients ou moins conscients.

La conscience de chacun des Êtres que Tu Es ne change en rien leur proximité avec Toi : cette proximité, elle est Totale, elle est Absolue… Nous pouvons l’appeler « Unité ».

Que mon Âme me dicte tous mes raisonnements… Et qu’ainsi ma joie augmente sans cesse en Toi.

Je n’ai pas d’autres ambitions que d’être heureux, c’est à dire de plus en plus heureux ! … Et « je suis » de plus en plus heureux…

Qui peut choisir à la place d’un autre Être la conscience qu’il a du Bonheur qu’il est ? Personne !

L’appréciation de notre bonheur est ce qui est le plus intime à chacun de nous.

Je me fais la promesse d’écrire, toujours mieux, ce que je suis le plus heureux d’écrire, à l’instant-même où je l’écris…

Ma vie est complètement consacrée à une conscience toujours plus grande de Toi… C’est à dire à un bonheur toujours plus grand ! Comme la vie de chaque Être !

Je propose à celui qui me lit qu’il se respecte lui-même au mieux : je propose que, de ce que j’écris, il ne croit et ne choisisse lui même de penser que ce que « lui » est heureux de croire…

Avoir cru ce que nous n’étions pas heureux de croire à un instant donné, c’était nous trahir nous-même et ne pas suivre « notre plan à nous », qui ne pouvait être, de toutes les façons que Ton Plan à Toi, Ton Plan Parfait !

Si Tu Es Tout… et Tu l’Es ! Alors, notre chemin ne peut être qu’en Toi… Nous sommes en Ta Parfaite Sécurité.

De Ton Amour Infini, Tu nous Aimes tels que nous sommes, c’est à dire tels que nous croyons être.

Il faut respecter la juste distance avec tout ce qui existe… que ce soit au point de vue physique, au point de vue mental, ou au point de vue spirituel !

En effet le feu nous réchauffe agréablement lorsque nous sommes à la bonne distance de lui. Si nous sommes trop loin, nous ne sommes pas réchauffés, si nous sommes trop prêts, nous nous brulons ! 

Et c’est nous qui sommes les seuls responsables de la distance que nous choisissons entre le feu et nous… Alors, faisons le bon choix, à chaque instant.

J’ai foi que tout est parfait, ou, pour le dire autrement, que Ta Perfection est Absolue… C’est à dire que rien ne Lui échappe… Rien également ne souhaite lui échapper !

En effet, tout le monde souhaite être heureux ! Personne ne souhaite souffrir… C’est là, vraiment, ce que je suis le plus heureux de penser… et de vivre…. C’est aussi ce que j’observe.

Je choisis de rester heureux lorsque j’observe que des gens n’osent pas encore être heureux comme ils le souhaiteraient… Ou même, parfois, qu’ils soient sûrs que le bonheur n’existe pas pour eux !

Je choisis d’être heureux de toute la conscience et de toute l’inconscience de Ta Lumière qu’ils choisissent d’avoir à cet instant-là.

Je dis qu’ils « choisissent » parce que c’est ce que je suis le plus heureux de penser… Vraiment le plus heureux de penser, là, à cet instant.

En effet, je ne sais plus, à cet instant, être heureux de penser qu’une personne puisse ne pas avoir le choix de son ouverture de conscience… Et je suis sûr, à cet instant, que je ne le serai jamais !

C’est une des caractéristiques merveilleuses des Êtres humains d’avoir enfin obtenu le Don du Libre Arbitre… Et rien ni personne ne peut leur enlever ce Don, même pas eux-mêmes !

La seule réelle et immense puissance que j’ai dans ce monde, c’est d’être toujours plus heureux, c’est à dire toujours plus conscient de Toi en tout…

Que je sois, donc, un témoin toujours plus fidèle de Ton Amour !

Aujourd’hui, être Ton apôtre, pour moi, c’est simplement être heureux… Toujours plus heureux !

Alors, je construis cet instant agréable sur toutes les mémoires que je choisis, librement, d’aimer…

En effet, dès que j’aime plus une mémoire, je suis plus heureux.

Et dès que nous aimerons tous, totalement, chacune des mémoires de l’humanité, nous serons, alors, totalement heureux.

Cela peut sembler être un bien long chemin… Oui ! C’est vrai qu’il est long ! Mais comment s’en plaindre puisque chaque pas n’en est qu’agréable ?

Je décide donc à chaque instant d’augmenter ma foi en Toi, c’est à dire ma foi dans la Vie !

Qu’Es-Tu, sinon la Vie Elle-même ?

Vivre, c’est Te vivre.

Alors, si apparaît en moi une ombre, c’est à dire une baisse de conscience de Ta Lumière Parfaite et Absolue, je choisis, tout de suite, d’aimer cette ombre, sans aucune condition.

C’est mon choix… Et je le respecte, à chaque instant, toujours mieux.

Je veux aimer tous les ennemis que j’avais choisis d’imaginer.

C’est la Belle Vie !

Je cultive ma naïveté… En effet, je crois que la vie est simple, « trop simple » ! Et je le crois de plus en plus, naïvement !

La solution de tous mes problèmes a toujours été d’en être, d’abord, heureux… de les aimer… et d’observer leur transmutation dans Ta Réalité, c’est à dire dans Ta Lumière.

Décrire Ta Lumière ne nécessite que peu de mots, voir aucun…

Mais la description de l’ombre, c’est à dire de la baisse de la conscience de Ta Lumière a constitué, jusqu’à ce jour encore, la grande majorité des discours et des écrits de l’humanité… Mais cela évolue, et en bien, de plus en plus vite !

J’écoute mon Âme qui me parle en toutes choses.

La vie a trois composantes totalement unifiées que je peux nommer ainsi : l’Âme, le Corps et la Pensée.

La Vie est Omniprésente… Tous les Êtres en sont l’expression qu’ils soient minéraux, végétaux, animaux ou, depuis peu, humains.

Tu Es la Vie que nous vivons tous, tous les Êtres que nous sommes : Tu Es Omniprésent.

Oui ! J’essaye vraiment de parler comme je pense et, encore plus, d’agir comme je pense… Et j’y arrive de mieux en mieux… Quel plaisir !

En effet, je pense de plus en plus à partir de mon Âme et de moins en moins à partir de mes mémoires.

Je ne cherche pas à me « faire » des amis : j’ai, en effet, autant d’amis qu’il y a d’Êtres dans Ton Univers.

Toi, Tu Es mon Amis, à la fois Unique et Infiniment Multiple.

Si un Être existe, il est mon ami… Si je rencontre un Être, il est mon ami.

Je suis donc en paix.

Je choisis d’être en paix, même avec la guerre…

Le Corps que je suis « vit » mon Âme et ma Pensée… 

La Pensée que je suis « pense » mon Âme et mon Corps… 

L’Âme que je suis est « la source » de ma Pensée et de mon Corps…

Je crois que c’est, là, un des aspect du Mystère de la Trinité : Trois en Un et Un en Trois.

Il y a, en effet, une infinité de manières de vivre Ton Unité…

Et, chaque instant que je vis est une manière unique de Te vivre.

Je choisis d’être heureux de ce qui est… et de ce qui n’est pas.

Je suis heureux de Toi… Et Toi Tu Es Tout, Toi Tu Es « ce qui est » et Tu Es « ce qui n’est pas ».

Je choisis que Toi, Âme que je suis, Tu sois la source de la Pensée que je suis et du Corps que je suis.

Toi, la Lumière, Tu Es la Seule Source de Toi-même.

Voilà ! Dans cet article du Blog « BeHappy8.org » j’ai essayé de mon mieux de respecter de mon mieux les règles du jeu du BeHappy… C’est Tout !

J’ai donc écrit, au fur et à mesure, ce qui me passait par la tête que j’ai été heureux de penser à ce moment-là.

32 • Chantons l’Instant…

Aujourd’hui, je joue au BeHappy, comme d’habitude… Et, bien sûr, je ne pense que Ta Joie…

Mais, pour la partie que j’ai joué là, j’ai été heureux de rajouter une règle supplémentaire toute simple que je vais m’amuser à respecter :

Chaque paragraphe que je vais écrire sera court, souvent une seule phrase, et contiendra nécessairement le mot « instant ».

Le mot « instant » sera le seul lien entre toutes ses phrases…

Et je vais ainsi découvrir un peu plus… comment je le vis… cet instant !

Instant, Tu es ma Vie.

C’est à cet instant que je vis.

C’est à cet Instant que je « Te » vis.

Cet Instant est Ton Instant… Il est toujours Sacré.

C’est à travers cet Instant que je vis tout ce que je vis, tout ce que j’ai vécu et tout ce que je vivrai.

Oui! C’est à cet Instant que je vis le présent, le passé et le futur.

Cet Instant, c’est l’Instant du Libre Arbitre que Tu me donnes…

Tout le passé et tout le futur se trouvent « dans » cet Instant.

Il n’y a que cet Instant qui soit… et ce n’est qu’à travers Lui que je vois le Tout que Tu Es.

Je ne Te vois donc qu’à cet Instant.

À cet Instant, je peux T’imaginer dans le passé et le future… Mais c’est à cet Instant que je Te vis.

Cet Instant est le lieu de Toute Ta Réalité, en instantané.

Cet Instant est infiniment court… Et pourtant il existe éternellement.

Cet instant est l’instant du choix.

Je ne peux choisir ma vie qu’à cet instant… et que pour cet instant.

Cet Instant décide de mon passé et de mon avenir.

Cet instant que je vis décide du passé et de l’avenir de tous les Êtres.

L’un des synonymes du mot « Instant », c’est le mot « Libre Arbitre »… Un autre synonyme du mot instant, c’est Toi, c’est Dieu… Et puis il y a tous les autres mots que je peux penser et qui Le nomme !

Je Te cherche à cet instant, je Te trouve à cet instant, je T’adore à cet instant.

Cet Instant est Ton cadeau Sacré.

À cet instant unique, toute ma vie est vécue.

Je vis instant par instant.

Je Te vis à cet instant.

Cet instant me suffit pour Te vivre.

Tu ne sais donner que Tout, tu me donnes Tout à cet instant.

Cet instant, c’est toute ma vie… J’en suis de plus en plus conscient.

Je joue toute ma vie à cet Instant.

À cet Instant, je nais, je vis et je meurs.

J’ai autant de vies que d’instants… Et je n’ai qu’une vie, c’est cet instant.

Cet Instant est sacré… Je veux T’y adorer.

Cet instant est mon adoration…

Je T’adore toujours à cet instant.

Si quelque chose change, c’est toujours à cet Instant.

L’Instant, c’est le changement.

Je veux changer quelque chose ? Alors cet Instant est le meilleur moment : c’est le « seul » moment.

J’aime cet instant que je vis.

Je pense mon passé à cet instant.

Je vis mon passé à cet instant.

Je choisis mon passé à cet instant.

Cet Instant remet, une fois de plus, tout mon passé entre mes mains.

Mon passé ne peut guérir qu’à cet instant.

Je T’adore en cet instant…

Je ne peux T’adorer qu’à cet instant que Tu Es.

Que cet Instant soit mon adoration de Toi.

Je cherche à reconnaître Ta Proximité Absolue dans cet instant.

Tu m’offres cet instant.

Chaque instant est Ton Don… Et cela depuis toujours et pour toujours.

Chaque instant sera donc Ton Don.

À cet Instant se réunissent le passé et l’avenir.

Ce que je vois à cet instant, je ne l’ai jamais vu et je ne le verrai jamais plus.

À cet Instant, je suis mort… Et l’instant d’après je suis encore mort…

Je vis ma mort à chaque instant.

Il n’y a pas un Instant où je ne meurs !

Le nombre de mes morts est infini… Et à cet Instant, je meurs encore !

Je suis heureux de mourir à cet Instant.

Je ne mourrai jamais plus qu’à cet Instant.

Mais, à chaque Instant, je m’entraîne à mourir mieux.

Cet Instant est Unique et Éternel.

Cet Instant renaît, à chaque instant.

Vivre vraiment, c’est être de plus en plus heureux de mourir à cet instant.

Cet Instant est le seul que je vis… Les instants du passé sont des mémoires que je vis à cet Instant… Les instants du futur sont des possibles que je vis à cet Instant.

Là, à cet instant, je n’ai pas d’autres instants à vivre que cet Instant…

Cet instant contient tous les instants.

D’instant en instant, je vis l’Éternité.

Une rencontre ne dure que cet Instant.

Cet Instant est le moment de la rencontre « et » de la séparation.

Chaque instant est une séparation.

Nous nous sommes séparés autant de fois que nous avons vécu d’instants.

La rencontre que je vis à cet instant est sacrée…

La séparation que je vis à ce même instant est, elle aussi, sacrée !

Cet instant a fait partie de tous les possibles du passé, maintenant il est inscrit dans tous les possibles à venir.

Tu Es tous les instants que je vis : il ne peut donc pas y avoir d’instants meilleurs que d’autres.

Chaque instant exprime Ta Perfection;

Tous les mots sont des noms de Dieu : Instant en est un…

Quand je pense « Instant », je chante Ton Nom.

Chaque instant Te chante ! J’en suis toujours plus conscient…

Un mot ne peut pas Te nommer plus qu’un autre mot : « Instant » Te nomme comme tous les autres mots.

Si Tu Es Tout, et Tu Es Tout, un mot peut-il Te nommer plus qu’un autre ? Le mot « Instant » ne peut que Te nommer, comme tous les autres mots…

Chaque instant m’appelle, je le vis… puis je le quitte.

Ma vie n’est faite que d’instant.

Ma vie n’est faite que de « cet » Instant.

Instant, je T’adore.

Je jouis de cet Instant comme jamais !

Je ne revivrai jamais cet Instant… Mais tous le instants que je vis, c’est Toi que je vis pour toujours…

Un instant ne peut pas se regretter, il ne peut que se vivre à cet instant même…

Peut être qu’à un autre instant, je choisirai de vivre le regret de cet instant passé ? Mais alors, je le vivrai à ce nouvel instant.

Tout instant est Ton Présent Parfait… J’en suis de plus en plus conscient.

Tu es le cadeau de cet Instant, toujours !

L’Instant m’échappe toujours.

L’Instant se renouvelle sans cesse…

L’instant que je vis là, n’a jamais été vécu, ni par moi, ni par aucun autre Être.

L’Instant, c’est l’intimité absolue.

Et pourtant, nous vivons tous cet instant.

Je vis « mon » Instant pendant que l’autre vit « son » instant…

Nous ne pouvons jamais partager le même instant… et pourtant, nous le partageons toujours.

Je peux choisir d’être heureux de vivre « mon » instant…

Et l’autre peut choisir d’être heureux de vivre « son » instant…

Nous pouvons donc choisir d’être heureux au même Instant !

Nous nous sentons unis par la joie que nous choisissons de vivre nos instants ensemble.

Être heureux de vivre cet instant unique, c’est T’adorer.

Je suis en adoration chaque fois que je suis heureux de vivre l’instant.

Si, à cet instant, je suis heureux de boire du lait… alors je T’adore.

Si, à cet instant, je suis heureux de voir le ciel… Alors, là aussi, bien sûr, je T’adore.

L’adoration est naturelle, à chaque instant : je la vis à chaque fois que je suis heureux.

Être heureux à cet instant, c’est le meilleur choix que je puisse faire.

Je vis « pour » être heureux à cet Instant.

Chacun veut être heureux tout de suite, à cet instant même.

Nous choisissons notre vie à cet instant…

À cet instant, je choisis d’être heureux… Tout simplement en pensant, à cet instant, ce que je suis le plus heureux de penser !

Il n’y a pas un instant à perdre : soyons heureux de suite !

Chaque instant est l’occasion d’être heureux.

L’instant m’invite à la Joie… Je choisis, de plus en plus souvent, d’accepter son invitation.

D’instant en instant, j’aime jouer à être heureux;

Être heureux, c’est simple : il suffit qu’à cet instant j’ose penser ce que je suis le plus heureux de penser.

Être heureux, c’est notre but, à cet instant.

L’instant approche, je le vis… Il part ! L’instant suivant est déjà là !

D’instant en instant, je suis heureux.

Être heureux, c’est être de plus en plus heureux d’instant en instant.

Etc… Etc…

Voilà, cela suffit pour aujourd’hui. Je me suis offert de nombreux petits instants agréables… en écrivant avec ces règles…

Maintenant, je vais continuer en pensant.

J’écris un moment, et je m’en régale… Je pense toujours et je m’en régale également !

À bientôt, avec plaisir…

31 • L’Amour, impossible ?

Allez ! Encore aujourd’hui, bien sûr, je vais jouer un peu, par écrit, au BeHappy… Et, donc, je ne vais écrire là que ce que je suis le plus heureux de penser… pour la simple joie de le penser…

Je vais le faire de mon mieux… Et jouer ainsi, encore, une petite partie de ce jeu que j’aime tant depuis plus de 50 ans… et qui a tant enrichi ma conscience, si simplement.

D’abord, je vais répéter que le but de ma vie et de celle de tous les Êtres que je rencontre, depuis toujours sans une seule exception, c’est d’être heureux…

Mais, attention, ce n’est pas seulement le cas des Êtres humains… Non ! C’est le cas de tous les Êtres qui forment cette planète et tout cet univers.

En tous les cas, sur notre terre, c’est sûr, c’est le cas de tous les Êtres minéraux, de tous les Êtres végétaux, de tous les Êtres animaux… et bien sûr de tous les Êtres humains.

Mais, c’est vrai, seuls les Êtres humains, grâce à leur libre conscience, à leur libre arbitre, ont pu choisir d’en perdre la conscience… ou pas !

Mais, monsieur, comment pouvez-vous vous permettre de dire tout cela ?

Je me le permet, parce que je choisis de ne penser que ce que je suis le plus heureux de penser… C’est tout ! Je le choisis complètement arbitrairement…

En effet, je ne veux croire que ce que je suis le plus heureux de croire !

Mais, monsieur, vous ne pouvez pas penser n’importe quoi ! Vous ne pouvez pas croire n’importe quoi !

Si, bien sûr, je le peux ! Comme tous les Êtres humains, je peux croire n’importe quoi… Je me reconnais la Liberté de penser ce que je veux…

Mais, en ce qui me concerne, je choisis de penser, chaque jour mieux, ce qui me plaît le plus.

Mais comment pouvez-vous faire cela ? Vous n’en avez pas le droit !

Et vous, là, qui pensez que je n’en ai pas le droit… D’où tirez-vous l’autorité pour penser me l’interdire ?

Bien sûr, comme moi, vous êtes libres de penser ce que vous choisissez de penser… Mais là, là, êtes vous vraiment heureux de me dire que je ne suis pas libre de penser ce que je veux ?

… Non, c’est vrai, je ne le suis pas vraiment ! Mais je dois vous le dire, parce que c’est la vérité !

Mais, qui décide de ce qui est vrai et de ce qui est faux ?

Il est beau que chacun choisisse de penser ce que « lui » est heureux de penser…

Mais est-il juste de vouloir imposer sa pensée à quelqu’un d’autre ? Est-ce que chacun n’a pas le droit de penser librement ?

Si, bien sûr, au fond de moi, je pense que chacun est libre de sa pensée.

Nous sommes bien d’accord !

Eh bien, moi, ici, je suis heureux de penser que chacun est libre de penser ce qu’il est le plus heureux de penser… Mais qu’il est même libre, ,également, de penser ce qu’il n’est pas heureux de penser !

Bref ! Chacun est libre d’être heureux ou pas.

Mais, les gens ne peuvent pas toujours choisir… Ils ne peuvent pas toujours penser ce qu’ils sont heureux de penser.

Ah bon…? Il y a des Êtres humains qui peuvent choisir d’être heureux et d’autres qui ne le pourraient pas ? Ou bien y a-t-il des Êtres humains qui peuvent choisir d’être heureux à certains moments de leurs vies et pas à d’autres ?

Et vous, êtes-vous vraiment heureux de penser tout cela ?

Je suis obligé de reconnaître que « non », cela ne me réjouit pas de le penser. Mais c’est ainsi !

Il y aurait alors des gens supérieurs qui pourraient choisir la façon de vivre leur vie et des gens inférieurs qui ne le pourraient pas ?

Il y aurait donc des maîtres qui décident de ce qui est juste pour eux et des esclaves qui ne peuvent que subir leur volonté ?

Non, bien sûr ! Ce n’est pas ce que je voulais dire… Je serais heureux de croire que chacun est libre de vivre sa vie comme il l’entend.

Ah ! Enfin, vous devenez plus raisonnable… Et alors, là, n’avez-vous pas pensé ce que vous étiez un peu plus heureux de penser ?

Si, c’est vrai, je peux dire que je pense là ce que je suis le plus heureux de penser… Je le reconnais.

Alors, bienvenu dans votre état naturel… Bienvenu parmi les gens heureux !


L’Amour est-il vraiment impossible ? N’existe-t-il pas dans la vie réelle ? N’est-il pas notre quotidien ?

Serai-je heureux de penser cela ?

Non ! Clairement « non » !

Ce que je suis heureux de penser, c’est que l’Amour existe tout le temps et partout… Qu’il est ma vie… Qu’il est la vie de tout.

Ça, je suis vraiment heureux de le penser !

Parfois les gens se laissent aller dans leur désespoir et ils peuvent en arriver à penser que l’Amour véritable n’existe pas sur cette terre…

Et certains peuvent penser même que ce n’est qu’après leur mort que, peut-être, ils pourront vivre le bonheur, dans un soi-disant paradis, s’ils ont rempli, au cours de cette vie toutes les conditions nécessaires édictées par une autorité quelconque.

Et il y a encore d’innombrables autres théories.

Quelle souffrance que tout cela !

Mais, chacun n’est-il pas libre de choisir ce qu’il pense ?

Ce que j’aime penser à cet instant, c’est que seul l’Amour est possible… Qu’il n’y a que Lui qui existe et ceci sans aucune condition.


Mais, une des choses qui donne l’impression, à beaucoup, que les Êtres humains ne s’aiment pas, c’est que la souffrance est bruyante et que l’Amour, lui, est discret.

La merveilleuse souffrance nous signale instantanément que nous venons de perdre conscience de l’Amour Omniprésent… Et pour attirer notre attention, elle se fait toujours de plus en plus bruyante.

Mais, l’Amour, Lui, est l’expression naturelle de la Lumière… Et comme Elle, Il est Omniprésent… Et comme Elle, il est sans condition… Aucune condition.

Toute la création exprime l’Amour… Elle n’exprime « que » l’Amour…

Et si nous nous calmons, nous ne voyons que Lui… Et alors, nous ne « vivons » que Lui.

L’Amour, le véritable, ne s’affiche pas… Il Est.

Il est là, tout le temps, partout, discret, mais nous ne pouvons le voir que si nous avons foi en Lui.


Quoi que nous en pensions, l’Amour dirige la terre et tout l’univers.

Mais, soit nous en sommes conscients et nous nous en réjouissons, soit nous en perdons la conscience et nous ne pouvons alors nous en réjouir.

Se plaindre, c’est toujours se plaindre de Toi, la Vie Éternelle, l’Amour Omniprésent qui imprègne l’Existence Infinie.

Je suis si heureux de vivre cette vie-ci, malgré toutes les difficultés que j’ai pu imaginer avec l’aide de beaucoup de mes frères et soeurs humains, au cours de nos vies successives.

Mon espoir est qu’avec l’aide de tous, nous allons « vivre » de plus en plus consciemment l’Amour Parfait qui ne sera jamais déçu.

Rien ne peut décevoir l’Espoir Réel qui ne s’appuie que sur l’Amour de Tout et la Foi en Toi.

Le Véritable Paradis n’est-il là ? Maintenant ?


Quel plaisir de penser ce que nous sommes les plus heureux de penser… et quelle simplicité !

C’est si compliqué de continuer à souffrir en pensant ce que nous ne sommes pas heureux de penser… C’est compliqué pour nous et pour tous les Êtres qui nous entourent.

Soyons courageusement heureux de la vie telle qu’elle nous est offerte à cet instant et telle que nous choisissons de la vivre.

C’est tellement plus économique pour tous que nous soyons heureux à cet instant.

Il n’y a d’écologie qu’heureuse.

30 • C’est fou ! Mais c’est ce que je suis heureux de penser aujourd’hui !

Ta Lumière fait feu de tout bois.

Oui, Ta Lumière se sait Lumière en toute choses, même en celles qui nous semblent les plus sombres, à nous les Êtres humains, lorsque nous perdons conscience de Toi…

Je veux dire, par là, que si Ta Lumière est Éternelle, ce qu’Elle est, même dans l’ombre que nous avons choisi de croire la plus sombre, il ne peut y avoir « que » Ta Lumière…

Il est vrai que, trop souvent encore, nous perdons conscience de Ta Lumière dans cette ombre que nous imaginons.

C’est même comme cela que nous la créons : en perdant conscience de l’Absolue Infinité de Ta Lumière.

Mais, heureusement, notre perte de conscience ne fait pas disparaître Ta Lumière qui est Éternelle et Omniprésente… Elle ne L’a fait disparaître qu’à notre conscience !

Chaque homme n’a, pour l’instant, qu’une connaissance très limitée de lui-même et il connaît encore moins les autres.

Déjà, dans cette vie-ci, la simple vie que nous vivons en ce moment, nous avons perdu la mémoire de la plus grande partie de notre existence passée, depuis notre dernière naissance.

Souvent nous ne nous souvenons même pas de ce que nous avons vécu hier ou même il y a une heure… Que dire de ce que nous avons vécu dans notre enfance ou bien, encore plus, dans nos vies antérieures !

Certains pourront répondre que : si, ils ont quelques souvenirs clairs de leur enfance ou d’autres vies !

Et en effet, nous avons, presque tous, le sentiment de nous souvenir de certains faits importants de notre enfance ou d’une autre époque du passé de notre vie vie actuelle ou vie ancienne… ! Oui, c’est vrai, mais…

Mais d’abord, dans mon expérience personnelle, j’ai remarqué que si une autre personne et moi-même décrivions une scène que nous avons vécue ensemble, dans notre passé commun, même récent, nous n’avions jamais la même description… Et souvent nos descriptions étaient très, très éloignées l’une de l’autre.

Alors, quel est le souvenir juste ? Le mien ? Celui de l’autre ?

Nous n’avons pas la réponse…

Cela a toujours été le cas, et particulièrement si les émotions liées à ces évènements étaient intenses ou douloureuses.

Et cette différence de mémoires existent encore aujourd’hui, et ceci malgré les capacités de mémoires toujours plus grandes que permet l’évolution des techniques, les plus performantes, que sont les enregistrements, les photos, les vidéos et l’internet, pour ne parler que d’eux…

Mais nous ne pouvons, tout simplement pas, revivre le passé… Nous pouvons en aimer ou ne pas en aimer la mémoire, mais nous ne pouvons pas le revivre.

Nous ne pouvons qu’en observer les mémoires nécessairement déformées de façon nouvelle à chaque nouvel instant…

Et dans ce présent, seul vivant, nous pouvons choisir d’en être heureux ou pas.

C’est un fait qui n’a pas d’exception : nous interprétons toujours le passé.

Nous le voyons, ce passé, toujours, déformé par tous les évènements qui se sont passés entre lui et le présent… Mais également toujours déformé par ce qui a été vécu avant ce passé… Et enfin, déformé par toutes les imaginations que nous avons à propos du futur.

Ceci est nettement observable dans toutes les situations qu’elle soit propres à une personne, ou bien à un groupe de personnes, que ce groupe soit petit comme une famille ou grand comme un pays, ou même comme l’humanité toute entière.

L’histoire ne peut pas être totalement objective… Elle ne peut qu’être interprétation… Et c’est chacun de nous , à cet instant, qui choisissons « cet » interprétation.

Mais, il est évident que plus l’historien est heureux, plus il pourra, probablement, se rapprocher de la vérité à propos de la description des évènements passés.

D’un autre côté, plus l’historien souffre, plus il y aura, dans sa mémoire une déformation importante de ces mêmes faits passés.

Donc, le bonheur, en plus de ses nombreux autres avantages, a celui d’avoir du passé une mémoire plus juste, mais sans que jamais, cependant, elle puisse être parfaite.

En effet, le présent seul est « La » Vérité. Et il ne le restera que pendant cet instant vécu.

Oui, seul l’instant vécu est vrai à cet instant… et seulement à cet instant. L’instant d’après, cet instant est une mémoire, le plus souvent interprétée et donc déformée.

Donc, la seule mémoire « juste » que nous ayons, c’est cet instant-même que nous sommes en train de vivre…

Et cette mémoire juste de cet instant, elle meurt à l’instant suivant.

Ce concept, je le découvre moi-même maintenant, en y pensant et en écrivant.

L’instant seul existe… Finalement, notre existence ne dure qu’un instant. Nous naissons et nous mourrons à l’instant même où nous existons.

Et c’est à cet instant présent, seulement, que nous interprétons notre passé et imaginons notre avenir.

En ce sens, nous pouvons nous amuser à nommer cet instant « l’Instant Éternel » qui, d’une part, est unique dans tout l’univers et, d’autre part, va se « réincarner » en l’instant suivant pour toujours… C’est une succession éternelle d’instants, tous uniques.

J’aime jouer à penser, comme je le fais ici, une fois de plus, maintenant. C’est simple, agréable et enrichissant.

Lorsque je pense ce que je suis le plus heureux de penser, je découvre toujours de nouveaux aspects du Tout que Tu Es…

Et ces nouveaux aspects m’interrogent toujours, encore plus, sur le reste du Tout que Tu Es !

L’Infini de ce Tout, se déroule dans notre conscience, instant par instant.

L’opposition entre l’Éternité et l’Instant est une vue de notre esprit trompée par l’ombre qu’il a lui-même imaginée.

Ce qui me plaît, là, c’est de croire que le Tout est, à la fois, Éternité « et » Instant » en Un, c’est à dire en Lui-même.

L’Unité du Tout me rassure…

Mais la Diversité du Tout me rassure tout autant…

Voyons ! Qui choisit d’être rassuré face à cette Unité et à cette Diversité du Tout que Tu Es, si ce n’est l’Être humain que je suis ?

L’immensité, d’une part des choix que l’Être que je suis a fait, et d’autre part des choix que tous les autres Êtres ont fait de leur côté, ont déterminé l’instant présent que je vis.

Mais, le libre arbitre dont je jouis depuis que je suis Être humain me permet de choisir la couleur de cet instant que je vis.

Et la couleur dans laquelle je choisis de vivre cet instant présent participe à la mémoire de tous les futurs possibles de tous les Êtres.

Ta Lumière est l’Existence Elle-même.

Tout ce qui existe existe « de Ta Lumière ».

Rien n’existe en dehors de Ta Lumière, même, si depuis que nous sommes humains, nous avons pu, grâce à un usage maladroit de notre libre arbitre, imaginer que c’était le cas.

D’ailleurs, dès que nous l’imaginons, « notre merveilleuse souffrance » nous signale notre erreur… et elle continue à le faire jusqu’à ce que nous reconnaissions que tout, tout, n’est que Ta Lumière… y compris la Souffrance imaginée.

Oui, nous vivons, instantanément, ce que nous imaginons.

Le Paradis n’est pas la fin de la vie. Le Paradis est « la » Vie… La Seule Vie qui Soit.

Le Paradis n’est pas ailleurs, Il est toujours ici, sur cette terre chaque fois que nous « vivons » Ta Lumière en Tout.

Le Paradis est simplement la Vie que nous vivons chaque fois que toute la mémoire de l’ombre que nous imaginons est Aimée.

Le Paradis est impossible à décrire lorsque nous en perdons la conscience… Mais, Il occupe toute notre conscience lorsque nous y sommes.

Ne pas être au Paradis, c’est une illusion… Cette illusion cesse chaque fois que nous y sommes.

Car, en effet, nous ne sortons jamais du Paradis, nous perdons seulement conscience que nous y sommes.

Le Paradis, c’est le présent lorsque ce présent aime la totalité du passé et de l’avenir.

Nous vivons le Paradis chaque chaque fois que nous choisissons d’adorer Ta Lumière en toute chose.

Et, c’est un fait, nous vivons Ton Paradis de plus en plus souvent.

J’écris tout ceci d’abord par ce que je suis heureux de l’écrire et de le lire et même de le relire encore moi-même…

Mais, j’écris également tout ceci pour inviter le lecteur à être, s’il le veut un jour, heureux de le lire… ou heureux de ne pas le lire !

Je souhaite être heureux, toujours plus heureux… Et je le suis.

Je souhaite aussi que le lecteur soit toujours plus heureux… Et il l’est.

Comment je le sais ?

Je le sais parce que je ne choisis de savoir que ce que je suis le plus heureux de savoir…

Ma pensée est mon savoir… Et je vis ce que je sais.

Je remercie le libre arbitre qu’Il m’a donné il y a quelques milliers d’années… Et j’apprends à en faire un usage toujours meilleur pour tous.

29 • Une petite partie ?

Voilà ! Aujourd’hui, nous sommes le Mardi 16 Août 2024 et je met en ligne une partie de BeHappy que j’ai joué il y a un peu plus d’un mois, le Mardi 9 Juillet 2024

Ce jour-là, j’ai joué pendant une heure pile !

Cela peut sembler décousu, si l’on s’en tient aux sujets successifs qui se suivent parfois de façon inattendue… voir sans relation !

Mais, comme d’habitude, il y a un fil d’Ariane que tous ceux qui le choisissent peuvent très bien suivre : ce fil d’Ariane, c’est ma joie !

En effet, je n’ai écrit là que ce que j’étais le plus heureux de penser au fur et à mesure où cela venait à ma conscience… en tous les cas ce que j’étais assez rapide pour l’écrire sur mon ordinateur, mon copain de chaque jour.

Bien sûr, je n’arrive pas à écrire aussi vite que ce que j’arrive à penser ! Et donc, assez souvent, il y a des pensées intermédiaires que je n’ai pas pu noter, car la suivante était déjà là… Et c’est elle, seulement, que j’ai pu noter…

Toutes ces pensées, comme toutes celles que j’écris sur ce site BeHappy8 n’ont pour but que d’inspirer les personnes qui sont intéressées à penser elles-mêmes ce que, elles, elles sont les plus heureuses de penser.

En effet, personne ne peut, ni ne doit, penser comme quelqu’un d’autre… C’est, heureusement, de toutes les façons impossibles à réaliser.

En effet, je ne peux même pas, moi-même, penser deux fois la même pensée, même si j’utilise les mêmes mots pour exprimer et vivre deux instants différents.

Si j’utilise les mêmes mots 1000 fois, ces mêmes mots exprimeront nécessairement 1000 pensées différentes, puisque nous ne pouvons pas vivre deux fois le même instant dans l’Univers tel qu’il existe.

Voilà, ceci était une petite introduction amicale… Maintenant voici l’enregistrement écrit le plus exacte possible de la partie que j’ai jouée ce jour-là :

« Je commence là un jeu de pensée pour une heure…

D’abord, je mets en place mon minuteur pour qu’il sonne dans une heure…

Et puis, je commence à écrire… et je continuerai non-stop pendant une heure.

Pour moi, c’est toujours une aventure merveilleuse que de partir à penser ce que je suis le plus heureux de penser, sans aucune contrainte autre que celle de ma vitesse d’écriture… Qui est assez bonne, tout de même.

Nous venons d’avoir une discussion avec Arlette… Elle revenait vers moi en me demandant pourquoi je lui avais dit que je sentais, depuis quelques temps, qu’elle avait peut-être peur de dépenser de l’argent.

J’ai été, rapidement, amené à reconnaître que ce n’était pas là la pensée que j’avais été le plus heureux de penser… 

Mais qu’au lieu de cela, ce que j’étais vraiment heureux de penser, c’était : Qu’elle est belle… Qu’elle a confiance dans l’avenir… Qu’elle dépense avec plaisir ce qu’elle dépense… Qu’elle est toujours plus heureuse de vivre… Qu’elle est de plus en plus solide dans ses efforts physiques… Qu’elle est intelligente, très intelligente… Que je suis totalement satisfait par la compagne qu’elle est pour moi…

Et, bien sûr, cela nous a fait sourire, puis rire, tous les deux… Et nous sommes repartis enrichis, l’un et l’autre, de cette mise au point éclair, comme c’est toujours le cas chaque fois que nous nous offrons le luxe, accessible pour tous, d’une communication unitaire.

Pour cela, il suffit que nous nous aidions l’un l’autre à penser, à dire et à faire ce que nous sommes chacun les plus heureux de penser, de dire et de faire.

L’outil que nous utilisons le plus est si simple… Et nous avons toujours été d’accord pour jouer à ce que j’ai finalement nommé le « BeHappy » depuis que nous nous connaissons.

Et les résultats sont là : nous sommes de plus en plus heureux… C’est tout !

Je pense, sans effort, que chaque Être est heureux par nature… Et que la souffrance des Êtres n’est qu’illusoire… même si cela a pu nous sembler complètement réel.

La Réalité, la Vraie Réalité (c’est à dire Dieu Lui-même), ne peut être que Belle, Parfaitement Belle… Je ne peux pas La concevoir autrement…

En effet, je choisis de penser, à chaque instant autant que j’en sui capable, ce que je suis le plus heureux de penser… Et rien d’autre. 

Cela peut sembler naïf à certains lorsque j’exprime mes pensées que je suis le plus heureux de penser… Et je le comprends bien.

Mais, je suis fier d’être « naïf ».

La naïveté, c’est pour moi une belle qualité que j’admire chez tous ceux qui la manifestent.

… Et en général, les gens naïfs sont les plus heureux que j’observe.

Mon Corps me satisfait totalement, tel qu’il est… J’en suis totalement heureux… Quel bonheur de le vivre comme je le vis. Il me permet de matérialiser mes Pensées les plus belle et il exprime de mieux en mieux mon Âme.

J’aime également toujours le temps qu’il fait !

Et parfois cela étonne :

Alors, certaines des personnes que je rencontre me disent : « Mais, tu es toujours heureux de tout, toi ! » … Et je leur répond : « Oui, c’est vrai ! » Et c’est vrai que je suis toujours plus « heureux de tout » … Et cela est bien agréable.

C’est agréable pour moi, bien sûr… Mais c’est aussi agréable pour les autres…

Car le plus beau cadeau que l’on puisse faire aux autres, c’est d’être heureux en leur présence… Et le plus beau cadeau que l’on puisse recevoir des autres, c’est leur bonheur en notre présence.

Lorsque les gens sont heureux, nous nous sentons aimés.

Plus les gens sont heureux, plus nous nous sentons aimés… Et c’est si simple, une fois que l’on a retrouvé ce plis naturel.

Je suis de plus en plus attentif à penser ce qui est le plus beau.

En effet, cela me plaît de croire que ce qui est plus beau est plus vrai.

Je me dis : « Plus c’est beau, plus c’est vrai ! »

Plus je pense ce qui est beau, plus je vis heureux et plus je suis vrai…Et mieux c’est pour tous les autres Êtres.

Le progrès n’a pas de fin. Je progresserai toujours… Comme tous les Êtres de l’univers qui, tous, progressent toujours.

Je ne me laisse pas égarer par les difficultés apparentes que vit l’humanité. Je sais qu’elle évolue toujours vers plus de conscience… C’est vraiment ce que je suis le plus heureux de penser sur ce sujet… Alors, je le pense, régulièrement.

Souvent, j’entends dire que les gens sont de moutons… Oui, je pense moi-même de temps en temps que ce sont des moutons, mais ce sont des moutons qui cherchent toujours à être de plus beaux moutons… Ils cherchent à être toujours plus heureux d’être des moutons… Et plus ces moutons sont heureux, plus ils se libèrent ! Et je trouve cela magnifique.

En effet, ce que nous n’avons pas été heureux de vivre jusqu’à là, nous le répétons toujours pour progresser vers toujours plus de joie de le vivre.

Tout le monde veut être heureux. C’est ce que tous les Êtres veulent : Être encore plus conscients… Et chaque fois que la conscience d’un Être s’ouvre, il ressent la Joie.

En effet, la Joie, c’est la manifestation de l’ouverture naturelle de notre conscience.

Et la souffrance, elle, elle est la saine manifestation de la résistance à notre ouverture naturelle de conscience… N’y-a-t-il que les Êtres humains qui la ressentent ? C’est une question que je viens de me poser.

Non ! Pour la première fois, à cet instant, en toute conscience, je choisi de ne pas le penser… Et je crois que je ne le penserai plus : Tous les Êtres ressentent la merveilleuse douleur lorsqu’ils résistent à leur ouverture de conscience naturelle.

Mais, du fait du libre arbitre qu’ils ont reçu, c’est beaucoup, mais vraiment beaucoup plus net chez les Êtres humains que chez tous les autres Êtres, sur cette terre.

Tes Lois sont les mêmes, pour tous, dans tout Ton Univers…

Ton Univers, Il est composé d’une infinité de ce que nous nous appelons « univers ».

Ton Univers est Vraiment Infini… Ce que nous appelons univers, habituellement, a un début et une fin… Ce n’est qu’une vision limitée de Ton Univers.

Ma conscience s’ouvre toujours, comme toutes les consciences.

Je ne vois aucune conscience qui ne s’ouvre pas.

Chacun évolue… À son rythme, chaque Être évolue… 

Tous les Êtres évoluent… toujours !

Même les minéraux évoluent, bien sûr… Et, comme pour tous les autre Êtres, c’est au même instant que leur Âme, leur Corps et leur Pensée évoluent.

Bien sûr, les milliards d’années que mettent les minéraux pour évoluer ont pu nous faire croire, à nous les Êtres humains, qu’ils n’évoluaient pas…

Mais, il ne faut pas confondre une évolution sur un milliard d’années avec pas d’évolution du tout !

D’ailleurs, l’un des 3 aspects d’un Être ne peut pas évoluer sans les deux autres, puisque le Corps, l’Âme et la Pensée sont tous les trois d’un seul Être.

Et chez tous les Êtres l’évolution du Corps est totalement unifiée à l’évolution de l’Âme et de la Pensée.

Nous pouvons donc abandonner ce trop vieux paradigme de la séparation de l’Âme, de la Pensée et du Corps pour le paradigme plus beau, à mon avis, de l’Union Absolue de Tout et donc de l’Union Absolue du Corps, de l’Âme et de la Pensée en tout Être… Et, également, avec tous les autres Êtres.

Rien n’est plus « Un » avec moi que quoi que ce soit d’autre.

Je suis Un avec tout ce qui existe.

Je suis heureux de tout ce qui « est ».

C’est à dire que je suis heureux de Tout ce que Tu Es.

Je suis toujours heureux de penser ce que je suis le plus heureux de penser.

Je suis de plus en plus heureux de la vie que je mène… et de plus en plus heureux que les autres mènent la vie qu’ils mènent.

Je suis fier de l’humanité, telle qu’elle est aujourd’hui.

Je suis de plus en plus heureux que les gens soient ce qu’ils sont… 

J’ai de plus en plus d’Amour pour eux, un amour de moins en moins conditionnel.

J’ai de plus en plus d’Espoir qu’ils soient de plus en plus heureux

J’ai de plus en plus de Foi en Toi et en Ta Création que Tu Es.

Heureusement que je n’ai pas besoin de Te comprendre pour T’aimer…

Mais, plus je T’aime, mieux je Te comprends, et plus je Te comprends, plus je sais que je ne Te comprendrai jamais !

Quelle beauté que cet avenir que Tu m’offres…

Aujourd’hui, je choisis d’être heureux lorsque je crois que les autres sont injustes avec moi, alors qu’ils ne peuvent pas l’être : c’est décidé !

Je choisi de suivre, toujours mieux, la voix du Christ… Qui, Lui, Aime de toute Éternité ceux qui se sont crus ses assassins.

Les jugements, que j’ai prétendu injustes, que les autres ont eu vis à vis de moi m’ont permis de grandir en conscience de Toi.

Ces jugements, que j’ai pu prétendre injustes, ne sont faits que de Toi, puisque « Tu Es Tout ».

Ces jugements, que j’avais imaginés injustes, ne sont en fait que Ton Amour manifesté.

Maintenant, mon jugement vis à vis des autres, c’est qu’ils m’aident toujours à m’élever en Toi.

Je remercie donc les autres lorsqu’ils m’ont permis d’imaginer qu’ils étaient injustes vis à vis de moi.

Je remercie mes enfants lorsqu’ils m’ont permis d’imaginer qu’ils étaient injustes vis à vis de moi.

Merci à chacun de m’aider à grandir.

L’injustice est toujours Juste pour Toi.

Donc, l’injustice est toujours Juste pour moi. Je veux le reconnaître !

Je veux T’adorer en Tout.

Je veux T’adorer aussi bien dans ce que j’ai cru être l’injustice que dans ce que crois être la Justice.

L’injustice était un concept de l’ombre que j’avais imaginée.

Ta Justice est Éternelle, l’injustice que nous avons maladroitement imaginée a eu, elle, un début et elle aura une fin.

Notre injustice finira dans Ta Justice.

J’ai confiance dans notre injustice : elle nous mène à Ta Justice.

Tout vient de Toi… Tout nous mène à Toi… Tout n’est que Toi.

Notre injustice n’est que le mésusage que nous avons fait de Ta Justice.

Notre injustice est un vécu dévoyé par nous de Ta Justice Parfaite.

L’injustice n’est que Ta Justice Parfaite dont nous avions perdu conscience.

Je veux aimer notre injustice, à nous les Êtres humains, jusqu’à ce qu’elle révèle Ta Justice Éternelle.

Lorsque j’ai prétendu que quelqu’un était injuste avec moi, aujourd’hui, je choisis d’en être heureux… Et je révèle ainsi Ta Justice Éternelle…

Je veux révéler Ta Justice en toute chose.

Je veux révéler Ta Justice dans toutes nos, soi-disant, injustices.

Je ne fuis plus l’injustice, je choisis de l’aimer de l’Amour que Tu me donnes.

Oui ! L’injustice doit être aimée pour guérir.

Mon injustice et celle des autres, c’est maintenant comme un élastique qui m’attire vers Ta Justice.

Dans Ton Monde, qui est le Monde Réel, tout est Juste… y compris l’injustice que nous y avons imaginé.

La Terre s’élève vers Ton Ciel… Et nous réalisons qu’ils sont « Un ».

Notre injustice s’élève vers Ta Justice Parfaite.

Notre Injustice fini toujours dans Ta Justice.

L’ombre ne m’inquiète pas… L’ombre n’est que Ta Lumière déguisée par moi.

Mon ombre, et celle des autres, n’est faite « que » de Ta Lumière…

Il suffit que je perde conscience de Ta Lumière pour que j’imagine l’ombre et que je croit la vivre.

Mais, Ta Lumière est Éternelle, Infinie, Omniprésente… Elle ne varie pas lorsque j’en ai perdu conscience.

Ce n’est que ma conscience qui fait toute la différence.

« C’est la conscience qui fait toute la différence ».

Merci à Toi… Qui a tous les noms.

Et là, le minuteur a sonné…

Et je suis encore plus heureux qu’au début de cette heure de pensées et d’écritures.

Surtout, n’oublions pas que tout ceci est un jeu : un jeu de pensée… Rien qu’un « jeu »…

Dans la Lumière, il n’y a pas de pensées qui soient meilleures que d’autres pensées… Toutes ne sont que Ta Lumière.

28 • Quel futur je choisis ?

Un ami, qui a choisi « ÊtreSoi » comme pseudonyme, a fait, il y a quelques jours ce commentaire dont je le remercie :

« Parlons du futur…
N’est-ce pas dans le moment présent que notre futur s’inscrit ?
N’est-ce pas dés la pensée que l’on est heureux de penser en ce moment présent que ce futur s’invente ?
En fait, s’invente-t-il ?
N’est-ce pas par ces pensées heureuses en cette suite continue d’instants présents que nous nous proposons un futur heureux en son instant ?
Alors nous sommes heureux de ce futur que nous ne connaissons pas, en continuant à penser d’instant en instant, des pensées que nous sommes heureux de penser…
Ainsi, le futur ne se confond-il pas avec le présent ? »

Après avoir lu et relu, avec beaucoup de plaisir, ces pensées avec attention, j’avais écrit pendant plus d’une heure toutes une série de pensées que j’étais vraiment très heureux de penser en lisant ce joli commentaire fait par « ÊtreSoi »… Des pensées très belles, très inspirées… Enfin, c’est ce qu’elles me semblaient être !

Et puis, tout d’un coup, du fait d’une maladresse de ma part j’ai tout fait disparaître de mon ordinateur ! D’un seul coup !

Alors, là, voilà une bonne occasion de jouer au BeHappy que de choisir d’être heureux d’avoir perdu tout ce que j’avais été si heureux d’avoir écrit…

Et c’est ce que j’ai fait : tout de suite, dès que je me suis aperçu de mon erreur, dès que j’ai compris que je venais d’effacer complètement ces pages dont j’étais si fier, j’ai choisi d’être heureux.

« Dieu Est Tout », c’est la pensée fondamentale que je suis le plus heureux de penser à tout instant, celle qui est le point de départ de tous mes raisonnements, donc de toutes mes autres pensées…

Je reviens à elle sans cesse pour continuer ainsi à penser selon ma joie.

Et, si « Dieu Est Tout », Dieu est donc également ce que nous perdons !

Alors, instantanément, j’ai offert cette perte de mon texte à Dieu… Et comme chaque fois que j’ai eu la générosité de faire cette offrande, je suis très fier de moi… Je suis satisfait.

Quel confort d’être heureux de tout… et donc du « Tout » ! C’est tellement pratique ! Je le disais hier à mon ami G. lorsque nous roulions ensemble sur la route.

Nous ne pouvons pas revivre un instant deux fois… Mais nous pouvons toujours être heureux de l’instant que nous avons vécu.

Et ceci que nous l’ayons vécu l’instant juste précédent ou bien à n’importe quel autre instant de notre passé lointain… Que ce soit notre passé, soi-disant personnel, le passé de l’autre… Ou que ce soit le passé de toute l’humanité.

En effet, de mon point de vue, je ne vois pas de différence très nette entre mon passé, celui de l’autre et celui de toute l’humanité.

Grâce à mon ordinateur qui peut effacer si vite tout ce que j’ai écrit, en un instant, j’apprends à accomplir un deuil… de la façon la plus rapide et surtout la plus agréable qui soit.

Le passé est passé… Mais, quel qu’il soit, je suis libre, toujours libre, à cet instant d’en être heureux.

Le passé est une source inépuisable de joie pour celui qui sait l’aimer à cet instant présent.

Je vis un instant du Paradis, à cet instant même, chaque fois que j’ose être heureux de tout le passé.

Et toute la terre vivra (ou plutôt revivra) le Paradis, dès que tous les Êtres humains auront réussi, courageusement, à aimer, tous, le passé qu’ils ont vécu depuis qu’ils sont humains.

Ceci, semble-t-il, est un projet à long terme… Mais il se réalisera, sans aucun doute !

Et je veux, moi aussi, participer à la réalisation futur de ce projet parfait et inéluctable qu’est le retour du Paradis sur notre Terre.

Or, plus je suis heureux à cet instant, plus la vie au Paradis de la Terre entière approche.

Le futur est entre les mains de chacun de nous, les Êtres humains.

Nous sommes, tous les Êtres humains ensemble, responsables du futur que nous vivrons, mais également du futur que nous proposerons à tous les autres Êtres, animaux, végétaux et minéraux…

Chaque instant de notre existence est l’occasion d’ouvrir, un peu plus, notre conscience à l’Infini.

Et chaque faits dont nous ne sommes pas arrivé à reconnaître la Perfection est toujours revenu à notre conscience pour que nous puissions le reconnaître Parfait.

Et si nous n’y avons pas réussi il reviendra, car consciemment ou inconsciemment, notre but de vie, à nous, tous les Êtres de la Terre, est d’ouvrir notre conscience à cet Infini qui est Éternel…

C’est à dire d’être toujours plus heureux.

Je ne retrouverai pas, sans aucun doute, les pensées exactes que j’avais écrites et que mon ordinateur a, si gentiment, effacées.

Mais l’Âme, que je suis, est une source inépuisable de pensées que la Pensée, que je suis également, est heureuse de découvrir et que le Corps est heureux de manifester.

Comme le passé, le futur se vit au présent… Et seulement au présent !

Nous ne pouvons pas revivre notre passé dans le passé, puisque le passé est justement « passé ».

Mais, le passé est inscrit dans notre mémoire… Et heureux ou malheureux, nous pouvons nous en souvenir à cet instant présent, nous pouvons également en constater les résultats dans notre présent… Nous pouvons, à chaque instant, choisir, à nouveau, d’en être heureux ou malheureux.

Nous ne pouvons pas changer ces faits passés… Mais, c’est vrai que, d’une façon ou de l’autre, ils vont revenir à notre conscience pour que nous en soyons toujours plus heureux.

Pour prendre un exemple simple : il y a entre quarante et cinquante ans, alors que je dévalais une pente de montagne à fond la caisse, mon pied est entré dans un trou, mon corps a continué sa course et mon genou gauche a été tordu à l’envers et je me le suis fracturé gravement … Cela a été, je l’ai appris beaucoup plus tard une fracture intra-articulaire du plateau tibial interne.

 l’époque, j’ai choisi de simplement rester au lit pendant 2 mois pour permettre à la fracture de se guérir… Ce sont bien des années plus tard que des radios ont été faites. Elles ont montré un genoux complètement remodelé, complètement différent de l’autre.

Au cours des années qui ont suivi, et jusqu’à aujourd’hui, je n’ai pas pu faire que cet évènement n’ait pas existé : j’ai eu le genoux fracturé gravement… C’est un fait ! C’est un fait passé… qui a laissé des traces physiques et psychologiques… et spirituelles… Et à chaque instant, je peux gérer cela comme je l’entends !

Au début, j’ai été donc alité et j’avais très mal à mon genoux. Je n’ai pas, à l’époque, choisi d’éviter cela… De ce fait, je n’ai pu qu’apprendre, progressivement de mieux en mieux à être heureux d’avoir mal et d’être alité.

Ensuite, après probablement environ deux mois, je me suis levé et j’ai commencé à marcher avec une canne et avec beaucoup de douleurs… Et je me souviens qu’à l’époque je me suis inquiété pour mon avenir.

En effet, la douleur physique était importante et elle a duré pendant quelques mois, sans que j’en sois vraiment régulièrement heureux….

Mais, si je me souviens bien, finalement, cette douleur a duré jusqu’à ce que j’arrive à choisir d’en penser ce que j’étais, à l’époque, le plus heureux d’en penser…

J’ai donc choisi d’être heureux d’avoir mal… Et j’ai augmenté la joie d’avoir mal, de plus en plus chaque jour… Chaque fois que j’avais mal, je souriais et je remerciais cette douleur d’exister.

Et là, bientôt, les douleurs ont disparu ! Et il ne m’est plus resté qu’une impossibilité de plier le genoux complètement : je ne pouvais donc pas m’accroupir sur ce genoux… Mais cela n’était plus douloureux du tout.

Pendant une dizaine d’années, j’ai probablement un peu grandi en sagesse, comme tout un chacun… Et puis, je ne me souviens pas pourquoi, j’ai eu à nouveau mal à mon genoux et là, par contre, je me souviens très bien que mes pensées ont baissé de qualité à propos de mon genoux, à propos de la douleur que je ressentais à nouveau et à propos de mon avenir…

Et donc, une nouvelle fois, j’ai eu bien mal jusqu’à ce que je me décide, je m’en souviens très bien, à repenser ce que j’étais le plus heureux de penser… Encore mieux.

Et que ce soit à propos de mon genoux, de la douleur ou de mon futur, je me suis entraîné fortement à penser consciemment ce que j’étais le plus heureux de penser… Jusqu’à y arriver !

Et en quelque temps, non seulement je n’ai, à nouveau, plus eu mal, mais j’ai récupéré la totalité de la flexion de mon genoux. Cela m’a étonné… Cela faisait une dizaine d’année que la flexion de mon genoux était bloquée… Mais j’ai été fier et satisfait.

Et puis j’ai vécu, heureux de mon genoux déformé, mais efficace, jusqu’à aujourd’hui…

Lorsque j’y porte mon attention, je le sens différent de mon autre genoux… Mais hier, j’ai cependant pu aller me baigner dans un étang à 1500 mètres d’altitude grâce à une marche difficile de 3 heures aller et 3 heures retour… Et aujourd’hui, je vais faire une quinzaine de kilomètres à pied à partir de là où nous sommes logés, chez notre ami G.

Et la qualité du futur que je vais vivre dans cette vie et dans les autres est décidé par l’usage que je fais de mon libre arbitre pour vivre chaque instant, avec « ce » genoux.

Ce que je suis le plus heureux de penser, c’est que plus je suis heureux aujourd’hui, plus je serai heureux demain…

Plus je suis heureux dans cette vie, plus je serai heureux dans les autres…

Et ceci quelle que soit les difficultés temporaires que l’humanité, dont je fais partie, impose à toute la terre.

Mon futur ne dépend pas totalement de moi, car je ne suis qu’un Être humain parmi des milliards… Mais la Joie que j’ai à l’imaginer aujourd’hui et la Joie que j’aurai à le vivre à chaque instant, Elle, Elle ne dépend que de moi.

Je veux toujours mieux jouir de notre passé.

Je veux toujours mieux jouir de notre futur.

Et cela, je ne le peux qu’à cet instant présent.